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1
KARL BARTH, Dogmatique, vol. I, La Doctrine de la parole de
Dieu, t.I **. Genève, Labor et Fides, 1953, p.1.
2
Vatican II, Dei Verbum, 2.
3
Vatican II, Dei Verbum, 3.
4
Vatican II, Dei Verbum, 4.
5
Cf. J. JEREMIAS, Le Message Central du Nouveau Testament,
Paris, Cerf, « Foi vivante » 175, 1976.
6
W. KASPER, Jésus le Christ, Paris, Cerf, “Cogitatio Fidei” 88,
1976, p. 180.
7
W. PANNENBERG, Esquisse d’une Christologie, Paris, Cerf,
“Cogitatio Fidei” 62, 1971, p. 94.
8
HIPPOLYTE de Rome, La Tradition apostolique, XXI.
9
Joseph MOINGT, Les Trois Visiteurs. Entretiens sur la Trinité.
Propos recueillis par Marc Leboucher. Desclée se Brouwer, Paris,
1999. p. 23.
10
Gervais DUMEIGE, La Foi Catholique. Editions de l’Orante, Paris,
1975, p.6.
11
Henri de LUBAC, Catholicisme. Les aspects sociaux du dogme,
coll. « Unam Sanctam », Paris, Éditions du Cerf, pp 14-16.
12
Saint IRÉNÉE, Adv. Haereses, 4, 6, 7 ( P.G. 7, 990), 4, 9, 3 (998); 5
in fine (1224).
8- Jésus-Christ et l’interprétation de
l’Écriture et du salut en vue d’une
philosophie de la personne humaine
Jésus-Christ donne une interprétation spirituelle de
l’histoire. Dieu en agissant à travers Jésus-Christ se révèle
dans l’histoire. Le chrétien trouve accès à la révélation de
Dieu en Jésus-Christ. Le Dieu de grâce et du salut se
communique librement à travers un homme, Jésus de
Nazareth dont la vie, la mort et la résurrection
transforment l’existence humaine. Une fois pour toutes, le
Fils Unique de Dieu fait homme a produit un événement
unique et indépassable qui est la source et la norme du
salut pour l’humanité. Cet événement eschatologique au
cœur du temps humain transforme l’histoire religieuse de
l’humanité et fait de Jésus-Christ, le centre de l’histoire
humaine. Or, c’est précisément de cela que témoigne
l’Écriture. L’Écriture, est dans la tradition Judéo-
chrétienne, la Parole de Dieu qui est dite sur l’histoire
Jean-Marie Hyacinthe Quenum | Page 42
universelle. Comme le salut qu’apporte le Christ est
d’essence sociale, son truchement obligé est l’histoire.
L’Écriture est donc moins des livres bibliques à
commenter qu’une histoire universelle à interpréter. Cette
histoire universelle est le lieu de déploiement du mystère
du Christ et de l’Église. Ce mystère est voilé dans la lettre
de l’Ancien Testament qui contient des faits et
événements prophétiques annonçant le Christ et son
Église. Ainsi l’Ancien et le Nouveau Testaments
contiennent le sens spirituel de la réalité incarnée et
historique du Christ et de l’Église. La double et unique
médiation du Christ et de l’Église est annoncée à travers
les promesses et les ébauches du salut trouvant leur plein
accomplissement dans la réunion spirituelle de l’humanité
par le Christ. Seul, le Christ en accomplissant les
Écritures, illumine les ombres et les énigmes de l’Ancien
Testament. Dans la perspective d’une histoire universelle,
l’intelligence spirituelle de l’Écriture discerne la venue du
Christ comme le foyer d’incandescence de la réunion
spirituelle de l’humanité. L’Église du Christ devient
l’instrument efficace du salut du genre humain par sa
réunion spirituelle de l’humanité. L’Église, société
spirituelle est ouverte à tous, par la grâce du Christ. Elle
est le signe de l’unité du genre humain selon les termes de
Lumen Gentium de Vatican II. En Jésus-Christ se réalise
l’unité du genre humain. Jésus-Christ porte à son
achèvement l’effort des membres de l’humanité pour
répondre à leur vocation de créatures spirituelles. Par son
union avec la nature humaine, Jésus-Christ attire
l’humanité à Dieu. Par le libre don du Fils Unique de Dieu
fait homme dans son mystère pascal, Dieu se communique
à l’humanité et l’associe à son éternité. Or, cette médiation
historique de Jésus-Christ est permanente grâce à l’Église.
C’est dans l’Église que
13
Vatican II, Gaudium et Spes, 24,§ 1
14
Jean-Paul II, Exhortation apostolique post-synodale, Ecclesia in
Africa n. 63.
15
Bruno FORTE, Jésus de Nazareth. Histoire de Dieu. Dieu de
l’histoire, traduit de l’italien, Paris, Cerf, 1984, p.156-157.
16
Saint Léon Lettre de Léon à Flavien trad. P. Th Camelot, Ephèse et
Chalcédoine Paris, éd. De l’Orant, 1962, p.219-220.
5- La Christologie de Vatican II
La christologie de Vatican II est pastorale. Elle insiste sur
le rapport de Jésus-Christ au monde moderne. Le Christ de
Vatican II est celui de l’histoire et du monde. Il invite les
croyants à participer à la transformation du monde et de
l’histoire. La vocation de l’humanité selon le concile
Vatican II est de coopérer avec le Christ de l’histoire pour
l’avènement d’un monde de paix, de justice, de
réconciliation et de préservation de l’environnement.
Vue sous cet angle, l’Église a sa source et son inspiration
dans l’avènement du Logos dans la chair de l’humanité.
L’Église est le rassemblement par L’Esprit d’amour de
Jésus-Christ de ses disciples en un corps mystique, social
et historique. L’Église présuppose le message évangélique
de la réunion spirituelle de l’humanité selon diverses
situations culturelles et historiques.
En suivant les intuitions christologiques de Vatican II, les
chrétiens sont appelés à prendre leur distance par rapport
au monophysisme et au monothélisme pour consacrer
leurs énergies à la constitution de communautés
fraternelles opérant la communion, l’interdépendance et la
mutualité dans le contexte de la mondialisation. Ils sont
appelés à bâtir un monde juste, pacifique et réconcilié.
Témoins de la foi, les chrétiens par leur activité sociale,
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religieuse, culturelle et politique s’engageront désormais à
établir le règne de Dieu avec des structures pastorales
adaptées à leur temps.
4- La résurrection de Jésus-Christ et la
renaissance en Dieu de l’humanité
La renaissance de l’humanité en Dieu a commencé avec la
résurrection de Jésus, le Christ de la nouvelle création de
Dieu. En ressuscitant d’entre les morts, Jésus-Christ est
vivant pour toujours comme le Christ cosmique, présent
au Père et à tous les membres de l’humanité. Par sa
résurrection, Jésus, le Christ de la nouvelle création
poursuit sa mission de restauration de la fraternité
universelle. L’événement de la résurrection situe la
mission universelle de Jésus, le Christ dans la direction du
futur. La résurrection de Jésus, le Christ, rend possible le
don de l’Esprit Saint de Dieu à l’humanité pour construire
la fraternité sans frontières s’épanouissant dans la
communauté éternelle de Dieu. Dans la résurrection de
Jésus, le Christ, le Dieu trinitaire se révèle comme le
créateur de l’univers associant les membres de l’humanité
à sa vie intime. Dieu des vivants, le Dieu trinitaire donne
sa vie éternelle par l’Esprit Saint qui habite le corps du
Christ ressuscité (Rm 8, 11). La résurrection de Jésus, le
Christ récapitule l’histoire humaine tissée par le Logos
incarné. Tout ce que le Logos a vécu au cours de son
incarnation est désormais présent à la communauté
trinitaire. En ressuscitant Jésus, le Christ, le Père constitue
le corps du Christ comme le lieu de la présence trinitaire
dans le monde. Le corps de Jésus, le Christ est le Logos
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devenu chair. Cette chair crucifiée et vivifiée communique
à l’humanité l’Eprit de filiation. L’Esprit de filiation est la
parole d’origine qui fonde les rapports intersubjectifs entre
les membres de l’humanité. En ressuscitant Jésus comme
le roi de la nouvelle création, le Père associe tous les
membres de l’humanité à sa vie éternelle. Tous les
membres de l’humanité sont des fils dans le Fils Unique.
Le fondement spirituel de la fraternité universelle est la
résurrection du Logos fait chair pour construire l’histoire
où le Christ sera tout en tous (Ép 2, 23).
17
JEAN-PAUL II, Exhortation apostolique post synodale, Ecclesia in
Africa n.63.
18
François KABASÉLÉ, « L’au-delà des modèles », dans Chemins
de la christologie africaine, sous la responsabilité de François
Kabasélé, J.Doré et R. Luneau, Paris, Desclée, 1986, p.205.
19
Joseph MOINGT, L’homme qui venait de Dieu, Les Éditions du
Cerf, Paris, 1993, p. 485-486.
20
Ibid., p. 490.
21
Jacques DUPONT : Les Béatitudes, II La Bonne Nouvelle, Coll.
Études Bibliques, Paris 1969. « Les pauvres et la pauvreté dans les
7- La Théologie chrétienne de la
communion ecclésiale et l’expérience
féministe
La nécessité d’un langage humain pour parler du Dieu de
Jésus-Christ oblige la théologie africaine de la communion
à intégrer l’expérience féministe comme un facteur décisif
de restructuration du discours chrétien en Afrique
subsaharienne. Le langage anthropomorphique de la
maternité de Dieu peut donner à la théologie chrétienne
africaine de la communion un visage plus humain. Seul
Dieu peut enfanter, nourrir et faire croître sa famille. Les
attributs maternels du Dieu révélé par Jésus-Christ et
inspirés par la prière de Moïse en Nb 11, 11-15 montre la
dimension transcendante de la famille de Dieu. Dieu est
Mère de sa famille en la concevant et en la mettant au
monde. Dieu Mère et Nourrice est responsable de la
croissance de sa famille. En comparant la respiration
haletante de la femme en travail au Dieu Mère, l’un des
oracles du second Isaïe décrit l’activité de Dieu comme
un désir ardent d’inscrire de la nouveauté dans le monde
en y insufflant son Esprit (Is 4213-14). Les femmes à
l’image du Dieu Mère incarnent la valeur positive de la
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famille comme le lieu de naissance des membres de
l’humanité. La famille humaine est sacrée parce que Dieu
s’engage en Jésus-Christ à en prendre soin comme une
Mère responsable qui n’abandonne pas son nourrisson (Is
49, 15).
Le Dieu chrétien n’est ni masculin, ni féminin. La
théologie chrétienne africaine de la communion insiste sur
le caractère propre du nom Père pour Dieu dans le cadre
de la génération éternelle du Fils. Le Père est ainsi le
principe et la cause éternelle du Fils. Jésus reconnu
comme Fils nous donne l’accès au Père et nous permet de
prier « Notre Père ». En lui « il n’y a plus ni Juif ni Grec,
il n’y plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus ni
homme ni femme » (Ga 3, 28).
22
Paul VI, Populorum Progressio (N°76).
23
G. PARRINDER, La religion en Afrique Occidentale, Payot, Paris,
1950.
24
Louis-Vincent Thomas, La Mort Africaine. Idéologie funéraire en
Afrique noire. Payot, Paris, 1982. p. 250.
25
BERNARD MUNONO MUYEMBE, Eglise, évangélisation et
promotion humaine. Le discours social des évêques africains, Editions
Universitaires Fribourg, Suisse, 1995.
Les évêques d’Afrique parlent, 1969-1992. Documents pour
le Synode africain. Textes réunis par Maurice Cheza, Henri
Derroitte, René Luneau, Paris, Centurion, 1992, 443p.
KÄ MANA « Les églises africaines face aux mutations
actuelles de l’Afrique : une analyse des prises de positions
récentes des Eglises protestantes et catholiques du continent
africain », dans Zaïre-Afrique, (août-septembre 1991) n° 257,
p. 349-364.
ERNEST KOMBO (Mgr) « Nécessité et urgence d’un
engagement personnel et communautaire »dans Telema
(1992) n° 3-4, p.51-52.
28
SALL A. (éd.), La Compétitivité future des économies africaines,
Futurs africains, Karthala, Paris, 2000.
29
Synode des évêques, L’évêque, Serviteur de l’évangile de Jésus-
Christ pour l’espérance du monde , Instrumentum laboris, Xème
Assemblée générale ordinaire, Rome, octobre 2001, les Editions du
Cerf, Paris, 2001.
30
« CHRIST EST NOTRE PAIX » (Eph 2,14) : L’Eglise-famille de
Dieu : lieu et sacrement de pardon, de réconciliation et de paix en
Afrique, Kumasi Catholic Press Ltd. Octobre 2001.
31
Ibid. p. 14.
32
Ibid. p.16.
33
Ibid. p. 20.
34
Ibid. p. 55.
35
Les évêques d’Afrique parlent 1969-1992. Documents pour le
synode africain. Textes réunis par Maurice Cheza, Henri Derroitte,
René Luneau, Paris, Centurion, 1992, 443p. / Le Synode africain
Histoire et textes Editions Karthala, Paris, 1996,425p. .
36
JEAN-PAUL II, Exhortation Post-Synodale ECCLESIA IN
AFRICA sur l’Eglise en Afrique et sa mission évangélisatrice vers
l’an 2000, Kinshasa, Medias Paul, 1995, N° 63.
37
Ecclesia in Africa n° 89.
38
Cardinal Frédéric Etsou Nzabi Bamungwabi « Les défis et les
enjeux pastoraux de l’éducation de la jeunesse dans l’Eglise-Famille
de Dieu » in L’éducation de la jeunesse dans l’Eglise-Famille en
Afrique, Semaines théologiques de Kinshasa, Facultés Catholiques de
Kinshasa, 2001.p.10.
3- La vision socio-théologique de
l’enseignement des évêques sur la crise
africaine
Quel est le message essentiel qui se dégage de
l’enseignement des évêques sur la crise africaine ? Que
signifiait « la crise africaine » pour les évêques ?
Comment et pourquoi « la solidarité intégrale » peut-elle
être considérée comme l’expression adéquate pour
désigner la solution de la hiérarchie catholique à la crise ?
Pour répondre à cette triple question, nous nous proposons
d’interpréter la réponse des évêques à la crise africaine en
fonction du thème de la « solidarité intégrale ».
En choisissant l’image de la famille comme idée-force de
son activité missionnaire, l’Eglise de Dieu en Afrique a
consacré le thème de la « solidarité intégrale » comme un
enjeu socio-théologique important pour l’évangélisation
en profondeur du continent.
Ce modèle d’Eglise veut enraciner l’évangile dans les
cultures africaines en élargissant et en universalisant la
solidarité vécue au niveau de la consanguinité parentale et
de la communion fraternelle.
En effet, la famille élargie en Afrique est le lieu
d’expression de l’identité généalogique et d’alliances
interpersonnelles. Rempart contre l’isolement et les
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difficultés existentielles, la famille élargie est l’espace de
la solidarité, des droits et devoirs des membres unis par
une origine commune ou une alliance interpersonnelle.
L’entraide, l’hospitalité, la fraternité, le partage, les
relations de bienveillance réciproque, le culte du lien
ancestral et le soutien inconditionnel sont les sept piliers
de la solidarité africaine.
Le message essentiel des évêques catholiques sur la crise
africaine est de raviver dans les cœurs et mentalités
d’Africains cette foi existentielle d’appartenance à une
famille élargie dont on reste solidaire en travaillant pour
son bien commun.
La solidarité intégrale devient ainsi une solution à la crise
africaine. La crise africaine n’est qu’un manque notoire de
solidarité. Ce manque de solidarité se fait sentir par la
peur de l’autre qui ne se sent plus accueilli, valorisé et
accepté comme frère ou sœur. Isolé dans la bulle de
l’avoir, le frère ennemi devient le complice d’un système
économique oppressif qui engendre la pauvreté endémique
et la misère sociale. Si tous les africains se comportaient
comme des frères et sœurs appartenant à une même
famille élargie, nous éviterions les affrontements
fratricides, les rivalités ethniques et les génocides culturels
et économiques.
En effet, la crise profonde que traverse le continent depuis
1990 a déjà provoqué le ralentissement des activités de
production économique et une déstructuration sociale ne
laissant le champ libre qu’au secteur informel.
La famille est la première victime de la crise. En tant que
modèle de socialisation, la famille, cellule de base où
s’acquièrent les valeurs fondamentales ne joue plus en
situation de crise son rôle d’intégration à la communauté
plus élargie du lignage et de la nation.
39
Axelle KABOU, Et si l’Afrique refusait le développement ? , Paris,
l’Harmattan, 1991, p. 12.
40
Vatican II, Dei Verbum,, chap.1
41
Kä Mana, L’Afrique va-t- elle mourir ? Bousculer l’imaginaire
africain. Essai d’éthique politique, Paris, Cerf, 1991.
42
Kä Mana, Théologie africaine pour temps de crise. Christianisme et
reconstruction de l’Afrique, Paris, Karthala, 1993.
43
Jean-Paul II, Exhortation apostolique. Catechesi tradendae, n° 5.
44
Desmond TUTU, Prisonnier de l’espérance, Paris, Le centurion,
1984, p. 77.
45
Paul Tillich, Le courage d’être, (1952), Paris, Casterman, 1962,
p.173.
46
La Constitution pastorale sur l’Eglise dans le monde de ce temps,
Gaudium et Spes, n° 4
47
Jean-Marc Ela, Ma foi d’Africain, Paris, Karthala, 1985, p.202.
48
Karl RAHNER, Theological Investigation, Vol. V, pp 11-15, 174-
175, 179-183, 188.
49
Meinrad Pierre HEBGA, Sorcellerie, Chimère dangereuse… ?
INADES Editions, Abidjan, 1979, p.287.
50
Ibidem, p.16.
51
E.E. Evans-PRITCHARD, Sorcellerie, Oracles et magie chez les
Azandé. Editions Gallimard, 1972.
52
Marc AUGE, « Les Croyances ă la sorcellerie » in Construction du
monde, Maspero, Paris 1974, p.55.
53
Pierre GESCHIERE, Sorcellerie et politique en Afrique, Karthala,
Paris, 1995, p.18.
54
Meinrad HEBGA, Rationalité d’un discours Africain sur les
phénomènes paranormaux et conception pluraliste du composé
humain. Thèse de doctorat d’Etat en Philosophie soutenue sous le
patronage du Professeur Pierre AUBENQUE, Université de Paris IV
(Sorbonne ), Tome 2, Janvier 1986, 345p.
55
Meinrad HEBGA, La rationalité d’un discours africains sur les
phénomènes paranormaux, Paris-brest, l’Harmattan 1998, 364p.
56
Paul Christian KITI, Du paranormal au malaise multidimensionnel
de l’Afrique. Une réflexion à partir de la pensée de Meinrad Hebga
L’harmattan, 2004, 222p.
57
Meinrad HEBGA, Sorcellerie et Prière de délivrance, Paris,
Présence Africaine – Abidjan, INADES Editions, 1982, 214p.