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AU

THEATRE DE LA JONQUIERE
 
 
 
 

                         LA CHASSE AUX RATS                        


 
 
                                                         
                                                                                                                                                 
              Résumé de la  pièce (enlever ce titre, il n'est
pas utile)
 
me semble plus lisible comme ça ????
 
                         C'est l'histoire d'un homme ivre et d'une femme qui n'est pas plus sobre,
              d'un plan drague dans une décharge municipale à l'intérieur d'une 4L ultra
              customisée; en somme une histoire simple... peut être même un peu glauque...
 
              Si les rats n’avaient pas pointé le bout de leur museau,
              s'il n'avait pas sorti son fusil de chasse
              si elle n'avait pas piqué une crise d'hystérie
s'il avait été plus discret à la cantine quand il a enlevé son dentier
si elle avait eu la main moins lourde en se maquillant
s'il n'avait pas exposé sa calvitie en retirant sa casquette
si elle avait porté une               perruque plus discrète
s'ils n'avaient pas répondu communément au défi de se dévoiler
             
On en serait probablement resté là.
 
Et pourtant...
 
              D'une petite nuit de séduction dans un coin sombre et discret,
ils s'apprêtent à mener l'affrontement de leur vie dans la cour d'abandon d'une
              société toute entière, dans le but de trouver l'autre, l'aimer peut être...
              s'aimer peut être.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
             
                         Note
d'intention (titre à mettre en plus
gros que les sous-titres suivants, pas en plus petit)
 
             
 
 
              « Une décharge: le lieu où l'on décharge ( des ordures, des déchets ) » 
 
              « Décharger: se débarrasser d'un poids qui surcharge, décharger son
                                    coeur, sa bile, sa colère: dire enfin l'objet de sa souffrance, sa
                                    rancoeur, son mécontentement. »
 
 
              « La Chasse aux rats », c’est l’histoire d’une rencontre manquée, celle à laquelle
              on s’est tous au moins une fois confrontée dans notre vie : deux solitudes trop              
timides pour se regarder et qui se dissimulent,               comme chacun d’entre nous,
              derrière tout ce qui est sensé être nos écrans, en guise de cache-misère.
 
 
              Rôle
social et cache-misère (en fait, changer
de sous-titre, ça fait trop didactique) et mettre à la
place plutôt quelque chose comme
 
Ces personnages qui nous cachent…
 
              « La Chasse aux rats » interroge la vie dans ce qu’elle peut avoir de plus
              théâtral. Deux individus en partance ont construit, chacun à leur manière,
              des personnages pour ne plus se reconnaître : cacher leurs misères pour
              réaffirmer derrière le rôle qu’ils jouent leur appartenance à la société, oublier
              un peu de leur médiocrité et en fin de compte survivre. Mais leurs
              cache-misères sont maladroits et leur outrance trahit leurs blessures.
 
 
             
 
 
             
 
             
             
              Derrière cet homme qui joue son rôle de « mâle » à fond, derrière sa sauvagerie,
              son amour des voitures, son besoin de tuer et son goût de la bière, derrière
              cette jeune femme superficielle au maquillage surabondant et aux
              exclamations suraigues, se révèlent deux âmes perdues dont les fêlures
              craquent à mesure que la voiture s’enfonce dans la décharge. Le rôle qu’ils
              jouent est tout ce qu’il leur reste et il est un refuge et une défense pour
              ne pas tomber.
 
              Sorte de « road movie » des bas-fonds, le voyage est une expérience
              intérieure autant que pittoresque : se dévoiler est l’acte le plus difficile qui
              soit mais il permet la rencontre humaine et l’éventualité d’un amour
              possible. C’est d’ailleurs lorsque postiche et dentier tombent, au moment où
              chacun baisse les armes et qu’en réponse le rire de la jeune femme brise la
              glace, qu’un échange peut s’envisager autrement que dans le choc entre
              deux coques de protection l’une contre l’autre.
 
             
 
             
 
 
              Il n’y a pas lieu ici de tenir un procès ou de tirer une leçon de vie, il y a, dans
              ce défi que se lance nos deux personnages – l’acceptation de l’autre et de soi
              face à l’autre - une chance irréfutable. La possibilité d’une étincelle
              qui par miracle donne naissance au brasier. La mise en scène envisage
              la pièce comme un terrain d’expérimentation de notre relation à
              l’autre et explore dans ses nuances l’énigme de ce qui se passe « entre » et
              qui peut ouvrir tout à coup le possible entre deux personnes quand bien
              même la chance, aussi fugace soit-elle, est saisie. L’autre, c’est autant le
              personnage que la personne, l’acteur que le public car la représentation
              est aussi l’espace de recherche par excellence où s’éprouvent le rapport et
              le contact avec l’autre dans ce qu’il a de plus ténu et de plus fragile.
 
 
 
              La recréation d’un monde imparfait
 
 
              Nous envisageons la scène comme un espace inédit de confrontation et de
              prise de conscience. Il s’agit, pour la compagnie, d’expérimenter dans le
              réel lui-même les espaces du possible, non de chercher dans l’idéalisation
              les atouts d’un rêve qui ne fait que fuir ce que tout le monde, déjà, nie ou
              met de côté.
              « La Chasse aux rats » se situe à cet endroit précis de confrontation avec la vie
              dans ce qu’elle peut avoir de plus crue et de plus laid. Il s’agit, en quelque
              sorte, d’une éloge de la « mocheté », l’expérience de l’apprivoisement
              sauvage de tout ce qui nous fait honte, nous avale et nous aspire au profit
              d’une superficialité qui ne trompe personne.
 
              Reste alors la beauté de l’humain à découvert, sans armes et sans défense,
              dans la conquête idéale d’une relation humaine débarrassée des
              oripeaux/masques sociaux.
              « La Chasse aux rats » est la recherche de cet espace originel, une quête de
              liberté innocente et naïve en direction d’un possible amour mais
              dans un univers trop lourd pour permettre de le conquérir tout à fait.
              La mise en scène de la pièce raconte la tentative vers cet impossible
              voyage en complicité avec un public pris à parti, à l’image des rats,
              complices et confidents silencieux de la pièce. Il y a là une participation
              discrète et silencieuse qui s’opère, une participation souhaitée pour mettre nos
              deux personnages à l’épreuve car il n’est question d’épargner ni la moindre
              cicatrice ni la moindre petite imperfection.
 
 
 
 
 
              Il y a, dans ce « rencard » amoureux au milieu de la décharge municipale,
              la recréation d’un monde qui, pour une fois, se targue d’être imparfait car
              la vraie liberté s’octroie dans l’acceptation complète de nos défauts et de
              nos contraintes. Le défi est bien réel : la conquête de la vraie liberté, celle
              de soi, celle qui permet de jouir réellement de l’existence d’autrui, de se libérer
              enfin de ses masques intérieurs et extérieurs imposés par les autres et par
              soi-même.
 
 
              Decor et lumiére
 
de manière générale, ce n’est pas très clair : souvent écrit de manière trop
complexe pour des idées pas si compliquées que ça….essayer d’être moins
alambiqué dans le style et plus direct par la pensée)
 
              Deux chaises, deux acteurs, deux personnages.
              Un espace rempli de ses acteurs avec des personnages trop
              imposants, représentatifs d'une solitude, d'un superflu trop écrasant dans ce
              monde mis en relief par le vide de la scène, comme reflet.
???? La phrase ne veut rien dire, trop d’idées dans la même phrase, la décomposer
 
              La mise en scène est vecteur d'un théâtre brut, genre théâtral prônant un
              style populaire, sobre, farcesque, dépouillé de tout artifice, articulant sa
              mobilité dans l'imaginaire et les corps des acteurs.
(pareil, essayer d’aller plus « droit au but » parce que ça finit par ne plus rien vouloir dire du
tout !
juxtaposer « farcesque et dépouillé de tout artifice » pose problème en soi. A priori, la farce,
n’est-ce pas aussi un style qui exacerbe l’artifice ??? et si tu trouves que c’est cohérent, il faut le
justifier  car il n’y a aucune évidence là dedans)
Peut-être quelque chose comme « Nous prônons un théâtre brut : populaire et sobre, articulant sa
mobilité autour de l’imaginaire et du corps des acteurs, dépouillé de tout artifice dans un univers
où le réalisme côtoie le farcesque pour mieux s’amuser des codes qui nous enferment dans des
rôles que nous nous plaisons à faire éclater. »
Si tu peux trouver autre chose que « articulant sa mobilité » c’est mieux, parce que ça n’est pas
très correct au niveau de la syntaxe comme on dit,  mais garder l’idée de mobilité qui est bien.
Cette phrase n’a a priori rien à faire dans la partie « décor et lumière »)
             
 
              La fonction scènographique de la lumiére se décompose en trois points (éviter ce genre
de phrase qui fait très « exposé de classe »….)
⁃   Elle servira de passerelle entre le public et l'univers des personnages sollicitant
l'imaginaire des spectateurs (oui, d’accord mais n’est-ce pas évident ? tu peux l’évoquer
mais il n’est pas nécessaire d’en faire un « point » comme s’il s’agissait d’une chose à
défendre)
⁃   Elle est la seule trace mobile du décor (la voiture) et le lieu (la décharge).
⁃   Elle participe à l'élargissement du champs théâtrale à l'image même de
⁃   l'ouverture d'horizon des personnages à travers le defi qu'ils se lancent (ce n’est pas
clair, que veux-tu dire ? « elle participera à l’élargissement du champ théâtral comme
écho à l’ouverture progressive de l’horizon des personnages » ???)
             
 
 
 
 
 
 

EXTRAITS
 
              elle. Quand même c'est un endroit sauvage, où on n'emmène
              pas les dames,surtout la première fois.
              Lui. Je m'en fous. Moi, je m'éclate ici! Regarde. Pas de maisons. Pas de
gens.
              Pas de voitures de flics, avec leur sirène tout le temps. Pas de voyeurs,
comme               auparc, qui viennent te zyeuter. J'ai besoin de liberté, moi, tu
comprends? Ici, j'ai               vu les bagnoles les plus dingues: des vieilles
              Mercedes, tu as l'impression que c'estNoël, tout d'un coup, une vieille
traction
              avant superbe, des deuches en très bon état, à plus savoir où les mettre, et
la plus               terrible-une Lasall de trente-huit, tu t'imagines, une lasall de
trente-huit!
 
              .....
 
              Lui. Allume t'en une, et écoute moi. Je suis un homme, moi. Je dois
              tuer, je n'ypeux rien. C'est dans ma nature, tu comprends? Et qu'est ce
              que tu fais, si tu vis enville? Si je flingue les gens, ils me foutent en              
cabane... si
              je vais au zoo, faire un carton sur un lion entre ses barreaux, je me fais
taxer
              jusqu'à la fin de mes jours... alors je n'ai pas le choix: soit je ravale mes
              instincts et je me fais eunuque, soit je viens à la décharge, ici, et je me fais
              quelques rats, tu comprends?
              Elle. Parce que ça te plaît, te faire des rats?
              Lui. Ca me plait plus qu'un bowling ou un match de foot!
              Elle. Je n'aurais pas pensé que tu étais un type comme ça.
              Lui. Qu'est ce que tu pensais que j'étais, hein?
              Elle. Je ne sais pas moi...le genre...sympa, quoi...un visage quelconque
visage,               comme les autres dans la boite.
              Lui. Tu vois, c'est exactement pour ça que je viens ici. Je suis un
              homme moi, pas un quelconque visage. Tu veux une bière?
 
              .....
 
              Lui. Est-ce que je sais ?...je ne sais rien du tout … je ne sais rien.je ne
onnais
              rien... Les femmes, pour moi, c’est un mystère...Mes parents, mes Frères, je
ne
              les connais pas non plus. Je parle avec eux mais nous               n'avons rien à
nous dire..
              Et les gens de la boite, ils ne sont la que pour gagner leur croûte,              
comment
              veux-tu qu'on se connaisse?... la seul chose que je connaisse              
vraiment, c’est
              ma tire.  Parce que c'est moi même qui l'ai faite, tu    comprends ? J'ai tout
              démonté, tout remonté...J'ai eu chaque pièce entre les mains … comme
              je ne peux pas faire la même chose avec les gens, je ne connaitrai
              jamais vraiment quelqu'un.
 
 
 
 
 
 
PRESENTATION DE LA COMPAGNIE ZEITGEIST
 
              Zeitgeist, signifie en allemand « l'esprit du temps ».
 
L’ « esprit du temps » reflète une conception du monde prévalente à une période particulière de
l'évolution socio-culturelle. Il est un choix de s’ancrer dans un présent actif, en lien étroit avec
les données intellectuelles de notre époque et les actes concrets posés par les artistes de notre
temps. Nous les guettons et les arpentons pour les dégager ensuite des préoccupations communes
afin d’en retirer la charge poétique propre à notre époque. Etre à l’affût de ce qui court entre nous
et le monde, l’individu, le groupe, la société et cette énergie qui circule sous, entre, avec,
toujours en mouvement, toujours en évolution,  autrement dit vivante.
Créer un ensemble poétique,  reflet du monde dans sa charge, un jonglage, une passation, prêter
aux oeuvres cette vie, ses symboles, significatives de notre époque et ses maux. (fait un peu
catalogue, mieux vaut développer une pensée qu’évoquer de loin plusieurs idées…ce qui rend les
choses banales et convenues + les symboles de quoi ? que veux tu dire ?  trop général)
              La conscience «  d'un ici et maintenant » qui est la matrice même de notre compagnie et
la définition de notre travail d’acteur.
              Parce que le monde est une affaire de temps, de saisons, de secondes, parce
              que chaque jour véhicule de nouveaux courants artistiques, médiatiques, politiques,
modes de comportements, la compagnie Zeitgeist prend rôle d'officier dans ces courants (pas très
clair ce que tu veux dire) pour permettre un théâtre radicalement vivant à la portée de tous,
              autant dans sa compréhension que dans sa proximité,, un théâtre qui circule et qui
pétrisse les               âmes.
 
             
 
 
             
 
 
 
                                               L'EQUIPE ARTISTIQUE
                                    Avec la complicité des Ateliers du
Sapajou             
              Les comediens
 
              MARTINO Aude
              née le 24/08/82
 
              ACTUELLEMENT:
              Comédienne/metteur en scène dans « La chasse aux rats » de Peter Turrini
              Intervenante dans un atelier de théâtre pour adolescent au collège Sonia
              Delaunay Paris 19e
 
              EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
              2009: Comédienne dans « la chasse aux rats » au marché du théâtre.
              2008: Comédienne dans le « Groupe Octobre » de Prévert mis en scène par
              Philippe Muller
              Assistante de Valentine Cohen dans une chorale pour enfants et adultes dans le
              19e à Paris à la « Maison des copains de la Villette » (Chants du monde)
              2007: Comédienne dans « Lettres à un jeune poète » de Rainer Maria Rilke mis
              en scène par Valentine Cohen
              Intervenante sur un stage pour adolescent en partenariat avec le théâtre de la              
Villette Comédienne dans le court-métrage « Qui est ce? » réalisé par Valentine               Cohen
              2005: Lecture spectacle de « Finnegans Wake » de James Joyce mis en scène par
              Nanouk Broche au Centre International de Poésie de Marseille
              2004: Comédienne dans « Les Vagues » de Virginia Woolf mis en scène par Sylvie
              Boutley.
 
              FORMATION PRINCIPALE
              2003-2005: DEUST Théâtre à l'université des lettres et sciences humaines à
              Aix-en-Provence
              2006-2009: Formation de l'acteur les ateliers du Sapajou
 
              FORMATION ANNEXE
              2009: Stage avec Gabor Csetnki
              2003-2005: Stages formation de l'acteur avec Angela Konrad, Olivier Saccomano,
              Michel Cerda
             
 
 
 
 
 
 
              CARROGER Thomas
              18/06/85
 
              ACTUELLEMENT:
              Comédien/metteur en scène dans « La chasse aux rats » de Peter Turrini
 
              EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
              2009: Comédien dans « la chasse aux rats » au marché du théâtre.
              Comédien dans le court-métrage: « Inverse » de Vincent Vandries
             
              2008: Comédien dans le « Groupe Octobre » de Prévert mis en scène par Philippe
              Muller à la Librairie Résistance pour une soirée Prévert et pour le marché de la              
poésie en juin à Paris
              Comédien dans « De quoi s'agit-il? » mis en scène par Valentine Cohen à
              Samonac (33)
              Intervenant théâtre au sein de l'association « Le non faire » à l'asile psychiatrique
              Maison Blanche.
              Comédien dans le court-métrage « Bruler dans le présent » de Vincent Vendries
             
              2007: Comédien dans le court-métrage « Qui est ce? » de Valentine Cohen
             
              FORMATION PRINCIPALE
              2004-2006: conservatoire régional d'art dramatique d'Amiens
              2006-2009: formation de l'acteur les Ateliers du Sapajou
 
 
 
 
             
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

L'auteur
 
              Fils d'un ébéniste italien de Sankt Margarethen (Autriche), Peter Turrini naît en
              1944, grandit en Carinthie puis s'essaie à divers métiers et entre autres, bûcheron,
              ouvrier métallurgiste, publicitaire.
              En 1965, après 6 mois de formation de publicitaire à Francfort, Peter Turrini              
compose des slogans dans une agence américaine de Vienne.
              Deux ans plus tard, il se retire à Lindos en Grèce où il vit parmi des marginaux. Il
              écrit en quelques semaines "La chasse aux rats". La création de la pièce à Vienne
              en 1971 provoque un scandale qui se répétera à Munich en 1972, à la création
              de "La fête du cochon".
 
              « Un des principaux thèmes de son  oeuvre traite du conflit entre l'être et le
              paraître. Turrini tente de se libérer des masques intérieurs et extérieurs
              imposés par les autres ou par soi même. Il est le représentant d un théâtre qui
              lutte contre les exclusions et les racismes. Il met en scène des êtres marqués par
              leur différence et les blessures de leur âme. « Il a fait de l exclusion sa dignité,
              voire sa profession. Il s est fait un devoir de s exprimer contre « l authentique »
              (nationaliste, NDLR), ce sont là ses propres termes. Il s est réfugié dans le théâtre,
              là où rien n est vrai, où tout est invention, mascarade, fiction, pour aller à la              
recherche de la réalité, de la vérité.
              Les « actionnistes viennois » maculaient avec les ingrédients de la guerre, le sang
              et la boue le drapeau autrichien, Turrini écrit des pièces anarchiques et              
blasphématoires, au dénouement souvent mortel, afin de percer le silence ».*
 
              Chez lui tout est tragique, mais jamais rien n est définitivement noir. La vie est              
toujours là qui explose de tous ses sentiments, et l'espoir se trouve juste derrière               l'ultime
mot de la dernière page, comme une histoire nouvelle à écrire.
              Dans ses pièces, l'être exclu meurt, sacrifice nécessaire pour que la communauté
              ouvre les yeux et entrevoie un chemin différent.
              Il faut que Turrini soit habité d'une grande dose d optimisme, pour croire que
              l'art peut contribuer à éviter ces fins effrayantes qui se produisent si souvent
              dans ses pièces en écho à ce qui s est si              souvent produit dans la réalité.
 
              « La vie réelle n est pas que le soleil. Seule notre confiance en l'avenir peut nous
              soutenir contre les adversités que nous ne pouvons éviter de rencontrer » écrivait
              Bruno Bettelheim.
             
 
 
 
 
 
 
              « La condition pour que dans la réalité il y ait d autres issues, est un optimisme              
énorme, lié à l utile. Je m imagine que si nous voulons bouger des choses, si nous              
voulons que cela ne se passe pas aussi mal pour les uns et les autres, il nous faut               montrer
le pire afin que le pire n arrive pas. », écrit Turrini.
 
             
 
              La vie réelle n est pas que le soleil, mais le soleil, c est déjà quelque chose... »
             
              Silke HASSLER
              biographe de Peter Turrini, Conférence à Tokyo, décembre 2000
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
              INFOS PRATIQUES
 
              LA CHASSE AUX RATS  de Peter Turrini             
 
              17.18.19.20 Fevrier 2010 à 20h
 
              Théâtre de La Jonquière
              88, rue de la Jonquière
              Paris 17e
              http://www.ca-lajonquiere.com/
 
              Contact Réservation: 06 07 78 08 38
              email: compagnie.zeitgeist@gmail.com
 
              Compagnie Zeitgeist
              5, rue des Reculettes
              75013 Paris
 
              Contact production/diffusion
              Aude Martino
              06 10 66 33 89
              audemartino@hotmail.fr
              75013 Paris
 
              Contact production/diffusion
              Aude Martino
              06 10 66 33 89
              audemartino@hotmail.fr
 
 

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