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DOCUMENT DE SYNTHESE
COMMUNE DE ROUGON
Réf. : YB-04/2062/09 Décembre 2012
Commune de Rougon
St Claude
EURL TETHYS Hydro au capital de 21875 € 05380 CHÂTEAUROUX Les ALPES
TVA intracommunautaire FR 81 488 300 351
Tel. : 04.92.43.40.12
Siret 00019 – NAF 7112 B
Fax : 04.92.43.62.37
Châteauroux, le 12/12/2012
Page : 1/12
Réf : YB-04/2062/09
SITUATION :
Lieu-dit "Les Légunes", commune de ROUGON.
OBJET :
Mission d'Assistance Technique au Maître d'Ouvrage concernant les
travaux de forage de recherche d'eau sur le secteur des "Légunes" ;
notre devis réf. YB/04/2062/01 du 18/01/2012, votre commande du
07/02/2012.
DEMANDEUR :
Monsieur Michel FACCHIN, Maire, pour le compte de la commune
de ROUGON.
Documents fournis :
1. INTRODUCTION :
Le but de la mission était ici de trouver une solution d'alimentation du réseau AEP de la
commune de ROUGON qui subit de façon récurrente un fort déficit de production de son
unique captage d'eau potable en périodes d'étiage estivales.
Les résultats des études réalisées par le bureau d'études SAFEGE entre 2010 et 2011 ont
conduit la commune a faire le choix de la création d'un nouvel ouvrage de captage d’eaux
souterraines sur la zone des "Légunes", avec comme objectif un débit de prélèvement
de 5 m3/h.
Il s’agissait de réaliser un forage d’eau au droit d’une zone présentant a priori un bon
potentiel aquifère en profondeur (Cf. rapports d’étude SAFEGE).
Répondant à une consultation en marché public pour une mission d’assistance technique au
Maître d’Ouvrage, nous avons été mandatés pour accompagner la commune de Rougon au
cours de l’exécution des travaux.
Une campagne de forage de reconnaissance et d'essai a ainsi été organisée sous notre
direction par l'entreprise LuroForage à qui ont été confiés les travaux à l'issue d'un appel
public à concurrence.
La campagne de forage s'est déroulée dans de bonne conditions générales du 24 juillet au 16
août 2012 (Cf. compte rendu de travaux de forage - rapport final, réf. : YB-04/2062/08 de
novembre 2012).
Au cours de l'intervention, deux ouvrages de reconnaissance ont successivement été réalisés
dont un seul, noté F2, équipé d'un tubage en acier crépiné à hauteur des venues d'eau, s'est
révélé exploitable par pompage à hauteur a priori des objectifs de débit retenus (5 m3/h).
Le premier forage réalisé, noté F1, situé à proximité immédiate de F2, était apparu
insuffisamment productif du fait notamment de la présence du tubage de soutènement, mis
en place jusqu’à -64 m/TN dans l’ouvrage, qui n’avait pu être extrait par LuroForage pour
libérer les venues d'eau recoupées au cours des travaux.
De fait, le débit d'exhaure estimé en ce point par soufflage et en pompage est alors
malheureusement resté limité à 1 m3/h.
Cet ouvrage a malgré tout été conservé, fermé d'un capot de protection et il constitue
désormais un piézomètre disposé à proximité du forage d'essai.
A l'issue des travaux de forage et conformément au cahier des charges du chantier, le forage
F2, retenu pour le captage des eaux souterraines, a fait l'objet d'un contrôle par
diagraphies, avec :
− une inspection vidéo couleur ;
− un contrôle de verticalité de l'ouvrage ;
− un contrôle de la cimentation de tête.
Il a ensuite été testé par pompage au cours d'un essai de 72 heures environ.
Arrivés au terme de la mission, nous présentons ci-après un récapitulatif des données
acquises au cours de l'intervention avec les résultats de l'essai de pompage.
2. PRINCIPE DE L’INTERVENTION :
Dans le cadre de notre mission, les démarches suivantes ont été mises en œuvre :
− une analyse bibliographique et cartographique détaillée ;
− une analyse géologique et hydrogéologique à partir d'éléments accessibles
depuis la surface ;
− l'élaboration des pièces techniques du dossier de consultation des entreprises,
avec notamment le cahier des charges des travaux et le cadre du bordereau des
prix et du devis estimatif détaillé ;
− le suivi du chantier de forage ;
− le compte rendu final des travaux de forage ;
− un essai de pompage longue durée (72 heures environ) avec Q compris entre
1,0 et 6,5 m3/h, et au cours duquel les paramètres suivants ont fait l'objet de
mesures rigoureuses :
− suivi de l'évolution des niveaux piézométriques avec mise en place d'un
enregistreur automatiques ;
− suivi des débits de pompage ;
− suivi des principaux paramètres physico-chimiques des eaux d'exhaure ;
− réalisation d'une analyse de la qualité bactériologique et
physico-chimique des eaux.
L’ensemble de ces démarches et travaux a été mis en œuvre par nos propres équipes
d’Ingénieurs et Techniciens Géologues et Hydrogéologues sans intervention de sous-traitant.
Sur le secteur des Tièyes quelques forages ont anciennement été réalisés par des
particuliers qui captent en profondeur les eaux d'une véritable petite nappe établie au sein
des formations de surface.
Il s'agit manifestement ici d'une véritable ressource en eaux souterraines qui doit être
alimentée par l'infiltration des eaux météoriques reçues sur le secteur mais certainement
aussi en grande partie par le débordement des eaux souterraines issues des calcaires
karstifiés du Tithonique des crêtes de la Barre de Catalan qui dominent au nord la zone
d'intervention.
Dans ces conditions, les éboulis, les colluvions et les horizons déstructurés du susbtratum en
place constituent un aquifère de transit dont les sources des Sencées et de la Vigne sont les
principaux exutoires.
Pour chaque ouvrage réalisé, un log de forage a été établi par LuroForage et une coupe
géologique interprétative a pu être élaborée à partir de l'analyse des cuttings de forage
échantillonnés au fil des travaux (Cf. logs LuroForage en annexe).
3.4.1. Généralités :
Conformément au cahier des charges des travaux, un diagnostic du forage F2 a été réalisé à
l'issue des travaux de forage.
La société 2CeL, mandatée par LuroForage, est intervenue le 02 octobre 2012 pour un
contrôle de l’ouvrage par diagraphie qui a consisté en trois séries de mesures (Cf. rapport
2CeL d'octobre 2012) :
− une inspection par caméra vidéo ;
− un contrôle de la verticalité de l'ouvrage ;
− un contrôle de la cimentation de tête.
Le rapport 2CeL ne précise pas la méthode de mesure mise en œuvre ici, ni les
caractéristiques du matériel utilisé.
Les résultats obtenus permettent de tracer le graphique amplitude électrique (mV) par
mètre de forage.
Aucune variation significative du voltage enregistré n'est mise en évidence sur le tracé de la
courbe qui permettrait d'estimer la qualité de la cimentation.
Il semble en effet qu'il n'y ait aucune différence de mesure entre la tranche cimentée et le
reste du forage réalisé à travers des formations à dominante calcaire.
3.4.2.4. Conclusions:
Les résultats du contrôle vidéo réalisés sur le forage des "Légunes" met en évidence la
présence d'un film bactérien qui s'est rapidement développé sur le tubage en acier, dés la
fin des travaux, colmatant au moins partiellement les crépines entre -37 et -38,60 m/TN.
Cette contamination bactérienne inattendue s'atténue progressivement en profondeur.
Elle devra être traitée au plus tôt et dans tous les cas avant le raccordement de l'ouvrage au
réseau AEP communal.
Bien entendu, le forage F1, qui a été conservé ici comme piézomètre, devra également
faire l'objet par prudence d'une procédure de décontamination.
La verticalité du forage est bonne dans l'ensemble et la déviation du tubage ne dépasse pas
1,4° à 54 m de profondeur.
Le contrôle de cimentation n'a pas permis de vérifier l'existence d'un bulbe de cimentation
en tête d'ouvrage, mais n'en a pas non plus démontré l'absence, les caractéristiques
électriques des matériaux de cimentation apparaissant peu différentes de celles du
substratum encaissant.
4.1. GENERALITES :
L'essai de pompage s'est déroulé du 04 au 07 septembre 2012.
Il a été réalisé à l'aide d'une électro-pompe immergée 3" monophasée GRUNDFOSS SQ 5-60,
disposée vers -29,00 m/TN dans le forage F2.
Le rejet des eaux pompées a été réalisé le plus en aval possible vers le sud-ouest, plus ou
moins en direction des sources des Sencées.
L'essai a consisté dans un premier temps en un pompage par paliers de débits enchaînés
croissants compris entre 1,0 et 6,5 m3/h mené pendant environ 4 heures (4 paliers successifs
d'une heure environ).
Il a ensuite été poursuivi par un pompage longue durée à débit constant mené à 7,2 m3/h.
L'essai à débit constant a démarré immédiatement à la suite de l'essai par paliers, 7 heures
environ après le début du test.
Le niveau piézométrique mesuré dans le forage avait alors progressivement retrouvé la cote
initialement mesurée dans l'ouvrage avant pompage.
Mais les mesures ont rapidement été interrompues en raison d'une défaillance du coffret de
démarrage de la pompe qui disjonctait continuellement.
Survenue durant la nuit, la panne n'a pu être réparée qu'au matin, plus de 16 heures après
le démarrage du test longue durée.
L'essai a donc redémarré près de 23 heures et 30 minutes après le début de la phase de
pompage par paliers. Il s'est poursuivi sans autre difficulté, à débit constant, jusqu'au terme
des 72 heures de mesures prévues.
Au cours de l'essai, les niveaux piézométriques ont été régulièrement mesurés au droit du
forage d'essai (F2), comme dans le piézomètre (F1).
Les débits de pompage ont été régulièrement mesurés par empotage à l'aide d'un saut
gradué et d'un chronomètre. Cette méthode bien que rustique présente en effet une bonne
précision de mesure pour le calcul de faibles débits.
Les principales caractéristiques physico-chimiques des eaux pompées (température et
conductivité) ont également été suivies et régulièrement enregistrées.
Un échantillon d'eau a été prélevé en fin d'intervention pour réalisation d'une analyse d'eau
complète type 1ère adduction qui a été confiée au laboratoire Eurofins de Montpellier
(Cf. résultats d'analyse en annexe).
Figure 3 : courbes de suivi des niveaux d'eau au cours du pompage par paliers
L'essai a consisté en 4 paliers de débit enchaînés croissants compris entre 1,0 et 6,5 m3/h
d'une durée de plus ou moins 1 heure chacun et pour un temps total d'intervention de
4 heures et 16 minutes.
A la lumière de l'analyse du graphique de pompage, le niveau piézométrique dans le forage
s'est assez rapidement stabilisé à chaque palier de pompage.
A l'arrêt de la pompe, le niveau d'eau est remonté assez rapidement dans un premier temps
puis s'est plus lentement stabilisé dans le puits pour atteindre au terme de la 7ème heure de
mesure -36,14 m/TN, soit plus ou moins la cote piézométrique initiale avant pompage.
Une compilation des résultats obtenus au cours de cette phase de pompage est présentée
dans le tableau suivant :
Débits Rabattement Rabattement cumulés par Rabattemen
Niveaux
Paliers par palier rapport au niveau t résiduel
(m3/h) Pz (m)
(m) piézométrique initial (m) (m)
0 / -36,13 / / / / / /
1 1,0 -36,14 0,01 0,01 /
0,04
2 2,5 -36,17 0,03 / 0,08 /
0,12
3 4,5 -36,21 0,04 / / /
4 6,5 -36,25 0,04 / / / /
Remontée / -36,14 0,01 / / / / 0,01
4.3. ESSAI DE POMPAGE LONGUE DUREE A DEBIT CONSTANT - SUIVI DES NIVEAUX
D'EAU :
4.3.1. Généralités :
Passé l'incident électrique du au dysfonctionnement du coffret de démarrage de la pompe,
l'essai de pompage longue durée a finalement débuté le 04/09/2012 vers 8h45
(Cf. Figure 4 : courbe de suivi des niveaux d'eau au cours du pompage longue durée et
courbes en annexe).
Le niveau piézométrique initial était alors de -36,15 m/TN, soit 0,02 m sous la cote statique
initiale.
Le pompage a ainsi été menée à 7,2 m3/h pendant 47 heures environ sans aucune
modification du débit tout au long de l'intervention.
Le
rabattement observé dans le forage au cours du pompage est en effet soumis à deux types
Réf. : YB-04/2062/09 Page 18/28
Mission d'Assistance Technique au Maître d'Ouvrage – Travaux de forage de recherche d'eau
Les Légunes - Commune de Rougon
La courbe a donc été tracée à partir des valeurs mesurées au droit du forage d'essai et du
piézomètre (Cf. Figure 8 : courbe Δ = f(log t)).
Notons que la présence d'un unique piézomètre sur la zone est un facteur limitatif à prendre
en compte dans le calcul des paramètres hydrodynamiques et de leur interprétation.
L'équation de la droite de régression associée à la courbe ainsi établie est la suivante :
Y = 0,095 x -0,0502
Avec R = 0,9301 (coefficient de régression)
S = 4,42 %
Le rayon d'action théorique du forage quant à lui, pour un débit de pompage de 7,2 m3/h
et pour un temps de pompage de 48 heures (hypothèse de durée), est donné comme suit :
T.t
Rf = 1,5
S
Avec :
T = 3,85.10-3 m²/s
S = 4,42 %
t = 48 heures, soit 2880 mn, soit 172800 s
Rf = 184 m
Remarques :
Notons que l'essai a volontairement été réalisé ici à un débit de 7,2 m3/h, supérieur à
l'objectif de débit établi pour l'alimentation en eau de la commune au début de
l'intervention.
Ce débit reste néanmoins en deçà du débit critique de l'ouvrage (8 m3/h), permettant de
garantir le vieillissement progressif de l'ouvrage sans risque a priori de dysfonctionnement
majeur pouvant être causé par la dégradation prématurée des caractéristiques du complexe
forage/aquifère.
Le coefficient d'emmagasinement (4,42 %) apparaît relativement fort mais semble assez
représentatif d'un aquifère rocheux fracturé.
Il en va de même de la transmissivité (T = 3,85.10-3 m²/s) qui est au contraire plutôt
modérée mais conforme aux valeurs habituellement attendues.
Les valeurs du rayon d'action théorique de l'ouvrage calculé pour un pompage à 7,2 m3/h et
pour 48 heures de pompage semble également conforme aux valeurs attendues et n'amène
ici aucune remarque particulière.
5.2.2.2. Analyse des données par la méthode de le remontée de Thiem :
Cette méthode s'appuie ici sur le postulat qui considère qu'à la suite d'un pompage longue
durée, l'ouvrage d'essai continu à produire un débit Q immédiatement reversé dans le puits.
Il en résulte alors un rabattement résiduel tel que :
Δ = 0,183.Q/(T(log(2,25T.t/x2S) - log(2,25T.t'/x2S)
T = 5,70.10-3 m²/s
5.2.3. Conclusions :
Le calcul des paramètres hydrodynamiques du forage et de l'aquifère sollicité au droit de la
zone d'étude amène ici les résultats suivants :
- un débit critique du forage : Qc = 8 m3/h ;
- une transmissivité des matériaux aquifères :
− selon la seconde méthode de Jacob : T = 3,85.10-3 m²/s ;
− selon la méthode de Thiem : T = 5,70.10-3 m²/s.
Ces deux valeurs de transmissivité apparaissent ici relativement semblables ou du moins
représentatives d'un même ordre de grandeur.
- un coefficient d'emmagasinement : S = 4,42 % ;
- un rayon d'action théorique pour un pompage de 48 heures à 7,2 m3/h : Rf = 184 m.
L'ensemble de ces éléments caractérise ici l'aquifère rocheux fracturé de la zone et le
forage de captage des "Légunes".
6. CONCLUSIONS GENERALES :
6.2. CONCLUSION :
Ces éléments sont conforment aux résultats attendus pour un aquifère profond abrité au
sein de formations rocheuses fracturées.
La ressource en eux souterraines sollicité en ce point présente donc a priori une assez forte
capacité avec un rabattement des niveaux d’eau relativement faible quelque soit le débit
de pompage mis en œuvre.
Cependant, sa vitesse de réalimentation apparaît lente et modérée du fait certainement
d’une recharge lointaine, tributaire des formations calcaires karstifiées qui dominent le
secteur au nord.
Il existe donc bien pour au moment des périodes, un risque de déséquilibre entre les
capacités de la ressource aquifère et le régime de prélèvement des eaux.
Il est donc judicieux ici de proposer l’exploitation par pompage du forage F2 à un débit
modéré et dans tous les cas limité à l’objectif de débit retenu pour l’alimentation du réseau
AEP de Rougon (5 m3/h), pour un temps de pompage quotidien inférieur ou égale à 10
heures, soit un volume de prélèvement journalier de 50000 l d’eau pour 250 EqHab.
Un suivi rigoureux de l’évolution du niveau piézométrique en phase d’exploitation
permettra de mieux comprendre encore les mécanismes d’alimentation de l’ouvrage et
d’ajuster le cas échéant les modalités de pompage aux besoins de la commune dans le
respect de la pérennité des ressources en eaux souterraines.
La qualité des eaux pompées est apparue, au regard des résultats d’analyse type 1ère
adduction, conforme à la réglementation en matière d’eau destiné à la consommation
humaine.
Il reste néanmoins qu’un traitement de l’ouvrage devra être organisé au plus tôt et
impérativement avant sa mise en service pour éliminer le voile bactérien mis en évidence
au cours de l’inspection vidéo couleur.
Par sécurité, le piézomètre situé à proximité devra être soumis au même protocole de
nettoyage.
Les mesures réalisées tout au long de l’intervention à partir des forages existant plus en
amont ont mis en évidence une certaine indépendance entre les eaux captées par ces
ouvrages et celles pompées au droit de F2.
Il existe donc sur la zone un compartimentage des ressources en eaux souterraines et les
écoulements profonds recoupés en F1 et F2 ne semblent a priori pas influencés par les
venues d’eau plus superficielles.
Une campagne de traçage avec injection de colorants dans les ouvrages situés en amont
devrait permettre de préciser l’existence de relations éventuelles entre chaque ouvrage.
Les résultats de ces démarches complémentaires sont ici indispensables à la bonne
compréhension des écoulements d’eau souterrains nécessaires notamment à la définition
des périmètres de protection réglementaires.
Les résultats complets des travaux réalisés pourront être présentés au cours d’une réunion
de travail avec les intervenants techniques de cette affaire.
L’Hydrogéologue, Le Gérant
24
perte d'air
de 24 a
54 ml 32
34 oregonite
36 36
38 39 IIIIIIIIIIIIIII
Calcaire IIIIIIIIIIIII tubage acier
fracturé IIIIIIIIIIIII crepiné
avec tubage acier en 139mm IIIIIIIIIIIII de 36 a 54ml
alternance methode ODEX 115 IIIIIIIIIIIIIII
de marne de 0 a 54ml IIIIIIIIIIIIIII
IIIIIIIIIIIIIII
51 IIIIIIIIIIIIIII
54 54
Le Couletas 04230 St ETIENNE Les ORGUES
TETHYS HYDRO
a St Etienne le 15/10/2012 St Claude
Objet : Coupe lithologique et technique 05380 CHATEAUROUX Les ALPES
Dossier: Forage piezometre
24
^
P D'
E A
R I 32
T R 34 oregonite
E 36 36
38 IIIIIIIIIIIIIII
1200l/h 40 Calcaire IIIIIIIIIIIIIII massif
3600l/h 42 fracturé IIIIIIIIIIIIIII filtrant
avec IIIIIIIIIIIIIII 2/4mm
alternance IIIIIIIIIIIIIII
5600l/h 48 de marne 48 IIIIIIIIIIIII PVC crepiné
50 51 PVC plein
10500l/h 52 52ml IIIIIIIIIIIII PVC crepiné
marne 54 IIIIIIIIIIIIIII
noire MFT en PVC plein
argile 165mm 60
60 verte 63 IIIIIIIIIIIII PVC crepiné
rouge PVC plein
64 64
Projet de renforcement des ressources en eau potable de ROUGON - "Les Légunes"
Essai de pompage par paliers de débit
Courbe d'évolution du niveau dynamique du forage d'essai (F2)
Septembre 2012
Commune de ROUGON
-36
-36,05
Palier n°1 Palier n°2
3
-36,1 Q = 1 m /h Q = 2,5 m3/h
Palier n°3
Niveau dynamique / TN (m)
-36,2
-36,25
-36,3
Arrêt du pompage
-36,35
-36,4
-36,45
-36,5
0:00:00 1:00:00 2:00:00 3:00:00 4:00:00 5:00:00 6:00:00 7:00:00
-36
Redémarrage de l'essai
-36,1
-36,2
Niveau dynamique / TN (m)
-36,3
-36,4
Arrêt du pompage intempestif
au cours de la nuit
-36,5 Disjonction du compteur EDF
-36,6
Arrêt du pompage
Suivi de la remontée
-36,7
-36,8
-36,9
-37
0:00:00 12:00:00 24:00:00 36:00:00 48:00:00 60:00:00 72:00:00 84:00:00 96:00:00