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Ox+ n e−¿ ⇌¿
2- Exemples :
a- réaction entre les ions d’argent et le cuivre métal.
(aq ) ¿ / Cu (S ) :
Cu2+¿ ( Cu(S ) ⇌Cu2+¿ ¿ ) ×1 ;
−¿ ¿
(aq )+2 e
L’équation de la réaction :
2+¿
Cu (S ) +2 Ag+¿
(aq) → Cu (aq )+2 Ag(S ) ¿¿
(aq ) ¿ /
Cu2+¿ Cu(S ) : Cu (S ) ⇌ Cu2+¿
(aq )+2 e
−¿ ¿
¿ ;
1
2+¿ 2+¿ −¿⇌ Zn(S) ¿
Zn(aq) ¿ / Zn(S ) : Zn(aq) +2 e ¿ ;
L’équation de la réaction :
2+¿
Cu(S ) +Zn(aq) →Cu2+¿
(aq)+ Zn(S) ¿ ¿
Exemples:
En ajoutant une solution de diiode ( I 2 (aq) ) , caractérisé par sa couleur brun, à une solution de
thiosulfate de sodium ¿ , nous observons une
décoloration immédiat de la solution.
−¿
−¿⇌ 2 I( aq)¿ ¿
I 2(aq) / I −¿
(aq) ¿ : I 2(aq) +2 e ;
( aq ) ¿ / S2 O 3( aq ) ¿ :
S4 O 62−¿ ¿ ¿ ;
2−¿
2 S 2 O32−¿ 2−¿
( aq ) ⇌ S 4 O 6( aq ) +2 e
−¿¿
L’équation de la réaction :
2−¿ 2−¿ −¿
2 S 2 O 3( aq) + I 2(aq) → S 4 O 6(aq ) +2 I (aq ) ¿ ¿ ¿
+¿ −¿
Les réactions acido-basiques : H 3 O(aq) + HO(aq) →2 H 2 O(aq) ¿ ¿
Les réactions de précipitation : comme la précipitation du chlorure d’argent :
Ag+¿ −¿
( aq ) +Cl (aq ) → AgCl(S ) ¿ ¿
2– Transformations lentes :
2
Une transformation est dite lente si elle est susceptible d’être suivie à l’œil ou par des
instruments de mesure.
Exemples :
Oxydation des ions iodure par l’eau oxygénée dans un milieu acide :
En mélangeant une solution d’iodure de potassium ¿ avec de l’eau oxygénée ( H 2 O2( aq) )
acidifié par addition de quelques gouttes d’acide sulfurique,
nous assistons à une réaction chimique dont l’évolution peut être suivie grâce au
changement de teinte de la solution qui vire du jaune au brun (apparition de diiode) :
I 2(aq) / I −¿
(aq) ¿ : (aq) ⇌ I 2(aq) +2 e
2 I −¿ −¿¿
¿;
L’équation de la réaction :
2 I −¿ +¿
(aq) + H 2 O 2( aq ) +2 H (aq) → I 2(aq) +2 H 2 O (aq) ¿ ¿
2– Influence de la température :
Plus la température du milieu réactionnel est élevée, plus la durée de la transformation
chimique est courte, et par conséquent plus la réaction est accélérée.
Exercice d’application :
3
Nous mélangeons à 25°C, un volume V 1=10 mL de l’eau oxygénée H 2 O2 (aq) acidifié de
concentration molaire C 1=0,5 mol /L et un volume V 2=20 mL d’iodure de potassium ¿ de
concentration C 2=0,8 mol /L . On donne I 2(aq) / I (aq) ¿ et H 2 O2 (aq) / H 2 O (aq).
−¿
3- Quelle est l’évolution du mélange qui se produit que nous pouvons distinguer à l’œil nu.
7-2 Est-ce que les deux mélanges auront la même couleur à la fin des deux expériences?
Solution :
1 - Les deux couples oxydant/réducteur :
I 2(aq) / I −¿
(aq) ¿ : (aq) ⇌ I 2(aq) +2 e
2 I −¿ −¿¿
¿;
2- L’équation de la réaction :
H 2 O 2( aq) +2 I −¿ +¿
(aq) +2 H (aq) → I 2(aq) +2 H 2 O (aq) ¿ ¿
4- Tableau d’évolution :
4
5- L’avancement maximal x m :
On considère que le ractif limitant est H 2 O2( aq) ; alors on écrit que C 1 V 1−2 x m 1=0
C1 V 1
Donc x m 1= =5 mmol ;
2
−¿
On considère que le ractif limitant est I (aq) ¿ ; alors on écrit que C 2 V 2−x m 2=0
D’où : x m=5 mmol et le réactif limitant est l’eau oxygéné H 2 O2( aq).
7-
7-1 La durée de la réaction doit diminuer parce que nous avons augmenté la
concentration de l’un des réactifs (C '2>C 2).
7-2 Pour comparer la couleur des deux mélanges il faut calculer la quantité de matière
de diiode formé dans la deuxième expérience.
C1 V 1
Dans ce cas x m 1= =5 mmol et x m 2=C 2 V 2=10 mmol
2
Les deux mélanges ont donc la même quantité de matière d’iode et comme ils ont le même
volume ils auront la même concentration d’où la même couleur.
8- Si nous mettons le mélange dans l’eau glacée, la réaction doit s’arrêter (La
trempe).