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Corrigé - DM 9 PDF
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PARTIE I
I.A Le champ électrique :
→ →
I.A.1 E '( M ') est le symétrique de E ( M ) par rapport à P.
→
I.A.2 a) E ( M ) est son propre symétrique par rapport à Ps donc il est contenu dans le plan Ps.
→
b) E ( M ) est l’opposé de son propre symétrique par rapport à Pa donc il est normal au plan Pa.
c) Soit Ox la direction normale aux 2 plans chargés.Tout plan contenant M et orthogonal aux 2 plans chargés est plan de
→
symétrie pour la distribution de charges, donc E ( M ) appartient à l’intersection de tous ces plans, donc est normal aux 2
→ →
plans chargés. De plus, du fait de l’invariance par toute translation selon Oy ou Oz, E ( M ) = E( x ) u x . Enfin, d’après le
théorème de Gauss appliqué à un parallélépipède rectangle entièrement placé entre les 2 plans chargés et ayant 2
→
surfaces de mesure S en x=x1 et x=x2 , E(x1)S = E(x2)S. Ainsi, E ( M ) ne dépend pas non plus de x. Il est uniforme.
→ → −ω → → →
b) cf I.C.1 b). De plus, rot B1 = 2
e0 sin(ωt) k donc si e0 > 0, B1 est selon + u θ quand sin(ωt) < 0.
c
→ →
iω iX
c) Théorème de Stokes : 2 πρ B1 = 2
πρ 2 E 0 d’où B1 = E 0 u θ . Et ceci indépendament de z.
c c
X est sans dimension.
→
→ → ∂ B1 → → ωX →
II.A.2 a) rot E 2 = − et donc rot E2 = E 0 uθ .
∂t c
→
→ ∂ B1 →
b) Les sources de E 2 ( M ) , c’est-à-dire − ont la symétrie cylindrique, donc E 2 ( M ) est axial (on néglige les effets de
∂t
→ → →
bord). On peut être plus précis dans la justification en écrivant que rot E 2 est porté par u θ et que donc, en utilisant la
∂ (ρE 2 θ ) Cte
formule (17) de l’annexe, et compte tenu de la symétrie cylindrique, on a = 0 , d’où E2θ = . Comme le
∂ρ ρ
champ ne doit pas diverger sur l’axe, la constante est nulle. De plus, en utilisant la formule (16) de l’annexe, et
→ ∂ ( ρE 2 ρ )
div E 2 = 0 , on obtient de même = 0 , ce qui prouve aussi que la composante radiale est en 1/ρ, donc nulle
∂ρ
également.
ρ2
E 2 ( 0) = 0 est tout-à-fait possible en considérant que la constante additive éventuelle est en réalité contenue dans E 0 .
iω ρ iω
2n
E0 → (iX)2 n+ 1 E →u .
II.C.3 a) De même que plus haut : 2 πρ B2 n +1 =
c2 ∫0
2c ( n!) 2
ρ 2 n 2 πρ dρ d’où B2 n +1 =
c( n !)(( n + 1)!)
0 θ
→ ( iX) 2n + 2
→
b) d’où E 2 n + 2 = E0 .
( ( n + 1)!) 2
Abs(y)
ρ/R
graphe :
→ B( R, t) →
b) D’après le II.C.5.a, on a j s = − k , ce qui donne une amplitude de la densité de courant surfacique de 891 A.m-
µ0
1
.
c)
II.C.7 Les champs de rang 1, 2, 3, etc seront plus faibles en raison des pertes. Les résonance seront moins aigues.
2
d E 1 dE ω 2
II.D.2 A l’aide du formulaire de l’annexe III, on en déduit : + + E=0
d ρ2 ρ dρ c2
ρω
II.D.3 En posant x = , on retrouve bien l’équation de l’énoncé.
c
II.D.4 Toujours à l’aide du formulaire de l’annexe III, on montre que la solution est de la forme J0(x) (à une constante spatiale
ρω
multiplicative près) avec x = . La solution J0(x)E0 convient donc, puisqu’on doit retrouver le champ E0 sur l’axe.
c