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UNIVERSITÉ DE YAOUNDE I UNIVERSITY OF YAOUNDE I
ÉCOLE NATIONALE SUPERIEURE NATIONAL ADVANCED
POLYTECHNIQUE SCHOOL OF ENGINNERING
2
Introduction :
La sismique repose sur plusieurs méthodes d’acquisitions et de
traitement des données. Ces dernières à leur tour sont sujettes à des
multiples interprétations. Même si celles-ci apparaissent en dernier
lieu, il n’en demeure pas faux que leur restriction dans les processus
de la sismique peut se révéler catastrophiquement mauvaise ; encore
plus dans l’édification des infrastructures du génie civil où la sismique
trouve la raison première de son existence. Ainsi donc manches de
nos habits retroussées et ceintures bien attachées, ci-dessous nous
allons faire l’autopsie des différentes interprétations des méthodes
sismiques.
3
I. Méthode d’interprétation en sismique réflexion
Figure 1 : Trajet d’un faisceau d’onde sismique dans le cas d’un réflecteur plan à deux
couches
Le graphique suivant « temps-distance » est appelé hodochrone ou
dromochronique. Il permet le calcul de l’équation donnant le temps de la réfractée
première en fonction de la distance 𝑋 entre le point d’émission et le récepteur dans le
cas d’une bicouche composé d’une première couche lente de vitesse 𝑉1 et d’épaisseur
finie, reposant sur une couche d’épaisseur infinie de vitesse 𝑉2>𝑉1.
4
Figure 2 :
Dromochronique d’une
onde dans le cas d’un
réflecteur plan à deux
couches
1/V2
to 1/V1
Or
5
Puisque cos2 𝐼𝑐 = 1 − sin2 𝐼𝑐, on aboutit à :
𝑥 2ℎ
𝑡= + cos 𝐼𝑐
𝑉2 𝑉1
1
Il s’agit de l’équation d’une droite de pente et d’ordonnée à l’origine ou intercept
𝑉2
1 1
Sur le graphique « temps-distance », les droites de pentes et se croisent
𝑉1 𝑉2
en un point appelé point de brisure. Pour les réceptions à gauche de ce point de
brisure, le temps de trajet direct est inférieur au temps du trajet réfracté et inversement
pour les réceptions situées à droite du point de brisure.
La branche de dromochronique permet de définir les vitesses 𝑉1 et 𝑉2, inverses
𝑉1
des pentes des droites, et par conséquent la valeur de 𝐼𝑐, tel que sin 𝐼𝑐 = . L’intercept
𝑉2
𝑡0 permet alors de calculer l’épaisseur de h de la couche.
𝑡0 . 𝑉1
ℎ=
2 cos 𝐼𝑐
𝑥𝑐 𝑉2 − 𝑉1
ℎ= √
2 𝑉2 + 𝑉1
6
2) Cas d’un réflecteur plan à plusieurs couches
Figure 3 : Dromochronique d’une onde dans le cas d’un réflecteur plan à n couches.
En exprimant de proche en proche, comme pour le cas de deux couches
horizontales, les temps de trajets réfractés totalement à la surface des 2𝑒, 3𝑒, 4𝑒, 𝑛𝑒
couche, on obtient autant d’équations de droites dont les paramètres sont les suivants :
a- Les inverses des pentes des diverses droites sont égales aux vitesses des
réfracteurs correspondants ;
b- Les ordonnées à l’origine ou intercepts sont des fonctions des vitesses et des
épaisseurs des diverses couches.
𝑉𝑝
Si on admet les notations suivantes : sin 𝐼𝑝𝑛 = 𝑉 , les expressions des intercepts
𝑛
sont les suivantes :
Connaissant les vitesses 𝑉1, 𝑉2, … , 𝑉𝑛−1, 𝑉𝑛, les angles 𝐼𝑝𝑛 sont par conséquent
connus par leur sinus et on calcule les épaisseurs ℎ1, ℎ2, ℎ3, … , ℎ𝑝 de proche en
proche.
7
2ℎ1 2ℎ2 2ℎ𝑝 2ℎ𝑛 −1
𝑡𝑛 −1 = cos 𝐼1𝑛 + cos 𝐼2𝑛 + ⋯ + cos 𝐼𝑝𝑛 + ⋯ + cos 𝐼𝑛 −1,𝑛
𝑉1 𝑉2 𝑉𝑝 𝑉𝑛 −1
𝑛 −1
ℎ𝑝
= 2∑ cos 𝐼𝑝 𝑛
𝑉𝑝
𝑝 =1
𝑛 −1
ℎ𝑝
𝐷𝑛 −1 = ∑ cos 𝐼𝑝 𝑛
𝑉𝑝
𝑝 =1
Les épaisseurs de terrain ℎ1, ℎ2, ℎ3 pourront aussi être obtenues à l’aide des
formules aux tangentes suivantes :
𝑉𝑝
De façon générale, 𝐼𝑝𝑛 = angle qui a pour sinus la valeur 𝑉 .
𝑛
8
3) Cas d’un réflecteur penté
L’acquisition se fait dans les deux sens et permet de détecter un pendage.
Figure 3 : Trajet d’un faisceau d’onde sismique dans le cas d’un réflecteur penté
𝑉2𝑎𝑚 représente la vitesse apparente pour les trajets se dirigeant vers l’amont du
marqueur et 𝑉2𝑎𝑣 la vitesse apparent pour les trajets se dirigeant vers l’aval.
Ces vitesses apparentes sont données par les relations :
9
Donc 𝑉2𝑎𝑚 > 𝑉2𝑎𝑣
Il vient :
Et,
Il est important de signaler qu’il suffit d’un très faible pendage pour faire évoluer
très rapidement les valeurs des vitesses apparentes aval et amont.
Les valeurs négatives de la vitesse apparente amont traduisent le fait que les
temps d’arrivée sont de plus en plus faibles au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la
source d’ébranlement. Dans ce cas, pour le calcul de la vitesse vraie, la formule
approchée de la moyenne harmonique écrite ci-dessus ne s’applique pas. La formule
exacte avec introduction du facteur cos 𝛼 doit être appliquée. La valeur du pendage
étant rarement connue, on devra alors passer par l’étude de la fonction minus.
En somme, à partir d’une dromochronique issue de l’acquisition des données en
sismique, on peut extraire des informations ne pouvant pas directement être lu sur un
géophone. L’interprétation de ces graphes nous permets de déduire les vitesses de
propagation de l’onde (s’il y’a au moins 2 couches), l’épaisseur des couches, débit
sismique ainsi que l’angle de pendage, ce quel que soit le nombre et la disposition des
couches de terrain. Ces méthodes étant essentiellement faite par l’Homme, elle reste
néanmoins efficace. Cependant, la perspective de logiciel d’interprétation sismique
reste en cours d’élaboration.
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II. Méthode d’interprétation en sismique réfraction
t
t
À partir des paramètres définis par le modèle de la figure 6, il est possible d’obtenir des
expressions pour l’angle critique 𝑖21 et le pendage ∅. Après un développement on obtient :
(2)
(3)
11
i 12 i 12
φ φ
-
e1 hA
i 12 e1+ hB
( x A ,z A ) i 12
C
( x B ,z B )
D
φ
t BA
t AB
v2+
tc 1 +
t1 +
tc 1 - v2-
t1 - v1
v1
A Xc 1 - Xc 1 + B
Distance
1. Obtenir un tir direct et inverse, les temps finaux doivent être égaux ;
2. Obtenir les vitesses 𝑣1 , 𝑣2+ 𝑒𝑡 𝑣2− ;
3. Obtenir les temps d’intercept 𝑡1+ 𝑒𝑡 𝑡1− , ou préférablement les distances
+ −
critiques 𝑥𝑐1 𝑒𝑡 𝑥𝑐1 ;
4. Calculer les angles 𝑖21 et ∅ avec les équations (2) et (3) ;
5. Calculer :
ou
6. Calculer ℎ𝐴 et ℎ𝐵 par les interceptes ou les distances critiques ;
Méthode des intercepts :
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La méthode des interceptes est moins précise à cause de l’extrapolation nécessaire.
7. Vérifier que ℎ𝐴 = ℎ𝐵 + AB. tan ∅ ;
8. Tracer l’interface inclinée au moyen de ℎ𝐴 et ℎ𝐵 . Trouver les points
d’incidence et éliminer les parties de l’interface non parcourues par les rais
réfractées.
Les points d’incidence peuvent être trouvés de plusieurs façons :
Par mesure et dessin de l’angle fait par les rais sous le point de tir :
Pour A :
Pour B :
Par calcul des points d’incidence, l’origine étant le point de tir le plus
rapproché :
Pour A :
Pour B :
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et 𝑣2 réel est estimé par
𝑣2+ 𝑣2−
𝑣2 = 2
𝑣2+ +𝑣2−
Le déplacement des points est aussi calculé de la même manière que pour les couches
𝑣
horizontales. Pour des pendages inférieurs à 10% et des rapports 𝑣2 vrais supérieurs à 5,
l’erreur introduite sur les épaisseurs est inférieure à 5%. Pour la vitesse 𝑣2 , l’erreur est
inférieure à 10% si le pendage est de moins de 26° .
E
t
t
t
t
Figure 7: Représentation schématique des rais sismiques, pour un cas trois terrains
horizontaux.
(4)
14
5) Plusieurs couches parallèles en réfraction
Hypothèses de départ :
1. Couches homogènes isotropes ;
2. Interfaces parallèles entre elles et à la surface de mesure ;
3. 𝑣1 < 𝑣2 < 𝑣3 < ... < 𝑣𝑛 ;
4. Couches suffisamment épaisses pour qu’elles soient observables.
L’épaisseur de chacune des couches sera donnée par :
(5)
Où
– 𝑑𝑘 , 𝑑𝑗 = épaisseur de la 𝑘 𝑒 (𝑗 𝑒 ) couche;
– 𝑥𝑘(𝑘+1) = distance critique i.e. distance à laquelle les rais réfractés sur l’interface k
arrivent en surface en même temps que ceux réfractés sur l’interface k+1;
– 𝑣𝑘 ,𝑣𝑘+1 = vitesses de propagation des ondes dans les couches k et k+1;
– 𝑦𝑘𝑗 = facteur de correction calculé par
Où
D’après nos hypothèses 0 ≤ 𝑥𝑘𝑗 ≤ 𝑧𝑘𝑗 ≤ 1.
Si on examine le dessin 8, on voit que la rai réfractée n’échantillonne pas les interfaces
directement à l’aplomb du point de tir, il serait donc dangereux de placer sous
le point de tir puisqu’il est possible que l’interface n’existe pas à cet endroit.
Il faut donc calculer le déplacement à donner au point de profondeur ℎ𝑘 . Il est égal à
𝑘
𝑝𝑗 = ∑ 𝑑𝑗 tan 𝑖𝑗𝑘
𝑗=1
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Et,
On peut aussi utiliser la méthode des temps d’intersection. L’épaisseur des couches est
alors donnée par :
(6)
Où
– 𝑑𝑘 , 𝑑𝑗 = épaisseur de la 𝑘 𝑒 (𝑗 𝑒 ) couche;
– 𝑡𝑘 = l’ordonnée à l’origine de la droite représentant la vitesse de la couche;
– 𝑣𝑘 ,𝑣𝑘+1 , = vitesses de propagation des ondes dans les couches k et k+1;
– 𝐷𝑘𝑗 = facteur de correction calculé par :
Où
6) Corrections de topographie
Si la topographie est importante, on doit la connaitre avec exactitude pour corriger les
dromochroniques.
Soit le cas où on place un plan de référence dans le premier terrain. On fixe la référence
comme l’élévation 𝑑 dans le premier terrain de vitesse 𝑣1 . Soient un tir 𝐴 et un géophone 𝐺𝑛
aux points 𝑃 et 𝑄 sur le plan de référence.
∆𝑇 est la différence entre les trajets vrais 𝐶𝐷 et fictif 𝑃𝐸𝐷.
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Alors que sous un géophone :
(1.70)
Ae
h
C
en
Gn
P b Q d
v1
ED v2
7) Méthode de Hawkins
Les méthodes vues à présent ne permettent d’obtenir que les épaisseurs des couches
dans le voisinage du point de tir. La méthode de Hawkins (1961) permet de calculer des
épaisseurs intermédiaires sous les géophones.
Démonstration
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A G1 G2 G3 G4 G5 G6 G7 G8 G9 G10 G11 G12 B
h1B
h1G8
h1A v1 J L
K
D E
C
F v2
On définit le temps de délai comme la différence entre le temps pris par une onde
sismique pour voyager dans un milieu (𝑣1 ) et le temps pris pour parcourir une distance
équivalente à la projection du rai sur l’interface séparant deux médiums et ce à la vitesse du
marqueur (𝑣2 ). Ainsi au point 𝐴, on a par définition :
, (1.71)
Et au géophone 8 on a :
,
D’où en simplifiant
. (1.72)
Considérons maintenant le temps de délai total pour l’onde réfractée du point de tir 𝐴
au géophone 8 (figure 10). Par définition, il vaut :
(1.73)
Où 𝑡𝐴𝐺8 est le temps de trajet total du point de tir A au géophone 8 (figure 11).
Figure 11 :
tAB
Dromochroniques pour le
tAG 8 cas de deux terrains dont le
toit du terrain présente une
tBG8 surface irrégulière.
A B
Distance (m)
18
Or, on montre que :
(1.74)
(1.75)
(1.76)
(1.77)
(1.78)
D’où
Donc, en connaissant 𝑣1 et 𝑣2 (que l’on détermine par la méthode pour un plan incliné)
et le délai à chaque géophone, on peut calculer la profondeur de l’interface avec la relation
(1.72).
Si on généralise,
19
∆𝑡2𝐺𝑛 = ∆(ℎ1 + ℎ2 ) = temps de délai combine pour le premier et le deuxième milieux.
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III. Autres méthodes d’interprétation
1) Méthode « Plus-Minus »
i. La construction du Plus
Il est ainsi généralement effectué sur les deux dromochroniques des tirs « offset » pour
lesquelles les temps d’arrivée correspondent bien à un déplacement de l’onde effectué au
toit du substratum sain. On obtient un résultat tel qu’il est sur la figure suivante :
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ii. La construction du Minus
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minéral particulier à une profondeur donnée, une fracturation importante ou non d’une
formation géologique, les secteurs où le substratum présente de faibles vitesses de fond ceci
dans des cas précis et encore bien d’autres.
Cette opération, appelée pointé sismique, est primordiale, car les images sismiques
restent le seul moyen efficace d'appréhender les grandes structures du sous-sol. En effet,
les interfaces entre les couches géologiques correspondent, en général, à des contrastes
marqués d'impédance acoustique. La stratigraphie, les plis, les déformations, les
inconformités apparaissent donc nettement sur les images sismiques. En revanche, les failles
ne constituent pas des réflecteurs à proprement parler. Elles sont visibles à travers des
décalages importants entre des horizons, ou par la présence d'une zone de bruit subverticale
et plane. Les dômes de sel posent un problème particulier car ils dispersent les ondes
sismiques et masquent les couches sous-jacentes [O'Brien et Gray (1996)]. Les chenaux
apparaissent comme une succession d'horizons en non-conformité. Par ailleurs, les relations
entre les réflecteurs caractérisent souvent des contextes sédimentologiques particuliers
[Sheriff (1991)]. Les géologues utilisent donc un vocabulaire spécifique pour les décrire
(Figure 1.6). Il faut cependant noter que l'axe vertical d'une image sismique n'est pas la
profondeur mais le temps. Le calcul du champ de vitesse du signal sismique dans le sous-
sol, par exemple par méthode inverse [Tarantola (1987)], permet néanmoins de connaître la
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position réelle des couches et de les caler avec les données de puits. Dans les années 1980,
l'apparition de la sismique 3D a constitué une véritable révolution pour l'analyse structurale
des champs pétroliers. Elle permet, en effet, de corriger certaines erreurs de localisation des
structures inhérentes à la sismique 2D, mais surtout de se représenter le sous-sol dans sa
véritable dimension. Aujourd'hui, les surfaces résultant de l'interprétation 3D sont utilisées
dans un géomodeleur comme gOcad pour construire un modèle structural 3D du sous-sol,
qui servira ensuite de support aux études lithologiques.
Le lien entre lithologie et signal sismique est a priori assez difficile à établir. Le signal
sismique est directement lié à l'acoustique impédance qui est une propriété des roches.
Cependant, il n'est qu'une représentation indirecte de ses variations. De plus, l'impédance
acoustique d'une couche géologique dépend de la nature de la roche, mais aussi de la
présence de fluides, de l'importance de la compaction, de la diagenèse, etc. Les
compagnies pétrolières ont malgré tout développé des méthodes de lithosismique, qui
permettent d'obtenir des informations lithologiques qualitatives et quantitatives à partir
des images sismiques. Leur but est de pouvoir préciser les remplissages sédimentaires
et fluides des zones étudiées et de faire des prévisions de production par couplage avec
le modèle 3D résultant de l'interprétation structurale. Ces technologies ont démarré dans
les années 1970 avec le repérage des bright spots. Il s'agit d'anomalies du signal sismique
qui peuvent être liées à la présence d'hydrocarbures (Figure 1.7). Cependant, la
signification du signal sismique brut est, en général, difficile à déterminer [Brown (1987)],
même en supposant que ce dernier n'ait pas été trop modifié par les différents traitements.
C'est pourquoi les études lithosismiques intègrent un maximum de données non
sismiques, comme les données aux puits (diagraphies, carottes) ou les expériences de
laboratoire. Ainsi la sismique peut être utilisée comme variable secondaire pour étendre
à l'ensemble du réservoir des faciès reconnus aux puits.
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4) Méthode d’interprétation automatique
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permettent de décrire le sous-sol à partir des informations disponibles. Le projet gOcad a
donc pour objectif de développer une plate-forme informatique unique intégrant toutes les
étapes nécessaires à cette tâche :
1. Traitement des données d'acquisition;
2. Intégration des données dans un modèle surfacique constitué d'interfaces
géologiques, comme les limites stratigraphiques, les failles;
3. Discrétisation en grilles de l'espace défini ;
4. Calculs de propriétés physiques sur ces grilles;
5. Simulation d'écoulements, rétro-déformation, calculs de compaction, etc.
Cependant, lors d'une interprétation manuelle, l'interprétateur relie mentalement les
points communs et les différences des traces sismiques pour saisir la structure des
réflecteurs, ou pour imaginer leur lithologie. Dans le cas d'une interprétation automatique, il
nous faut des outils algorithmiques permettant à un programme remplaçant l'interprétateur
de faire ces liens.
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IV. Comparaison des méthodes d’interprétation
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Conclusion :
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Annexe de la partie sismique
réfraction :
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.
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RÉFÉRENCE :
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