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Année universitaire : 2018/2019 FSJES UMI Meknès

Cours :

Droit
commerciale

Professeur : Mr. Abbour


Écrit par : Omar Ben Lamine
Introduction :
Au Maroc, l’un des phénomènes les plus marquants de la vie de l’entreprise au cours de ces dernières
années est l’importance prise par la dimension juridique. En effet, la gestion d’entreprise passe par une
bonne maitrise du droit commercial. De manière général, le droit connait comme sujet de droit des
personnes physiques et les personnes morales.
Parmi ces personnes certaines se voient reconnaitre la qualité de commerçant à qui le droit commercial
s’applique.

Définitions :
Le droit commercial : est l’ensemble des règles applicables aux commerçants dans l’exercice de leur
activité. C’est un droit relatif aux opérations juridique accomplies par les commerçants soit entre eux, soit
avec leurs clients.
L’activité commerciale : s’exerce le plus souvent dans l’entreprise.
Cependant, nul part dans le droit il n’y a une définition juridique de l’entreprise, nul part du droit trouve
un statut juridique de l’entreprise, en raison du fait que l’entreprise n’est pas une notion juridique mais
une entité économique. C’est donc à partir de la réalité socio-économique de l’entreprise dont il convient
de dégager les caractéristiques fondamentales dans la mesure où l’entreprise ne peut pas vivre sans droit,
la simple observation des entreprises montre que l’entreprise présente un certain nombre de
caractéristiques.
L’entreprise est une activité économique, c’est un ensemble de moyens affectés à l’activité c’est un Centre
de décisions et de pouvoirs, c’est une organisation complexe. C’est une communauté humane organisé et
enfin c’est un objet d’organisation juridique. Force à cette réalité socio-économique, le droit a un aspect
organisationnel extrêmement important la particularité qui gouverne le droit commercial s’explique par
la spécificité de son objet, c.-à-d. le commerce.
De manière générale l’activité commerciale s’épanouie1 dans un cas particulier qui le commerce. Le
commerce, c’est l’échange, la spéculation, la recherche des gains, et la quête2 de la richesse, c’est la raison
pour laquelle l’une des spécificités u droit commercial c’est d’être un droit des échanges.
Le droit commercial est un droit pragmatique c.-à-d. un droit de l’entreprise entièrement tourné vers
l’esprit d’entreprendre. L’autre spécificité de droit commercial est que c’est un droit de professionnels, les
acteurs du droit commercial sont des professionnels aussi bien des industriels que des commerçants.
De manière générale le droit commercial est élaboré pour donner à ces professionnels du commerce les
moyens juridiques pour agir mais également pour éviter les comportements abusifs3 de certains
commerçants. Les notions de commerçants et de fonds de commerce sont celles sur laquelle s’articule
toutes les réglementations du droit commercial.

1 Bien-être
2 Création
3 Injuste ou Excessif
Chapitre 1 : Les actes de commerce et les activités commerciales
Le droit commercial régit les opérations juridiques accomplies par les commerçants et se rapportant à
l’exercice du commerce. D’une manière générale le droit commercial varie entre deux conceptions,
conception objective et l’autre subjective.
-Selon la conception objective le droit commercial est un droit des actes de commerce.
-Selon la conception subjective le droit commercial est un droit des commerçants.

Section 1 : définition des actes des commerces :


Dans le code de commerce marocain les actes de commerce occupent une place centrale dans les articles
6 et 7.
Cependant le code de commerce se contente d’énumérer les actes de commerce et les activités
commerciales sans donner de définitions légales on peut définir l’acte de commerce comme étant un acte
juridique ou un fait juridique soumis aux règles de droit commercial en raison de sa nature, de sa forme
ou en raison de la qualité de commerçant.
Selon l’article 6 du code de commerce marocain, Les commerçants sont ceux qui exercent des actes de
commerce et en font leur profession habituelle, ou professionnelle, de ce fait on peut déduire de ce texte
que si la réalisation d’acte de commerce est nécessaire à la qualité de commerçant, elle doit être assez
fréquente et durable pour attendre la dimension d’une véritable activité professionnelle. Les actes de
commerce sont par l’essentiel des actes accomplis par les commerçants dans l’exercice de leur commerce.
Traditionnellement on distingue 3 catégories des actes de commerce.
-les actes de commerce par nature.
-les actes de commerce par la forme.
-les actes de commerce par accessoire.

P1=> les actes de commerce par nature :


Ici, c’est la commercialité de l’activité qui confère4 à chacun des actes qui la composent.
le caractère commercial et la qualité de commerçant à ceux qui les indivisibles.
En effet, il n’y a pas d’activité commerciale sans acte de commerce et il n’y a pas d’acte de
commerce sans activité commercial.
Les actes de commerce par nature sont énumérés par les articles 6 et 7 du code de commerce
marocain, ainsi tombe sous la qualification légale d’acte de commerce par nature.
Exemple :
Ex1 : l’achat de meubles corporels ou incorporels en vue de les revendre soit en nature soit après
les avoir travaillé et mise en œuvre ou en vue de les louer.
Ex2 : la location de meubles corporels ou incorporels en vue de leur sous-location.

4 Donne
Ex3 : l’industrie et l’artisanat.
Ex4 : l’imprimerie et l’édition.
Ex5 : les bâtiments et les travaux publics qui concrétisent une activité de production ou une
activité de distribution.
Ex6 : les courtages.
Ex7 : L’organisation des spectacles publics.
Ex8 : la distribution d’eau, d’électricité et de gaz.
Ex9 : les postes et télécommunications.
À partir de cette énumération on peut faire un recoupement et distinguer l’activité commerciale
dans 3 secteurs principaux à savoir la distribution, la production et les services.
A- L’activité de distribution :
Constitue l’activité commerciale « l’achat pour revendre », ainsi lorsque les biens sont acquis dans
le but de les revendre en réalisant un bénéfice, on est en présence d’une activité de nature
commerciale, l’achat pour revendre suppose 3 éléments, un achat, un revendre, un but
spéculatif5.
B- L’activité de production :
Il s’agit de l’industriel qui achète de matière première et vend des produits finis et semi-finis.
Contrairement au commerçant qui spécule sur la différence entre les prix d’achat et de vente.
L’industriel transforme la matière première et établie le prix de vente en tenant compte les frais
d’installation et de main d‘œuvre.
C- L’activité de service :
Au Maroc, les activités de services sont extrêmement6 variées, on peut citer par exemple les
activités de transport, de locations, de dépôts, encore des activités financières et les activités
intermédiaires.

P2=> les actes de commerce par la forme :


Les actes de commerce par la forme ont de nature commercial à raison de leur forme quel que soit leur
objet et la personne qui l’accomplit. Le code de commerce marocain envisage 2 actes de commerce par
leur forme, d’une part la lettre de change et l’autre part les sociétés commerciales.
A- La lettre de change :
L’article 9 de CCM7 répute acte de commerce la lettre de change, cette dernière régit par l’article 159 et
suivant le CCM est un écrit constituant un titre de paiement et de crédit par lequel une personne appelée

5 Lucratif
6 Très (trop)
7 Code de commerce marocain
tireur donne l’ordre à une autre personne appelée le tiré de payer une somme déterminée à l’ordre d’une
tierce personne appelée bénéficiaire.
La lettre de change est un acte juridique qui est commerciale quel que soit la personne qui le signe.
Cette règle s’explique par l’origine de la lettre de change qui est une technique crée par les commerçants
et en principe utilisée par les seuls commerçants.
B- Les sociétés commerciales :
Certaines sociétés ont dès l’origine un caractère commerciale, la commercialité par la forme de certaines
sociétés commerciales résulte des lois n° 17-95 et n° 5-95 selon lesquelles sont commerciales à raison de
leur forme et quelque sont leur objet les SA, les sociétés en nom collectif, les sociétés en commandite
simple et par action et enfin les SARL.
L’immatriculation de registre de commerce confère à toutes ces sociétés la qualité de commerçant, ainsi
tous les actes relatifs à la création, au fonctionnement et à la dissolution d’une société commerciale par la
forme sont en principe des actes de commerce.

P3=> les actes de commerce par accessoire :


Les actes accèdent à la commercialité lorsqu’ils sont accomplis par les commerçants pour les besoins de
son commerce, en principe ce sont des actes civils mais qui peuvent devenir commerciaux lorsqu’ils sont
considérés comme accessoire à un acte de commerce ou à une opération commerciale, cette solution est
fondée sur le principe selon laquelle l’accessoire suit le principale, ce principe est posé à l’article 10 du
CCM selon lequel sont également réputés8 acte de commerce les faits et actes accomplis par le
commerçant à l’occasion de son commerce sauf preuve contraire.
Cette solution permet de soumettre au régime juridique de l’acte principal un ensemble logique et
cohérent9 d’actes dont le régime juridique n’était pas le même.

Section 2 : Le régime juridique des actes de commerce :


P1=> les actes de commerce à l’égard des parties :
En matière procédurale toutes contestations10 relative aux actes de commerce sont de la compétence du
tribunal de commerce.
En matière de preuve lorsque l’acte est commercial entre les deux parties, le principe est selon l’article
334 du code de commerce celui de la liberté de la preuve, ce principe a trois conséquences :
 L’acte de commerce peut être prouvé11 partout moyen.
 L’acte de commerce ne doit pas être obligatoirement écrit ni réalisé en double exemplaire.
 La date de l’acte de commerce peut être prouvé par tout moyen.
En matière d’exécution des actes de commerce certaines particularités peuvent être soulignées :

8 Connus
9 Homogène
10 Conflit
11 Établi ou confirmé
 En cas de mise en demeure 12, celle-ci peut se faire partout moyen, dans la pratique les
commerçants la réalisent par lettre recommandée avec l’accusé de réception.
 La 2éme particularité concerne la solidarité, en droit civil selon l’article 156 du dahir des obligations
et contrats, la solidarité ne se présume pas, elle doit être expressément stipulée dans le contrat
ou résulté de la loi, en revanche, l’article 335 de droit de commerce dispose que la solidarité se
présume.
 En matière de contention13 des actes de commerce, il y’a des règles spécifiques qui relèvent de la
compétence exclusive de tribunal de commerce.
 En matière de prescription, le délai en matière commerciale et selon l’article 5 du code de
commerce est de 5ans.

P2=> les actes de commerce à l’égard d’une seule partie :


Il s’agit des actes mixtes conclus entre un commerçant et un non-commerçant, ces actes présentent une
double nature et sont soumis en principe à un régime dualiste, chacune des parties se voit appliquer les
règles imposées par la nature que revers l’acte à son égard soit civil, soit commercial.
Sur la compétence juridictionnelle, le commerçant ne pourra assigner la personne non-commerçante que
devant le tribunal de 1ére instance, en revanche le non-commerçant qui assigne le commerçant aura le
choix entre le tribunal de 1ére instance et le tribunal de commerce.
Enfin sur la preuve du contrat, le non-commerçant devra prouver l’acte par écrit, et le commerçant pourra
le prouver par tout moyen.

Chapitre 2 : L’acquisition de la qualité de commerçant :


En matière commerciale, il y a une double identification des personnes, ainsi les commerçants personne
physique sont identifiés par rapport à la nature de leur activité. En revanche, les commerçants personne
morale c.à.d. les sociétés commerciales sont identifiées par leur forme.

Section 1 : Les commerçants personnes physiques :


Pour les commerçants personne physique, l’acquisition de la qualité commerçant est subordonnée à une
double condition liée d’une part à l’exercice du commerce et d’autre part à la capacité commerciale.

P1=> l’exercice d’une profession commerciale :


Le principe résulte de la formule légale selon laquelle sont commerçant ceux qui exercent à titre habituel
ou professionnel l’une des activités énumérées par les articles 6 et 7 du code de commerce marocaine. Ce
principe signifié que la qualité de commerçant est subordonnée à l’exercice habituel ou professionnel
d’une activité commerciale. C’est donc la pratique habituelle ou professionnelle des actes de commerce
qui confère la qualité de commerçant, ce sont là les exigences légales.
Aux exigences légales, la jurisprudence a ajouté un élément constitutif de la qualité de commerçant, en
effet la jurisprudence a affirmé que la qualité de commerçant suppose d’agir en son nom et pour son
propre compte. La qualité des commerçant suppose donc une véritable indépendance ayant pour
conséquence la prise de risque, de cette jurisprudence résulte que les professionnels exerçant une activité
au niveau du commerce qui ne présente pas ces deux caractéristiques n’ont pas la qualité de commerçant.

12 Avis officielle
13 Dispute ou litige
Dès lors, ceux qui agissent pour le compte d’autrui n’ont pas la qualité de commerçant, ainsi par exemple,
le lien de subordination qui unis un salarié à son employeur est incompatible avec la qualité de
commerçant, cette dernière suppose donc la prise de risque ce qui permet d’expliquer le caractère
commercial ou non du statut d’associé d’une société commerciale.
En droit marocain, on distingue 2 types de sociétés commerciales : les sociétés de personnes et de capitaux
Dans les sociétés des personnes, les associés sont indéfiniment et solidairement responsables des dettes
de la société et ont ainsi la qualité de commerçant.
En revanche, dans les sociétés de capitaux, les associés ne sont responsables des dettes de la société que
dans les limites de leur apport et ne sont donc pas considérés comme commerçants.
En effet les actes de commerce qui accomplissent sont effectués au nom et pour le compte de la société
et non pas en leur propre compte. L’article 6 du CCM prévoit expressément le caractère habituel ou
professionnel. Le caractère habituel suppose 2 éléments, un élément matériel et un élément intentionnel :
*l’élément matériel de l’habitude suppose une répétition et une durée, l’habituel suppose
donc l’occasionnel.
*l’élément intentionnel continuant, c’est lorsque on achète pour revendre. En revanche, le caractère
professionnel suppose une organisation et une compétence. Ce caractère professionnel implique
l’exercice habituel d’acte de commerce, afin d’en tirer profit mais également l’intention de se consacrer à
une activité commerciale.
Enfin l’exercice d’une profession commerciale suppose d’avoir la capacité commerciale.

P2=> la capacité commerciale :


En droit marocain la reconnaissance de la qualité de commerçant suppose une capacité juridique spéciale,
c.-à-d. une capacité de devenir commerçant, c’est la capacité commerciale prévue par l’article 12 du CCM.
La capacité est déterminée par les règles du code de la famille par conséquent les personnes se trouvant
exclus des professions sont incapables mineurs et les incapables majeurs.
En droit civil marocain, est considéré comme mineur quiconque14 n’ayant pas atteint l’âge de la majorité
18 ans. Cependant un mineur peut se trouver en état bénéficié de la qualité commerciale de 2 façons soit
par effet d’une autorisation spéciale, soit par l’effet d’une déclaration anticipé de majorité. Selon l’article
13 du code de commerce, les 2effets doivent être inscrits au registre de commerce.

Section 2 : Les commerçants personnes morales :


La personne morale n’est pas une personne, c’est un être artificiel, ainsi les sociétés sont personnifiées et
traitées comme des sujets de droit à condition que la loi autorise cette personnification.
Seule la loi peut créer des fictions15, ainsi les sociétés commerciales n’acquièrent la personnalité morale
qu’à compter de leur immatriculation au registre de commerce.

14 (Qui que ce soit) ou (n’importe qui)


15 Imaginations ou Inventions
Chapitre 3 : Les conditions d’exercice de commerce :
Le statut de commerçant est dominé par un principe qui est le principe du libre accès aux professions
commerciales, cette liberté de commerce est toutefois limitée par certaines restrictions16 à certaines
personnes.

Section 1 : Le libre accès aux professions commerciales :


Au Maroc le libre accès aux professions commerciales est dominé par un principe fondamental consacré
par l’article 35 de la constitution, qui est celui de la liberté entreprendre.
Selon cette liberté, il sera libre pour toute personne de faire tel négoce17 ou d’exercer tel profession, art
ou métier. La liberté d’entreprendre est essentiellement le droit pour toute personne physique ou morale
de se livrer au commerce de son choix soit en faisant l’acquisition ou en prenant le contrôle d’une société
déjà existante, soit en créant une entreprise nouvelle.

Section 2 : Les exceptions à la liberté d’entreprendre :


Si au Maroc l’exercice de l’activité commerciale est en principe libre, il existe néanmoins18 des exceptions
à la liberté d’entreprendre, il s’agit ici particulièrement de la limitation de la personnalité juridique, en
effet si une personne physique est un sujet de droit et par principe une vocation générale d’être titulaire
du droit l’étendu de la personnalité n’est pas le même pour toutes les personnes.
L’égalité de principe est fortement nuancée19 selon la situation des personnes, en effet certaines
personnes se voient privées de la possibilité d’acquérir certains droits, d’autres personnes se voient
privées de la possibilité de les exercer elles-mêmes. Il y a donc des incapacités qui limitent sensiblement
la vie juridique de la personne traditionnellement on distingue les incapacités de jouissance20 et les
incapacités d’exercice :

 L’incapacité de jouissance consiste dans la privation d’un droit pour la personne. Ce type
d’incapacité est rare.
 En revanche, l’incapacité d’exercice ne prive pas la personne du droit mais l’interdit de l’exercer
et d’en disposer, pour le faire la personne incapable devra être représentée.
Le législateur marocain a considéré que l’exercice d’une profession commerciale comporte des dangers à
la fois pour celui qui se livre au commerce sans expérience suffisante et pour le consommateur qui peut
souffrir de l’inexpérience et de l’immoralité du commerçant. C’est la raison pour laquelle le législateur
marocain a édicter des incapacités, des incompatibilités des interdictions et des déchéances.
D’abord les incapacités sont principalement destinées à la protection du commerçant et pour effet
d’empêcher l’incapable d’avoir la qualité de commerçant, ensuite les interdictions sont destinées à
protégé des tiers, enfin les incompatibilités et les déchéances sont destinées à éviter l’exercice du
commerce par certaines personnes.

16 Limitations
17 Activité commerciale ou Commerce
18 Malgré tout
19 Varié
20 Usage
Chapitre 4 : Le statut des commerçants :
La qualité de commerçant donne lieu à l’application du statut professionnel, ce statut se caractérise par
une organisation particulière de la profession commerciale et par des obligations professionnelles.

Section 1 : L’organisation professionnelle :


Au Maroc l’organisation professionnelle est double, elle est d’ordre administratif et d’ordre morale.
D’un point de vue de l’ordre administratif, l’organisation est caractérisée par l’immatriculation au registre
de commerce qui permet de connaitre les commerçants, leur situation personnelle patrimoniale. Ainsi que
celle de leur entreprise
D’un point de vue morale, l’organisation est caractérisée par l’application d’une certaine discipline
pouvant conduire à l’interdiction ou l’exclusion de la profession commerciale.
Le registre de commerce repose sur une structure qui englobe tout le territoire national par sa
généralisation et par la portée de la publicité.
En vertu de l’article 27 du CCM le registre du commerce est constitué par des registres nouveaux et un
registre central.
Le registre de commerce permet de réunir et de diffuser un certain nombre de renseignements sur les
commerçants et leurs entreprises.

Bon courage

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