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CARTOGRAPHIE DE VULNERABILITE A LA

CONTAMINATION DES AQUIFERES

A.U. 2011/ 2012


I- DEFINITION, TYPES ET PARAMETRES
D’EVALUATION

II- METHODES DE CARTOGRAPHIE DE


VULNERABILITE A LA CONTAMINATION DES EAUX
SOUTERRAINES
Définition
* Origine du terme « Vulnérabilité »:
« Vulnérabilité » (caractère de ce qui est Vulnérable) dérive du terme latin Vulnerare,
Blesser, c’est à dire susceptible d’être blessé ou atteint.
 Attesté dans le sens général par Balzac (1836).
 Introduit dans la littérature hydrogéologique par Margat (1968).

* Définition de la vulnérabilité à la
pollution des eaux souterraines: La
sensibilité de leur qualité aux activités
anthropogéniques pouvant causer leur
contamination (Bachmat et Collins, 1987).
Elle exprime le degré de difficulté que
rencontre un contaminant, se situant à la
surface du sol, pour traverser le sol et la
zone non saturée, et atteindre l’aquifère.
Les types de vulnérabilité

Vulnérabilité
intrinsèque

Vulnérabilité
spécifique
La vulnérabilité intrinsèque (interne ou naturelle)

* Elle définie la sensibilité de l’eau souterraine à la contamination par les


produits polluants générés par les activités anthropiques ayant lieu à la surface.

* Est déterminée par les caractéristiques du milieu de l’aquifère:


 géologiques,
 hydrogéologiques,
 climatologiques,
 géomorphologiques,
 pédologiques…

* Elle reflète le degré d’intervention des différents paramètres naturels dans la


protection de la nappe indépendamment du type de polluant.
Quelques définitions
Albinet et Margat (1970)- La vulnérabilité des eaux souterraines à la
contamination : montre la capacité probable de l’infiltration et de diffusion du
contaminant dans l’aquifère, à la base de la nature des dépôts géologiques
superficiels et les conditions hydrogéologiques régnantes.

Foster (1987)- La vulnérabilité à la contamination des aquifères :


Caractéristiques intrinsèques qui déterminent la sensibilité des différentes
parties d’un aquifère a être affectée par un contaminant.

Stornikova et Vrba (1987)- Vulnérabilité : L’habilité du système à être


protéger des changements naturelles ou humaines qui affectent ses
caractéristiques dans le temps et dans l’espace.
La vulnérabilité spécifique (Intégrée)

* Elle exprime la vulnérabilité de l’eau souterraine à la contamination par un


contaminant ou un groupe de contaminants bien déterminés.

* Elle étudie le comportement d’un contaminant vis à vis de la vulnérabilité


intrinsèque d’un aquifère.

* Elle permet de mieux concrétiser le problème de la contamination sachant qu’elle


prend en considération les caractéristiques naturelles du milieu,
les processus chimiques accompagnant
l’infiltration des contaminants vers l’aquifère,

la capacité d’ atténuation des contaminants.


Quelques définitions de vulnérabilité spécifique

Vrba et Zaporozec (1994)- Vulnérabilité spécifique (intégrée) : comme


complément des propriétés intrinsèques d’un système des eaux souterraines,
diverses utilisations de cartographie de vulnérabilité peuvent désirer inclure les
impacts potentiels anthropiques qui peuvent être nuisibles, dans l’espace et dans
le temps, pour des utilisations présentes ou futures des ressources souterraines.

Daly et al. (1997)- Vulnérabilité spécifique : définie la vulnérabilité de l’eau


souterraine à un contaminant ou un groupe de contaminants en particulier. Elle
tient en compte les propriétés des contaminants et leurs relations avec les
diverses composantes de la vulnérabilité intrinsèque.
Paramètres d’évaluation
de la vulnérabilité
Les facteurs du contrôle:

* Le rôle du milieu naturel dans la protection des aquifères dépend principalement


des caractéristiques du sol, de la zone non saturée et de la zone saturée.

* De telles caractéristiques contrôlent la vulnérabilité via:

- L’introduction par les eaux des corps polluants à travers la zone non saturée
et selon un trajet vertical jusqu’à la surface de la nappe d’eau .

- La propagation de ces corps polluants suivant la circulation naturelle de la


nappe. Une telle circulation est conditionnée par les paramètres hydrogéologiques .

- Le séjour de ces produits contaminant dans la nappe qui est plus ou moins
long suivant : les dilutions de l’eau, la nature des corps introduits et la capacité de
filtration des terrains.
Ces caractéristiques physiques sont liées à:

* La lithologie

* Les caractéristiques hydrauliques

* La relation nappe-rivière dans le cas d’une nappe alluviale.

* L’interface eau douce-eau salée, dans le cas d’un aquifère côtier.

* La topographie : elle correspond à la forme du relief à la surface


de l’aquifère.
Les paramètres d’évaluation de la vulnérabilité
1- La recharge
* C’est la quantité d’eau qui provient de la surface et s’infiltre vers l’aquifère.

* Elle joue le rôle de transporteur des polluants.

* Lorsque les conditions climatiques sont difficiles, les mouvements de


l’humidité descendant à travers la zone vadose seront si limités indépendamment
des propriétés hydrauliques de celle-ci.

* Quand les précipitations sont significatives, la recharge des eaux souterraines


dépend de certains paramètres:

- la pente du terrain,

- quantité d’eau retenue par la végétation.

- les propriétés hydrauliques de la zone vadose,

* La vulnérabilité de l’aquifère augmente avec la recharge.


2- Le sol

* C’est la première barrière rencontrée par les produits polluants.

* La texture, l’épaisseur et la quantité de matière organique et de minéraux


argileux déterminent:
- la capacité d’adsorption du sol (son rôle de filtre)
- son pouvoir épurateur biologique.

* Il est le lieu:

- de la désintoxication de plusieurs produits (les pesticides et les solvants)

- d’une activité microbiologique considérable (cas des sols puissant de


plus d’un mètre) : Activité microbienne et Présence des racines

N.B. Le potentiel du sol d’adsorber, de dégrader ou d’éliminer les substances


indésirables dépend du type de polluant.
3- La zone non saturée

* Cet élément est très important surtout dans les milieux où le sol est faible ou
absent.

* Elle joue le rôle d’une barrière plus ou moins fermée pour l’aquifère selon sa
perméabilité.

* Elle contribue à la protection des aquifères du fait qu’elle :


- intercepte, adsorbe et élimine les virus et les bactéries pathogènes ;
- adsorbe et dégrade énormément de composés chimiques organiques
synthétiques ;
- atténue des métaux lourds et d’autres composés chimiques inorganiques

* Pour cet élément on détermine l’épaisseur, la nature lithologique et la


perméabilité verticale.
4- La zone saturée

* Intervient dans la dégradation des polluants ayant traversé les deux barrières sus-
jacentes selon:
- la teneur en micro-organismes,
- la capacité d’aération (= l’étendu des zones de faible teneur en oxygène).

* Parmi les caractéristiques de cet élément on note la lithologie, la porosité, la


perméabilité, la conductivité et la direction d’écoulement.
III- METHODES DE CARTOGRAPHIE
DE VULNERABILITE A LA
CONTAMINATION DES EAUX
SOUTERRAINES
III-1- Diversité des méthodes

* Les méthodes d’évaluation de la vulnérabilité des eaux souterraines à la


pollution ont connu un grand progrès et un large développement.

* Plusieurs méthodes ont été proposé. Certaines sont d’utilisation universelles,


alors que d’autres sont d’utilisation locale.

* La diversité de ces méthodes tient à la diversité des paramètres utilisés


selon:
- la physiographie des zones d’étude,
- la disponibilité qualitative et quantitative des données,
* Trois groupes de méthodes:
- Méthodes d’indices et de superposition
- Méthodes de simulation.
- Méthodes statistiques.
Méthodes d’indices et de Carte finale La carte de
vulnérabilité
superposition

* Elles utilisent le principe de Carte de la pente


combinaison des cartes
Carte du type du
spécifiques des différents sol
paramètres de la zone d’étude, à
chacun desquels un indice est Carte de la lithologie
Les cartes
attribué. Carte de la distance à la thématiques
nappe

* Elles peuvent être réparties en Carte de la recharge


trois catégories à savoir:
- les méthodes de contrôle Données de base

hydrogéologique,
- les méthodes paramétriques
La zone
- les méthodes numériques et
d’étude
de relations analogiques
Méthodes PS (Parametric System)

* Le principe de ces méthodes consiste au choix d’un ensemble de paramètres


qu’on estime valides pour l’évaluation de la vulnérabilité et dont chacun d’eux a un
rang naturel défini qui est subdivisé en un ensemble d’intervalles.

* A chaque intervalle s’associe une valeur, généralement rangée de 1 à 10 (0 à 1


pour certaines méthodes), qui reflète son degré relatif de sensibilité à la
contamination.

•Parmi ces méthodes on note les méthodes « GOD » et « DRASTIC »


III-2- DESCRIPTION DES
MÉTHODES « GOD »
et « DRASTIC »
Méthode GOD

* La vulnérabilité des aquifères est définie en fonction de:


- l’inaccessibilité de la zone saturée, au sens de pénétration du polluant,
- la capacité d’atténuation que présente la couche sus-jacente à la nappe.

* Le nom GOD est un acronyme formé par les initiaux des noms en anglais des
trois facteurs utilisés par cette méthode pour évaluer la vulnérabilité.

* Une des caractéristiques de cette méthode c’est qu’elle donne le même degré
d’intervention dans la lutte contre la contamination à ces facteurs qui sont:
- Type de l’aquifère (Grondwater occurrence) noté G.
- Caractéristiques géologiques (Overall aquifer class) noté O.
- Profondeur du niveau piézométrique (Depth to groundwater) noté D.

* Chacun d’eux est subdivisé en classes auxquelles est attribuée une notation
variant entre 0 et 1.
Paramètre : G

Classes Notation : NG

Le facteur « G » représente le type d’aquifère en Aucun aquifère 0

fonction de son degré de confinement. Plus ce dernier Artésien 0.1

est important plus la valeur de la notation s’approche Captif 0.2

de 0. Semi-captif 0.3

Recouvert 0.6

Libre 1

Paramètre : D

Classes (m) Notation: ND


Le facteur « D » correspond soit: <2 1

- à la distance à la nappe d’eau dans le cas des 2–5 0.9

nappes libres, 5 – 10 0.8

10 – 20 0.7
- à la profondeur du toit de l’aquifère dans le cas
des nappes captifs. 20 – 50 0.6

50 – 100 0.5

> 100 0.4


Paramètre: O
Lithologie Notation :
NO
* Le facteur « O » exprime les Sols résiduels 0.4
caractéristiques des couches Loess 0.5
surmontant la zone saturée de Dépôts alluviaux 0.5
l’aquifère Roches non
consolidées Sable éolien 0.6
(Sédiments)
Sable et gravier alluviales/fluvio- 0.7
* Il est en relation avec leur: glaciaires
Gravier colluviales 0.8
- degré de porosité relative,
Argile compacte 0.5
- leur perméabilité,
Ardoise 0.5
- leur contenu en eau.
Alluvions 0.6
Poreuses ou
Roches faiblement Tufs volcaniques 0.6
* Le rôle du sol dans la consolidées fissurées
Grès 0.7
protection de l’aquifère est
Calcaire 0.9
négliger dans cette méthode.
Calcarenite 0.9
Denses ou Roches métamorphiques et ignées 0.6
fortement
fissurées Lave volcanique récente 0.8
Calcaire 1
Au point de vue opérationnel,
l’application de la méthode GOD
commence par l’élaboration des
cartes thématiques dont la
superposition aboutie à la carte
finale de vulnérabilité.
* L’indice de vulnérabilité IGOD est obtenu à partir la formule suivante:
IGOD = NG * NO * ND
* Sa valeur varie entre 0 et 1, plus qu’on s’approche de 1 plus le potentiel de
pollution est élevé.
* La classe de vulnérabilité attribuée à chaque intervalle d’indice est représentée
dans le tableau suivant:
INTERVALLE CLASSE GOD DEFINITION

0 Aucune vulnérabilité

0 - 0.1 Vulnérabilité très Les couches captives existantes ne laissent passer aucun
faible flux significatif d’eau.
0.1 - 0.3 Vulnérable uniquement à long terme aux polluants
Vulnérabilité faible persistants et mobiles déchargés largement et de façon
continue.
0.3 - 0.5 Vulnérable à certains polluants mais seulement lors
Vulnérabilité modérée d’une exposition continue à ceux-ci.
Vulnérable à beaucoup de polluants, à l’exception de
0.5 - 0.7 Vulnérabilité forte ceux rapidement transformé ou hautement adsorbés,
selon divers scénarios de pollution.
0.7 - 1 Vulnérable à la plus part des polluants avec un impact
Vulnérabilité extrême relativement rapide selon divers scénarios de pollution.
Méthode DRASTIC
* DRASTIC est une méthode basée sur la détermination des notations et des poids.
* Elle était mise au point pour la première fois en 1983 en U.S.A. (Aller et al., 1987).
* Elle utilise sept paramètres qui permettent une représentation dans le plan horizontal du
degré d’intervention de l’interface, qui sépare la nappe souterraine de la source de
contamination, dans la protection de l’aquifère.
* A Chacun de ces facteurs on attribue un poids ( entre 1 et 5) qui reflète son importance
relative dans la protection de l’aquifère.

Paramètres Désignation Poids


D Distance à la nappe. PD = 5
R Recharge (la quantité d’eau annuelle qui passe à travers l’interface). PR = 4
A Nature lithologique de l’Aquifère. PA = 3
S Nature du Sol.
PS = 2
T Topographie.
PT = 1
I Nature lithologique de la zone non saturée (Insatured zone)
PI = 5
C Conductivité hydraulique de la zone saturée..
PC = 3
DISTANCE A LA NAPPE (D)
RECHARGE (R)
Classes (m) Notations
Classes (m) Notations
0-1.524 10
1.524-4.572 9 0 – 50.8 1
4.572-9.144 7 50.8 – 101.6 3
9.144 – 15.24 5 101.6 – 177.8 6
15.24 – 22.86 3 177.8 – 254.0 8
22.86 – 30.48 2 > 254.0 9
> 30.48 1

NATURE LITHOLOGIQUE DE LA ZONE SATUREE (A)

Classes Notations

Shale massif 1-3


Roches ignées/métamorphiques 2-5
Métamorphiques altérées, grès lités, calcaires 3-5
Tills glaciers 4-6
Shale en séquence 5-9
Grès massif 4-9
Calcaire massif 4-9
Sable et gravier 4-9
Basalte 2-10
Calcaire karstique 9-10
TEXTURE DU SOL (S) NATURE LITHOLOGIQUE DE LA ZONE NON SATUREE (I)

Classes Notations Classes Notations


Peu épais ou absent 10 Couche imperméable 1
Graviers 10 Limon / Argile 2-6
Sables 9 Shale 2-5
Turbe 8 Calcaire 2-7
Argiles avec agrégats 7 Grès 4-8
Marnes sableux 6 Alternance calcaire, grès et shale 4-8
Marnes 5 Sable et graviers avec limon et argile 4-8
Marnes limoneux 4 Ignées / Métamorphiques 2-8
Marnes argileux 3 Sable et gravier 6-9
Vase 2 Basalte 2-10
Argiles sans agrégats 1 Calcaire karstique 8-10

CONDUCTIVITE HYDRAULIQUE (C)


TOPOGRAPHIE (T)
Classes (m/s) Notations
Classes (%) Notations
4,72.10-7 – 4,72.10-5 1
0–2 10 4,72.10-5 – 1,416.10-4 2
2–6 9 1,416.10-4 – 3,304.10-4 4
6 – 12 5 3,304.10-4 – 4,72.10-4 6
12 – 18 3 4,72.10-4 – 9,44.10-4 8
> 18 1 > 9,44.10-4 10
Élaboration de la carte de vulnérabilité
* La première étape dans l’élaboration de la carte de vulnérabilité finale est la réalisation,
pour chaque paramètre d’une carte thématique (ou paramétrique).
* L’étape suivante consiste à la superposition de ces cartes selon un modèle additif et tenant
en compte le poids de chaque paramètre.
* Au point de vue quantitatif, cette démarche abouti à l’évaluation pour chaque localité de la
zone d’étude du degré de vulnérabilité à la contamination, par le calcul d’un indice selon
l’équation suivante :
IDRASTIC = PD.ND + PR.NR + PA.NA + PS .NS + PT.NT + PI.NI + PC.NC

où P est le poids du paramètre et N sa notation


* La valeur de l’indice, variant dans l’intervalle [23, 230], renseigne sur le degré de
vulnérabilité. Plus cette valeur est élevée plus la vulnérabilité à la pollution est grande.
* La subdivision de cet intervalle en cinq classes de même grandeur a permit de spécifier les
différents degrés de vulnérabilité de la méthode DRASTIC

Intervalles d’indices 23 - 63.6 63.6 - 104.2 104.2 - 144.8 144..8 - 185.4 185.4 - 226

Classes de Très faible Modérée Élevée Très élevée


vulnérabilité faible
II-3- Acquisition et traitement informatique des données
Carte limite de la zone d’étude
564

562

560

558

556

554

552

550

548

494 496 498 500 502 504 506 508 510 512 514
Carte de localisation des points d’étude. Les carrés :
forages mécaniques, les triangles : les sondages
électriques
0 .6
1
1 1
1 0 .6
1 1

0 .6 0 .6 1 0 .6
1
1 1
1 1 1 1
0 .6 1 1
1

1
1

0 .6
0 .6

1 1

0 .6

0 .6 0 .6 1 0 .6
0 .6 0 .6
0 .6 0 .6 0 .61 0 .6
0 .6 0 .6 0 .6 0 .6 1
0 .6 0 .6
0 .6
0 .6 0 .6
0 .6 0 .6

0 .6 0 .6

1
0 .6
Carte thématique du facteur G de la méthode GOD
Facteur G (Type d’aquifère)
N

W E

Type d’aquifère (G) Cote IG


Cote du facteur G
1
0.6 Absent 0
0

Recouvert 0.6

Libre 1

0 6 Kilometers

60
%
s 50
* L’aquifère libre caractérise la u
p 40

partie est de la plaine e


r 30
f

* La moitié ouest et l’extension i


c
20

occidentale montrent un aquifère i 10


e
0
recouvert 0 0,6 1
%G 0,29 55,01 44,70
Carte iso-valeur du paramètre O de la méthode GOD

0 .4
0 .56
0 .8
0 .6 0 .5
0 .6 0 .4 0 .6

0 .4 0 .5 0 .5 0 .6 0 .5
0 .8
0 .7
0 .6 0 .6 0 .7
0 .7
0 .4 0 .7 0 .7
0 .6

0 .5
0 .7
0 .7 0 .7

0 .5 0 .4 0 .6

0 .7
0 .7 0 .5 0 .7 0 .7

0 .5 0 .7
0 .7 0 .7
0 .6 0 .6
0 .7
0 .5
0 .7

0 .5 0 .7
0 .7 5

0 .7
0 .8
0 .4 4 0 .56 0 .6 0 .6 5 0 .6 0 .57
0 .4 8
0 .4 0 .4 0 .5
0 .4 0 .56 0 .5 0 .4 0 .6
0 .5 0 .45
0 .4 0 .4
0 .4 0 .4

0 .4 0 .6

0 .5 1
Carte thématique du facteur O de la méthode GOD
Facteur O (lithologie de la couche supérieure)
N

W E
Lithologie Cote IO
S

Les argiles 0.4 – 0.5


Cote du facteur O
0.8
0.7
Les limons 0.4 – 0.5
0.6
0.5
0.4
0
Les marnes 0.5 – 0.6
Les sables 0.6 – 0.7
Les alluvions 0.8
Les galets argileux 0.8

0 6 Kilometers
40

% 35
s
Dominance des notations: u
p
30

25
e

* 0.6 et 0.7 indiquant des faciès sableux et r


f
20

15
i
graveleux. c
10
i
e 5
* 0.4 et 0.5 attribuées aux terrains 0

limoneux, marneux et argilo-sableux. %O


0
0,29
0,4
13,54
0,5
39,97
0,6
14,69
0,7
31,02
0,8
0,49
Carte iso-valeur du paramètre D de la méthode GOD
Carte thématique du facteur D de la méthode GOD
Facteur D (distance à la nappe)
N

W E

S Profondeur Cote ID
Cote du facteur D
1 0 à 2m 1.0
0.9
0.8
0.7 2 à 5m 0.9

5 à 10m 0.8

10 à 20m 0.7

0 6 Kilometers

60

% 50
s

La surface de la nappe se trouve à


u 40
p
e 30

moins de 5 m à l’est de Tétouan . r


f
i
20

c
10

Elle arrive jusqu’à 20 m vers i


e
0
0,7 0,8 0,9 1
l’extension ouest de la plaine. %D 1,04 11,89 54,10 32,97
Carte de vulnérabilité de la méthode GOD

W E

S
60
Classes de vulnérabilité: s
extrème 50
u
élevée p
modérée 40
e
faible r
% 30
nulle f
i 20
c
i 10
e
0
Extrême Elevé Modéré Faib le Nulle
% Classe 0,5 42,8 4,3 52,1 0,3
0 6 Km

Classes Type d’aquifère Lithologie de la Z.N.S. Distance à la nappe


Extrême Libre Faciès sableux et 1 – 0.9
Élevée graveleux 1 – 0.9
Modérée Recouvert Marnes et sables argileux 1 – 0.9
Faible Faciès argileux et limoneux 1 – 0.7
Nulle Socle paléozoïque
MERCI pour VOTRE
ATTENTION

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