C’est une opération par lequel on établit la continuité entre deux parties à assembler par divers
moyens. « e duobus unum ».
2- Mécanisme de diffusion
a. Soudage dit par diffusion
i. Si l’interface est liquide-solide, il y a création d’une zone d’alliage
sur une très faible épaisseur au-delà de l’interface. C’est le
processus du brassage qui caractérise la solidification par
solidification d’une phase liquide sur une phase solide.
3- Mécanisme reposant sur la solidification d’un liquide sur un solide.
La continuité est assurée par le phénomène d’épitaxie. Les premiers
cristaux solidifiés adoptent l’orientation des cristaux du métal
solide.
i- en mouvement
ii- immobile (résistance par points)
Une comparaison des différentes puissances de flux de chaleur mises en jeu est illustrée
par la représentation de Rykaline appelée « tache de chauffe ». On observe que la densité
d’énergie mesurée au point focale d’un faisceau laser est 10000 fois plus élevée que celle
relevée au dard d’une flamme d’un chalumeau.
La localisation des flux thermique au centre des sources de la chaleur et de leurs diamètres
lors du soudage de plusieurs procédés entraine les conséquences suivantes :
Le passage de l’état liquide (fusion) à l’état solide (solidification) crée le phénomène de retrait
et le caractère localisé de la soudure fait intervenir la dilatation thermique.
Conséquences :
- Déformations
- Contraintes au niveau des joints de soudures
Diagramme de Rykaline
Conséquences :
a) Propriétés mécaniques
b) Composés insolubles
c) Dégagement gazeux.
iii- Contact avec le métal de base. Par fusion, une partie appréciable du
métal de base s’incorpore au métal fondu qui fait varier la dilution par
sa pénétration
i- Il faut des sources de chaleurs à grandes densité d’énergie pour réduire la durée
du cycle thermique.
ii- Diminution des gradients de température d’où des déformations moindres.
i- éviter le bridage
3- Module d’élasticité faible
7020
(5% Zn) 25 477 635 72 2.8
« A-Z5G »
Composition chimique du 6061 (masse %)
Al5%Zn-Mg
∗ , . ∗ , ,
(%) = = = = , %
, ,
Soudabilité
Le soudage entraine nécessairement la solidification du bain liquide qu’on
appelle la zone fondue. Une contraction se produit lors du passage de la
phase liquide à la phase solide : c’est le retrait. Il est du à la différence entre
le volume molaire des phases solide et liquide.
Il y a risque de fissuration à chaud à la fin de solidification.
En plus un phénomène physique rentre en jeu qui est la dilatation durant
l’intervalle de température ∆T dans le domaine biphasé.
Si on considère que les deux pièces sont bridées avec une zone fondue en
court de solidification, la déformation due à la solidification qui en résulte
s’écrit :
ε = ∝.∆T
Conséquence :
Métal d’apport
1- Le métal d’apport doit contenir les mêmes éléments d’additions que
le métal de base (même composition).
2- Pour éviter de faire fondre une partie importante du métal de base, le
métal d’apport doit avoir un bas point de fusion et un faible intervalle
de solidification.
Le diagramme de phase Al-Si montre que l’alliage idéal pour le métal
d’apport est l’alliage d’aluminium de composition eutectique à 12,6 % de
Si.
Microstructure
Au début de la soudure, le bain liquide est constitué par le mélange d’une
partie de l’alliage 6061 à 0,7 % de Si, entrée en fusion, et de l’alliage du
métal d’apport à 12,6 % de Si. C’est la dilution
Comme le bain est constituée en majeur partie par le métal d’apport la
composition du bain est proche de l’eutectique.
La solidification du bain peut être interprété comme la solidification d’un
alliage proeutectique de composition moyenne.
On peut exprimer la composition comme :
é . ∗ (%) é . + é . ∗ (%) é .
(%) =
a) Jusqu’à 577 °C + T Il y a formation de grains, riche en Aluminium
proeutectique, de composition 1,65 % de Silicium baignés dans le
liquide de composition 12,6 % de Si.
b) À 577 °C la réaction eutectique prend place jusqu’à disparition
complète du liquide eutectique.
(% ) , ⇒ (% ) , +
Aluminium
Les métaux purs tels que le titane, l’aluminium et le magnésium communément utilisés
comme matériaux structuraux font partie des 14 métaux dont la densité est ≤ 4.5 Mg m -3.
L’aluminium est l’élément le plus abondant de l’écorce terrestre avec une proportion
d’environ 8 % de la lithosphère sous forme de silicate après l’oxygène et le silicium.
L’aluminium a une densité faible (2,7 g/cm3). La figure ci-dessous représente le pourcentage
d’aluminium utilisé dans l’Airbus A340 et le tableau donne les différentes famille d’alliage de
l’aluminium.
∝ + + = ; = − ⇒∝ + + =−
θ : température
t : temps
∝ = λ/ρC : diffusivité thermique du matériau (m2s-1).
λ : conductibilité thermique (J.m-1°K-1s-1).
ρC : capacité calorifique volumique (J.m-3°K-1).
= +
= ( + + )
Système de coordonnées
Tôle mince
= +
( )
Représentation spatiale des températures
Particularité :
La répartition spatiale des températures en soudage est représentée par le solide thermique.
(Portevin, Séférian) qui montre :
Les différences de température en amont et en aval de la source de chaleur.
Le réseau est plus dense en amont.
La phase d’échauffement est plus marquée que la phase de refroidissement.
Puisque la vitesse de propagation de la chaleur est finie (Elle n’est pas instantanée) les
fibres parallèles à l’axe de soudage n’atteignent pas simultanément leur température
maximale. Ce lieu des points maximum est représenté par la courbe « m ».
Cycle thermique
Remarque :
- On observe une phase d’échauffement très rapide (102 °C/s : soudage à l’arc)
- Passage par la température maximum θM (le temps de maintien à cette température est
faible surtout quand θM est élevée).
- Une phase de refroidissement dont l’intensité est caractérisée par deux températures bien
déterminées:
i- Un refroidissement entre 800 et 500 °C : Δ
ii- Un refroidissement entre 700 et 300 °C : Δ
La majeure partie des transformations métallurgiques interviennent dans ces gammes de
température pour les aciers de construction (carbone-manganèse).
La structure métallurgique finale dans la ZAC dépend de la température maximale θM et de
Δ
Température maximale θM
Les équations donnant l’évolution de la température θ en fonction du temps et de la position r
présente une singularité au point r = 0. ( →∞ → )
On impose une condition θM = θf (température de fusion) à la limite de la zone de fusion de
rayon R au temps tM où la température est maximum.
à la température tM :
=0
1 ( − ) 1
= + 1 √2 1
− 2 − = +
− −
Tôles épaisses (variation en 1/r2) Tôles minces (variation en 1/r)
Remarque :
iii - l’équation ne peut être utilisée pour estimer la largeur de la zone de fusion
puisque elle présente une singularité à θM = θf
Paramètre de refroidissement
Les solutions pour les tôles épaisses et minces donnent :
(° ) = − (° ) = −
( − ) ( − ) ( − ) ( − )
Vitesse de solidification
La vitesse à laquelle le métal fondu de la soudure se solidifie peut avoir un grand effet sur sa
microstructure, ses propriétés et permet de prévoir le traitement de pst chauffage.
( )=
( − )
Temps de solidification (en seconde)
Vitesse de refroidissement
La vitesse de refroidissement est estimée pour déterminer la nécessité d’un préchauffage. Elle
influence :
iii- si la vitesse de refroidissement est très élevée dans les aciers (dureté ; martensite ;
susceptibilité à la fragilisation par hydrogène…).
Tôles épaisses Tôles minces
° ( − ) °
= −
/
=− (
/
− )
Vitesses de refroidissements
Remarque 1 :
a- En réalité les différents points d’un même joint soudé subissent la même loi de
refroidissement. Ainsi les différentes zones d’un joint soudé sont caractérisées par une
valeur unique du paramètre de refroidissement ΔT(800-500).
b- L’évolution de la microstructure qui conditionne les propriétés de la soudure dépend de la
température maximale.
c- Il est donc intéressant de lier le paramètre de soudage avec condition opératoires que
sont : l’énergie linéaire de soudage, l’épaisseur…
Facteur d’épaisseur τ :
Si τ ≤ 0,75 l’équation des tôles minces est valable
Si τ ≥ 0,75 l’équation des tôles épaisses est valable
Flux de chaleur tridimensionnel: Flux de chaleur
Condition intermédiaire
tôle épaisse bidimensionnel : tôle mince
( − )
=
/
Application :
Calculer les différents τ pour les différents aciers : ρC = 0,0044 J/mm3 °K ; f =1500 °C; 0 = 25 °C
q = 3.1 kJ/s; d = 3 mm ; v = 8 mm/s et q = 3.1 kJ/s ; d = 6 mm ; v = 8 mm/s
, ° ( − )°
= = .
. ∗ .
.
, ° ( − )°
= = .
. ∗ .
.
1- du matériau
a. conductivité thermique.
b. capacité calorifique.
c. densité.
2- vitesse de soudage.
3- la densité de puissance et l’énergie de soudage.
4- épaisseur des tôles à souder.
Aluminium 84 10-6
Acier au 12 10-6
carbone
Acier 4 10-6
austénitique
Conséquences :
Les distorsions posent plus de problèmes dans les structures minces.
Il est intéressant de considérer certaines caractéristiques de la distribution
théorique :
C
A
R
B
O
N
E
q = 3.1 kJ/s ; d = 3 mm ; v = 8 mm/s; τ=0.39 τ=0.81
q = 3.1 kJ/s ; d = 6 mm ; v = 8 mm/s
Acier au carbone
A
L
U
M
I
N
I
U
M
Profile de température direction transverse
Tôle d’aluminium : q =3.1 kJ/s ; d =60 mm ; v =8 mm/s
La largeur maximum de l’isotherme à la température T peut s’écrire approximativement
comme (Okerblom) :
=
Cette expression peut prêter à confusion dans quelques exemples pratiques, car on a négligé le
terme qui tient compte de la diffusivité du matériau à souder.
En réalité, en tenant compte de la diffusivité, Wells a formulé la largeur maximum de
l’isotherme comme :
= −
.
° = −
∗ .
° = , = .
° = . − = .
° = . − = .
Si la source est mobile avec une vitesse constante, la zone fondue et la ZAT qui l’entoure
adopte une forme elliptique allongée suivant une coupe plane et une forme sphéroïdale
allongée suivant une vue tridimensionnelle.
Sens du soudage
Soudure en forme de
gouttes continues
Une vitesse rapide de refroidissement devrait être associée avec un faible taux de chaleur
introduite dans la soudure.
La figure donne l’allure de la courbe de refroidissement calculée d’après l’équation R (°K/s)
sur laquelle on a représenté la courbe de refroidissement en un point de la ZAT d’après les
équations de la chaleur.
Pour les grandes distances derrière la source de chaleur (80 à 100mm), les vitesses de
refroidissement dans le cordon et dans la ZAT sont très proches avec une faible erreur.
Pour des distances proches de la source de chaleur les vitesses de refroidissement très
différents.
Pour un préchauffage de 100 °C, la vitesse de refroidissement est réduite dans un rapport :
2 – Pour les matériaux qui on une vitesse de trempe élevée, tels que les aciers à haut carbone,
la condition de soudage qui consiste à diminuer la vitesse de refroidissement par
l’augmentation de la chaleur introduite q/v conduira à augmenter les dimensions du cordon et
par suite la zone affectée thermiquement.
D’autre par une réduction de la chaleur spécifique q/v sont favorables pour les matériaux qui
ne doivent pas subir les hautes températures dans le temps tels que les alliages d’aluminium
subissant les traitements thermiques (5xxx ; 2xxx ; 7xxx…).
Augmentation de l’épaisseur
Okerblom a observé que la contraction longitudinale est liée à la chaleur spécifique q/v et aux
propriétés thermiques avec une pente 1/3.
1 ∝ 1
=
3
∝/ρC : facteur de distorsion (m3/J) ; (acier au carbone : ∝/ρC = 3.1 10-12 m3/J)
A : section transversale.
( = )
= ( )
( )
= =
Procédé de soudage Rendement thermique
Soudage à l’arc submergé 0.9
Soudage à l’électrode enrobée 0.7 – 0.85
Soudage MIG 0.7 – 0.85
Soudage TIG 0.2 – 0.8
Soudage par faisceau d’électrons 0.8 – 0.95
Laser 0.4 – 0.7
Le type d’assemblage est aussi caractérisé par un coefficient de géométrie du joint ηG.
j jj η
= = 180 2
( )= =
270 3
= ∗
Remarque :
a - On considèrera une tôle comme épaisse si d (mm) vérifie la relation lorsqu’on considère
ΔT800 °C500 °C:
( ) > 4.5 ( )
b – Si on considère ΔT700 °C300 °C on est dans le cas des tôles épaisses lorsque :
( )> . ( )
c - L’IRSID a établit un abaque pour la prévision de ΔT800 500 a partir des paramètres de
soudage dans le cas du soudage à l’arc.
Application :
Estimer la durée de refroidissement 800-500°C ΔT800500 pour une soudure avec une électrode
enrobée (procédé 111) sur deux tôles plates sans chanfrein. La baguette utilisée est de
diamètre ϕ = 3 mm et la vitesse de soudage est de v = 15 mm/s.
Formulations :
I (A) = 50*{ϕ(mm) -1}; U (V) = [0.04*I (A)] + 21; l’énergie électrique linéaire ou nominale
é ∗
s’écrit : = 0.06 ( / )
( )
é
= ( )= . /
Quelques valeurs de suivant les différents procédés de soudage
Procédé TIG Laser Électrode MIG-MAG Arc
de soudage enrobée submergée
<3s <5s 2 à 15 s 4 à 30 s 5 à 50 s
Dilution
La réponse métallurgique de chaque partie du joint de soudure dépendra de la composition
chimique.
Dans le cas d’une soudure autogène homogène (pas de métal d’apport), le taux de dilution est
100 %.
Exercice (température) 1.
Une soudure a été exécutée en une seule passe sur un acier. Les paramètres de la
soudure sont :
θf = 1500 °C ; E = 20 V ; I = 200 A ; vitesse de la soudure v = 5 mm/s ; θ0 = 25 °C ; le
rendement thermique η = 0.9 (soudage à l’arc submergé) ; ρC = 0,0044 J/mm3 °K.
(capacité calorifique volumique) ; d = 5 mm.
i – Calculer les températures maximales aux distances 1,5 et 3 mm à partir de la
frontière de la zone fondue de la soudure.
ii – Calculer la largeur de la ZAT si la température de recristallisation est 730 °C.
iii – Quelle est l’influence sur la largeur de la ZAT si un préchauffage est utilisé à
200 °C.
iv – quelle est l’influence sur la largeur de la ZAT si l’énergie nette est augmentée de
10 %.
Solution
Calcul de la chaleur effective Qeff .
. ∗ ∗
= = = =
( − ) ° ( − )°
= = = .
/
a- À la distance 1.5 mm :
√
= + =
( . )− ° −
√ ∗ . ∗ . ∗ , ° ∗ ∗ .
= +
°
. ∗ , ° ∗ ∗ .
= +
°
. ° ∗
= + = . + . = .
°
( . )− ° = . °
( . )= . °
b- À la distance 3 mm :
√
= + =
( )− ° −
√ ∗ . ∗ . ∗ , ° ∗ ∗
= +
°
= . ° + . ° = , °
( )− ° = . °
( )= . °
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Exercice 2
Quelle est la vitesse de soudage la plus appropriée pour effectuer une soudure sur des
tôles en acier de 6 mm d’épaisseur à température ambiante de 25 °C. Les conditions
opératoires de la soudure sont : sous une tension de 25 V et d’un courant de 300 A. Le
rendement de l’arc est η = 0,9 et l’intervalle des vitesses possibles est entre 5 et 10 mm/s.
La vitesse de refroidissement la plus satisfaisante est de 6 °C/s à la température 550 °C.
Solution
Calculons la chaleur effective pour estimer le facteur d’épaisseur et vérifier si on est
dans le cas des tôles minces ou épaisses. Pour ce faire on choisira une vitesse de 9 mm/s
. ∗ ∗
= = = . =
Types de tôles ?
( − ) ( − )
= = = .
/
< 0.6 ; il s’agit alors d’une tôle mince et la vitesse de refroidissement qui sera prise en
compte est :
°
= ( − )
= . ∗ ( )
° ∗
= . ∗ = .
La valeur de la vitesse de refroidissement (calculée avec 9 mm/s) est très élevée par
rapport à celle qui est recommandée. On refera la même démarche en effectuant les
calculs avec une vitesse plus basse, soit 7 mm/s.
. ∗ ∗
= = = . = .
( − ) ( − )
= = = .
/ .
°
= ( − )
= . ∗ ( )
.
° ∗
= . ∗ = .
,
La vitesse de refroidissement est très basse par rapport à celle recommandée de 6 °C/s.
. ∗ ∗
= = = . = .
( − ) ( − )
= = = .
/ .
°
= ( − )
= . ∗ ( )
.
° ∗
= . ∗ = .
,
Cette vitesse de 5.66 mm/s est proche de celle recommandée et peut être adoptée comme
vitesse de soudage.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Solution :
La quantité de chaleur introduite par unité de longueur (chaleur nette générée par le
procédé s’écrit : Qeff = P (q/v)
Qeff = 0.8 (30 V*150 A)/0.5 mms-1 = 7200 J/mm = 7.2 kJ/mm.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
iii - Estimer la largeur de la ZAT en supposant que les transformations de phases ont
lieu à 740 °C.
Solution:
= ; =
( − )
p : profondeur
Q : vitesse de chaleur introduite dans la pièce (J/s)
: diffusivité thermique ( = / C ; m2s-1)
f et 0 respectivement les températures de fusion et à l’ambiante.
Pour un cordon de soudure symétrique w = 2p
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
= −
( )= −
.
= . =
. +
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
= −
.
= . =
. +
.
= . =
. +
= −
.
= . =
. +
= −
.
= . =
. +
= −
.
= . = .
. +
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
1 ( − ) 1
= +
− 2 − 1 1
√2
= +
− −
( − ) ° ( − )°
= = = .
/
1 1 √2
− = = −
− − 1200 − 25 1500 − 25
= (8.51 − 6.78)10
. 10
( ° )= == .
√ ∗ . ∗ . ∗ ° ∗
1 1
− = − = (12.9 − 6.78)10
− − 800 − 25 1500 − 25
. 10
( ° )= == .
√ ∗ . ∗ . ∗ ° ∗
( ° )= . ∗ . = .
c - Zone de la ZAT à 700 °C
1 1
− = − = (14.81 − 6.78)10
− − 700 − 25 1500 − 25
( ° ) = . ∗ . = ,
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Une ailette est soudé sur un tube en acier de 15 m de longueur. Les paramètres de
soudages sont : 24 V ; 160 A ; et 8 mm/s. Le coefficient de transfert de chaleur est de
80%. La section du tube est 1100 mm2.
= ; =
∝/ρC : facteur de distorsion (m3/J) ; (acier au carbone : ∝/ρC = 3.18 10-12 m3/J)
A : section transversale.
1 ∝ 1
=
3
Solution :
1 24 ∗ 160 ∗ 0.8 1
= 3.18 10
3 8 1100
1 1.0822 1
= 10 10 = 0.360 10 = 360 10
3
∆
= ⇒ ∆ = 15 ∗ 360 10 = 5.4
La courbure :
= = ⇒ = .
= = . ≈ .
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Exercice SHAFFLER
Soient deux pièces à souder, l’un en acier inox 316L et l’autre en acier de construction
(carbone-manganèse). Choisir le meilleur métal d’apport parmi les trois disponibles
pour limiter les risques de fissuration.
Profondeur d depth
Largeur width w D
raison de symétrie w = 2d