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LA CONVERSION DC–DC :

LES HACHEURS

1° Introduction

2° Hacheur série (Buck)

3° Deux quadrants : Réversible en courant

4° Deux quadrants: Réversible en tension

5° Quatre quadrants

6° Hacheur parallèle (Boost)

7° Hacheur à accumulation inductive (Buck & Boost)

Bibliographie et liens utiles

M. GARNERO
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1° - Introduction Historiquement, il s’agissait de hacheurs dits « de


traction » qui permettaient de régler la vitesse des
moteurs à courant continu de trains.
Les hacheurs sont les convertisseurs statiques qui
permettent le transfert de l’énergie électrique d’une L’interrupteur fonctionne périodiquement. La
source continue vers une autre source continue. (Ils période de « hachage » est notée T et f la fréquence
sont l’équivalents des transformateurs en correspondante. Il est fermé de t = 0 à t = αT et
alternatif). ouvert de t = αT à T. (α est le rapport cyclique).
Lorsque l’entrée et la sortie sont de natures Lorsque l’interrupteur est fermé, l’entrée est
dynamiques différentes, on peut les relier directement reliée à la sortie. Lorsqu’il est ouvert,
directement (on parle alors de hacheur à liaison entrée et sorties fonctionnent indépendamment.
directe). Lorsqu’elles sont de même nature L’entrée est ouverte, la sortie est en court-circuit
dynamique, il faut faire appel à un élément de grâce à la diode de roue libre qui assure la continuité
stockage momentané (on parle dans ce cas de du courant de l’inductance.
hacheur à accumulation). Enfin dans le cas où On peut faire une analogie avec un cycliste qui
l’isolation galvanique de la sortie avec l’entrée est pédalerait de façon saccadée. Pendant une partie du
une nécessité, on réalise des hacheurs dits temps, il pédale (et sa vitesse augmente), ensuite il
« isolés ». se laisse aller sur son élan (grâce à la roue libre du
Suivant le degré de réversibilité que l’on désire, la pignon arrière). Dans cette phase sa vitesse diminue.
structure du montage diffère. On conçoit qu’il y ait deux régimes de
Enfin, suivant la puissance nominale du système, la fonctionnement distincts :
technologie des composants ne sera pas la même. - Soit l’élan est suffisant pour atteindre la fin de la
période sans s’arrêter, donc celle-ci se décompose
2° - Hacheur série (Buck) en deux phases – pédalage, roue libre. La vitesse
croit et décroit mais elle n’est jamais nulle.
C’est le montage le plus simple et le plus ancien. On - Soit l’élan n’est pas suffisant (à cause d’une côte
dit qu’il s’agit d’un hacheur à un bras. ou de frottements trop importants ou par manque
Il permet de relier une entrée de type « v » (qui n’a d’inertie) et la période se décompose en trois
pas de discontinuité de tension) à une sortie de type phases : pédalage, roue libre, arrêt. Dans ce cas à
« i » (qui n’a pas de discontinuité de courant). C’est chaque période la vitesse initiale est nulle.
un hacheur « Un quadrant » qui n’a aucune
Pour le hacheur c’est identique,
réversibilité. L’énergie ne peut circuler que de
soit le courant est suffisant, il est non interrompu tout au
l’entrée vers la sortie. Il ne comprend qu’un seul
long de la période et elle se décompose en deux phases :
interrupteur commandé et une diode de roue libre.
Cependant ce transfert est réglable. Le paramètre 0 < t < αT K fermé, D bloquée, phase active,
de réglage est le rapport cyclique de la commande de αT < t < T Kouvert, D passante, phase de roue libre.
l’interrupteur. Nous allons voir que ce hacheur est Soit le courant n’est pas suffisant et il s’interrompt avant la
de type abaisseur, la tension de sortie étant fin de la période qui se décompose en trois phases :
toujours inférieure à la tension d’entrée. 0 < t < αT K fermé, D bloquée, phase active,
αT < t < βT Kouvert, D passante, phase de roue libre,
i1 βT < t < T Kouvert, D bloquée, phase de repos.
Nous allons faire l’étude successive de ces deux régimes
F, α K de fonctionnement.
iK1
On commencera par le régime DNI (débit non interrompu).
vL
iL L’exploitation des résultats nous permettra de déterminer
E1
les conditions limites de ce régime, puis nous étudierons le
iD L
régime DI (débit interrompu).
D
v E2

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Notes personnelles
a) Débit Non Interrompu dans la bobine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Phase active : 0 < t < αT K fermé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

si K fermé, alors v = E1 > 0, donc D bloquée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Roue libre : αT < t < T K ouvert . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

si K ouvert mais iL ≠ 0, alors D passante, . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


donc v = 0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

vL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vL
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E1 v E2
v E2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
v . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT T 2T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Calculons la valeur moyenne de vD : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


1 T 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VDmoy = ∫0 v ( t )dt = (αT * E1 ) = α E1
T T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
La loi des mailles donne par ailleurs : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
v = vL + E2
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Si nous calculons à nouveau la moyenne de vD, en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
considérant que la moyenne d’une somme est la
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
somme des moyennes et que la moyenne d’une
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
constante est égale à cette constante alors :
(v)moy = (vL + E2)moy = (vL)moy + (E2)moy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vmoy = (vL)moy + E2 = 0 + E2
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
La valeur moyenne de la tension aux bornes d’une
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
bobine étant toujours nulle en régime périodique1, en
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
identifiant les résultats nous avons :
E2 = α E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Comme α est réglable entre 0 et 1, la tension de
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
sortie devient réglable entre 0 et E1.
Le montage est abaisseur de tension. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Déterminons l’allure de vL afin de calculer le courant
dans la bobine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Dans la phase active vL = E1 – E2 = (1 - α) E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


C’est une constante positive. Le courant croît . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
(1 − α) E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
linéairement avec une pente
L . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
En notant I0 la valeur de iL à t = 0 le courant sera
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
régit par :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1
Si on retrouve à chaque période la même valeur de courant, c’est . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
que «la somme des tensions» pour accroître le courant compense
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
exactement celle qui l’on fait décroître. Ce qui fait zéro en
moyenne.
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(1 − α) E1 I0 = ILmoy – ½ ∆IL et Iα = ILmoy + ½ ∆IL


iL = I0 + t
L Pour terminer ce paragraphe, il faut chercher la
A la fin de cette phase il atteint la valeur Iα limite de validité de ces équations. Nous sommes
(1 − α) E dans le cas de débit non interrompu dans la bobine,
αT
Iα = I0 +
L c’est à dire que la valeur minimale I0 doit être
Dans la phase de roue libre vL = - E2 = - α E1 positive.
C’est une constante négative. Le courant décroît Si Iα et I0 augmentent lorsque le courant d’utilisation
− α E1 augmente, ils diminuent lorsque ce dernier diminue.
linéairement avec une pente
L Le cas limite est obtenu lorsque I0 = 0 ( et Iα = ∆I)
A la fin de cette phase il reprend la valeur I0

iL
∆I
vL I0
(1-α)E Iα Ilim
iL
t
0 αT T
I0 t
I0

0 αT T 2T Dans ce cas, ILmoy vaut donc ½ ∆I soit donc :


-αE (1 − α) E
Ilim = αT
2L
Le courant dans la bobine fluctue entre I0 et Iα, la plus grande valeur est obtenue lorsque α = 0,5 et
l’ondulation de courant vaut donc : ET
(1 − α) E1 vaut : Ilim max =
∆I = Iα - I0 = αT 8L
L
Nous pouvons tracer l’évolution de E2 en fonction de
Elle est nulle lorsque α vaut 0 ou 1 et elle est
ILmoy (courbes paramétrées par α)
maximale lorsque α =0,5 ainsi :
E1 T VS
∆IM = α=1
E
4L α = 0,75
Les chronogrammes des divers courants dans le α = 0,5 DNI
DI
montage s’obtiennent simplement (la loi des nœuds
α = 0,25
en entrée donnant iL = i1 + iD ILmoy
α=0
0 Ilim max= ET
Iα iL 8L

I0 b) Débit Interrompu dans la bobine


t
0 αT T Phase active : 0 < t < αT K fermé
si K fermé, alors v = E1 > 0, donc D bloquée
i1 Iα
Roue libre : αT < t < βT K ouvert
si K ouvert mais iL ≠ 0, alors D passante,
I0
t donc v = 0
0 αT T Repos: βT < t < T K ouvert
si K ouvert et iL = 0 = cte , alors D bloquée,
iD Iα
et puisque iL = cte alors vL = 0 et v = E2

I0 v
t E1
0 αT T
E2
Plus le courant d’utilisation IL est important plus Iα
et I0 augmentent, par contre l’écart ∆I, entre ces t
0 αT βT T
deux valeurs reste constant. 2T

On peut calculer facilement I0 et Iα en notant que


ILmoy = ½ (I0 + Iα) donc
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vL Notes personnelles
(E-VS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Iα’ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iL t
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT βT T 2T
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
-VS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Comme dans le cas précédent calculons les valeurs
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
moyennes :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vmoy = ∫0 v ( t ) dt = ((T - βT) * VS + αT * E1 )
1 T 1
T T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Vmoy = VS = ((1 - β) * VS + α * E1 ) (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ILmoy =
1
T
T
∫0 iL (t ) dt =
1
T
(
βT) * Iα '* 1
2
) .

.
.

.
.

.
.

.
.

.
.

.
.

.
.

.
.

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.

.
.

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.

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.

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.

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.

.
.

.
.

.
.

.
.

.
.

E -E  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ILmoy = IS= β *  1 2 * αT  * 1 (2)
 L  2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
En ordonnant l’équation (1) on obtient : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α αE1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E2 = E 1 ou encore β=
β E2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
On peut remarquer que E2 > αE1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
avec l’équation (2) et l’expression de β, en ordonnant
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
nous obtenons :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E1
E2 = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2L
1+ 2 I Lmoy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α T E1
Contrairement au cas précédent, E2 dépend de ILmoy. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Nous pouvons même observer que pour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


ILmoy = 0 la tension de sortie vaut E1 quelle que soit la . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
valeur de α.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
A circuit ouvert, la sortie n’est plus commandée2.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
On peut compléter les courbes E2 = f(ILmoy),
ébauchées au paragraphe précédent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VS
α=1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,75
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,5
DNI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

α = 0,25 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
DI
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α=0
IS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 ILSM= ET
8L . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
c) Considérations pratiques :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Courant moyen dans la charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Le modèle précédent ne permet pas de calculer le
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
courant dans la charge, il faut qu’il soit donné.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
On peut toujours ajouter au montage une résistance de
« saignée » qui empêche le courant d’être nul.
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Ceci vient du fait que la résistance interne de E2 a électromagnétiques, vibrent et produisent des
été négligée (que qui permet de décrire l’évolution bruits gênants).
du courant par des droites et non des
Découplage de la source d’entrée
exponentielles). En admettant que cette résistance
Le courant i1 est fortement haché, cela peut être un
soit faible et que l’ondulation de courant ∆IL
inconvénient. Dans ce cas on place en amont du
également, nous pourrions remplacer E2 par
i1
hacheur (au plus près de l’interrupteur) un
condensateur qui servira de « tampon ». Comme il
doit avoir une forte capacité (et parfois une forte
F, α K
tension) on a recours à une technologie
iK électrochimique. Cependant, sur les régimes
vL
iL r transitoires, ce type de condensateur ne réagit pas
E1 très vite, aussi place-t-on en parallèle un
iD L
condensateur rapide (LCC) de plus faible capacité.
D E’2
v E2
i’1 i1
i1 Iα
E1 C1 C’1
I0 i’1
t
0 αT T

E’2 = E2 + r ILmoy ce qui permet de calculer la valeur


moyenne du courant par :

αE1 − E 2 3° - Hacheur 2 quadrants


I Lmoy =
r réversible en courant
Réalisation de l’interrupteur
Le hacheur précédent ne permettait pas de faire
Lorsqu’il n’est pas nécessaire que la borne négative
« remonter » de l’énergie depuis la sortie vers
de la sortie soit reliée à la masse, il est préférable
l’entrée. Ceci à cause de la non réversibilité des
que l’interrupteur lui, le soit, ainsi le schéma sera :
interrupteurs utilisés. En remplaçant K et D par des
i1 iL L r
cellules de commutation réversibles, le hacheur
permet d’avoir un courant de sortie positif ou
D v
négatif.
E’2
E2 i1

K1 D1
E1 F, α

K
iK1 iD1 vL
F, α E1 iL

iK2 L
iD2
v
K2 E2
D2
Pour des applications basse tension et courants pas
trop élevés (30 V, 5 A) l’interrupteur pourra être un
MOS FET, pour des tensions et courants un peu plus
élevés (300 V, 20 A) on peut avoir recours à des
L’interrupteur K2 est commandé de façon
IGBT. Pour des puissances encore plus élevées
(1 500 V, 1 000 A) ce sont des thyristors ou des complémentaire à K1 (K2 = K1 ). Si K1 et K2 étaient
GTO qui seront employés. Les fréquences employées commandés en même temps, ils mettraient la source
sont de l’ordre de 20 à 50 kHz pour les MOS ou les E1 en court circuit ce qui serait dangereux. Dans la
IGBT, seulement 300 à 400 Hz pour les applications pratique, comme un composant est en général plus
de très forte puissance. Le choix de 20 kHZ comme rapide à la fermeture qu’à l’ouverture, on maintien un
limite minimale permet de s’affranchir des nuisances léger temps mort de quelques micro secondes entre
sonores ; notre oreille étant insensible aux l’arrêt de l’un et la mise en marche de l’autre.
ultrasons. (ce sont les bobines qui par les effets

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Notes personnelles
E
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
v . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Imoy > 0
iL
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

I0 t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

0 αT T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2T
-αE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Imoy < 0
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Le chronogramme de la tension v est strictement le . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
même que pour un hacheur série en conduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
continue. Par contre le chronogramme du courant
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
n’est plus limité à la partie positive. L’allure générale
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
est la même mais il peut être positif ou négatif, tant
en valeurs instantanées qu’en valeurs moyennes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E α=1
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,75 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,5
DNI
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,25
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

α=0
IS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La valeur de la tension de sortie s’obtient de la . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


même façon que pour le hacheur série. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

E2 = α E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
De même, l’ondulation du courant IL est donnée par :
(1 − α) E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
∆I = Iα - I0 = αT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
L
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

4° - Hacheur 2 quadrants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

réversible en tension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
i1
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
D2
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
f, α K1
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
v iD2
iK1 vL
E1 r E2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iL
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
L
iD4 iK3
E’2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
D4 K3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Les interrupteurs sont commandés simultanément :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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De t= 0 à t = αT ils sont fermés, le reste de la Le montage est abaisseur de tension (en valeur
période, ils sont ouverts. absolue).
Comme dans le cas du hacheur série, il faut
Déterminons l’allure de vL afin de calculer le courant
envisager deux cas :
dans la bobine.
- soit le débit est suffisant pour assurer un courant
Dans la phase directe, vL = E1 – E’2 = 2.(1 - α) E1
iL qui ne s’annule pas avant la fin de la période. On
C’est une constante positive. Le courant croît
parle de Débit non interrompu dans la bobine
2(1 − α) E1
(DNI). linéairement avec une pente
L
- Soit le débit n’est pas suffisant et le courant
En notant I0 la valeur de iL à t = 0 le courant sera
s’interrompt avant la fin de la période. Dans ce cas,
2(1 − α) E1
celle-ci, se décompose en 3 phases et non en 2. régit par : iL = I0 + t
L
a) Débit Non Interrompu dans la bobine A la fin de cette phase il atteint la valeur Iα
Phase directe : 0 < t < αT K1 et K3 fermés 2(1 − α) E1
Iα = I0 + αT
alors v = E1 > 0, et D2, D3 bloquées L
Dans la phase inverse vL = -E1 – E’2 = - 2 α E1
Phase inverse : αT < t < T K1 et K3 ouverts C’est une constante négative. Le courant décroît
mais iL ≠ 0, alors D2 et D4 passantes, − 2α E 1
donc v = -E1 linéairement avec une pente
L
E2 E2
A la fin de cette phase il reprend la valeur I0
vL vL

E1
v v 2(1-α)E vL

iL
v
E1 t
I0 I0

0 αT T 2T
t
-2αE
0 αT T 2T

-E1 Le courant dans la bobine fluctue entre I0 et Iα,


l’ondulation de courant vaut donc :
Calculons la valeur moyenne de v :
2(1 − α) E1
1 T ∆I = Iα - I0 = αT
Vmoy = ∫0 v ( t )dt = L
T Elle est nulle lorsque α vaut 0 ou 1 et elle est
1 maximale lorsque α =0,5 ainsi :
(αT × E1 + (1 - α)T × ( − E1 ) = ( 2α − 1)E1
T E1 T
La loi des mailles donne par ailleurs : ∆IM =
2L
v = vL + E’2
Les chronogrammes des divers courants dans le
Si nous calculons à nouveau la moyenne de v, en montage s’obtiennent simplement (la loi des nœuds
considérant que la moyenne d’une somme est la en entrée donnant iL = i1 + iD
somme des moyennes et que la moyenne d’une
Iα iL
constante est égale à cette constante alors :
(v)moy = (vL + E2)moy = (vL)moy + (E2)moy
I0
t
Vmoy = (vL)moy + E2 = 0 + E2 0 αT T

La valeur moyenne de la tension aux bornes d’une


bobine étant toujours nulle en régime périodique, en i1 Iα
identifiant les résultats nous avons :
α-1) E1
E2 = (2α I0
t
αT
Comme α est réglable entre 0 et 1, la tension de 0 T
-I0
sortie devient réglable entre +E1 et -E1.
-Iα
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Page : 9

Plus le courant d’utilisation IL est important plus Iα Notes personnelles


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
et I0 augmentent, par contre l’écart ∆I, entre ces
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
deux valeurs reste constant.
On peut calculer facilement I0 et Iα en notant que . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ILmoy = ½ (I0 + Iα) donc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
I0 = ILmoy – ½ ∆IL et Iα = ILmoy + ½ ∆IL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Pour terminer ce paragraphe, il faut chercher la . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


limite de validité de ces équations. Nous sommes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
dans le cas de débit non interrompu dans la bobine,
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
c’est à dire que la valeur minimale I0 doit être
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
positive.
Si Iα et I0 augmentent lorsque le courant d’utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

augmente, ils diminuent lorsque ce dernier diminue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Le cas limite est obtenu lorsque I0 = 0 ( et Iα = ∆I) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

iL
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
∆I
I0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Ilim
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
t
0 αT T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Dans ce cas, ILmoy vaut donc ½ ∆I soit donc :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
(1− α) E
Ilim = αT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
L
la plus grande valeur est obtenue lorsque α = 0,5 et . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vaut : Ilim max =
4L . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Nous pouvons tracer l’évolution de E’2 en fonction de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ILmoy (courbes paramétrées par α)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E’2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E1 α=1
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

DNI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,75
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

DI α = 0,5 ILmoy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 Ilim max= ET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
4L

α = 0,25 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α=0
-E1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
b) Débit Interrompu dans la bobine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Phase directe : 0 < t < αT K fermé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


si K1,K3 fermés, v = E1 > 0, donc D2, D4 bloquées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Phase inverse αT < t < βT K1,K3 ouverts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
mais iL ≠ 0, alors D2, D4 passantes, donc v = -E1
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Repos: βT < t < T K1,K3 ouverts D2, D4 bloquées
iL = 0 = cte , alors D bloquée et puisque iL = cte alors . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

vL = 0 et v = E2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Page : 10
v
E1

E2 i1

t f, α
0 αT T 2T D1 D2 K2
βT
K1
iD1 v iD2
iK1 iK2
E1 vL r E2
-E1 iL
vL L
(E-VS) iK2 iD4 iD3 iK3
E’2
Iα’ K4 D4 D3 K3
iL t

0 αT βT T 2T
v
-VS E1

t
Comme dans le cas précédent calculons les valeurs
moyennes :
0 αT T 2T

Vmoy =
1
(αT × E1 + (β − α)T × (-E1) + (β - 1)T × E' 2 ) =
T
(αE1 + (β − α)(-E 1 ) + (β - 1)E' 2 ) = ((2α - β)E1 + (β - 1)E' 2 ) α-1) E1
E2 = (2α

On peut compléter les courbes E2 = f(ILmoy),


vL
ébauchées au paragraphe précédent. 2(1-α)E Iα
iL
E’2
I0 t
α=1 I0
E1
0 αT T 2T
DNI -2αE
α = 0,75

α = 0,5 ILmoy i1 Iα
0 ILSM= ET
4L
I0
DI t
α = 0,25 0 αT T
-I0

-Iα
α=0
-E1

Pour ILmoy = 0, la tension de sortie vaut E1 quelle que


soit la valeur de α.
A circuit ouvert, la sortie n’est plus commandée

5° - Hacheur 4 quadrants
On prend le même schéma que le hacheur précédent
mais en rend les interrupteurs réversibles en
courant
Les chronogrammes ne changent pas, mais il n’y a
plus de zone de débit interrompu.

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Notes personnelles
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
6° - Hacheur parallèle (Boost) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

vL D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
i1 iD iS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
L
iC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E1 f, α
K C RCh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vS
iK . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Le montage possède encore deux régimes de
fonctionnement suivant que le courant s’interrompt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ou non dans la bobine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
La période doit donc être décomposée en deux (ou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
trois) phases successives :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Phase d’accumulation, 0 < t < αT l’interrupteur est . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
fermé, la tension v est nulle et la diode D bloquée.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
C’est C qui assure le courant d’utilisation. La bobine
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
est soumise à vL = E
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Phase active, αT < t < T (ou βT) l’interrupteur est
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ouvert, le courant dans la bobine n’est pas nul, la
diode D est donc passante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

De ce fait, v = VS et vL = E - VS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Si l’énergie stockée dans la bobine lors de la . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
première phase n’est pas suffisante pour maintenir
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
le courant jusqu’à la fin de la période, il y a une
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
troisième phase dite phase de repos.
L’interrupteur est ouvert, la diode bloquée. Tous les . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

courants sont nuls à l’exception de iS qui vaut -iC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


(c’est C qui assure à nouveau le courant) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vL
E Iα . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iL
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

I0 t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
I0

0 αT T 2T
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
(E -VS)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Pour obtenir la valeur de VS il suffit d’exprimer que
(vL)moy doit être nulle, ainsi : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

αT*E = - (T -αT)*(E – VS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Ce qui donne en ordonnant : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1
VS = E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1− α . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Page : 12

f, α D
La tension de sortie est supérieure à la tension i1 iD
d’entrée (elle tend même vers l’infini lorsque α tend
vers 1). K iL
E1
C RCh
vS
iL Iα L vL
iC

I0
t iS
0 αT T

iK
Ainsi la période se décomposera en deux (ou trois)

phases successives :
Une phase d’accumulation, 0 < t < αT
I0
t durant laquelle l’interrupteur est fermé. La tension E
0 αT T
est appliquée à la bobine, vL = E. La diode est
iD
bloquée (vD = -VS - E). Le condensateur assure le

iS
courant d’utilisation.
Une phase de restitution, αT < t < T ( ou βT)
I0
t L’interrupteur est ouvert, mais iL n’est pas nul, ce
0 αT T
qui force la diode à conduire. La tension de sortie
est appliquée aux bornes de la bobine en inverse vL
Comme précédemment on peut tracer l’évolution de = -VS
VS = f(IS), Une phase de repos, βT < t <T
peut avoir lieu si la charge est trop faible. Dans ce
VS cas c’est à nouveau C qui fournit le courant de sortie.
α = 0,75 vD
4E vK
+ - + -
α = 0,67
3E
vS vL vS
α = 0,5 vL
2E
DI DNI
α=0
E
IS vL
E Iα
0 ILSM= ET iL
8L

Pour le DI la tension de sortie tend vers l’infini I0


t
quelle que soit la valeur de α lorsque IS tend vers 0 αT T 2T
zéro. Une étude détaillée montre que VS se met sous -VS
la forme :
 α 2T E  Pour obtenir la valeur de VS exprimons que (vL)moy
VS = E 1 + 
 2 L I S  doit être nulle, ainsi :
αT*E = - (T -αT)*(–VS)
L’étude de la limite DI / DNI, fait apparaître une
Ce qui donne en ordonnant :
valeur ILSM identique à la précédente.
α
VS = E
1− α
7° - Hacheur à accumulation La tension de sortie est inférieure à la tension
inductive (Buck &Boost) d’entrée lorsque α < 0,5 et elle est supérieure dans
Nous retrouvons encore les mêmes éléments. A le cas contraire3
noter cependant l’inversion de la polarité de VS. Les chronogrammes des courants en DNI sont
Outre le fait de générer une tension négative à donnés ci-dessous.
partir d’une tension positive, ce montage préfigure Comme pour les autres montages on peut tracer
le montage Flyback qui en est la version « isolée ». l’évolution de VS = f(IS),
Comme précédemment, il y aura deux régimes de
fonctionnement suivant que le courant s’interrompt
ou non dans la bobine. 3
Elle tend même vers l’infini lorsque α tend vers 1.
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Page : 13

iK Iα
Notes personnelles
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
I0
t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT T
iD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Iα . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
I0
t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT T
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iC
Iα-IS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT T
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
-IS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VS
α = 0,66
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2E
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,60
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
E
DNI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
α = 0,33
DI
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
IS
α=0
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 ILSM= ET
8L . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
En DI, la tension de sortie s’écrit :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
 α 2T E 
VS = E   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
 2 L IS  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vL
E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Iα’
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
iL
t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0 αT βT T 2T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
-VS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

On observe là encore une tension qui tend vers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


l’infini à circuit ouvert (IS =0), d’où l’utilisation d’une . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
éventuelle « résistance de saignée ».
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
On peut, avec ce montage réaliser une alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
symétrique (split supply) à partir d’une alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
simple : (avec α = 0,5)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
+VCC
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Q
-VCC
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
D
E C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

L . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0V
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Page : 14

Bibliographie
Un ouvrage qui fait référence dans le domaine :

Collection Technologies

Alimentations à découpage
Convertisseurs à résonance

JP FERRIEUX et F FOREST

MASSON

Quelques adresses Internet concernant les

alimentations à découpage :
En « butinant » parmi ces adresses, vous ne

manquerez pas de trouver d’autres liens utiles.

Si vous désirez obtenir une version électronique de

cette liste, n’hésitez pas à me joindre, je vous la

transmettrai en retour :

http://e-mecatronique.bretagne.ens-cachan.fr/course/view.php?id=35

http://astroccd.com/terre/audine/cisup1.htm
http://intra3.crdp-poitiers.cndp.fr/bde/exos/99COU004/fic_alim/part1.htm

http://www.cie-france.com/cie1909.html

http://www.darwind.com/index.htm
http://www-leg.ensieg.inpg.fr/them_ep01.html
http://www.interlinx.qc.ca/~aboivin/bca3.html

http://www.bmen.com/ref/meanwell/pd45schm.htm
http://perso.clubinternet.fr/lecab/depannage/index.html
http://ourworld.compuserve.com/homepages/jmichelet/alimpelt.htm
http://artic.ac-besancon.fr/Sciences_Physiques/presentations/convertisseur_fly-back/fly-back.htm

http://www.eudil.fr/forumsc/forumsc.htm
http://perso.cybercable.fr/tophe/tvht.html

http://www.electron.cndp.fr/documents/Ressources/Contributions/alimdec/mod_vorp.pdf
http://www.users.skynet.be/copperbenelux/electric5.htm

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