Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
PAGNA 1
ECOLE POLYTECHNIQUE
FEDERALE DE LAUSANNE
THEME
DEDICACE
REMERCIEMENTS
De prime abord que gloire soit rendue à Dieu et à son fils Jésus Christ par la grâce de
qui j’ai trouvé le chemin de cette grande école et dont la miséricorde m’a accompagné
tout au long de la formation.
J’exprime aussi ma gratitude à tout mes collègues de promotion. Venant des horizons
aussi divers que nos différentes nationalités, nous avons tous su surmonter nos
appréhensions pour savoir nous supporter mutuellement.
Je n’oublierai pas ici tous les compatriotes au sein des 2IE pour l’ambiance familiale
qu’ils ont pu créer malgré l’éloignement des nôtres, laisser loin au Pays.
Enfin, je suis reconnaissant à toute ma famille qui par sa grande disponibilité malgré la
distance qui m’éloignait d’elle, a rendu toute ma formation agréable.
SOMMAIRE
DEDICACE ................................................................................................................................................... 2
REMERCIEMENTS ..................................................................................................................................... 3
SOMMAIRE ................................................................................................................................................. 4
INTRODUCTION GENERALE............................................................................................... 8
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA
GEOPHYSIQUE ..................................................................................................................... 18
IV.2 Calage de l’estimation des profondeurs des études géophysiques sur les valeurs réelles 42
IV.3 Influence de l’épaisseur des altérites sur la production des aquifères. .............................. 44
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................. 57
RESUME / ABSTRACT
RESUME
ABSTRACT
INTRODUCTION GENERALE
implantations. Enfin les implantations étant réalisées dans une zone climatique
humide, nous donnerons un bref aperçu succinct de l’hydrogéologie de la zone
que reflètent les quelques données sur les forages réalisés.
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA
I.1- Introduction
- Le Département Géotechnique.
- la géotechnique avec :
o les sondages sur plan d’eau,
o les études de sol,
o les essais in situ (pressiomètre, SPT, scissomètre, pénétrométre),
o les essais de sol en laboratoire agréé,
o les sondages.
A son actif, on peut citer les quelques réalisations suivantes de ces dernières
années :
- Au Cameroun
En Hydraulique et forage : - campagne de réalisation de 250 forages
équipés de pompes a motricité de marque BRIAU et animation dans la
province de l'Est Cameroun, - réalisation de 20 forages, fourniture et pose
de pompe électrique, système de filtration par ultra violet, raccordement
au château le long du pipe-line Tchad-Cameroun, - réhabilitation des
forages du champs captant de la SNEC à Garoua,…
- Au Gabon
En hydraulique : - réalisation de 9 forages et adduction d'eau à
MAYUMBA, DIDI et NTOUM, - projet Ogoue / Lolo : 10 forages
productifs équipés et organisés en CGPEM, - réalisation de 100 forages
dans 3 provinces,…
- Au Tchad
En Hydraulique : - réalisation de 90 forages de reconnaissances entre 100
et 300 m de profondeur dans le BET 2ème phase (zone de WOUR,
BARDAI, YEBIBOU), - projet BITKINE / MELFI 10 forages,…
- En Guinée Equatoriale
En Hydraulique : - campagne de 10 forages pour l'alimentation des bases
Mobil / Schlumberger, - réalisation de 5 forages équipés de pompes
Vergnet puis formation de 5 responsables pompe et 4 artisans réparateurs
à BATA,…
- En Côte d’ivoire
En Hydraulique : - réalisation de 10 forages pour alimentation en eau des
sous préfectures de SOUBRE, ZIKISSO, NIABLE et AGNIBILEKROU,
GEOPHYSIQUE
II. 1 Introduction
Les implantations dans ces deux contextes ont des objectifs assez
différents. Pour les zones de socle cristallin, il s’agit essentiellement de chercher
et de recouper les lieux de passage des fractures et puis après de déterminer les
différentes couches de terrain qui s’y superposent afin d’identifier celles
susceptibles d’être aquifère. En zone sédimentaire par contre, puisque les nappes
sont continues, les implantations ont pour but de donner la position des aquifères
par rapport au sol, leurs épaisseurs respectives et leur superposition.
les méthodes électriques qui sont les plus utilisées de part leur mise
en oeuvre simple sur le terrain et leur facilité d’exécution aisée.
Il faut noter qu’une méthode géophysique est fiable quand les variations
du paramètre étudié sont importantes ou quand il est marqué sur son
environnement. Le choix de la méthode dépend donc de la nature et de
l’intensité de la singularité étudiée.
0,9
Résistivité apparente (ohm.m)
0,8
0,7
0,6
0,5
0,4
0,3
0,2
0,1
0
0 50 100 150 200 250 300
Position de mesure / repére
Dans le cas des sondages verticaux, inversement à ce qui a été fait pour le
traîné, si restant en une même station O, on procède à une série de mesures en
augmentant chaque fois la longueur de la ligne AB, les chiffres obtenus
correspondent à des tranches de sol de plus en plus épaisses.
Le dépouillement et l’interprétation des mesures à partir des logiciels
informatiques ou bien manuellement à l’aide de l’abaque CH1 permettent de
connaître la succession des horizons de terrain sous-jacents et la profondeur du
socle sain. C'est-à-dire de calculer l’épaisseur des altérations qui a aussi une
incidence sur la productivité des aquifères en zone de socle [2][3].
Enfin, ce n’est qu’à la suite du dépouillement des sondages verticaux que
le lieu d’implantation est choisi au point qui offre non seulement une bonne
accessibilité pour le matériel de chantier mais entre autres, est aussi susceptible
de fournir suffisamment d’eau à un coût de foration moindre en terme de
profondeur et de qualité des terrains. Le point choisi en définitif doit aussi dans
le cadre de l’hydraulique rurale par exemple contribuer à diminuer la corvée de
l’eau en réduisant la distance entre les usagers et le futur point d’eau.
II. 4 Conclusion
Traîné : La direction retenue pour le traîné est la N200°. La courbe obtenue est
la suivante.
1
R. app (Ohm.m)
0,8 SE2
SE1
0,6
0,4
0,2
0
0 5 10 15 20 25 30 35
Numéro de mésure
1000
Résistivité apparente
(Ohm.m) 100
10
1 10 100
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 0.8m3/h
Transmissivité : 3.6. 10-6m2/s
0,8
R. app (Ohm.m)
0,4
0,2
0
0 10 20 30 40 50 60
Numéro de mesure
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 1.5m3/h
Transmissivité : 3.5.10-5m2/s
Caractéristiques hydrodynamiques:
Débit: 1.5m3/h
Transmissivité: 1.2.10-5m2/s
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques:
Débit: 1.8m3/h
Transmissivité: 1.9.10-5m2/s
10000
Résistivité apparente
(Ohm.m) 1000
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 9m3/h
Transmissivité : 1.5.10-3m2/s
Sondage : le sondage met en évidence un socle peu profond à 15m et une zone
aquifère entre 30m – 40m. La profondeur estimée du forage est de 50m.
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 0.7m3/h
Transmissivité : 4.1.10-6m2/s
Géologie : Socle précambrien avec affleurements visibles sur le site. Situé sur
un piedmont et présence d’une rivière à 500m.
Sondage : Celui-ci met en évidence un socle peu profond à 13m et une zone
aquifère entre 25m – 40m. La profondeur estimée du forage est de 65m.
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 1m3/h
Transmissivité : 8.5.10-6m2/s
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Horizon aquifère :
10m – 16m, 27m – 34m et 39m – 46m
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 0.7m3/h
Transmissivité : 2.7.10-6m2/s
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Horizon aquifère :
33m – 39m et 50m – 57m
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit: 0.9m3/h
Transmissivité: 4.6.10-5m2/s
10000
Résistivité apparente
1000
(Ohm.m)
100
10
1 10 100 1000
AB/2 (m)
Caractéristiques hydrodynamiques :
Débit : 9.0m3/h
Transmissivité : 1.9.10-2m2/s
SUR LA GEOPHYSIQUE
Bien que notre zone de travail soit située dans un milieu relativement humide
donc à pluviométrie plus régulière, l’observation des courbes de sondages
obtenues dans les différents sites permet de retrouver les mêmes formes que
dans l’étude ci-dessus citée. On y note particulièrement les formes fond de
bateau (site 4 et 6), cloche (site 2), fond de bateau puis en cloche (sites 1, 5, 7,
8). On constate aussi que pour les deux sites (5,10) où les débits d’exploitation
sont plus élevés (9m3/h), la forme de la courbe est en « fond de bateau » ; ce qui
confirme la validité en zone humide aussi des résultats de l’étude ci-dessus citée.
La différence peut être l’accentuation moins marquée des différentes formes qui
serait celle-ci due à l’état d’humectation relative des horizons de sol traversé par
le courant.
toujours à la foration des forages productifs. Mais pour ce qui est des sondages à
partir desquels on localise la position du toit de l’aquifère ou bien celle du socle,
il est noté une erreur absolue qui varie entre 0m et 16m pour l’estimation de la
profondeur du socle et entre 0m et 19m pour ce qui est du toit de la nappe
(fig.IV.1).
10
Erreur
-10
-20
0 2 4 6 8 10 12
N° du site
Il faut noter ici que cette analyse n’a pris en compte que le toit réel de la
première nappe qui est le plus souvent d’altérites. Par ailleurs pour ce qui est
des forages captant plus d’une nappe superposées, la position de la deuxième qui
est généralement de fissure ou de fracture coïncide avec celle des études
géophysiques. Il faut aussi noter que même si l’erreur sur la profondeur du toit
est énorme dans certains cas, il n’empêche que la marge où se situerait
l’aquifère, donnée dans les estimations des études englobe généralement la
position réelle de ce dernier.
Ceci dénote d’une part pour les aquifères d’altérites, du caractère subtil de
l’imagerie électrique par les courbes de sondage. D’où pour mieux caractériser
et différencier les différents aquifères, les sondages électriques pourraient être
avantageusement associés aux sondages par Résonance Magnétique Protonique
(RMP) ; cette dernière mettant en exergue la teneur en eau et la perméabilité des
40
20
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
N° du site
L’erreur sur l’estimation de la profondeur totale du forage est liée à celle sur la
position de la nappe destinée à être captée. Aussi, la bonne estimation par les
sondages de la position de cette dernière, induit une bonne prévision de la
profondeur du forage. Il ressort de la Fig.IV.1 bis que cette erreur est plus
marquée dans les zones de piedmont ou de collines (Sites N°1, 2, 7, 9 et 10).
Ceci traduit la difficulté d’interprétation des mesures dans les zones de
montagne.
10
Débit (m3/h)
8
6
4
2
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80
Profondeur/épaisseur (m)
Par ailleurs, on peut constater que les profondeurs des forages productifs dans
cette zone sont comprises entre 45m et 55m avec comme épaisseur moyen
d’altérites comprise entre 15m et 30m. Les forages les plus productifs (9m3/h)
ont une profondeur totale inférieure à 40m.
On peut aussi noter la raréfaction des venues d’eau au-delà de 60m de
profondeur. Ce constat fait aussi pour certaines études en milieu de socle, les
auteurs l’ont attribué à la fermeture des fractures tectoniques, du fait de
l’augmentation de la pression des terrains avec la profondeur [6].
o Accessoirement de la température.
Dans la littérature, cette profondeur est exprimée en fonction de la longueur de
ligne d’envoie AB; elle est comprise entre les limites AB/6 et AB/2 avec une
moyenne égale à AB/4[1][4].
Néanmoins pour certains appareillages comme l’ABEM 1000, la profondeur
d’investigation est donnée directement par l’appareil et peut être plus grande que
les prévisions ci-dessus dans le cas d’un bon contact entre les électrodes
d’envoie de courant et le terrain. Ce contact peut d’ailleurs être amélioré :
Soit en changeant l’électrode et en mettant une de plus gros diamètre,
Soit en l’enfonçant plus profondément,
Soit en diminuant la résistivité du terrain au voisinage de l’électrode, en
versant de l’eau salée par exemple.
D’autre part, pour ces appareils, le constructeur fournit une fiche qui donne les
longueurs d’envoie de courant et celles correspondantes de mesure de la
différence de potentielle pour le dispositif choisit avec aussi les différents
embrayages dans le cas d’un dispositif Schlumberger. Le constat qui en découle
est que ces dispositifs bien que ne respectant pas toujours la condition 4 ≤
AB/MN ≤ 20 qui est généralement conseillée pour l’optimisation de la
sensibilité de l’appareil de mesure, permettent néanmoins de faire des bonnes
mesures.
Les aquifères de cette zone d’étude sont de socles et constitués des roches
cristallines, d’origine plutonique (granites) et métamorphiques (gneiss,
micaschistes, …). Hydrogéologiquement, il s’agit de roches dures qui présentent
un comportement mécanique et des propriétés hydrauliques d’ensemble
relativement homogènes et qui se caractérisent principalement par une
perméabilité de fissures et de fractures. Les aquifères qui s’y trouvent peuvent
être considérés comme « discontinus » en raison de l’importante variabilité de
leurs propriétés hydrodynamiques.
20
40
60
Sur la Fig.V.1, on se rend compte que l’horizon fissuré a une épaisseur qui va du
double au quintuple de celle de l’horizon altéré. D’où tous les forages exécutés
captent dans les nappes de fissure ; l’épaisseur des altérites ne favorisant pas un
emmagasinement pour une productivité suffisante.
Dans cette zone d’étude, si ces ressources sont rarement concurrentielles aux
eaux de surface pour les agglomérations de taille moyenne à grande, il n’en est
pas de même en milieu rural. Leur mise en valeur est donc susceptible de
contribuer au développement des villages en faisant reculer les maladies
d’origine hydrique par la fourniture aux populations d’une eau de bonne qualité
sanitaire.
CONCLUSION GENERALE
Ce travail avait pour but principal de nous familiariser avec la pratique des
implantations des forages dans le cadre d’un projet d’hydraulique. Ayant
travaillé dans une zone de socle cristallin, il est aisé de reconnaître que les
ressources de ces régions sont modestes. Ce qui a conduit les ingénieurs
géophysiciens à chercher des solutions peu coûteuses, souvent indirectes, parfois
très imaginatives (e.g. les réactions sourcières) pour détecter ces eaux
précieuses. Ce qui est encore loin d’être une sinécure. Néanmoins, sachant les
rôles de réservoir capacitif et conducteur que joue respectivement les altérites et
les fissures dans ces zones, l’analyse morphologique, de la lithologie, du
processus d’altération, de la structure apportent un appui considérable à la
reconnaissance de ces réservoirs peu profonds mais subtils. Ils pourraient
éventuellement aider à la gestion de leur ressource en eau et à la préservation ou
la restauration de sa qualité.
Ainsi donc, les études géophysiques pour la prospection des eaux souterraines
sont indispensables en amont de toute mobilisation de celles-ci. Ces études bien
menées évitent les cas d’échec par une implantation appropriée des forages.
Dans le cadre de l’hydraulique rurale en particulier, la méthode des résistivités
est bien indiquée pour les implantations. Néanmoins, cette méthode a des
limites : si la structure du sous-sol est complexe ou si les contrastes de résistivité
entre les couches sont faibles (le substratum présente une morphologie ou une
altération irrégulière ou bien si la profondeur de l’horizon recherché est trop
grande…). Dans ces cas, la prospection électrique devient inopérante. Aussi sa
facilité de mise en œuvre ne doit pas cependant masquer les difficultés qui
subsistent au moment de l’interprétation des mesures. Par contre, dans un cas
simple, proche des conditions théoriques, on peut s’attendre à une interprétation
correcte. Mieux encore, la combinaison de cette méthode à une autre, à l’instar
de celle de la Résonance Magnétique Protonique (RMP) pourrait contribuer à
une caractérisation améliorée des aquifères.
Ayant pris pour étude une zone relativement humide toute l’année, il nous a plu
de faire quelques comparaisons avec des études antérieures menées en région
aride ou semi-aride. Malheureusement, le nombre d’échantillon (10) étant
statistiquement peu représentatif, il est difficile de faire une étude plus poussée
de l’hydrogéologie de cette zone. Au vu de ceci, nous comptons dans un bref
avenir y faire des études plus représentatives sur le calage des aquifères de la
zone, afin de contribuer à la bonne implantation à moindre coût des forages
ultérieurs.
ANNEXE
Distance à Résistivité
Numéro de l’origine apparente
Mesure (m) (Ohm.m) 36 175
1 0 37 180
2 5 38 185
3 10 39 190
4 15 40 195
5 20 41 200
6 25 42 205
7 30 43 210
8 35 44 215
9 40 45 220
10 45 46 225
11 50 47 230
12 55 48 235
13 60 49 240
14 65 50 245
15 70 51
16 75
17 80
18 85
19 90
20 95
21 100
22 105
23 110
24 115
25 120
26 125
27 130
28 135
29 140
30 145
31 150
32 155
33 160
34 165
35 170
POINTS
DE RESISTANCE RESISTIVITE
MESURE AB/2 (m) MN/2 (m) Facteur K (Ohm) (Ohm.m)
1 1,5 0,5 0,1592
2 2,1 0,5 0,0766
3 3 0,5 0,0364
4 4,4 0,5 0,0167
5 6,3 0,5 0,0081
6 9,1 0,5 0,0039
7 13,2 0,5 0,0018
7b 13,2 5 0,0213
8 19 0,5 0,0009
8b 19 5 0,0095
9 27,5 0,5 0,0004
9b 27,5 5 0,0044
10 40 0,5 0,0002
10b 40 5 0,002
11 58 5 0,001
12 83 5 0,0005
12b 83 25 0,0025
13 120 5 0,0002
13b 120 25 0,0012
14 175 25 0,0005
15 250 25 0,0003
BIBLIOGRAPHIE