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CONTENU :
∑ ( X i − X́ )2 ∑ Xi
S=
√
de données
N −1
ou X́ =
N
est la moyenne des données, N le nombre
S x 100
Le coefficient de variabilité CV =
X́
On distingue
Il en existe 3 types :
- L’échantillonnage représentatif : réalisé lorsqu’une substance est
distribuée de manière homogène dans un milieu. Le prélèvement en un
seul point permet d’obtenir un résultat représentatif.
Exemple : - Dosage de la glycémie (sang)
- Dosage de la protéinurie (protéine dans l’urine)
Parfois il faut chauffer les échantillons dans des solutions aqueuses d’acide ou
base, oxydante ou réductrice, parfois aussi il faut élever l’échantillon à sa
température de fusion. Dès lors il se pose un problème de leur préparation.
Pour préparer une solution à analyser à partir d’un solide, il faut choisir le
solvant susceptible de dissoudre totalement notre composé ionique. Une fois le
choix du solvant fait, il nous revient de déterminer la masse à prélever pour
dissolution dans un volume précis. La condition nécessaire est que le nombre de
moles du composé ionique soit égal au nombre de moles de la solution à
préparer :
mcomposé
n composé =n solution → =C solution x V solution
M composé
Pour décomposer un échantillon organique afin de doser ses ions, il est plus
simple de chauffer l’échantillon sur une flamme jusqu’à ce que toutes les
matières carbonées soient carbonisées : les constituants non volatils seront
analysés après dissolution du résidu solide.
b) La pyrolyse
Elle est surtout utilisée pour les composés organiques dont la décomposition
en présence d’O2 donne des produits gazeux.
Les matériaux alcalins sont par exemple décomposés par les peroxydes
Les matériaux acides sont par exemple fondus par l’acide fluorhydrique ou
fluoranes.
ii) une solution de formol est à 10% si 100 ml de cette solution contiennent
10 ml de formol concentré.
Une interférence est une espèce qui cause une erreur en augmentant ou
diminuant la grandeur mesurée par l’analyte.
- La concentration en pourcentage
i) Le pourcentage massique ou fraction massique : c’est le rapport de
la masse de soluté sur la masse de la solution x 100
msoluté
%m = m x 100 en g de soluté/100 g de solution
solution
- La molalité
Exprime la quantité de soluté contenue dans 100 g de solvant
Rq : le ppm ou partie par million est une comparaison poids – poids , g de
soluté/ 106 g de solution
II – La stoechiometrie
Une réaction chimique équilibrée indique la relation quantitative entre les moles
de réactif et de produits. Ces relations
- Le dosage pH-métrique
- Le dosage colorimétrique.
Dans le cas du dosage pH-métrique, on utilise un pH-mètre pour mesurer
les valeurs du pH du mélange après chaque ajout de la base / acide afin de
tracer la courbe pH=f(V). L’exploitation de la courbe permet de
déterminer le PE et de déterminer la concentration de la solution
inconnue.
I2 + 2e- → 2I-
IV-b) la manganimétrie
IV-c) la chromatométrie
L’ion dichromate étant un oxydant fort, ses solutions sont instables et leurs
concentrations évoluent avec le temps, d’où la nécessité de les étalonner avant
toute utilisation :
Il repose sur la formation d’un précipité insoluble par action d’un anion sur un
cation ou vice-versa. L’équation générale est : Aa- + Bb+ AbBa
V- 1) Méthode de Volhard
L’excès d’ions thiocyanate est mis en évidence par la formation d’un complexe
rouge de cyanate de fer III :Fe(SCN)2+
V – 2) Méthode de Mohr
Ce dosage est basé sur la précipitation des ions chlorure par une solution d’ions
argent, en présence d’une petite quantité d’ions chromate ( CrO42-). L’équation
de précipitation du chlorure d’argent est : Ag+ + Cl- AgCl
Dès qu’on dépasse le PE l’excès d’ions Ag+ forme avec les ions CrO42- un
précipité rouge de chromate d’argent , suivant l’équation :
VI- CHELATOMETRIE
Un complexe est organisé autour d’un ion métallique coordinateur auquel sont
liés des ions négatifs ou des molécules par des liaisons. Ces liaisons sont très
généralement semi-polaires, dites liaisons de coordinance.
Dans les années 1970, on avait de très grosses colonnes, qui en fait ne
permettaient pas de séparer de manière très fine les composés.
industriels comme le pyralène en France, qui a été autorisé jusqu’à la fin des
années 1980.
Deuxième innovation importante : l’apparition de la chromatographie en phase
liquide haute pression (HPLC, « High pressure liquid chromatography »).
Auparavant, on utilisait essentiellement la chromatographie en phase gaz : on
poussait des mélanges de molécules avec du gaz pour les séparer, mais cela ne
s’appliquait qu’aux molécules volatiles. L’apparition de la chromatographie en
phase liquide haute pression, au début des années 1970, a été un événement qui
a considérablement élargi le champ de la technique.
(10-12 g).