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Réalisé par
Joe Abdallah
Samir Saad
Date
2 Février 2018
Table of Contents
Chapitre 0 – Introduction à la géologie ................................................................................................... 2
Chapter 1 – Les stockages souterrains d’hydrocarbures ......................................................................... 5
1) Géologie structurale et descriptive............................................................................................. 5
2) Introduction aux différents types de stockages souterrains ...................................................... 5
3) Historique.................................................................................................................................. 10
4) Principes de conception ............................................................................................................ 11
5) Les étapes nécessaires à la création d’une cavité minée ......................................................... 17
6) Campagne de reconnaissance .................................................................................................. 18
Chapter 3 – Stockage géologique des déchets radioactifs .................................................................... 31
1) L’origine des déchets ................................................................................................................ 31
2) Classification des déchets ......................................................................................................... 33
3) Concept de stockage ................................................................................................................. 34
4) Etat initial de la roche ............................................................................................................... 36
5) Rappel sur le comportement mécanique des roches ............................................................... 37
Chapter 4 – Géologie et géomécanique des réservoirs ......................................................................... 44
1) Généralités ................................................................................................................................ 44
2) Origine de la formation ............................................................................................................. 46
Chapter 5 – Usage d’explosifs .............................................................................................................. 63
1) Utilisation .................................................................................................................................. 63
2) Mode de décomposition ........................................................................................................... 65
3) Le système d’amorçage ............................................................................................................ 67
4) La technologie au service du minage ........................................................................................ 71
Chapter 6 – Géothermie et propriétés thermo-mécanique des géomatériaux ....................................... 74
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Chapitre 0 – Introduction à la géologie
• Tunnel sous la manche
Une couche de roche mince mais continue et idéale pour le creusement d’un tunnel.
• Vocabulaire en géologie
Terme Définition
Géologie Sous-sol subtratum, socle
Morpholgie Relief, Topographie
Structure Plis, faille, pendage
Texture Grenue, Foliée, cimentée
Temps Eres, périodes, étages
Phases orogéniques
Cycles
Glaciations
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• Roche métamorphique
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Chapter 1 – Les stockages souterrains
d’hydrocarbures
1) Géologie structurale et descriptive
• Géologie structurale = Géologie descriptive, elle décrit les massifs rocheux, essentiellement
en termes de géométrie.
• À savoir, on prend un massif sédimentaire calcaire, il est parcouru par des plans
horizontaux de stratification, il est parcouru par des accidents, des fractures, des failles. La
géologie structurale sert à décrire les états d’un massif rocheux en termes
essentiellement de fracturation.
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• Fabriquer un stockage créer du vide
Dès que le client veut Stockage Pour stocker du Diesel, pétrole brut, GPL… On va voir si
c’est possible de pouvoir faire des cavités dans du sel (si on dispose du sel) car en termes
de cout c’est le moins cher.
Sel Réparti d’une manière très hétérogène, on a des régions avec beaucoup de sels (Europe
de l’Ouest, Sud Est des US), des régions ou il n’y a pas de sel du tout (Corée, Japon).
$(cavités salines) < $$(Champs déplétés & Acquifères) < $$$(cavités minées)
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= Géologie profonde, Oil & Gas, c’est de la géologie pétrolière.
Des forages d’au minimum 600 – 800m, des fois 1km, 1.5km, 2km
C’est une technique de forage, technique de reconaissance qui est une vraie technique pétrolière.
Ici on est dans une tranche de 0-200m de profondeur, autrement dit, on est très peu profond.
On va excaver des cavités de toute pièce, c.à.d qu’on on va fabriquer de grosse cavernes à l’explosif
(c’est pour cela qu’on les appele cavité minées) et la géologie qui sera utilisée pour faire sera est
fondamentalement différente de la géologie du pétrole, ici c’est une géologie de type génie civil, ça
s’apparente plus des tunnels proches des tunnel en ferrovières, des tunnels autoroutiers, gros tunnels
sauf qu’on les fait un tout petit peu plus gros, autrement dit c’est une géologie très peu profonde.
En terme de reconaissance, on fait des reconnaissances qui sont beaucoup plus précises, beaucoup
plus poussées, beaucoup plus visuels, on remonte de matériaux parce qu’on est pas très profond et
qu’on peut se le permettre.
Un pétrolier qui travaille sur un forage pétrolier ne remonte pratiquement pas d’échantillons, pas de
carottes de forage et remonte ce qu’on appelle des cutines. Les forages pétroliers sont faits avec un
trépan, c’est un tri cone, on broie la roche et on ne remonte dans la boue que des cutines. Tout est
fait derrière à la loupe binoculaire pour analyser le type de roche qu’on a et refère une coupe
géologique.
Pour les Stockage en cavités minées On va travailler complètement différement, on va faire des
forages carotés, on va voir ce qu’on remonte.
Ces stockages qui sont dans du sel, ou dans de la porosité de la roche, dans l’aquifère, c’est des
stockages qu’on travaille un petit peu en aveugle, on voit tout ce qui remonte quand on fait des
reconaissances, mais on n’y descend jamais. On peut mettre des outils, de la vidéo, des outils
acoustiques… mais on n’y va jamais. Dans les cavités minées, quand on creuse on voit exactement ce
qu’on avait anticipé lors de l’étude, et on voit surtout ce qu’on n’avait pas anticipé, si on n’avait pas
fait une étude qui correpondait pas à la rélaité.
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$$$ Ordre de grandeur = Centaines d’euros au 𝑚3
L’intérêt de ce type de stockage est essentiellement dans sa flexibilité (cher mais on peut
l’implanter partout). On peut creuser des cavités minées pour pratiquement tous les types de
roches (granite, gniess, roche volcanique, roches sédimentaires, calcaires, grès, marnes, etc…).
Donc ça permet de dire à un client qui veut stocker du pétrole brut, du GPL, du diésel, ou de
l’essence sans plomb, ça permet de lui dire de manière positive OUI on va pouvoir faire quelque
chose et à proximité du lieu où il le demande.
Il y a toujours de l’eau dans les sous-sols mais on pourra toujuors séparer de manière très aisée le
produit pétrolier et l’eau car non miscible.
La densité varie entre 0.5 et 0.8 en fonction du type d’hydrocarbures, s’ils sont plus ou moins
raffinés, mais ils sont tous moins dense que l’eau. Ce qui leur permet de flotter.
On n’arrive pas à rendre le méthane liquide en augmentant sa pression, il est toujours gazaux. Pour
ce fait, on abaisse sa température, là on le rend liquide.
Dans du pétrole brut, il y a du propone et du butane mais très très peu, de manière générale.
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On a commencé tout au début à fabriquer des cavités minées pour y stocker du propane et du
butane uniquement dans des Shales parce qu’on a cherché à créer des trous dans du rocher
étanche : c’est ce qu’on appelle étanchéité intrinsèque.
Actuellement on travaille sur des rochers qui sont beaucoup plus fracturés comme le granite.
Technologie de l’époque extrement rudimentaire avec une technique d’excavation qui dérivait de la
mine (chambre et pilier).
Cavité minée On cherche à faire un trou pour y stocker quelque chose, donc on cherche à ce que
la stabilité soit pérenne, qu’elle soit stable 10, 20, 50 ans après Taille des piliers est importante
(contrairement à dans les mines) pour bien soutenir l’ensemble de la structure. (Room & Pillar
mining).
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3) Historique
BUT : Faire des vides plus gros, des travées plus larges, et à réduire la taille des pilliers.
En 70, les ingénieurs de l’époque ont réalisé qu’on était au bout de cette technique en chambre et
pilliers et qu’on n’arriverait pas à faire plus.
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Taux défruitement = (ratio volume vide/volume pilier)
Actuellement, on n’a plus aucune excavation faite en technique chambre et pillier, tout est fait avec
des techniques uniquement de tunnel.
4) Principes de conception
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Globalement, les meilleures machines au monde atteindent les 11-12m. Donc on est coincé et on ne
peut pas faire des tranches supérieures à la dizaine de mètres. C’est un frein technologique.
On excave donc d’abord la partie supérieure, puis ensuite on fait une petite rampe et on excave la
suite, la partie inférieure.
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GPL vs pétrole brut
On nous demande toujours de stocker du pétrole brut dans des volumes énormes. On calcule plus
en centaines de 𝑚3 mais en millions de 𝑚3 .
GPL C’est du gaz qui est sous sa forme liquifiée et a un rapport énérgétique bien supérieur à celui
du péetole.
Perreine : 50 ans
Les concurrents du stockage en cavité miné sont ceux en surface : l’étanchéité est un voile d’acier
tout autour.
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P < Pression nappe hydrostastique
La phase la plus critique est celle du creusement du fait de l’effet drainant de la caverne.
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Pour contrer cette situation, on ajoute un rideau d’eau qui va jouer 2 rôles :
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5) Les étapes nécessaires à la création d’une cavité minée
Basalte Gabbros : roche volcanique, beaucoup plus dure, plus raide facile à excaver
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6) Campagne de reconnaissance
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? = Géophysique : Imagerie sous sol à partir de dispositif de surace (ondes réfractés et réflécis,
anomalie faille).
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Le carottage en tige prend du temps ( démonté tige chaque 3 m).
Forage incliné : Un angle de 20-30° par rapport à la verticale qui permet de recouper toutes les
fractures.
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Ainsi pour caractériser les forages inclinés on utilise :
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Optique : Ne fonctionne pas boue
Acoustique : Nécessite un fluide (eau) incliné oui mais pas horizontale car plus d’eau
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Q est un indice pour la détermination de la qualité d'un massif rocheux en vue
du percement d'un tunnel (0.001 extrémement mauvaise, 400-1000 extremement
bonne).
Taille bloc
Résistance
cisaillement
Contrainte active
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Sens et
forme
différent
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Contrainte Conductivité hydraulique
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Chapter 3 – Stockage géologique des
déchets radioactifs
1) L’origine des déchets
Toutes ces activités produisent des déchets de differents niveau d’activité et de différentes durées
de vie. Des solutions différentes sont alors proposées.
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Dans chaque étapes produits des déchets. MOX recyclé à partir d’une partie des combustibles usés.
Une autre partie, ne peuvent pas être recyclé. Ils sont introduits dans une matrice de verre pour les
stabilisé.
Le niveau d’activité et durée de vie sont 2 critères pour catégoriser les déchets :
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2) Classification des déchets
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3) Concept de stockage
Des micro-tunnels seront creusés dans lesquels on viendra placer les colis de déchets.
Déchets HA microtunnels : 80 cm de diamètre et longueur entre 80 et 150 mètre. Une partie utile
colis de stockage
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Déchets deposés soit en colis de stockage en BA soit telle quelle.
Projet basé sur la notion de réversibilité. Cependant plus le projet avance plus le cout de retrait
augmente.
Pourquoi ce site ?
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Roche argileuse et granite étudiée et choisis.
Faut pas que le stockage soit en concurrence avec d’autre exploitation du sous-sol
𝜎ℎ ~𝜎𝑣
𝜎𝐻 ~1.3𝜎𝑣
𝜎ℎ est déterminé par la méthode de fracturation hydraulique
Milieu saturé en eau, forage piezométrique permet d’avoir la pression. Une surpression naturelle
existe dans la roche.
- Régime géothermale
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Argilite comme un matériau multi-échelle
Microstructure argilite :
Matrice homogène isotrope avec Inclusion dominance horizontale. Cette mésostrcuture crée une
anisotropie.
Les valeurs les plus faibles de la porosité coincident avec les inclusions. La porosité de l’argilite
est concentrée dans la matrice argileuse. Les inclusions (quartz calcite) rigide car plus raide que
l’argile.
Niveau de porosité forte : 20%, Par contre perméabilité extremement faible. Ceci est dû aux faites
que la taille des pores est très très faible (nanométrique 5-30 nm). Les pores ne sont donc pas
connectés. Ça ne constitue pas un chemin pour l’écoulement de l’eau.
Essai triaxial : pression de confinement, charge axiale : on aura un état de contrainte déviatorique.
Déformation volumique devient positive → quantité de matière ne change pas, le volume des pores
change. L’évolution de la porosité est donc liée à la déformation volumique. Si ma rupture se passe
dans un régime dilatant, je peux augmenter la perméabilité de la roche… Pas bon car recherche
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roche tres peu perméable car argilite est utilisé comme la barrière naturelle contre des migrations
radionucléides.
Plus le confinement augmente plus on passe d’un comportement dit fragile à ductile. En effet
lorsqu’il y’a rupture par cisaillement, le confinement, et l’angle de frottement crée un frottement
entre les 2 blocs. La résistance en compression d’une roche dépend de son niveau de confinement
(on parle de compression simple).
Critère de Mohr : En fonction du niveau de la contrainte de confinement, quel qerait la plus grande
contrainte axiale que je pourrais aplliquer. 4 paramètres sont à identifier :
La faiblesse du critère de Mohr est qu’il a une vision 2D. Il oublie la contrainte intermédiaire.
Pour avoir un critère qui présente une surface plus régulière : Critère de Drucker-Prager
Critère basé sur le niveau de cissaillement et tiens compte de 𝜎2 . Ne donne pas le meme resultats
que le critre de Mohr. Surface dont dérivé continu donc plus commode d’utiliser de drucker.
Critère de Hoek et Brown : courbe hyperbolique s’accomode beaucoup mieux à la réalité. Plusieurs
corrélations ont été développé permettant de changer des paramètres pour prendre en compte
l’effet de fracuturation des massifs.
Au fur et à mesure que je creuse, j’avance : sur la paroi 𝜎𝑟𝑟 = 0 surface libre. Si l’on développe la
solution élastique, on peut le qualifier comme un chemin de chargement à contrainte moyenne
constant. En effet tout ce qu’on perd en 𝜎𝑟𝑟 on le gagne en 𝜎𝑜𝑜 .
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𝜎𝑧𝑧 ne change pas en élasticité (en réalité change peu).
On augmente le cisaillement plus je creuse. A un moment aboutit à la surface de rupture. Dès que
Expérimentation in situ
Essai mine by test : galerie creusé GCS (gaelrie à conception souple) un revetement souple (boulons
pour fixer les blocs de roche puis couche de béton projeté avec treillis métallique).
Le tunnel continue à se déformer, à vivre donc peut étudier la réponse de la roche. Creuser plusieur
forage à instrumenter : image réelle de ce qui va se passer au fur et à mesure que le creusement
avance.
Il faudrait suivre la convergence des galeries pour étudier la réponse du terrain : Dia mètre à
tendance à diminuer plus on avance.
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• Galerie parallèle à 𝜎𝐻
• Galerie parallèle à 𝜎ℎ ou perpendiculaire à 𝜎𝐻
Etat de chargement
isotrope
Etat de chargement
anisotrope
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Le fluage va excercer un chargement radial sur mon revetement.
La pression interstitielle :
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Caractéristation des zones fracturées
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Creuser forage dans la roche : sur chaque échantillon, ils trouvent la trace de ses fractures, étdudient
la surface de la fracture :
Pas avoir une grande perméabilité (important de connaitre l’extension de ses réseau de fracture)
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Chapter 4 – Géologie et
géomécanique des réservoirs
1) Généralités
1 barrel = 159 L
1 Btu = 1055 Joule
Un bon pourcentage est super polluant. Un peu de solaire, un peu d’hydroélectrique.
Aujourd’hui, encore une bonne partie de l’énergie consommée vient des hydrocarbures.
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- Au Moyen-Orient, on utilise presque pas le charbon, car il y a du pétrole et du Gas.
- En Asie pacifique, on utilise beaucoup le charbon et moins les autres choses.
Le plus grand exportateur de pétrole au monde est l’Arabie Saoudite, qui vent entre 8 et 9
millions de barils par jour.
La Russie est un grand exportateur de gaz naturel.
• Premier puit de pétrole Foré en Chine, il y a 1000 ans (1er siècle), profondeur : 1000m.
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• Les chinois ne cherchaient pas le pétrole, il voulait du sel, qui permet de garder les aliments. En
effet, le pétrole est toujours mélangé avec l’eau qui est salée. Donc il voulaient extraire cette eau
là pour sortir le sel.
2) Origine de la formation
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• Si en montant, les sédiments rencontrent un obstacle
Bloqués par couche argileuse ou couche de sel ou d’évaporite
Ils s’arrêtent et ils forment un réservoir et c’est là qu’on va aller les trouver.
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• Le pétrole est le fluide interstitiel de la roche réservoir.
Il y a toujours dans cette roche un mélange de pétrole, d’eau et de gaz.
• La taille des pores pour ces roches c’est quelques dizaines de microns.
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Le pétrole c’est le
fluide interstitiel, c’est
dans les pores de ces
roches réservoirs !
Dans les réservoirs, le gaz se trouve plus haut que le pétrole car il est plus léger et
monte plus haut et il s’arrête.
Roche mère ou
roche source !
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Roche couverture Imperméable
Roche réservoir Perméable
Roche-source Imperméable
Le pétrole/gaz de schiste c’est le pétrole qui est formé mais il est resté dans sa
roche source, il n’est pas monté le pauvre !
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• Comment extraire le pétrole ?
Tout d’abord, le pétrole est sous pression car confiné et entouré par la roche source et le
cap rock.
• Pour l’exploitation industrielle, ce n’est pas très stable car quand on crée un trou, on change
les contraintes.
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• Le gaz ou le pétrole en montant, vont peut-etre se mélanger avec la nappe phréatique, on
a aucun contrôle sur tout le système.
• Le ciment a 3 rôles :
- Zonal isolation : il sépare les fluides
- Il aide à la stabilité du trou : le trou ne s’effondre donc pas
- Il protège le casing (métallique) contre la corrosion car on a des gaz qui sont très acides.
Le ciment a 3 rôles :
QCM
1) Zonal isolation : il sépare les fluides.
2) Il aide à la stabilité du trou : le trou ne s’effondre donc pas.
3) Il protège le casing (métallique) contre la corrosion car on a des gaz qui sont très acides.
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Épaisseur de la couche de ciment = 2cm.
• Donc :
1) Trou à 10Km.
2) On met le casing en plein milieu du trou.
3) On cimente le trou (2cm).
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• La pression exercée par la boue, par le slurry qui est son poids hydrostatique doit etre plus
grand que la pression de gaz dans chaque point.
• D’autre part, il doit être suffisamment lourd pour protéger la paroi contre l’effondrement.
Mud window
• Ciment léger 70% de porosité (70% de pores de 2nm), mais il est IMPERMÉABLE.
• Ciment normal 40%
• Roche 15% de porosité
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• Vitesse de propagation des ondes Liée aux propriétés élastiques des matériaux (E
young…).
• On obtient des modules dynamiques (mesurés dans le puits) Relation aux modules
statiques des matériaux.
B.E. de vendredi :
Ça coute très très cher d’avoir des éprouvettes tirés du puits. On peut calculer le poids de
mud, de boue qu’on a besoin pour pouvoir stabiliser le puit. Pour cela, on a besoin du
module de Young de la roche, du coefficient de poisson de la roche. Mais avoir le module
de Young d’une roche à 3km, ce n’est pas simple. Avoir une éprouvette de bonne qualité
de cela, c’est très très cher. Et on a pas des éprouvettes partout. Donc dans les puits on fait
descendre des sondes, on envoit des ondes, donc on mesure la vitesse de traversée des ondes
dans les formations Les vitesses des ondes c’est relié au modules des matériaux, aux
propriétés élastiques des matériaux. C’est des propriétés élastiques dynamiques, ça
correpond à des très petites déformations, par contre l’éprouvette qu’on met sous la
pression dans le laboratoire et qu’on casse, c’est un module quasi-statique qu’on mesure
parcequ’on mesure des déformations qui sont plus plus grands. ET ces 2 là c’est pas la
meme chose, quand la déformation est beaucoup plus petite, les modules sont
génerallement plus grand, donc on essaye d’établir des relations entre les modules
dynamiques qu’on mesure dans les puits indirecetment et les modules statiques des
matériaux. Dans chque puit, on obtient quelques éprouvettes, on les tests au labo, et on
essaye d’avoir des relations pour extrapoler nos mesures de puits. Mesures de log + vitesse
des ondes dans le puits + quelques essais On va réunir tout ça.
• On the well log, the gamma ray tool measures any radiations emitted by the rocks.
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• Top of the log the line is relatively flat, the reading
is constantly high Dirty rock, likely shale.
• Resistivity
• Shale Less resistance to electricty
• Sandstone (Oil and gas) Greater resistance to electricity (they are more
conductive).
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• The reading from the neutron porosity tool which can count how
many hydrogen atoms are in the surrounding rock can be seen in this
section of the log.
• In this section, the density porosity, and the neutron porosity cross over, this
is significant.
• Whereas the neutron curve indicates either tight rock or gas, the density
porosity curve tells us that the rock is more porous and therefore cannot be
tight rock This area indicates high probability of natural gas.
• Soci tool: it shoots sound wave into the formation and the type it takes to return.
• Dense rock Faster time
• Porous rock will be slower
Forage avec bour Puis injecter le ciment Ciment chasse la boue Puit cimenté.
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• Enhanced Oil recovery = Exploitation de pétrole assistée.
• Donc on fort des puits à coté, on injecte de l’eau dans les puits à coté, ce qui va
augmenter la pression dans le réservoir et pousser le pétrole.
• Eau polluée, salle La même eau qui est produite, on la réinjecte dans le puit. On
l’utilise pour pousser le pétrole.
• Même si on filtre cette eau, elle contient toujours des particules micrométriques.
• Ça diminue la perméabilité des roches, car décantation, donc il faudra injecter cette eau
avec une plus forte pression la pression Inconvénient de l’injection de cette eau usée
= perméabilité du milieu diminue.
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Fracturation hydraulique
Si on enlève la pression d’eau, la fracture va se refermer.
Pour empêcher cela, on mélange l’eau de fracturation avec des propantes = grains
de sable.
Ces grains de sables vont s’introduire dans les fractures crées.
Quand on enlève la pression, ces grains vont empêcher la fermeture de fractures.
Fractures reste ouverte et pétrole va couler.
Consommation de quantité ÉNORME d’eau.
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Oil Sand
• Petit à petit ça va fondre le pétrole, le bitume, qui descend par sa gravité dans le puit
inférieur. Et là on le sort. Gravity drainage.
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Faille chevauchante
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• Si notre boueue est légère, on va favoriser la rupture en cisaillement, parcequ’on ne
supporte pas les pariois.
Les breakouts se créent dans les directions de contrainte minimales, et les fracturations
QCM hydrauliques se créent dans la direction de contrainte maximale évidemment parce que ça
va fracture dans la direction perpendiculaire à la direction de contrainte minimale.
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Chapter 5 – Usage d’explosifs
1) Utilisation
• Qu’est ce qu’un explosif civil ? On va privilégier la stabilité à la puissance. Moins de risque possible
Domaine d’application:
- Mines le plus gros consommateur
- Puis carrière
- TP (10-20%)
Tirs en souterrain
Démolition à l’explosif
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Tirs carrière, TP :
Diamètre trou (mm) Espacement (m)
Ratio 40 entre le diamètre du trou et l’espacement 100 4
Le diamètre du trou est compris entre 89 et 165 mm. 165 6
Entre 20 et 50 trous
Qu’est ce qu’un explosif ? C’est une énergie de choc suivi de bulles de gaz.
1 Kg d’explosif 1 Kg de gaz
1 Litre 1000 litre = 1 m3
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2) Mode de décomposition
La poudre noire est utilisée dans le cas des tirs ornementaux. En effet, plus le mode de
décomposition est lent, moins l’explosif est brisant.
L’explosif le plus courant Nitrate de fuel Pas cher, mais n’aime pas l’eau (94%nitrate et
6% fuel)
Emulsion Composé de nitrate et de composé organique
pour résister à l’eau (melange 2 produits qui
ne veulent pas cohabiter)
Dynamite De la nitroglycérine stabilisé (très instable). Il
est en fin de vie. De plus pas facile à fabriquer.
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Roche saine : Granite homogène
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Booster recyclé
3) Le système d’amorçage
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Détonateur électrique Tube en aluminium, courant interne, fil mince
chauffe brule pendant 25 ms. Explosif primaire
(azoture de plomb) détonne grâce à la
température, puis explosif second pentrite
explose le tube. Exploseur 450V
Limité en nombre de detonateur
Rassure mieux que celui non électrique
Détonateur non électrique Tube extrudé avec peinture explosif
Effet domino, mais pas moyen de contrôle (sauf
raccordement)
Détonateur électronique À tout moment sécurité, et dis lequel à un
problème. Le circuit électronique prend la place
de la perle d’allumage ; 1500 détonateur sur un
volet (0-14000 ms) flexible
Dans le TP :
Lorsqu’on tir à côté d’une maison, l’électronique atténue les vibrations. Il coûte cependant 4x plus
cher soit 20€. L’électrique étant le moins cher. Lui et le non électrique coutent entre 1.5-5 €.
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La propagation de la vibration depend de la roche dans laquelle on tire.
La vibration dépend de la distance et de la charge unitaire maximum que l’on met en œuvre.
Contrôle foration : forreur se plante, ou présence de faille… De plus une foreuse dévie (flambage)
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4) La technologie au service du minage
S’il y’a épaisseur je mettrais plus d’explosif. Mieux fragmenter en fonction des épaisseurs.
+ le trou est petit, + le volume est perdu, bourrage 20X diamètre de foration (boucher trou pour
confiner l’explosif). Donc plus trou petit, plus resséré.
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Sonde pulsar, inclinométrique : mesure nouvelle postion du trou (inclinaison, azimuth).
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Tirs carrière Tirs consomment 300 g/m3
TP – de surface libre, +consomme pour pousser 800 g/m3
Tirs souterrains +confine +charge 1-1.5 kg/m3
Sac 25 kg
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Chapter 6 – Géothermie et propriétés
thermo-mécanique des géomatériaux
Pour exploiter l’eau chaude, on fait 2 forages : le premier pour puiser le fluide à une température de
70°C environ, l’autre pour le réinjecter dans le sous-sol après en avoir extrait la chaleur C’est le
principe du doublet géothermique auquel on associe un échangeur de chaleur.
Source d’énergie contrairement aux énérgies fossiles, n’a aucun impact sur l’effet de serre.
Chauffage Plus grande application de l’énergie géothermique, énergie infinie, pas de combustion,
pas d’émission de CO2 ou autre gaz dans l’atmosphère, c’est juste un échange de chaleur sans
production chimique d’aucune sorte.
Chaleur est là, disponible en permanence, 24h/24h, 365j/an on n’a pas besoin de la fabriquer.
Même s’il s’agit de la première énergie renouvelable en France, La géothermie ne représente que
0.44% des énergies produites en France. Une situation qui devrait changer rapidement car la
région ile de France et l’agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie ont décidé de
travailler étroitement avec les collectivités et les entreprises de la région pour développer la
géothermique dans l’intérêt des générations futurs.
Géothermie profonde
On creuse jusqu’à plusieurs km, 5km ou plus, on extrait la.
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C’est ce qu’on voit en région parisienne. On descend jusqu’à autour de 2000m ici, donc pareil la
température est de l’ordre de 80°C ici, et ici on peut profiter de la nappe acquifère qui existe ici
pour pomper de l’eau d’un côté, extraire la chaleur de l’autre.
En été, on injecte de l’eau chaude dans le sol, et ensuite on pompe de l’eau froide (13°C).
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En hiver, on pompe l’eau froide dans le sol et on recupère l’eau chaude.
Avec la pompe à chaleur, même si on récupère l’eau à 13°C en hiver, avec la pompe à chaleur on
peut ensuite injecter la chaleur dedans (l’augmenter quoi).
Ce système est conçue pour rester jusqu’à 30-50 années, mais si on a un problème de cassification
donc dans les tuyaux, ça peut boucher tout de suite au bout de quelques années le circuit, et après
on peut plus travailler, on ne plus retirer le système pour le réparer.
Sondes géothermiques Au lieu de récupérer l’eau, échanger l’eau avec le sol, on récupère
seuelemtnt la chaleur à l’aide de sondes géothermiques.
VGJM = resource géologique et minière gérent jusqu’à 100m de prondeur, alors que supérieur c’est
plutôt geologues qui gèrent cela.
Réalisation des forages jusqu’à plusieurs km en profondeurs peut déclancher des micro-séismes.
Forage dans une faille contrainte de cisaillement existe, empeché par la résistance au
cisaillement. Si trou, contrainte normale réduire ça réduit la résistance au cisaillement ça va
déclancher un glissement.
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En Suisse, il y a des forages géthermiques qui ont déclanchés des phénomènes de séismes qui se
sont ressentis à la surface du sol, ils ont arreté.
C’est comme le phénomène de fracturation hydraulique, on augmente les fractures dans la roche,
pour augmenter l’échange de l’eau, comme ça on récupère plus facilement l’eau profonde dans le
milieu, et plus facile de la réinjecter aussi.
Donc la géthormie cause des problèmes pour l’environnement. C’est une énérgie propre mais cause
des problèmes pour l’environnement, mais permise en France contraiment à la fracturation.
Pour la conception d’un champs de sonde de géothemique vertciales, on veut savoir les propiétés
thermiques du terrain. La sonde qu’on va injecter aura une température plus faible que le sol.
Pour déterminer les propriétes, on fait forage, on fait circluation dans la sonde, eau froide et
chaude, on mesure ce qui se passe dans la sonde, pour la température et c’est avec ça qu’on va
calculer les propiétés thecniques du sol Test de réponse thermique qu’on réalise avant la
conception des sondes géothermiques.
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Bentonite Est mis autour de la sonde, assure bien l’échange
de chaleur avec la sonde.
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Cette formule dépend à la fois des propriétés thermiques du terrain et de la sonde, la résistance
thermique de la sonde.
La sonde absorbe cette énergie avant de pouvoir diffuser cette énergie sur le terrain.
Batiment coriolis :
28 sondes géothermique verticale qui descendent jusqu’à 78mètres de profondeur. On met ces
sondes pour rafrachir le batiment.
Les sondes géothermiques sont installés entre le batiment et le tarrin de foot (la fossé), on va mettre
un connecteur de tuyau. On va les conduecteur du tuyaux à l’exteiruer, les blocs de béton à
l’exterieur à coté du jardin.
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c = capacité thermique moyenne du sol à stocker la chaleur.
La conductivité
thermqieur est plus difficle à estimer que la capacité thermqiue
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Conductivité thermqieu à cause des constituants minéraux
La transfert est tranférée par le contact entre grains solides. ET s’il y a de l’eau aussi, le
modèle est compliqué, donc il y a plusieurs modèles qui existent.
Ces formes
pour sols saturés, elles sont simplifiées.
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Sols sableux, sol argileux, en connaissant les propriétés du sol, on peut esttimer la
conductivité thermique, c’est l’utilisé du modèle.
Dans le sable, c’est plus intéerassant d’instaler les sondes, car grandes conductivité
thermique, contrairement aux argiles
Quartz a une conductivité thermique assez grande comparée aux autres minéraux.
On intègre les sondes dans ces structures de bâtiments, technologie récentes en France.
On va intégrer le système échangeur de chaleur sur paroi et radier et alimenter les batiment
autour de la station.
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Pieux jusqu’à 30m de profondeur pour supporter Coriolis. Plus de 100 pieux, question est-ce
qu’on intègre les sondes ? Décision = NON on veut pas combiner ces 2 systèmes, sous le
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batiment on a les pieux, et ensuite à l’exterieur du batiment on ajoute les sondes
géothermques pour récuperer la chaleur.
Pqoi ? car technologie trop récente pour les entreprises et surtout les assureurs.
On intègre l’eau chaude dans les pieux dans le système intégré, variation de 0 à 30°C,
variation et dilataion thermique du du pieux, modification de contrainte, augmententation du
tassement, diminution de la résistance.
Chargement cyclique Critique pour les assureurs, non maitrisés techniquement.
Le sol quand il est chauffé on risque de mofifier les prop mécniaue deu sol cohésion et angle
de frottement du sol, donc il y a un effet mais si c’est faible, donc pour tout ces raisons là, on
a séparé les système.
Cycliques Elastoplastiques Non linéaire, non elastique donc on maitrise pas très bien le
comportement.
On maitrise pas très bien l’effet du cycle sur le comportement du sol.
Retrait et gonfleement dans les sols argileux juste à cause de l’effet de l’eau. Quand on
chauffe un sol argiluex sous une contrainte, on engendre pas une dilatation thermique mais ca
peut etre une contraction thermique Effet inverse, aussi chose qu’on ne maitrise pas Il y
a des recherche en cours.
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