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Pierre N'DA
Remerciements
Merci au Seigneur pour tout et de ce qu’Il m’a permis d’écrire des livres
pour aider les autres à réussir plus facilement.
Merci aussi à mes collègues Adama Coulibaly et Philip Amangoua
Atcha qui m’ont encouragé à entreprendre le présent ouvrage dont ils ont
assuré la relecture et la correction.
J’apprécie notre collaboration et leur solidarité intellectuelle.
Introduction
GRAWITZ Madeleine , 1996, Méthodes des sciences sociales, 10 e éd, Paris, Dalloz,
1996
Méthode expérimentale
Méthode hypothético-déductive
Méthode quantitative
HUOT Rejean, Méthodes quantitatives pour les sciences humaines , 2 e éd, Québec,
Presses de l’Université Laval, 2003
Méthode qualitative
AKTOUF Omar, 1987, La méthodologie des sciences sociales et approche qualitative des
organisations . Québec, Presses de l’Université du Québec, 1987
GRAWITZ, Op.cit .
BRUNET Etienne (éd), Méthodes quantitatives et informatiques dans l’étude des textes ,
Vol.1, Genève-Paris, Slatkine-Champion, 1986 (Travaux de Linguistique quantitative, 35 )
Pour conclure, on peut dire avec force que, la bonne méthode – c’est un
truisme de le répéter – permet de ne pas s’égarer et perdre inutilement de
temps en chemin ; elle permet de prendre la voie royale pour avancer avec
assurance, de façon certaine et lucide, pour faire son travail, un travail
organisé, ordonné, avec une cohérence manifeste. Elle permet aussi de
maîtriser progressivement, intelligemment et sûrement son sujet de
réflexion, son objet d’étude, de résoudre sereinement les difficultés qui se
présentent et de réussir, sans encombre, son étude.
Méthode philosophique
RUSS Jacqueline, Les méthodes en philosophie , 2 e éd, Armand Colin, Paris, 1996
- Histoire de la philosophie : de Socrate à Fourcault , Paris, Hatier, 1985
MIQUEL Jean, La dissertation philosophique par l’exemple , Paris, Edition Rondil, 1984
Méthode théologique
Méthode sociologique
COULON Alain, L’ethnométhodologie, Paris, PUF, coll. "Que sais-je ?", 1996
DURKHEIM Émile, Les règles de la méthode, 1901 précédé de J.M. Berthelot, Les règles
de la méthode sociologique ou l’instauration du raisonnement expérimental en sociologie , Paris,
Flammarion, 1998
GRAWITZ Madeleine, Les méthodes des sciences sociales , 10 e éd, Paris, Dalloz, 1996
LOUBET DEL BAYLE Jean-Louis , Introduction aux méthodes des sciences sociales , 2
e éd. augmentée, Toulouse, Privat, 1986
Méthode historique
BOURDÉ Guy et MARTIN Hervé, Les écoles historiques , Paris, Seuil, 1989
GENGEMBRE Gérard, Les grands courants de la critique littéraire , Paris, Seuil, 2007
La narratologie
La sémiotique narrative
BERTRAND Denis, Sémiotique littéraire du récit , Paris, Nathan, 2000
GROUPE d’Entrevernes, Analyse sémiotique des textes , Lyon, Presses Univ de Lyon,
1979
Sociocritique
GOLDMANN Lucien, Pour une sociologie du roman, 2 e éd, Paris, Gallimard, 1964
FAYOLLE Roger, « Quelle sociocritique pour quelle littérature ? » Sociocritrique ,
Nathan, 1979, p.215-217
ZIMA Pierre, - Pour une sociologie du texte littéraire , Paris, U.G.E, 1978
- Manuel de sociocritique , Picard, 1985, réédition, L’Harmattan, 2000
La critique thématique
La Mythocritique
BRUNEL Pierre (dir). Dictionnaire des mythes littéraires , éd du Rocher, Monaco, 1988
COMTE Fernand, Les Héros mythiques et l’homme de toujours , Paris, Seuil, 1993
DA COSTA Anne – DA COSTA Fabian, Les grands mythes et l’histoire des hommes ,
Paris, éd. De Vecchi, 2004
LACARRIERE Jacques, Au cœur des mythologies, Paris, Gallimard, Coll "Folio," 2002
YVANOFF Xavier, Mythes sur l’origine de l’homme , Paris, Ed. Errance, 1998
La psychanalyse et la psychocritique
BELLEMIN-NOEL Jean, Psychanalyse et littérature, Paris, PUF, Coll. "Que sais-je ? "
1972
- Vers l’inconscient du texte , Paris, PUF, 1979
CLANCIER Anne, Psychanalyse et critique littéraire , Privat, 1973, Rééd 1989 (Chapitre
sur Mauron)
La critique génétique
La Pragmatique
4. Que pense le chercheur des résultats obtenus ? Que valent-ils, que signifient-ils, quelle(s)
interprétation(s) donner ? ( Discussion)
Prévue au départ pour des articles portant sur des recherches originales,
mais aussi pour les rapports de recherche de tout genre, la structure
IMRAD, il faut le savoir, se compose, tout compte fait, de trois (3) grandes
étapes :
1.2-1 Une partie introductive qui présente le sujet, le situe dans un
contexte ou dans un cadre de référence, élabore la problématique, formule
la question de recherche, l’objectif principal, une hypothèse à vérifier.
1.2-2 Une partie centrale qui présente le travail de recherche
effectivement fait. Elle se subdivise en réalité en trois (3) chapitres : le
matériel et les méthodes, les résultats, la discussion.
Pour sa part, Marie-Fabienne Fortin est, sans nul doute, une des
personnes qui, bon gré mal gré, ont fait la promotion de la structure
IMRAD sans jamais mentionner explicitement cet acronyme. L’allusion est
évidente lorsqu’elle explique que, quelle que soit la modalité de la
communication des résultats, le contenu d’un rapport de recherche
comprend généralement « quatre composantes : 1) une introduction, 2) une
description des méthodes, 3) une présentation des résultats, et 4) une
discussion »42. De plus, elle présente dans son ouvrage, une structure des
mémoires et des thèses, qui reflète bien l’IMRAD puisqu’elle reprend ses
composantes, présentées ici en cinq (5) chapitres entiers autonomes et avec
des détails.
Première partie :
Les fondements théoriques et conceptuels de l’étude
Deuxième partie :
Considérations d’ordre technique et méthodologique
Chapitre 1 : Le matériel : sujets d’enquêtes (ou « enquêtés »), objets observés ou étudiés (matériel,
végétal, animal, humain, etc.) description du milieu, de la population enquêtée et de l’échantillon ;
description et justification du support ou du corpus d’étude (documents, textes, œuvres
littéraires, etc.)
Chapitre 2 : Les méthodes : démarche méthodologique, description des outils et de techniques de
recueil de l’information, du déroulement de la collecte des données, présentation du déroulement
chronologique des activités de recherche menées, etc.
Troisième partie :
Résultats et Discussion
Chapitre 1 : Présentation des résultats obtenus : analyse des données quantitatives (statistiques),
analyse qualitative des données
Chapitre 2 : Discussion des résultats : explication, interprétation, évaluation des résultats par apport
à la question de recherche, aux hypothèses émises. Confrontation avec les résultats des études et
travaux antérieurs. Indications des limites et des implications. Suggestions de pistes de réflexions et
de recherches pour des études et publications ultérieures.
N’DA Pierre, L’Article scientifique en Lettres, Langues, Arts et Sciences humaines , Paris,
L’Harmattan, 2015
En guise de conclusion
A l’issue de cette immersion dans les méthodes d’approche sur toutes les
formes, il est raisonnable de penser que l’initiation est faite. Comme dans
toute initiation, c’est difficile, c’est pénible d’avoir accès aux choses
cachées, au secret initiatique, mais on s’en sort toujours plus fort, investi
d’ardeur et de courage renouvelés. On est instruit, formé, on se sent plus
adulte, capable d’affronter les difficultés, décidé, déterminé à aller de
l’avant, croûte que coûte, avec dans la tête plein de connaissances, et en soi
l’assurance et la maîtrise de ses capacités, conscient de ses aptitudes et
qualités unanimement reconnues dans et par la société, avec la certification
officielle des maîtres initiateurs, c’est-à-dire les détenteurs attitrés de la
Connaissance que sont les chercheurs et les professeurs des universités.
Cette imprégnation dans les méthodes est une bonne chose, une
opération bénéfice, salutaire : elle permet de mieux s’informer, de se former
davantage et de se dégager des sentiers tortueux et embourbés de la
recherche, de sortir de l’errance méthodologique et heuristique, des
hésitations et du tâtonnement et de mettre fin aux investigations et
explorations aléatoires et improductives. Toutes choses qui révèlent
manifestement le manque d’assurance et de compétence méthodologique ;
en un mot, l’absence de méthode.
Cette plongée dans les principales méthodes d’approche, d’analyse, de
rédaction ne peut être vaine, sans résultats concrets et pratiques. Chaque
initié connaît désormais, au moins, une méthode, la voie (hodos en grec)
qu’il va prendre pour avancer, pour progresser dans ses recherches et mener
à bien et à bout son étude, avec les résultats escomptés.
En tout état de cause, et à titre d’interpellation insistante, tout doctorant,
tout chercheur doit se tenir pour dit et acquis : on ne peut plus, à l’heure
actuelle, faire un travail de recherche, une thèse, un mémoire, un article
scientifique, au hasard, comme on l’entend, selon son instinct, son intuition
ou son inspiration !
Un travail de recherche, à l’instar de la thèse notamment, n’est pas un
inventaire, un catalogue, ni, qui plus est, une bonne et habile compilation de
documents sérieux et savants, d’études et travaux solides, riches et
intéressants. La thèse ou le mémoire, il faut que cela soit clair, n’est pas non
plus un fourre-tout, rassemblant ou mettant côte à côte des analyses, des
commentaires, des arguments, des résultats, des discours aussi savants que
disparates ! Une thèse, tout comme un mémoire ou un article scientifique,
est un travail de construction, et comme tel, il revient au chercheur de
s’employer à « chercher » et à trouver des voies et moyens et à user de
toutes ses facultés et compétences pour sa réalisation et son achèvement.
Avec l’agencement logique et le développement cohérent des déférentes
parties, avec l’articulation ordonnée des chapitres, avec l’organisation
harmonieuse des sous-chapitres, des sections, des subdivisions et même des
paragraphes, le travail universitaire de mémoire de Master et en particulier
de thèse de Doctorat doit être bien perçu comme un travail scientifique,
méthodique, un discours argumentatif et démonstratif bien construit. C’est
précisément cette construction solide, cette maîtrise du sujet et des
méthodes d’analyse, cette connaissance avérée des œuvres, des textes et des
documents étudiés, cette compétence affichée et reconnue dans le domaine
de recherche et dans la spécialité qui donnent à l’étude effectuée sa
dimension heuristique incontestable, sa qualité objective de travail
scientifique et toute sa valeur de thèse. C’est tout cela qui constitue
véritablement la contribution réelle et essentielle du jeune chercheur ou de
l’impétrant à qui les membres du jury de soutenance n’hésitent pas à
décerner le titre et le grade de Docteur, c’est-à-dire savant, compétent
reconnu en sa matière.
Et on peut le dire : un des moyens les plus sûrs d’avoir accès aux plus
grands diplômes universitaires ainsi qu’aux titres et grades n’est rien
d’autre que la parfaite connaissance et la maîtrise indiscutable des
méthodes.
Plan n°1
Sujet : Onomastique et création littéraire : étude des noms des personnages dans les romans de
Jean-Marie Adiaffi et Maurice Bandaman 44
Première partie :
Construction de l’objet d’étude : fondements théoriques et approches méthodologiques
Chapitre 1 : L’onomastique romanesque : conception, définition, émergence d’une théorie et d’une
pratique littéraires.
Chapitre 2 : Recension critique des études et travaux sur l’onomastique littéraire.
Chapitre 3 : Élaboration d’une problématique.
Chapitre 4 : Méthodes d’analyse des oeuvres : la narratologie, la sémiotique des personnages, la
linguistique des noms propres, la sociocritique et la thématique.
Deuxième partie :
Techniques et stratégies de création onomastique dans les romans du corpus
Chapitre 5 : La motivation onomastique et les procédés d’invention.
Chapitre 6 : Les noms et les qualifications des personnages.
Chapitre 7 : Les différents types de dénominations.
Chapitre 8 : Les noms et les rôles narratifs.
Troisième partie :
L’onomaturgie des romanciers : enjeux, portée et signification
Chapitre 9 : Les noms des personnages : une expression culturelle et identitaire.
Chapitre 10 : La sémantique de l’onomastique : un concentré de la thématique des œuvres.
Chapitre11 : Le jeu onomastique : un langage ludique et humoristique, un discours social et
idéologique.
Chapitre 12 : L’onomastique littéraire : une contribution au renouvellement de l’écriture romanesque
Plan n°2
Sujet : Littérature et environnement : la sécheresse dans la production romanesque des écrivains
d’Afrique noire francophone 45
Première partie :
La sécheresse et sa représentation romanesque
Chapitre 1 : Le référent « sécheresse » et ses substituts lexématiques
Chapitre 2 : Origines et causes de la sécheresse dans la littérature romanesque
Chapitre 3 : La part ou la responsabilité de l’homme dans le phénomène de la sécheresse
Deuxième partie :
La sécheresse et ses méfaits
Chapitre 1 : La sécheresse et ses effets pervers sur l’environnement : la dénaturation
Chapitre 2 : La sécheresse et ses conséquences sur l’homme et la société : la déshumanisation
Chapitre 3 : La sécheresse et le phénomène des déplacements massifs des populations : l’exode
rural, l’exil, l’immigration.
Troisième partie :
L’écriture romanesque de la sécheresse : intérêt, portée et dimension idéologique
Chapitre 1 : La sécheresse, source d’inspiration d’une écriture romanesque spécifique : le roman
sahélien
Chapitre 2 : Les romanciers sahéliens, promoteurs de la lutte de résistance, de l’action
révolutionnaire et de la solidarité
Chapitre 3 : Le discours du roman de la sécheresse et sa signification idéologique
Plan n°3
Sujet : Roman de science-fiction et dispositifs paratextuels : Etude des seuils des romans de Stefan
Wul 46
Première partie :
Considérations théoriques et conceptuelles sur la science fiction et le paratexe
Chapitre 1 : La science-fiction : approche descriptive et historique du genre.
Chapitre 2 : Le paratexte littéraire : les productions discursives en marge du texte romanesque.
Chapitre 3 : Le paratexte de la science-fiction française, un hors-texte américanisé.
Deuxième partie :
Les stratégies paratextuelles des romans de Stefan Wul
Chapitre 1 : La première de couverture et les contradictions entre l’auctorial et l’éditorial.
Chapitre 2 : Le dos du livre et la quatrième de couverture : des espaces stratégiques.
Chapitre 3 : La création titrologique chez Wul : un chef-d’œuvre d’ingéniosité littéraire et
esthétique.
Chapitre 4 : Les épigraphes et les préfaces : des instances de légitimation et de revalorisation.
Chapitre 5 : L’épitexte ou l’intrusion dans les alcôves des œuvres de Stefan Wul.
Troisième partie :
L’appareil d’escorte des romans de Stefan Wul : Enjeux et effets de sens
Chapitre 1 : Les seuils romanesques et enjeux pragmatiques : de l’influence du hors-texte.
Chapitre 2 : De la périphérie au texte : la dimension littéraire et esthétique des œuvres.
Chapitre 3 : Le paratexte et le contenu thématique des romans.
Chapitre 4 : L’accompagnement paratextuel et la portée idéologique des œuvres chez Stefan Wul.
Bibliographie
Comme, pour chaque type de méthode, des ouvrages recommandés ont été
indiqués à la fin, avec des références bibliographiques, il est proposé ici,
dans la bibliographie générale, une sélection d’ouvrages fondamentaux de
méthode et de méthodologie de la recherche.
BERGEZ Daniel et al, Introduction aux études pour l’analyse littéraire, Paris, Bordas,
1990
GENGEMBRE Gérard, Les grands courants de la critique littéraire , Paris, Seuil. Coll.
Memo, n°19, 1996
LONERGAN J.F. Bernard, Pour une méthode en théologie , traduit de l’anglais sous la
direction de Louis Roy, coll " Cogitatio Fidei ", n° 93, Paris, éditions du Cerf-éditions Fides,
1978
N’DA Pierre, L’Article scientifique en Lettres, Langues, Arts et Sciences humaines, Paris,
L’Harmattan, 2015
PETIT Jean-Claude, La théologie : sa nature, ses méthodes, son histoire, ses problèmes ;
répertoire bibliographique international , Montréal, PUM, 1978
RUSS Jacqueline, Les méthodes en philosophie , 2 e -éd, Paris, Armand Colin, 1996
ROHOU Jean, Les études littéraires. Méthodes et perspectives , éd. Nathan, 1993
ZIMA Pierre , Pour une sociologie du texte littéraire , Paris U.G.E, 1978
- Manuel de sociocritique , Picard, 1985, Réédition, L’Harmattan, 2000
1 Jacqueline Russ, Les méthodes en philosophie , Paris, A. Colin, 1996, p.12.
2 Madeleine Grawitz, Méthodes des sciences sociales , Paris, Dulloz, 1996.
3 Maurice Angers, Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines , Montréal, Centre
éducatif et culturel inc., 1992, p.353.
4 Jean-Pierre Rossi , L’approche expérimentale en psychologie , Paris, Dunod, 1997.
5 Jean-Pierre Deslauriers, Recherche qualitative. Guide pratique , Montréal
McGraw-Hill éditeur, 1991, p.6
6 Christian Delcourt, « La statistique littéraire », Introduction aux études littéraires. Méthodes du
texte , Paris – Louvain-la-Neuve, Edition Duculot, 1990, p.132-147
7 Charles Muller, Principes et méthodes de statistique lexical , Paris, Hachette, 1996
- Initiation aux méthodes de la statistique linguistique , Paris, Hachette, 1973.
- Langue française, linguistique quantitative, informatique, Génève-Paris, Slatkine-Champion, 1985.
8 Jacqueline Russ, Les méthodes en philosophie , 2 ème édition, Paris, A. Colin, 1996.
9 Bernard J.F. Lonergan, Pour une méthode en théologie , traduit de l’anglais sous la direction de
Louis Roy, collection « Cogitatio Fidei », n°93, Paris, éditions du Cerf-éditions Fides, 1978.
10 Jean-Claude Petit, La théologie : sa nature, ses méthodes, son histoire, ses problèmes ; répertoire
bibliographique international , Montréal, PUM, 1978.
11 Jean-Pierre Torrell, « Méthode en théologie et en théologie fondamentale », Revue Thomiste ,
Toulouse, 1981, vol.81, n°3, p.447-476.
12 Henriette Danet et Elvis Elengabeka, Secrets de la réussite : Guide des mémoires et des thèses en
Licence Master Doctorat, Yaoundé, 2013, p.17
13 Ibidem
14 Gérard Siegwalt, « L’acte théologique aujourd’hui. Risque et promesse », Revue d’Histoire et de
Philosophie religieuses 2 , 1972, p.137-148.
15 A.J. Greimas, Sémantique structurale , Paris, Larousse, 1966, p.41.
16 Michael Riffaterre, La production du texte , Paris, Seuil, 1979, p.89.
17 A. Julien Greimas, Joseph Courtés, Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la théorie du langage ,
Paris, Hachette, 1979, p.388.
18 Jacques Derrida, L’écriture de la différence , Paris, Seuil, 1967, p.44.
19 Bonald, Articles de Mercure de France , paru sous l’Empire (recueillis dans œuvres complètes,
XIX è siècle.
20 Pierre Barberis, « La sociocritique », Introduction aux méthodes critiques pour l’analyse
littéraire , p.123.
21 Claude Duchet, « Pour une socio-critique ou variations sur un incipit », Littérature , n°1, Paris,
Larousse, 1977.
22 Gérard Gengembre, Les grands courants de la critique littéraire , Paris, Seuils, p.53.
23 Claude Duchet, « Positions et perspectives », Sociocritique , Paris, Nathan, 1979, p.3-4.
24 André Fossion et Jean Pierre Laurent, Pour comprendre les lectures nouvelles : linguistique et
pratique textuelle , Paris, Seuil, p.129.
25 Régine Robin et Marc Angenot, « La sociologie de la littéraire », Histoire des poétiques , Paris,
PUF, 1997, p.408.
26 Pierre N’Da, « Les romanciers africains et les modèles littéraires étrangers : À l’heure de la
« littérature-monde, quelle place pour l’originalité et l’identité culturelle ? », Université de Cocody,
Abidjan, En-Quête , EDUCI, n°21, 2009, p.15-26.
27 Charles Mauron, Des métaphores obsédantes au mythe personnel , Paris, José Corti, 1962, p.13.
28 Ibidem
29 Jean Bellemin-Noël, Psychanalyse et littérature , Paris, Que suis-je ? n°1752, 1995, p.96.
30 Pierre-Marc de Biasi, « La critique génétique », Introduction aux méthodes critiques… , p.6-7.
31 Gothot-Mersch, C., La genèse de « Madame Bovary » , Corti, 1966.
32 Pierre-Marc de Biasi, Carnets de travail de G. Flaubert , Ballard, Paris, 1988
33 Jean-Francis Ekoungoun, Ahmadou Kourouma par son manuscrit de travail. Enquête au cœur de
la genèse d’un classique , Paris, Ed. Connaissances et Savoirs, 2013.
34 Charles Morris, Fondations of the theory of signs , 1938.
35 Alan Henderson Gardener, Langage et actes de langage : Aux sources de la pragmatique , Lille,
Presses universitaire de Lille, 1989, p.13.
36 Anne Reboul et Jacques Moeschler, La pragmatique aujourd’hui, une science de la
communication , Paris, Seuil, 1998, p.27.
37 John Langshaw Austin, ( How to do things with word , 1962 ; trad.fr. Quand dire, c’est faire , Ed.
du Seuil, 1970).
38 Philippe Blanchet, La pragmatique. D’Austin à Goffman , Paris, Bertrand-Lacoste, 1995, p.12.
39 Dominique Maingueneau, Le contexte de l’œuvre , Paris, Dunod, 1993, p.65.
40 Mathieu Guidère, Méthodologie de la recherche , Paris, Ellipses Edition Marketing, 2004, p.27.
41 Gordon Mace et François Pétry, Guide d’élaboration d’un projet de recherche en sciences
sociales , 4 e éd Bruxelles, De Boeck, 2011, p.5.
42 Marie-Fabienne Fortin, Le processus de la recherche, De la conception à la réalisation , Ville
Mont-Royal, Décarie Éditeur, 1996, p.326.
43 Bernadette Plot, Ecrire une thèse ou un mémoire en Sciences humaines , Paris, Ed. H. Champion,
1989, p.90.
44 Plan de la thèse de Koffi Kouassi Pierre, Département de Lettres modernes, Université, Cocody-
Abidjan, 2005
45 Plan de la thèse de Doctorat soutenue par Fréderic Akomian Mobio, département de Lettres
modernes, Université Félix Houphouet-Boigny, 23 Janvier 2013
46 Plan de thèse de Doctorat de Rosine Gnamien D. B. Kouadio, Département de Lettres modernes,
Université Félix Houphouët Boigny, 2014.