Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Cour de Microbiologie Rabat PDF
Cour de Microbiologie Rabat PDF
Agdal Rabat
SVI – S3
Cours de
Microbiologie Générale
Préparé par
Pr El Bekkay BERRAHO
Automne 2009
Laboratoire de Microbiologie et Biologie Moléculaire, B.P. 1014, Rabat – Maroc.
Tél. (212) 37 77 54 61, e--mail: berrahobek@hotmail.com
Introduction
I. Historique
Découverte rattachée à l'invention du microscope
Le hollandais Antony Van LEEUWENHOEK (1632-1723)
(1632
1. L'époque pasteurienne Louis PASTEUR (1822-1895)
(1822
Chute de la théorie de la génération spontanée
Vapeur
levures
1860: f. alcoolique: sucre Ethanol, glycérol
+ CO2
Vibrions
1861: f. butyrique: sucre Acide butirique
(-O2 )
anaérobiose
La bactériologie médicale
2. L’époque actuelle
Il y a longtemps: microbiologie = étude des microbes
les végétaux
- les algues,
- les protozoaires,
les protistes: englobent tous les µ-organismes
- les champignons,
- les bactéries
Selon l'organisation cellulaire, les protistes se subdivisent en:
Archébactéries Archéobactéries
diplocoques
1
Streptocoques
Streptococcus
1 Tetrades
2
1 3 Grappes
de
2 raisin
Staphylococcus aureus
Staphylococcus
2. Les bâtonnets:
- Bâtonnets droits =
Bacilles
Rhodospirillum sodomense
Regroupements:
Bacilles isolés
Diplobacilles
Bacillus subtilis
Streptobacilles
Lactobacillus delbrueckii
- Bacilles incurvés:
Treponema pallidum
Spirochaeta zuelzerae
II. Paroi bactérienne
Rigide ≅ "exosquelette"
CH 2 OH CH 2 OH
H O OH H O OH
OH O
HO H HO H
H
H NH C CH 3 NH C CH 3
H3C CH COOH
O O
La galactosamine:
galactosamine
Existe chez certaines espèces seulement et en faible quantité
b- Les acides aminés
COOH
H C NH2
COOH COOH CH 2
NH 2 C H H C NH 2 CH2
CH 3 CH 3 COOH
L-Alanine D-Alanine
Alanine Acide D-Glutamique
NH 2 C H NH 2 C H H C NH 2
CH 2 CH2 CH 2
CH 2 CH2 CH 2
CH 2
ou CH2 CH 2
CH 2 NH 2 CH NH 2 CH
NH 2 COOH COOH
( Meso) (L)
N-Acétylglucosamine
(liaison au peptidoglycane)
b- Polyglycérol-phosphate
(Bacillus subtilis)
O
CH 2 OH
CH 2
H O O CH Glycérol
OH CH 2
HO H
O
H OH O P OH
Glucose O 2 HN
CH 2 CH CH 3
Glycérol HC O CO
CH 2
D-Alanine
O
O P OH
O
CH 2
H O
O O
OH
H
H NH CO CH 3
N-Acétylglucosamine
(liaison au peptidoglycane)
d- Les oses simples
Glucose Galactose Mannose, etc…
Certains sont spécifiques (Rhamnose chez les Streptococcus du groupe A)
e- Les lipides
faibles quantité chez les Gram- (10 à 22%)
presque absents chez les Gram+ (1 à 2,5%).
Gram + Gram -
1. Osamines Abondants Peu
2. Acides aminés 24 - 35 % ≈ 50 %
Nombre 4 à 10 16 à 17
Oses 20 à 60 % 20 à 60 %
Lipides 1 à 2,5 % 10 à 22 %
2. Structure moléculaire
- Muréine
Le peptidoglycane - Mucocomplexe
- mucopeptide
O H O OH
H
O O
OH
HO H β(1-4)
4) H
H
H NH C CH3 NH C CH 3
CH CH 3
O O
C=O
L-Alanine
Acide D-Glutamique
D
Chaînon peptidique
Lysine ou DAP
D-Alanine
L'acide N-acétylmuramique joue un rôle central dans la polymérisation
des unités glycanes
G La N-acétylglucosamine
M L'acide N-acétylmuramique
Chaînon peptidique
Liaison interpeptidique
Structure en réseau du peptidoglycane
Cette structure de polymère en réseau, qui donne à la cellule sa
rigidité, est caractérisée par:
Pont
L-ala
D-glu
T DAP
D-ala
D
D-ala DAP Escherichia . Coli
D--glu
L--ala
Lâche pour les formes sphériques (liaisons interpeptidiques longues),
Pont
L-ala L-ala
D-glu L-lys-D-glu
L-lys (Gly) D-ala L-lys − D-ala – L-lys – D-glu – L-ala−D-ala
D-ala 5L-lys D-ala L-lys L-lys
D-glu L-lys-D-glu
L-ala L-ala
En microscopie électronique:
Acides téchoïques
Paroi
Acides lipotéchoïques
Mem; cyt
Représentation des acides téchoïques
Chez les Gram+ selon le modèle de
Van Driel et al. (1971)
b. Chez les bactéries Gram -
En plus du peptidoglycane, on insiste sur la présence de 2 autres couches
b.1. L’espace périplasmique ou périplasme
bactéries Gram+ : Exoenzymes (Protéases) (Pénicillinase)
(Colicines) (Exotoxines)
Chez E. coli 7.5 105 lipoprotéines/cellule dont les 2/3 sont à l'état
libre et le 1/3 sont liées au peptidoglycane.
LPS = Endotoxines
α. lipide A:
considéré comme le support de la toxicité,
• • Acides gras
Lipide A
Paroi
Membrane
Espace
périplasmiq
Phospholipides
Protéine Protéine
intégrale périphériques
Gram + Gram -
c. Autre types de paroi
♣ N-acétyl D-glucosamine
glucosamine ou N-acétyl
N D-galactosamine
β-1,3
♣ N-acétyl D-Talosaminuronique
Talosaminuronique
♣ Les tetrapeptides associées comprennent l'alanine (L et D),
l'acide glutamique et la lysine.
lysine
Gonflement et éclatement
de la cellule
+
Lyzosyme
( détruit les β(1
(1-4))
Milieu Milieu isotonique
hypotonique (1 ‰ de saccharose)
Gonflement et éclatement
de la cellule
b. Propriétés antigéniques
Exemples:
le groupe sérologique G
Le rhamnose
antigène C
La N-acétyl galactosamine
b Des antigènes de nature protéiques: appelés antigènes M, T, R
Donc
un antigène somatique O
Deux principaux antigènes:
un antigène flagellaire H
d. Coloration de Gram
Gram, médecin danois (1884) une coloration différentielle
Frottis
A B
Gram + Gram -
III. Membrane cytoplasmique
1. Composition chimique et structure moléculaire
30 à 40 % du PS Protéines: 60 à 70 % du PS
a. Les phospholipides:
- Brucella
rareté des phosphatidyl-cholines
cholines
- Agrobactérium tumefaciens
phosphatidyl-éthanolamine (PE) G-
phosphatidyl-glycérol (PG) G+
b. Les protéines:
Protéines extrinsèques (périphériques)
Protéines intrinsèques (intégrales)
c. Les glucides:
faiblement représentés (2 à 12%),
12
on y trouve particulièrement: glucose et glucosamine.
c. Les enzymes:
- Enzymes de la chaîne respiratoire c-à-d
c les déshydrogénases
- Coenzymes: cytochromes, les cytochromes oxydases ect…
2. Fonctions de la membrane
- Membrane cytoplasmique = support des enzymes de la respiratoire
++++++++++
------------- Respiration
Na+ 2e-
NADH 2e- H+
Substrat
2H+
Cytoplasme 2e-
3H2O 3OH- H+
H+ H+ 2e-
ATP
ADP + Pi [H+int] [H+ext]
2e- H+
H2O 2H+ + 1/2 O2
F1
Membrane F0
ATP-synthétase H+ Phosphorylation
2.1. Respiration
circulation d'électrons le long d'une chaîne de transporteurs
source d'électrons: substance organique ou inorganique
récepteur terminal:
O2 aérobiose
corps organique (fumarate)
anaérobiose
Corps inorganique (nitrate)
Chez E. coli :
2. 2. Phosphorylation oxydative
Au niveau de la membrane, l'ATP est synthétisée par une H+-ATPase (ou
ATP-synthétase) utilisant la force protomotrice crée par la chaîne
respiratoire.
2. 3. Transport
Maltose
Substances Glutamine Mélibiose H+ Proline
liposolubles Glycérol Glucose Na+ Lactose
B.P
II
Transport simple:
Concerne les substances liposolubles et de petites tailles. Ces
substances traversent la membrane sans l'aide d'aucune protéine.
♠
Transport facilité:
Concerne les molécules de taille relativement importante et se fait à
travers une protéine membranaire( facilitateur).
b. Transport actif
Se fait contre le gradient de concentration c-à-d du moins concentré
vers le plus concentré.
membrane
externe
Mal E: Binding protein
protéines
Mal F & G
éspace
périplasmique
Mal Tar
membrane
cytoplasqmiqu
Mannitol
Mannitol-1- phosphate
Métabolisme
Glucose–6-phosphate
Glucose Glycolyse
Métabolisme
♠ Transport actif secondaire ou osmo osmotique
H+ Lactose
Ex. Transport du lactose extérieur
Chez E. coli
intérieur
H+ Lactose
les deux éléments sont véhiculés par une protéine intrinsèque (perméase lac y),
Bactérie
Quantité de la radioactivité
+ t0 Filtration dans la bactérie
14
Substance X C Q0
[C1]
t1 Filtration Q1
t2 Filtration Q2
. . .
. . .
. . .
. . .
tx Filtration Qx
Quantité de la radioactivité
dans la bactérie
Temps
Temps
Q max 4 [C4]
Q max 3 [C3]
Transport actif
[S] intracellulaire
Qx
.
.
Transport passif
. OU
.
Q2
Q1
Q0
Co C1 C2 . . . . Cx
[S] extracellulaire
Comment distinguer entre les différents types de transport actif ?
le 2,4-DNP (2,4-Dinitrophénol)
Dinitrophénol): ionophore à protons qui
découple la phosphorylation oxydative et inhibe le ∆µH+ en
totalité.
la valinomycine et la monoactine:
monoactine ionophores à potassium (K+)
qui permettent à ce cation d’entrer dans la cellule, ce qui
entraîne un équilibre des charges positives sur les deux
faces de la membrane, ce qui affecte spécifiquement le ∆ψ.
matériel héréditaire,
les substances de réserve
certains organites spécialisés
1. Ribosomes
Granulations sphériques qui occupent tout le cytoplasme,
la petite sous-unité
unité 30 S de PM= 106 daltons, constituée d'ARN
16 S et de protéine S (Small = petit).
Les deux sous unités sont reliées entre elles par l'intermédiaire de
liaisons ARN - protéine et protéine - protéine.
3. Chromatophores et pigments
1. Chromosome bactérien
filament unique, continu et circulaire, formé d'une double chaîne d'ADN
2. Plasmides
a. Composition chimique
O H O OH
HO
O O
OH
H H β(1-4)
4) H
H
H OH OH
Acide aldobionique
- acide galacturonique
des acides uroniques: - acide glucuronique
-acide
acide cellobiuronique, …
- glucose
des oses: - galactose
-rhamnose,
rhamnose, …
La capsule est également de nature polyholosidique chez de
nombreuses bactéries Gram- :
b. fonctions
la dessiccation.
2. Flagelles ou cils
2 types de mouvement:
Chez les myxobactéries: déplacement par glissement,
Spirochaeta zuelzerae
Chez les eubactéries, la mobilité est assurée par des flagelles.
Proteus mirabilis
En microscopie électronique, ils apparaissent sous forme d'organites
simples, filamenteux, sinueux, généralement plus long que la bactérie
elle même, de l'ordre de 6 à 20 µm.
Insertion polaire:
Monotriche
Amphitriche
Lophotriche
Insertion péritriche :
Flagelle constitué d’une protéine, de PM de 30 à 40 Kda, la
flagelline qui fait partie de la famille des Kératomyosines.
Chimiotactisme
sucres et acides aminés les attirent chimiotaxie positive
phénols, acides et bases les repoussent chimiotaxie négative
3. Pili et fimbriae
appendices filiformes différentes des flagelles,
fréquents chez les Gram-, rares chez les Gram+.
milieu minimum :
Eau
Source d'énergie
Source de carbone
Source d'azote
Eléments minéraux
Les autotrophes:
Bactéries capables de se développer en milieu purement minéral
(milieu minimum – source de carbone),
le CO2 étant l'unique source de carbone.
Les hétérotrophes:
Bactéries exigeant des composés organiques.
organiques
NB. Parmi les hétérotrophes, certaines espèces ont des exigences
strictes. Ex. Pseudomonas methanica n'utilise que le méthane ou
le méthanol.
La source d'énergie
minérale :
* NH4+ et NO3- utilisés par la plupart des bactéries
* NO2- utilisé par les bactéries du genre Nitrobacter
* N2 utilisé par les bactéries fixatrices d'azote libres
(Azotobacter) ou symbiotiques (Rhizobium)
Organique :
Protéines, acides aminés (R--NH2).
A partir de ces composés, il y a incorporation des NH4+
libérés après désamination ou utilisation du radical NH2 par
transamination.
Le soufre et le phosphore
Le souffre se retrouve dans les protéines, précisément au niveau
des groupements thiols (-SH)
SH) des AA souffrés (cystine et
cystéine).
Il est incorporé sous forme de sulfates ou sous forme organique.
Micro-éléments:
Co, Cu, Mo, Mn et autres: Cofacteurs ou activateurs d'enzymes.
Facteurs de croissance
Substances organiques, indispensables à la croissance, non synthétisées
Microorganismes dits auxotrophes par opposition aux prototrophes.
Détermination du Nombre
t0 ou de la masse bactérienne N0
Bactérie t1 N1
t2 N2
. . .
. . .
. . .
. . .
tn Nn
Milieu de
culture
……
I0 …… . I
……
.. ... ...
..……
.…… ... .
.
I < I0
.……
.……. . ....
…….
Source de Toute suspension bactérienne
lumière
obéit à la Loi de Beer Lambert :
D.O = log I0 / I = ∑ l C = K C
Lumière réfléchie
(absorbée)
∑ = constante d’absorbance
l = distance traversée par le rayon (1 cm)
Le temps de génération
G = t/n
t = temps de croissance (connu) et n = nombre de divisions
Représentation arithmétique:
arithmétique N = f (t)
Courbe:
log N - log N0
µ=
t log 2
Représentation logarithmique
Courbe: log N = f (temps)
Echelle log N
logarithmique
log Nx
.
.
log N1
Echelle
log N0 arithmétique
to t1 t2 . . . . tx
temps
Log 108 ·
Détermination théorique des paramètres
log N
Pour G, prendre N2 = 2 N1
log N2 = 2 x log N1
on a alors G = t2 - t1
log N1
log N0
t1 t2 temps
log N2 - log N1
Pour calculer µ: µ = Ou µ= 1/G
(t2 - t1) log 2
Justification:
E. coli, à 37°C,
C, G est de 20 min
µ = 1/G = 1/20 = 0,05 div / min = 3 div / heure
Après 48 heures de croissance exponentielle et si on part
au t0 d'une seule bactérie (N0= 1):
phase de déclin
Phase de latence
Phase d'accélération
temps
La phase de latence
La phase d'accélération
Début de croissance, le nombre bactérien augmente µ > 0
Causes:
début d'adaptation des bactéries au milieu
La phase exponentielle
La phase stationnaire
Ill n’y a plus de croissance: µ = 0
Nombre de cellules viables est constant:
constant
Equilibre entre cellules qui meurent et celles qui apparaissent
ou même nombre de cellules viables sans division ni disparition.
Causes:
l'épuisement du milieu de culture,
l'accumulation de métabolites toxiques,
l'évolution défavorable des conditions physico-chimiques
physico
La phase de déclin
µ µ = f(t)
( µ = max et Constant)
log N
lactose
Synthèse d’enzymes
(Opéron lactose)
Glucose
temps
9.2. Croissance synchrone
On peut amener les bactéries à se diviser au même moment, ce qui
donnerait une croissance synchrone.
log N
37°C
37°C
25°C
37°°C
25°C
C
37°C
25°C
25°C
Fermenteurs industriels
µ: taux de croissance maximal et N : population constante
log N
Turbidostat
ou
Milieu renouvelé
temps
NB. régulation du taux de dilution qui doit être égal au taux de croissance
10. Facteurs influençant la croissance bactérienne
Composition du milieu de culture
Facteurs physico-chimiques:
chimiques: pH, température, oxygène
µ max
0 C1 C2 C3 C4 C5
[Glucose]
R = X - X0 x 100
C
- 5°C
C : point de congélation de l'eau dans les cellules vivantes
+ 80°C
C : thermolabilité des protéines et des acides nucléiques
Agents chimiothérapeutiques:
Au sens strict:
Agent antimicrobien, produit par des microorganisme, tue ou inhibe
d’autres microorganismes.
Au sens large:
Toute molécule de faible PM d’origine naturelle (les antibiotiques),
synthétique ou hémisynthétique (les sulfamides) pouvant avoir un effet
létal (bactéricide) ou statique ( bactériostatique)
bactériostatique)..
Témoin
cfu/ml
1 mg / l
105
2 mg / l
Temps (h) 24 h
Bactéricide
tue les bactéries
105
Témoin
cfu/ml
Temps (h) 24 h
Temps - dépendant
1 mg / l
102
2 mg / l
Concentration - dépendant
Mode d’action
Action sur la synthèse de la paroi
Action sur la membrane cytoplasmique
Action sur la synthèse des protéiques
Action sur les acides nucléiques
Action sur la synthèse de la paroi:
Elle consiste à:
Critères biochimiques
Fermentation des glucides /exp la Fermentation du glucose (test
Voges Prauskauer)
Dégradation des protéines /exp
exp Dégradation de la peptone
Critères de lysotypie
Promoteur Terminaison
IGS IGS
du 16 S amplifié
R.tropici
R.etli
B.japonicum
M III
Rch 984
MspI
Rch 60
Rch 9821
Rch 9865
Rch 9815
Rch 9840
Rch 9819
du 16 S par MspI
100 pb
Gel des profils de restriction
Rch 985
Rch 9816
Rch 982
200 pb
800 pb
2.3. L'hybridation ADN / ADN
Le chauffage d'un ADN bicaténaire donne deux brins homologues
à séquences complémentaires: c’est la dénaturation.
Ainsi, plus deux espèces sont proches génétiquement, càd plus leur
séquences de bases se ressemblent (degré d'homologie important)
plus il est facile de former des ADN hybrides.
du 16 S amplifié
M.mediterraneum
Gel polyachrylamide
R.tropici
R.etli
B.japonicum
M III
Rch 981
Rch 984
MspI
Rch 60
Rch 9821
Rch 9865
Rch 9815
Rch 9840
Rch 9819
du 16 S par MspI
100 pb
Gel des profils de restriction
Rch 985
Rch 9816
Rch 982
200 pb
800 pb
0.006
B. japonicum USDA 110
Agrobacterium sp. 348
R. etli CFN42
R. leguminosarum bv viciae VF 39
R. tropici IIb Ciat 899
S. fredii USDA 205
S. Meliloti GR4
Rch9871
Rch9869
Rch9868 Groupe 4
Rch9813
M. mediterraneum IC60
Rch9865
Rch9863
Rch9862
Rch9861
Rch9835
Rch9832
Rch9820
Groupe 3
Rch9819
Rch985
Rch984
M. loti NZP2213
Rch9842
Rch9841
Rch9840
Rch9822
Rch9821
Rch989
Rch988
Rch983 Groupe 2
Rch982
Rch981
Rch128
Rch102
Rch8
Rch7
M. ciceri IC2091
Rch9816
Rch9815
Rch161
Rch134
Rch126
Dendrogramme, basé sur la PCR/RFLP du gène rDNA Rch125
Rch94
Sinorhizobium
100 S. fredii
100 S. xinjiangensis
58 S. saheli
100 S. terangae
100 S. medicae
S. meliloti
Rch9813, Rch9868 G4
88
R. giardinii
100 A. rhizogenes
R. tropici
73 R. etli
98 77 R. leguminosarum
R. hainanense
99 R. gallicum
R. mongolense
100 A. rubi
85
88 A. tumefaciens
A. vitis
100 R. galegae
R. huautlense
M. tianshanense
M. chacoense
61 M. loti
100
Mesorhizobium
100 M. ciceri
Rch2B, Rch10B, Rch19B G1
Rch981 +
96 Rch9816
Rch9815 G2
Rch7B
M. amorphae
97 M. huakuii
68 M. plurifarium
50 M. mediterraneum
100
Rch984, Rch9865
G3
100 B. elkanii
B. japonicum
0.01
% de similitude des séquences des ADNr 16S entre les groupes de rhizobia de pois chiche
et les espèces des genres Mesorhizobium et Sinorhizobium