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Introduction :

Le développement des ntic est le résultat de III siècle de travaux scientifique fortement lié à
l’histoire des puces modernes, donc de l’ordinateur.

L’histoire de l’information commence cependant beaucoup plutôt. Un ordinateur est une


machine qui peut effectuer un calcul sur un groupe de nombre qui se souvient du résultat et peut alors
calculer un autre groupe de nombre. Le bouiller (abaque) fut le premier exemple d’ordinateur, utiliser
il y a 4 mille ans, il est toujours utilisé au Japon, en Chine, en Russie…

En1642, BLAZE PASCAL, pour aider son père qui était inspecteur des impôts inventa la
première calculatrice mécanique à 2 fonctions (addition et soustraction) appelé Pascaline. Cette
machine fut améliorée par LEIBLITZ en 1973 en y ajoutant ka multiplication et la division.

Au début du XIXe siècle, Charles BABBAGE mathématicien décida de construire une machine
qui effectuait des calculs complexe. En 1822, il présenta son premier modèle de machine qui pouvait
construire des tables logarithmiques. En 1834, apprenant qu’une machine à tisser (Métier à tisser
JACQUARD) est programmer à l’aide de capture, il se lance alors dans la construction d’une machine à
calculer exploitant cette idée. La majeure partie de l’architecture logique des ordinateurs moderne
s’inspirent des travaux de BABBAGE et il les considérait aujourd’hui comme le père des ordinateurs.
BABBAGE eu l’intuition qui n’était pas donc possible de programmer une machine et de lui montrer
comment effectuer une tâche mathématique particulière. Ce qui fût confirmer en 1936 et démonter
par ALAN TURING mathématicien de l’Université de Cambridge. Les mathématiques sont une science
qui obéit à une règle logique ; si on communiquait les règles à une machine et si on lui proposait un
problème, la machine serait en mesure de le résoudre. Turing examina l’équipe de problème qu’une
machine pourrait résoudre en suivant des règles logiques et les énuméras. Il prouva alors qu’un
ensemble d’instruction simple pouvait résoudre tout problème complexe.

Une équipe qui travaillait au projet les plus secret dès la seconde guerre mondiale, la
construction du premier ordinateur électronique appelé COLOSSUS. Cette machine déchiffra alors la
première énigme. ALAN TURING est presque inconnu parce qu’il travaillait pour le MI6. Ses travaux
furent gardés secret et leur contenue ne fût révéler qu’en 1975.

La construction d’un ordinateur progressait mais ont dû attendre l’invention du transistor en


1947 pour rendre possible des calculs rapides. Les transistors ont la même fonction que les lampes-
diodes mais ils sont beaucoup plus rapides, plus fiables, dégagent beaucoup moins de chaleurs et
n’exigent pas beaucoup d’énergie tout comme les lampes diodes, ce sont des circuits électroniques
qui peuvent être souvent ouvert ou fermé et qui peuvent représenter les 0 et les 1 du code binaire.

Vers le début des années 1960, le circuit intégré fit son apparition et l’informatique fit un grand
bond en avant.

Le circuit intégré mena naturellement à la création de puce comportant de nombreux circuit


et la superposition de plusieurs puce placé donna ce qu’on appelle le Micro-processeur. L’architecture
logique créer par BABBARD est toujours utilisé dans le micro-processeur d’aujourd’hui. Les théories
d’ALAN TURING au sujet de ka conception d’un ordinateur et de sa faisabilité ne sont pas encore
dépassés.
Chapitre I
Définitions :
Le rapprochement de l’informatique, de l’audiovisuel et des télécommunications depuis les
années 1990 est le résultat de la miniaturisation des composants électronique permettant de produire
des appareils multifonctions.

Définition 1 :
Le terme ntic désigne un secteur d’activité et un ensemble de biens qui sont des applications
pratique des connaissances scientifiques en informatique, de communication et en cryptologie.

Définition 2 :
Les ntic sont définies comme un « ensemble des technologies issues de ka convergence de
l’informatique et des techniques évoluer du multimédia et des télécommunications, qui ont permis
l’émergence de moyen de communication efficace, en améliorant les traitements, la mise en mémoire,
la diffusion et échange de l’information.

Cette seconde définition est beaucoup plus complexe car elle reflète le point de vue des
institution internationales qui considèrent de ntic étant l’intégration des technologies, des
télécommunications, de l’informatique, des multimédias et de l’audiovisuel.

Les ntic ne sont que des outils de supports pour le traitement de l’information et de la
télécommunication.

Selon une convention internationale fixée par l’OCDE (Organisation pour la Coopération et le
Développement Economique) sont qualifiés de secteur des ntic :

1. Les secteurs de producteurs des ntic :


Fabrication des matérielles informatiques, d’ordinateur, de téléviseur, de radio, de téléphone, …

2. Les secteurs distributeurs des ntic :


Commerce de Gros de matérielle informatique, d’ordinateur, de téléviseur, de radio, de téléphone,

3. Les secteurs de service des ntic :


Télécommunications, services informatiques

4. Les services audio-visuels :

L’ordinateur :
Un ordinateur est un ensemble de composant électronique modulaires, c’est-à-dire des
composants pouvant être remplacer par d’autres composants ayant éventuellement des
caractéristiques différentes mais capable de faire fonctionner des programmes informatiques.

Le PC (Personnal Computeur), HARDWARE et SOFTWARE.

Le Hardware pour décrire l’ensemble des éléments matérielles de l’ordinateur et Software


pour les parties logiciels.

Les composantes matérielles de l’ordinateur sont architecturées sur une carte principale
comportant quelques circuits intégrés et beaucoup d’autres composantes électroniques comme les
condensateurs. Tous ces composantes sont soudées sur la carte et sont reliés par les connections de
circuit imprimé et par un grand nombre de connecteurs qui est appelé carte mère.

La carte mère est logée dans un boitier comportant des emplacements pour les périphériques
de stockage, ainsi que des boutons permettant de contrôler la mise sous-tension du PC et un certain
nombre de voyant lumineux (LED) permettant de vérifier l’état du de marche de l’appareil et l’activité
des disques durs. Les boitiers présentent aussi des ouvertures pour les cartes d’extension (carte fille)
et des interfaces d’entrée-sortie (USB, Souris, …). Enfin de boitier héberge un bloc d’alimentation de
tension électrique appelé communément alimentation chargée de fournir un courant électrique stable
et continue à l’ensemble des éléments de fournir un courant constitutif de l’ordinateur. L’alimentation
sert à convertir le courant alternatif 110-220V en une tension continue de 5V pour les composants de
l’ordinateur et de 12V pour certains périphériques internes (disques durs, lecteur CD/DVD), …)

On appelle unité centrale l’ensemble composants du boitier et des éléments qu’il contient. Les
éléments externes à l’unité centrale sont appelés périphériques (clavier, souris, moniteur, clé USB, …)
mais il est possible de connecter une grande diversité périphérique sur les interfaces d’entrée-sortie
(port USB, port série, port parallèle) : imprimante, scanner périphérie de stockage externe (disque dur
externe) appareil photo ou caméra numérique, assistant personnel (PDA), …
Chapitre II
A. La mémoire :
La mémoire est une composante vitale pour un ordinateur. Il l’utilise pour stocker les
programmes qu’ils les commandes ainsi que les données qu’il doit traiter, de mettre les résultats du
traitement.

La mémoire implique 2 interventions :

• Stockage et rappel : Une mémoire n’est d’aucune utilité s’il n’est pas possible de rappeler des
informations qui y sont stockés.

Il y a deux types de mémoires :

• Interne et externe

1. La mémoire interne :
Encore appelée mémoire principale, est entièrement électronique et fabriqué à base de silicium. Cette
mémoire principale est composée de 2 sortes de mémoire :

▪ ROM
▪ RAM

a) LA ROM (Read Only Memory) :


On l’appelle aussi mémoire morte, c’est une zone mémoire d’information inefficace. Elle contient les
programmes de fonctionnement de l’ordinateur et le langage machine propre à l’ordinateur.

b) LA RAM (Random Acces Memory)


On l’appelle aussi mémoire vive, c’est le lieu où sont stockés provisoirement les programmes et les
données ainsi que les résultats de traitement. Ils sont remplaçables à volanter. Mais dès que
l’ordinateur est en haut tension tous les contenus de RAM est perdue.

2. La mémoire externe :
Appeler aussi « mémoire de masse », soit partiellement mécanique, partiellement électronique,
partiellement magnétique (disque dur), soit entièrement magnétique (disquette bande), soit
entièrement électronique (USB flash disque, disque amovible ou disque dur externe, disques durs des
ordinateurs portable) soit entièrement mécanique (CD, VCD).

B. Puce d’entrée-sortie
Une puce d’entrée-sortie est un circuit électronique de transfert d’information entre le processeur
(l’unité centrale) et tous les périphériques (clavier, souris, moniteur…). Précision, cela ne comprend
pas la ROM et la RAM qui sont considérés comme faisant partie de l’ordinateur.

C. Le processeur (CPU)
Le processeur Central Processing Unit ou unité centrale de traitement est le cerveau de l’ordinateur
sinon l’ordinateur lui-même ne peut pas fonctionner. Il permet de manipuler des informations
numériques, c’est-à-dire des informations codées sous forme binaires et d’exécuter les instructions
stockées en mémoire. Il exécute les instructions des programme grâce à un jeux d’instruction
(ensemble d’instruction)

D. Fonctionnement du processeur
➢ Le processeur est un circuit électronique cadencé au rythme d’une horloge interne, grâce à un
crystal de quartz qui soumis à un courant électrique, envoie des impulsions appelés « Top »
➢ La fréquence d’horloge appelé également cycle correspond au nombre d’impulsion par
seconde et d’exprime en Hertz (Hz)
➢ Un ordinateur de 2000MHz ou 2 GHz possède une horloge envoyant 2Millions d’impulsions
par seconde
➢ A chaque impulsion d’horloge, le processeur exécute une action correspondant à une
instruction ou une partie d’instruction.

Instruction
Pour effectuer le traitement de l’information le processeur procède un ensemble d’instruction appelé
jeu d’instruction, réalisé grâce à des circuits électroniques (semi-conducteur utilisant l’effet transitor).

Définition :
Une instruction est l’opération élémentaire que le processeur peut accomplir. Les instructions sont
stockées dans la mémoire principale en vue d’être traité par le processeur.

Dans quelle partie de la mémoire principale sont stockées les instructions ? Dites
pourquoi ?

Une instruction est composée de 2 champs :

• Le code opération : représentant l’action que le processeur doit accomplir


• Le code opérant : il peut s’agir d’une donnée ou bien d’une adresse mémoire

Les principales catégories d’instruction :


❖ Accès à la mémoire : des accès à la mémoire ou transfert des donnée registre (mémoire)
❖ Opération arithmétique
❖ Opération logique : Oui ou Non

Contrôle :
Contrôle de fréquence branchement conditionnel…

Registre :
Lorsque le processeur exécute des instructions les données sont temporairement stockés dans de
petits mémoires rapides appelé registre. Suivant le type et la puissance du processeur le nombre
globale fu registre peut varier d’une dizaine à plus de centaines.

Les principaux registres sont :

✓ Le registre accumulateur : stockant provisoirement les résultats des opérations arithmétiques


et logiques
✓ Le registre d’état : permettant de stocker des indications sur l’état du système.

Instruction du registre :
Qui contient les instructions en cours de traitement.

Le compteur ordinal :
Qui contient l’adresse mémoire de la prochaine instruction à traité
Le registre tampon
Stockant provisoirement une donnée provenant de la mémoire avant d’être prêté.

0. Lorsque l’on appuie sur une touche du clavier des Pc ou téléphone, un caractère apparait à
l’écran.
1. Lorsque qu’une touche est pressée un signale est envoyé via la puce d’entrée-sortie au
processeur.
2. Le processeur exécute un petit programme dans la ROM qui détermine quelle touche a été
pressé et un corps correspondant dans la partie de la mémoire RAM utilisé comme mémoire
écran
3. Pendant tout ce temps la puce d’entrée-sortie vidéo analyse constamment la mémoire écran
et en extrayant les données et l’information associée à chaque caractère dans une ROM appelé
générateur de caractère. Elle envoie un signal au moniteur lequel désigne le caractère à l’écran
au bon endroit. Toutes ces interventions sont effectuées et réalisée en quelques milliardième
de secondes.

Puce d’entrée-sortie

ROM Carte Mère ROM


(Processeur)
Programme annonce Générateur

Système d’information RAM (Mémoire de masse)

Puce d’entrée-sortie

Sous-tension Moniteur (Ecran)


Chapitre III : TELEPHONE

Schema1

Les réseaux de téléphonies mobile sont basés sur la notion de cellule c’est-à-dire des zones circulaires
chevauchant afin de produire une zone géographique. Plus le rayon de la cellule est petit plus la bande
passante disponible est élevée ; les réseaux cellulaire repose sur l’utilisation d’un émetteur récepteur
central au niveau de chaque cellule appelé station de base (BTS ou Base Tranceiver Station). Ainsi dans
les zones urbaines fortement peuplés des cellules d’une taille à voisinant quelques centaines de mètre
sont présente tandis que de vaste cellule d’une trentaine de kilomètre permettent de courir les zones
rurales.

Dans un réseau cellulaire chaque cellule est entourée de 6 cellules voisines, c’est la raison pour
laquelle on le représente généralement par un hexagone.

Afin d’éviter les indifférences, des cellules adjacentes peuvent utilisés la même fréquence radio.

En partie des cellules possédant la même fréquence doivent être éloigner l’une de l’autre d’une
distance représentant 2 à 3 fois le diamètre de la plus petite cellule.

Architecture du réseau cellulaire


Dans un réseau cellulaire le terminal de l’utilisateur est appelé station mobile.

Une station mobile est composée d’une carte SIM (module d’identité ou Subscriver Identity Modul)
permettant d’identifier l’usage d’une façon unique.

Les terminaux (appareils) sont identifiés par un numéro d’identification de 15 chiffres appelé IMMEI
(International Mobile Equipement Identity). Chaque carte SIM possède également un numéro
d’identification unique et secret appelé IMSI (International Mobile Subscriver Identity). Ce corps peut
être protégé à l’aide d’une clé à 4 chiffres appelé code PIN.

La carte SIM permet ainsi d’identifier chaque utilisateur indépendamment dit terminal utilisé de la
communication avec une station de base. La communication entre une station mobile et la station de
base se fait par l’intermédiaire d’un lien radio appelé interface Um

Schema2
L’ensemble des stations de bases d’un réseau cellulaire est relié à un contrôleur de station (BSC ou
Base Station Controler), chargé de gérer la répartition des ressources. L’ensemble constitué par le
contrôleur de station et des stations de bases constitue le sous-système radio (BSS ou Base Station
Subsystem).

Enfin les contrôleurs de station sont eux même relié physiquement au centre de communication du
service mobile (MSC ou Mobile Switching Center), gérer par l’opérateur téléphonie, qui les relie au
réseau phonie public et à internet.

Le MSC appartient à un ensemble appelé sous-système réseau (MSS ou Network Station Subsystem),
chargé de gérer les identités des utilisateurs, leurs localisation et l’établissement de la communication
avec les autres abonnées.

Les fonctions complémentaires du MSC : le MSC est relié é des bases de données tel que :
1. Les registres des abonnées locaux (HLR ou Home Location Register)
Il s’agit d’une base de données contenant une base d’information (position géographique, info-
administrative) sur les abonnées inscrit dans la zone du commutateur MSC.

2. Le registre des abonnés visiteur (VLR ou Visitor Location Register)


Il s’agit d’une base de données contenant des informations sur les autres utilisateurs que les abonnés
locaux. Les données sont conservées pendant tout le temps de leur présence dans la zone et sont
supprimés lorsqu’il la quitte ou après une longue période d’inactivité du terminal.

3. Le registre des terminaux (EIR ou Equipement Identity Register)


Il s’agit d’une base de données représentant les terminaux mobiles.

4. Le centre d’authentification (AUC ou Authentification Center)


Il s’agit d’un élément chargé de vérifier l’identité des utilisateurs.

Le réseau cellulaire peut supporter la mobilité des utilisateurs grâce à la gestion du HANDOVER, c’est-
à-dire le passage d’une cellule à une autre.

Le réseau cellulaire supporte également la notion d’itinérance (ROAMING) c’est-à-dire le passage du


réseau d’un opérateur é un autre.
Chapitre IV : GENERALITE SUR LA TELEPHONIE MOBILE

❖ 1G (Années 1980)
La première génération de téléphonie mobile noté 1G possède un fonctionnement analogique et était
constituer d’appareil relativement volumineux. Il s’agissait principalement des standards suivants :
AMPS, TACS, ETACS.

Les réseaux cellulaires de 1ère génération ont été rendue obsolète avec l’apparition de la 2nd génération
entièrement numérique.

❖ 2G (Années 1990)
La 2nd génération mobile noté 2G a marqué une rupture avec la 1ère génération grâce au passage de
l’analogie vers le numérique.

Les principaux standards de téléphonie 2G sont les suivants :

1. GSM (Global for System Mobile)


Ce standard utilise les fréquences radio 900MHz et 1800MHz en Europe, par contre au USA la
fréquence utilisée est la bande 1900MHz. Ainsi on appelle Tribande les téléphones portables pouvant
fonctionner en Europe et aux USA.

2. CDMA (Code Division Multiple Acces)


Utilisant une technique d’étalement de spectre permettant de diffuser un signal radio sur une grande
gagne de fréquence.

3. TDMA (Theme Division Multiple Acces)


Utilisant une technique de découpage temporelle des canaux de communication, afin d’augmenter le
volume de donnée transmit simultanément.

Grâce au réseaux 2G il est possible de transmettre la voix et ainsi que des données numériques de
faible volume, par exemple : SMS ou Short Message Service, Texto). La norme GSM permet un débit
maximal de 9,6 Kbit.

Les extensions de la norme GSM ont été mise au point afin d’en améliorer le débit.

Le standard GPRS (General Packet Radio System) permet d’obtenir des débits théories de l’ordre de
moyenne 114Kbit. Dans la réalité 40Kbit. Cette technologie ne rentrant pas dans le cadre de
l’appellation 3G a été baptisé 2,5 GPRS.

Le standard EDGE (Enhance Data rates Global Evolution), présenté comme 2,75G quadruple les
améliorations du débit de la norme GPRS en annonçant des débits maximum théorie de 473Kbit mais
cette norme a été limiter à 384Kbit/s afin de se conformer au spécification IMT-2000 (International
Mobile Telecommunication-2000) de l’ITU (International Telecommunication Union)

❖ 3G (Années 2000 précisément 2010)


Les spécification IMT-200 de l’union international des télécommunications définissent les
caractéristiques de la 3G notamment :

1. Un haut débit de transmission :


a. 144 KBPS :
Avec une couverture totale pour une utilisation mobile.
b. 184 KBPS/s :
Avec une couverture moyenne pour une utilisation piétonne.

c. 2MBS :
Avec une zone de couverture réduite pour une utilisation fixe.

2. Compatibilité mondiale :
Compatibilité de service mobile de la 3e génération avec les réseaux de la 2nd génération.

La 3G propose d’atteindre des débits supérieurs à 144KBPS, ouvrant ainsi la porte à des usages
multimédia tel que la transmission des vidéos, la visio-conférence où l’accès à l’internet haut débit. Les
réseaux 3G utilise les bandes de fréquences différentes des réseaux précédents : 1885-2025MHz et
2110-2200MHz

La principale norme 3G utilisée s’appelle UMTS (Universal Mobil Telecommunication System). Elle
utilise un codage W-CDMA (Wideang Code Division Multiple Acces). La technologie UMTS utilise la
bande de fréquence 5MHz pour le transfert de la voix et des données pouvant altérer de 384KBPS à
2MBPS.

La technologie MSDPA (Hight Speed Downlink Packet Acces) est un protocole de téléphonie mobile de
3G baptisé 3,5G permettant d’atteindre des débits de l’ordre de 8 à 10 MBPS.

La technologie HSDPA utilise ka bande de fréquence 5GHz et utilise le codage W-CDMA.

Tableau récapitulatif :

DEBIT
Standard Génération Bande de fréquence Théorique Réel
GSM 2G Permet le transfert de voie ou 9,6Kbps 9,6Kbps
de donnée numérique de faible
volume
GPRS 2,5G Permet le transfert de voie ou 21,4-171,2Kbps 48Kbps
de donnée numérique de
volume modéré
EDGE 2,75G Permet le transfert simultané 43,2-345,6Kbps 171Kbps
de voie et donnée numérique
ENTS 3G Permet le transfert simultané 144Kbps-2Mbps 384 Kbps
de voie et donnée numérique à
haut débit

Le phénomène des caractéristiques d'une fiche

Les phénomènes le plus caractéristique des tics. Un téléphone mobile est aussi un terminal pour surfer
sur internet, télécharger et consulter des vidéos, prendre des photos, scanner des documents où
utiliser diverses applications.

Le phénomène le plus caractéristique des tics est le brouillage des frontières entre
télécommunications, informatiques, audiovisuels et multimédias. Cette convergence a supprimé
beaucoup de nombre de distinctions entre les secteurs des tics, notamment la radio télédiffusion,
l'informatique et les télécommunications, et a favorisé l'innovation dans des secteurs autres que les
tics, tel que les services financiers. Dès lors, les utilisateurs ont accès à un contenu, à des services et à
des applications sur de multiple plate-forme, ce qui accroît la versalité et la sophistication de l'accès à
l'information et à l'utilisation de communication. La fertilisation croisée des produits (issues de
domaines autrefois bien séparée est maintenant confondues est à l'origine d'une multitude de services
innovant. C'est ainsi qu'il est de plus en plus difficile d'étudier les domaines du ntic sans tenir compte
des autres.

Exemple1 : les opérateurs de télécommunications ne sont plus seulement des exploitants de réseau
de télécommunications mais, sont devenus des fournisseurs de services internet.

La téléphonie n'est plus qu'un segment de service. Par exemple orange (France télécom) est devenu
également un distributeur de télévision.

Exemple2 : Dans les années 1980 et 1990, les réseaux des tics sont spécialisés par des domaines et ils
faillaient des différents de systèmes de transmissions et parfois des différentes infrastructures pour la
téléphonie, la transmission de donnée entre ordinateur, la radio et la télévision. Maintenant les
réseaux en technologie IP ou Internet Protocol sont communs pour toutes les formes de services et les
Octets de la téléphonie sont acheminés par les mêmes routeurs (serveurs) sur les mêmes altérés que
les octets des consultations des sites internet, de transfert de fichier de streaming (flux, courant) de
vidéo ou du courrier électronique (E-mail)

Exemple3 (pc) : Dans les années 1980 un PC servait essentiellement au traitement des textes et aux
calculs avec un tableur. Puis dans les années 1990, il a servi aussi au courrier électronique (E-mail) et
aux présentations par diapositive (utilisation de PowerPoint). Un ordinateur pc était donc clairement
un équipement informatique mais avec la convergence numérique, un PC est devenu un outil de base
pour le domaine de l'audiovisuel et des multimédias (lire les journaux), car il est aussi :

● Un terminal téléphonie avec le service de la voix sur IP


● Un terminal de vidéo de communication (Skype, Messenger…)
● Un écran de télévision pour recevoir des émissions en ligne
● Un écran pour regarder des photos ou les vidéos des plateformes des services générer par
l'utilisateur
● Un outil pour monter des films à partir d'un ensemble de vidéo prise avec un canne scope ou
un smartphone.

Exemple4 (smartphone) : Au début des années 2000 un terminal servait essentiellement aux
communications téléphoniques, mais à partir des années 2010 la convergence numérique est
particulièrement illustrer par les nouveaux terminaux appeler smartphone. Ils contiennent plus de
capacité en mémoire et de puissance de Calcul que des ordinateurs personnels des années 180 et
1990. Ils permettent de prendre des photos et des vidéos avec des performances équivalent à de bon
appareil photo et canne scope des années 1900. Ils sont utilisés comme des baladeurs pour écouter
de la musique enregistrer ou voir des images ou vidéos enregistrés.
Exemple5 : Des fabricants d'ordinateur personnel (Apple, Sony…) deviennent de grands fabricants de
terminaux téléphonie et deviennent des intermédiaires de premier plan dans la vente des produits et
services audiovisuels avec leurs logiciels propres.

Conclusion : le terne tic concerne un large éventail de services, d'applications, de technologies,


d'équipements et de logiciel, c'est à dire les outils comme la téléphonie (télécommunications) et
l'internet, l’apprentissage à distance, les télévisions (en ligne), les ordinateurs, les réseaux et les
logiciels nécessaires pour employer ces technologies

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