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Boufafa Mustapha Kamel
Boufafa Mustapha Kamel
MEMOIRE :
PRESENTE EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE MASTER
INTITULE :
ETUDE DE PRINCIPE DE
FONCTIONNEMENT D’UN ASCENSEUR
DEVANT LE JURY
PRESIDENT : LAOUAR LAKHDAR Grade : Prof. UNIVERSITE ANNABA
EXAMINATEURS :
- ABDERRAHMEN A.ELHAMID. Grade : MCA UNIVERSITE ANNABA
- ALOUI KAMEL. Grade : MAA UNIVERSITE ANNABA
- MEKHILEF SLIMEN. Grade : MCA UNIVERSITE ANNABA
- DAAS DOULA Grade : MCA UNIVERSITE ANNABA
Année : 2014/2015
Au nom du dieu le clément le miséricordieux
Je dédiée ce travail :
A celle qui m’a donnée la vie et que ma vie n’est rien sans
prières que Dieu leurs offre une longue vie et une bonne
Chère encadreur, je suis très fière de l’honneur, que vous m’avez fait en
acceptant d’encadrer ce travail. Votre simplicité et votre modestie, votre
rigueur dans le travail et vos qualités de culture et de recherche font de
vous un exemple àsuivre. Merci infiniment.
En fin je tiens àremercier tous ceux qui ont contribuéde près ou de loin,
à l’élaboration de ce modeste travail, surtout àmon cousin le doctorant
Notre travail se résume dans quatre chapitres essentielles : Le premier chapitre contient
une revue bibliographie de l’ascenseur comme : historique, définition, type de
l’ascenseur…etc. le deuxième contient l’étude technique de ce dernier ; mécanique,
électronique et leur maintenance et motorisation. Le troisième chapitre contient l’étude
d’un cas d’un ascenseur et le dernier contient leur simulation.
Dans notre projet, on est intéressépar l’ascenseur à traction, car il est très utilisé et il
permet d’emmener un maximum de monde en toute sécurité et avec un maximum de
confort.
Il sert àcontrebalancer le poids de la cabine. Celle-ci est suspendue par des câbles
grâce à des poulies, l’effort du moteur pour élever la cabine est réduit.
Having had the opportunity to study the general principle of operation of an elevator
was very beneficial, but unfortunately we did not have time to make an improvement
to the call of the elevator. We had many ideas about the project, as does adding a
validation key to the weight that can withstand the engine by a sensor in the cabin, so
the security system or a case fire spread or engine failure.
Our work is summed up in four main chapters: The first chapter contains a bibliography
review of the elevator as history, definition, type the elevator ... etc. the second contains
the technical study of the latter; mechanical, electronic and maintenance and engine.
The third chapter includes the study of a case of an elevator and the last contains
modeling.
In our project, we are interested in traction elevator because it is widely used and it
allows to take maximum world safely and with maximum comfort.
It serves to counterbalance the weight of the cab. It is suspended by cables with pulleys,
the motor effort to raise the cabin is reduced. Weight less effective counterweight =
weight of the car and its load.
ملخص:
المصعد هو جهاز محمول لحركة األشخاص أو األشياء في سيارة أجرة على المحور الرأسي مسبقا داخل مبنى مع
عدة طوابق .سمحت هذه الدراسة النهائية للمشروع لنا السترداد تقريبا جميع المفاهيم التي تدرس خالل التحضير
لسيدنا ،ال سيما وأن المصعد هو النظام اآللي لالهتمام وينطوي على تنفيذه العديد من المجاالت التكنولوجية،
باإلضافة إلى ذلك ،بل هو وسيلة النقل المستخدمة على نطاق واسع وأكثر وأكثر انتشارا.
بعد أن أتيحت له الفرصة لدراسة المبدأ العام للتشغيل مصعد كان مفيدا جدا ،ولكن لألسف لم يكن لدينا الوقت لجعل
تحسنا لدعوة من المصعد .كان لدينا العديد من األفكار حول المشروع ،وكذلك إضافة مفتاح المصادقة على الوزن
التي يمكن أن تحمل المحرك عن طريق جهاز استشعار في المقصورة ،وبالتالي فإن النظام األمني أو انتشار النار
القضية أو عطل في المحرك.
تتلخص عملنا في أربعة فصول رئيسية :يحتوي الفصل األول استعراضا بببليوغرافي المصعد قدم التاريخ،
تعريف ،اكتب المصعد ...الخ والطريقة الثانية تتضمن دراسة فنية لهذه األخيرة .الميكانيكية وااللكترونية وصيانة
والمحرك .ويتضمن الفصل الثالث دراسة حالة مصعد ويحتوي على آخر النمذجة.
في مشروعنا ،ونحن مهتمون في الجر المصعد ألنه يستخدم على نطاق واسع ويسمح التخاذ أقصى العالم بأمان
ومع الحد االدنى من الراحة.
وتتكون أساسا من المقصورة ،موازن ،كابل توصيل موازن إلى المقصورة ،وأدلة ،وثالثا نظام الجر فوق المصعد.
الثقل الموازن هو أثقل قليال من المقصورة
إنه يساعد على موازنة وزن المقصورة .انه علق من الكابالت مع البكرات ،يتم تقليل جهد المحرك لرفع المقصورة.
وزن أقل فعالية موازية = المقصورة وحمولتها.
Introduction générale
Pour cette raison, les techniciens ascensoristes doivent maîtriser aussi bien les
techniques anciennes que les nouvelles. Ces dernières font appel à de nombreuses
spécialités, notamment la mécanique, l'électricité, l'électronique, l'hydraulique et
l'informatique. [1]
Chapitre I Etude bibliographique
1. Introduction : [2].
« La science se forme plutôt sur une rêverie que sur une expérience et il faut bien des
expériences pour effacer les brumes du songe », disait Bachelard (1973) dans son ouvrage La
psychanalyse du feu .Cette réflexion laisse penser que la science n’est pas un univers clos mais
qu’au contraire elle s’appuie sur l’imaginaire et les pensées de chacun pour ensuite construire un
savoir objectif. Ce principe peut s’appliquer au sein du cadre scolaire afin que les élèves aient
accès àun savoir scientifique. Si on assimile par exemple la rêverie évoquée par Bachelard aux
conceptions initiales des élèves, la mise en œuvre d’une démarche d’investigation dans laquelle
les élèves expérimentent leurs hypothèses imaginées et les confrontent à la réalité leur permet
alors de construire des connaissances scientifiques.
Depuis des siècles, des lieux inaccessibles comme les monastères grecs situés dans la région
des météores ne pouvaient exister que grâce àdes ascenseurs rudimentaires «sans moteur », c'est
dans les mines qu'on situe en général leur apparition. C'est làen tout cas qu'on imagina de les
doter d'un moteur àvapeur dès le début du XIXe siècle. Aux origines de la traction ferroviaire
mécanique, alors que les toutes premières locomotives étaient encore en cours d'élaboration, un
Système de traction par câbles arrimés àdes treuils fixes, fut mis en place sur certaines lignes en
remplacement de la traction animale.
Au XIXe siècle l'essor des constructions en hauteur puis, logiquement, l'apparition des gratte-
ciels est étroitement lié à l'apparition de l'ascenseur. Les ascenseurs destinés au public des
premiers gratte-ciels au tournant du XIXe siècle au XXe siècle n'autorisaient que la montée aux
étages et non la descente qui devait se faire par les escaliers.
Le système mécanique était contenu dans une architecture de poutres et cornières métalliques
permettant les ajustements par rapport au gros œuvre. Elle était fréquemment en structure
autonome disposée au centre de l'escalier à vis qui l'entourait à distance dans les dispositions
spacieuses. La séparation pour obtenir la sécuritédepuis l'escalier dans le cas de proximité.
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Chapitre I Etude bibliographique
Le gainage, était fait par des panneaux grillagés fixés constituant la cage d'ascenseur. Cette
ferronnerie comme celle des gardes corps allait de la simplicitéutilitaire au décor très marqué.
Les ascenseurs des grands hôtels à l'architecture luxueuse du premier tiers du XXe siècle
étaient aussi richement décorés que les trains de luxe le seront plus tard : ornements de la cabine
et des baies des portes de la cage chantournées et dorés à l'or fin… À partir du milieu XXe siècle
et la contrainte de plus en forte dans le code d'urbanisme de disposer d'un ascenseur pour des
édifices, l'ascenseur s'est banalisé y compris dans son aspect et est devenu automatique.
Cependant, cet objet marquant dans l'habitat au départ l'utile, le confort et plutôt le luxe est resté
un équipement ostentatoire dans les espaces commerciaux. Il est incidemment devenu un objet à
sensations de fête foraine.
Au IIIe siècle av. J.C. : Ctésibios invente un monte-charge qui fonctionne grâce àde l'eau
sous pression.
En 236 av. J.C. : Vitruve, architecte romain, a décrit un appareil élévateur, actionnépar un
treuil àbras dont l'inventeur serait Archimède.
En 1829, le premier ascenseur mécanique à usage public est construit à Londres dans le
Coliseum de Regent's Park.
En 1854, Elisha Otis dota l'ascenseur d'un système de limiteur de vitesse déclenchant un
système appeléfrein parachute, stoppant la cabine et assurant la sécuritédes personnes en
cas de rupture du câble. Ce système pourrait être inspirédu frein-parachute imaginépour
les ascenseurs de mines par Pierre-Joseph Fontaine en 1845.
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Chapitre I Etude bibliographique
Dès 1864, l'ingénieur français Félix Léon Edoux fait connaître son invention qui utilise
l'énergie de l'eau de la ville sous pression (vérin vertical et cabine équilibrée) et invente le
mot ascenseur pour qualifier son élévateur hydraulique. Il en équipera le marché aux
bestiaux de la Villette en 1867.
En 1880 c'est en Allemagne cependant qu'on pensera àun ascenseur électrique, les moteurs
électriques et transformateurs se développant pour l'industrie et pour certaines installations
ferroviaires utilisant la traction par câble à partir de treuils fixes. Werner Von Siemens
présente le premier ascenseur électrique lors de l'Exposition Industrielle de Mannheim. Le
premier ascenseur électrique français est construit par l'ingénieur Chrétien en 1889 pour
l'Exposition universelle de Paris.
En 1924 un ascenseur sans liftier — le machiniste — fera son apparition, exigeant la mise
au point d'automatismes et de dispositifs de sécurité. Les commandes deviennent
électriques puis électroniques et se dotent de mémoire. Les grilles fixes ou articulées des
portes disparaissent, les portes pleines métalliques se verrouillent automatiquement, etc.
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Chapitre I Etude bibliographique
Des ascenseurs spéciaux pour personnes à mobilité réduite comme le fauteuil roulant, a
dispositif àcourse verticale sans véritable cage permettent de parcourir les couloirs comportant
des volées de marches sans rampes d'accès, voire d'accéder àun inter niveau ou un autre niveau
desservi par un escalier sans qu'il y ait d'autres ascenseurs disponibles. Un dispositif qui suit une
rampe garde-corps d’escalier est un monte-escalier.
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Chapitre I Etude bibliographique
5.1. Ascenseur de charge : [4].
5.2. Ascenseur a adhérence : ascenseur dont les câbles sont entrainés par adhérence sur la
5.3. Ascenseur a treuil attelé: ascenseur dont les câbles ou chaines sont entrainés positivement
par la machine.
Fig.1 : ascenseur hydraulique (montée) [4]. Fig.2 : ascenseur hydraulique (descente). [4]
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Chapitre I Etude bibliographique
Il existe trois types d’ascenseurs hydrauliques : [4].
a. àcylindre enterré.
b. àcylindre de surface.
c. télescopique àcylindre de surface.
Facilitéde construction.
Déplacement vertical de charges lourdes sur de courtes distances.
La cabine est mise en mouvement grâce àun câble entrainépar une poulie qui est actionnée
par un moteur.
6.2.1. Avantage : [4].
Un (1/3) consommation énergie hydraulique.
Présence d’un contrepoids dont la charge vaut 50 % de l'ensemble cabine-câble-charge
utilisateur (réduit la charge que doit mettre en mouvement la motorisation).
6.2.2. Inconvénients : [4].
Nécessitent une technologie plus poussée et autrefois un cabanon en toiture, pour le
renforcement de la stabilité.
7. Gestion de l’ascenseur : [4].
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Chapitre I Etude bibliographique
organismes de gestion des logements sociaux, syndics, copropriétaires, locataires, utilisateurs
réguliers ou occasionnels), il fait preuve d’un sens relationnel développé. [4].
Le technicien ascensoriste travaille en autonomie au sein d’une équipe. Il est rattaché à une
agence et reste en liaison permanente avec sa hiérarchie et son équipe. [4].
La sécurité, tant pour lui-même que pour l’utilisateur, fait partie intégrante de son métier.
7.3. La modernisation : consiste àrénover des organes ou des sous-ensembles complets d’un
ascenseur afin d’en renforcer la sécurité, d’optimiser les performances et d’améliorer le confort
des usagers. Elle met en jeu des technologies avancées et s’effectue généralement au sein d’une
équipe. [4]
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Chapitre I Etude bibliographique
La partie électrique d’un ascenseur est soumise aux directives ascenseur 95/16/CE et CEM
2004/108/CE. OCTÉ répond aux exigences essentielles de ces directives par le respect des
normes en particulier l’EN 81-1+A3 et les normes EN 12015 et EN 12016. [5]
Outre l'application de ces directives, cette gamme répond à l’ensemble des directives
européennes qui touchent les produits électriques et électroniques :
8.1. Directive basse tension, RoHs, DEEE, EuP et ErP, font partie de l’ensemble des
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Chapitre I Etude bibliographique
100 % conforme àla norme EN 81-70, l’ensemble de ces éléments répond à l’attente actuelle
d’accessibilité des Bâtiments pour l’ensemble des personnes y compris les personnes à mobilité
réduite. Adaptables en bâtiments Neufs ou existants, elles sont modulables et conçues pour une
mise en place rapide. [5]
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Chapitre I Etude bibliographique
Caoutchouc
Lubrifiant pour engrenages
TPR Caoutchouc thermoplastique prévulcanisé
9.2. Traitement de surface : [6]
Anodisation de l’aluminium
Nickelage de l’acier
Galvanisation Promat de l’acier
9.3. Processus de formage : [6]
Pressage de l’aluminium
Décolletage de l’aluminium, de l’acier, du laiton et du plastique
Découpe au jet d’eau du plastique
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Chapitre I Etude bibliographique
Les seuils de cabine et de portes palières sont disponibles en option en acier inoxydable brossé.
[7]
Pour la sécurité, l‘ascenseur de charge peut être équipé de mains courantes. Elles sont :
Droite Ou àextrémités arrondies et sont fabriquées en acier inoxydable brossé. [7]
13. Miroirs : [7]
Dans le modèle standard, nous proposons un miroir àmi-hauteur de la cabine, placésur la
paroi arrière de la cabine.
A 2 éléments
À 5 éléments
Indicateurs d’étage Tableaux sur toute la hauteur de la cabine Anti-vandalisme
Standard Acier inoxydable
individuellement
Anti-vandalisme
Anti-vandalisme
Fig.3 : Tableaux d’étage et de cabine. [7]
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Chapitre I Etude bibliographique
Fig.4 : Schindler ID®/ Miconic 10. [7] Fig.5 : Main courante Eclairage supérieur. [7]
Pilote :
Armoire de manœuvre pour ascenseurs électriques (de base 10 niveaux) :
• raccordement filaire : jusqu'à30 niveaux en collective complète, descente et en blocage.
• raccordement AXONE/SIMÉO : jusqu'à20 niveaux.
Équipage :
Armoire de manœuvre avec variateur de vitesse incorporé, pour ascenseurs électriques (de
base 10 niveaux) :
• raccordement filaire : jusqu'à30 niveaux en collective complète, descente et en blocage.
• raccordement AXONE/SIMÉO : jusqu'à20 niveaux
Coffret variateur de fréquence :
Permet par adjonction àune armoire 2 vitesses àmicroprocesseur, de faire fonctionner une
machine équipée d’un moteur 4/16 pôle ou d'un moteur 6/24 pôle 2 vitesses. Seuls les
enroulements GV sont utilisés. [8]
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Chapitre I Etude bibliographique
Boucle ouverte :
Mode de fonctionnement des machines équipées de moteur asynchrone. Dans ce cas, la
vitesse est contrôlée électroniquement par le variateur.
Boucle fermée :
Mode de fonctionnement des machines équipées de moteur asynchrone ou synchrone. Dans
ce cas, un codeur, situésur le moteur, contrôle la rotation du moteur par rapport aux consignes de
vitesse demandées. [8]
Asynchrone :
Un moteur est appeléasynchrone quand sa vitesse de rotation est légèrement inférieure àla
vitesse du champ tournant crée par le courant statorique. Cette différence est la résultante du
glissement entre le stator et le rotor du moteur. [8]
Synchrone :
Un moteur synchrone est un moteur dont le rotor tourne à la même vitesse que le courant
statorique. [8]
Carte de visualisation : [8]
Clavier, situé dans l'armoire de manœuvre, permettant d'une part de régler les paramètres de
fonctionnement de l'ascenseur et d'autre part de visualiser tous les historiques de fonctionnement.
Carte mère : [8]
Cette carte permet de centraliser et traiter les informations du système. Elle est constituée de
différents composants électroniques (microprocesseur, résistance, condensateur, …) et de
connecteurs embrochables.
Télécommande limiteur :
Contact àclédouble position utilisépour commander àdistance le limiteur, lorsqu'il n'est
pas accessible à l’intervenant. [8]
Connecteurs :
Connecteurs mâle ou femelle de 2 à6 points (de type Mate'n Locke) avec :
• Détrompeurs (évite les erreurs de câblage).
• Verrouillage mécanique.
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Chapitre I Etude bibliographique
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Chapitre I Etude bibliographique
Le cas des moteurs àtraction avec réducteur de vitesse, par rapport àla même motorisation
Sans réducteur, montre que les intermédiaires occasionnent des pertes et, par conséquent,
réduisent la puissance mécanique disponible àla roue de traction pour une même puissance
électrique absorbée. [9]
16.2. Performance énergétique : [9]
Indépendamment du rendement global de la motorisation, la performance énergétique est
liée principalement àla gestion des démarrages et des arrêts par le variateur de vitesse. En effet,
le fonctionnement des ascenseurs est plus une succession de démarrages et d'arrêts, oùle courant
absorbépeut être très important, que de longues courses àcourant nominal plus réduit. Ceci est
d'autant plus vrai que le trafic est intense.
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Chapitre I Etude bibliographique
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Chapitre I Etude bibliographique
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Chapitre II Etude technique
1. Partie mécanique :
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Chapitre II Etude technique
Dans les installations standard, ces amortisseurs sont fixés dans la goulotte fond de
fosse qui maintient les guides.
1.3. La cabine :
Glisse en gaine le long des guides et s’arrête devant les portes palières.
Le mouvement de montée ou de descente est donné par l’action d’un treuil sur un
câble. Ce câble est fixé à une de ses extrémités à l’étrier soutenant la cabine ; il passe
sur la poulie du treuil et l’autre est reliéàson autre extrémitéau contrepoids.
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Chapitre II Etude technique
1.3.1. L’étrier :
1.3.2. La cabine :
Est constituée d’un plafond, un ensemble de panneaux tôlés assemblés par boulons
ou agrafes, d’un châssis avec seuil et d’une porte automatique, centrale ou télescopique.
Une cellule de réouverture de porte peut être également mise en place, jouant le
même rôle que le " heurt " mais sans que la personne touche àla porte.
1.5. Le contrepoids :
Il est constitué d’un cadre métallique comportant une traverse supérieure à laquelle
sont fixés les câbles de suspension.
Le cadre est rempli de gueuses en fonte ou en béton armé (environ 40 kg) qui
équilibrent le poids mort de la cabine augmentéde la moitiéde la charge utile.
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Chapitre II Etude technique
Gueuses en fonte
Gueuses en béton
• A un battant.
est battante. Cette porte est actionnée par un opérateur se trouvant sur le toit de cabine.
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Chapitre II Etude technique
• A commande manuelle.
Ces portes automatiques, comme pour la porte cabine, peuvent être centrales ou
latérales.
Maintenant, tous les ascenseurs, sauf cas bien particuliers, sont équipés de portes
palières automatiques.
Toutes les portes palières sont munies de serrures automatiques et d’un système de
sécurité électrique qui contrôle la fermeture et le verrouillage des portes avant et
pendant le déplacement de la cabine.
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
- Variateurs de fréquence.
Est fixée sur l’arbre de la roue hélicoïdale. Les gorges de cette poulie, dans lesquelles
passent les câbles de suspension, sont taillées dans la masse, suivant un profil spécial.
Les câbles s’y encastrent en pression de sorte que lorsque la poulie tourne, le
mouvement de l’ensemble (cabine, contrepoids) s’effectue (Gorge en V sous-taillée).
Lorsque la cabine est trop large pour la poulie de traction du treuil, une poulie folle
appelée " poulie de déflexion" est employée pour écarter le contrepoids de la cabine
(gorge 1/2 ronde pour éviter l’adhérence des câbles sur cette poulie).
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Chapitre II Etude technique
Suspension directe
Suspension directe avec poulie de déflexion
Suspension directe, machinerie basse
Mouflage 2 brins (avec points fixes en machinerie)
Mouflage 2 brins machinerie basse (avec points fixes dans local de renvoi)
Mouflage 2 brins sous cabine (avec points fixes dans local de renvoi)
Mouflage 3 brins (avec points fixes sur cabine et contrepoids)
Mouflage 4 brins (avec points fixes en machinerie)
D’autre part, pour une même charge, le mouflage permet de limiter la puissance du
treuil.
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
Cet ensemble est l’organe mécanique de sécurité qui, en cas de rupture des câbles
de traction ou de survitesse vers le bas, permet de bloquer la cabine sur les guidages.
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
Couple important
En fonction du moteur accouple :
• Grande plage de variation de vitesse (courant continu ou alternatif àvariation de
fréquence).
• Rendement énergétique important entrainant une diminution des couts à la
conception (puissance installée plus faible), et des consommations moindres a
l’exploitation.
• Précision dans les déplacements et sur la régulation de vitesse Son principal
inconvénient réside dans son entretien nécessitant une main d’œuvre qualifiée.
Il s’agit d’un moteur sans réducteur, la poulie de traction est monté directement
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Chapitre II Etude technique
2. Partie électrique :
2.1. Schéma de commande :
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
A : Platine.
B : Transformateur (alimentation)
C : Variateur de fréquence et interface de programmation
(Navigation parmi les paramètres • Verrouillage)
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Chapitre II Etude technique
B : Transformateur :
• Puissance de 350 VA.
• Tensions de sortie multiples (48 V, 60 V, 80 V, 110 V, 140 V) pour
l’alimentation des cames et frein.
• Tension Primaire de 400 V équipée d’un point milieu 230 V permettant
l’alimentation directe d’un opérateur porte 230 V monophasé.
C : Variateur de fréquence :
• Puissance de 5,5 kW / 7,5 kW ou 11 kW selon la puissance et l’intensité
nominale du moteur.
• Alimenté en triphasé par un réseau 400 VAC dans une plage min. (Max.
de 305 V à500 V)
F : Bornier d’alimentation
Permet de raccorder à l’équipage l’ensemble des organes de la machinerie (moteur,
DTU, …).
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Chapitre II Etude technique
2.4. Vitesse :
Au-delà, les ascenseurs ont des vitesses relativement proportionnelles àla hauteur
des tours ou gratte-ciels :
3 m/s, soit 1 étage par seconde (11 km/h) entre 15 et 30 étages (Tour Eiffel, 2 m/s
puis 3 m/s)
4,5 m/s, soit 1,5 étage par seconde (16 km/h) entre 20 et 40 étages.
6 ou 7 m/s, soit 2 étages par seconde (22 à25 km/h) entre 35 et 100 étages (Tour
Montparnasse, 59 étages, Tours de La Défense, Paris, Empire State Building).
9 ou 10 m/s, soit 3 étages par seconde (33 à 36 km/h) entre 50 et 110 étages
(Chicago, Toronto, Tour Q1, Melbourne, Stratosphère Las Vegas, Pékin)
Ils sont souvent plus rapides pour les bureaux, hôtels et visites panoramiques que
pour les habitations. De plus, les étages de bureaux ont pour hauteur standard 3,30 m,
due au passage des câbles et climatisation, ceux d'habitation 2,66 m.
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Chapitre II Etude technique
Les ascenseurs de mines étaient ou sont souvent rapides aussi (entre 5 et 16 m/s)
(60 à18km/h)11, et avec une accélération beaucoup moins progressive, tels celui actuel
de la plus profonde mine du Monde de Tau Tonna en Afrique du Sud (3,9 km)12.
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Chapitre II Etude technique
Système d’entraînement :
Schindler 2400 est équipé d’un système très
efficient d’entraînement à aimants
permanents, qui fonctionne sans
engrenages, c’est-à-dire : déplacement en
douceur et davantage de confort. En raison
des dimensions plus compactes et du silence
de fonctionnement, il s’agit de la solution
idéale pour les installations sans salle de
machines. Le moteur à variateur de
fréquence permet le transfert direct du
courant, ce qui réduit les pertes d’énergie.
Pour le démarrage, un courant de crête n’est
pas nécessaire : l’ascenseur peut ainsi
fonctionner plus rapidement dans une plage
de faible consommation en énergie.
Système de commande :
Schindler 2400 est équipé d’un système de
commande àmicroprocesseur qui prend en
charge un grand nombre de fonctions,
aussi bien pour la commande d’un seul
ascenseur ou d’un groupe pouvant inclure
jusqu’à quatre ascenseurs. Le système
permet de commuter l’éclairage et la
ventilation dans le mode veille, lorsque
l’installation n’est pas en service.
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
Système d’entraînement :
Schindler 2400 possède une manœuvre
d’entraînement unique en son genre. Il est
composé d’une unité pompe et d’une valve
contrôlée électroniquement. Combinéavec le
contrôle intégré, il répond de façon fiable àla
forte demande et offre
un trajet extrêmement agréable. L’arrêt de la
cabine se fait avec précision. La version
hydraulique du Schindler 2400 se caractérise
également par une basse consommation en
énergie.
Manœuvre :
La manœuvre par microprocesseur, spécialement
conçue pour les ascenseurs hydrauliques, est
adaptée à une grande variété de besoins et
d’usages. Elle offre un contrôle réglé, qui permet
de réduire la durée des trajets.
Vous pouvez choisir parmi les types de
manœuvres suivantes : prise en charge, manœuvre
collective montée ou descente ou manœuvre
collective sélective pour batteries allant jusqu’à
deux ascenseurs. Plus de100 options sont
disponibles en standard.
Contrôle des accès :
Schindler 2400 possède des systèmes de
personnalisation des accès. Le transport des
passagers ou des charges peut rétrocontrôle selon
des exigences spécifiques, par exemple par un
interrupteur àcléou par un lecteur de badges.
Fig. 25 : Entraînement hydraulique en tandem
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Chapitre II Etude technique
2.6.2. Motoréducteur :
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Chapitre II Etude technique
(Montech AG).
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Chapitre II Etude technique
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Chapitre II Etude technique
Panne 4 :
La cabine d’ascenseurs vibre pendant son déplacement.
Cause :
Les guides manquent d’huile ou les blocs d’isolation arcade/ cabine sont défectueux.
Panne 5 :
Il y a un balancement important lors du déplacement de la cabine.
Cause :
Soit, les coulisseaux de la cabine sont usés, soit les guides de la cabine sont
Désalignés.
Panne 6 :
Lors du démarrage de la cabine d’ascenseur, celle-ci a du mal àpartir.
Cause :
Le frein est mal réglé, la bobine de frein hors service et ou le contact sur le contacteur
de démarrage ne fonctionne plus…
Panne 7 :
La cabine d’ascenseur fait un bruit anormal en se déplaçant.
Cause :
Les paliers moteurs (groupe de traction) sont secs (risques de mise hors service du
moteur), le roulement de poulie est hors service, les guides manquent de lubrification.
Panne 8 :
La cabine d’ascenseur est bloquée à l’étage et la porte est ouverte.
Cause :
La cellule de r »ouverture (s’il y en a une) est déréglée, voir hors service, l’un des
boutons stop réouverture en cabine ou le bouton palier est restécoincé, ou encore le
contact de heurt de la porte cabine est hors service.
Panne 9 :
La cabine d’ascenseur ne va pas à l’étage voulu.
Cause :
Le sélecteur est uséet u le capteur en gaine est défectueux.
Panne 10 :
La cabine d’ascenseur, dans le sens de la descente, donne la sensation de chute libre de
courte durée par à-coups.
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Chapitre II Etude technique
Cause :
Il y a un jeu important de denture dans le treuil.
Panne 11 :
Les portes palières claquent
Cause :
Les butées caoutchoucs sont usées ou manquantes, les portes battantes sont mal réglées
ou bien il faut remplacer les ferme portes.
Panne 12 :
Les spots allogènes dans la cabine grillent fréquemment et régulièrement.
Cause :
Les spots ont étéremplacés sous tension.
Panne 13 :
Les portes cabines claquent pendant le fonctionnement de la cabine ou en fin
d’ouverture.
Cause :
Les contacts de fin de fermeture sont déréglés.
Panne 14 :
L’alarme en cabine ne fonctionne pas.
Cause :
Dans le cas où il s’agit d’un téléphone cabine, la ligne peut être coupée oùle système
Défectueux. D’il s’agit d’une sirène, voir la pile ou la sirène elle-même.
Panne 15 :
La cabine laisse une marche en dessous du niveau, uniquement au dernier niveau haut.
Cause :
Cette anomalie est due à l’allongement des câbles de traction, ce qui a pour conséquence
d’empêcher la cour complète du contrepoids et donc également àcelle de la cabine.
Panne 16 :
Les portes battantes grincent.
Cause :
Un manque de graisse sur les paumelles peut être à l’origine de ce défaut.
Panne 17 :
Les portes battantes grincent
50
Chapitre II Etude technique
Cause :
Les paumelles sont mal réglées ou déréglées.
Panne 18 :
La cabine est au niveau le plus haut ou le plus bas.
Cause :
Le boîtier d’arrêt haut ou bas (toujours à l’opposé de la cabine) est bloqué ou hors
service.
Panne 19 :
La cabine fait des à-coups brutaux
Cause :
Pour une manœuvre ou le groupe de traction ne fonctionne en courant continu, les
charbons du collecteur doivent être hors service, ou le collecteur est lui-même encrassé.
Panne 20 :
La cabine revient toujours au même étage.
Cause :
Un bouton de l’étage concerné a pu rester coincé ou le relais de ce même étage est
rémanent ou la carte électronique de contrôle est hors service.
Câbles
de
Moteur Réducteur Traction
Électrique Cabine Frein Poulie
Contre
poids
51
Chapitre II Etude technique
52
Chapitre II Etude technique
Rapports
M83 et M85 1/69-1/60 3.5 44
Toutes les
versions Autres
rapports 2.5 44
M93 et M95
Toutes les versions 4 44
Tous les rapports
M98
Toutes les versions 5 54
Tous les rapports
M104 et M106
Toutes les versions 5 54
Tous les rapports
53
Chapitre II Etude technique
Suite
54
Chapitre II Etude technique
5 Dispositif de protection contre les chocs Installer une barrière de cellules pour éviter
lors de la fermeture des portes les chocs avec les vantaux des portes
automatiques de cabines et palières automatiques
inadéquat ou inexistant
6 Pour éviter le risque de se pencher au-dessus
Paroi de gaine partiellement close ou avec d’une gaine trop basse assurer la fermeture
un maillage inadéquat totale de la gaine avec un maillage conforme
Suite
55
Chapitre II Etude technique
12 Utilisation d’un verre d’oculus inadéquat Pour éviter tout risque de bris mettre en place
sur les portes palières un oculus en verre
«sécurit »ou similaire
13 Éclairage des locaux techniques Une meilleure visibilité en local technique
inadéquat ou inexistant permet une maintenance plus efficace.
• Installer un éclairage approprié dans les
locaux techniques
• Installer un éclairage de secours
14 Protection contre les chocs électriques et Installer un capotage de protection ou
signalisation électrique remplacer le tableau d’arrivée de courant
15 Dispositifs de verrouillage inadéquats ou Pour toute trappe ou porte d’accès
inexistants sur les portes de visite en gaine, adapter un contact électrique
technique (gaine et cuvette) bloquant le fonctionnement de l’ascenseur en
cas d’ouverture intempestive pour éviter tout
risque d’intrusion lors du fonctionnement de
l'ascenseur
56
Chapitre II Etude technique
Une interface est une zone, réelle ou virtuelle qui sépare deux éléments. L'interface
désigne ainsi ce que chaque élément a besoin de connaitre de l'autre pour pouvoir
fonctionner correctement.
2.7.5.1.1. Définitions :
N.B : Les grandeurs d’influence sont des grandeurs extérieures qui peuvent avoir un
effet sur le capteur (les parasites) ; elles sont liées a l’environnement du capteur :
température, pression, l’humidité.
57
Chapitre II Etude technique
58
Chapitre II Etude technique
Ascenseur.
Machines-outils.
Machines d’assemblage,...
Capteurs mécaniques àcontact :
Dans cette catégorie sont classés tous les systèmes qui permettent, àpartir d’une
action mécanique directe, de fermer ou d’ouvrir un ou plusieurs contacts électriques ou
de permettre ou non le passage d’un fluide (pneumatique, hydraulique).
59
Chapitre II Etude technique
60
Chapitre II Etude technique
61
Chapitre II Etude technique
.
2.7.5.4. Détecteurs de proximité:
Les détecteurs opèrent à distance, sans contact avec l’objet dont ils contrôlent la
Position (depuis 1 mm àquelques mètres).
Un détecteur de proximitéinterrompt ou établit un circuit électrique en fonction de
la présence ou du non présence d’un objet dans sa zone sensible. Dans tous ces
détecteurs la présence de l’objet à détecter dans la zone sensible modifie une grandeur
physique :
2.7.5.5.1. Définition :
Les actionneurs sont des éléments qui produisent une action. Ceux-ci transforment
une énergie électrique ou fluidique en une énergie mécanique créant ainsi un
mouvement, rotation ou translation.
Indépendamment de l'énergie utilisée, les moteurs produisent un mouvement de
rotation, alors que les vérins produisent un mouvement de translation.
62
Chapitre II Etude technique
Les actionneurs sont des éléments qui produisent une action. Ceux-ci
Transforment une énergie électrique ou fluidique en une énergie mécanique créant ainsi
un mouvement, rotation ou translation.
Indépendamment de l'énergie utilisée, les moteurs produisent un mouvement de
Rotation, alors que les vérins produisent un mouvement de translation.
Fig 36 : un vérin.
Les vérins font partie de la famille des actionneurs (éléments qui produisent une
action). Ceux-ci transforment une énergie fluidique en une énergie mécanique créant
ainsi un mouvement le plus souvent de translation.
Les principaux fluides utilisés sont l’air comprimé pour les vérins pneumatiques
Les vérins sont constitués d’un cylindre, fermé aux deux extrémités, à l’intérieur
63
Chapitre II Etude technique
Le vérin simple effet ne peut être alimenté que dans une seule chambre, c’est
généralement la chambre arrière.
Lorsque l'on cesse d'alimenter en pression cette chambre, le retour s’effectue sous
l’action d’un ressort situé dans la chambre opposée. Celui-ci ne possède donc qu’une
seule position stable.
La chambre contenant le ressort est ouverte àl’air libre afin de ne pas contrarier le
déplacement du piston.
L'alimentation d'un vérin simple effet est obtenue àl'aide d'un distributeur (3/2).
64
Chapitre II Etude technique
Le vérin double effet àdeux alimentations possibles: soit par la chambre arrière, soit
par la chambre avant.
L’air de la chambre à l’échappement doit pouvoir être évacué afin de ne pas s’opposer
au déplacement du piston.
Dans un vérin double effet les chambres se trouvent donc alternativement mises àla
pression et à l’échappement.
L'alimentation d'un vérin double effet est obtenue àl'aide d'un distributeur 4/2, 5/2, ou
5/3.
Fig 42 : Alimentation d’un (V.D.E) à l’aide d’un distributeur (4/2), (5/2) ou (5/3).
65
Chapitre II Etude technique
A. Stator (partie fixe) : 3 enroulements (1 par phase) alimentés par des tensions
Les Enroulements du stator sont couplés soit en étoile soit en triangle. Sur certains
moteurs, les deux couplages sont réalisables et offrent la possibilité au moteur de
fonctionner avec 2 systèmes différents de tensions triphasées.
2.7.5.6.1. Définition :
66
Chapitre II Etude technique
Exemple:
Appelés CONTACTEURS.
67
Chapitre II Etude technique
Les distributeurs font partie de la famille des pré-actionneurs. Ceux-ci sont les
Constituants de la chaîne d’action qui permet, à partir d’un ordre de la partie Commande,
de distribuer l’énergie de puissance aux actionneurs. Dans notre cas, les distributeurs
distribueront de l’énergie pneumatique (air comprimé) aux vérins associés.
Les distributeurs sont constitués d’un corps contenant plusieurs orifices et d’un Tiroir
pouvant prendre plusieurs positions dont une seule est active.
68
Chapitre II Etude technique
En présence d'un Vérin double effet (VDE) nous avons 2 chambres à alimenter
Alternativement ce qui impose au minimum 2 positions.
Bobine.
Pôles électriques (3 ou 4).
Contacts auxiliaires.
Chambre de coupure de l’arc.
Un contacteur est caractérisépar :
Tension assignée : Pour des contacteurs àfaible courant jusqu’à 150 A la tension
Courant nominal : Le contacteur est choisi sur la base d’un courant nominal.
Température et altitude.
69
Chapitre II Etude technique
Fig.48 : schéma des pôles de puissance. Fig.49 : Schéma de la bobine circuit de commande.
Un utilisateur désirant «Monter »appuie sur le bouton dont la flèche est dirigée
vers le haut, un utilisateur désirant «Descendre »appuie sur le bouton dont la flèche
est dirigée vers le bas. Si la direction de l’ascenseur est la même que celle demandée,
et que l’étage d’où provient la demande n’est pas encore atteint, l’ascenseur s’arrête au
passage pour prendre le passager.
L’ouverture des portes est automatique et leur fermeture suite à une demande ne
peut s’effectuer que 30s après l’ouverture pour permettre l’évacuation aisée de la cabine.
70
Chapitre II Etude technique
71
Chapitre II Etude technique
2.10.1. Montée :
72
Chapitre II Etude technique
2.10.2. Descente :
73
Chapitre II Etude technique
74
Chapitre III Etude d’un cas
1. Présentation du modèle :
Les données suivantes seront utilisées afin d'établir le modèle de l'ascenseur :
Nombre d'étages : 5 ;
Hauteur d'un étage : 4 m ;
Masse maximale de l'ascenseur àvide : 400 kg ;
Charge maximale : 640 kg (8 personnes) ;
Vitesse maximale : 1,6 m/s ;
Accélération maximale : 1,5 m/s².
4 poulies de diamètre = 0,5 m ; moment d'inertie = 0,25 kg.m²; moment des forces
de frottement = 0,25 Nm ;
Un câble que l'on peut découper en 5 sections, de raideur = 3.10^6 N/m ;
amortissement 10 N/m/s ;
Un contrepoids, de masse égale àla masse de la cabine àvide et de la moitiéde la
capacitéde l'ascenseur = 720 kg.
76
Chapitre III Etude d’un cas
2. Etude de la traction par câble :
La cabine et le contrepoids sont reliés par des câbles passant par la poulie
d’entraînement comme poulie du treuil qui fonctionne par adhérence.
𝐏𝐜𝐚 + 𝐏𝐜𝐡
𝐏𝐜𝐩 =
𝟐
A.N:
𝟒𝟎𝟎 + 𝟔𝟒𝟎
𝐏𝐜𝐩 = = 𝟓𝟐𝟎 𝐤𝐠
𝟐
Dans le cas d’une charge maximale, un système sans contrepoids (cas d’un treuil),
𝐏𝐜𝐡
le moteur doit soulever un poids de Pca + Pch, contre dans le cas d’un système à
𝟐
adhérence avec contre poids.
Ce système d’adhérence est créé par un profil spécial donnéaux gorges de la poulie
d’entraînement où passent les câbles.
La cabine et les contrepoids vont suivre une trajectoire rectiligne à l’aide de guides.
77
Chapitre III Etude d’un cas
Les guides utilisés actuellement sont des guides en T obtenus par étirage. A chaque
extrémitéde guide, il y a un tenon et une mortaise pour permettre une parfaite continuité
de la file de guides au niveau de la jonction de deux guides de plus, deux guides sont
assemblés par une éclisse boulonnée.
Chaque file de guide repose sur le fond de la cuvette par l’intermédiaire d’une
semelle ou goulotte (dans les anciennes installations, les guides étaient suspendus). On
laisse 5 centimètres entre le haut du dernier guide et la dalle de la gaine pour pallier un
tassement du bâtiment éventuel.
Guides utilisés : T 50, T 70, T 89, T 125, T 127 ;
Ces guides sont livrés sur chantier en barres de 5 m de longueur.
Fig.56 : un guide.
78
Chapitre III Etude d’un cas
2.2. Les câble :
Les câbles assurent la liaison entre cabine et contrepoids. Ces câbles sont en acier,
composés de 18 torons à19 fils.
Les extrémités des câbles sont reliées aux arcades cabine et contrepoids par des tiges
de suspension.
3. Le treuil :
Généralement, ces divers éléments sont montés sur une ossature reposant sur le sol ou
sur des pieds.
Moteur Embrayag
électriq e
Frein
Réducteur
Poulie
79
Chapitre III Etude d’un cas
Fig.58 : le treuil.
3.1. Le réducteur :
Est composé d’une roue hélicoïdale, d’une vis sans fin et d’un arbre lent. En sortie
du réducteur sera montée la poulie d'adhérence.
80
Chapitre III Etude d’un cas
3.1.2. Le frein :
Est en général constituéde deux mâchoires articulées, garnies de Férodo qui vient
serrer un tambour qui est fixésur la vis sans fin.
En cas de panne, il peut être débloqué manuellement à l’aide d’un levier, ce qui
permet de déplacer la cabine lorsque des usagers sont bloqués dans celle-ci, par
exemple en cas de coupure de courant.
3.1.3. Le moteur :
Est accouplé à l’arbre de la vis sans fin par l’intermédiaire du tambour de frein.
Dans le cas du treuil W 125, le Rotor et la vis sans fin font partie d’un même ensemble.
4. Etude de la poulie
Dans cette étude, on choisit le phénomène de contacte du câble avec la poulie. A
ne pas oublier de prendre en considération les facteurs de sécuritéet la fiabilitéde ce
système. Enfin, on examine la sécuritéde l'ascenseur par une analyse du ressort, du
système de guidage et du parachute.
L’objectif est de mettre en évidence les limites de certaines configurations de
limiteur au regard du critère «longueur de glissement tolérée du cable sur la poulie du
limiteur »
Point de fonctionnement :
L’ascenseur se trouve au dernier étage lorsque la rupture du cable tracteur
provoque une survitesse, et donc le blocage du limiteur. À cet instant, la longueur de
cable entre le limiteur et la tringlerie est de trois m. On fera l’hypothèse que la
décélération de la cabine est constante et égale à10 m.s-2.
Dans cette étude, considérant que la cabine se déplace en translation, on s’intéresse
au mouvement du centre de gravitéde cette dernière.
Pour les installations d’ascenseur, la norme impose l’utilisation de plusieurs câbles.
Pour simplifier l’étude, on fait l’hypothèse que l’installation ne comporte qu’un seul
Câble (les résultats obtenus sont facilement transposables au système réel).
81
Chapitre III Etude d’un cas
Les gorges sont de forme trapézoïdale. Le problème réel posé est de déterminer l’angle
(α) au sommet de la gorge pour que le câble ne glisse pas par rapport àla poulie.
82
Chapitre III Etude d’un cas
4.1. Etude du contact câble - poulie :
On note :
Fcp câble : action du contrepoids sur un brin du câble. (Figure 61)
Fcabine cable : action de l’ensemble cabine+charge sur l’autre brin.
On étudie l’équilibre d’un petit élément de câble, que l’on suppose plat et
d’épaisseur négligeable, en contact avec la poulie, en contact avec la poulie (Figure 61):
Cet élément de courroie est soumis : aux actions F1 et F2 des brins du câble situés avant
83
Chapitre III Etude d’un cas
On suppose que :
→ (Poulie→câble) = → + dT … (2)
𝒅𝑭 𝒅𝑵
→ = ‖→ ‖ → et → = − f1 ‖→ ‖ →
𝒅𝑵 𝒅𝑵 𝒚 𝒅𝑻 𝒅𝑵 𝒙
∑→ = →
𝑭 𝟎
→ + → + 𝓭→ + 𝓭→ = → …. (4).
𝑭𝟏 𝑭𝟐 𝑵 𝑻 𝟎
𝒅𝜽 𝒅𝜽
𝒑𝒓𝒐𝒋𝒙 = 𝑭𝟏 𝐜𝐨𝐬 − 𝑭𝟐 𝐜𝐨𝐬 − ‖𝒅 → ‖ = 𝟎 … ( 𝟓)
𝟐 𝟐 𝑻
𝒅𝜽 𝒅𝜽
𝒑𝒓𝒐𝒋𝒚 = − 𝑭𝟏 𝐬𝐢𝐧 − 𝑭𝟐 𝐬𝐢𝐧 + ‖𝒅 → ‖ = 𝟎 … ( 𝟔)
𝟐 𝟐 𝑵
𝒅𝜽
⟺ (𝑭𝟏 − 𝑭𝟐 ) 𝐜𝐨𝐬 -‖𝒅 →‖ = 𝟎 ……(7)
𝟐 𝑻
84
Chapitre III Etude d’un cas
𝒅𝜽
(−𝑭𝟏 - 𝑭𝟐 ) 𝐬𝐢𝐧 = − ‖𝒅→ ‖ …...(8)
𝟐 𝑵
𝒅𝜽
(7) ⟺ (𝑭𝟏 − 𝑭𝟐 ) 𝐜𝐨𝐬 − ‖𝒅 →‖ = 0
𝟐 𝑻
𝒅𝜽
On a: d𝜃 ≪ 0 ⇒ 𝐜𝐨𝐬 𝒅𝜽 = 𝟏 ; 𝐜𝐨𝐬 ≃𝟏
𝟐
⟺ 𝑭𝟏 − 𝑭𝟐 - ‖ 𝒅 → ‖ = 0 ⟺ 𝑭 + 𝒅𝑭 − 𝑭 − (−𝒇𝟏 ‖𝒅 → ‖) = 𝟎
𝑻 𝑵
𝒅𝑭
⟺ 𝒅𝑭 + 𝒇𝟏 ‖𝒅 → ‖ = 𝟎 ⟺ ‖𝒅 → ‖= - ……… (9)
𝑵 𝑵 𝒇𝟏
𝒅𝜽 𝒅𝑭 𝐬𝐢𝐧 𝒅𝜽
− 𝟐𝑭 𝐬𝐢𝐧 − = − ‖𝒅→ ‖…(11).
𝟐 𝟐 𝑵
𝒅𝜽 𝒅𝜽 𝒅𝜽 𝒅𝜽
≪ 𝟎 ⟹ 𝐬𝐢𝐧 = 𝒆𝒕 𝐜𝐨𝐬 = 𝟏.
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝒅𝜽 𝒅𝜽
(11) ⇒ 𝟐𝑭 − 𝒅𝑭 = − ‖𝒅 → ‖
𝟐 𝟐 𝑵
𝒅𝜽
⟺F 𝒅𝜽 - 𝒅𝑭 = − ‖𝒅 → ‖ …. (12)
𝟐 𝑵
𝒅𝑭 𝒅𝜽 𝒅𝒇
𝑭 𝒅𝜽 − = − (− )
𝟐 𝒇𝟏
𝒅𝑭 𝒅𝜽 𝒅𝑭 …(13)
𝑭𝒅𝜽 − − =0
𝟐 𝒇𝟏
85
Chapitre III Etude d’un cas
𝒅𝑭
𝒇𝟏 . 𝑭 . 𝒅𝜽=𝒅𝑭 = 𝒇𝟏 𝒅 𝜽 ⟹ ……. (14)
𝑭
→ ⟹ 𝒄𝒂𝒃𝒍𝒆: 𝑭𝟐
𝑭𝒄𝒑
Et 𝟎 < 𝜽 < 𝝅
→ ⟹ 𝒄𝒂𝒃𝒍𝒆: 𝑭𝟏
𝑭𝒄𝒂𝒃𝒊𝒏𝒆
𝑭 𝒅𝑭 𝝅
De (14)⟹ ∫𝑭 𝟏 = ∫𝟎 𝒇𝟏 𝒅𝜽 .
𝟐 𝑭
𝑭𝟏
𝑭𝟐 [ 𝐥𝐧 𝑭= 𝒇𝟏 𝝅𝟎[𝛉
𝐥𝐧 𝑭𝟏 - 𝐥𝐧 𝑭𝟐 =𝒇𝟏 (𝝅 − 𝟎).
𝑭𝟏
𝐥𝐧 = 𝒇𝟏 𝝅
𝑭𝟐
𝑭𝟏
𝑭
𝐥𝐧 𝟏 = 𝒆𝒇𝟏 𝝅
𝒆 𝑭𝟐
= 𝒆 𝒇𝟏 𝝅
⟺ 𝑭𝟐 … (𝟏𝟓)
86
1. Introduction :
La simulation d’un ascenseur réalisé sur le logiciel abaqus tenant compte des
conditions d’utilisation permet d’établir une modélisation de l’ascenseur et de son
comportement. Dans la réalité, les résultats demeurent significatifs pour le seul cas
correspondant aux choix des hypothèses considérées. Comme la plus part des
mécanismes sont produits tenant compte des conditions idéales correspondant à l’état
initial des machines, la simulation permet la prise en compte de tous les paramètres
entrant en jeu dans le comportement de l’ascenseur. Le logiciel Abaqus, permettant la
variation des paramètres opérationnels et la variation des critères pouvant agir sur
l’apparition de certaines problemes, conduit à des résultats plus variés que les
démarches expérimentales. Dans notre étude, les simulations seront menées en vue de
déterminer une représentation virtuelle du fonctionnement de l’ascenseur, et la
représentation des efforts et contraintes sur différents organes.
2. La simulation numérique
Le logiciel ABAQUS utilisé ici, a été développé par Hibbit, Karlsson &
Sorensen (HKS) depuis le début de la théorie des éléments finis et a étéamélioréau fur
et à mesure pour intégrer toutes les nouveautés de la théorie et des besoins de la
recherche.
3. Concept de la simulation :
Le logiciel dispose d’un moyen efficace de prédire par la simulation numérique
l’apparition des problèmes mécaniques. Une nouvelle fois, la technique d’analyse
d’images s’avère utile et elle est utilisée ici pour observer et comprendre les
manifestations de ces phénomènes. Des considérations assez simples permettent
finalement non pas de déterminer les conditions d’apparition d’un défaut ou une
irrégularitémais de les détecter lors de la simulation numérique.
Les entreprises devaient également posséder des machines de calcul puissantes. Les
calculs duraient alors plusieurs dizaines de jour. Mais de nos jours, les progrès tant
matériels que logiciels aidant, des simulations simples peuvent être effectuées en
quelques heures.
C’est en Angleterre, en 1969 que des premiers calculs par éléments finis pour
modéliser des procédés de mise en forme ont eu lieu. Ils concernaient des cas de
laminage àchaud en modélisation 2D. Au CEMEF, une première étude est engagée
avec la SNECMA dès 1981 pour développer le code Forge2® qui permet d’effectuer
des simulations de cas de forgeage pour des configurations axisymétriques.
2. Résultats ::
[2] http://www.techniques-ingenieur.fr/
[3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascenseur#/media/File:TreuilAsc1.JPG
figure : treuil
[4] www.schindler.ch
[5] www.paypal.com
[6] www.technologuepro.com
[7] www.doc-etudiant.fr
[9] www.oboulo.com ›