Résidents Aux États-Unis: Évaluation Des Connaissances en Matière de Radioprotection en Urologie

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Journal d'endourologie
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© Mary Ann Liebert, Inc.
DOI : 10.1089/fin.2019.0133
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Évaluation des connaissances en matière de radioprotection en urologie
Résidents aux États-Unis
Andrew Harris1, John Loomis1, Marilyn Hopkins1et Jason Bylund1

Cet article a été évalué par des pairs et accepté pour publication, mais n'a pas encore fait l'objet d'une relecture et d'une correction d'épreuves. La version finale publiée peut différer de cette preuve.
1Centre médical de l'Université du Kentucky
800, rue Rose, MS 237

Évaluation des connaissances en matière de radioprotection parmi les résidents en urologie aux États-Unis (DOI : 10.1089/end.2019.0133)
Lexington, Kentucky 40536‐0298
John.loomis@uky.edu
Téléchargé par l'Université de Melbourne sur www.liebertpub.com le 22/04/19. Pour usage personnel seulement.
Jasonbylund@uky.edu
Marilyn.k.hopkins@uky.edu
Auteur correspondant:
Andrew M. Harris, MD
Andrew.harrismd@uky.edu
@AndrewHarris_MD
Mots-clés : radioprotection, fluoroscopie, formation des résidents
Abréviations : ALARA : Aussi bas que raisonnablement possible
Une casquette rougeMT: Recherche sur la capture de données électroniques

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Introduction:
Les urologues sont de plus en plus exposés à la fluoroscopie, qui peut provoquer des dommages cellulaires.
Une sensibilisation appropriée et des précautions de sécurité concernant la fluoroscopie sont nécessaires et
devrait probablement être une priorité pendant la formation. Nous avons cherché à évaluer les connaissances en matière de radioprotection
parmi les résidents en urologie aux États-Unis.
Méthodes :
Une enquête de 19 questions a été construite pour évaluer la formation, les connaissances,
comportement et attitudes. L'enquête a été envoyée via REDCapMTà tous les programmes d'urologie
directeurs et coordinateurs aux États-Unis avec une demande de distribution à leurs
résidents. L'enquête a été clôturée après 3 semaines.
Résultats:
136 stagiaires en urologie ont répondu au cours de la période d'étude. 13 % ont appris la fluoroscopie
radioprotection formellement, 46 % de manière informelle, 35 % de manière informelle et formelle, 6 % non
éducation. 46 % ont déclaré que la radioprotection faisait partie de leur programme d'études. Lorsqu'on lui a demandé
concernant le déplacement directionnel des rayons X et l'exposition, seuls 54 % ont répondu correctement. Concernant
conditions liées à l'exposition aux radiations, 94 % pensent que l'infertilité est potentiellement liée, 83 %
cataractes, 93 % leucémies et lymphomes, 57 % tumeurs du système nerveux central, 77 % naissances
défauts et 4% de diabète. Concernant la protection, 9% portent des lunettes doublées de plomb, 30%
dosimètres, protections thyroïdiennes à 99 %, gants en plomb à 0 %, tablier en plomb à 97 %, protection en plomb à 26 % et 0 %
rien. Concernant les réglages de l'appareil de fluoroscopie, 7 % savaient que l'appareil utilisé était réglé pour
continue, 73 % pouls et 21 % étaient incertains. Soixante‐six pour cent étaient au courant de
déplacement directionnel de la machine couramment utilisée. Concernant les techniques de sécurité, 99% connaissaient
le temps diminuait et 100 % savaient que le port de matériaux de protection diminuait l'exposition.
Cependant, interrogés sur la distance et l'exposition, 55 % ont répondu de manière incorrecte. La plupart
les personnes interrogées estiment que la radioprotection est importante (89 %) et souhaitent une éducation plus formelle
(64%).
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Conclusions :
probablement nécessaire pour garantir que les stagiaires apprennent des méthodes pour assurer leur sécurité tout au long de leur carrière.
l’éducation peut être envisagée pendant la formation et est souhaitée par les stagiaires. Cette éducation est
Les stagiaires manquent de connaissances suffisantes dans plusieurs domaines clés concernant la sûreté radiologique. Officiel
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Introduction
À mesure que la technologie chirurgicale continue de progresser, les urologues effectuent de plus en plus de
procédures enourologiques.1De plus, les états pathologiques nécessitant des soins endo-urologiques
les procédures, telles que la néphrolithiase, sont de plus en plus répandues aux États-Unis.2 à 4
De telles procédures nécessitent généralement des conseils et des techniques d'imagerie spécifiques.
effectué de manière sûre et efficace.1,5

Actuellement, l'imagerie fluoroscopique est couramment utilisée lorsque l'imagerie est requise pour
procédures enourologiques. Ce rayonnement électromagnétique peut causer des dommages cellulaires car il
traverse les tissus des patients et de ceux du bloc opératoire.6,7Le dommage est
généralement proportionnel à la durée et au site de l'exposition ainsi qu'à la quantité totale
dose d'exposition et peut entraîner des brûlures, des cataractes et des tumeurs malignes.6,8–10Le potentiel de
une morbidité importante a conduit à des recommandations de limites d'exposition et à des lignes directrices en matière de protection
comme « Aussi bas qu'il est raisonnablement possible d'atteindre (ALARA) ».11Malheureusement, des études suggèrent un
manque de connaissances, d’éducation et de mise en œuvre appropriées de la radioprotection
pratiques pendant les procédures fluoroscopiques parmi les résidents, les professeurs et la salle d'opération
personnel.6,12-16Cependant, bon nombre de ces études à ce jour impliquent des interventions chirurgicales non médicales.
le personnel des suites, les stagiaires non urologiques ou les stagiaires en dehors des États-Unis. Nous
proposé d'examiner les connaissances, les attitudes, la formation et les mesures de précaution
liés à la sécurité des radiations fluoroscopiques chez les résidents en urologie aux États-Unis.
Méthodes
L’enquête « Évaluation des connaissances en matière de radioprotection chez les résidents en urologie » a été
créé et dirigé par la Division d'Endourologie du Département d'Urologie du

Université du Kentucky en 2017. Le Comité d'examen intuitif de l'Université du Kentucky
a approuvé l’enquête. Le sondage a ensuite été envoyé aux coordonnateurs du programme d'urologie et
directeurs de programme par courrier électronique en leur demandant de distribuer le sondage à leurs résidents. Le
L'enquête a été ouverte pendant 3 semaines.
Les données de l'étude ont été collectées et gérées à l'aide de REDCapMT(Recherche de données électroniques
Capture) outils de capture de données électroniques hébergés à l'Université du Kentucky17. Une casquette rougeMTest
une application Web sécurisée conçue pour prendre en charge la capture et le stockage de données pour
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5
études de recherche, fournissant : 1) une interface intuitive pour la saisie de données validées ; 2) pistes d'audit
pour suivre les procédures de manipulation et d'exportation de données ; 3) procédures d'exportation automatisées pour
téléchargements de données transparents vers des progiciels statistiques courants ; et 4) les procédures d'importation
données provenant de sources externes.17

L'enquête a été conçue pour tester 4 domaines : la connaissance des effets des rayonnements,
formation/éducation en matière de radioprotection, pratiques de sécurité personnelle et compréhension des
physique de l’exposition et atténuation (Annexe 1, supplément).

Résultats
Données démographiques
Cent trente-six résidents en urologie ont répondu au sondage. Intimé PGY
Le niveau était le suivant : PGY1‐ 14 %, PGY 2‐ 22 %, PGY 3‐ 20 %, PGY 4‐ 18 %, PGY 5‐ 18 %, PGY 6‐
6%, >PGY 6‐ 2%.

Histoire de l'éducation
En ce qui concerne la formation sur la sécurité des radiations fluoroscopiques, 94 % des personnes interrogées ont déclaré
au moins une formation en radioprotection. Treize pour cent n’avaient reçu que des
éducation, 46 % ont déclaré une éducation informelle uniquement, comme une éducation dispensée par des collègues ou en
le lieu de travail, et 35 % ont reçu les deux.
Parmi ceux qui ont reçu une éducation formelle, 10 % ont reçu une formation en médecine.
et 90% en résidence. Quarante‐six pour cent des personnes interrogées pensaient que la radioprotection faisait partie
du programme d'enseignement de résidence en urologie, tandis que 29 % ne le faisaient pas et 25 % étaient incertains.
Connaissances de base en rayons X/machines
Concernant l'exposition au flux directionnel de rayons X, 26 % des personnes interrogées ont tort
Le flux indiqué provenant du dessous du patient a exposé l'opérateur à des doses plus élevées de
rayonnement, tandis que 6 % ont répondu qu'il n'y avait aucune différence d'exposition basée sur la direction.
flux, et 15 % n’étaient pas sûrs. Seulement 54 % des personnes interrogées ont correctement identifié que les rayons X
provenant du dessus, le patient expose l'opérateur à davantage de rayonnements.

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Trente-quatre pour cent ne connaissaient pas la direction du rayonnement électromagnétique
flux de sa machine actuellement utilisée. Concernant le réglage continu ou impulsionnel,
vingt et un pour cent ne savaient pas comment leur machine était réglée, tandis que 7 % pensaient que
machine à régler en continu et 73% d'impulsion. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent ont répondu correctement
concernant la relation entre l'exposition et le temps et 100% ont répondu correctement
concernant l’exposition et les équipements de protection. Cependant, 55 % ont répondu de manière incorrecte
concernant la distance et l’exposition (Figure 1).

Précautions/Attitudes
Concernant les équipements de protection, 99% portaient des protections thyroïdiennes, 97% des tabliers en plomb, 30%
badges dosimétriques, lunettes doublées de plomb à 9 %, écrans de protection en plomb à 27 %, gants doublés de plomb à 0 % et 0 %
est allé sans équipement de protection (Figure 2). Concernant l'importance de la radioprotection,
99 % pensent que c'est important, et 54 % choisissent « extrêmement important ». En utilisant un 5‐
échelle de Likert concernant la nécessité d'une éducation plus formelle à la radioprotection pendant
formation, 5 étant significativement plus, 88,3 % ont choisi 3 ou plus et 64 % ont choisi soit 4
ou 5 (Figure 3).
Évaluation des effets de l'exposition
Concernant la morbidité potentielle d'exposition, 93 % des personnes interrogées pensaient
la leucémie et le lymphome sont potentiellement liés et 94 % pensent que l'infertilité est potentiellement
également liés. Quatre-vingt‐trois pour cent pensaient que les cataractes étaient potentiellement liées à
exposition, et 57 % pensaient que les tumeurs du système nerveux central étaient peut-être liées. Soixante-dix-
sept pour cent pensaient que les enfants conçus après une irradiation fluoroscopique présentaient des malformations congénitales
l’exposition est potentiellement liée. Enfin, 4 % pensaient que le diabète pourrait être lié
(Figure 4).Aucune analyse de sous-groupe supplémentaire n'a été effectuée en fonction de la taille de l'échantillon et
nombre de variables, telles que les années de PGY.
Discussion
Les résultats de notre enquête révèlent plusieurs constatations pertinentes. Près de la moitié des répondants
ont déclaré n'avoir jamais reçu de formation formelle en matière de radioprotection et moins de la moitié des
les répondants savaient que la radioprotection faisait partie du programme de base des résidents en urologie.
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Quarante‐six pour cent n'étaient pas conscients de l'effet du flux de rayons X directionnel sur l'exposition et
55% ont répondu de manière incorrecte concernant l'exposition à distance. De plus, 1/3 des répondants étaient
ignorant le flux directionnel concernant la machine qu’ils utilisent régulièrement. Fait intéressant, le
La majorité estime que la radioprotection est importante et souhaiterait une éducation plus formelle.
Concernant les effets de l'exposition, les répondants ont répondu mal en ce qui concerne la fertilité, la naissance
défauts et tumeurs du système nerveux central.
L'exposition basée sur le flux directionnel a été bien étudiée. Sur le canapé, où x‐
les rayons circulent du haut vers le bas du patient, des systèmes ont été trouvés pour exposer l'utilisateur à
Rayonnement 5 à 10 fois plus élevé par rapport aux systèmes placés sous le canapé.18,19Malheureusement,
Les systèmes sur canapé sont encore répandus aujourd'hui.18Cependant, la Commission internationale sur
Les Protections Radiologiques recommandent pour cette raison l'utilisation de systèmes sous canapé.20Donné
Il est préoccupant de constater que près de la moitié des personnes interrogées n'en étaient pas conscientes.
relation directionnelle dangereuse et 1/3 ignoraient les déplacements directionnels concernant
la machine couramment utilisée.

L'utilisation du réglage par impulsion, par opposition au réglage continu, peut réduire la dose d'exposition de
64% et temps d'exposition de 76%.21Cependant, 30 % des personnes interrogées ne savaient pas si le
La machine couramment utilisée était réglée en continu ou en impulsion. C'est un peu mieux que
a récemment étudié le personnel de maison de toutes les spécialités exposé aux rayonnements fluoroscopiques, où
la moitié des personnes interrogées ne connaissaient pas les paramètres de leur machine.16Diminuer l’exposition de
limiter le temps de fluoroscopie, utiliser un équipement de protection et augmenter la distance par rapport au
source font également partie du principe ALARA.20Les répondants ont répondu correctement concernant
temps d’exposition et la majorité d’entre eux ont pris les précautions appropriées. Cependant, lorsqu'on l'interroge
concernant l'exposition à distance, plus de la moitié ont répondu de manière incorrecte. De toute évidence, il semble y avoir
opportunités d'améliorer l'éducation concernant l'atténuation de l'exposition au sein de la maison d'urologie
personnel, ce qui pourrait contribuer à réduire l’exposition des résidents et du personnel dans leur environnement actuel, et
futures suites opérationnelles.
L'exposition aux rayonnements peut entraîner une morbidité et une mortalité importantes et peut survenir
deux mécanismes. Premièrement, des dommages cellulaires peuvent survenir au fil du temps en raison de la dose cumulée, ou
effets stochastiques, qui peuvent éventuellement conduire à « une leucémie, un lymphome, un cancer de la thyroïde,
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cancer du poumon, cancer de la vessie, cancer du foie, cancer de l'œsophage, cancer du sein, cancer de la peau,
cataractes et tumeurs du système nerveux central.10,16,22-25Deuxièmement, les radiations peuvent provoquer
mort cellulaire due à des doses élevées dans un seul contexte, connue sous le nom d’effets déterministes.12,22. Basé sur
données disponibles, les résidents en urologie avaient une connaissance appropriée du potentiel bien connu
méfaits de l’exposition aux radiations. Cependant, presque tous les répondants pensaient que l'infertilité était
potentiellement lié à l’exposition et met en évidence une idée fausse courante concernant
radiothérapie vs exposition. En outre, bien que les données concernant les malformations congénitales
les enfants conçus après exposition fluoroscopique sont déficients, près de 80% des répondants
a répondu incorrectement ; risque d'exposition aux radiations pour le fœtus une fois présent, sur le
d’autre part, est établi.26Personnel de maison récemment étudié de toutes spécialités exposé à
les radiations fluoroscopiques révèlent des résultats similaires.16
Les résidents en urologie d’autres pays ont été étudiés, avec des résultats similaires. Dans
En Europe, les résidents en urologie avaient peu de connaissances sur les effets de l'exposition,
la moitié n'étant pas consciente d'un risque de malignité, un peu plus de 50 % connaissant la signification de
ALARA, et seulement 28 % portent toujours des dosimètres.14Une étude concernant les résidents en urologie à
L'Inde n'a constaté qu'aucun résident n'utilisait de dosimètre, 85 % n'avaient reçu aucune éducation formelle,
83 % estiment avoir des connaissances insuffisantes en matière de radioprotection, et seulement 60 % ont toujours
pris des mesures pour se protéger contre l’exposition aux radiations.27En Turquie, près de 75 % des résidents l’ont fait
ne portaient pas de dosimètres et la majorité ne portaient ni lunettes ni gants de protection.13Étudié
Le personnel de maison d'Emory a également pris les mesures de précaution appropriées, mais a
peu de connaissances en matière de radioprotection.15Personnel de maison récemment étudié dans toutes les spécialités
exposé aux rayonnements fluoroscopiques d'un seul établissement a constaté une mauvaise sécurité radiologique
connaissances, seulement 23 % portaient des dosimètres et seulement 36 % avaient une éducation formelle16.
De plus, les études concernant le personnel du bloc opératoire montrent des résultats similaires, comme
les dosimètres étaient rarement utilisés et moins de la moitié avaient reçu une éducation formelle.12
Les programmes d'éducation à la radioprotection dans certains contextes ont abouti à une augmentation
utilisation de mesures de précaution et meilleur fonds de connaissances pour le personnel de maison.14Aussi, ceux
les résidents en formation ont déclaré qu'ils faisaient un meilleur travail en matière de radioprotection personnelle
que ceux qui ne sont pas formés.5Des programmes d'éducation et de sensibilisation impliquant des chirurgiens ont
Il a été démontré qu'il diminuait à la fois l'utilisation de la fluoroscopie et les doses d'exposition.7,28Actuellement, le
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9
La CIPR recommande une formation en radioprotection pour ceux qui opèrent dans le domaine des radiations
équipement.29Le « opérateur » peut varier selon et au sein des établissements et de l'urologie.
les résidents peuvent faire fonctionner l’équipement de fluoroscopie. Cependant, des études impliquant d'autres
les spécialités aux États-Unis, y compris celles qui peuvent utiliser l'équipement, montrent
l'éducation en matière de radioprotection provient de membres du corps professoral, d'autres stagiaires ou de manuels.15
En accord avec ces études, la majorité de nos répondants n'avaient pas reçu de réponse formelle
éducation, ce qui explique peut-être leurs déficits de connaissances.12,14,27Cependant, la majorité

des personnes interrogées ont exprimé un sentiment d'importance pour l'éducation aux rayonnements et un désir de
une éducation plus formelle à la radioprotection.

Bien qu'il existe plusieurs études sur les effets des rayonnements, les attitudes et l'efficacité des
programmes éducatifs, nous pensons qu'il s'agit de la première étude impliquant un échantillon national
des résidents en urologie aux États-Unis. D'après nos résultats, il semble que l'urologie
les résidents ont des lacunes évidentes en matière de connaissances de base en matière de rayonnement, de machine
paramètres et la morbidité d'exposition possible. Remédier à ces lacunes représente un

opportunité pouvant entraîner une diminution de l’exposition et de la morbidité ultérieure pour les résidents
et le personnel du bloc opératoire. Il est encourageant de constater que les résidents en urologie prennent généralement les précautions appropriées,
bien que seule une minorité porte des dosimètres, ce qui rend impossible le contrôle des doses. Ces
les résultats sont similaires à ceux d’autres spécialités et soulignent en outre la nécessité de davantage de
une formation formelle en matière de radioprotection.
Cette étude a des limites. L'étude est une enquête et est donc soumise à
ceux qui répondent et peuvent inclure un élément de biais de sélection. Le taux de réponse réel
est impossible à calculer car nous ne savons pas combien de programmes sont réellement distribués
l'enquête à leurs résidents. Cette étude implique également uniquement des résidents en urologie et peut ne pas
être applicable à d’autres spécialités. Les résultats dépendent également de la question appropriée
compréhension, réception et interprétation.
Conclusions
Des connaissances appropriées en matière de sécurité des rayonnements fluoroscopiques continueront d'être et
devenir plus important dans un avenir prévisible, non seulement pour l'utilisateur, mais aussi pour le
patient. La plupart des résidents souhaitent une éducation plus formelle, ce qui pourrait se traduire par un recours accru à
résidents dans leurs pratiques futures.

techniques de réduction de dose et diminuer le risque de complications induites par la dose.
Une éducation formelle appropriée peut être nécessaire pour combler ce déficit potentiel et protéger
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ALARA : aussi bas que raisonnablement possible
Une casquette rougeMT: Recherche sur la capture de données électroniques

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Évaluation des connaissances en matière de radioprotection parmi les résidents en urologie aux États-Unis (DOI :
Cet article a été évalué par des pairs et accepté pour publication, mais n'a pas encore fait l'objet d'une relecture et d'une correction d'épreuves. T
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Figure 1 : Réponses des répondants, en %, concernant la physique et l'exposition aux rayons X

15
Figure 2 : Réponses des répondants, en %, concernant les mesures de protection

16
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Figure 3 : Réponses des personnes interrogées, en %, concernant leurs attitudes à l'égard de la radioprotection
17
radiation
Figure 4 : Réponses des répondants, en %, concernant les effets de l'exposition aux examens fluoroscopiques.
18
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19
Annexe 1
Évaluation des connaissances en radioprotection du personnel de la maison
La plupart de ce que j’ai appris sur la sécurité des rayonnements fluoroscopiques provient de :
un. Éducation formelle (cours magistraux, présentations, lectures obligatoires)
b. Éducation informelle (collègues, en milieu de travail)
c. À la fois informel et formel

d. Ni l'un ni l'autre
Si vous avez suivi une formation formelle en radioprotection, où cette formation a-t-elle eu lieu :
un. École de médecine
b. Résidence
c. Camaraderie
d. Aucun
À votre connaissance, la sûreté des rayonnements fluoroscopiques fait-elle partie de l'enseignement de votre spécialité
programme d'études ?
un. Oui
b. Non
c. Je ne sais pas
Lequel des éléments suivants expose l’opérateur à davantage de rayonnements ?
un. Rayons X voyageant du bas vers le dessus du patient
b. Rayons X voyageant du haut vers le bas du patient
c. Il n'y a aucune différence d'exposition de l'opérateur en fonction de la direction des rayons X.
d. Je ne sais pas
On pense que la leucémie et le lymphome sont potentiellement liés à l’exposition aux radiations.
un. Vrai
b. FAUX
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On pense que l’infertilité est potentiellement liée à l’exposition aux radiations.
un. Vrai
b. FAUX
On pense que les cataractes sont potentiellement liées à l’exposition aux radiations.
un. Vrai
b. FAUX
On pense que les tumeurs du système nerveux central sont potentiellement liées aux radiations
exposition.
un. Vrai
b. FAUX
On pense que les malformations congénitales chez les enfants conçus après une exposition fluoroscopique sont
potentiellement liés à l’exposition aux radiations.

un. Vrai
b. FAUX
On pense que le diabète est potentiellement lié à l’exposition aux radiations.
un. Vrai
b. FAUX
Lequel des vêtements suivants portez-vous régulièrement lors des cas impliquant une fluoroscopie (choisissez
tout ce qui s'applique) ?
un. Lunettes doublées de plomb
b. Badge dosimètre
c. Bouclier thyroïdien
d. Gants en plomb
e. Tablier de plomb
F. Bouclier de plomb
g. Aucun
Page 21 sur 22
21
Savez-vous dans quelle direction le rayonnement fluoroscopique se propage depuis la machine dans laquelle vous
est-il couramment utilisé ?
un. Continu
b. Impulsion
c. Incertain
La diminution de la durée de la fluoroscopie est un moyen de diminuer l'exposition fluoroscopique.

un. Vrai
b. FAUX
Le port de matériels de protection tels qu'une protection thyroïdienne et un tablier en plomb est un moyen de diminuer
exposition fluoroscopique.
un. Vrai
b. FAUX
La diminution de la distance par rapport à la source fluoroscopique est un moyen de diminuer l'exposition fluoroscopique.
un. Vrai
b. FAUX
Dans quelle mesure pensez-vous que la radioprotection est importante pour vous et les autres médecins de votre
spécialité (1 n'étant pas important et 5 étant extrêmement important) ?
un. 1
b. 2
c. 3
d. 4
e. 5
c. 3
e. 5
d. 4
b. 2
un. 1
c. R3
F. R6
e. R5
d. R4
b. R2
g. >R6
un. R1
Quel est votre niveau de formation ?
(1 étant aucun et 5 étant nettement plus) ?
Dans quelle mesure souhaiteriez-vous une formation plus formelle en matière de radioprotection pendant votre formation ?
22
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Résidents Aux États-Unis: Évaluation Des Connaissances en Matière de Radioprotection en Urologie

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Résidents aux États-Unis

Andrew Harris1, John Loomis1, Marilyn Hopkins1et Jason Bylund1

1Centre médical de l'Université du Kentucky

800, rue Rose, MS 237

Lexington, Kentucky 40536‐0298

Mots-clés : radioprotection, fluoroscopie, formation des résidents

Abréviations : ALARA : Aussi bas que raisonnablement possible

Une casquette rougeMT: Recherche sur la capture de données électroniques

parmi les résidents en urologie aux États-Unis.

directeurs et coordinateurs aux États-Unis avec une demande de distribution à leurs

résidents. L'enquête a été clôturée après 3 semaines.

radioprotection formellement, 46 % de manière informelle, 35 % de manière informelle et formelle, 6 % non

cataractes, 93 % leucémies et lymphomes, 57 % tumeurs du système nerveux central, 77 % naissances

dosimètres, protections thyroïdiennes à 99 %, gants en plomb à 0 %, tablier en plomb à 97 %, protection en plomb à 26 % et 0 %

continue, 73 % pouls et 21 % étaient incertains. Soixante‐six pour cent étaient au courant de

effectué de manière sûre et efficace.1,5

généralement proportionnel à la durée et au site de l'exposition ainsi qu'à la quantité totale

manque de connaissances, d’éducation et de mise en œuvre appropriées de la radioprotection

créé et dirigé par la Division d'Endourologie du Département d'Urologie du

L'enquête a été ouverte pendant 3 semaines.

données provenant de sources externes.17

formation/éducation en matière de radioprotection, pratiques de sécurité personnelle et compréhension des

physique de l’exposition et atténuation (Annexe 1, supplément).

Cent trente-six résidents en urologie ont répondu au sondage. Intimé PGY

Le niveau était le suivant : PGY1‐ 14 %, PGY 2‐ 22 %, PGY 3‐ 20 %, PGY 4‐ 18 %, PGY 5‐ 18 %, PGY 6‐

6%, >PGY 6‐ 2%.

le lieu de travail, et 35 % ont reçu les deux.

Connaissances de base en rayons X/machines

provenant du dessus, le patient expose l'opérateur à davantage de rayonnements.

flux de sa machine actuellement utilisée. Concernant le réglage continu ou impulsionnel,

concernant la relation entre l'exposition et le temps et 100% ont répondu correctement

concernant la distance et l’exposition (Figure 1).

99 % pensent que c'est important, et 54 % choisissent « extrêmement important ». En utilisant un 5‐

Évaluation des effets de l'exposition

Concernant la morbidité potentielle d'exposition, 93 % des personnes interrogées pensaient

nombre de variables, telles que les années de PGY.

défauts et tumeurs du système nerveux central.

relation directionnelle dangereuse et 1/3 ignoraient les déplacements directionnels concernant

la machine couramment utilisée.

64% et temps d'exposition de 76%.21Cependant, 30 % des personnes interrogées ne savaient pas si le

opportunités d'améliorer l'éducation concernant l'atténuation de l'exposition au sein de la maison d'urologie

futures suites opérationnelles.

cataractes et tumeurs du système nerveux central.10,16,22-25Deuxièmement, les radiations peuvent provoquer

les radiations fluoroscopiques révèlent des résultats similaires.16

ne portaient pas de dosimètres et la majorité ne portaient ni lunettes ni gants de protection.13Étudié

équipement.29Le « opérateur » peut varier selon et au sein des établissements et de l'urologie.

éducation, ce qui explique peut-être leurs déficits de connaissances.12,14,27Cependant, la majorité

une éducation plus formelle à la radioprotection.

paramètres et la morbidité d'exposition possible. Remédier à ces lacunes représente un

une formation formelle en matière de radioprotection.

compréhension, réception et interprétation.

résidents dans leurs pratiques futures.

Suis. 2000 ;27: 323-331.

2. Curhan GC, Rimm EB, Willett WC, et al : Variation régionale de la néphrolithiase

3. Romero V, Akpinar H et Assimos DG : Calculs rénaux : une image globale de

5. Bordoli SJ, Carsten CG, Cull DL et al : Éducation à la radioprotection en chirurgie vasculaire

entraînement. J. Vasc. Surg. 2014 ;59: 860–864.e1.

revue de littérature. Ourol. Infirmières. 2013 ;33: 136.

7. Hein S, Schoenthaler M, Wilhelm K et al : Exposition aux rayonnements ultra-faibles pendant

2017 ;108: 34-39.

8. Chodick G, Bekiroglu N, Hauptmann M et al : Risque de cataracte après exposition à de faibles

technologues. Am J Epidémiol 2008 ;168: 620-31.