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Table des matiéres:

Presentation de L’Hôpital militaire régional universitaire d’Oran (HMRU) d’Oran……

INTRODUCTION

I. SCANNER
1) Intoduction
2) Definition
3) Principe de fonctionnement
4) Qualite d'image
5) le rôle des physiciens dans la sécurité des scanners
6) Le contrôle qualité (mécanique et dosimétrie )

II. L'image par resonance magnétique

1) Intoduction

2) Definition

3) Principe de fonctionnement

4) Qualite d'image

5) le rôle des physiciens dans la sécurité des scanners

6) Le contrôle qualité (mécanique et dosimétrie )

7) différence entre le scanner et IRM

III. la mammoghraphie

1)Intoduction

2)Definition

3)Principe de fonctionnement

4)Qualite d'image

5) le rôle des physiciens dans la sécurité des scanners

6)Le contrôle qualité (mécanique et dosimétrie )

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  Presentation de L’Hôpital militaire régional
universitaire d’Oran (HMRU) d’Oran:

La médecine militaire, dans notre pays, a réalisé une avancée

remarquable en termes de prise en charge des malades, acquisition et
maîtrise des nouvelles techniques médicales et chirurgicales, et des
technologies de pointe dans le domaine médical.

L’Hôpital militaire régional universitaire d’Oran (HMRU) d’Oran Dr Amir-

Mohamed-Benaissa, relevant de la deuxième région militaire, incarne
ces avancées, à travers des expériences inédites à l’échelle nationale et
parfois maghrébine, conduites dans le domaine des soins médicaux et
chirurgicaux, de la recherche scientifique, la professionnalisation des
services et des conditions de prise en charge. L’exemple de la
laparoscopie ou cœlioscopie transverse abdominale, réalisée à l’hôpital
militaire d’Oran en septembre 2020, est une première en Afrique et dans
le monde arabe.

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 L'hopital regional d'oran occupe une superficie de 13 hectares et
comprend des services administratifs, économiques et de laboratoire.sa
capacité réguiliére est estimée à 2142 lits,par rapport à sa capacité réelle
qui estde 2922 lits. Ce groupe s'est constitué après la création de la
faculté de médecine d'oran, conformément aux dispositions du
dispositionsdu décert 58-1373 pris le 30 décembre 1958 portant "centre
hospitalitaillier universtaires d'oran"

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 Introduction :

Dans ce rapport, je souhaite partager avec vous notre expérience en

tant que physiciens du service de radiologie concernant les applications
cliniques telles que les scanners, les IRM et les mammographies à
l'hôpital régional militaire universitaire d'Oran.

L’imagerie médicale est en pleine évolution depuis plus de 50 ans. Son

rôle est crucial dans le diagnostic des pathologies et dans leur suivi.
Obtenir la meilleure qualité d’examen possible est une quête constante,
au même titre que la volonté de délivrer des doses les plus basses
possibles.

Le scanner est l’examen de référence en imagerie. Il permet de visualiser

l’anatomie en coupes, de réhausser des lésions lors d’injections de
produit et permet aussi une analyse fonctionnelle dans certains cas.
C’est l’examen de première intention pour de nombreuses indications
comme la recherche d’hémorragie cérébrale chez les patients
consommant des anticoagulants, pour la recherche de calcul vésical,
recherche de fracture ou encore suspicion d’Accident Vasculaire
Cérébral (AVC).

Les scanners se trouvent principalement dans les centres hospitaliers

universitaires mais également de plus en plus dans les petits hôpitaux de
périphérie ainsi que dans les cliniques. Différentes technologies existent,
selon les besoins. Certains modèles sont dédiés à la cardiologie, d’autres
permettent d’acquérir des images en double énergie, et d’autres sont
plutôt appréciés pour leur rapidité et leur polyvalence dans le cadre des
urgences.

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 Chaque constructeur peaufine ses technologies afin d’améliorer
l’expérience patient, la productivité et les probabilités de diagnostic.
C’est pourquoi il est indispensable pour les constructeurs d’être auprès
des équipes afin d’optimiser le fonctionnement du scanner. Dans ce
sens, l’ingénieur d’application intervient dans la formation des médecins
et des utilisateurs lors de l’installation et du suivi des scanners.

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 I. Le scanner

1) Définition de scanner:

Examen qui permet d’obtenir des images du corps en coupes fines au

moyen de rayons X. Les images sont reconstituées par ordinateur (en 2

voire 3 dimensions), ce qui permet une analyse précise de différentes

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 régions du corps. Les radiologues parlent aussi de tomodensitométrie,
abrégée en TDM. Le terme scanner désigne aussi l’appareil utilisé pour
réaliser cet examen.

2) Principe de fonctionnement:

Le scanner est constitué d'un anneau muni d'un tube émetteur de rayons
X et de capteurs numériques qui balaient la zone du corps à étudier en
effectuant des rotations. L'appareil émet des rayons X à faible dose,
dirigés vers la partie du corps à analyser.

3) Qualite d'image:

Les scanners médicaux utilisent différents principes physiques pour

produire des images de haute qualité. L'imagerie médicale, en particulier
la tomodensitométrie (TDM), utilise des rayons X pour créer des images
détaillées de l'intérieur du corps. Ces scanners mesurent l'absorption des
rayons X par les tissus corporels pour reconstruire des images en coupes
transversales.

La qualité de l'image dans un scanner médical dépend de plusieurs

facteurs, notamment la résolution spatiale, qui détermine le niveau de
détail dans l'image, et la précision de la reconstruction des différentes
couches anatomiques. Pour obtenir une qualité d'image optimale, il est
crucial d'avoir des composants de scanner de haute qualité, un calibrage
précis, et des algorithmes sophistiqués de traitement d'image pour
réduire le bruit et améliorer la clarté.

Les avancées technologiques constantes visent à améliorer la résolution,

réduire le temps d'acquisition des images, minimiser l'exposition aux
rayonnements et offrir des images plus précises pour un diagnostic
médical plus fiable.

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 4) le rôle des physiciens dans la sécurité des scanners:

Les physiciens jouent un rôle crucial dans le développement, la

maintenance et l'amélioration des scanners de sécurité. Leur expertise
est utilisée pour plusieurs aspects :

Conception et développement : Les physiciens contribuent à la

conception des systèmes de détection utilisés dans les scanners de
sécurité. Leur compréhension des principes physiques sous-jacents,
comme la spectroscopie, la diffusion, l'imagerie par rayons X, la
résonance magnétique, etc., est essentielle pour concevoir des appareils
efficaces et précis.

Analyse des données : Ils sont responsables de l'analyse des données

recueillies par les scanners. Cela implique de comprendre comment
interpréter correctement les informations collectées pour identifier les
objets, substances ou anomalies potentielles.

Optimisation et amélioration : Les physiciens travaillent

continuellement à améliorer les scanners de sécurité en optimisant les
algorithmes de traitement des données, en développant de nouvelles
techniques de détection et en identifiant des moyens d'accroître la
précision tout en réduisant les faux positifs.

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 Sécurité et réglementation : Ils s'assurent que les scanners de sécurité
respectent les normes de sécurité et les réglementations en vigueur.
Leur expertise est cruciale pour garantir que ces appareils fonctionnent
de manière fiable et sans danger pour les personnes scannées.

En somme, les physiciens sont au cœur du développement et de

l'amélioration des scanners de sécurité, contribuant à la fois à leur
conception initiale, à leur fonctionnement quotidien et à leur évolution
technologique.

5) Le contrôle qualite :

Le contrôle qualité mécanique d'un scanner médical implique

l'inspection et la vérification des composants physiques de l'appareil.
Cela comprend la calibration des moteurs, la vérification de la précision
des mouvements mécaniques, la garantie du bon fonctionnement des
systèmes de positionnement, et la validation de l'alignement des
composants internes pour assurer des images précises et fiables.

Quant à la dosimétrie des scanners, cela concerne la mesure et

l'évaluation des doses de rayonnement délivrées aux patients lors
d'examens radiologiques. Il est essentiel de garantir que les niveaux de
radiation sont maintenus à des niveaux sûrs tout en fournissant des
images de qualité diagnostique. Cela implique des protocoles de mesure
de dose, la calibration des équipements, le contrôle des paramètres
d'exposition et la réduction de la dose sans compromettre la qualité de
l'image.

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 Ces processus sont essentiels pour assurer la sécurité des patients et la
qualité des images dans le domaine de l'imagerie médicale.

INTRODUCTION:
L'imagerie par résonance magnétique (IRM) a été développée dans les
années 1970. Les premières images par IRM ont été obtenues
expérimentalement dans les années 1970, et la première utilisation
clinique a suivi peu après, ouvrant ainsi la voie à une technologie qui est
devenue essentielle en médecine pour le diagnostic et la recherche.

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 I. L'imagerie par résonance magnétique (IRM)

1) Definition de L'IRM:

L'IRM est une technique d'imagerie médicale qui utilise des champs
magnétiques et des ondes radio pour créer des images détaillées de
l'intérieur du corps. Voici quelques points clés à propos de l'IRM

2) Principe de fonctionnement :

L'IRM exploite le comportement des atomes d'hydrogène dans le corps

lorsqu'ils sont exposés à un champ magnétique intense. En appliquant
des ondes radio, les noyaux d'hydrogène émettent des signaux détectés
par un scanner, ce qui permet de reconstruire des images en trois
dimensions.

3) Qualité d'image :

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 L'IRM produit des images très détaillées des tissus mous, comme le
cerveau, les muscles, les ligaments et les organes internes. Cela en fait
une technique particulièrement utile pour diagnostiquer des affections
telles que les tumeurs, les lésions, les maladies neurologiques et les
problèmes articulaires.

4) le rôle des physiciens dans la sécurité de l’IRM :

Les physiciens jouent un rôle crucial dans le fonctionnement des IRM

(Imagerie par Résonance Magnétique). Leur implication concerne
principalement trois domaines :

Maintenance et Calibration : Les physiciens assurent que l'IRM

fonctionne de manière optimale en effectuant des tâches de
maintenance régulières et en calibrant les équipements pour garantir
des résultats précis et fiables.

Sécurité et Contrôle de Qualité : Ils s'assurent que l'IRM respecte les

normes de sécurité requises pour les patients et le personnel. De plus, ils
effectuent des contrôles de qualité pour garantir la précision des images
produites par l'appareil.

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 Développement de Techniques et de Séquences : Les physiciens
travaillent souvent sur le développement de nouvelles techniques et
séquences d'imagerie qui permettent d'améliorer la qualité et la
précision des images obtenues par IRM. Ils sont impliqués dans la
recherche et l'innovation pour faire évoluer cette technologie.

En somme, leur rôle est essentiel pour assurer le bon fonctionnement, la

sécurité et l'innovation des équipements d'IRM, contribuant ainsi à la
qualité des diagnostics médicaux basés sur cette technologie.

5) Le contrôle qualité:

Mecanique:

Vérification de la stabilité magnétique: Assurez-vous que le champ

magnétique est stable et uniforme pour des résultats d'imagerie
cohérents.

Contrôle des gradients: Vérifiez la performance des gradients pour

garantir une qualité d'image optimale.

Étalonnage des radiofréquences: Assurez-vous que le système de

radiofréquences est correctement étalonné pour une acquisition de
signal précise

dosimétres:

Surveillance du champ magnétique statique: Utilisation de dosimètres

spécifiques pour mesurer l'exposition aux champs magnétiques statiques
produits par les IRM.

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 Évaluation des RF (Radiofréquences): Contrôle des niveaux d'exposition
aux radiofréquences générées par le système d'IRM.

Le respect régulier de ces contrôles de qualité mécanique et l'utilisation

appropriée des dosimètres contribuent à garantir la sécurité des patients
et la qualité des images médicales produites par les scanners et les IRM.
Il est essentiel de suivre les protocoles de contrôle de qualité
recommandés par les autorités de santé et les fabricants d'équipements
médicaux.

6) différence entre scanner et IRM:

Les scanners et les IRM sont des techniques d'imagerie médicale utilisées
pour visualiser l'intérieur du corps humain, mais ils fonctionnent
différemment et fournissent des informations distinctes.

Le scanner utilise des rayons X pour créer des images détaillées en

coupes transversales du corps. Il combine de multiples images
radiographiques prises sous différents angles pour générer une
représentation tridimensionnelle des tissus, des os et des organes. Les
scanners sont particulièrement utiles pour détecter des fractures, des
tumeurs et des anomalies dans les tissus mous.

D'autre part, l'IRM utilise des champs magnétiques puissants et des

ondes radio pour produire des images détaillées des organes et des
tissus. Contrairement aux rayons X utilisés dans les scanners, l'IRM
n'implique pas d'exposition aux radiations ionisantes. Elle est souvent
préférée pour visualiser les tissus mous comme le cerveau, la moelle
épinière, les muscles et les ligaments. L'IRM est également utile pour

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 détecter des anomalies précoces et fournir des informations détaillées
sur la structure et la fonction des tissus.

En résumé, les scanners utilisent des rayons X pour créer des images
tridimensionnelles en coupes du corps, tandis que les IRM utilisent des
champs magnétiques et des ondes radio pour obtenir des images
détaillées des organes et des tissus mous sans utiliser de rayonnement
ionisant. Chaque méthode a ses propres avantages et est utilisée selon
les besoins diagnostiques spécifiques du patient.

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 Introduction:
Le mammographe a été inventé par le physicien allemand Albert
Salomon dans les années 1910. Il a développé cette technique pour
obtenir des images des tissus mammaires en utilisant des rayons X,
marquant ainsi le début de la mammographie moderne. Depuis lors, la
mammographie a été largement utilisée pour le dépistage précoce du
cancer du sein.

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 II. La mammoghraphie
1) Definition de la mammoghraphie:

La mammographie est une technique d'imagerie médicale utilisée

principalement pour détecter et diagnostiquer les anomalies dans les
tissus mammaires. Le principe de fonctionnement repose sur l'utilisation
de rayons X de faible dose pour obtenir des images détaillées des seins.

1) Principe de fonctionnemet:

La mammographie est une technique d'imagerie médicale utilisée

principalement pour détecter les anomalies dans les seins, notamment
les signes précoces de cancer du sein. Voici les principes de
fonctionnement de la mammographie :

La technique d'imagerie: Pendant une mammographie, le sein est placé

entre deux plaques spéciales et comprimé afin d'obtenir des images de
meilleure qualité. Cette compression permet de réduire l'épaisseur du
sein, ce qui permet d'obtenir une image plus nette avec moins de
superposition de tissus.

Rayons X: Les mammographies utilisent des rayons X de faible dose pour

capturer des images détaillées de l'intérieur du sein. Un tube à rayons X

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 envoie un faisceau de rayons X à travers le sein vers une plaque spéciale
capable de détecter ces rayons.

Évaluation de l'image: Les images obtenues sont ensuite examinées par

des radiologues spécialisés. Ils recherchent des anomalies telles que des
masses, des calcifications ou d'autres changements inhabituels dans les
tissus du sein.

Détection précoce des anomalies: La mammographie est un outil

important pour la détection précoce du cancer du sein, permettant
souvent de repérer des anomalies avant même qu'elles ne soient
détectables par palpation.

Suivi et diagnostic: Si des anomalies sont détectées, d'autres tests

peuvent être nécessaires pour confirmer un diagnostic. Ces tests
peuvent inclure une échographie, une IRM ou une biopsie pour obtenir
des échantillons de tissus à examiner plus en détail.

La mammographie est recommandée comme outil de dépistage régulier

pour les femmes à partir d'un certain âge ou à risque accru de cancer du
sein, permettant ainsi une détection précoce et une meilleure prise en
charge médicale.

2) Qualité d'image:

La qualité d'image en mammographie est cruciale pour détecter les

anomalies dans le tissu mammaire. Plusieurs facteurs affectent la qualité
de l'image, notamment la résolution spatiale, le contraste, la netteté et
la réduction du bruit. Les systèmes de mammographie modernes
utilisent des techniques avancées pour optimiser ces paramètres et
obtenir des images de haute qualité.

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 La résolution spatiale se réfère à la capacité du système à distinguer les
détails fins. En mammographie, une haute résolution spatiale est
essentielle pour détecter de petites lésions ou micro-calcifications. Le
contraste, quant à lui, concerne la différence de luminosité entre les
structures, ce qui permet de distinguer clairement les tissus.

La netteté de l'image est cruciale pour la précision diagnostique. Les

artefacts ou flous peuvent masquer des détails importants. Réduire le
bruit, généralement présent dans les images médicales, est également
vital pour améliorer la visibilité des structures.

Les professionnels de la santé veillent à optimiser ces paramètres lors de

la capture et de l'interprétation des images mammographiques afin de
fournir des diagnostics précis pour la détection précoce du cancer du
sein.

3) le rôle des physiciens dans la sécurité mammographique:

La qualité d'image en mammographie est cruciale pour détecter les

anomalies dans le tissu mammaire. Plusieurs facteurs affectent la qualité
de l'image, notamment la résolution spatiale, le contraste, la netteté et
la réduction du bruit. Les systèmes de mammographie modernes
utilisent des techniques avancées pour optimiser ces paramètres et
obtenir des images de haute qualité.

La résolution spatiale se réfère à la capacité du système à distinguer les

détails fins. En mammographie, une haute résolution spatiale est
essentielle pour détecter de petites lésions ou micro-calcifications. Le
contraste, quant à lui, concerne la différence de luminosité entre les
structures, ce qui permet de distinguer clairement les tissus.

La netteté de l'image est cruciale pour la précision diagnostique. Les

artefacts ou flous peuvent masquer des détails importants. Réduire le

20
 bruit, généralement présent dans les images médicales, est également
vital pour améliorer la visibilité des structures.

Les professionnels de la santé veillent à optimiser ces paramètres lors de

la capture et de l'interprétation des images mammographiques afin de
fournir des diagnostics précis pour la détection précoce du cancer du
sein.

4) Contrôle qualité:

Pour le contrôle qualité mécanique, il s'agit généralement de vérifier la

performance et l'intégrité des composants mécaniques d'un système.
Cela peut inclure l'inspection visuelle, la mesure de la précision des
mouvements, la vérification des tolérances et des spécifications, ainsi
que des tests de fonctionnement pour assurer un bon fonctionnement.

Quant à la dosimétrie mammographique, cela concerne la mesure et

l'évaluation de la dose de rayonnement absorbée lors d'examens
mammographiques. Il est essentiel de surveiller et de contrôler la
quantité de rayonnement délivrée pour s'assurer que les patients
reçoivent des doses sûres et efficaces pendant ces procédures.

Pour chacun de ces domaines, des protocoles spécifiques et des

équipements adaptés sont utilisés pour garantir la qualité, la précision et
la sécurité des dispositifs et des examens.

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 Quelques notions:
 Principe de fonctionnement du tube à rayons X:

Quel que soit le type de tube, la génération des rayons X se fait selon le
même principe. Une haute tension électrique (de l'ordre de 20 à 400 kV)
est établie entre deux électrodes. Il se produit alors un courant
d'électrons de la cathode vers l'anode (parfois appelée « anticathode »
ou « cible »).

 Principe a la radio de protection :

La réglementation en matière de radioprotection s'appuie sur trois

grands principes fondamentaux : justification, optimisation et limitation
de dose. Ces principes se basent sur les recommandations de la
Commission internationale de protection contre les radiations (CIPR).

 Quel est le produit de contraste utilisé en IRM ?

Le produit de contraste est injecté par voie veineuse ou artérielle, avec le

plus souvent la pose d'un cathéter et d'une perfusion. Le praticien peut
choisir un produit de contraste iodé (c'est le produit de contraste le plus

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 fréquent pour le scanner) ou non (produit de contraste durant l'IRM,
souvent du gadolinium).

 Qu'est-ce que Pixal et voxel :

En physique, les pixels et les voxels sont des concepts utilisés dans le
domaine de la représentation des données. Les pixels sont utilisés dans
les images bidimensionnelles, tandis que les voxels sont utilisés dans les
images tridimensionnelles.

Les pixels sont les plus petits éléments d'une image numérique en deux
dimensions. Ils sont des unités rectangulaires composant une image et
sont organisés en lignes et en colonnes pour former une image
complète. Les écrans, les photos numériques et les images sur
ordinateur sont généralement composés de pixels.

D'autre part, les voxels sont les équivalents tridimensionnels des pixels.
Ils représentent les plus petits éléments d'une image en trois
dimensions. Les voxels sont utilisés pour représenter des données
volumétriques dans des domaines tels que l'imagerie médicale (comme
les scanners CT et les IRM), la modélisation 3D et d'autres applications
où la représentation spatiale tridimensionnelle est nécessaire.

En résumé, les pixels sont utilisés pour les images en deux dimensions
tandis que les voxels sont utilisés pour les images en trois dimensions

 organes série et organes paralléle ?

En physique, les circuits électriques sont souvent utilisés pour expliquer

le concept des organes en série et en parallèle dans le système
circulatoire. Dans ce contexte, les organes peuvent être comparés à des
composants dans un circuit électrique.

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 Dans un circuit en série, les composants sont disposés de manière
linéaire, l'électricité passe à travers chacun d'eux successivement. De
même, dans une série d'organes, le sang passe à travers chaque organe
l'un après l'autre. Si un organe dans une série est affecté ou ne
fonctionne pas correctement, cela peut impacter le fonctionnement de
tous les organes suivants.

D'autre part, dans un circuit en parallèle, les composants sont disposés

de manière à ce que le courant divise et traverse chaque branche du
circuit. Dans un système d'organes en parallèle, le sang est distribué
simultanément à travers différents organes, chacun recevant une partie
du débit sanguin total. Si un organe en parallèle est altéré, les autres
organes peuvent encore fonctionner de manière indépendante car le
flux sanguin est redistribué.

Cette analogie peut aider à comprendre comment différents systèmes

fonctionnent selon qu'ils sont en série ou en parallèle, et comment la
défaillance ou la perturbation d'un organe peut affecter le
fonctionnement global du système.

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 Conclusion :
En conclusion, cette formation m'a été très bénéfique sur le plan
personnel et professionnel. J'ai découvert le fonctionnement interne de
plusieurs dispositifs médicaux.

Cela m'a permis de prendre conscience des défis, des avantages et des
inconvénients du métier. Je suis désormais conscient de l'investissement
personnel que représente ce type de carrière. Ce stage a été l'occasion
de voir l'autre facette de l'imagerie medical (scanner et l'image par
resonance magnétique et la mammoghraphie).

Ce stage a été l'occasion de mettre en application mes connaissances

dans le domaine de l'imagerie médicale (scanner et l'image par
resonance magnétique et la mammoghraphie) . qui constitue un
véritable atout dans ce métier.

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