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1. Quel est l’examen radiologique de base du diagnostic positif des calculs urinaires ?
ASP
2. Quels sont les critères de diagnostic d’un calcul sur l’ASP ? Opacité dense en
projection sur les voies urinaires
3. Listez les techniques radiologiques utiles dans le diagnostic des lithiases : ASP, écho-
doppler, TDM
4. Quel est l’examen le plus sensible pour la détection des calculs ? TDM
5. Y a t - il des calculs non détectables sur l’ASP ? oui, 10%, acide urique le scanner ?
oui, cristaux d’indinavir
6. Définir une colique néphrétique : douleur du flanc irradiant vers les OGE, spasmodique,
secondaire au passage d’un calcul dans l’uretère
7. Quelle est l’approche radiologique d’un sujet suspect de colique néphrétique ?
ASP+US, puis TDM
8. Décrire les signes d’un calcul urétéral sur l’UIV ? calcul radio-opaque : visible sur
ASP, noyé dans pdc ; calcul radio-transparent : moulé par pdc ; arrêt de la colonne net ou
effilé par calcul ; dilatation des voies urinaires en amont
9. Y a t il une place pour d’autres techniques dans la recherche d’un calcul urétéral ?
oui, urétéropyélographie, pyélourétérographie : pré-traitement
10. Un sujet a des calcifications rénales bilatérales dans la médullaire : quelles sont les
principales causes ? Hyperparathyrodie, acidose tubulaire rénale, rein en éponge
(medullary sponde kidney)
11. Quelles sont les techniques utiles dans le suivi d’un sujet à qui l’on a fait une
lithotripsie ? ASP : fragmentation et migration des calculs
12. Indications de la lithotripsie : calcul < 2cm, de topographie pyélique ou inférieure.
13. Citez les principales complications des lithiases : dilatation des voies urinaires, rupture,
infection, insuffisance rénale
14. Quelles sont les principales méthodes de traitement des lithiases ? médical
(alcalinisation des urines), lithotripsie, néphrolithotomie percutanée, chirurgie
15. Le calcul coralliforme : pathogénie, complications : phospho-ammoniaco-magnésien,
infection à Klebsielle, développement d’un calcul coralliforme obstructif, destruction du
parenchyme par des macrophages qui se chargent de graisse plus ou moins visible suivant
abondance.
1. Citez trois contre indications de la compression abdominale lors d’une UIV : masse
abdo, obstruction urin
2. Un rein unique est visible sur une UIV. Citez cinq raisons possibles : agénésie, rein
muet (trauma, infection, ischémie, IRle), ablation, hypoplasie, rein ectopique
3. Citez les trois causes principales de néphrocalcinose : hyperparthyr, acidose tubulaire
rénale, rein en éponge
4. Citez les principales options disponibles pour traiter les calculs urétéraux : ttt médical,
lithotripsie, néphrolithotomie, chirurgie
5. Citez les 3 causes principales d’obstruction urétrale : infection, trauma, instrumentation
6. Citez les principales causes de fibrose rétropéritonéale Anévrisme aortique, médicaments
(méthysergide) ; tumeurs ; idiopathique
7. La biopsie rénale est en règle échoguidée ; quelles sont les principales complications :
hémorragie, infection, fistule artérioveineuse, ponction dans un organe voisin
8. Citez les 4 lésions sui peuvent simuler une masse surrénalienne gauche : rate, accessoire,
vaisseau spléniq, tumeur pancréas ou rein gauche, anse dig
1- En cas de douleur lombaire aiguë fébrile, quels sont les éléments cliniques qui imposent
une imagerie en urgence ? Rép = a, b, c
a. Patient diabétique.
b. Choc septique.
c. Résistance à une antibiothérapie bien conduit depuis trois jours.
d. Systématiquement.
2- Dans le cadre d’une UIV pour colique néphrétique quels renseignement(s) essentiels
demandez-vous au clinicien : Rép = a, c, d
a. Glycémie.
b. NFS
c. Créatininémie.
d. Bandelette urinaire.
3- Un adulte aux ATCDs de lithiase rénale asymptomatique consulte pour douleur aiguë de la
fosse lombaire ; quel est l’examen d’imagerie de première intention ? Rép = c
a. Uroscanner.
b. ASP.
c. Couple ASP-échographie.
d. UIV.
4- Vous réalisez un uroscanner pour suspicion d’une pyélonéphrite aiguë sur lithiase
pyélique. Quel est le temps d’injection le plus sensible pour la détection des anomalies
parenchymateuses rénales? Rép = b
a. Temps cortical.
b. Temps tubulaire.
c. Temps excrétoire.
d. Temps artériel.
5- Les lithiases urinaires apparaissent hyperdenses au scanner sauf une, laquelle : Rép = d
a. Lithiase d’acide urique.
b. Lithiase cystique.
c. Lithiase xanthique.
d. Lithiase d’Indinavir.
7- Sur un scanner pelvien, les éléments suivants sont en faveur d’un phlébolithe : Rép = b, c
a. Une hyperdensité pluristratifiée.
b. Une hyperdensité en queue de comète.
c. Une hyperdensité à centre clair.
d. Une hyperdensité cernée d’une couronne tissulaire.
8- Un syndrome obstructif aigu de moins de 6h sur lithiase urétérale se traduit par : Rép = b,
c
a. Une hydronéphrose de grade 2.
b. Une élévation nette de l’IR du rein homolatéral.
c. Un jet urétéral absent ou atténué au Doppler.
d. Une pyélite rétractile à l’UIV.
9- Un scanner sans injection pour recherche de lithiase dans le cadre d’une colique rénale
montre une augmentation du volume d’un rein avec infiltration de la graisse péri rénale sans
calcul et sans dilatation des cavités; quel(s) diagnostic (s) est (sont) possible: Rép = a, b, c, d
a. Pyélonéphrite aiguë.
b. Syndrome post-critique (calcul passé).
c. Infarctus rénal.
d. Thrombose veineuse rénale.
10- Au cours d'une UIV réalisée pour bilan d'hématurie, une lacune pyélo-calicielle peut
correspondre à: Rép = a, b, c
a. Lithiase urique.
b. Séquestre papillaire
c. Caillot sanguin.
d. Compression vasculaire extrinsèque.
11- Concernant le syndrome obstructif du haut appareil urinaire sur lithiase : Rép = a, b, c, d
a. Les signes fonctionnels urographiques dominent les signes morphologiques à la
phase aiguë d’une obstruction.
b. Une hydronéphrose de grade 3 traduit à l’urographie intraveineuse une obstruction
chronique sévère.
c. Les signes urographiques dépendent du degré et de la durée de l’obstruction.
d. Une lithiase pyélique mobile sur hydronéphrose avec uretère fin doit faire évoquer
une uropathie obstructive, en particulier une jonction pyélo-urétérale.
14- Quelle méthode d'imagerie parmi les suivantes vous paraît la plus précise pour estimer le
volume de la prostate: Rép = c
a. L'échographie sus-pubienne.
b. Le scanner pelvien.
c. L’échographie endo-rectale.
d. La cystographie
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20- Hypertrophie prostatique bénigne en IRM : Rép = b, c
a. La composante stromale est en hypersignal T2.
b. La composante stromale est en hyposignal T2.
c. La composante glandulaire est en hypersignal T2
d. La composante glandulaire est en hyposignal T2.
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Le seuil de détection (taille à partir de laquelle la détection n'est plus possible) des calculs localisés dans
cavités pyélocalicielles intrarénales en échographie est de : (QCS)
A. 1 mm B.
B. 2 mm
C. C. 4 mm
D. D.8 mm E.10mm
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Au cours d'une colique néphrétique en imagerie: (QCM)
Devant un syndrome douloureux pelvien aigu, quel diagnostic doit-on rechercher en premier lieu? (QCS)
A. Torsion annexielle
B. Rupture de kyste
C. Pyosalpinx
D. Grossesse extra-utérine
E. Syndrome péri-ovulatoire
Devant des kystes rénaux bilatéraux chez un homme de 60 ans les arguments en faveur d'une polykystose
rénale autosomique dominante sont:
A. la grande taille des kystes
B. la présence de calcifications rénales
C. la grande taille des reins
D. l'existence d'une dilatation des cavités pyélocalicielles
E. la présence de kystes hépatiques