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Paul m’attend.
Paul est là qui m’attend.
c’est ... que
avec une préposition (à, dans, en etc.), un adverbe (ici, demain, hier, devant etc. ), un nom de jour (lundi, mardi, mercredi etc.) on
emploie les structures
c’est ... que, ce sont ... que:
Sa conduite m’étonne.
Ce qui m’étonne, c’est sa conduite.
J’aime la littérature.
Ce que j’aime, c’est la littérature.
2. La segmentation
Le COD (suite):
Elle a de la patience.
De la patience, elle en a (reprise).
Elle en a, de la patience (anticipation).
Le COI:
Il a renoncé à son voyage.
Son voyage, il y a renoncé (reprise).
Il y a renoncé, à son voyage (anticipation).
On met en relief à l’aide de la segmentation
Le complément circonstanciel:
Il faudra revenir dans cette petite ville.
Cette petite ville, il faudra y revenir (reprise).
Il faudra y revenir, dans cette petite ville (anticipation).
3. La mise en apposition
Un moyen de mise en relief qui se fait à l’aide de l’intonation et de l’ordre des mots.
On met le plus souvent en apposition les compléments circonstanciels et les
compléments attributifs, aussi bien que les mots intercalés et les apostrophes:
Isolé par l’intonation, le terme mis en apposition est lié avec la proposition par le sens.
La disjonction stylistique
Il arrive qu’un terme mis en apposition soit placé entre les éléments d’un groupe syntaxique
se trouvant ainsi séparés: