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Chapitre1(algèbre) : règles de calcul et priorité de calcul.

I- Vocabulaire
1-1/ Addition et somme : L’addition est une opération. La somme est le résultat d’une addition.
I- Vocabulaire
1-2/ Soustraction et différence : La soustraction est une opération. La différence est le résultat d’une
soustraction.
La somme et la différence se compose des termes.
I- Vocabulaire
1-3/ Multiplication et produit : La multiplication est une opération. Le produit est le résultat d’une
multiplication, le produit se compose des facteurs.
I- Vocabulaire
1-4/ Division et quotient : La division est une opération. Le quotient est le résultat d’une division.
II- Expressions sans parenthèses : priorités opératoires
2-1/ Propriété 1
Dans une expression sans parenthèses avec uniquement des additions et des soustractions, on effectue les
calculs de gauche à droite.
Dans une expression sans parenthèses avec uniquement des multiplications et des divisions, on effectue les
calculs de gauche à droite.
II- Expressions sans parenthèses : priorités opératoires
2-2/ Propriété 2
Dans une expression sans parenthèses on effectue les multiplications et les divisions avant les additions et les
soustractions.
On dit que la multiplication et la division sont Prioritaires sur l’addition et la soustraction.
Exemple : 4+5×2-3=4+10-3=14-3=11
III- Expressions avec parenthèses
3-1/ Propriété 3
Dans une suite d’opérations avec parenthèses, on effectue d’abord les calculs entre parenthèses en
commençant par les parenthèses les plus intérieures.
Exemple : 15+(12-3) +2× (4-2) =15+9+2×2=15+9+4=24+4=28
IV- Distributivité
4-1/ Propriété 4
Multiplier une somme (ou une différence) par un nombre revient à multiplier chaque terme de la somme (ou de
la différence) par ce nombre.
a, b, c et k sont des nombres décimaux
K×(a+b) =k×a+k×b k×(a−b) =k×a−k×b k×(a+b-c) =k×a+k×b+k×c
Exemples :
A=3× (5+6) B=4× (8−2)
A=3× (5+6) B=4× (8-2)
A=3×5+3×6 B=4×8−4×2
A =3×11 B=4×6
A=15+18 B=32−8
A=33 B=24
A =33 B=24
Chapitre2(algèbre) : les écritures fractionnaires et opérations.
I. Vocabulaire : Soient a et b deux nombres, avec b non nul ,Le quotient de a par b se note a÷b ou en
𝑎
écriture fractionnaire ; a est le numérateur et b est le dénominateur.
𝑏
1-1/ Écriture fractionnaire : L’écriture fractionnaire est le quotient d’un nombre décimal a par un nombre
𝑎
décimal non nul b notée:
𝑏
𝑎
1-2/ Fraction : La fraction est le quotient d’un nombre entier a par un nombre entier non nul b notée:
𝑏
II. Égalité des fractions
2-1/ Propriété : Si on multiplie (ou divise) le numérateur et le dénominateur d’une fraction par un même
nombre non nul, on obtient une fraction égale.
𝑎 𝑎×𝑘 𝑎÷𝑘
On considère trois nombres décimaux a ,k et b avec b≠0 on a : = =
𝑏 𝑏×𝑘 𝑏÷𝑘
2-2/ Transformer une écriture fractionnaire en une fraction
Pour transformer une écriture fractionnaire en une fraction on multiplie le numérateur et le dénominateur
2,5 25
par : 10 ou 100 ou 1000 ou …. = …..
3,4 34
2-3/ Simplification d’une fraction
Simplifier une fraction, c’est l’écrire avec de plus petits numérateur et dénominateur entiers possibles,
En divisant le numérateur et le dénominateur par un diviseur commun (le plus grand diviseur commun) on
18 3 15 3
dit alors qu’elle est irréductible. Exemple : = =
24 4 35 7
III. Comparaison de deux fractions
3-1/ Les deux fractions ont le même numérateur : (Règle 1)
Si deux fractions ont le même numérateur, la plus grande est celle qui a le dénominateur le plus petit.
3-2/ Les deux fractions ont le même dénominateur : (Règle 2)
Si deux fractions ont le même dénominateur, la plus grande est celle qui a le plus grand numérateur.
3-3/ Comparer une fraction par rapport à 1
Une fraction, dont le numérateur est plus petit que le dénominateur, est plus petite que 1.
Une fraction, dont le numérateur est plus grand que le dénominateur, est plus grande que 1.
7 11
Exemple : > 1 𝑐𝑎𝑟 7 > 4 ; < 1 𝑐𝑎𝑟 11 < 25.
4 25
3-4/ N’ayant ni le même dénominateur ni le même numérateur
Pour comparer deux nombres en écriture fractionnaire n’ayant ni le même dénominateur ni le même
numérateur, on les réduit au même dénominateur puis on applique la règle 2.
IV. Addition et soustraction de deux fractions
1/ Deux fractions ayant le même dénominateur
Règle 1 : Pour calculer la somme (ou la différence) de deux fractions ayant le même dénominateur :
 On conserve ce dénominateur
 On additionne (ou on soustrait) les numérateurs
2/ Deux fractions ayant des dénominateurs différents
Règle 2 : Lorsque les fractions à additionner (ou soustraire) n’ont pas le même dénominateur, on doit les
réduire au même dénominateur avant d’appliquer la règle 1(et si c’est possible de simplifier c’est
beaucoup mieux avant de faire les calculs).
14 15 7 3 35 18 53 14 15 350 180 530 53
Exemple : + = + = + = au lieu de faire + = + = =
12 25 6 5 30 30 30 12 25 300 300 300 30
V. Multiplication de deux fractions
Règle 3 : Pour multiplier deux fractions, on multiplie les numérateurs entre eux et on multiplie aussi les
dénominateurs entre eux.
VI. Division de deux fractions
1/ Inverse d’un nombre en écriture fractionnaire non nul : Soient a et b deux nombres en écriture fractionnaire
non nuls.
1
 L’inverse de 𝑎 est
𝑎
𝑎 𝑏
 L’inverse de 𝑏 est 𝑎
2/ Règle 4 : La division de deux fractions : c’est la multiplication de la première fraction par l’inverse de la
deuxième.
Chapitre2(Géométrie) : Droites dans le plan parallélisme et perpendicularité.
I- Les figures géométriques usuelles
1-1/ Les points : Dans un plan, il y a une infinité de points. On les représente par une croix.
1-2/ Les droites : Une droite est formée par une infinité de points alignés.
Une droite n’a pas de longueur, elle est illimitée, on ne peut pas la mesurer.
On note : une droite par (D) ou (D’) ou (∆) ……..
(D)
Règle 1 : par un point passe une infinité de droites. Origine
Règle 2 : par deux points passe une seule droite.
1-3/ Les demi-droites : Tout point A sur une droite définit deux demi-droites. A×
Les deux demi-droites ont pour origine le point A, on les note : [Ax) et [Ay)
Une demi-droite n’a pas de longueur.
La demi-droite d’origine A contenant le point B se note : [AB)
1-4/ Les segments : L’ensemble des points de la droite située entre T et R forme un segment, qu'on note :
[TR].
Les points T et R sont les extrémités du segment. T × [TR]
La longueur du segment [TR] est notée : TR. ×R
Le milieu du segment est un point qui appartient au segment et le partage en deux segments de même
longueur.
Si I est le milieu du segment [AB] Alors : I ∈ [AB] et AI = IB.
1-5/ Appartenance, points alignés
Appartenance
Le point B appartient à la droite (D) c’est-à-dire la droite (D) passe par le point B. On note : B∈(D)
Le point C n’appartient pas à la droite (D). On note : C∉(D)
Points alignés
Les points alignés sont des points qui appartiennent à une même droite :
Les points A, B et C sont alignés veut dire que C ∈ (AB).
II- Positions relatives de deux droites dans le plan :
2-1/ Droites sécantes : Deux droites sécantes sont deux droites qui n’ont qu’un seul point commun.
2-3/ Droites parallèles : Deux droites parallèles sont deux droites n’ont pas de point commun ou elles ont
plusieurs points communs dans ce cas on dit qu’elles sont confondues.
2-2/ Droites perpendiculaires : Deux droites perpendiculaires sont deux droites sécantes qui forment un
angle droit. (Cas particulier de deux droites sécantes)
III- Propriétés de trois droites :
3-1/ Propriété 1
Lorsque deux droites sont parallèles, toute perpendiculaire à l’une est perpendiculaire à l’autre.
3-2/ Propriété 2
Lorsque deux droites sont parallèles, toute droite parallèle à l’une est parallèle à l’autre.
3-3/ Propriété 3
Lorsque deux droites sont perpendiculaires, toute droite perpendiculaire à l’une est parallèle à l’autre.
3-4/ Propriété 4
Lorsque deux droites sont perpendiculaires, toute droite parallèle à l’une est perpendiculaire à l’autre.

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