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METHODE DE RECHERCHE EN
SCIENCES SOCIALES
SOMMAIRE
INTRODUCTION
GENERALE…………………………………………………………………
………………..………………4
I-POURQUOI FAIRE DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE ?..............................................................................4
II- L’ESPRIT DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE…………………………………………………………
………………………6
III- LA DEMARCHE DU
CHERCHEUR……………………………………………………………
…………………………………….12
IV- QUELQUES CONCEPTS SCIENTIFIQUES DE
BASE……………………………………………………………………….1
3
V- LA STRUCTURE D’UN PROJET DE
RECHERCHE………………………………………………………………
………….20
VI- LA REVUE DE LITTERATURE : POURQUOI ET
COMMENT ?....................................................................21
VLI - ANNONCE DU PLAN
……………………………………………………………………………………
……………………………………..23
CHAP1 : LA RUPTURE OU LA CONSTRUCTION DE L’OBJET DE
RECHERCHE………………………24
CHAP3 : L’OBSERVATION
SCIENTIFIQUE……………………………………………………………
…………….51
CONCLUSION
GENERALE…………………………………………………………………
…………………………………..77
BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………
………………………………………………………..79
INTRODUCTION GENERALE
La recherche fait partie des missions statutaires des institutions
universitaires. Elle représente une des tâches quotidiennes des enseignants
des universités dont le rôle consiste non seulement à transmettre les
connaissances, mais aussi à les produire et à appuyer l’effort de
développement de l’ensemble de la société. Elle fait partie du processus
d’apprentissage des étudiants qui, à l’université, ne se contentent plus
d’ingurgiter les connaissances, mais de les trouver eux-mêmes à différentes
sources, complétant ainsi les enseignements reçus. En outre l’obtention de
certains diplômes universitaires est conditionnée par la production et la
soutenance de travaux de recherche qui attestent de la capacité des uns et
des autres à poser et résoudre scientifiquement un problème. D’où la
S’il est vrai que chaque science se définit par son objet et sa méthode,
il n’en demeure pas moins que la science dans sa grande généralité a une
démarche qui en garantit la fiabilité et l’universalité. Les sciences sociales
n’échappent pas à cette règle et leur méthode n’est qu’une variante de la
démarche globale de la recherche scientifique. Du reste, chacune d’elles
adapte sa démarche heuristique aux spécificités de son objet d’étude. Le
chercheur en sciences sociales doit au départ savoir ce qu’est la recherche
en général et ce qui lui confère l’attribut de scientifique pour s’assurer que
ce qu’il fait dans son domaine se situe bien dans la sphère de la science.
Aussi, les premières questions que nous nous poserons auront-elles une
portée générale. Qu’est-ce que la recherche ? Pourquoi fait-on de la
recherche ? Dans quel esprit doit se faire la recherche ? L’introduction
consistera essentiellement à poser les prolégomènes de la recherche
scientifique.
Ces trois principes représentent la clé d’une bonne lecture de la loi des
trois états : l’état théologique, l’état métaphysique, et l’état positif.
1. L’Etat théologique :
C’est l’état initial de la recherche de la compréhension des choses et
des évènements. A ce niveau, l’homme se pose des questions sur les causes
premières des évènements. Il explique les choses et les évènements en
attribuant leur cause soit aux choses elles-mêmes, soit alors à des êtres ou
forces surnaturelles et invisibles, soit à sa propre nature, à sa volonté ses
sentiments ses passions. Cet état se subdivise en trois phases : le
fétichisme : l’explication ici se réfère aux choses à qui l’homme prête vie et
action ; le polythéisme : l’explication renvoie à des êtres supérieurs, des
dieux à qui l’homme prête plus au moins sa nature ; le monothéisme : tout
est imputé à un Dieu unique.
2. L’état métaphysique :
Dans l’étape METHAPHYSIQUE caractérisée par le recours à des
abstractions personnifiées, à des idées par lesquelles on pense expliquer la
nature des choses et la cause des évènements, les concepts de justice et de
liberté. Ces concepts sont utilisés par les hommes pour comprendre leurs
comportements. C’est une étape intermédiaire car elle conserve de traits de
5. La Loi :
Elle peut être définie comme une formule générale énonçant une
corrélation entre des phénomènes et vérifiée par l’expérience. C’est le cas
des lois physique (lois de la conservation de la matière, de LAVOISIER),
lois économiques (lois de l’offre et de la demande) …Une loi est une
proposition du genre : si X et Y dans telles proportions et dans telles
conditions, alors nécessairement Z.
6. La Théorie :
C’est la réunion d’un ensemble de lois concernant un phénomène
donné en un corps explicatif global et synthétique. L’objet de la théorie est
l’explication de la réalité. Celle-ci étant une donnée complexe, la théorie la
simplifie le plus possible en la représentant sous forme d’un enchainement
logique de relations et de lois exprimées de façon formelles ou pas. Dans les
théories formelles les lois sont exprimées de manière mathématique ou
statistique. Dans les théories non formelles les lois sont exprimées de
manières verbales sans recours aux graphiques ou aux formules
mathématiques.
7. La Méthode :
Elle indique le cheminement suivi par un chercheur pour résoudre un
problème donné. La méthode est la démarche conduisant de la question de
départ aux conclusions. Elle est le moyen par lequel une discipline cherche
à atteindre les explications de la réalité.
Extrait de Madeleine Grawitz sur la méthode :
Ces méthodes ont ceci de commun : elles visent avant tout un schéma explicatif,
qui peut être plus ou moins étendu et se situer à un niveau de profondeur très
différent. C’est le cas par exemple pour la méthode dialectique, la méthode
fonctionnelle et la méthode historique.
4. La délimitation du sujet
Il s’agit de situer la recherche dans le temps et dans l’espace.
6. Les Hypothèses
Elles se définissent sommairement comme la réponse provisoire à la
question centrale posée. Elle met en rapport la variable expliquée et la et les
variables explicatives.
7. La Méthode de recherche
Il faut présenter ici les deux dimensions essentielles de la méthode, la
collecte des données et l’analyse ou l’interprétation de ces données.
9. Esquisse de bibliographie
Elle présente quelques ouvrages et articles essentiels ainsi que des
mémoires et thèse consultées par le chercheur.
CHAPITRE 1 :
L’OBJET DE RECHERCHE
Une fois que j'ai accepté de commencer dans le dénuement absolu et que j'ai
choisi de bouleverser l'édifice existant, la première chose à faire est, bien
entendu, de réfléchir à la manière dont je vais pouvoir trouver un point de
départ absolument sûr et la méthode qui me permettra de progresser, alors
même que me fait défaut le moindre appui hérité d'une science déjà donnée.
Un problème central (du moins traditionnel) de la théorie de la
connaissance est celui du départage entre la connaissance vraie et la
connaissance fausse. À ce problème, la méthode cartésienne nous propose
une réponse claire : la quête de connaissance vraie s'identifie complètement
à la quête de certitude. Le critère de départage entre la connaissance fausse
et la connaissance vraie sera celui de la certitude. Cette quête de certitude
prend une tournure subjective. L'argument de Descartes va comme suit :
même en doutant systématiquement de tout, il reste que je doute et que je
pense ; il apparaît clair et indubitable que puisque je pense, je suis. Il s'agit
du fameux cogito ergo sum de Descartes, qui se posait alors comme la
solution à la quête de certitude. Il aura donc comme point de départ la
certitude subjective de son « moi essentiellement pensant », et ceci posé
comme clair et distinct, indubitable, certain.
- Les préjugés
- Les prénotions ou notions communes
- Les représentations schématiques et sommaires formées par la
société.
- Le langage courant
- Certaines traditions gnoséologiques
- Le réel
Rupture Comment ?
- Par la critique logique des notions
- Par la mise à l’épreuve statistique des fausses évidences
- Par la critique logique et lexicologique du langage
commun
La familiarité du chercheur en sciences sociales avec l’univers social
rend impérative la vigilance épistémologique.
Les prénotions, ou notions communes, représentations schématiques
et sommaires formées par la pratique et pour elle ont une autorité et une
emprise si forte ( en raison des fonctions sociales qu’elles remplissent) que
toutes les techniques d’objectivation doivent être utilisées pour accomplir
effectivement une rupture : mesure statistique, définition préalable de
Diplomatie
Le choix du sujet s’est fait dans le cadre d’un cours que je donnais
dans le parcours diplomatie sur les théories de la décision en relations
internationales. L’étudiante s’est particulièrement intéressée aux
modèles de Graham T. Allison et de proche en proche est arrivée à la
question suivante :
BMFI
Contentieux international
Marketing international
1) Zakiatou Boubakari
Test de pertinence
Chercheur Objet de la recherche
L’intérêt personnel L’ampleur de l’objet : le sujet est il
bien circonscrit
Capacité de formation du chercheur Situation de l’objet dans le champ de
(ses connaissances). connaissances (l’intérêt scientifique)
SECTION 3 L’EXPLORATION
SECTION 4. LA PROBLEMATIQUE
Nous voulons comprendre qu’est-ce qui entraîne cette hausse des prix. On
a :
- Les concepts ;
- Les formules ;
- Les arguments.
B. Les intitulés
Le contenu du développement doit être en parfaite adéquation avec
son intitulé. Les titres et sous-titres doivent non seulement bien refléter les
contenus, mais aussi dégager une certaine harmonie générale en respectant
des équilibres de fond et de forme.
Les qualités d’un bon intitulé :
- L’intitulé doit être clair ;
- L’intitulé doit être représentatif du contenu de la subdivision ;
- La forme des intitulés des chapitres, sections au sein d’un chapitre,
etc. doit être relativement homogène ;
- Les titres extrêmement longs et confus sont inopportuns.
-
SECTION 4 : LE SOMMAIRE ET LA TABLE DES MATIERES
Dans ce chapitre nous voulons montrer à l’étudiant l’utilité des notes de bas
de page, et la nécessité à respecter les règles de présentation de la
bibliographie.
La BIBLIOGRAPHIE comprend :
*ARTICLES :
*DOCUMENTS OFFICIELS ;
*DOCUMENT SONORES ;
*REFERENCES INFORMATISEES ;
Sur INTERNET, il faut aller dans des sites Spécialisés, des Sites
Universitaires consacrés à la recherche.
2) Ensuite le(s) prénom(s) de l’Auteur : noms et prénoms sont séparés par une
virgule, idem pour la suite ;
6) Puis la Collection.
NB : Les ouvrages sont classés par ordre alphabétique des noms
des Auteurs
Article(s) :
Nom, prénom « entre » Titre de la revue, Vol, n°, année, pp5-2
Ouvrages collectifs de plus de 3 Auteurs :
Nom, prénom et al : qui signifie et les autres
ouvrages collectifs dirigés par un auteur :
Nom, prénom ed = editor ou direction ou SD, c'est-à-dire sous la direction
de :
cas de titre avec ou sous-titre :
Indiquer les deux en mettant le sous-titre entre parenthèses et toujours
souligner
cas d’ouvrages de plusieurs tomes :
MACCIO Charles, Savoir écrire un livre, un rapport, un mémoire, 5ème éd., Lyon, Chronique
Sociale, 2007, 179p.
MERLE Marcel, Sociologie des Relations Internationales, 3ème éd., Paris, Dalloz, 1982, 527p.
QUIVY R., CAMPENHOUDT R., Manuel de recherche en sciences sociales, 2ème éd., Paris,
Dunod, 1995.
AVERTISSEMENT :
PR LAURENT ZANG