AEP Interieur

ADDUCTION D’EAU POTABLE
ISMBTPU Réseaux Fluides 1

ADDUCTION D’EAU POTABLE

AEP : ADDUCTION D’EAU POTABLE
Eau potable
C’est une eau qui ne doit pas porter atteinte à la santé humaine. Elle
doit être agréable à boire, claire et sans odeur.
Elle répond à une directive européenne 80/778 (mise à jour en 1998,

98/83/CE)
Caractéristiques :
●
Paramètres organoleptiques : odeur, couleur…
●
Paramètres physico-chimiques : température, chlorures, pH, oxygène dissous…
●
Substances indésirables : fer, plomb, nitrates…
●
Toxiques : arsenic, pesticides…
●
Paramètres microbiologiques : coliformes fécaux, streptocoques…

Gestion de l’eau potable

Les communes ou les regroupements de communes.
Ces collectivités ont en charge de fournir de l’eau potable.
2 unités d’exploitation :
●
La production de l’eau potable :
• Mobiliser la ressource
• Traiter l’eau brute
• Transporter
•
Stocker
●
La distribution de l’eau potable jusque chez l’abonné

Besoin en eau potable

Consommation domestique :
Valeurs préconisées par l’OMS
• Minimum vital : 20 l/j/personne, afin de répondre aux besoins fondamentaux

(hydratation et hygiène corporelle);
• Vivre décemment : 50 l/j/personne
• Confort: 100 l/j/personne (c’est le cas pour les pays développés)

Besoin en eau potable

Consommation domestique : Cas de la France
En France, le consommateur utilise en moyenne 150 litres d’eau par jour.
● 39 % pour les bains et les douches
●
20 % pour les W.C.
●
12 % pour le linge
● 10 % pour la
● vaisselle
● 6 % pour la cuisine
● 6 % pour les
● usages
domestiques
Consommation
divers indirecte :
L'ensemble6 de
% la
pour le lavage d'eau atteint ainsi 1 875 m3 par an et par habitant.
consommation
● 48% voiture
de lapour et
l’irrigation (2,88 milliards de m3)
l'arrosage
● 24% du jardin
pour les usages domestiques (1,44 milliards de m3)
1 % pour la
● 22% l'eau
production d’énergie (1,32 milliards de m3)
potable.
● 6% pour l’industrie (hors énergie) (0,36 milliards de m3)

Captage
L’eau potable est produite à partir d’eaux brutes issues de station de captage dans :
● Les sources
● Les lacs
● Les rivières
●
Les nappes phréatiques
●
(La mer)
Le choix de la ressource s’effectue en fonction du couple quantité/qualité.
Sources de pollutions :
● Liés aux caractéristiques naturelles de la ressource comme le fer, le manganèse, le fluor,
issus de la dissolution des roches traversées par les eaux d’infiltration,
essentiellement dans les eaux souterraines.
●
Liés à l’activité humaine, l’agriculture, l’industrie et les rejets d’eaux usées des
collectivités.

Principales pollutions retrouvées dans l’eau

brute :
●
Les nitrates, issus de la nitrification naturelle des sols ainsi que des apports
agricoles, engrais et déjections animales.
●
Les pesticides (produits phytosanitaires) provenant des traitements agricoles, voies
ferrées, zones urbaines…
● Les pollutions micro biologiques qui peuvent provenir des eaux usées domestiques,
des rejets des hôpitaux, des élevages ou de certaines industries agro- alimentaires ; elles sont
entraînées par les eaux de ruissellements et d’infiltration.
● Les matières organiques, provenant de la décomposition de déchets animaux et végétaux

dont la présence peut-être accentuée par le phénomène d’eutrophisation. On les trouve
essentiellement dans les eaux superficielles sous forme de matières en suspension, matières
colloïdales, matières dissoutes et substances azotées minérales (nitrates et ammoniaque).

Protection des ressources
Mise en place de “périmètres“ dans lesquels les activités sont limitées. Ils concernent les
eaux souterraines comme les eaux superficielles.
●
Le périmètre de protection immédiat est une aire clôturée autour du captage.
● Le périmètre de protection rapprochée est une zone dans laquelle certains types
d’activités, susceptibles de dégrader la qualité de l’eau, sont interdits (industries, productions
agricoles).
● Le périmètre de protection éloignée peut être défini dans certains cas, afin de compléter
la protection du point d’eau : il correspond au bassin d’alimentation du point de
prélèvement.

Mobilisation de la
ressource
●
Les eaux souterraines.
Forage Captage

Mobilisation de la ressource
●
Les eaux superficielles.
•
Sur des cours d’eau ou dans des retenues naturelles ou artificielles
•
A l’amont des villes, là où la qualité de l’eau n’est pas encore dégradée par
les rejets. Usine de Pont ar Bled
Prise d’eau superficielle sur l’Elorn
• L’aménagement consiste en un ouvrage équipé de pompes destinées à
transporter l’eau vers la station de traitement et de grilles constituant un écran
contre les corps flottants (bois, feuilles…)

Traitement de l’eau 1
2
3
4
6 5
9 9
8
Traitement de l’eau
1 Le puits d’eau brute

L’eau de la rivière est acheminée vers le puits de pompage d’eau brute selon le principe de vases
communicants.
L’eau se retrouve dans une chambre de répartition et oriente l’eau vers un dégrilleur
automatique ou une grille manuelle.
Les dégrilleurs servent à retenir les débris flottants, susceptibles d’endommager les pompes.
Les pompes du puits d’eau brute relèvent l’eau, jusqu’au mélangeur rapide.

2 Clarification : Coagulation / Floculation
● L’eau relevée passe reçoit un coagulant
(sulfate d’aluminium) avant d’être agitée
rapidement dans le bassin de mélange.
● Le coagulant déstabilise les matières en

suspension responsables de la turbidité de l’eau
et favorise la formation de flocons aussi appelés
flocs.
●
Après le mélange rapide, du polymère est ajouté à l’eau pour
aider à grossir les flocs formés par le coagulant.
● Un bassin équipé d’un mélangeur lent est utilisé pour distribuer
uniformément les produits chimiques utilisés et rendre leur
action efficace.

3 Clarification : Décantation
l’eau entre par pulsations au fond

des décanteurs et forme un lit de
flocs en suspension.
●
Les décanteurs servent à séparer les particules de matières solides de l’eau pour
produire de l’eau clarifiée.

4 Filtration
● Filtre les matières en suspension
qui n’ont pas été piégées lors de
l’étape de clarification.
● Filtration sur lit filtrant constitué de

sable et de charbon
● Permet un traitement biologique :
Consommation des matières organiques et de
l’ammoniaque par les bactéries qui se sont
développées sur le sable.
●
Lorsque le milieu filtrant atteint un taux d’encrassement ou une turbidité d’eau filtrée trop
élevés, des lavages à contrecourant décolmatent les filtres

5 Désinfection aux
ultraviolets
●
Les rayons ultra-violets ont un pouvoir
germicide élevé.
●
Les UV n’ont pas d’action rémanente.

6 Ozonation
●
L’ozone (O ) est un gaz de plus en plus fréquemment utilisé par les usines de production d’eau
3
potable, grâce à son action étendue.

●
Outre son caractère désinfectant, l’ozone élimine les goûts et les odeurs de l’eau traitée.
●
À la sortie des bassins, l’ozone résiduel est éliminé par le dosage de thiosulfate de calcium.

7 Désinfection et autres
corrections
●
Oxydation chimique, avec bioxyde de chlore
●
Le chlore est injecté à des doses précises avec un temps de
contact suffisant pour assurer une efficacité maximale de
l’oxydation.
●
Corrections de pH qui permettent de déplacer l’équilibre par ajout de réactifs comme la
soude, la chaux, l’acide sulfurique…
● La dureté de l’eau provient d’une concentration excessive en sels de calcium et de
magnésium. Une eau dure consomme du savon et n’est pas favorable à la cuisson des légumes.
●
L’eau peut être agressive (dissolution de carbonate de calcium) ou entartrante (dépôt de
carbonate de calcium ou calcaire).

7 Désinfection et autres corrections
●
Équilibre Calco-carbonique :
•
Adoucisseur (échange ions Ca2+/Na+) ou décarbonatation à la chaux
•
Injection de gaz carbonique
●
Élimination du Fer par oxydation chimique (injection d’air ou d’oxygène).
●
Élimination du Manganèse par oxydation plus puissant, tel que le permanganate de
potassium.
●
Deux procédés pour éliminer ou transformer les Nitrates :
•
Physico-chimique avec des résines spécifiques se substituant aux nitrates Biologique qui
•
consiste en une réduction en azote gazeux, en l’absence d’oxygène.
Dans le cas de l’eau potable, les bactéries sont fixées sur un support qui sert également de filtre.
●
...

8 et 9 Réserve et Distribution
●
Du captage au traitement, l’eau est transportée par des conduites d’adduction. Du
●
traitement à la distribution, ce sont des conduites de transfert.
● Le transport s’effectue sous pression, grâce aux stations de pompage et par
écoulement gravitaire au départ des châteaux d’eau.
●
La désinfection doit être poursuivie durant le transport. Cette fonction est assurée par des
postes de chloration situés en quelques points du réseau.

Réseaux Fluides 22
Le stockage :
● Régularise la distribution
●
établit une pression dans le réseau
Station de pompage
Bâche enterrées sur les lieux de traitement :
Le château d'eau est un réservoir surélevé dans lequel on stocke

l'eau potable. Il Doit être situé à une hauteur supérieure à celle des
habitations pour maintenir une pression suffisante.

La distribution
Un réseau de canalisation généralement enterrées transporte l'eau potable du
réservoir jusqu'aux points de branchement des abonnés.
Nature des conduits : fonte, acier bituminé, PVC, polyéthylène.
Le branchement est un
piquage sur la
canalisation principale.

Branchement D’abonné

Les installations de bases
●
Le compteur d’eau
Le compteur d'eau est destiné à évaluer

votre consommation réelle en eau
sur une durée donnée.
Chaque compteur d'eau présente un numéro de

série scellé pour assurer la protection contre
les tentatives frauduleuses.
Il existe trois classes de précision de mesure pour les compteurs d’eau froide : A (la moins
bonne), B, C (la meilleure), et quatre classes pour les compteurs d’eau chaude : A (la
moins bonne), B, C, D (la meilleure).

●
Le clapet anti-retour
Son rôle est la protection de l’eau

potable contre les retours.

●
Le réducteur de pression
•
Indispensable quand la pression de l'eau
dépasse 3 bars.
•
Le réducteur de pression se place après le
compteur d'eau et le clapet anti retour.
Fonctionnement:
Lors du puisage, la pression en aval chute, le ressort repousse l'ensemble membrane clapet et
provoque l'ouverture du siège
Si le puisage s'arrête, la pression en aval remonte. Lorsqu'elle correspond au réglage,

l'ensemble membrane - clapet repousse le ressort et provoque la fermeture au siège


●
Le réducteur de pression : étude de cas
• Cas 1 :
Immeuble de 6 étages - Pression du réseau d’eau « normale » : 6 bar - Pression
souhaitée dans chaque appartement : 3 bar
• Cas 2 :
Immeuble de plus de 6 étages - Pression du réseau d’eau « élevée » : 10 bar - Pression souhaitée
dans chaque appartement : 3 bar
• Cas 3 :
Immeuble de plus de 6 étages - Pression du réseau d’eau « basse » : 3 bar - Pression souhaitée
dans chaque appartement : 3 bar
Remarque : Pour les immeubles très hauts, les étages les plus élevés peuvent être
dispensés de la pose du réducteur lorsque la pression est inférieure à 3 bar.


●
L’anti-bélier
• Le coup de bélier est un phénomène de surpression qui apparaît au moment de la variation brusque
de la vitesse d'un liquide, par suite d’une fermeture/ouverture rapide d’une vanne, d'un robinet ou du
démarrage/arrêt d’une pompe.
•
Elle se traduit souvent par un bruit caractéristique appelé « coup de bélier »
Fonctionnement :

●
Le disconnecteur
•
Assure la protection contre une pollution par le retour d'eau du circuit fermé vers le
réseau eau de ville en cas de dysfonctionnement
(pas de clapet anti-retour, une chambre de disconnection pour déconnecter les deux
circuits) .
•
Il doit être raccordé à une évacuation des eaux usées et dans un endroit non inondable.
Fonctionnement:
1 clapet amont
2 clapet aval
3soupape d'évacuation à l'air libre 4-
membrane
5- entonnoir de positionnement

●
Le filtre
Son rôle est de filtrer les
grosses impuretés.



1, 2, et 3 Disconnecteur
4 et 5 Clapet non-retour
6 Filtre à tamis
7 et 8 Compteur d’eau
9 Anti-bélier
10 Réducteur de
11 pression
Vannes avant et
après compteur

Distribution intérieure
●
Les appareils à alimenter
•
Alimentation en eau froide des appareils pour utilisation directe : évier, lavabo,
douche, baignoire, lave vaisselle, postes d'eau dans le garage ou le jardin, etc.
•
Alimentation en eau froide des appareils de production d'ECS avec appoint pour
circuit de chauffage.
●
Les types de distribution
•
Directe pour les maison individuelles et les petits immeubles
•
En chandelle : Ce sont des colonnes montantes situées à la verticale des
branchement d'appartements.
•
En parapluie : les conduites verticales (colonnes descendantes) sont raccordés en partie
haute par une ceinture placée au dessus du dernier niveau à alimenter.

●
Mode principaux de distribution
1. Distribution par pieuvre

●
Mode principaux de distribution
2. Distribution en piquage

Conditions de pression pour un fonctionnement correct de
la distribution d'eau froide:
A l'entrée de chaque logement:

•
La pression minimale est de 1 bar effectif
•
La pression maximale est de 3 bars effectif (réducteur de pression)
L'appareil le plus défavorisé de chaque logement doit avoir une pression minimale de 0,3 bar effectif à l'heure de pointe
de la consommation, même quand la pression de service dans la conduite publique est minimale.

●
Type de distribution
1. Distribution en chandelle
C’est un système qui permet d’alimenter le bâtiment seulement par des
colonnes montantes. Champ d’utilisation: maisons unifamiliales,
ateliers.
Avantages: Inconvénients:
 C’est un réseau simple et relativement
 Il est difficile d’isoler une conduite.
peu coûteux
 En cas d’intervention, toute la
distribution est privée d’eau.
 Pression de débit irrégulière en fin
colonnes montantes de conduite.
Conduite principale

●
2. Distribution en circuit fermé
C’est un système de distribution ou les colonnes montantes deviennent
descendantes et sont reliées entre elles ,en parties hautes du bâtiment.
Avantages: Inconvénients:
 Régularité de la distribution a l’intérieur
 Réseau plus coûteux.
du bâtiment.
 Les robinets d’arrêt et les compteurs sont
 Possibilité d’isoler une dérivation sans
difficile à repérer
apporter de troubles importants au reste
de la distribution.
Conduite principale

●
3. Distribution en parapluie
C’est un système de distribution dans lequel la ceinture principale est reporté à
l’étage le plus élevé du bâtiment.
Colonne descendre
On utilise ce type de distribution quand

Colonne la pression n’atteint pas les
d’étages derniers niveaux.
Conduite principale

●
4. Distribution dans les immeubles de grande hauteur
En cas de manque de pression il est nécessaire d’installer des réservoirs
intermédiaire d’alimentation tout le 10 à 15 étages
Installation de Surpresseur
Surpresseur 10 à 15 étages

●
5. Distribution par un réservoir surélevé
Le réservoir est placé en haut, il est alimenté par les surpresseurs, puis
il alimente les colonnes montantes.
Réservoir
Conduite Surpresseur
principale

●
Alimentation en eau chaude
Dans un immeuble d’habitation ou de travail, l’eau chaude est utilisée
pour :
 L’hygiène personnelle
 La préparation des repas
 Les nettoyages en tous genres
 Les lessives et les lavages
Dans un ménage la température de l’eau aux postes de soutirage ne

devrait pas dépasser les valeurs suivantes :
 Lavabos, salles de bain de 43° a 45°C

 Cuisine sans lave-vaisselle de 55° a 58° C
 Cuisine avec lave-vaisselle de 50° a 52° C

●
Diamètre minimal des tuyauteries d’alimentation en eau
Exprimé en mm, il est déterminé en fonction des débits minimaux en litres par
seconde suivant les appareils.
Exemples de débit minimal pour l’eau froide ou

l’eau chaude avec chacun des appareils suivants :
 Évier, lavabo, bidet, douche, machine

à laver : 20 l/s.
 Baignoire : 0.33l/s

•
●
Les matériaux utilisés
•
 Tuyaux en plomb
 Tuyaux en cuivre et laiton
 Tubes en Acier •
 Tubes en matière plastique

•
●
Tuyaux en plomb
•
 Le plomb métal non ferreux, facile à mettre
en œuvre, a toujours été utilisé en canalisations.
 Il se présente à l’état pratiquement pur. •
 Les tuyaux sont obtenus par filage.
Caractéristiques :
 Plomb doux sous forme de couronnes 10m de longueur ,6 à 45 mm de diamètre
 Plomb doux sous forme d’éléments droits 4m de longueur, 50 à110 mm de
diamètre •
 Il épouse tous les parcours

 Se soude très facilement
 Inaltérable par les agents atmosphériques.

●
Tubes en cuivre et laiton:
Cuivre
•
rouge, pratiquement pur utilisé pour les alimentation
d’eau froide et d’eau chaude.
Laiton, alliage de cuivre(70 à 90%) et de zinc (30 à 10 %)
utilisé pour confection de tuyaux de ventilation.
Caractéristiques :
Le tube en cuivre écroui est rigide et convient pour les tracés rectilignes des
installations intérieures. La maniabilité du métal facilite le façonnage, notamment
le ceintrage. •
Les assemblages se font par :

o Raccords démontables.
o Raccords soudés.

●
Tubes en Acier :
• Se différencient par la qualité du métal, procédé de
fabrication, dimension
 Tubes rejoints.
 Tubes soudés.
 Tubes sans soudure.
 Pour les dimension il y a une gammes étendues, à partir
de 5mm intérieur.
 Protection, tubes noirs, galvanisés, protection
spéciales(vernis, métallisation).
•

●
Les matériaux
• Le tube multicouche : utilisable en plomberie sans
soudure surtout avec des raccords à visser,
mais aussi avec d'autres types de raccords.
Contient 3 couches :
• A l'intérieur, une couche de PER qui permet de
réduire l'entartrage et protéger de la

corrosion.
•
Au milieu, une couche d'aluminium qui rend le
tube rigide et étanche à l'oxygène.
• A l'extérieur, une couche de PER spécifique qui
protège des rayons UV.

AEP Interieur

Transféré par

Informations du document

Titre original

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

AEP Interieur

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

ADDUCTION D’EAU POTABLE

ISMBTPU Réseaux Fluides 1

ISMBTPU Réseaux Fluides 2

Elle répond à une directive européenne 80/778 (mise à jour en 1998,

ISMBTPU Réseaux Fluides 3

Gestion de l’eau potable

• Traiter l’eau brute

ISMBTPU Réseaux Fluides 4

Besoin en eau potable

• Minimum vital : 20 l/j/personne, afin de répondre aux besoins fondamentaux

ISMBTPU Réseaux Fluides 5

Besoin en eau potable

ISMBTPU Réseaux Fluides 6

Le choix de la ressource s’effectue en fonction du couple quantité/qualité.

ISMBTPU Réseaux Fluides 7

Principales pollutions retrouvées dans l’eau

● Les matières organiques, provenant de la décomposition de déchets animaux et végétaux

ISMBTPU Réseaux Fluides 8

Protection des ressources

ISMBTPU Réseaux Fluides 9

ISMBTPU Réseaux Fluides 10

ISMBTPU Réseaux Fluides 11

1 Le puits d’eau brute

ISMBTPU Réseaux Fluides 13

● Le coagulant déstabilise les matières en

ISMBTPU Réseaux Fluides 14

l’eau entre par pulsations au fond

ISMBTPU Réseaux Fluides 15

● Filtration sur lit filtrant constitué de

ISMBTPU Réseaux Fluides 16

ISMBTPU Réseaux Fluides 17

potable, grâce à son action étendue.

ISMBTPU Réseaux Fluides 18

ISMBTPU Réseaux Fluides 19

ISMBTPU Réseaux Fluides 20

ISMBTPU Réseaux Fluides 21

Bâche enterrées sur les lieux de traitement :

Le château d'eau est un réservoir surélevé dans lequel on stocke

ISMBTPU Réseaux Fluides 23

Nature des conduits : fonte, acier bituminé, PVC, polyéthylène.

ISMBTPU Réseaux Fluides 24

ISMBTPU Réseaux Fluides 25

Les installations de bases

Le compteur d'eau est destiné à évaluer

Chaque compteur d'eau présente un numéro de

ISMBTPU Réseaux Fluides 26

Les installations de bases

Son rôle est la protection de l’eau

ISMBTPU Réseaux Fluides 27

Les installations de bases

Si le puisage s'arrête, la pression en aval remonte. Lorsqu'elle correspond au réglage,

ISMBTPU Réseaux Fluides 28

Les installations de bases

ISMBTPU Réseaux Fluides 29

Les installations de bases

ISMBTPU Réseaux Fluides 30

Les installations de bases

ISMBTPU Réseaux Fluides 31

Les installations de bases

ISMBTPU Réseaux Fluides 32

Les installations de bases

ISMBTPU Réseaux Fluides 33

Les installations de bases