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#03 - Les pays les plus

heureux du monde
Bonjour à tous et bienvenue ! C’est le troisième épisode du Cottongue podcast.

[00:00:10] J’espère que tout va bien chez vous et que vous profitez du printemps !

[00:00:15] Si vous n’avez pas écouté les épisodes précédents, je vais vous expliquer
pourquoi je fais ce podcast.

[00:00:23] Je m’appelle Hugo et je suis professeur de français en Pologne, à Varsovie.


Comme j’habite en Pologne depuis 3 ans, j’apprends le polonais. Et pour apprendre
une langue étrangère, je trouve que les podcasts sont un très bon outil, une très bonne
méthode. Mais le problème avec ces podcasts, c’est qu’ils sont souvent ennuyeux. Ils
ne parlent pas de sujets intéressants. On pense que, parce que les personnes qui
écoutent ne comprennent pas tout, on ne peut pas leur parler de sujets originaux. Eh
bien moi, je vais vous parler de choses que je trouve intéressantes et j’espère que ça
vous plaira.

[00:01:10] Dans ce podcast, nous n’allons pas faire de grammaire. Si vous voulez
faire de la grammaire, il y a plein de sites internet et de livres pour ça. Ici, il faut juste
écouter et essayer de comprendre ce que je vous raconte. Je vous conseille d’écouter
le podcast plusieurs fois pour pouvoir comprendre de plus en plus de choses… Au
départ, c’est normal de ne pas tout comprendre. Il faut plusieurs écoutes pour
comprendre tout ce que je dis ou pour essayer de comprendre une grande partie de ce
que je vous raconte.

[00:01:55] Ici, à Varsovie, aujourd’hui c’est un jour férié. Un jour férié, c’est un jour
où on ne travaille pas pour célébrer un événement national. Par exemple aujourd’hui
en Pologne, on célèbre la Constitution du 3 mai 1791. La Constitution polonaise, c’est
la plus vieille Constitution d’Europe, et la deuxième plus vieille constitution du
monde (après la Constitution des États-Unis). Donc aujourd’hui c’est une fête
nationale en Pologne, un jour férié pendant lequel personne ne travaille.

[00:02:41] Mais moi je travaille, car j’ai décidé d’enregistrer un nouveau podcast pour
vous.
[00:02:49] Et dans ce podcast, je ne vais pas vous parler de la Constitution polonaise,
rassurez-vous ! Aujourd’hui, je veux vous parler du bonheur.

[00:03:01] Mais, d’abord, il faut essayer de définir le bonheur, d’expliquer ce que


c’est.

[00:03:09] Le bonheur, c’est un sentiment que l’on ressent quand on est complètement
satisfait. On dit aussi qu’on est heureux, qu’on se sent bien. Par exemple, imaginez
que c’est l’été, au mois de juillet ou au mois d’août si vous préférez le mois d’août.
[bruitage cigales] Vous êtes en vacances dans le sud de la France, il fait très chaud.
Vous êtes dans une magnifique piscine avec vos amis, vous n’avez aucun problème.
Vous passez de supers vacances, les meilleures vacances de votre vie. Tout se passe
bien, vous êtes heureux d’être là, à ce moment précis. La vie est belle, comme on dit
en français. Eh bien, à ce moment-là, on peut dire que vous ressentez du bonheur.

[00:04:09] Quand on pense au bonheur de cette façon-là, ça a l’air très simple.   Mais
en fait, c’est un peu plus compliqué que ça. Par exemple, il y a des centaines d’articles
dans des magazines, sur internet, dans les journaux, pour trouver le bonheur. On
propose aux lecteurs des recettes pour être heureux. On leur propose les ingrédients du
bonheur. Il existe même des spécialistes du bonheur, et également une étude mondiale
qui s’appelle le World Happiness Report, pour comparer les niveaux de bonheur dans
différents pays. Pour classer les pays et voir dans quels pays les gens sont les plus
heureux.

[00:05:08] Aujourd’hui, nous allons parler de cette étude. Vous avez envie de savoir
quels sont les pays où les gens sont les plus heureux ? Alors restez avec moi et vous le
saurez d’ici la fin de ce podcast, promis !

[00:05:24] Vous êtes prêts ? Alors, c’est parti !

[00:05:32] D’abord, nous allons parler un petit peu de philosophie.

[00:05:37] Les philosophes grecs se sont beaucoup intéressés à l’idée de bonheur. Les
philosophes, vous savez, ce sont les personnes qui se posent des questions et qui
écrivent sur des idées un peu abstraites : la morale, la vertu, le bien, le mal, le désir,
etc. Vous connaissez sûrement Socrate, Platon et Aristote par exemple. Ce sont trois
des plus célèbres philosophes de l’antiquité grecque. Malheureusement, dès l’antiquité
grecque, les philosophes n’étaient pas d’accord sur la définition de bonheur.
[00:06:23] Par contre, ils étaient d’accord sur un point : le bonheur est le but ultime de
l’Homme. Ça veut dire que l’Homme fait tout pour le trouver. La cause de toutes ses
actions, c’est cette recherche du bonheur. Par exemple, on travaille pour gagner de
l’argent, et cet argent doit nous rendre heureux. Avec cet argent, on peut acheter des
choses qui vont nous rendre heureux : une maison, une voiture, partir en vacances. Un
autre exemple : quand vous cherchez quelqu’un pour partager votre vie, un mari ou
une femme, c’est parce que vous pensez que vous serez plus heureux ou plus heureuse
avec cette personne. Alors voilà, quand on réfléchit, on comprend que toutes nos
actions sont motivées par la recherche du bonheur. Le bonheur, c’est le but ultime de
l’Homme. Sur ce point, les philosophes grecs étaient d’accord.

[00:07:38] Mais derrière le bonheur, il y a aussi l’idée de plaisir. Car le plaisir vient de
la satisfaction d’une envie ou d’un besoin. Par exemple, le plaisir de manger un plat
délicieux, votre plat préféré, le plaisir de voir un ami qu’on avait pas vu depuis
longtemps. Mais attention, parfois le plaisir peut nuire au bonheur. « Nuire », c’est un
verbe qui veut dire « être mauvais », « faire du mal à quelqu’un ou quelque chose ».
On dit que la cigarette nuit à la santé, que fumer est mauvais pour la santé.

[00:08:25] Pourquoi le plaisir peut-il nuire au bonheur ? Parce qu’il est souvent
éphémère, temporaire. Vous savez bien, quand on fait la fête et qu’on boit de l’alcool
par exemple. On passe un bon moment, on est un peu euphorique. Mais le jour
d’après, le lendemain, on se sent mal. On a mal à la tête, on a rien envie de faire. En
français ça s’appelle « avoir la gueule de bois ». « Avoir la gueule de bois » c’est
quand vous avez bu trop d’alcool le jour précédent, le jour d’avant, et que vous vous
sentez mal, que vous avez mal à la tête, que vous n’avez pas d’énergie. En français ça
s’appelle « avoir la gueule de bois ». Ça, c’est donc un bon exemple. Le soir vous êtes
heureux, vous éprouvez du plaisir parce que vous buvez, parce que vous êtes content
d’être avec vos amis et de faire la fête, mais le lendemain vous regrettez un peu vos
actions, vos décisions. Donc oui, le plaisir parfois nuit au bonheur.

[00:09:40] Ça nous amène à une troisième idée qui est liée au bonheur, l’idée de
stabilité. Le bonheur, ça n’est pas être heureux pour 5 minutes ou même pour 5
heures. Le bonheur, c’est un état stable, durable. C’est ça qui différencie le bonheur et
le plaisir. On peut dire que le bonheur, c’est un plaisir stable, constant, un état dans
lequel on se sent complètement satisfait. On dit en français « être comblé ». « Être
comblé »,  c’est quand tous vos désirs, vos souhaits, sont réalisés. Vous ne voulez rien
d’autre, nous n’attendez rien de plus. Le philosophe Aristote pensait que c’est
seulement à la fin de sa vie qu’un homme sait s’il a vraiment trouvé le bonheur.
Quand il regarde en arrière, quand il regarde sa vie, pour voir s’il a été heureux.

[00:10:53] Ok, alors ça, c’était la partie philosophique du bonheur.


[00:11:00] Maintenant, je vais vous parler du World Happiness Report. C’est un
rapport annuel qui est publié par les Nations Unies et qui existe depuis 2012. Cette
année, en 2017, ils ont donc publié leur 5ème rapport. Alors, à votre avis, comment
les chercheurs peuvent-ils mesurer le niveau de bonheur d’un pays ? C’est un peu
bizarre, non, de mesurer le niveau bonheur des habitants ?

[00:11:38] Pour faire ça, les chercheurs ont choisi différents critères, différents
paramètres. Des indicateurs objectifs, et des critères subjectifs. Pour les critères
subjectifs, ils ont interrogé, ils ont posé des questions, à 1000 personnes dans 150
pays différents. Ils ont interrogé 1000 personnes dans chacun des pays. Avec les
réponses de ces habitants, les chercheurs ont pu évaluer leur niveau de bonheur.

[00:12:18] À votre avis, quels sont les critères, les indicateurs, qui sont utilisés pour
mesurer le niveau de bonheur d’un pays ? Est-ce que vous avez une petite idée ?

[00:12:31] Je vais vous aider un peu.

[00:12:34] Le premier critère, c’est le Produit Intérieur Brut par habitant.


Généralement, on dit le PIB : Produit Intérieur Brut. Le PIB, c’est la richesse d’un
pays, la richesse que produit un pays chaque année. Et le PIB par habitant c’est cette
richesse divisée par le nombre d’habitants du pays. Logiquement, les petits pays
riches, comme le Luxembourg, la Suisse ou la Norvège, ont un grand avantage ici.
C’est un indicateur très important. Ça veut aussi dire qu’on associe le bonheur à la
richesse. Pourtant, en français, on a un proverbe qui dit « l’argent ne fait pas le
bonheur ». Mais parfois on ajoute « mais il y contribue ». « L’argent ne fait pas le
bonheur, mais il y contribue ». Ça veut dire que l’argent n’est pas suffisant pour être
heureux, il faut d’autre chose, mais l’argent peut aider, il peut nous aider, à être
heureux.

[00:14:00] Le deuxième critère, c’est l’espérance de vie. L’espérance de vie, c’est la


durée de vie moyenne d’une population, d’une génération. En France, l’espérance de
vie en France, c’est 82 ans. Ça veut dire que les bébés qui naissent actuellement en
France vont statistiquement vivre jusqu’à 82 ans. Évidemment, ça n’est qu’une
statistique. Si un pays a une espérance de vie élevée, il a sûrement un bon système de
santé pour soigner les personnes malades, beaucoup d’hôpitaux et de cliniques. Grâce
à tout ça, grâce à ces infrastructures, à ce système de santé, les habitants sont en bonne
santé. S’ils sont en bonne santé, ils vont vivre plus longtemps. Et c’est plus facile
d’être heureux quand on est en bonne santé. Vous savez quels pays ont l’espérance de
vie la plus élevée ? Eh bien les trois pays qui ont l’espérance de vie la plus élevée
dans le monde, ce sont le Japon, la Suisse et Singapour.
[00:15:26] Le troisième critère, c’est l’assistance sociale. L’assistance sociale, ça veut
dire que vous avez quelqu’un sur qui compter quand vous avez un problème : vos
parents, votre compagnon, vos amis. Là aussi, c’est logique non ? On se sent plus en
sécurité quand on sait qu’il y a des personnes pour nous aider si on a un problème. En
français, on dit « se serrer les coudes ». « Se serrer les coudes » ça signifie s’entraider,
être solidaires. Si un membre de votre famille ou un ami a des problèmes financiers
par exemple, vous allez l’aider. Alors que si on ne sent pas en sécurité, si on a peur
pour son futur, il est difficile d’être heureux. On retrouve l’idée de stabilité, dont nous
avons parlée un peu plus tôt, qui est essentielle au bonheur. Les pays qui sont les
mieux classés, là où les personnes sont les plus solidaires, ce sont l’Islande, l’Ireland
et le Danemark. La France est 46ème dans le classement pour ce critère, ça veut dire
que les Français devraient faire des efforts pour s’entraider davantage, pour davantage
se serrer les coudes, pour être plus solidaires entre eux.

[00:17:11] Ensuite, il y a l’indicateur de confiance, le 4ème critère. En français on dit


« avoir en confiance en quelqu’un », ou « faire confiance à quelqu’un ». Il y a deux
possibilités : « avoir confiance en quelqu’un », par exemple « j’ai confiance en lui »
ou « faire confiance à quelqu’un » par exemple « je lui fais confiance ». « Faire
confiance à quelqu’un », c’est penser que cette personne est honnête et qu’elle ne va
pas vous tromper. Dans le Rapport sur le bonheur, ils demandent aux habitants s’ils
font confiance à leur gouvernement et aux entreprises. Les habitants ont confiance en
ces institutions quand il n’y a pas de corruption. Quand le gouvernement fait bien son
travail et que les entreprises ne sont pas corrompues. Quand tout le monde a les
mêmes chances de réussir. Effectivement, c’est difficile de se sentir bien dans un pays
quand on ne peut pas faire confiance au système.

[00:18:29] La liberté est le 5ème indicateur utilisé dans ce classement. La liberté, ici,
ça signifie la possibilité de prendre ses propres décisions, de faire ses propres choix.
Quand personne ne vous oblige à prendre des décisions qui sont contre votre volonté.
Si vous voulez changer de travail, vous pouvez le faire. Si vous voulez déménager,
aller vivre dans une autre ville ou un autre pays, vous pouvez le faire. Si vous voulez
vous marier ou divorcer, vous pouvez le faire. Le contraire de cette liberté, c’est
quand vous êtes en prison. Quand vous êtes en prison, vous n’avez quasiment aucune
liberté. Encore une fois c’est plutôt logique, je ne pense pas qu’il existe des gens qui
soient contents d’être en prison.

[00:19:31] Le 6ème et dernier critère, c’est le plus intéressant à mon avis, c’est le
critère de la générosité. Cette générosité, elle est mesurée par les dons et les
donations. Autrement dit, quand on donne de l’argent à une association qui s’occupe
d’aider les personnes handicapées, les enfants, les animaux, où de toute autre cause.
D’après le classement, les pays dans lesquels les gens sont les plus généreux sont la
Birmanie, l’Indonésie et Malte. C’est intéressant parce que je pense qu’être généreux,
penser aux autres, essayer de les aider, est une chose qui nous rend heureux parce
qu’on se sent utile. C’est très important de se sentir utile. Mais je vous parlerai de ça
un peu plus tard.

[00:20:34] Avec tous ces critères, quels sont les pays où les gens sont les plus heureux
à votre avis ? Une petite idée ?

[00:20:43] Quand on calcule la moyenne des différents indicateurs, ce sont surtout les
pays scandinaves qui arrivent en tête. « Arriver en tête » ça signifie être le ou les
premiers d’un classement. La Norvège est 1ère, le Danemark 2ème, l’Islande 3ème, 
ensuite il y a la Suisse 4ème et la Finlande 5ème.

[00:21:13] Et vous pensez que votre pays est bien classé ? Si vous voulez vérifier,
vous pouvez trouver le classement de votre pays sur internet en cherchant le World
Happiness Report 2017.

[00:21:33] Voilà, maintenant nous avons vu que le bonheur est un état durable dans
lequel nous sommes satisfaits, dans lequel tous nos désirs sont comblés. Mais, pour
arriver à cet état, il y a des conditions extérieures, des conditions qui ne dépendent pas
de nous, qui dépendent du pays dans lequel on vit par exemple.

[00:22:01] Cependant, dans les pays occidentaux, le bonheur est devenu une
obsession, une obsession égoïste, narcissique. Tout le monde fait tout pour le trouver.
Certains journalistes parlent même de la « dictature du bonheur ».

[00:22:22] La « dictature du bonheur », qu’est-ce que ça signifie ? Ça veut dire que


cette recherche du bonheur est comme une sorte de tyrannie. Elle impose aux gens de
vivre d’une certaine façon s’ils veulent être heureux. Dans les médias et les publicités,
on nous donne des ordres pour être heureux : faîtes du sport, mangez équilibré, partez
en vacances ici ou là, achetez cette voiture ou ce smartphone. Il faut faire un travail
qui nous passionne, trouver la femme ou le mari idéal. C’est un peu stressant tout ça
non ? Vous ne pensez pas ?

[00:23:08] Après tout, chacun a une vision différente du bonheur, non ? Peut-être que
les choses qui me rendent heureux ne plaisent pas à mon voisin. J’adore faire du vélo
le dimanche quand il fait beau par exemple, ça, ça me rend heureux. Mais il y a aussi
des gens qui n’aiment pas faire de vélo et qui préfère d’autres activités comme, je ne
sais pas, la méditation, le running ou bien aller au cinéma. Ou bien certaines
personnes préfèrent aller au bord de la mer pour les vacances, et d’autres à la
montagne, ça dépend des goûts, des préférences !

[00:23:53] Alors comment des « experts du bonheur » peuvent-ils nous aider à être
heureux ?

[00:24:00] Le plus important, à mon avis, c’est d’apprendre à se connaître. « Connais-


toi toi-même » disaient les philosophes grecques. Tout le monde est différent, il faut
apprendre à apprécier ses différences, sa singularité, pour savoir ce qui nous rend
heureux.

[00:24:22] Si vous essayez d’imiter les autres, de copier leur recette du bonheur, cela
va sûrement créer de la frustration, de la jalousie. Ça risque même de vous rendre
malheureux. Si vous vous conformez à la définition générale que la société donne du
bonheur, peut-être que ça ne marchera pas non plus. Il n’existe pas d’ingrédients
universels qui créent le bonheur, sinon on le saurait et tout le monde serait déjà
heureux. Au contraire, il faut trouver sa propre recette. Prenez du temps pour vous,
pour vous poser des questions et trouvez qui vous rend vraiment heureux. Et surtout,
ouvrez-vous aux autres. Ne cherchez pas simplement votre bonheur personnel, mais
essayez d’aider d’autres personnes à trouver le leur. Le bonheur ne doit pas être un
plaisir égoïste, c’est une chose que l’on doit essayer de partager le plus possible. C’est
une richesse qui peut grandir en la partageant, contrairement aux autres richesses.

[00:25:46] Nous arrivons donc à la fin de ce podcast. J’espère que ce sujet du bonheur
vous a intéressé, j’espère que vous avez appris de nouvelles choses, des choses peut-
être intéressantes dont vous aurez envie de parler avec votre famille, avec vos amis. Et
j’espère aussi que vous aurez envie d’écouter le prochain podcast.

[00:26:14] Comme d’habitude, je vous encourage à écouter ce podcast plusieurs fois.


Plus vous l’écouterez, plus vous comprendrez de choses. Et, pour vous aider, vous
pouvez aussi trouver la transcription de ce podcast, ça veut dire toutes les choses que
j’ai dites, sur mon site internet cottongue.com. Allez sur cottongue.com, dans la
rubrique podcast et, si vous vous inscrivez (c’est gratuit) vous aurez accès à toutes les
transcriptions de tous les podcasts.

[00:26:57] Merci à tous d’avoir écouté ce podcast. J’espère qu’il vous a aidé à
apprendre le français d’une façon un petit peu différente, un petit peu plus amusante
peut-être. La semaine prochaine, pour notre nouveau podcast, nous parlerons de la
théorie du genre. Donc si vous ne savez pas ce que c’est que la théorie du genre,
rendez-vous la semaine prochaine avec le nouveau podcast. En attendant, essayez de
faire un peu de français tous les jours, de lire, d’écouter ou de regarder des choses
intéressantes et on se retrouve la semaine prochaine.

[00:27:44] À bientôt, salut !

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