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erronnees. On m'accuse donc faussement, Il me iScmb,le~ de calom-, '.,
nie, parceque je les appelle SwedenborfJiens, mais en vérité, en L_
conscience, puis-je les appeler Chrétiens, lorsque je suis à prouver,fl , ~
qu'ils ont renié ]e Christ; puis-je même leur concéder le nQm de ,~$t~
N ovi-Jérusalémites, quand je crois fel'l11cment que tout ce qui est ~,
écrit dans l'Apocalypse-XIX-XX-XXI n'est pas accompli ct -"..... :=J
par conséquent que la sainte Cité ni la nouvelle Jérusalem n'est pas f; ~'Il"'II#~;'1
,
ce n'est que stl..r du sable, toute leur maison croulera. (Luc: 6,49.)
{
nous SOMMES UN" Si le raisonnement de Swédenborg est vrai
Je Panthéisme p~r 1!
, .
~
Le second se trouve (Jean 14,9.) "Celui qui m'a vu a vu ./
mon Père. ': .Si l'interprétation de Swédenborg est vraie, cc serait • ~1/7h~ •
en contradICtIOn avec Exode 33,20. Jean 1,8. 5,1. 6,46. Tout le . v' ,. ~
monde comprend que c'est dans un sens figuratif que l'on doit y .... ir,.; ".d,,-..
interprêter ces paroles-{lt le sens ou interprétation litterale de t/lj~
Swédenborg LE TUE.
Le troisième et dernier est: "Toute la plénitude de la Divinité
habite en lui corporellement." Colas: 2,9 comparez avec: "Et
connaître la Charité de Christ, laquelle surpasse toute connais
sance; afin que vous soyez remplis DE TOUTE LA PLÉNITUDE DE .
DIEu" Eph: 3,19. L'interprétation de Swédenborg conduit né- ,l .'
cessairement au Panthéisme et tout en se vantant du sens spirituel ~)J4I/Ir.'L
et céleste de la ParoJe: il n'a basé son système que SUR LA.
LETTRE QUI TVE. 2 Cor: 3,6.
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de:--.;, ~ ~~~ t)~O~
~ --:::A ~ 6-- f) 1 f.J-', II...A-~ k t.. tif - 2
: L:.-fe..~ ~ J
ment rien, qni atteste qu'ils ont été envoyés par Dieu. QJ e , \
(lonc ce Swédenhorg? Quelles sont ses prétentions? Sm quqi' ~ /'f'f~~~J,~~
base-t-on sa ,1Ili~sion '? , Quelles sont ses yreuves '?, OJ, i:iont ~c .... ~/::;./.) l,.
lettres de croauee? Rlün! ab:,olulllcut nen ! MalS on n~e (hta :'!:;:.;~=.;;~;~
qu'il a trouvé la. clef de l'interpréta.tion des Saintes Ecritures ct flUe' ",' (.'
sa manière d'expliquer la Parole atteste fju 'il fi.lt envoyé deDieu ! - '" i'
mais ne voit-on pas la fausseté d'un tel ra:sonnernent { L.'est cela
même qm) nous révoquons en doute et1lue nous avons rr IUV{ qu'elle
est con traire à la parole de Dien. UOll1 ment C'J q LW !lOU~ Illet tO;l~L
,li
1 Comme j'ai plus d'une fois remarqué dans llne correspondance
particulière: "La prudence humaine,colllme la prudence chrétienne,
exige que l'on produise des lettres de créance ou des preuves éviden-
tes et incontestables qu'on a reçu une mission sp~ciale. "
" Ces preuves, nous les avons chez Moïse, les Prophètes, chez
,
Chri.st et ses Apôtre,,; matS eUes manq uellt eatièrement chcz
Mahomet, J'oe Smith, Swédenborg, &a.
Tellement est-il naturel il l'homme de chercher ces preuves que
ceux qui reçoivent ces missions spéciales de la part de Dieu deman-
dent au Seigneur de leur donner dclS sigues et des pouvoirs par les-
quels ils puissent convaincre ceux vers qui ils sont envoyés.,
Regardez ~Ioïse, il demande à Dieu comment il pouna con-
vaincre haraou et les Egyptiens quand ils ne voudront pas croire
en ses pa1tles. Dieu lui donna le pouvoir de faire des miracles
comme les dix plaies d'Egy-pte et tous les miracles de .l\'1Qïse rattes,
, -_.. 6 ..- <:11
"'J ':~ l~ .. 1 • ~J. ,
, ïen~. Il ~ll fût ,d p ~ême des,1?rophètes e~ de, C!lr~'st lui-,,!ême. C~r rrti,/'ir/ ' l, ,~
, -)luOlqne J e~;us fil':; DIeu ~aillfèsté en cl~~ll', Il et~nt SOUIlU::, il f?urmr (Il'. ~ ,- '1 ~.
"1 , cS'\memes preuyc,;; aussI quand les J Ulis mettaient en questIOn sa ~U'1-hJ,~H4 1
: J)ivine :\1issioll, il leur dit plusiems foi~: "Si vous ne me croyez fi v,! .~ / ~-:......,
. 'pas li cause de mes paToles j CIWYEZ MOI A CAUSE DE MES ŒUVRES!
,.':. C'est contre le commun bon sens et contraire à la vérité que
. '-d,e dire,c,)mme vou,sle fa:!e.;: ~ue Swf.denborg aac~ompli un~mis- ~~:./.. l,
sIOn speciale, de mcme que MOise, les Prophètes ct les Eyangéhstes ,,~"~d'/. J11
Page 13. Vous ajoutez à cela "ceux-ci nous ont transmis la Parole; ~/~1'J.l...-s-t 1
Swédellborg I,lOUS, a transmis la Doctrine et les moyens de com- 1... t!:-
_~A :
prendre cette P~lrole."· De quelle utilité serait une doctrine nou- 1J~ft
velle? quelle néc'cssité y a-t-il pour une nouvelle révélation?
Les El)Îtrt"s dé Paul, de Pierre, de Jacques, de Jude et de Jeanne
rerJ'tmnellt-elles pas une révélation immédiate, que Dieu a donnée'
à SOl1 Eglise pow' enseigner la Doctrine et les moyens de comprendre
la Parole?
Quelles sont donc ces nouvelles doctrines de Swédenborg gi
toutefois·elles sout nou velles? Les voiei: Ilrfjette la doctrine de tl" is
pt'l'~OllieS d,ul" l'l~sscnce di, il!e-:e sac-rifice expialoii'e de Uhrist ;
1/,1 •
i~ . il Ilie que J Lsas soit mort an lieu et place du pécheur; il pré;end '
r \ '," ~'l-
1
i ~
qn'il n'a été crucifié que peur relldre !lon humain divin; il ne veut
1;" .' pas admettre ln doctrine de la l 'rédestiuation; l'élection sans con- '21,.?t-P!J ;;io'., ,
di tion, la jusli fical ion par la foi seule, la résurrection du corps ,./ -';ta'"
nouveau-Tou tes ces fausses doctrines, cher.)lousieur, disons plutôt, 1;' t -;). 11;;;" ".
toutes ces héré:;ies ont existé avant que Swédenborg fut né, avant '~f;t • ','.1.('~;7t. .'
qu'il eut sa prétendue révéla! ion quill'est pas plus une révélation Di- ~ 1',. '
"J 1, . ."
lation si c'en est Wle vient XV'1 sukles trop tard puisque déjà cette 1"-·' ".If:' '~I
Quant il cette autre hérésie par laquelle Swédcnborg nie qu'il y ait f· .' ,/
trois personnes dans l'E:5sence Divine, encore ici sa révélation est' J.~•., ,.n~,:' f.
de X.V. siècles trop tard pour êtrenéee:;'laire, vu que cette hérésie;" 'J~'" y••
---.:.,_._-- ---,-~
-7~
bien dit, les écrits de SWthlenborg pour remplacer les cérémonies .~:'
païennes ùe la Papauté dont les jours sont comptés comme le Pape ,.'
lui. même sera remplacé par ce dernier Anti-Christ) "Emmanuel ar,(;, ··;··'~~~ll~tt,(f].~:
Swédenborg." "Et alors paraîtra ce méchant, que le Seigneur '. .
.1
-. - __ • L-~ ...... _
,.. ,~.
~..~I"'''':''
'.:': "1.•.
-8
jusqu'à ce jour je ne connais pas une Eglise Chrétienne qui ensei
gne cette dernière phra ~ que chaque peI'sonne en particulier
est Dieu exclusivement. Pourquoi employer le mensonge et la
duplicité pour combattre un adversaire; car nous ne disollB pas
que le Père est Dieu en excluant le Fils ou le Saint-Esprit, car nous
admettons qu'il n'y a qu'une seule essence divine. Swédenborg
ajoute "peut-il penser qu'il n'y a qu'un seul Dieu?"-Je vous de- ,
mande cher Monsieur-tout préjugé mis de côté---quand on pense "'Jet :;.o'
ù. l'esprit, à l'âme et au 0011)S de l'homme, ne peut-on pas penser ::p,y-IJ"
qu'illl'Y a qu'un seul homme? Peut-on avec Swédenborg pen_of "1';4/.1. II/l,
sel' qu'il y atrois llOmmes?-Non-Swédenborg n'€ s t pas plua C"- ~~.,.." : : ' .
heureux lorsqu'il dit" de plusieurs personnes qui forment ensemble1f./-..r'aNr ~:.. '
un Sénat, un Consistoire, ou un Concile, on ne peut pas dire q "'ttI~
BOnt un seul homme." Ceci semble être un coup de triomphe pour I~
Swédenborg et pourtant ici il nous donne lui-même des cordes pOnl;! ë'JIfU11ffJ.. ..
le fouetter. Car je voudrais que l'on me montrât où l'Eglise Chré- J ,.,
tienne a enseigné que les trois personnes Père, Fils et Saint-Esprit ~#iIt., ~i;
ne sont qu'une seule personne? Mais nous sommes bien certains#:,.&""t./"J'
que cette erreur ou plutôt cette hérésie est enseig'née dans les"" ",'/ "
, . de Swe'denb org.
ecnts 1. {, /'!~ .' j'.;," '
(J.l ;. "';".
pour süjet Dieu, il a aussi Dieu pour attribut, de même l'homme ' )'
est sujet et attribut et dans le troisième exemple le mot diamant est /1 '..~ <"- ",
fait logique de l'Eglise dans notre premier exemple .ces trois cou- :~, 1':
leurs rouge, blanc et bleu sont le sl~et et le pavillon Français l'attri-' "
-9
Examinons ce que les deux réponses de Messieurs I,e~tlge et
Edmond de Chazal nous disent sur la Trinité, surtout sur cette preu
ve dont j'ai dit que rien au monde ne peut la détruire et qu'elle est
sans réplique. Commençons avec la réponse de Monsieur Lesage.
page 4. qui dit, vous déclarez d'après Matlùeu que la voix qui
vint des cieux, était cene du Père" et pour preuve que le Père
n'a pas de voix il me renvoie à St Jean, Chap: 5,37-0ù Christ "J.'L
dit "Vous n'avez jamais entendu sa voix, ni vu sa face." C'est
d'abord bien avec légèreté que M. Lesage demande lequel des deux
Evangélistes devons-nous cr()ire? Car dans le passage qu'il a cité
ce n'est pas un Evangéliste qui pade mais c'est le Seigneur lui- ~l~~~m
même. Il n'y a pas de secte qui n'accuse pas les autres Chrétiens 1'//l'1I'S~:1
des mêmes erreurs ou hérésies qu'elle enseigne elle-même. Voilà par ,1" "«: t~'
. exemple tous les Swédenborgiens de Maurice dans leurs entretiens' '. ~
et dans leurs écrits qui accusent les Chrétiens de ce qu'ils s'attacueiit'./f.{ j1I'M l~. ,i(... 'V
l,J ..J;,. ,'. '.' à..la lettre qui tue!" et se sont eux-mêmes qui s'attachent à la lett~e 6t ;A'4
.hf/I! ~{~.
'1 ~lINk(tlJ qUI tue' dont nous avons une preuve dans le texte que lIOUS exallli- 7-'. 7- '"
1 n,ons. Prendre ces paroles du Seigneur littéralement comme M. Le- ,h.. 1'/4#1 ~
sage le fait ce serait vraiment accuser 11:1 Seigneur de mensonge; et
tellement il en est comme convaincu qu'il me demande" lesquels des
deux Evangélistes devons-nous croire? " Cette horrible accusation,
pauvre mortel! n'est pas faite contre les Evan"'élistes comme tels,
mais bien contre le Saint-Esprit qui les a inspirés, ou plutôt contre
le Scïgneur lui-même dont vous citez les pal'oles! Quand on lit le
eontextc, surtout le verset qui suit celui en question, on comprend
facilement le langage du Seigneur; et que dans ce verset 87, le ,. . ~..'
mot entendre signifie obéir, et voir signifie faire attention ou ./
avoir égard. C'est comme s'il leur disait: Malgré les évidences. ,·~~/.,'1'J1
ou manifestations que le P~re vO,us a données de sa présence' At'~.t. .f~. ;(4
soit sur la montagne, soit dans la eolonne du nuée ou de feu, spit'/yM- , .
dans le lieu très Saint, vous juifs n'avez pas obéis, mais vous êtes fl/~/H-«-L
l'estés incrédules; et quand même je suis incarné et que mes <Jt'lvres ..
témoignent que je suis le Messie YOUS ne croyez pas en moi.
.
l,.
n y a plusieurs passages parallèles dont nous ne citerons que
ces deux. Jean 8,6" quiconque pêche ne l'a point vu, ni ne l'a
point connu; et cet autre verset 8 Jean II. "Celui qui fait le mal
n'a point vu Dieu. "-Quant à avoir entendu la voix de Dieu il y
en a des exemples sans nombre dans la Bible; voyez entre autres
Deut: 4,12, "L'Eternel vous parla'du milieu du feu, vous enten- .frp'",I(.
dites bien une voix qui parlait," et V 33, et 36 du même chapître.
Exode 19,9, 19. 20,18,22. Héb. 12,18'. Deut.5,24. "Et vous
dites: Voici l'Eternel notre Dieu nous a fait voir sa gloire et sa
BTandeur, et nous avons entendu sa voix du milieu du feu; au
Jourd'hui nous avonE? vu que Dieu a parlé avec l'homme." N'avons
nous pas deux proverbes' qui disent-Point d'aveugles comme J
.. _." - --. --. -';. ,X p;;:.
"r'~. ;.,·'~.II".iI
-10-..
veulent pas entendre. Veut-on dire raI' lc\ que ces personnes 80nt /.
littéralement aveugles ou sourdes. Voyez donc, cher 1\'lousieur, ,:~.6>·u~.·
1
-11
sous la main, et en font leur Dieu. Vous m'uccn8ez encor?, ~i~r,~~~t}~
siCtll', "d'avoir onlo,,6 ù l'homme la yoionté et le droit ùe })ouvoir
aimer lil)l"cmeut &a., &a." Je vous prie <le me dire, vOns q.ui,
vantez tant le libre Arbitre de l'homme commcnt cela ce fait-il
que hors de ces millions et c(~ntaines ùe millious d'hommcs qt i
ont peuplé ct qui peuplent encore If~ monde, vous ne pOli 'ez pas.
me citer un seul exemplc où l'homme suns la grûce de Dieu, mais
par son libre Arbitre l'st retourné ù son Dieu. Je préfère de croil'e
que tous les hommes sont menteurs que de croire que Dieu a menti
quand il dit il n'y a point de juste, non pas même nn seul, il n'y eil.
a point qui cherchent Dieu. Romain III, 10,11, &a.
.. Excusez l'allusion que je vais faire à votre raisonne ,nt et à
celui surtout de Swédenborg; car je -crois que vous le cOnll)renùrez
mieux que toutes les preuves bibliques que je pOUl'rais citer à l'ap
pui de la doctrine' de la mort spirituc1le lègale ct m r~le de
l'homme depuis que le péèhé est entré au monde'. . Je dis donc, que
votre raisonnement et celui de Swédenborg sur le libre Aroitre de
l'homme ressemblent aux raisonncffiPnts de celui qui voudrait cher- . ,.~, ,f'.,
cheT à vous couvaincre que ·la bagasse qui sort du moulin est aussi If!,,': ,.'" "-: ; ~
pleine de jus ct aussi entière que. la canne qui est cne.ore deb0.ut '>'-fH""
>, ,
dans vos champs. Et vous, :MonslCur, vous voulez me fdnc accrone ... ~/~ ",:
que l'hOl~mlC chassé clu Pamllis, maUllit d.e Di~t~, dont la vol?n~é et -t'/t '.,' , ~;; J ~
les affectIOns sont corrompues dont la ne slnntuelle est etemte, . .<:(.
en qui l'image de ~on Dieu en laquelle il fut crée est entièrement
effacée, vous voulez me persualler que cet être déch~, corrompu et .l.,. \; "
mort est le même que cet être parfi.lit, saint et pur qui fut en un t, JI.
,,' ~ .<!.
e a, .m~ag~ ù? D'lCU et que'
mot cré"l" l'E'terllelmIt
' d ans 1e P ara d'IS,:'
[l'/'. ·w, ~ i>.tl, ..._.
terrestre ou Il JOUIssaIt de sa faveur! \./' ' ,
La grande hérésie de Pélage, d'Annénius ct de Swédenborg c'est
qu'ils enseignent que le Salut est quelque chose qui n'est pas encore {';,.. .l.':-' ,.
faite et (lui par conséquent est encore à faire et que le Salut est
conditionnel dépendant de nos œuvres d'amour et de notre volonté;
toute la Parole nous enseigne que le SaInt a été prépaTé par Dieu
dès les temps éternels, Rom 3, 24. Eph: 1. fJ-l1. 1 'l'hess: 5.9. Q
Tim 1. 9. Luc 2, 30-32 1 Pier 1. 18. Le Salut est üniquemcnt l'œuvre'
de Dieu et nullement une œuvre humaine. Cal' nous serons sauvés
par GRACE, par la FOI; ct CELA NE VTBNT rOINT DE vous, c'est un
DON de Dieu nOl1"point p'ar lés 'œuvres, afin q\lC personne ne se glo
rifie Eph 8.,29. Le Seiglieur lui-mème 'R dit NUL He peut VENIR à
moi, s'il ne lui est DONNÉ de mon Père Jean 6.65. La parole est très
explicite encore quand elle dit" Que lës enfants de Dieu ne sont .'1 ,
pas nés du sang, ni de la VOLON1:É de la chair, ni de la VOLONTÉ
de 1,homme ( ou, est donc le libre arbitre tant vanté) malS. '1
1 S SONT
t.;;~. ,r. toi'!.
r/
NÉS de Dieu." .T ean 1. 1~, 13. Nous disons donc avec la Bible
que l'Election ou la prédestination au Salut est inconditionnelle
r ..
~12-
,
~~flj~~~à'partdes hommes qui sont les heureux recipiendaires du Salut;
~·~/~~:i.;;~~~J':,~aîsc'est Christ qui seul a pu accomplir les conditions par le8
ùelles l'homme est sauvé par grâce, par un don de Dieu. La simple
e'cture de la Parole suffirait pour convaincre ceux qui réellement
doivent trouver la vérité: Voici quelques uns de ces passages qu'il
.'6~iJ.it bon de lire et de méditer: il est dit que nous sommes élus
PQUl' l'adoption par Christ Eph: 1. 6. Pour le Salut 1 Thess: 5. 9. le
·T~les: Q. 13. Nous sommes élus pour ob~enir l'aspersion du sang
/ '1 de Christ.-! Pie~re 1. ~non pas à cause que nous sommes p.urs- !
~~~~~~~~'. ur obéu a Chnst 1 PIerre 1. 2 et non pas parce que nous obéIssons .~l.:J."t4J';lf:Y
t, r-! . à Christ-po-qr ~tr~ iC~I}formes à l'image de Christ et non pas parce. ~ . :./ . #.~ ~
que noUs nous sommes conformés à son image. Rom 8. 2S,29. ;r V,tr;
Que 'n-OUi somri:tes .'&lus POUR les bonnes œuvr~s et '!lulleme.nt à Ltu//t'~
Z· ,,"
,.
cause de nos bonnes œuvrés Eph 2.10. enfin POUR etl"e samts et rrré-. '.ol.'.. J. j ' ~J ..'
préhensibles en charit~ et non pas parce que n(lUs sommes saints et ,.7HVJ' c1i ~
irrépréhensibles en charité. Eph: 1. 4. Si donc j'ai dit qu~ c'est' ~;P.;x--t- ~ tA-...
:, pernicieux d'enseigner aux enfants voire même aux grandes persQnnes J-.-/ l ' . , /J
" .i qu'ils doivent garder les commandements de Dieu pour être sltuvés, 1;P(d ~ "~lSe· u ' .
c'est que non seulement cela' est impossible, mais SUl'tout parce A.t#!t~ ~
'.p. que la Parole déclare que la justification DEVANT Dieu ne s'obtient . ,
pas par les œuvres Actes 13.19. Rom 3. 20-8.3. Eph: 2.8,9. (r ~fl;~'
Gal: 2. 16et 3,11. Job 9. 2,320, Job 25. 4--Ps: 143. 2, :;'1 . ·t~U " ,
Tite 3. 4, 5. Il ,.:;" Lu ;:,'!",' l' .1
11{~~-r~ .,~. "l- 1
"")' .
T eIl ement sont tenaces 1es premIeres lmpressIOns }'ellgleuseS'
/(~ }t~k."
et surtout celles qui sont reçues à l'Ecole de la Papauté, qu'on ne
pe~t pas compr~ndre ni e~tendre parler d'un Salut patuit, par
grace, par la fOl et non pomt par les œuvres; qu'on cne quelle Im
piété, quel blasphème, cela mène au libertinage, et mille autres
expressions semblables. Permettez-moi d'expliquer cette doctrine
par une anecdote qui, je crois, éclaircira la question beaucoup'
'mieux que de longs raisonnements. C'etait un des Empereqrs de
la Russie soit un Pierre ou un Alexandre. Il y avait une grande
inondation et il se trouvait une famille qui fut emportée maison et
tout par les courants du fieuve. L'Empereur demanda à quelques
unes des personnes près de lui de faire une tentative pour sauver
cette famille, personne n'a voulu. Eh bien, dit l'Empereur conmie
je suis le Père de mes sujets, je ne veux pas qu'aucun perisse sans
avoir fait une tentative pour le sauver. Il se jette dans un bateau
et réussit à sauver toute la famille-Que diriez-yous, Messieurs J
/1;;, .t'j,
si cette famille s'approchant de l'Empereur lui disait: ce n'est pas /
vous qui nous avez ~auvés, et maintenant nous garderons vos lois,
nous respecterons vos ordonn~J;lces et nous YOUS renderons toute
obéissap.ce et toritesoumission afin que nous puissiûns nous sauver;
qu'en ,dites-vo:us, Messieur~? }l'est-ce pas que ce serait là la plus
noire ~1'!-.grat~tude-ri!:l~~te~a:: plus grossière que l'on pût faire à,
-13
l'Empereur qui ft donné une preuve si éclatante de son amour et de. ',~
est leur Empereur; mais parce qu'il les asauvés. Je crois, Messieurs,
que votre conscience vous dit que les glorieux principes, et les
nobles sentiments de cette famille sauvée sont les seuls vrais, les 1
seuls conforme s aux idées que nous nous brmons de la reconnais- ,,/
sance et de la gratitude que nous devons à Celui qui nous a aimés /" if.;;; . ,;~..
et qui nous a sauvés par son sang. Cette courte explication que .~" . ~. .' ":'
nous venons de donner du SaInt par la foi seule sans les œuvres et ; ' r." ~'. '. 1
ce que nous avons dejà dit sur l'élection inconditionnelle doivent ,1/ ~ • .••, ~:I( ~r'
suffire. Ce serait vouloir faire un grand volume que de nous étendre '
sur ces sujets; mais mon temps et surtout mes moyens ne me per- h'
mettent pas de traiter ce sujet plus longuement. Il me suffit de
connaître que la Prédestination est une doctrine de la Bible; est en i"
avt-, /
Û~4
"
. ,. ,
-1-1
tion du temps ils seront GLORIFIÉS. A ceux dunc qui vculent. ajouter
une illfiuenee, ce serait faire une insulte grossière à sa Majesté t' ~~ ';:'4 p"'j".
1
divine, insulte aur5si grossière si ce n'est plus encore; que celle que ./
1
l'~m ferait ~unl\Iéde~in,sioa lui disait qu'il est lui l'opération ql~'il 'I,!~I-.l,; ~.. l .
vwnt ùe faue sur la Jamhe de son malade!! Je ne veux pas ùue'" ,.. \ ,
par là. chers Messieurs" que vous insultez volontairement le Saint- .;/, !~!1-1 '
Esprit; j'attribue cette façoll de parler plutôt à votre ignorance des_" #'.t"
Sa.intes Ecritnl'C$ et (tWC nouvelles idées que malheureusement vous ' " .' '" ( . ,
ayez puisées daas les éerits de Swéden1>org'. .Te respecte vos con
vietions roligicusc.3 quoiqne je les croie sans connaissance; je tache
rai de vous:écluirer d'après la Parole sm cet important sujet. Nous'
disons:donc-" Que CELUI à qui toutes les propriétés, tous les attri- ,
buts, et toutes les opérations personnelles sont attribués -; et à QUI ,'; " .,) ;.:' ~ ,
rien n'est attribué que l~s ChOSCfl qui n'appartienncnt proprement· > ,
Qu'à 1111e Persunne, IL est une J>El1.S0NNE et h Parole nous enseigne ,,':': ';4Î!(,."'t
{; croire qU,'il est une PF.USO:'iNJ;," Prenez l'Opération ou l'influ-. ' • ~:;
ence ou quelque autre attribut de Dieu soit l'Amolli', la Sagesse ou (,'/14. ,'''':. ~
" •.•.• t.
,<
-15
':~~~~~f~~~~~
l'attribut d'un être intellig-ent?-Par exemple, une opération, peut-,
.a-t-on appris qU'411e Opération, 01:\ , une infiuen<le peut pon ,Ileule
~,~f:~
-MÊME,) mais il DIRA tO,ut ce qu!il aura Quï, (peut-on dire ëela "
'd'une chose, d'ùn a,t~l:i.but ou d'une opération? ) " et il vous ANNON-:- ~~/.-J~ /.
P~'en~i enc~~~ Actes I3.~,-4. ,t' Le Saint.Esprit DIT; " (-e~core l ,~r~'JiI,,"';1
'une fois une influence ou une opération peut-elle parler) séparez- 1
'1\-101 (qui est donc ce moi: cela ne 'peut pas être dit d'une chose; f,
d'un attribut ou d'une opératlon;· d oncI Se' ai.Jlt-Esprit n'est pas .1.'
1'(1 , Ip*t" ,t~
une simple opération, une clwse; mais UNE PERSONNE) "Barnabas :'.'l' .' {J.'
8t Saul poui- l'œuvre à laquelle JE LES AI ·APPELÉS." Voyez de' t-II/o
,1>l,:s l'\nsti,tution 1u BaptèJ?e "au nom du .Père, du :Fils, et du
"Samt-Espnt:", ICI encore SI l'un de ces trOIS est une personne,
passage. C'est dans ~es Actes 5. 3 comp avec Mat: 12. 32.'
;'(1r
, Dans le premier de ces passages il est dit" Ananias, comment 4 ,/, ,11
Sa~an s'est} emparé de to~ cœur jus9-u'à t:incitcr à MENTIR a';I' .I.#"~' • )/: ,
SaUlt-EsprIt." Un tout petlt enfant salt qU'lI ne peut pas mentn' ,r . " >l
a. un~ P?upée ni à un ~hi~n ou au~une ~utre chose, mais .qu'il pe';l~ , _ /' tlf.l,I;.'
mentn a UNE PE~soNNE,a un être mtelhg'ent; donc le Samt-EsprIt "',fy~~ l ,
dit que le même péché contre lé Fils peut être .pardonné hindis
'Esprit.:" Qu~l,t-6i't 'ou "pébhé 'peut-il. y' àvoïr a parler contre' le Saint
./,
-16
l'!~
"~il être moins coupable de parler contre le Fils qui a reçu sans l'
, mesure de cette i~uence? J?Dnc to~te la Parol~ r.end témoi~nage l " l,
.' à la Personne Dlvme du Samt-Espnt comme du~tmcte du Pere et f
. du Fils mais UN avec eux eu Nature ou Essence Divine-dans ," ~ 1- 1-,• .:.
l'Essence, Jéhovah dans les penlOnnes, Elohim. ,'.1 ( _ ~~"i
/ ;/ ~~J',"
-' 1~;#' , '? f'UlJ l!d-.;1 (1 phI-_ ,.f~~ -J/r~:"~.'.
-. r ~ . , ' . ,.. ,
-, 17
'!~
.il pas une personne aussi? Mais "s'il faut-croire le S~ignèUr;'
. . ~'"
Ici nous avons le pluriel par conséquent. il faut qu'il y ait plu": et!/f'- ..(.
Ilieurs personnes dans l'essence ou nature divine. On peut seule i ,.. t' ", ~r
{ ...l'tVI.I
"
ment objecter que ce fut la manière de parler de ces tems-là. Ceci
" est faux, car ce n'est pas la manière de parler des Hébreux et on ne
peut pas citer l'exemple d'un seul roi qui ait parlé de lui-même
dira: Nous; mais on peut prouver le contraire, car tous les rois men
tionnés dans la Bible parlent toujours d'eux-mêmes au singulier.
Voyez par exemple le Roi de Sodome Genèse 14,21, :Pharaon
Gen 41,15. Nabucadneza~Danie12.3,5J8~
: - , :J
Voici l'homme est devenu comme UN DE NOUS sachant le 1 f.(~ ~ ,
ft
bien 'et le mal." Gen: Il,7; Ici encore nous' voyons qu'il y a ;. . __ '*~~'''-,
plus d'une personne dans l'essence divine; parce qu'il est dit UN DE •
NOUS de qui? Cela ne peut s'entendre des anges, car Dieu ni /.~- LI -"
l'homme ne sont pas semblables aux anges; car quand la parole
iL été faite chait, il est dit qu'il n'a. _pas, pris la. forme dea_~g~
/
: ........
·,·.---'-.,18
"
I,e non;tbre mêmeel't indiq.ué- <fear il y ep a TROI\,!, qui rendent, té-'
,moignll.oooe au Ciel; LE PÈRE, la PaTole et LE SAI-N,T-EBPRIT, et <JES
,'J'ROIS-là. sont UN." Dans ce seul verset nous avons toute la doc~
trine,-léurs noms, leur nombre et'leur unité.. ,1 Jean 5. 1.. E"~a.
minons un peu de près' ce passage; il est dit qu'il y en a TROIS. r 1
: Là. qut:3tion e"t, Il~ "son~'f2è!l trois ~à" Ça ~e peut être trois ~t '. î
opérations ou influences; Swé(l;.nborg zi)en 'a<hl1et qu'une. Ça ne or ,.
peut être des Anges: il y en il des milliers aux cieux? Ça ne peut
. être non PLl!~ .es.Jl.o.~~es}!..y en.~ .a~s~i <ie.&...milliers da!ls'l~~.ciellx l , trJ4., l'~~;' /
Ça ne peut pas être tr?IS manifesta~lOns-ces trois.-là. étaient sur la U'/,,' FU;;}t-"- -(,.
terre et.non pas au~ ClCex !-D'aprcs les preu,:es blblIques que nouS' • t(f.l, ,,'/ /:'1 of _
avons CItées nous dIsons donc que ce.s,ont trOIS personnes on sub 1 , J.•
tanccs, distinctes, vivantes, intelligentes, puissantes, individyelles
et Divines. Et que ces trois glorieuses personnes n'ayant qu'une
1>eule.et.mê)he naturé ouessence,elles.sout UN et par conséquent elles
sont UN SEÙL DIEU. ,': , .' .:.. '. " , ' , .1'
, . Je prends ma demiète, citation de l'Apocalypr:re 1. 45. /' La
grâce et la paix voul1 soient dOI1ïlées par celui qui est, et qui était
ct,qui .sera ,". (.le Pè.re) e~ par le~ sept e~p~its qui 'sont devaD;t son
trône; (le Samt-E~pnt) et par Jésus-Ch,pst. l , r ! , 1 : ':
f ' 4"" • J ' r ~ ~:1
Maintenant je ternüne ce petit t'ravail eh montrant d'après les
Eeritur-es que le système d~ SWéden90tg'est àbsurdé, ridicUle, don i
J
- . .
"!!I:~.·~
traire n1l 'iilllpl,; h<lll SI'n" N cm oppo"il;jon :1,\'('8 Ll.Pill'olo. .Il) poiij!";~~~~'"
vais rf'lllp!ir llll "OllllllC dl'. ces au~urllitéR; ma~,~ Ù 1)l:lU,i bon? (]Ptl ou ~\;
troi;:; ,()challtilhl1~ suifirollt pDur celui qui est vr<.vill1enl Ù. III Ioelwrc!te :
rk la v~ri té , PI pour eux uotre pllls anl('Ilte ~t fervente pri.t\rc ('st
q,uc DièU )~' P;\l:e pnir;se lent' Ùlll?l1C,r son Saint-F.s,prit J)(nml;>i,éehli- <' J,
l"cr et les'mstl'Ul1'e tIans la doctrmû de ~01i cher l'Ils notre Saureur. '/ "
/ 1/ l\-[;lthl~u 3. 16." n. Au haptè1l1c rle Chri~t: " L'Esp};i,t: fl:~n;':', j~ ,
":;'ï';L-2:/~ulMsf'('lidil~t. e.ol~lnl(: unc colonlb~ ct yellant i"U1"', lu~." Lue.~'. ~~,'Ù8t /çt
1
. "d
ut
:.J,.( tfl, v:k-l*~t1.~mps HUC vnix Yl11t des Cleux, qlU dIt:, C est'lei PlO11 1:)1:;; ib,l -,"
l1
tt ""'" aimé, ('n qui 1Ï ,mis tonte, mor aft('I',1jon.'~. lei llons ay?n~:-bi{'ri,
d",ux per;;ollues {hstl11_ctçs, satU> delJ,..x iünnc~ CQl'Pc:rellcs d~t;tl1l.cr\~s
_
ft ;#H#'"" et séparél~R;,et p~lÎsUl,le trôi:sièml" qui sc fait COl1llHÎtrc lmr une \'Oi~
, du Ciet Et 'Swéslc_nbon~ et. ses (iisciples ne voient dans tqut cela : 1
1\"" .
J .lOnsleur
L d'" . l l l ~ f' . d "1 '·1 ''/,.
esag~ ,!lQ.us It: ',P us ~ e (ont(', de con ~\SJOll fil e 1 ' ! - ( PZ4.
#1 1
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paroles de notre Divin Sauveur sur la croix; ce n'est que pour ~""
cette fuis seulement et ma tache est achevée; et j'aurai accompli '
mon devoir envers mon prochain, car c'est là la véritaMe Cha-
rité que d'éclairer son prochain, de lui tendre la main avant qu'il
ne tombe dans la perdition et au moins de faire un effort pour
l'instruIre' dans fa vénté. J'ai finis donc mon travail et quelque
faible qu'il est, je le recommande humblement à Celui qui seul .1.
peut le bénir; et j'estimerai toutes mes peines et mes études plus 1'U',/,~'!'!
que mille fois recompensées, si ce petit travail ne seiait utile qu'à" 1·
ramener une âme à la vérité. CApoc: 5,13,) Or à Celui qui est ;f(-«1Ù ~.",
assis sur le trône, et à l'Agneau, soit louange, honneur,:;Z;loire;r;It ~/j'"
e,t fo'rce aux siècles des si~cles!
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M. EJ)MOND DE CHAZAL
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DRBJXEIUE DII E. DUPUY ET P. DUBOIS, Rila DE LA RIlIHB.
1861
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Cherchfl.z premièrement le R~yaume(ati.pÙl~,.,. 1 "
, ,~'tpu , choses vou!\. seiont do~ pft' .~Oit;., ,- , .
,, Ma~h, VI. 33.
8hu marches daM. mes voies etai tu gardes ce, que j~.'I'~,
que l'on garde; tu alU'll8 aussi le C~eilt de nia .liWB.olÏ
~mê~e tu g.u:d~ mes ~arvis, . 'q'lle tu ~Vç):l'
1
• parffil ceux qw aSS1.8tent lCl. '. "
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uité; que rho:nmè n'a p:t3d~ libl',:; al'b:tr J; qu:l1a Foi seule
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. .' L'argllment que ,vous considérez p~rem~re pour
)Ji.ines est basé sur' l'analogie d'un picd cube avec la ,:rrj
. -., V'" .c. • , , 1 ... -, ., •
mt~.· ous ne lalt.es,que r<:p,:ter c.etîe opale a.)-surdIt~ du·
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h~ ~~~~:q~m. l1g~, _.5'l po~~, pl! sa r'l oute,.PUlSi:ilnC~,que
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" le Fils est une pel'sonne qui s'en va: pourquoi celui qui Viel(t
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s.<illJ~ I?ivine ~'l:in~té, de Père,. Fijs et. Saint. ~sprit; .~arce
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teüx qui s'adresserOiIt_-miSeigIièur get11et qui ~~1Id1ï
nous arracher au triste sort qui nous est réservé' par ce que
Divines ~ Oh, j'aime _mieux croire que votre esprit n'est q~ '.
.~'--~~ . . o~.~-,,-,:-.,_,,",,~.~,..
- ''''d1,..'~~·.?::'~
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~risHanism~·~~~t ~qué le ~~sultat de~ l'abus Je plusd~~
~~lé aU)dI~lt .J!ndlV1du~1 d mte~étatlOn-de; la Paro;J:e,~ ,f..es1.
).
" ~s-'du. Pi'~testantisme 's'ont le' libre examen .lii·,'P.a,rol~
miserà la portê~ de. tous pour combaitrele p.ouvoir quipré.2
,<
~
~e. s~~at~aii,' de~vo~~,'e:'~û~~iIiSi .~ûu~ vous ~rôuveriez bieiit,ôt._
~~1 seul sa\lve par predèsgllation, pal'ce que seul v?Ü~
,
$; ~~
.~: ......~~..~ 16
. ~ .. .. ~ J,
)
':8tcePtPns~vecbonheur tous les bienfai-ts'du Ciel par l'actiye
'ooopei'àtion des· générations .qui nouS ent' précédés; nous.
recoinaissons avec hurriilité 'què' tcrutes' .nos'b()nrie~ ~nsées
.noùs viennent du Divin, P'!-f le Ci~l; suivant": notre désir Au
'( *n; ~ous reconnaissons qne la: Divine Toute Puissance ne
pOUYa.~r:nous rien accorder au' de-là; eal"·nous partageons
'a~ê~,~e,: 8.eigneÏll'. le bonheur qù'!l: n'a voulu nous donn~
9..~'én,<'tP~~ êml'loyarit nous mêill~s' éomme iIIS~rUmen~s ·de~
b~~*; ~..:~i, ~~. s~ntiment: :~e l~ per50mt~ité est ~-. cond,~tion '
ensahJe' de)a Vie humaine, 'jé!!!1i~tis~plus noMe but ne"
:t>~:"~'- ~~rert 2à Tâmbi~i~~,~:.ra pen~é'e-,j~~ai~ 'plus puis.;,.
:~~.,l?:lgblle ne ,put stImu~ la yol0l!.tê' a 'renoncer aux
,o.u~~s<l:nces exclusives de l'Egoï~rric q~i est lê p1'ÏI1cipal ob.
~t,\c1e à l'~cco~plissement de laV olonté Divine.
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Quelle· plus -;grande' preuve' v-oulez vous . d'ont: .qUe
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riàlité, qll'un.1fold -' -. . - .
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'wSl:li-on:- ëStdans· ses' œuvres même; dans la Révélation du
..•~6S"~spifituel qu'il nous transmet, et qui fait cesser t6liMs
'~nos in'c-emttidessur: la nature réelle dès relations de' Diên
~~c;'~â,~liatul'e pat- la' Parole;danS la Doctrine de ~e
"Qiabt.dé I~nspÎ1'atwB du 'Seigneur même:et qui doit, BOUS
ramener'parla vie' de la Foi et par l'exercice de la charité
., j.l-"~és~.tJvre~,.nj mê~.pren4re-e'Qnnais8ance ..
,_ .,.,-=" '" .; '<i:
'.10'
~'l'-.o;~_L la,coopera
•
,~1i.1ëJ~tallt ' n· on-,h ·
umalBe,VQUS .m.eç.onB~jl.tz
, .
. . di~_ 1a. __P,arole qUI.ll;est
~..&Jij~l, , que" l',~uV're,T'""iOUS, 1'·liUjl
jifati~,tlu Divia" des génératiœ~,Buç~~iy~s ~ du .Type.,Je
$ .R1rJajt'4ej'.HUp1,~ité ·sowda jFléI;litude"cle.x~ctioJl,' /lu
~ ~ ~. l • •" ' • r • "1 't'·
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création
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maté.riel~e
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c;1e
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l'univers.
• "::-.
.. Jne! ..:1
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• "-'~ -- .. '
}"~~.:~ Eh' éffet; la prem:ière chose q~i' no~s frappe dans i'étùde
.- titm~ eMi.îi 1~r la~miserl(~onile 111 fil11e: .Les' SI x 'J ()urs·de la' crea
"'Ûon né~pl'ésentent ni--six jours ni six grandes époques,.mais
··:'siitétats 'sùccessif$·:de 11& régénbration jusqu'à l'état céleste
f èstHlé\'8eptiêrde jomi'ou:..l'ét&t de 'sainteté dans' le· Seigneur _
'le .répos~~ iârpaîx... ~ riN ous .acqtiérons la conviction que
èlS 'langfigé 'SythhbtiqueeBt' la. correspondance .réelle des ,cho
L
',~.:. :
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' ..
·':.;.T ':,;:'" .,:_~'_'
"
riosité ~qui _noûs ponsse~ ens'pife à· .vo'u;loir·~ne!:-un~·
origine ci, Dieu lui~n~êzne,q"!1j~st:p~urnous~nsondable com1'
me l'infini;: nous, a.pprenons ,.qu~ ~àio!ie r;.e. pe~t~ être.. ,qu~!.
le résultat d'une semblable investigati~Y.:" . Çe qu'ilnol.\1i·
importe de connaître, ce sont les relations de
Dieu ,avec Sl(
cMature; tout cé qui peut nous être néces~aire Acet ég~d
nous a été donné par la P-àrole ;·d'ahord par le :liens littéral,
dans la partie qui doit former la Loi de nos rèlations na.tu~;
relIes dans ce---c-monde des effets; ensUite par l~ s-pirituef
dont la Révélation nous •. fait enfin comprendre la Loi ,.de.
cette vie' '8p~rituêne à laquelle nOus sommes' destiùés pil/',
l'immortalité dans le monde des causes. :.
?-• . '
~.
---.
8ëft~tti~et.':8~S:.tP!.r:~~,,,_~u' . .lJC1Ugy; ~~,::~,.~~
'oti.r~d~, ~Babel,;, nQu~ .~xpIiq~ettehistoirem~euse.' ,
au:'peuptê juif;"tîni ;contient ~rclanll',seEt détails les secrets' du
:~ei' et-<de la ,~~"';: ::' -~;.t ~ J
~- .... - .... ~. ~. ~.
.~:-. ." ,~; - .
~,~~:,:~~~€?us ~~ ~l'1 èffet l'époque 4e,la créat~onpo~~
_ eI'oÎrè' ià -la J?§f9~,t _~~. scjence. qui vi~t ~ous .d~~Qnt~r:
les ~écouvertes,qù'illüi a été pennis,de faire que notre'
globe ~p~us de .cent mille an~ d',e:ri~~nc~, lès apnal~s his
Qrl@..e&_9:e'la 'Chine qui ~moIitent à dix mille ans, vien
tiGt.
)- -.
a~""-cohiraire,'.. corroborer
.-
la vérité
-
des·' assertions' de.
s'wedenborg;
.. '1'" ~ ... . ; . . .
car, nous
.
apprenons, par l'étude' de, ses :ouvra
g~Qlle.>{oé et ses, fils n'étaient (pas plus qu'Adam n'était
,_ _~.)lOmm;)~ les, 'seuis :réchappés d'un' dél~ge ma
t~el- _unJ.:verscl pour repeupler la'~térre; nous, apprenons
q~~r~i-eprési~~~ieilt et, .signifi~ient l~s . p~inci~s de- véri~é '
:rYé.$.dé.la tiè:s,.ancii:mIie Eglise eéleete; pour 'c'onsti:
l ._. '!ter "r~~cie!lI!.L~lise. ou. 'premi~?e_' Eglise, Spiritù~e,~()~t
t;~~81~'a~, p~ril' égaJement pour ~otis a.àn~ la _nuit dè§ t~ins; .
. ~Qusa.ePi.ên~ns que les traditi'<!ps de cette Eg!ise se sont ré~
~ciiIj}s' .et conservê~'s danS l'Asie dant 'la Chine est un' des··
. 'inciPa~ -~mplres,;, nous. apprenon~ que la Parole de 'cettê'
~llaê ~ été en'.partie conseriéechez' &' peuPle~la'
Gri.bde·Tar!iuie ; . n~us' app~Iio~s enfin que si les souvenirs
h~tQriq~è's_ des peuples occiden'taux ne ré-monte~t pas iIIa-.,
~ériePement. 3ullelài d'Ëber,., c~st gue cette ~poque _éia~t plus
't~e 8~saJ;ltëpQu~ iii ~ivine Pro~dence, âfiii 'de rb1ier par
lA Parole le,pàssé. et l'avenir dé la pensée humaine dans le
de
~;in i'lnfin~.' " .,.
- .. - ,.
'. ,.' -~nt fintention-de:l'éfuter.{ou~s ;vos a.s~rti~s,.
i de' qua\i'fier ie'sentiment, cert~ peu ~éti~n, q~. YOUi- ~
r 1,.
~~~' ~
.~e:~~~~3rsr~:W}~n.;=:;;.
. Di'vîn'è. elle..même:·dese fajte.,entendre .de.. votre 'conSClence ;
'"
.:':- t. '7 " ..
() ~~~~~?à1j;~~t&~~~;f~t';r;~~~~~~~~,~t:
volonte a la VOlonté DIVllle pour dommer 1e cIel, et f.:j. tel:~
ne~,p.9UY~)~i~ré-J?()~dr~}m~·,p'ar~!~ p.e'~
. c.;ut~o~ ~ont1'~',~eu~' ~~~'._ 1
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~s.~\1'S~~~~~i~~~~~~r. q~l'Y ~U~ he~ ·en.17?r:
ld~~%1.n:~<J~~<P,r~tffP'-gà1~~ ~Ofmaître'm le tems m'li
:~Jl ou s'étab~i~wrp0f!esG~obe le, "Not].velle Jé~~aM:
,n8~a ,~pléni~d~4e~~<i1Ilieti~.:q~!:·~p~d de la 'é!~:,
~Jaonde@: ~a\l.'~~~p~ mopde des ·effets. ~a,.usftq,r,
tAAmm..~il:~i~~~fI.Jis ~~cpp.~;incre,e§~~ .p.0Hl? ~~~ co~.
~~)A.ÇÇ,9~pl~j:lm~p:~.4i1~,-
)pr~q.~~es ~.~.l?a;t.;Q.~~
.... - : - . .
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.Îfn~~··aonij~miüh pll'diri?iihklà Nouv~ll~ Jér1Ï~alèiii:~
;exist~ILiMà' ~~~ ~.~.ltàefArn8ùè .parmi les ,carres,
r-1.~ i ;" .
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.,eai'.l~·•
. . . . . ' ~r"
;:~~~~~r~~~jf~41(r::W;;:::la~~~~4f
"; ,~1~11f," ,~ ,e~tj~-ffire.,tr~~ ~es ;:p~r::a~s l?ublié~ l.p.~~ lu~~ ~.
'.,1 .Hge.S, :p~!Ol~~1~1î~pliqJè,~t~: pa~ 'unê:; ~rophéüèih~is ilil
sim'pIè tait d~citdrè t spriit~él dtiht il était néce~saire 'qti~ ho ~
· r ~'::.J.1J:· ',: ·.'~·.·' .... r· fl -.~"':i-i.~ -.,;1',~~:- ~. . ..... ~ ~ ."i. ,'"
eu:sslo~ ~o~nal~san~e Fout nousfarre .comprendre 9...u~il ~
·é~é,' :p~tÛ'vi{ '1., la . h.ê~~on· de'
tous lès p~ùplé~pour _
·r~ëeIitMii 'lf~oHêcopd' ~~v~~émènten 'Esprit' dêVerit~; c
tous sont appelés à être sacrificateurs' et rois 'à"letir.
~ ~e.iflnrur .~t fff ~~ 1W-,,~~. JlQ~$' et !~ ,~i!l~~r'
..!l1fPlfrl~.,._~,~,,~.• _~~.! , ~- -.
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.: .iir pr~êfe ··femlJl~.~le.~W d~6: ~l~jard~~,··d~:;E;<;1:.~.; ,
":...\;direrpar1la,sédue#<>.nde.la.j>remière mauvàise affec
flIl?ÙS-~.sé-pare·.èle, Dieu; ey.: vP1!}&n~ par ~o-qs.m:ê~es
q1Ürir, c~ sagesse :q~ .ne fa:it: .~ctifi.er tout~s. nps fa~ul.
g!qnlaütailt;que·,.nou~·r.ec<wna,issonfl ~~ :t~ùtn~li~-yient dp
i'!in.senl'J oous i lapp.re~oU$ '.qq.e f~;il~sil' l~on~*ue le pr~•
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'~î", ",>~berté i~dm~~,el,l,;;.rh,:",~e' ne peut . troU'V"'f .llD,' _~(mheu~"
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:~ ~ 9~it qu;è' es~ uD:C.dPo,tri!ie ·selon l' o;p~~i~n d·'uJl :·ttl, et'l
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~·Chap. X. 41~ 4~. XXV . Z,J4'à 4ôet.àilleurs,:~t ,8i",éePë1\;'
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,. daiitq uand Ilr&itile'!bei1~es',~uvr~s. Il ne pense pas au me. '" .... _
.~~ amourS monda ins ,et aussi' dans les amour s corporelles;-"
~' , '. ' 'Si B~éd~ribnrg' n'ons enseigne que la charité ~st 'l'Es·
:"Sêtltiel'ète l'Eg,l~, il nous instrUit aussi que
-w là cIiJzYité:'lsf' _
:""-ëltez l''hmnnré en ra'iso'1t:deta squalité ët de la ;quantit~~ , ..
;.•~ 'VtaC:: (Art'., Gêl. :2189.) De -là },{)Dligation pout:-t~~
'-persorin~ qui 'li'â-'point asserv i'âon'i ntenïg encè' aû~ mystère~~'
'(' et aux -dogm~s.incompréhensibles d'une
foi. crédule' oU 'âV~~~
gle, à s'ërigliéfu' des vérités·' qâi -cons1itüaI1tJa Vraie,F1>L
Ces vérités se trQuvent entièrement dans les écrits de Swe.'
denborg. La Soc\été réitère son appel au lecièur i:mpartial'
d'en prendre conna issanc e.-Cet te vraie foi n'étan tqüe l'iih.
planta tion chez lui des Vérité s, (Ap. Exp. 813) il ne pourra.·
pas l'obtenir s'il ne fait, pas ~ge de sa fl!~ulté" ~en~aJi
(Ap. Rev. 776). ' Qu'~ lise donc ces oUvrag~s,et qu'il le
médite. Animé par :le 'sentiment du bien, et àuxieu x de
connaitre la Vérité,---..il ne saurai t manqu er d'obte nir la Foi
qui' alors sera pour -lUi -1' œil~e l'a}!?:Q.ur, (Arc: Cel. $63)
qui lui~fera_ voir e~ reconnaître la Sourc e, Uniqu e de toû
V érité,.-::Le' SeïgtJ.ell:f Jésus -Chri st,-et qui l'amèn era à :1.:" .._...-.-',
mer sen-Pi eu et Ti se. coiiiot:rrterà ses préçepte&..,C'est
quï1. erittm~~i1i~la~,q:~; &iû~ -ao.~~~~~n~
:...:....eor,~~
. ;~:[fl;'. ~IU
:;- .•..
··t: ~~:f ~-"éelui qui Iiè m~dit.:poi~t 'par sa: langue~ qui" n~ f~i~
: ';~.'p~inf:de Hlai à soli ami,qui ne lève point de blâmé contre
~~~$ôt1 pl'ocliain." Psami.îe XV'. 1. 2.' 3.
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-""'~- ,i:~Ç'est~ve.çu_n., 'séntiment de respect pour la supériorit~
,(Ie)irmiêresnes ConventIons Générales des Eglises d!An
. glet~rrè; dl Amérique et de France, que la: naissaI!!~ Socié.!é
,:dêJg., N01;Jvelle Jénlsalem à Maur.i_ce s'appùie avec b?nheur
Jàn1!'~k}Nns~ils, 'leur approhatîon, ~t se réun~t ~e pe~~~e
'~fd:1l1fectron'ê\tolHdeurs: actes ,comme à tous leurs travaux .lr--..
• _. • , .' • .• '. ~.. 1 _ .' ~ •
.~ ••'«l. -....
• 4.. . - .. _.,
PREUVB8
~ ~
......"
DE LA, DtVINITÉ .. SUPR:êr.rE
. .,. . - .. - DU SEIGNEUR
- , .... ... J·É8US..- ~;-- ~. " ~
.;= 2.~
.~: '.
'L, .- ,f ::... i::".i :.;:~).,:~(' ",: ".' ,'. ,,~': ":',' ':-.
. .qu;âiD~i. c'~st" 1~h~v~~. l~i-Wêm~ ~~i est dev~nu le" ~é~emP7
,.,... - ' . .
,... _" ~- ...(.) D~~:ÙlI pllllén.gea de l'Ancien Te;ltament où. 'ltlmot Seigneur est l€ cnt etHlIt· .
'1' ~~~:.::.;~S . '• . ,~1Ua~~c~~8,.cela .in4ique ~u'il y aJiaJU!.. I'G1'Ïgi.11fJ - (J~HOVAH)
." '~, ~""y;:.: .~~ !UI-e f~. ~XI8~~ _et ~~te pfW' lrW·1Mms. ..Le-m')t "~elgneur. en- pet1tes let~,
. -"':.'. -_t"- , "':1. ~~d ordin~em~ à. ". ~ (.ADONAI) ~vern6ur.,dlrect.,.r, 19'J'U'; .
. et 11llSt fréq.u'eiull'l?tit -a:ppUqu.é' "oiU 'Dieu; .-oit à;' des personnage. êmlnens, .
~t d·ms une de, cea qU!1litéa. , D8lIll la traduction- 'grecque de l'ancien
, '~ment et dans l'original du Nouveau le mot Jéhovah. est exprim~ par ,.
.:. ·qui:l\.,& pOll près la même ~ignitl.ca~on, en Le cqnsi'dérant c~me d~iVl!du:ver- .
be. - Ure, exister, ou ,ub,i,ter j et ce mot, qui e8t exyrimé pa: SEIGNEUR
'.' . ',daWl notre traduction, étant l'appellatif propre dg .JESUS-CHRIST, est en
lui-même une preuve, q?n'est ~ à dêd~gner. qu~léhovah,etlés:us.:Christ
Qllt la Jn~me personne diVIne, le- même être. C'est -Il 1-8 eonn&l9SaD.Ce de cette
,,6J;ité essentielle de tout culte réellement èpiritllel 'que fllit·€lvidemm-ent allu
,~Ïl '!IMlôtre- ~aul ,quand' il .di~: ,u NI~~e peu~ .di1'e qu~ !éslaest le
",-.~ONEUR,~.ce~..ett p~~e:5llU!t.Espnt. - l..Corlnth. ~11. ~"" . .
':.î~7···~~·,,;,~·t"~'·.~~L·'::"'··- -~ .
~.... ,o. l ~~...: ..: : t:
:,.' ..,:. ........
., ...~ .
, ~} .~ : .' '.:. .;.§ :-': ".> . ~ .:- ..•./'., " :.- .,"~ -;/: of;;· ~'. ,~.~.;>~~
'. ". . , .·:~h·~·'.!l~8, le ~~~: ~~;~~~~.C}~~Jl\ ~fa~~',8~~~~~_~:~t' .~
~, . les elifiln$ d~1s1~el SO!J! ap'pe1es.~_ en~r~ et. a- . Qps~rver
q~i est <?1'doIlUé, .~~qu~ilf~oiènttliè{ll~V'x~:,' ruriit~ diVine
. ,'est .~ncore pJ.li~D1.ent.:Wp11q~~e,,~~l~ 32e 9tP1ti~~~p.~ .
mêui~:li~~~ ~l)rt~~~ ~,V:.~:·/~.~ps~~e~ .qué 'ç'es~}d~
"Moiq~i suis'vQtce :Diey.; et illl' y}~~:~ point a.vec Moi." L:~
~eS' c,Q.P1m~e~èila- d~ ,Déé,"og\JB1;~st: "Tu< ri'.alU=aa ~ pôint
d'autre Dieli de~nt~. façe.'~~~i~Oti xx;.a~~L6,p1'ophê
'Esaï~ ~bond,e. enp"assa;ges q~i cQiroliarent cette doctrine:;~oü.s "
-. 'Ile citeron~_que l~.§ liuiyan~s~",le suis JÉHOVAH,.C'.est;1i\,.
'~Ùl~~ hOD,1~ et .je,.n~ qoiine~i poinf; ma gloir~ ·à. un~· au~.'nf .
"mes: lq'\1~gçs~,de8' images· tlillés.:'~XLIl.~.~~~~;E.-.
~''Cepié .lJl~l, y~a+il 'uni>i.eu, ety.at,..il-ùn:...roèherLJ.1~n:ea·.
~, èOp.n;Ùs win~. "-.~IV;~.-.Le~c chapitre.eât: ~i plein
aè déclara~on8' f()rm.ellea ie l'ulÛtédivine; .que., -pour-Jes .
.citer il f~udxal~·c.9pier.~ Chapitre toute ejJ.tier", ~. ~~.
suivantes sont tes plus renuirquables: . ..".
... " .. - ..' - ~ _. . ;. '..=~: .
. '.. "Je'~llis Jéhovah et il n' y en a -point d'autre;, e~~ , :.. ., .. ""'~
~ ~fJVlroiIit-~ Dieu.':'~X~;V. 5:::-:~"Regatdez v~ lnoit :~ . " .
~'.p'les:de tou!e:Ja. ~rre,. et. 'vè:n~s srrez sâuvés: C~j~'~~"
"Dieu, et il'n'_ye~ a point-(J1OA.Jtre. ' J'aijuré p~t rnqi-même.
":que tj)ut genou lléchira dèvant moi, et q~e toute lanwe
. ~jure~ par moL"-.XIV. 22~' -23.-Dans.·le·chapiîre
llPUS 1is.ons: "Rappelez le passé' dans votrerq.-ém:oire;
ic je suis D,ieu; et: il n' y en a point. d'a-uf're / Je suis ,Pieu,
"~èt il ni
en a 8ù~n'âe'semblable à·moi.'\-~XLVl.~~~ .
- \- . ~
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. -:....'! •.•.
,.'
•
'.
'nnn par la' plti~ Chretiens qué le getirè
t"déchtF de l'état de bonheur dans lequel il fut ori·
e~t créé, et 'qll'en'6onséqùence de cétte dégradation
ls~ption devint nêcessairè~po\1:r le sauver ..d'une ruinè'
~t8r,J1@é{ Bu~is on connait tort pell ~ù.ijourd'hili la .Vraié' na
'l'.f~~".i::~
~~.:.:.~~'
. .
, ,~t:!ê~~ Bé<lemnfion,
-~.r," ',.;l'~,.-,,~' ~ ..'-, •
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:'; .. " d'É~edans le jardin~d"EùèB;:~Uilltitir:étaiipeimis.~~é , "
libN:tii~Ï1t-do'Îrnit 'de ymt arbre de ce·jardî.~, :eieepté 'der: :~::~:
la
Yàrl>l'èiie scÎenèe du brenetdù mat: Lelil~. êtat,'Ù'inne-~,
cènee êst décrit-rlus' tard, 'quaitd itest dit: ~, Tous deux étài "
"nUS et üs n'eti avaient point de !r;Q'f#..e." Dans la suile
temps; cependant, . l'homme, se"· 4étourna' dngouvernement-,'
divin sous lequel il'avait joui' d'une;féHcité . c~lëSt~,'Et:i"
c,ommença à se"ctoire capable d~"se gouvérMl' 'Ju:f.même i'il ..
peIidilm':tnent.de l'influX"oU: du sêcours'de'son-di:vin Créa~'ti'hïtl-.·
~I'': "'",:.-.
Les oOImes, affe,ctions étaient indiquées par des ~oms: d'aI!i~;- _.. ~,_ "
maUx bons et· utiles, tels quemoutous, agneaux, va-ches;:" -,- ~ .':-i,
ceûx d~ .tigras, ours,. loups; renards et'· chiens, : &a..' " e~,
rnâux dans ies Saintes Ecritures, et qu'ils sont divisés en'deux -,:" ~. _
et
" bÛes du champl les:Dlsenux du ciel,' et les animaux ,qut~,
'" rampent sur la. terre. ~~~Osée, II. I8.-Ce passage enseigne<
;ites::oisea~l.~· spjrituellep1ent
_~_ . ~"J.
--avre'
de-s hO'~nDl~L~~ ;~~'e1
,..-:t'i::!'·· <.!·",:~?a
OJlwrun~ '~t$ ~.:r.--.'.. ..,.~_~;~
"i~JI~
r~ _. • ' .
Â-' ~
... '-.-, .. ,'; -.....-.......
..,
':',:~i!.C.-~~>·~ e ~
...... ;ir.-.
_., : ~
.......,...
'iUr'
,~ to.P. ventre, et tu ma}l~s la poussière tous les jours de
-."l~:.vie."
.' ~
G.ènèse. III. 14.-:-:-C'est. en se laissant aller aux in-,
. ; . '
:
,~
i.~.
.... '-..- ~;' . ,::- ,.}~~
"~d~'Ïioû:veaùf~,;y~,Tpèh.:VOi'i"l~}tliY~me de Dieu; ".,
lléd~nÎp~ èst üriè~ œu vreTmtîè~énf.divi'ne. : Elle COll:sis-:
te à repori~·s.er )'injhi~h~e'exeessiye~.qii?ies· è'sprits Iiùl:lins'~nt
obtenue sur la TaCe huinàÏ:nè, à;ouml:tes yeux",deo-I1âme- pout '. ':,
regarder les chbses ~pîrîtuel1ès,:Yct·:~ iÎidiqn~r plus ·clairement'· '. . .
la'voie"quicondul:tàla vie, au lionlfeur et àu Ciel; et· c9inlb~ '~i:;.
ces opératio:ilsne pouvaient ètfê'faites ql1e-par une main tout~'
puissante, on peut voir par les pasè~ges 'ci-àprès que. le toùt=
puissa~t Jé~ovah devint notre Rédempteur et' SauveUT:;'"~ .. :~_
, •• • - ... :. J .... .-,;
" Un enfimt nous est' lié, un Fils nous a été donné: l'èD:ipire
:~ \~}: ';.~; :. ;: ~ 8
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~.'i'ftl'le Père'i';ci,mmeilt.:~!"tudonel:McJntre.~o\l&le
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, - . .."..6de1~Sf,è~e~:dê.'1'R~mûté;~ui-8c0!1séqué~..,. l
,'eUtt,lés r,él~tfQUs.du ~il~,e~,6np('u1iele.n9Ul:, C&r,le,~~8
, m0t,'.J?:~; es.1; . '~ rquelqU-;un "quj.,/ngendr~;!OIt~t'Ui
~;:~"l~·,~en&,dùmQt·iEik~si·gnitie,,Qe'ql)i:e.,t ~-i~ou'
~f,. ..r~ ~DI>. ,()urraj~ntimpliquep~1le:dis~i~a-fd6
~~ ~isetW1mtI;Appl~qJ.léscà:,4es~& ••
:.: ~~~ ee~tla pl~NdeKw1\."umt,P'JtJr1~Ç~
:~~e~~ ..:r.~~et.·i'Üi:Sqnt'loÙlti~ini.itl;
'onnel distinctes,
:.-.. ~ .
•
8tOna:......·T._ - ..... ~ "';'.,
d'expi'e8slbnS, la 'si-gmfiéatio~pt6prê
et ptnnitivè{tles' ,moti cri .quésiion',étaiént:· très--,tommtinèl
daùit léS~~I~'ngties/anèiénheS::'. Et même,' dans les nÔtreli{
ndus~dison8"sôuy~nh' lè--pèrei:~'hn ouvrage, 'd'un systètJ.lè;
d'une':écble?:'"pour'P ?~signe-~;.c'el\itqui ; en ~s~ Ta:uteur;'~ou)1I
~auBé ..ptoductivé' dê' son exisferice~ et les' ouvriiges; les di&
cit)Jes'; l~s"ét~s',\ ~~nt~:oiI~ent norluftés' fils; ctû enfàns. ~ " :
4· . ,._'~ .,' .1~ lrl~ .;-;~. J.-~f~i , ,".:~.;..;. '; .... ' ' : j " .! ~ ". 1 ~ - ~
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'" aux taupes etauK:di~U\~e.souri'S:' .Celui qlii'éstril'hn~su~ ....
Ie cheval-blanc sortira pour vaincre et pourcenqitérir; la
cité céleste,la NrJuvelle Jé"ùsalem descendra du ciel, envoyée
par Dieu, et sa lumière (c'est-à-dire les vérités qu'elle rec0Il;l
naît) paraîtra comme une pierre précieuse, unie comme dù' ~ .
jaspe, ~e~~4~·fd;n=~tèd.. ',- ·}';e.l'ptêtrê· ~t" :1Ie'"piophèfe . ',..
qui ont «erré dans la visi~p et bronché. dans le jugemeI!t:~ .....
(EsiièÇiNffl.H~u1rorti4!·~tiffiset~ ~ rè"c01Îhâ,hfei.jiii~·
yierre vivante, f~e .e~ _~éa"fla~;"
~....,
. ..-../'4-J .\..- .......) 'h.- "".
l~ secours dè 'maih.
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TION MÊME; L'AM'B.'»-"':ltsul·jTA'ï.,.ItHOV~H,.E'f,~L'-
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~S"ÉTAI'T
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" _. Ce pj.en1i~r prlncipé se plouYèt>ar le, rait qUè- 1'é&Ù5 n'eut "'
pointde, pê;eterrestrèt~'.qu.~ ~:nepeut~voit.de·fùs. ~ ,. ~i: ..
D'arès révangé'~ste Jean' (1. '1,)' ~'Au ~()~na~l'
~c.d b ltait - Verbe ét·le Tierbè ltai, nvtc Dieu, et le 'P'.. 'f/ie 'lIa" .' ',""
'" Diiù;" rie' Sèigneur e~i8tait- avatÏt rincirhatio"J; en a.:l..~~ 0'
- '.',.
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J'Y 'l.. ," .':,;.
'-'f,::.~' :'~ ',.7' ,Incarné sur la. terre, le Seigneur emprunte à Marie un
_~d'l!~IQ~,'6otHîin~Jl8t J,éhova'!J.. Ce~te.,di~tiJ:1~,tmn du
?~~,';; ': -·J'ils.~~;J?iell~. ~u_~s -de ~~. ~xF.lîque. tous les -passage~
< • :~.oJ).trâdktQires de la. Parole•." .
~,".J , .... .,-, .'_ . _,' " ~ ... ; , '_ ;
ommes.
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"JJEt, d'ab~l'~ c~~ -~~~(~g~~ fare}lt cré~s ,~g~s l~cJA1!:~ ,~~ _..
corp"s spirituèli ~t .pa!··~ôps~WU,wt~~une natl~re ·"simj.ll, -,.
tentation leur fût" ~impossïblé; dès lors lacroy et'
leur -ehûte est abSurde. (t) "..
l ... ~."' '3--#.<; ~ t,.!-:.~
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<' . : ' : - . ' :~' -(emit-lui 'l'eù<fieutte ' Qoub:œ. nàtUN, :,irânsformersa libe1lté
':';':._: ~'-::r;{:""~~Îibre'l1};bitre, le 1'eplae~\lè~ d~Xntozlde6,Ciè l'esprit
! iIiatière.- ., \,!" -,,-- ,l, ':> ,-, .l _\,' , , ' , ' . . '': - "
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. -'0:, À, douze ans' l'Esprit se,' révèle dariB ·le fils. de "Mirië!i.-,
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fJ3.ra.issait comtp.e;aps~:8~n être,(- )m.m que'dans: 'sOll~ , .' ~T
d'élévation il n'était plus l'enfant soumise. s~ mère, '~Ii:làia ,::J -~t
Dieu lui":J!lême'., Il disaIt à Marie: FE M-M'E, QU~~~It..··- .-.
'~NXRIt MotÊT.:1'OI'f(·t):. Et 7loTsqu'on luiannonça.qùe.sa
mère~ts~s frères le dem~n(hjent, il dit: qui ~-mèr~r:O'ü·, est
'gui. ~Oltt ~~s :.(J'ères'!. Etjerant .zeS !leux~ ~ur'ceuœ ~~ ,Iii
,étaient autour de lui, iL dit:·: VO'iéi- ma mère et mes frèr.es. :'.' ;"1
. Carq1J~:on.rpJe .fel~~'là vqlont~~ ~e J.?ieu! ceiNi là :est ~1'~f!'" --k~-'
~t~s~ur~t~m:a .~r~ • . (M"alc,.III. 3~5.) (~J - ~:C~':~? .n •
...... :, .. " .
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~t~- .. çes~p~~es.~o~t:duresd~nsla bouchë d·un::1ilsf . èrrij. :',
créiu}ite ~. en- f~it une a.rqle ,pour insulter, à laM~éste D~l\èl;
Ign:oÏ'ani~~' ~Üe croit 'que' Jésu~ s'adressait à sa mèr~!~..
ne sait°'Pasque:lespafoles ··flu .Seigneur sont eSprit- èt :Vie;-tfi::...
qutil ti"y'a:'~n- entre J~h~vahle Gréate1!f desmondé~' . eHa'"
fal~le:hré!ltlïte. ,q~ eut III gloire d~enfa.nter..le COq>B ql,le' .
~ainmbiWr la' p1éJ1it~~e 4é ~ .Divinité. . ',' - .~. •
~ _. '. - ' . ~ .~ ~ -~n../·'~ ~:;.~
~
'Le silence
-
du vieux ,GhJ.jstianisme
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vient .
ici en -aidè ~'aÏâ~' .~ .~~;.
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"fr•.
treéptiei5111è;,je· Cat~oJjcisme .~llt que Jégu~ ~~~:éter:': -~~~~ .·
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Ici j'eu appelle ,à t()ut bommequi, désirant êtr«t~é'gê-: " ~.'\ ;.~
n6ré,'3- 8ubi.lesJ;entatio~~.d.e la clt&ji; d~8'" ses·combats;' ne, ~~-:- \:'~§
s'adressait-il pas aü Seigneur, à ses principes religieux, ·'à 'sou -,', \ :.:..:~ :-:;""
amour pour, le bien t~ L'homme alors n'efit-il ,'paa"uoUin;à,l.' ~ ~:.,·'~,(~i;,. ,~
n'est-ilpas fil!'idé Dieu et fils'de-la c.hairl Or~a.près le.triomph~', ;r·t/ .'_ :
sur la·tentation, .l'union des v910ntés opposées ,de fâme.. ,'"'t.l
et du C9rp,S ~'~~re, les ten~nces contradicto~~,.· s'e~~t:; ,
l'ho~, .eatvaiQ,Cu,.. ou biell ,il est· vainqueur:, ' .
l'Evangile co~me u~ açte succesl)Ïf qui durd. .to~te la'" vi~ ""'t.
~errestr~ du Seigl!eur. ~Ol1~ p<?\lvons co~c.1.'ur~, de plu&, . que', .
le Chri~t ~iant re:lÇ.emplairèpa~i~ de c'e que·tho]Jl!Jl.e d'li
mais
. ..,
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~,'"'
. . ,
. '" TRbisd:.~PRINCIP~
LA GLORlnCAT10N~PUT '''';'IDEN'1'IFICATION' COXPLjft~~;
-. " _ :. " , .' 'J :'r,:'~i~~~':-.·
. . ~ J-ÉHOVAH E'l' DE'.rtsUS·CHlUST.
~ .;
,.... .... .......... --..
· ~ _ f' 4 ••;
, -''''-:-''0:' :"~mystè~ atteignit son dernier tenue: Mon Pèrè, l'heure est
,-' .-:', ve~Je, glorife tônFila, afin,que ton Fils te glorifie aussi.
.... ~
-Zféan,ë"XVll.1-5.)
-. ...
~ .
• =: -)' .'
. ~'~
Le fi,ls de l\hrie est clo'l~ SUI' b. croix, il souffre l'agonie
de
la'mort, et sa mol·t l'identifie au Dieu seul et unique,
': léhDnh. A C2 m0U12nt supr~:ne, à cetb heur0 dernière, les
· litons terrestres se brisent, le 8tignqlr rejette ce qu'il tenait
~ ·,~';;.di la rac.e des hommes, Marie n'est plus sa mère: Femme,
.., Voilà tonfils. Puis s'adœssaIlt au disciple qu'il aimait: Voilà
'. fa, màe;. Ces pl-rolcs fur~nt l'accomplissement de la glorifiea
...
.~-_. ~ "-
'. ffi'f1 :(~)Q'jl;t~S~ ~e la plus p~ante importance, a été dénaturé da~s.la version pt'otès
, ûrite d:mte,~.:ùd;·f\u liéu dè mettre en lùi ' t elle met par lui.; et·elle retranche
r ••.::;:" _
:. t Yo's grECS et Mbreux que nous ne Pouvons reproduïi-c n'&y~t pas les types,
.' 'V dl'
ID. Revue poUr 'CES mots•
..1
- ~·8!s- ~
_ ,;"C:~ '~'~:~: ••• ~ _ .._ ._
l'',:::'~ '"' ,· . V
. ".. . . ':'. "..
·,.-·-.···~:·;t.::::.~~lll~l:au:tre·~tlllî du' vieiU'.1l'd;comIBè~t:poutri<)llrnQUiJ
.:,', "" .. ~~~ que nos "C'Qips matériels ressusciteront, puisque la'ulêm~
.~baitli'est ~ soumise un jour à la même âme; ee fait., qui
Be.:~a.urait être· nié, peut faire «omprendre le II:1ystère, de la
,,..glo~ficatiQn du Seigneur, autant qU'il soit donné à la nature
finie 'de l'homme de comprendre la nature innuil de Dieu.
. , '. L;e .Seigneur . dépouilla, succeisÎvement le8 substances
....
,..:qu'iJ. ~nai~ .de sa' .mère~ non pou~· emprunter de~UOUY.eUe8
, "; jub~~ta~ceS: matérielles, m~isFour revêtir' les substances ·~pi•
'<,J;i~lles .de sa Divine liumanité, telle qu'il la manifesta à
• ,,,. ~~, J !icq'Ues et Jean lors de la transfiguration (").
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m...~ '\.-'8. ~U,-'Swëd:;~~~. Î~. 38.
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:.ririèr: u9P\' "\.",: _ 'r' ràÏig "e n~ont.p·Jintde~'i<f~~i:~~~;:~-
" . Ll'~'_' t".,
Bible de l'œa<inàt-énèlpalpable de la main de chair, pa-rcètfu~ . ~." .
; respritet range ne~o~t ~ -le premier ni lé dernier, ni l'aljrt'ta .
·nil'oïnéga.~ Jé'sû's appElraîtà ses disciples~neur montre c
.: "'
.
MariellIitéirogez les vers tIu sépulcre, ils YOUS diront si)16a.: '"
chairs putréfiées déchirent leur linceul pour renil.îtré~ '.. ~., .~.' .
~ . ...;" - "''''~'.,
-~~. ·C~e n.'est do~c pasOle fil~de~ Marie, le fils d'un Dieu
que 'compreqd 'le siècle, ~ais Dieu seul, que la Nouvelle
,là
Jérusalem invoque dans son aplOur et c~onfesse dâns ses pri&:'
-res.· - --~ ~
r - .;
~.~_.
"
.utn."S ("Qmnumi
~.
~. ..".~:.. f'~ ~"!.., .•... . ." ...:~' .' • ':' : ~~. ~~:: :,.:.;....1-:t~~\.~
Cette doctrinê l'Evangile l'ensejgne, la faison la: confi.!'-
-me, le sentiment la. fa.it chérir, car elle fait entendre au cœù~
d~ chlque homme cette voix du Père ùis:mt: J e n~ pouva" li te
d:mner ma vie, mais j'ai accepté ta mort: POUII m'un{r éte~:"
nellement "toi.
F.P.
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f~.~ '.
~-......." ..
...
"
JtOUVCLLE n:aUSALEM, AJOI'EE 184L-,
•. !',
~
le~ cplusanciens se réfdrant à d'autres Livres Saints plus an·
tiquesêncorequi n"existent plus, on est étonné,exvemontant
,.-ainsijusqu'aux âges primitifs,de cette longue progression des
.,./q"1 c'~'ps~dan8 lesquels les vérités saintes ont été révélées, et
'" l'on demëure convaincu que cette Révélation n'a jamais
manqué aux hommes. D'autre part, l'antiquité de la Révé·
OC tation'explique ce fait remarquable que les anciennes mytho.
logies, les, anciens systèmes religieux ou philosophiques des
p:3uplesde l'univers supposent l'éxistence des principaux
dogmes du Christianisme et de la Religion mosaïque: la
dégl:ad.ationou la chute. de l'homme, sa réintégration, un
r~demp:teu~, une incarnation, une sorte de génération du prin,
cipe créateur. .
o"•.Jl ya bien loin cependant des idéés des païens sur la.
DilÏnii~ à cel1~s des Hébreux! Les païen~, personnifiant
tpus lés:j~ttributsdivins, ont adoré une multitude de dieux.
", Lei:ll~b~u,x; éoncenttant tous ces attributl'; en mte seule
~.~t..d '. '=~~·C·~~iiiiJu../dont ik ~~o8~ient p~s même lll'ononcer le
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grand nombre d'évêques,-,aptorisa cl1seigTIf'ffitnt ù~ -la. 'de&-:
, ([étrf!.:~ondaT1z.ll~~mi..~lridti.fJUè (t 10
,~,-~~,
.' ,~, si~ntr.'e-(lisaient les injures les plus atroces. On voyait tous
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. ,.. ' ~I.bler fÉglise; 111:118 b. doctrine ,d'AtbMlase fut seule l'e
1 _ ~ - .- __ ,
tfU'M pMlospbie,'présen~quèlquesidées
neuves Iiut la ....· • ~!, - _..~~,
neTriDi~:~jà·iÜ.~,~c~incomp~tes,~'~l't\!Ü~~~
toiresèt c~eât pp'Ui,a~-.~'é.o~~\,~
'qiri'sùit:- (T:l1':1h 5.4 & :lOQ. ~
...
....-,-,,;.""'7"'--~ ~~~- , .... ~.-~.J'~ .,._~ ~~~
. ~ .. ~-. ~:.
"t~-."~-~;"">!',,,~ . .... :~ . .~ .•~ •..~.,~.:~ .' '.- .~~. T ,.~,. :." .~~r'"
C· '.y 4.:9n .sent' bien: q~, le' lajiga'ge :humain, 'borrié., ~ans'
" toua les.sen·s,·ne saurait représenter qu'avec une :extrêm~:,
, .. i~p~Ï9Jf.ce qui par-·e8sen.e~ ·est.. ~a~$:,born~8r·. T.out c~ . :-.'
~ :".> -.' - . .•
J • ~~
(-*) c~ que dit M~ de Lnmelinni; est Vrai, ~âis nù fond:i1.mi rectme l~ul.
lerp,.t>nt l'em~U1' dent il ~ig:.'ale la source. n ytombe lui-même:
..•.~ ........
',~_."
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.... , '''-
',. ,-t- Ji
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~'.': ' IÎfaIJaiFD.'~tre':pas\pîdtonicien, et l'on dècida-'qu~'lâ
Di~nè 1'rirlit(il~é~tt imsttne~ trinité de notions m étàphYsl:. i
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:' ... """ !.... '~ - r.i ':"'.f"~ ~". _~ -'. ~. ....... ." '-1 .' "\' --"':. ')"
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TU- N'AURAS
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PAS D'AUTRE DIEU
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DEVANT MA
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Exod.~X~ :2~:7 ~ .'" ' .. ' '-..
·...r . '" ,c. ""0 '-J,~' ~ _ :~ 'l'( ..... "r,,_,~,;~:
~C'est
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niême' Dieu qui nous a créés, lé même.
~
qm "~i:.~r.;:;.
. _.- :Ii ., o·
~:~~amre
divine, je vais lui 'd()Jîriêr: $~ensei.· ..
I~el,unenseignementvivant en quelquè'i.
}Ia.;.;.~ dont il peut s'unir à moi pa.r l'accord de.~
.... . , "
~. et de Bon.. amo:Ql'"av~ m,a.pensee et mon,.al;D,9'!1r. l
, ".;. ',1. . •
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