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INSTITUT SUPERIEUR DES TECHNIQUES TERTIAIRES ET INDUSTRIELLES (ISTTI)
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CYCLE DE LICENCE PROFESSIONNELLE EN QUALITE-SECURITE- ENVIRONNEMENT (QSE)
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ANNEE ACADEMIQUE 2017 – 2018
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Par :
JANVIER 2018
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LISTING
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1) ARRÊTÉ CONJOINT N°005/MINEPDED/ MINCOMMERCE DU 24
OCTOBRE 2012 FIXANT LES CONDITIONS SPÉCIFIQUES DE GESTION
DES ÉQUIPEMENTS ÉLECTRIQUES ET ÉLECTRONIQUES AINSI QUE
DE L’ÉLIMINATION DES DÉCHETS ISSUS DE CES ÉQUIPEMENTS.
Le Ministre du Commerce,
Vu la constitution ;
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Vu le décret n° 2012/2809 du 26 septembre 2012 fixant les conditions de tri, de
collecte, de stockage, de transport, de récupération, de recyclage, de traitement
et d’élimination finale des déchets,
ARRETENT :
Article 2.- Au sens du présent arrêté les définitions suivantes sont admises :
- les armes, les munitions et autres matériels de guerre, s’ils sont liés à des fins
exclusivement militaires.
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Article 4.- (1) la fabrication, l’importation, la détention en vue de la vente et la
mise à la disposition du consommateur, des équipements électriques et
électroniques portés en annexe 1 sont soumises à l’obtention d’un visa technique
en vue de réguler, de réduire ou le cas échéant, d’interdire les équipements les
équipements non conformes aux dispositions des conventions internationales
relatives à la protection de l’environnement.
(2) le visa technique visé à l’alinéa 1 ci-dessus est délivré après étude d’un
dossier adressé à l’administration en charge de l’environnement comprenant les
pièces ci après :
Article 5.- (1) Les producteurs et distributeurs, les communes prennent des
mesures pour réduire les quantités de déchets d’équipements électriques et
électroniques éliminés avec les déchets ménagers non triés.
(3) Pour chaque catégorie d’équipements qu’ils mettent sur le marché, les
producteurs doivent :
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Article 7.- Les déchets d’équipements électriques et électroniques collectés
sont entreposés dans les conditions permettant d’assurer leur tri sélectif et leur
valorisation.
Article 8.- Les communes ou leurs groupements, les producteurs, les distributeurs
et les organismes agréés à cet effet, mettent en œuvre les actions appropriées
pour informer les utilisateurs d’équipements électriques et électroniques ménagers
:
LE MINISTRE DU COMMERCE,
LE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DE LA PROTECTION DE LA NATURE ET DU
DEVELOPPEMENT DURABLE.
Décrète :
Article 1er : Le présent décret précise les modalités de protection des eaux de
surface et des eaux souterraines contre la pollution.
Article 2 : Au sens du présent décret et des arrêtés pris pour son application, les
définitions suivantes sont admises :
e) « eaux de refroidissement » : les eaux qui sont utilisées dans l’industrie pour le
refroidissement en circuit ouvert et qui ne sont pas entrées en contact avec les
matières à refroidir ;
f) « eaux de surface » : les eaux de ruissellement, les cours d’eau, les eaux
stagnantes et plus généralement, les eaux de surface ordinaires et les eaux des
voies artificielles d’écoulement ;
g) « eaux de surface ordinaires » : les eaux des voies navigables, les eaux des
cours d’eau non navigables y compris leurs parcours souterrains, les ruisseaux,
rivières et marigots, même à débit intermittent en amont du point où ils sont classés
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comme cours d’eau non navigables, les eaux des lacs, des étangs et autres eaux
courantes ou stagnantes à l’exception des eaux des voies artificielles
d’écoulement ;
i) « eaux usées » :
j) « eaux usées agricoles » : les eaux usées provenant soit des exploitations
agricoles ou piscicoles, soit des établissements où sont gardés ou élevés des
animaux entraînant une charge polluante globale inférieure à un chiffre maximum
fixé par les règlements en vigueur et qui ne sont ni des jardins zoologiques, ni des
ménageries permanentes ; le mode de calcul de la charge polluante est fixé en
fonction du nombre d’animaux et des espèces auxquelles ils appartiennent ;
- des eaux de lavage des cycles non pourvus de moteurs et des cyclomoteurs ;
- les eaux usées provenant des établissements de lavage de linge dont les
machines sont utilisées exclusivement par les clients ;
l) « eaux usées industrielles » : eaux usées autres que les eaux usées
domestiques et les eaux usées agricoles ;
Article 3 :
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- D’altérer la qualité des eaux de surface ou souterraines ou des eaux de la mer
dans les limites territoriales ;
(2) Sont notamment interdits, le rejet, le déversement ou le dépôt dans les eaux
de surface, dans les égouts publics ou dans les voies artificielles d’écoulement des
eaux :
- des gadoues ;
- des pesticides ;
(3) La liste des substances visées aux alinéas (1) et (2) ci-dessus peut, en tant
que de besoin, être précisée et complétée, après avis des administrations
concernées, par arrêté du ministre chargé de l’eau.
Article 5 :
(1) Le ministre chargé de l’eau définit, en tant que de besoin, les règles
d’entretien des systèmes d’épuration individuels, ainsi que celles à suivre par les
organismes d’épuration, s’agissant particulièrement du nombre, de la capacité et
de l’implantation des installation d’épuration destinées à recueillir et à traiter les
gadoues.
(2) Les vidangeurs dûment agréés par l’administration chargée de l’eau sont
tenus d’éliminer les gadoues :
- soit en les remettant à un agriculteur, aux fins d’épandage selon les règles
définies par l’acte d’agrément ;
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- soit en les remettant à une station d’épuration désignée à cette fin par un
organisme d’épuration.
Chapitre III : Des mesures spécifiques de protection des eaux contre certains
déversements
Article 9 :
(2) Il fixe également les conditions particulières devant être respectées par le
bénéficiaire de l’autorisation afin d’atteindre ou de maintenir la qualité de rejet et
du milieu récepteur conformément aux exigences définies à l’article 8 ci-dessus.
(3) L’acte d’autorisation précise, suivant les cas, les conditions relatives, entre
autres :
(1) L’autorisation de déversement est délivrée pour une durée n’excédant pas
cinq (5) ans, par arrêté du ministre chargé de l’eau, après enquête et avis des
autres administrations concernées.
Article 11 :
Article 12 :
Article 13 :
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(2) Une visite de recollement est effectuée dans un délai maximum de soixante
(60) jours après la date de réception de la demande de renouvellement par les
agents de contrôles assermentés désignés et commissionnés par le ministre chargé
de l’eau, pour vérifier l’application des dispositions de l’acte d’autorisation des
déversements.
Article 17 :
(1) Le contrôle des déversements visés par le présent décret est exercé sous
l’autorité du ministre chargé de l’eau, par des agents assermentés des
administrations chargées respectivement de l’eau, de la santé publique, de
l’environnement et le cas échéant de l’agriculture et de l’élevage, des pêches et
des industries animales.
(2) Il fait l’objet d’un procès-verbal régulier et signé, suivant le modèle figurant
à l’annexe III du présent décret.
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récepteur les caractéristiques conformes à la réglementation et aux normes en
vigueur.
Le Premier Ministre,
Chef du Gouvernement
Peter MAFANY MUSONGE
- Milieu récepteur : ensemble des lieux où sont déversées les eaux usées.
- Milieu peu sensible : eaux maritimes ou toutes eaux peu susceptibles d’être
affectées par le déversement des eaux usées.
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Chapitre II : De la liste des substances nocives ou dangereuses interdites
Article 5 : Tout déversement des eaux résiduaires dans les égouts publics obéit
à la réglementation en vigueur.
Article 10 :
(1) Tout exploitant d’un établissement dont les activités sont soumises aux
dispositions du présent décret, est tenu de procéder au minimum une
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fois par mois à un échantillonnage de ses eaux usées pour s’assurer de
leur conformité aux nomes,
(3) Les résultats des analyses des échantillons ci-dessus sont consignés dans un
registre.
Article 1er : Le présent décret fixe les modalités de protection des sols et du
sous-sol.
- Effet néfaste sur l’environnement : tout effet qui est nocif ou qui rend
l’environnement dangereux pour la vie humaine, animale ou végétale.
- Engrais en vrac : engrais distribué sans emballage ou sous une forme non
conditionnée.
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- Engrais préparé sur mesure : engrais mélangé, préparé d’après des
spécifications individuelles fournies par le consommateur.
- Zone d’érosion : partie de terre où, du fait de la nature des sols ou des
conditions de leur occupation, de l’absence de couvert végétal ou de haie, de
leur déclivité, les pratiques agricoles et les autres activités humaines favorisent la
dégradation des sols.
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Section I : De la protection contre l’érosion et la désertification
Article 4 :
Article 5 : est interdite toute activité qui dégrade ou modifie la qualité et/ou la
structure des terres arables ou contribue à la perte de ces terres.
Article 7 : L’utilisation intensive des engrais dans une exploitation agricole est
subordonnée à une évaluation préalable de l’état physique et chimique du sol.
Article 11 :
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(1) La liste des engrais, pesticides et autres substances chimiques soumis aux
dispositions du présent décret est celle dont l’utilisation est autorisée par la
réglementation en vigueur.
(2) Sont interdits, tons autres produits chimiques ne figurant pas sur la liste
homologuée, sauf pour des besoins de recherche.
Article 12 :
(1) Les insecticides, les rongicides, les fongicides, les herbicides et le bromide de
méthyle du Code douanier N°2093 30 ; 2903 3000 ; 3808 10 ; 3808 20 ; 3808 30 ; 3808
40 ; 3808 90 qui contiennent les substances appauvrissant la couche d’ozone,
telles que réglementées par le Protocole de Montréal, sont conjointement
contrôlés par les ministères chargés de l’environnement et de l’agriculture.
(2) Le contrôle prévu à l’alinéa 1 ci-dessus concerne les engrais et/ou les
pesticides non conformes aux dispositions des Protocoles de Montréal et du
Carthagène, des Conventions de Bale, Bamako, Rotterdam, Stockholm et de Rio
sur la biodiversité. Il a pour but :
Article 13 : les quantités autorisées et les modalités d’utilisation des engrais, des
pesticides et autres substances chimiques, sont celles fixées par la réglementation
en vigueur.
Article 14 :
(1) Toute violation des dispositions du présent décret passible des sanctions
prévus par la loi n° 96/12 du 5 août 1996 portant loi-cadre relative à la gestion de
l’environnement, la loi n° 2003/007 du 10 juillet 2003 régissant les activités du sous-
secteur engrais au Cameroun et la loi n° 2003/003 du 21 avril 2003 portant
protection phytosanitaire.
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Article 16 : Les ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture, des
domaines, des mines et du développement technologique et des forêts, sont
chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera
enregistré, publié suivant la procédure d’urgence, puis inséré au Journal officiel en
français et en anglais./-
Article 2 : les dispositions du présent décret sont applicables à toutes les sources
d’émissions polluantes dans l’atmosphère.
- Polluant atmosphérique contrôlé : tout polluant émis dans l’air ambiant qui
figure à l’article 4 du présent décret.
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- Source stationnaire existante : source stationnaire qui fonctionne à la date de
signature du présent décret.
Article 5 :
Article 6 :
(1) les informations et les données recueillies dans les stations de contrôle sont
transmises trimestriellement au ministre en charge de l’environnement pour une
large diffusion le cas échéant.
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(2) Les mesures en station s’effectuent soit en continu, soit par échantillonnage
aléatoire. Ces mesures doivent être assez nombreuses pour permettre au ministre
une bonne détermination du niveau de pollution. Elles peuvent être complétées
par l’utilisation d’une modélisation ou par des mesures par moyens mobiles.
Article 7 :
(1) des zones de protection spéciales peuvent être instituées par décret pris, sur
proposition du préfet territorialement compétent, lorsque le niveau polluant
observé se situe en deçà du seuil minimum de la qualité fixé par la réglementation
ou au regard de certaines circonstances propres à en aggraver la dégradation.
Article 8 :
Article 9 :
(2) pour chacune des catégories d’industrie listée dans l’annexe du présent
décret, le ministre en charge de l’environnement prend un arrêté fixant les limites
d’émission des polluants atmosphériques contrôlés.
Article 10 :
(1) tout exploitant de source fixe est tenu d’appliquer les meilleures pratiques
de gestion pour contrôler et/ou réduire l’émission potentielle de polluants
atmosphériques contrôlés.
Article 11 :
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(1) tout exploitant de source fixe tient à jour les documents indiquant la
conformité aux limites d’émission de polluant atmosphérique contrôlé. Ces
documents sont conservés dans les fichiers de la source fixe pour une période
d’au moins dix (10) ans.
2. Brasseries
3. Cimenteries
5. Fonte du cuivre
6. Industrie laitière
7. Fabrication de teinture
8. Industrie de la galvanisation
9. Fonderies
15. Scieries
23. Imprimeries
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Article 1er: Le présent décret porte réglementation des nuisances sonores et
olfactives.
- Action : toute activité portant sur les immeubles, les établissements industriels,
commerciaux, artisanaux agricoles, les véhicules, les unités fixes ou tout autre type
d’opération qui peut créer des sons et /ou des odeurs susceptibles de porter
atteinte à la santé publique et à l’environnement, y compris tout projet d’ activité
d’exploitation des sols et du sous-sol, de construction, de modification ou de
démolition d’installation existantes, ainsi que d’autres activités qui débouchent sur
un changement significatif dans les impacts des sons ou des odeurs.
- Odeur : émission dans l’air de gaz provenant d’une source fixe ou mobile
perçue par l’appareil olfactif et ayant un caractère nocif, malsain ou
incommodant.
- Bruit ambiant : bruit résultant de l’action de toutes les sources de bruit dans un
endroit donné à un moment donné.
Article 3 :
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l’intérieur des mines et carrières, les chantiers de travaux publies et privés ainsi que
les sources mobiles.
(2) Les valeurs limites exprimées en décibels des émergences sont définies par
l’organisme chargé de la normalisation et de la qualité.
Article 4 :
(2) Les valeurs limites des émissions odorantes dont la concentration est mesuré
par des capteurs (nez électroniques) ou via des méthodes d’analyse physico-
chimiques et olfactométriques, sont définies par l’organisme chargé de la
normalisation et de la qualité.
Article 6 : Sont interdits, les activités ou les travaux bruyants, gênant le voisinage
au-delà des valeurs d’émergence et périodes prévues par l’organisme chargé de
la normalisation et de la qualité.
Article 7 : Sont interdites les émissions d’odeurs gênant le voisinage, en tout lieu,
au-delà des valeurs d’émission fixées par l’organisme chargé de la normalisation
et de la qualité,
Article 8 : Lorsque les valeurs limites fixées par les normes de pollution sonores et
olfactives ne sont pas respectées, les communes prennent des mesures telles que,
la mise en demeure, la pose des scellés et la suspension des activités de
l’établissement pollueur, pour faire cesser les nuisances,
Article 9 :
(1) Les installations existantes disposent d’un délai d’un (1) an à compter de la
signature du présent décret pour se conformer à ses dispositions.
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Article 11 : Sont abrogées toutes dispositions antérieures contraires au présent
décret,
Article 5 : La liste des substances chimiques prévues par le présent décret peut
être modifiée par arrêté du ministre en charge de l’environnement, après avis des
administrations compétentes..
Article 6 :
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(1) La production, l’importation, le transit, et la circulation sur le territoire
national des substances chimiques prévues à l’article 4 du présent décret sont
soumis à la délivrance d’une autorisation préalable par l’administration en charge
de l’environnement.
- Une copie certifiée conforme des diplômes en relation avec la chimie, des
deux (2) principaux responsables de la structure ;
- La liste des moyens matériels dont dispose l’opérateur, pouvant servir dans le
cadre de son activité ;
- Une quittance de versement dont le montant est fixé par la loi de finances.
- La liste des moyens matériels dont dispose l’opérateur, pouvant servir dans le
cadre de son activité ;
- Une quittance de versement dont le montant est fixé par la loi de finances.
- La liste des moyens matériels dont dispose l’opérateur, pouvant servir dans le
cadre de son activité ;
- Une quittance de versement dont le montant est fixé par la loi de finances.
Article 7 :
Article 10 :
Article 12 : Tous les produits chimiques doivent être fabriqués, utilisés, transportés
et éliminés de manière à minimiser les risques sur la santé publique et
l’environnement.
Article 13 :
(2) Tout libellé ou étiquette des produits chimiques dangereux comprend les
informations ci-après :
Article 14 :
(2) Lesdites substances chimiques sont stockées dans les endroits appropriés
afin de limiter leur dispersion dans l’atmosphère, les eaux et les autres milieux
récepteurs.
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ANNEXE A :Liste des substances chimiques nocives et/ou dangereuses
interdites de fabrication et d’importation
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Annexe B : Liste des substances chimiques nocives et/ou dangereuses
soumises à autorisation préalable
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8) ARRETE CONJOINT N° 004/ MINEPDED/MINCOMMERCE DU 24
OCTOBRE 2012 PORTANT REGLEMENTATION DE LA FABRICATION,
DE L’IMPORTATION ET DE LA COMMERCIALISATION DES
EMBALLAGES NON BIODEGRADABLES.
Le ministre du commerce,
Vu la constitution ;
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Vu la loi n° 2004/018 du 22 juillet 2004 fixant les règles applicables aux
communes ;
ARRETENT :
Article 2.- Au sens du présent arrêté, les définitions suivantes sont admises :
Non biodégradable : 2tat d’une matière ou d’un produit qui ne peut être
décomposé sous l’action des champignons et des micro-organismes présents
dans le milieu.
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Granulée : grains de polymère utilisés pour la fabrication des plastiques non
biodégradables.
Emballage : tout objet quelque soit la nature des matériaux dont-il est
constitué, destiné à contenir et à protéger les marchandises, à permettre leur
manutention et leur acheminement du producteur au consommateur.
Article 3.- (1) Tout fabricant, importateur ou distributeur des emballages non
biodégradables autorisé est responsable de la gestion de ses déchets.
Article 5.- (1) Tout fabricant importateur ou distributeur des emballages non
biodégradables élabore et met en œuvre un plan de gestion de ses déchets ainsi
qu’u mécanisme de suivi y relatif.
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récupération desdits emballages en vue de leur recyclage, valorisation ou
élimination finale.
Article 9.-Il est formellement interdit de brûler les plastiques à l’air libre, de les
jeter dans la nature ou de procéder à leur enfouissement.
(2) Le système visé à l’alinéa 1 ci-dessus est approuvé par décision du ministre
en charge de l’environnement.
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Article 12.- (1) Tout fabricant, importateur ou distributeur des emballages non
biodégradables dispose, à compter de la date de signature, d’un délai de dix huit
(18) pour se conformer aux dispositions du présent arrêté.
LE MINISTRE DU COMMERCE,
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