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Edith Boukeu.
Dédicace :
Ir : Ingénieur
Pop : population
V : Vitesse
D : diamètre
S : Surface
Q : Débit
Les études menées nous ont montré que cette localité compte 1281habitants actuellement.
The goal of this work is to study the drinkable Water conveyance, also to equip locality MUKU a
drinking water in order to help a village woman to make long ways, but also to contribute to the
development of this medium.
The undertaken studies showed us that this locality currently counts 1281habitants.
The results proposed a distribution network to us, by dimensioning the storage tank of water to satisfy
the request population, those which gave us the results building a reserve of a capacity de251m³ with a
flow D '' exploitation of 244m³ and a height of 3,2m with a diameter of 10m.
1. Contexte :
Cependant, le problème d’adduction d'eau potable est perçu en termes inégaux d’une localité
à une autre au sein de l’Etat congolais.
De plus, les collectivités locales ne sont pas impliquées dans la gestion de l'eau. Celles-ci
ne sont pas associées et ont un faible budget qui ne permet pas les administrations locales
d'intervenir dans le système d’adduction d’eau.
Ce qui a pousser une confrontation entre le partenaire Asili et la Caritas avec l'Agglomération
de la localité Muku, alors le partenaire Asili s'était retiré du projet (CEKA. ; 2019)
Le manque d'eau amène les femmes à des dépenses excessives et à des efforts physiques
par fois surhumains.
Chose étonnante on puise l’eau d’étant qui provient dans le sol et qui n’est pas construite ni
rendue propre. Le manque d’eau en permanence dans ce milieu est un grands défis avec
lequel la population de kamisimbi en général et la localité Muku en particulier est confronté ;
(Assemblé générale au bureau de la localité Muku) ; nos ambitions est de mettre en œuvre à
Muku une politique de l‘eau suffisamment hardie pour couvrir ce secteur d’un réseau dense
d’ouvrage hydraulique et de lutter contre les maladies hydriques.
Le concept de l'effort de l'eau défini par Musibono (2006) devient ainsi un indicateur de
pauvreté. Il s'agit du temps consacré journellement par une femme rurale à la collecte d'eau
potable. Ce qui est opposé au travail productif. Les enfants sont particulièrement affectés par
la rareté de l'eau et l'insalubrité qui ont un impact sur la recrudescence de certaines maladies
(mycoses, gale, choléra, fièvre typhoïde, diarrhée, amibiase, etc.), une des causes principales
de la hausse de la mortalité dans notre pays. En effet, l'absence d'une eau salubre suffisante
pousse la population à recourir aux sources polluées qui occasionneraient les maladies
fréquemment. (Hôpital Général de Muku)
2. Problématique :
Pour le cas spécifique de MUKU force est de constater que l'alimentation en eau potable
sur l'ensemble du site n’existe pas et la population vit dans une situation de « manquement
d’eau potable »
Il convient de noter aussi que malgré un petit recevoir d’adduction d’eau potable de 25m³
financée par le SECATHΟ et réalisée par KARITAS BUKAVU en 2018 n’étais conçu pour
alimenter la localité de MUKU mais plutôt servir la population de Nyantende et ce qui a
pousser une confrontation avec le partenaire Asili.
- quelles sont les contraintes et difficultés qui ont poussé ces gens de capter une source
dans ce groupement sans pour autant leur servir d’une eau potable or ils n’en ont pas ?
- La localité de MUKU n'a telle pas des atouts majeurs pouvant l'amener à remédier à
cette situation ?
- N’y a t- il pas une source à capter pour doter à cette localité une eau à une source
gravitaire ?
En Effet, il est important de relever des efforts qui doivent être fait pour la mobilisation aussi
bien de moyens matériels que de ressources financière , et de proposer des alternatives pour
une contribution à l'amélioration de la qualité en eau potable dans ce groupement .
3. Hypothèses
Suite aux préoccupations soulevées dans cette problématique, nous prendrons en compte les
hypothèses suivantes :
4. Intérêt de l'étude
Cette étude a pour intérêt d'apporter une contribution à la bonne gestion des temps pour une
femme villageoise, ça vas contribuer aussi à l'amélioration de la santé de la population se
trouvant dans ce milieu rural, à la diminution de la prévalence des maladies d'origine
hydriques, à l'amélioration des résultats des recherches scientifiques, garantir le
développement de l’environnement.
5. Objectifs de l'étude
L’objectif général assigné à ce travail est d’étudier la faisabilité d’adduction d'eau potable
dans la localité Muku en groupement de Kamisimbi.
Il s’agit spécifiquement de :
Réaliser une étude socio-économique
Définir des ressources en eau et une conception du réseau.
Dresser ou récolter le plan du réseau d'alimentation actuel ;;
Déterminer le nombre des bénéficiaires ;
Estimer le profil journalier de consommation en eau ;
Proposer les différentes alternatives pour l'alimentation en eau du site Muku.
6. Résultats attendus
7. Structure du Travail
Le premier chapitre aborde sur les généralités de réseau d’adduction d’eau potable,
et description de la zone d'étude ;
Le deuxième chapitre est axé sur des méthodes, matériels utilisés, l'analyse et
l’interprétation des enquêtes ;
Enfin, le troisième chapitre aborde le dimensionnement du réseau et étude de l’impact
environnemental.
Chapitre premier :
GENERALITE SUR LE RESEAU D’ADDUCTION D’EAU
POTABLE
Source : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/adduction
• Eau potable: c'est une eau qui ne contient pas des microbes et qui ne peut causer aucun
danger pour la santé humaine.
• Source : c'est une partie ou surface du sol qui contient l'eau qu'on transporte à la
surface terrestre.
• Captage : toute action et tout ouvrage destinés à intercepter et éliminer l'excès d'eau
externe provoquant des engorgements.
• La prise d'eau : c'est un dispositif qui nous aide au détournement de l’eau.
• Débit de l’eau : est le volume d'eau liquide traversant une section transversale de
l'écoulement par unité de temps, elle comprend tout ce qui est transporté avec cette
eau, comme les sables, cailloux etc.
• Dimensionnement : nous aide à faire de calcul des grandeurs nécessaires pour
l'évaluation des figures
• Une Etude : c'est un travail préparatoire avant d'exécuter un projet.
• Réseau : c'est un ensemble des canalisations qui fait suite aux réservoirs.
L'eau sort de ce dernier par des conduites qui se prolongent à travers l'agglomération
et formant une conduite maitresse sur les quelles sont branchées les conduites
secondaires.
• Une eau: un liquide incolore transparent, inodore et insipide qui constitue un lieu
indispensable à la vie.
• pression: permet de définir une force appliquée au niveau d'une surface (voir la
physique)
1.2. GENERALITE SUR LES RESEAUX DE DIUSTRUTION D'EAU POTABLE
Un réseau d'A.E.P constitue l'ensemble des moyens et infrastructures dont dispose l'ingénieur
pour transporter l'eau depuis la source jusqu'au consommateur.
Un réseau d'eau potable doit être fiable et durable pour pouvoir répondre aux exigences des
consommateurs (quantité et qualité optimales, dysfonctionnement minimaux).
Le transport de l'eau de la source jusqu'au point de distribution se fait suivant une chaîne
composée de quatre maillons principaux (fig. I.1).
Ce maillon est un ensemble constitué d'une station de pompage et d'un dispositif d'adduction
(conduite et accessoires).
- groupes électropompes,
- autres équipements en amont et en aval des pompes (vannes, clapets, manomètres, etc.).
On remarque l'existence de plusieurs pompes. Ceci permettra d'un côté, de minimiser la
consommation de l'énergie électrique, car le débit produit est réparti sur l'ensemble des
pompes, et de l'autre côté, d'assurer la continuité du service en cas de panne de l'une d'elles.
Le réservoir de stockage est un bassin qui se remplit au cours des faibles consommations et
qui se vide pendant les périodes de fortes consommations journalières. Le réservoir présente
deux utilités (technique et économique) par les multiples fonctions qu'il remplit :
La capacité d'un réservoir dépend du mode d'exploitation des ouvrages de la partie amont et
de la variabilité de la demande.
Pour l'emplacement d'un réservoir, selon que l'agglomération est située en plaine ou en terrain
accidenté, il peut être soit enterré, soit semi-enterré, soit surélevé.
b) Ossature du réseau :
- Le réseau ramifié : il est appelé ainsi car il possède topo logiquement une structure
d'arbre. Pour ce type de réseau, à partir d'une conduite centrale, on met en relation plusieurs
canalisations secondaires, tertiaires, ... etc. jusqu'à chaque compteur individuel. Un tel
système présente un grave défaut ; dans une conduite donnée, l'eau circule toujours dans le
même sens. Donc, une panne dans la conduite entraîne la perte de service pour tous les
usagers situés en aval.
Les joints :
Ils ont pour fonction d'assurer l'étanchéité des jointures des tuyaux et faire face aux
sollicitations mécaniques et chimiques.
Pour cela, ils doivent épouser parfaitement la loge qui leur est destinée.
Les joints constituent la partie la plus fragile de la canalisation à cause de leur souplesse ; tout
mouvement du tuyau s'articule sur le joint, ce qui provoque en lui des usures mécaniques.
L'action des produits chlorés de l'eau et le dessèchement induisent le vieillissement des joints.
Il existe trois principaux types de joints : mécaniques, à emboîtement et à bride. Les joints
mécaniques ou à emboîtement sont utilisés pour relier les conduites enfouies dans le sol, alors
que les joints à bride sont utilisés pour raccorder des tronçons à l'intérieur des constructions
(station de pompage, station de traitement, etc.).
d) Le vanne :
Elles permettent de maîtriser les écoulements dans le réseau, donc de mieux gérer celui-ci. Il
existe plusieurs types de vannes qui satisfont à des besoins variés. :
- Les vannes d'isolement : permettent d'isoler certains tronçons qu'on veut inspecter,
réparer ou entretenir. On distingue deux types : les robinets à papillon pour les conduites de
gros diamètres et les robinets-vannes pour les conduites de petits diamètres.
- Les vannes à clapets de non-retour : permettent de diriger l'écoulement dans un seul
sens. Elles sont installées sur les conduites de refoulement.
- Les vannes de réduction de pression : permettent de réduire la pression à une valeur
prédéterminée.
Fig. 4 : les différents types de vannes :
a) robinet-vanne ;
b) robinet à papillon ;
c) vanne à clapet de non-retour ;
d) vanne de réduction de pression.
e) Les ventouses :
On installe des ventouses aux points élevés du réseau. Elles permettent d'un côté, de faire
évacuer les quantités d'air qui s'y accumulent à la suite, par exemple, du dégazage de
l'oxygène dissous, et de l'autre côté, de faire pénétrer l'air lorsqu'un vide se crée dans une
conduite et évitent la création de pressions négatives qui risqueraient d'entraîner l'écrasement
de la conduite.
Trois types de ventouses sont utilisés: ventouses pour petites quantités d'air, ventouses pour
grandes quantités d'air et ventouses universelles.
Les types des ventouses :
- ventouse à petites quantités d'air ;
- ventouse à grandes quantités d'air ;
- ventouse universelle.
Fig.5: types de ventouses :
f) Le décharge:
vidange, l'évacuation s'effectue à l'égout le plus voisin ou si le point bas se trouve hors de Une
décharge est un robinet placé au point bas de la canalisation pour en permettre la ville, dans le
fossé le plus proche. Ce robinet sera placé à l'intérieur d'un regard
(https://fr.wikipedia.org/wiki/)
Muku est une localité du groupement de Kamisimbi, dans la chefferie de Ngweshe, dans le
territoire de Walungu au sud-ouest de la ville de Bukavu, précisément à 20 km et sur l'axe
routier Bukavu-Shabunda.
Il est situé à 2089 m d’altitude, 02° 33 ,654 min latitude Sud et 28°49 min longitude Est.
Limité :
1.3.1. Relief
Son hydrographie est très faible, il a des petits cours d'eaux se trouvant dans la basse Altitude
de l'Agglomération à desservir l'eau propre ; mais notre étude nous a poussés de pointer
quelques cours d'eaux abondantes se trouvant dans le groupement de Kamisimbi, groupement
de la localité Muku qui est notre zone d'étude.
Nous énuméré plusieurs cours d'eau dont Nakishi, et qui fait l'objet de notre étude pour doter
à cette localité de MUKU l'eau propre à une source gravitaire.
Cette rivière prend sa source dans le mont Bisunzu à une altitude de 2276m ou se trouve la
source de la rivière Nakishi.
1.3.3. Végétation
La localité de Muku est constituée d’un climat parsemé d’herbes courtes d’Arbustes. Il est une
région de haute altitude.
1.3.4. Pluviométrie
Du point de vue climatique, la localité de Muku jouit d'un climat tempéré montagneux avec
une température moyenne variant de 22°c et 28°c.
La saison sèche : c'est la saison la plus courte de la localité qui va de juin à mi-
septembre.
La saison de pluie : est la saison la plus longue qui part du mi-septembre à juin.
Ces enquêtes ont consisté à établir une monographie de chaque village en insistant sur ses
activités socio-économiques, les infrastructures de développement et son niveau
d'organisation.
Le but de ces enquêtes est de ressortir des éléments d'information qui puissent aider à mettre
en évidence les atouts du village en termes de cohésion sociale, d'activités économiques et
d'infrastructures socio-économiques. Elles ont permis d’apprécier sur chaque site, le degré de
mobilisation et d'engouement que suscite la réalisation de mini-AEP dans la localité chez la
population.
Nos enquêtes sont faites auprès des autorités de la localité, ainsi qu’à celles du bureau de
centre de santé de Muku, d’où on a eu certains détails concernant l’accroissement de la
population des 5 précédentes années:
Eau et assainissement
La localité de Muku est fournie d'eau par CEKA (comité d'eau et de l'électrification de
Kamisimbi) qui fait le captage d'eau par la pompe immergée jusqu'au réservoir qui est
directement un lieu de distribution.
D’où il y a captage d'eau dans la période pluvieuse dans le village Mananga mais dans la
saison sèche la source desserte pour un temps qui affecte négativement la population d'avoir
axé à une source gravitaire. (Bureau de l'entreprise CEKA, bureau du groupement de
Kamisimbi)
Energie
La localité de Muku reçoit l'énergie par la société nationale d'Electricité SNEL qui n'est pas
permanente et en faible quantité. Ce qui pousse aux habitants de cette localité de faire recourt
au bois pour la cuisson et aux lampes de Pétrole ou torche pour leur servir de l'éclairage.
Comme l'énergie est irrégulière on se heurte devant un problème d'avoir axé à l'eau potable.
Topographique de la localité
La localité de Muku possède une topographie accidentelle se trouvant sur une grande pente à
une altitude de 2082m.
Dans ce chapitre nous avons décrit généralement un réseau d’adduction d’eau potable ainsi
que les difficultés pouvant apparaitre dans ce réseau lors de sa réalisation et sur tout sur les
différents éléments de l’environnement de notre site d’étude du travail.
Chapitre deuxième:
METHODOLOGIE DU TRAVAIL
Pour exécuter cette étude, la Direction de la localité Muku nous avait permis et accepter à sa
population de nous accompagner et nous garantir la sécurité lors de notre étude .Cette
décision avait été prise par le (chef du Groupement et son secrétaire lors de l'Assemblé
général).
A la réussite de cette étude nous avons utilisé le moyen humain et le moyen matériels.
Pour déterminer la population, nous avions pris les données prisent dans le bureau du
groupement de Kamisimbi et du centre de sante Muku.
N Ecole Effectif
°
1 E.P MUKU 260élèves
2 E.P IMANI MUKU 150élèves
3 E.P IKO 97 élèves
Tableau 3: niveau secondaire
N Ecoles Effectifs
°
1 INSTITUT MUKU 553 élèves
2 INSTITUT IMANI 230 élèves
N Désignation Effectif
°
1 Population actuelle 1281
2 Ecoles 1290
3 Hôpital 63 lits
P N = P0 (1+r)n (1)
r = taux d’accroissement
P N = P0 (1+r)n
Pn
r= =(1)n
Po
Pn
r= -1
Po
Pn−Po
r=
Po
Nous avons comme taux d’accroissement de 3%.
Pn= P0 (1+r)n
N : 2015-2019=4
Pn : population au temps Tn=2049
Po : population de départ To=2019
P2049= 3109,32habitants
Pour déterminer les besoin en eau de la population nous nous sommes référé à la vie
économique de la population actuelle et la population future que nous serons en mesure de
fournir l’eau en une source gravitaire pas seulement en quantité mais aussi en qualité, en se
basant sur une consommation journalière en fonction du niveau de cette population sut tout
en déterminant le débit moyen journalier.
a) Pour école :
Cmjd = Ndot p.
N : Nombre des lits
Dot p : dotation publique.
Cmjd: 63 lits *250l/Jr=15750l/Jr.
2.6. Calcul du débit
Pour y parvenir nous sommes servi de la formule de goodrich qui est donné par :
T=2h-0,1
P=1 ,80t
2/24<t< 360 jours
Pour bien dire t=2h°°
D’où p=1,80(2/24)-0 ,10 = 2,3
(Prof Dr KALALA Jean Pierre, 2017)
cmjd
q= Actuel =
t
cmjd
Q actuel =
t
Tout en sachant que tout problème d'adduction d’eau doit avoir la serve d’incendie que nous
estimons à 15 l/s/Jour. A cela ça nous permet de calculer le facteur de pointe.
Chapitre troisième :
3.1.1. Le réservoir
Introduction : on appelle un réservoir ; une enveloppe qui contient un liquide qui peut être
généralement de l’eau, soit potable (recevoir des distributions publique) soit usées (d’égout).
Dans le cas des réseaux d’eau, le réservoir est un ouvrage intermédiaire entre le réseau
d’adduction et le réseau de distribution (
Nous allons dimensionner un réservoir qui permet de gérer le début selon la demande:
Ils constituent un réservoir qui permet d’assure aux heures de pointe (débit maximal
demandé).
- Le réservoir doit être préférable que l’emplacement puisse permettre une distribution
gravitaire ;
- pour des raisons économiques, le remplissage du réservoir doit être gravitaire, qui
veut dire qu’on puisse le placer à un point bas par rapport à la prise d’eau ;
- la nature du sol joue un grand rôle dans le choix de l’emplacement d’un réservoir dont
il est évident d’établir un réservoir sur un sol parfaitement résistant.
Nous savons qu’il existe plusieurs type du réservoir mais selon étude qui est base à maintenir
un ouvrage de stockage d’eau pour satisfaire qualitativement les consommateurs de la localité
de MUKU notre choix est base sur le réseau enterre comme nous somme sur un milieu élevé:
Avant de choisir ce type de réservoir nous nous somme base sur les critères suivants:
- L’Economie sur le frais de construction ;
- Etanchéité plus facile à réaliser ;
- L’architecture simple de l’ouvrage.
Pour procéder au calcul du réservoir, nous avons utilisé la méthode analytique, qui tient
compte de débits d’apports et de débits de départ.
Vu=P en %
QMax/100.
Avec P% : représentation maximale des restes des débits connaissant notre débit après 30ans
qui est estimée à Qt= 18,6418l/s.
pour calculer la conduite pour l’alimentation de la localité MUKU que nous projetons
dans l’année 2049 nous allons utiliser la formule de Fonlladosa.
V= π.r2 .h
=> Qt 18, 6418l/s=18641, 8m3
= 5, 1 8m/h
Q=124,32m3/j+120m3 incendie
Q= 244,32 m3/j
Dont, nous avons : V= 3,14.52 .3.2=251,2m3
L'adduction
L’adduction étant définie, comme le transport des eaux de zone de captage aux zones
d’utilisation.
Le but de cette étude est de parvenir ; à la mise en place d’un système d’adduction qui a deux
aspects dépendant l’un de l’autre ; l’un technique et l’autre économique.
Choix tracé :
Le choix du tracé est une procédure délicate, car il faudra prendre certaines précautions et
respecter certaines conditions, qui sont les suivantes :
- Il est important de chercher un profil en long aussi régulière que possible, pour
éliminer les contres pentes ;
- En raison d’économie, le tracé doit être le plus court possible ;
- Eviter les zones marécageuses, les routes, autant que possible ;
- Le tracé en plan tient compte de la réalisation du profil en long idéal, avec des coudes
largement ouvert afin d’éviter les butées importantes.
Dans notre cas le tracé d'adductions a été étudié.
Les conduites les plus utilisées sont celles qui peuvent supporter des pressions importantes
lors du transport d’eau.
Le choix du type de tuyaux est basé sur les critères d’ordre technique à savoir le diamètre, la
pression, condition de pose et de critère d’ordre économique, qui reposent sur le prix de
fourniture et le transport.
Pour notre étude, nous avons opté pour des conduites en PVC qui sont :
Disponible :
Supportent des pressions importantes.
Disponible au marché
2. Adduction gravitaire :
Un écoulement gravitaire est un écoulement, qui se fait sous l’action d’une force extérieur qui
lui sera appliquées (condition par la pente, pesanteur). Dans le cas d’une canalisation
gravitaire ; la source d’eau doit ce situé à une cote supérieur à celle du réservoir d’accueil.
C'est le cas de notre étude.
a) Calcul le diamètre :
En ce qui concerne le calcul du diamètre nous avions utilisé la formule de BRESSE
uniformisée et qui donne le diamètre D en mètre d'une conduite.
Pour assurer un bon débit maximal compte tenu des besoins nécessaire de tronçon considéré,
les diamètres des conduites de distribution d'eau ont été conçus d'une façon à minimiser les
pertes de charges. (Mémoire Ir. Evariste L., 2015)
D = √ Qm ³/ s
En mesurant la longueur de chaque tronçon nous nous sommes servis d'une Roulette pour
déterminer la distance.
A – D = 25 × 10 = 250 m
D - E = 21 × 10 = 210 m
A– F = 26 ×10 = 260 m
A – C = 15 × 10 = 150 m
A – B = 7,8 × 10 = 78 m
A – H = 6,7 × 10 = 67m
Pour qui y est un bon écoulement dans l réseau, nous avons calculé la vitesse de l'eau par la
formule suivante :
4Q
V=
πD ²
4 × 0,03632 0,1453
V A −D = = = 1,15 m/s
3,14 × 0 , 2² 0,1256
4 × 0,036325 0,1453
v D− E = = = 1,28 m/s
3,14 ×0 , 19² 0,1133
4 × 0 , 03243 0,1296
v A −F = = = 1,031m/s
3,14 × 0 , 2² 0,1256
4 × 0,02554 0,10216
v A −C = = = 1, 27m/s
3,14 ×0 , 16² 0,08034
4 × 0,01889 0,07556
v A −B = = = 1,42m/s
3,14 ×0 , 13² 0,053066
4 × 0,01563 0,062652
V A −H = = = 1,64m/s
3,14 ×0 , 11² 0,037994
β= 10,167 et
L = Longueur de la conduite
D = Diamètre en m
K = Coefficient de rugosité en m
3.3.7. Calcul de la perte de charge dans chaque conduite dans le réseau ramifié
La perte d charge hl se calcul entre deux sections d'une conduite simple parcourut par un
fluide est la chute de l'énergie total du fluide entre ce deux sections.
Elle est due à la résistance qui s'oppose à l'écoulement, elle est fonction du type de conduite
(E, F) du fluide (V, Y) et le régime de l'écoulement (laminaire, ou turbulente) ainsi donc la
perte de charge est dit au frottement des fluides entre eux et contre la paroi de la conduite.
Après cette résistance dite perte de charge il peut d'y avoir une perte de charge local
qui est dit aux accessoires de la tuyauterie ; nous pouvons citer entre autre :
Les vannes
Les coudes et
Réduction
Cette perte de charge est obtenue dans des longs trajets dans les conduites, elle est
proportionnelle entre les sections.
J = K ×Q1,852
J D = 369,44 × 0,036111,852
J D = 0,78m
J E = 386,52 × 0,0361,852
J E = 386,52 × 0,002119
J E = 0,8m
J F = 383,95 × 0,03231,852
J F = 383,95 × 0,0017
J F = 0,6m
J C = 579,02 × 0,020091,852
J C = 579,02 × 0,00072
J C = 0,4m
J B = 737,19 × 0,0181,852
J B = 737,19 × 0,0005871
J B = 0,4m
J H = 1301 × 0,0151,852
J H = 1301 × 0 ,00041
J H = 0,5m
10,67 1,85
J=¿ 4,87 (Q/CHW )
D
10,67 0,03611
J A −D =
(0,2) (
4,87 ×
120 )
1,87
10,67 0,00200
J A −D = ×
0,00039 7728,03
J A −D = 27358,974 × 0,0000002588
J A −D = 0,007080
10,67 0,036
J D− E =
(0,19)
4,87 × (
120 )1,87
10,67 0,0019965
J D− E = ×
0,000307276 7728,03
J D− E = 34724 ,482224 × 0,00000025835
J D− E = 0,008970
10,67 0,0323
J A −F =
(0,2) (
4,87 ×
120 )1,87
10,67 0,001630
J A −F = ×
0,00039 7728,03
J A −F = 27358,974 × 0,00000021093
J A −F = 0,005770
10,67 0,0255
J A −C =
(0,16)
4,87 × (120 )
1,87
10,67 0,001047
J A −C = ×
0,000133065 7728,03
J A −C = 80186, 375079 × 0,000000135
J A −C = 0,010863
10,67 0,018
J A −B =
(0,13) (
4,87 ×
120) 1,87
10,67 0,000546209
J A −B = ×
0,00004840 7728,03
J A −B = 220454,545454 × 0,00000007068
J A −B = 0,015581
10,67 0,0156
J A −H =
(0,11) (
4,87 ×
120 )
1,87
10,67 0,000417967
J A −H = ×
0,000021457 7728,03
J A −H = 497273,617001 × 0,00000005408
J A −H = 0,026894
J . L ×10
J=
100
J A −D = 0,177
J D− E = 0,18837
J A −F = 0,15002
0,010863× 150 ×10 16,2945
J A −C = =
100 100
J A −C = 0,162945
J A −B = 0,1215318
J A −H = 0,1801898
∑J = 0 ,98
En mesurant la longueur de chaque tronçon nous nous sommes servis d'une Roulette
pour déterminer la distance.
A – D = 50 × 5 = 250 m
D - E = 42 × 5 = 210 m
A– F = 52 ×5 = 260 m
A – C = 30 × 5 = 150 m
A – B = 15,6 × 5 = 78 m
A – H = 13,4 × 5 = 67m
Lt = 1015m
a) La vitesse de l'eau
Pour qui y est un bon écoulement dans l réseau, nous avons calculé la vitesse de l'eau par la
formule suivante :
4Q
V=
πD ²
4 × 0,03632 0,1453
V A −D = = = 1,15 m/s
3,14 × 0 , 2² 0,1256
4 × 0,036325 0,1453
v D− E = = = 1,28 m/s
3,14 ×0 , 19² 0,1133
4 × 0 , 03243 0,1296
v A −F = = = 1,031m/s
3,14 × 0 , 2² 0,1256
4 × 0,02554 0,10216
v A −C = = = 1, 27m/s
3,14 ×0 , 16² 0,08034
4 × 0,01889 0,07556
v A −B = = = 1,42m/s
3,14 ×0 , 13² 0,053066
4 × 0,01563 0,062652
V A −H = = = 1,64m/s
3,14 ×0 , 11² 0,037994
β= 10,167 et
L = Longueur de la conduite
D = Diamètre en m
K = Coefficient de rugosité en m
10,167 ×250 2541,75
K A −D = 4,31 1,852 = = 369, 44m
0,2 × 120 6,88
10,16 ×210 2133 ,6
K D− E= 4,31 1,852 = = 386 ,52m
0,19 × 120 5 ,52
10,167 ×260 2641,6
k A −F = 4,31 1,852 = = 383,95m
0,2 × 120 6,88
10,1677 ×150 1524
K A −C = 4,31 1,852 = = 579,02m
0,16 ×120 2,632
10,167 ×78 792,48
K A −B= 4,31 1,852 = = 737,19m
0,13 × 120 1,0758
10,167 × 67 680,72
K A −H = 4,31 1,852 = = 1301 ,56m
0,11 ×120 0,523
3.3.11. Calcul de la perte de charge dans chaque conduite dans le réseau ramifié
J = K ×Q1,852
J D = 369,44 × 0,036111,852
J D = 0,78m
J E = 386,52 × 0,0361,852
J E = 386,52 × 0,002119
J E = 0,8m
J F = 383,95 × 0,03231,852
J F = 383,95 × 0,0017
J F = 0,6m
J C = 579,02 × 0,020091,852
J C = 579,02 × 0,00072
J C = 0,4m
J B = 737,19 × 0,0181,852
J B = 737,19 × 0,0005871
J B = 0,4m
J H = 1301 × 0,0151,852
J H = 1301 × 0 ,00041
J H = 0,5m
10,67 1,85
J=¿ 4,87 (Q/CHW )
D
10,67 0,03611
J A −D =
(0,2) (
4,87 ×
120 )
1,87
10,67 0,00200
J A −D = ×
0,00039 7728,03
J A −D = 27358,974 × 0,0000002588
J A −D = 0,007080
10,67 0,036
J D− E =
(0,19)4,87 × (
120 )
1,87
10,67 0,0019965
J D− E = ×
0,000307276 7728,03
J D− E = 34724 ,482224 × 0,00000025835
J D− E = 0,008970
10,67 0,0323
J A −F =
(0,2) (
4,87 ×
120 )
1,87
10,67 0,001630
J A −F = ×
0,00039 7728,03
J A −F = 27358,974 × 0,00000021093
J A −F = 0,005770
10,67 0,0255
J A −C =
(0,16)4,87 × (120 )
1,87
10,67 0,001047
J A −C = ×
0,000133065 7728,03
48 J A −C = 80186, 375079 × 0,000000135
J A −C = 0,010863
10,67 0,018
J A −B =
(0,13) (
4,87 ×
120) 1,87
10,67 0,000546209
J A −B = ×
0,00004840 7728,03
J A −B = 220454,545454 × 0,00000007068
J A −B = 0,015581
10,67 0,0156
J A −H =
(0,11) (
4,87 ×
120 )
1,87
10,67 0,000417967
J A −H = ×
0,000021457 7728,03
J A −H = 497273,617001 × 0,00000005408
J A −H = 0,026894
J . L ×10
J=
100
J A −D = 0,177
J D− E = 0,18837
0,005770× 260 ×10 15,002
J A −F = =
100 100
J A −F = 0,15002
J A −C = 0,162945
J A −B = 0,1215318
J A −H = 0,1801898
∑J = 0 ,98
A
260m
F
78m
m
67
B
G
15
0m
250m
C
D
0m
21
E
Schéma du réseau de distribution
244, 32m3 0,0323
F
0,01
63
8 89
15
0,0
B
G
0,0
25
54
0,03611
C
D
36
0,0
E
3.4. IMPACTS ENVIRONNEMENTAL
DU PROJET
Une étude d'impact environnemental est une étude qui vise à apprécier les conséquences
environnementales d'un projet pour limiter et atténuer ou compenser les impacts négatifs ou
positifs (Wikipédia : Fr .m.wikipedia.org /wiki/Etude impact environnemental)
Ce qui couvre une identification préalable positifs ou négatifs sur le projet vis à vis de
l’environnement.
Ce qui nous a poussés de faire un aperçu des domaines qui intéressent ce projet avant,
pendant et après l'exécution de ce projet
1. Impacts positifs
Les impacts positifs sont des résultats bénéfique pour le bien être de la population.
2. Impacts négatifs
Les impacts négatifs, sont des impacts qui nuisent sur l'environnement dépendamment du
projet.
Les risques des femmes villageoises qui font des longs trajets pour aller puiser de l'eau
L'insuffisance de ressources en eau potable en quantité et en qualité
Le manque d'alimentation en eau potable dans la localité Muku
3. Mesures d'atténuation
C’est l'ensemble de voies à suivre pour parvenir à jouer sur l'importance des impacts
environnementaux.
En effet avant la mise en œuvre du projet ; nous devons mener des enquêtes pour identifier
quelques problèmes et les avantages sur le projet vis-à-vis de l'environnement, ce pour quoi
nous signalons qu'à l'heure d'exécution de ce projet nous devons tenir compte des mesures
d'atténuation.
Notre étude a englobé tous les points nécessaires qui touchent le plan spécifique à la
réalisation d’un projet d’alimentation en eau potable dans la localité MUKU.
Nous signalons que durant notre étude, nous avions donné une priorité surtout au côté
technique pour assurer une pression convenable et un débit suffisant surtout sur les lieux
publics.
Dans notre étude nous avions conçu et dimensionner un réservoir de 251m³ pouvant nous
garantir l'eau jusqu’en 2049 ; avec un débit d'exploitation de 250m³ et comme hauteur du
réservoir de 3,2m ; diamètre de 10m et l'estimation futur de la population à desservir l'eau
jusqu'en 2049 est de 3109habitants.
Toutes les connaissances que nous avons acquises dans tous les cours et domaines
hydraulique durant notre cycle de formation ont été mises en pratique pour la réalisation de
cette étude.
Signalons que pour la qualité de l’eau, nous gardons le même objectif de fournir à la
population une eau propre en qualité et en quantité pour lutter contre des maladies hydriques
et sauver cette femme villageoise.
Nous espérons que ce modeste travail soit un référence pour le réalisateur ou entreprises
d'exécution de ce projet d'adduction dans ce site.
RECOMMANDATIONS
- Une organisation du CEKA pour l’adduction d’eau potable dans la zone d'étude
- Un meilleur suivi pour ne pas faire payer cette eau
- Nettoyer le réservoir au moins deux fois par an
- Des infecter le réservoir aussi deux fois par an
- Faire aussi les entretiens
En fin nous voudrions remercier d'avance l'honorable jury qui aura à apprécier ce travail et
nous acceptons sans réserve toutes les remarques ou suggestions nécessaires à
l'enrichissement de cette étude.
BIBLIOGRAPHIE
LIVRES
COURS ET MEMOIRES
5. Hôpital de Muku
Webographie
1. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/débit
2. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/adduction
3. https://fr.wikipedia.org/wiki/
4. Google Maps
Logiciels
1. Archicad 16
2. Excel