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LIVRET 8
Connaître le Micro-Ordinateur
Concepteur : M.DAKIR
ISTA HAY HASSANI
Initiation à la
Micro-Informatique
SOMMAIRE
INITIATION A LA MICRO -INFORMATIQUE
A) I. INTRODUCTION A L’
INFORMATIQUE………………………P4
1) Historique
2) Types d’ordinateurs
C) V. FONCTIONNEMENT D’ UN MICRO-
ORDINATEUR…………P9
1) Saisie de l’information
2) Traitement de l’information
3) Stockage de l’information
4) Restitution de l’information
1) HISTORIQUE
C’est au XVIIème siècle qu’on a vu apparaître les premières calculatrices, qui restèrent
malheureusement de simples curiosités scientifiques, faute d’une maîtrise suffisante de la
mécanisation de l’époque. En 1642, BLAISE PASCAL, met au point une machine.
En plus des quatre opérations de base (l’addition, soustraction, division, multiplication),
permet la conversion de certaines monnaies complexes de l’époque.
Cent ans plus tard, les travaux de BABBAGE aboutirent avec les inventions de l’ingénieur
LEONARDO TORRES QUEVADO (auteur de la machine à calculer capable de résoudre des
équations algébriques) ; et surtout, en 1942 avec un calculateur construit chez IBM par
HAWARD H.AIKEN.
1ère GENERATION :
2ème GENERATION :
- L’utilisation du transistor
1947 vit également l’aboutissement des recherches sur les matériaux “ semi conducteurs ”.
L’invention du “ transistor 9 ” fût une révolution dans le monde de l’électronique, car il était
200 fois plus petit que les tubes électroniques. On voit alors apparaître le premier ordinateur à
transistors en Mai 1950 et première de miniaturisation va donc commencer.
3ème GENERATION :
4ème GENERATION :
- Les microprocesseurs
L’avènement d’un nouveau type de circuit en 1972, accélère encore, cette évolution vers la
miniaturisation, et c’est l’apparition du microprocesseur, constitué aujourd’hui de plus de
100.000 composantes électroniques. Il intègre sur une seule “puce ” toutes les fonctions d’un
calculateur simplifié.
Après le gigantisme de machines spécialisées pour un type d’application précis, donc moins
coûteuse, se précise avec les mini-ordinateurs. Mais les recherches poussées sur le
microprocesseur dont les composantes électroniques tiennent sur une carte format feuille de
papier standard 21x27 cm ont permis de réaliser de véritables “micro-ordinateurs”, et ce pour
une puissance de calcul équivalente à celle d’un mini-ordinateur qui occupait le volume d’une
armoire quelque année plutôt. A capacité de traitement comparable, un micro–ordinateur
coûte environ 10.000 fois moins que les premiers ordinateurs électroniques et occupe 300.000
fois moins de place.
2)TYPES D’ORDINATEURS :
Il est à noter que les micros et “gros ” ordinateurs n’ont pas la même architecture et ne
fonctionnent pas de la même façon.
Bien que l’on retrouve des noms de composantes identiques (unité centrale, mémoire
principale…) le mode de fonctionnement est différent.
Il existe plusieurs critères pour faire la distinction entre “Micro” ,“mini” et gros ordinateurs,
le critère le plus apparent est celui de la taille (volume) de la machine armoires, un mini
dépasse rarement la taille d’un bureau, par contre un “micro” a des dimensions allant de
(30cm x 20cm jusqu’à 60cm x 50cm).
1) GROS ORDINATEURS :
Ce sont des machines colossales dotées d’une puissance de calcul et de rapidité importante,
pouvant gérer plus d’un millier d’utilisateurs, travaillant simultanément sur des zones
géographiquement dispersées. Ses disponibilités de stockage sont grandes et plusieurs unités
de disques peuvent être intégrées au niveau d’une machine. Elles sont utilisées dans les
grosses entreprises (banques, assurances, transports…)
2) MINI-ORDINATEURS :
Machine intermédiaires entre les “gros” et les “micros” peuvent gérer quelques centaines
d’utilisateurs, ayant des capacités de stockage assez importantes, et utilisés dans les moyennes
entreprises.
3) MICRO-ORDINATEURS :
G) Ce sont des machines moins performantes que les mini et gros ordinateurs, mais elles
présentent l’avantage d’être individuelles ou personnelles. Elles ont de plus tendances à
rivaliser les performances des mini s’il y a quelques années. Ils sont utilisés aussi bien chez
les particuliers que dans les entreprises.
Après avoir brièvement cité les caractéristiques d’un micro-ordinateur, nous allons aborder les
principales composantes de l’unité centrale sachant que tout les traitements s’effectuent à
l’intérieur de celle-ci.
Nous schématiserons l’unité centrale comme suit :
b) Mémoire principale :
Regroupe deux blocs mémoire ayant les caractéristiques tout à fait distinctes.
ROM : (Read Only Memory) appelé aussi mémoire morte. Elle est programmée par le
constructeur et contient des programmes d’auto test et de vérifications de l’état de
fonctionnement de l’ordinateur. Sa tâche s’achève juste après le démarrage de la machine.
La mémoire vive est une mémoire dans laquelle l’utilisateur peut lire et écrire des
informations. Chaque élément de la mémoire est adressable ; on peut comparer ces mémoires
à un système de boites à lettres.
Il faut distinguer le contenu de la boite ou case mémoire et l’adresse de cette même boite ou
case mémoire.
C’est dans ces mémoires que le microprocesseur charge les programmes à exécuter.
Tout acheteur de micro ordinateur doit s’assurer que la mémoire centrale de base (mémoire
vive) est suffisante pour le chargement du programme qu’il envisage d’acquérir.
On appelle cette mémoire RAM : (Radom Access Memory) ou mémoire vive, puisqu ‘elle se
vide de son contenu dés que l’ordinateur est mis hors tension.
La capacité de la mémoire centrale est une des caractéristiques de la taille des ordinateurs.
B) Périphériques du Micro-ordinateur :
(seront détaillés ultérieurement)
H) -Ecran
- Imprimantes
- Clavier
Il existe de larges possibilités de connexions pour les ordinateurs PC. D’abord il est possible
de connecter plusieurs PC entre eux. Pour communiquer et partager les ressources (Données,
Périphériques…) entre les utilisateurs (Cas du réseau local). Il est aussi possible de connecter
un PC à un “Gros” système.
Grâce au développement des réseaux de communication publiques et privé ( cas des pays
Européens et d’ Amérique du nord) tout micro-ordinateur doté d’un appareil (modem) ou
carte de communication peut rentrer en contact avec n’importe quel correspondant (banques
de données, entreprises, particuliers…) simplement par voie du réseau téléphonique.
Autre aspect, les PC peuvent être utilisés en tant que téléfax ou de télex tout simplement si on
leur ajoute des cartes adéquates.
1) NAISSANCE DU PC :
En 1981, IBM, sans doute forcé par les événements et tenté de ne pas laisser s’échapper un
marché qui s’annonce prometteur, dévoile cette machine, qui est le micro-ordinateur personal
computer (PC).
Son succès et pourtant foudroyant, à l’image du constructeur qui a au moins aux Etat s Unis,
s’installe en tête des fournisseurs micro-informatique, jusque là, dominé par APPLE.
Mais cet événement est aussi pour IBM l’occasion d’introduire un nouveau standard, auquel
la “famille” devra désormais se conformer. Le standard de l’ IBM PC, cible de toutes les
polémiques et au cœur du problème de la compatibilité.
Notons que la notion de compatibilité est un terme pour désigner les ordinateurs qui obéissent
aux mêmes normes “PC” et sont capables d’utiliser les programmes et les cartes d’extension
prévus pour l’ordinateur personnel IBM “PC”, “PC XT ”, “PC AT”.
PC XT
C’est une machine PC dotée d’un disque dur et d’un lecteur de disquettes d’une capacité de
360 Ko.
PC AT
Il s’agit d’un ordinateur compatible avec tous les logiciels écrits pour le PC mais dont le
processeur central est beaucoup plus puissant, le “INTEL 80286”.
Pendant cette période, IBM n’est pas resté le seul à fabriquer ces PC, mais un grand nombre
de constructeurs se sont aussi engagés sur cette voie de fabrication d’ordinateurs compatibles
PC ou “ IBM PC LIKE ”.
Mais au fur et à mesure que s’affirmait le succès commercial des PC, de nombreux
constructeurs apparaissent sur le marché. Ces derniers avec la concurrence appliquaient des
tarifs de plus en plus bas, ce qui a déclenché une guerre des prix sans fin. Ainsi, les ventes en
PC d’ IBM chutaient considérablement, ce qui a incité ce dernier à sortir le 2 avril 1987 sa
nouvelle gamme de micro-ordinateur professionnel PS/2 ( Personal système 2).
IBM a continué sur la voie des PS/2 tandis que les constructeurs de compatibles ont lancé de
nouvelles machines toujours compatibles PC, de plus en plus performantes dotées des
Microprocesseurs tels que “ INTEL 80386 ” et “ INTEL 80486 ”.
Saisie de l’information
Traitement de l’information
Stockage de l’information
-Restitution de l’information
1) SAISIE DE L’INFORMATION
CLAVIER
La frappe sur une touche crée un contact électrique permettant à la machine d’identifier le
caractère frappé.
Remarque:
Les claviers d’ordinateurs ne sont pas normalisés. chaque ordinateur, pour chaque pays,
peut avoir un clavier différent (par exemple clavier AZERTY… en français et QWERTY..
en anglais..
SOURIS
C’ est un petit boîtier, équipé de boutons, relié par un câble au micro ordinateur. Ce boîtier
roule facilement sur une surface plane grâce à une bille. La rotation de la bille permet de
contrôler les mouvements du curseur à l’écran.
La plupart des logiciels utilisent beaucoup la souris pour commander les déplacements de
curseur, le choix dans les menus, dessiner sur l’écran. Pour certains types d’application, son
utilisation est plus agréable que celle du clavier.
C’est un organe de commande qui permet à l’utilisateur de se déplacer facilement sur l’écran
(si on déplace la souris à droite, le curseur se déplace à droite à la vitesse de l’utilisateur),
Ce qui l’autorise, par exemple, à pointer, sans erreurs, une option dans un menu. Outre cet
aspect convivial, la souris est également un instrument très utile pour le dessin, et tous les
logiciels permettant le graphisme font appel à ce périphérique de plus en plus accessible.
iCRAYON OPTIQUE
- Le crayon à écran(Light pen) est utilisé surtout avec les micro-ordinateurs domestiques dans
le domaine éducatif et des jeux pour enfants.
iCARTES MAGNETIQUES
Très diffusées dans le domaine bancaire où elles sont utilisées dans les distributeurs
automatiques et aussi dans les domaines de téléphonie, sécurité d’accès aux locaux…
iDOIGT
iRECONNAISSANCE VOCALE
Pouvoir donner des ordres à la machine en lui parlant,, reste à l’heure actuelle au stade
expérimental. Ainsi les dispositifs de reconnaissance vocale rencontrent des difficultés
technologiques encore considérables.
2) LE TRAITEMENT DE L’INFORMATION
Afin de gérer les priorités, les mémoires externes et les flux d’informations, il faudrait avoir
un système d’exploitation qui indique au Micro- Processeur quoi faire :
3) STOCKAGE DE L’INFORMATION
Le stockage des informations se fait sur des supports plus ou moins utilisés.
L’information n’existe pas sans son support. Les différents supports d’informations
utilisés en micro-informatique, à l’heure actuelle se distinguent par leur performance dans ces
divers critères :
- Taille
- Accessibilité
- Permanence
- Réutilisation
K) A) LES DISQUETTES
Les disquettes existent sous deux formes principales : 5 ”1/4 et 3”1/2. leur capacité varie entre 360
Ko et 1,44 Mo.
L’unité élémentaire d ‘information s’appelle le BIT (Binary Digit). Une combinaison de deux bits
peut prendre au maximum 4 états différents :
Les disques durs ou disques rigides sont des mémoires de masse de très grande capacité.
Sur micro-ordinateur, les disques durs sont conçus selon plusieurs technologies. Leur capacité
varie entre 20 et 300 Mégaoctets et leurs temps d’accès sont extrêmement réduit, d’où un
accès aux données très rapide. Ils constituent actuellement les principales unités de stockage
de l’information sur micro vu la diminution considérable de leur coût.
C/ LES STREAMERS
D/ CD- ROM
Un CD- ROM n’est Guère différent d’un compact disque audio, mais la qualité de lecture
écriture est encore plus fin, c’est un petit disque rigide pouvant contenir des milliards
d’informations qui peuvent être de différentes nature : informations, son, image…
ce sont des mémoires constituées par un support continu recouvert d’une couche d’oxyde
magnétique.
La densité d’écriture sur ces supports varie de 800 à 1600 BPI ou caractères par inches soit
800 caractères pour 2,54 cm.
Il existe aussi des bandes à 6400 BPI que l’on trouve généralement dans les grands centres
informatiques. Les bandes magnétiques et les cassettes sont des mémoires dont l’accès est
séquentiel.
Exemple :
Pour lire une informatique concernant un sujet donné il faut lire tous les matricules
précédents.
Le principe de mise à jour sur une bande magnétique consiste à recopier une bande B1 sur une
bande B2 en tenant compte des modifications.
La vitesse de lecture d’une bande magnétique est élevée ; elle peut atteindre 10.000 à 30.000
caractères par seconde. Cependant l’accès séquentiel génère des temps de traitement très
longs.
L’avantage de la bande magnétique réside dans le faible prix et fiabilité de support. C’est le
support de sécurité et de sauvegarde le plus utilisé.
4/ RESTITUTION DE L ’INFORMATION
Mettre sous forme accessible les informations et les transmettre aux destinataires.
La restitution peut être :
- Temporaire : écran (Dessin d’écran ou grille)
- Ecriture et données permanentes : imprimante (Dessin d’écran ou grille).
ECRAN
C’est un dispositif qui permet d’afficher de manière temporaire des données introduites en
machine (données frappées au clavier, résultats de traitement….).
L’Ecran est muni d’un curseur qui permet d’indiquer la position du prochain caractère à
introduire au clavier. Les mouvements du curseur sont commandés par des touches spéciales
du clavier.
AUTRES DISPOSITIFS
- Le crayon optique qui permet de désigner des données ” sur un écran par simple
pointage ;
- L’écran tactile qui répond au même besoin avec un réseau de diodes placées sur sa
surface. l’appui du doigt sur l’écran permet la désignation de données affichées ;
- La table à digitaliser qui permet de “ dessiner sur l’écran ; c ‘est une tablette
métallique sur laquelle le déplacement d’un stylet entraîne un déplacement identique
du curseur sur l’écran.
Il est certain que les ordinateurs sont capables d’accomplir une variété de tâches tels que :
saisie de textes, traitement de chiffres, des images, des sons…
IMPRIMANTE
Il existe une très grande variété d’imprimantes, selon les technologies utilisées, selon les
performances, selon les coûts.
Elles utilisent le principe des matrices de points pour l’affichage sur écran. A chaque point de
la matrice correspond une aiguille, frappée par un marteau. Cette technique permet d’atteindre
des vitesses de 120 à 500 caractères par seconde, soit, à peu prés, 100 lignes par minute.
Elles agissent par brûlage ou pression du papier chimique. elles sont relativement silencieuses
mais peu performantes. Cependant , les imprimantes à transfert thermique atteignent 250
caractères / seconde et peuvent imprimer selon plusieurs polices de caractères ainsi que des
graphiques avec une bonne définition (240 x 240 points par pouce).
A partir d’une image du caractère à imprimer, on projette des gouttes microscopiques d’encre
guidées à l’aide de charges électriques variables. Les performances sont supérieures à 100
caractères par seconde dans le bas de gamme…
Il est possible d’obtenir des qualités d’impression différentes selon la vitesse ( par exemple
120 caractères par seconde en qualité courrier et 240 caractères en qualité listing), d’obtenir
des caractères gras, expansés… donc d’assurer une présentation d’excellente qualité. Il
possible, sur certains modèles, de réaliser une impression en plusieurs couleurs.
- Imprimantes Laser
Pour imprimer des graphiques plein page ou pour accepter le téléchargement des caractères,
les imprimantes, laser ont besoin de mémoire.
Les caractéristiques de l’imprimante laser en font l’outil d’impression idéal pour quiconque a
besoin d’une qualité ci-après :
Pour remplir toutes ces tâches, il faut indiquer à l’ordinateur la liste précise des opérations à
effectuer, cette liste constitue un programme.
- Modems
L’unité de transmission est le BAUD. Le BAUD est le nombre de bits transmis par
seconde.
- Notions de configuration
D’entrée.
De sortie.
De mémorisation d’informations.
De calculs.
- Le système d’Exploitation présenté sous forme de CD-ROM qui est déjà installé sur le
Disque Dur par le fournisseur.
2) LE DEMARRAGE DU MICRO-ORDINATEUR
REGLES DE BASE
Au début e votre session de travail, mettre sous tension dans cet ordre :
L’onduleur
Les périphériques
L’unité centrale
A la fin de votre session de travail, mettre hors tension dans cet ordre
Les périphériques
L’unité centrale
L’onduleur
- Avant d’insérer une disquette dans un lecteur, il faut toujours fermer le clapet protecteur.
- Pendant la lecture ou l’écriture ; le voyant lumineux situé sur la face avant du lecteur
s’allume
- Toute disquette peut – être protégée contre l’écriture en ouvrant le clapet protecteur située
sur la disquette. Dans ce cas tout essai d’écriture dur la disquette provoque un message
d’erreur du système.
Avant de passer à l’élaboration d’un programme, il est nécessaire de passer par un algorithme.
Ce dernier est défini comme étant un ensemble de règles qui définissent un procédé de calcul
pour résultat à partir de données initiales.
Cet algorithme formulé en langage humain est forcément incompréhensible par l’ordinateur. Il
faut donc le traduire en un programme en langage évolué. (Par opposition au langage machine
qui comporte des codes basés sur “ 0 ” et “ 1 ” et qui est directement exécutable par
l’ordinateur.
Les étapes de conception et d’exécution d’un programme peuvent être résumés de la façon
suivante :
traducteur
Exécution exécution
Par la
machine
résultats
Essayons de visualiser cet algorithme sous forme schématique, c’est à dire essayons de
dessiner l’ ORGANIGRAMME
L’étape suivante consiste à décrire l’ensemble de ces règles en langage compréhensible par la
machine. C’est la programmation. Rappelons qu’un programme est une suite d’instructions
qui, exécutées, pas à pas et dans un ordre défini, aboutit à un résultat à partir des données
initiales.
Ce programme peut être écrit par différents langages évolués standardisés et opérationnels sur
plusieurs types d’ordinateurs.
Parmi les plus utilisés :
BASIC
COBOL
PASCAL
C
C++
Un programme, une fois écrit, en BASIC par exemple, est introduit dans la machine qui
l’interprète ou le traduit (compilateur ou interpréteur) en langage binaire, afin qu’il devient
directement exécutable par l’ordinateur.
Mais une solution informatique n’est pas constituée rien qu’avec du matériel, c’est un
ensemble d’entités qui constitue une pyramide que nous schématisons de la manière suivante :
DONNEES
PROGRAMME
D’ APPLICATION
UTILITAIRES
SYSTEME D’ EXPLOITATION OU
OPERATING SYSTEM
HARDWARE MATERIEL
Tous les ordinateurs nécessitent un système d’exploitation, sans quoi le nom le dit
suffisamment, ils ne pouvaient être exploités.
Pour chaque type d’ordinateurs, il existe un système d’exploitation qui lui est adapté. Pour les
PC, il existe plusieurs systèmes d’exploitation parmi lesquels nous citons : MS-DOS,
PROLOGUE, XENIX, PC- MOS, concurrent DOS , OS/2, MULTIUSER DOS ,…
Ces systèmes d’exploitation sont mono tâches mono postes ou multitâches multipostes.
Rappelons que :
Mono poste : Système d’exploitation ne pouvant gérer qu’un seul poste en même temps.
Multiposte : Système d’exploitation pouvant gérer plusieurs postes en même temps.
Mono tâche : Système d’exploitation capable d’effectuer une seule tâche à la fois.
Multitâche : Système d’exploitation d’effectuer plusieurs tâches simultanément.
Le système d’exploitation le plus populaire sur PC est MS-DOS qui a la caractéristique d’être
Mono tâche, mono poste ce qui correspond bien à l’esprit du PC (ordinateur individuel).
Les logiciels qui sont aussi appelés " SOFTWARE " sont subdivisée en deux grandes
familles : Standard et Spécifique.
Les logiciels standard sont décomposés en 3 familles (outils, généraux et sectoriaux ) et sont
de deux types :
- Les progiciels horizontaux qui couvrent les besoins de toute une catégorie d’entreprise,
abstraction faite de leur secteur d’activité, nous citons des progiciels outils principalement
et dans certains cas les progiciels généraux.
- Les progiciels verticaux qui s’adressent à une profession, un secteur d’activité
particulier, exemple : banques, assurances, hôtellerie, professions libérales…..les
progiciels sectoriaux constituent l’exemple type des progiciels verticaux.
Cette distinction faite, nous aborderons une à une les différents familles des progiciels
précédemment cités sur le schéma des familles des progiciels (voir figure 2).
1) PROGICIELS STANDARD
L) A) Progiciels outils
a) Traitement de texte
b) Tableur
C’est un outil qui permet de présenter des données chiffrées dans des feuilles de calculs sous
forme de tableaux ; grâce aux formules introduites par l’utilisateur, toute modification au
niveau d’une donnée se répercute automatiquement sur toutes les données du tableau.
Il est destiné aux décideurs et aux cadres désireux d’avoir des informations très rapidement
avec la possibilité de faire des simulations concernant la variation de certains paramètres.
Parmi les tableurs les plus connus nous citons : QUATTRO PRO, LOTUS 1-2-3, EXCEL,
…
c) Grapheur
Un grapheur est un produit qui permet le tracé de graphiques à partir de données de type
numérique, il offre un grand nombre de type de représentations et il suffire à l’utilisateur de
choisir le type le plus adéquat pour son graphe.
Il existe de nombreux “ best-sellers ” en matière de grapheurs tels que : CHART MAS TER,
HARVARD GRAPHIC, CHART,…
Parmi les produits les plus populaires en la matière nous citons : Dbase, FOXPRO,
PARADOX, ORACLE, SQL Server…
e) Intégrés
La gestion des entreprises se base sur des outils qui sont la comptabilité, la gestion des stocks,
la gestion du personnel, la paie, la facturation et bien d’autres.
Pour automatiser ces tâches, des programmes standards (progiciels) ont été conçus en ayant
recensé les besoins des entreprises dans différents secteurs d’activité. Ces produits sont
paramétrables et peuvent être utilisés pour toutes les gestions pas très particuliers.
Pour les différents besoins de secteurs particuliers, il existe des produits qui répondent aux
besoins des utilisateurs de ces secteurs. Ainsi on retrouve sur le marché des produits de
gestion bancaire (BANK-WARE), des produits de gestion hôtelière, gestion de cabinets de
médecins, d’avocats, de transitaires, d’intermédiaires d’assurances,…
2) PROGICIELS SPECIFIQUES
Pour tous les besoins particuliers qui ne peuvent avoir de solution standard apportée par des
produits standards, il est indispensable de se faire un produit spécifique répondant exactement
aux besoins des utilisateurs. ce sont les logiciels.
Le développement des logiciels se fait par le département informatique interne de l’entreprise.
dans le cas échéant l’entreprise aura recours à une société de Services et d’ingénierie
informatiques.
MS-DOS sont les initiales de Micro-soft Disk Operating System. C’est le standard dans
systèmes d’exploitation pour IBM PC et compatibles. Plusieurs version du MS-DOS se sont
succédées en fonction des modèles de PC , ainsi , la version 1.1 était destinée aux premiers
IBM PC est qui est apparue en 1981 a des ordinateur doté de deux lecteurs de disquettes de
320 ko.
MS-DOS 2.11 : seconde version (1983) pour la sortie de l’ IBM PC XT (disque dur ,disquette
360 Ko ).
La version 4.0 du MS-DOS (1988) livrée avec les machines 386 a été largement diffusée à la
fin des années 80 et début 90.
2) Le gestionnaire des fichiers permet la gestion des données sous forme structurée. ces
fichiers sont classés dans des répertoires de telle manières à faciliter leur gestion.
Les commandes internes déclenchant l'exécution d'un programme résident en mémoire vive.
L'ensembles des programmes résident associé aux commendes internes est contenu dans la
partie COMMAND.COM du système d'exploitation, qui est chargé en mémoire au démarrage
de la machine et au lancement du système d'exploitation.
Les programmes correspondants aux commandes externes sont contenus dans des fichiers sur
la disquette MS-DOS, livrée par le constructeur et portant généralement les extensions (EXE,
COM, SYS).
Remarque:
Lors de l'appel d'une commande externe. Le système doit pouvoir trouver le fichier
correspondant dans l'unité par défaut, grâce à un chemin spécifié par une commande lors du
démarrage de l'ordinateur.
Dans le cas échéant, un message d'erreur "Nom de fichier ou de commande incorrecte" est
affiché par le système.
X. QUESTIONS :