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Histoire
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Les déplacements y sont difficiles, les kilomètres à parcourir entre les villes sont interminables et
sans abri convenable, il y est impossible de survivre la nuit.
La chute des températures une fois le soleil couché, donne l’impression d’un hiver éternel même
pendant les saisons chaudes.
Les choses qui y vivent, en sont devenues hostiles, perpétuellement à la recherche de nourriture. Des
silhouettes longiformes, des hurlements stridents et les grincements permanent des arbres
alimentent les contes et légendes de cette contrée.
Certains parlent de forêt sous le joug de créature démoniaque, par les esprits tourmentés des
voyageurs défunts, d’une malédiction des dieux oubliés ou encore d’une maladie qui se propage par
les arbres. Mais nul ne sait vraiment, pourquoi cette forêt est indomptable.
Mais, il y a deca bientôt une décennie, les forces qui restèrent cantonnés dans ces bois, commença à
sortir la nuit. Cela Commença par des disparitions, des sommeils sans lendemain, puis les légendes
firent surfaces aux yeux de certain, amplifiant la méfiance et la crainte collectives. Les nuits obscures
laissèrent places à la chaude lumière des habitations, qui par peur allumèrent en permanence leurs
lanternes.
Ce qui engendra une hausse de la demande d’huile, Les prélevé le jour en lisière sur les Pins
(Térébenthine), lors des chasses maritimes à l’est ou les élevages porcins des différentes
communautés (graisse animale). Mais la logistique étant ce qu’elle est, certaines zones furent plus ou
moins fourni, ce qui accéléra la migration des habitant hors des forêts, laissant à abandons des
villages et certains refuges d’étapes.
Une auberge avait été construite en plein cœur de Brumebois, espérant faciliter la traversé et le
transport de marchandise entre les communauté au-delà des bois. Pendant quelques années, cela
fonctionné très bien, la taverne était bondée et animée. Mais très vite, les propriétaires furent
rattrapés par la réalité et le danger que représentent cette forêt. Une nuit plusieurs personnes
devinrent fous, tuant à plusieurs reprises avant de s’enfoncer dans l’obscurité et laissant derrière eux
une bâtisse en proie avec les ombres. Les taverniers ne furent jamais retrouvés.
Dernier Espoir est un petit village isolé, où la population est constituée majoritairement de bûcheron
et de leurs familles. Des légendes circulent racontant que le lendemain des coupes, tous les arbres
reprennent leur forme d'origine, comme s'ils n'avaient jamais été coupés.
Les villageois savent que des horreurs rodent dans cette forêt, mais préfère ne pas y penser. C'est
dernier passe la journée à récolter du bois en lisère de Brumebois. Mais ne s'aventure jamais à plus
d'une dizaine de mètre à l'intérieur, par peur de ce qui s'y trouve.
Tu es scénariste et tu dois écrire un scenario d'enquête horrifique dans un monde médiéval
fantastique. L'épilogue ne doit pas être une fin, mais un commencement de quelque chose de plus
grand. Il faudra lier l'histoire aux quatre indices, Le scenario devra être séparé en acte et devra
répondre aux questions suivantes : Pourquoi la dryade engendre des dévoreurs d'âme ? Pourquoi les
responsables de Softwood ont accepté le pacte ? Comment défaire le lien entre la dryade et les
enfants? En prenant comme base de réflexion le texte ci-dessous :
Bois-Brumeux a toujours était une forêt mystérieuse dans la mémoire des habitants d’All Mist,
toujours en mouvement, obscure et froide. La sensation d’oppression et l’impression d’être observé
sont omniprésentes.
Les déplacements y sont difficiles, les kilomètres à parcourir entre les villes sont interminables et
sans abri convenable, il y est impossible de survivre la nuit.
La chute des températures une fois le soleil couché, donne l’impression d’un hiver éternel même
pendant les saisons chaudes des années Blanches (une fois tous les 3 ans).
Les choses qui y vivent, en sont devenues hostiles, perpétuellement à la recherche de nourriture. Des
silhouettes longiformes, des hurlements stridents et les grincements permanent des arbres
alimentent les contes et légendes de cette contrée.
Certains parlent de forêt hantée par les esprits tourmentés des voyageurs défunts, d’une malédiction
des dieux oubliés ou encore d’une maladie qui se propage par les arbres. Mais nul ne sait vraiment,
pourquoi cette forêt est indomptable.
Mais, il y a deca bientôt deux décennies, les forces qui restèrent cantonnés dans ces bois, commença
à sortir la nuit. Cela débuta par des disparitions, des sommeils sans lendemain, puis les légendes
firent surfaces aux yeux de certain, amplifiant la méfiance et la crainte collectives. Les nuits obscures
laissèrent places à la chaude lumière des habitations, qui par peur allumèrent en permanence leurs
lanternes, leurs cheminés et pour les plus riche l'électricité.
Ce qui engendra une hausse de la demande de matière première, comme l’huile et le bois. La
térébenthine prélevée sur les pins en lisière de Bois-Brumeux, la graisse de baleine lors des chasses
maritimes d’Isoltown ou encore certains élevages porcins des différentes communautés,
engendrèrent des profits importants. Mais aussi des problèmes de logistique. Certaines zones furent
plus ou moins fourni, ce qui accéléra la migration des habitant isolés, laissant à l’abandons des
villages (comme Bel-Cric) et certains refuges d’étapes.
Le Hameau est un petit village isolé, où la population est constituée majoritairement de bucheron et
de leurs familles. Des légendes circulent racontant que le lendemain des coupes, tous les arbres
reprennent leur forme d'origine, comme s'ils n'avaient jamais été coupés.
Les villageois savent que des horreurs rodent dans cette forêt, mais préfère ne pas y penser. C'est
dernier passe la journée à récolter du bois en lisère de Bois-Brumeux. Mais ne s'aventure jamais à
plus d'une dizaine de mètre à l'intérieur, par peur de ce qui s'y trouve.
Leif, le responsable du Hameau a conclu un pacte avec une dryade de cette forêt, les autorisant à
couper les arbres en lisière, en échange des premiers nés des années blanches et l'interdiction de
s'aventurer sur son territoire.
La dryade n'est jamais apparue aux yeux des villageois. Elle influe sa magie aux bébés, les rendant le
lendemain au village. Les enfants ainsi remis, deviennent des mangeurs d'âmes. Ces enfants se
comportent normalement la journée et se nourrissent de l'ombre des parents lorsque la nuit tombe,
les affaiblissants temporairement. Attendant les ordres de Eleanora pour assouvir les besoins de
Bois-Brumeux.
Un jour, Lysandra la mère du premier Perdu s'aventura sur le territoire de la Dryade à la recherche de
réponse sur le comportement de son fils, déchainant la fureur de la dryade qui ordonna au mangeur
d'âme d'amplifier la récolte.
L'enquête commence donc, avec l'apparition de stigmate de la malédiction sur les membres de la
famille des premiers Perdus. Ingrid par crainte d'une épidémie, fit appel à des enquêteurs d'Isoltown.
Indices :
Le Témoignage du bucheron : Un bucheron du village confie aux enquêteurs qu'il a entendu les cris
d'une femme dans la forêt de Mistwood très tôt le matin, la veille où les stigmates sont apparus. Cela
suggère que les événements sont liés à la forêt elle-même.
Les Esquisses de l'Enfant : la sœur d'un enfant touché par la malédiction a dessiné des esquisses
énigmatiques d'une silhouette sombre et d'arbres tordus. Ces dessins pourraient contenir des indices
cachés sur la source de la malédiction.
L'Arbre Ancestral : Près de la lisière de Mistwood, les enquêteurs découvrent un arbre millénaire
portant des inscriptions anciennes. Ces inscriptions révèlent un rituel oublié capable de sceller la
puissance de l'ombre dans Mistwood.
PNJ:
PJ:
1. Elara l'Enquêtrice : Elara est une enquêtrice de renom d'Isoltown, spécialisée dans les
phénomènes surnaturels. Déterminée et perspicace, Son expertise et son courage sont mis à
l'épreuve lorsqu'elle se confronte à des forces obscures. Elle est souvent accompagnée de sa
souris intelligente, Aegis, qui l'aide à collecter des informations cruciales.