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Ministère de l'enseignement Supérieur et
La Recherche Scientifique
Université de Ghardaïa
ANNEE UNIVERSITAIRE
2021/2020
Remerciement
"Il n'est jamais facile pour un étudiant de trouver un stage, c'est pourquoi je
remercie l'entreprise LTPS de m'avoir accueillie durant ces 7 jour.
Je tiens à remercier tout particulièrement Mr. Mme .AZZOUZ
Mon estimé professeur et directeur technique de laboratoire travaux publics de
sud LTPS, qui m'a accordé sa confiance et attribué des missions valorisantes
durant ce stage, et Mr cheikh Djekaoua( qui a supervisé mon stage au jour le
jour.
Merci également à toute l'équipe de l'entreprise, car chacun d'entre vous a su
trouver un peu de temps pour m'aider dans mes missions.
Faire mon stage de dernière année dans votre entreprise a été un plaisir, j'ai
pu apprendre beaucoup grâce à vous, et j'ai surtout été conforté dans mon
projet professionnel, ce qui est un aboutissement de mon cursus universitaire.
Remerciement
Introduction générale : .................................................................................................................. ....1
I. Partie Théorie :
I.1. Introduction :..................................................................................................................................3
I.2. La formulation de béton par la méthode de Faury :..................................................................3
I.3. Matériaux utilisés :...........................................................................................................................5
I.3.1. Le gravier :.......................................................................................................... .............................5
I.3.1.1. L’essai d’analyse granulométrique : NF P 18-560 septembre 1990................................................5
I.3.1.2. Essai de coefficient d’aplatissement des granulats : Norme (NFP-18 561).....................................7
I.3.1.3. L’essai des masses volumiques : (absolue et apparente)..................................................................8
I.3.1.4. Essais de la propreté de gravier : NF P 18-591 Septembre 1990.....................................................9
I.3.1.5. Essai de coefficient d’absorption d’eau d’un gravier : NF P 18-554 Décembre 1990 ..................10
I.3.1.6. Essai Los Angeles : NF P 18-573 Décembre 1990........................................................................11
I.3.1.7. Essai de micro-deval en présence d’eau (MDE) ....................................................................12
I.3.2. Le Sable ............................................................................................................. ............................13
I.3.2.1. Module de finesse : Norme (NF P 18-540) Le module de finesse d’un sable «MF»...................13
I.3.2.2. Équivalente de sable : NF P 18-598 Octobre 1991........................................................................14
I.3.3. Le ciment ............................................................................................................ ...........................16
I.3.3.1. Introduction :..................................................................................................................................16
I.3.3.2. Essai de la consistance :........................................................................................... ...................16
I.3.3.3. Essais prise de ciment : NA 230 :2010 /EN 196-3 2008........................................................18
I.4. Le gâchage de béton ......................................................................................................................20
I.5. Essai sur béton frais........................................................................................................................21
I.5.1. Essais de consistance...................................................................................................................21
I.5.1.1. Essai d’affaissement au cône d’Abrams :................................................................................. 21
I.5.1.2. Essai de la masse volumique d’un béton frais :.......................................................................22
I.6. Essai sur Béton Durci.....................................................................................................................23
I.6.1. Essai de la compression simple sur éprouvette du Béton.......................................................24
I.6.2. Essai de la traction par flexion sur éprouvette du Béton........................................................26
I.6.2.1. La relation entre la traction par flexion et la traction par fendage :......................................28
I.6.3. Essais non destructive sur les éléments d’un ouvrage en Béton :.........................................28
I.6.3.1. Essai sclérotique :................................................................................................. .......................28
I.6.3.2. Essai ultrasonique :......................................................................................................................30
I.6.4. Essais mécaniques sur carottes (Essai d’écrasement).............................................................32
I.7. Conclusion :............................................................................................................ ......................34
II. Partie Pratique :
II.1. Introduction .............................................................................................................................35
II.2. Les Caractéristiques des Constituants : ..................................................................................35
II.2.1. Le ciment :...............................................................................................................................35
II.2.2. Le sable : .......................................................................................................... .......................35
II.2.3. Les graviers : ...................................................................................................... .....................36
II.2.4. L’eau de gâchage: ...................................................................................................................36
II.2.5. L’adjuvant : ........................................................................................................ .....................36
II.3. Étude du mélange :..................................................................................................................37
II.4. Vérification des performances du mélange :..........................................................................37
Conclusion générale :...................................................................................................................39
Liste des Photos
Liste des Tableaux
Introduction
I. Introduction :
Il n’existe pas de méthode de formulation du béton qui soit universellement reconnue
comme étant la meilleure. La composition du béton est toujours le résultat d’un compromis
entre une série d’exigences.
De nombreuses méthodes de formulation du béton plus ou moins compliquées et
ingénieuses ont été élaborées.
Une étude de formulation de béton doit toujours être contrôlée expérimentalement au
laboratoire.
Une étude de formulation doit être adaptée ultérieurement aux conditions réelles du
chantier par une étude de convenance.
Afin d'obtenir les propriétés mécaniques et de mise en œuvre souhaitées il y a plusieurs
méthodes de formulation existent.
Dont notamment :
• la méthode Baron ;
• la méthode Bolomey ;
• la méthode de Féret ;
• la méthode de Faury;
• la méthode Dreux-Gorisse.
À cet effet on a effectué un stage pratique a nivaux de laboratoire des travaux publics des
sud à Ghardaïa et contacter des professionnels et des gens de métier, et pour participer à
des opérations réelles après avoir pris des cours de formation.
Présentation du L.T.P. Sud :
LTP-Sud a été créé le 12 mars 1983 par décret n° 83-186. En octobre 1989, il est devenu
une entreprise autonome dont le propriétaire est le Holding Public Réalisations et Grands
Travaux et en 1998, il a été transformé en filiale faisant partie du groupe LCTP.
Champ d’action :
Le L.T.P-Sud étend son champ d’action pratiquement sur ¾ de la superficie l’Algérie. Il
est implanté dans les wilayat mentionnées ci-dessous, ce qui lui permet de répondre aux
sollicitations de la clientèle sur la majeure partie du territoire national.
RAPPORT DE STAGE 1
Introduction
RAPPORT DE STAGE 2
Partie Théorique
I.1. Introduction :
La formulation joue le rôle effectuant par ses paramètres propriétaires qui permettent
d’apporter un nouveau regard sur béton, elle consiste à choisir des proportions de chacun
des constituants d'un béton afin d'obtenir les propriétés mécaniques et de mise en œuvre,
elle doit intégrer avant tout les exigences de la norme NF EN 206-1, laquelle, en fonction
de l'environnement dans lequel sera mis en place le béton, sera plus ou moins difficile vis-
à-vis de la quantité minimale de ciment à insérer dans la formule ainsi que la quantité d'eau
maximum tolérée. De même, à chaque environnement donné, une résistance garantie à 28
jours sur éprouvettes sera exigée aux producteurs, pouvant justifier des dosages de ciments
plus ou moins supérieurs à la recommandation de la norme, et basée sur l'expérience propre
à chaque entreprise, laquelle étant dépendante de ses matières premières dont la masse
volumique peut varier, notamment celle des granulats.
Plusieurs auteurs Bolomey (1925), Caquot (1937), Valette (1940), Faury (1942), Joisel
(1952), cités dans la référence [Dreux et Festa, 1998] ont développé des méthodes de
formulation de bétons. Selon le pays et l’école de pensée, les plus utilisés sont la méthode
Américaine (1994), la méthode Britannique (1988), la méthode française [Dreux, 1970],
la méthode Barron Lesage (France, 1976), la méthode basée sur le modèle d’empilement
compressible (France, 2000), la méthode des plans d’expériences (Louvet F.) cité dans
[Baron et Olliver, 1996]
Dans ce chapitre nous avons élaboré une présentation générale sur la méthode de faury
Aussi l’objectif de ce chapitre expérimental, est la caractérisation des matériaux utilisés
dans ce travail et la composition de béton et sa résistance à la compression
I.2. La formulation de béton par la méthode de Faury :
Faury proposa une nouvelle loi de granulation de type continu, il s’est inspiré pour cela de
la théorie de Caquot relative à la compacité d’un granulat de dimension uniforme
correspondant à un serrage moyen. La loi de granulation qui en découle est une loi fonction
de 5√d.
La courbe granulométrique idéale conduisant à la compacité maximale est alors
théoriquement une droite ; cependant Faury a distingué les grains fins et moyens (<D/2),
RAPPORT DE STAGE 3
Partie Théorique
es gros grains (>D/2) et la pente de la droite n’est pas la même pour chacune de ces deux
catégories.
- le point B est repéré par ses coordonnées : [D ; 100], (D : le diamètre du plus gros
granulat).
RAPPORT DE STAGE 4
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 5
Partie Théorique
On a fait glisser une règle sur les courbe granulométrique et la courbe de référence de
tel façon que les deux segments d’ordonne extérieurs sont égaux, puis on détermine le point
d’intersection (ordonné) ;(100-ordonné) est le pourcentage des éléments de cette fract
I.3. Matériaux utilisés :
I.3.1. Le gravier :
Le gravier prévient de station de concassage prodag2000, (Béchar).
On travaille sur trois classes de gravier de 3/8 ; 8/15 et 15/25
I.3.1.1. L’essai d’analyse granulométrique : NF P 18-560 septembre 1990
But de l’essai :
L’analyse granulométrique permet de déterminer des grains suivant leur dimension.
Principe d’essai :
L’essai consiste à fractionner au moyen d’une série de tamis un matériau en plusieurs
classes granulaires de tailles décroissantes.
RAPPORT DE STAGE 6
Partie Théorique
Les masses des différentes refus et tamisât sont rapportées à la masse initiale du matériau.
Les pourcentages obtenus sont exploités sous forme graphique.
Équipements :
1. Série des tamis
2. Balance
Mode opératoire :
-Le tamisage peut être effectué soit manuellement soit à l’aide d’un vibro- tamis
1. On à peser l’échantillon.
2. On a tamisé l’échantillon en versant ce dernier au sommet d’une série de tamis et en
les agitant.
3. Nous Recueillons le refus de chaque tamis et le peser dans une balance de portée
pesant au gramme prés.
4. Rapporter les poids des différents refus aux poids initiaux du matériau.
5. Nous Calculons le pourcentage des tamisât.
6. Établirent la courbe granulométrique.
Le Calcul :
On note les masses des refus partiels (Ri), on calcule les pourcentages des refus partiels
donné par la relation suivante :
RAPPORT DE STAGE 7
Partie Théorique
Le coefficient d´aplatissement A d´un lot de granulats soumis à l´essai est, par définition,
le pourcentage des éléments tels que : G/E˃1,58
RAPPORT DE STAGE 8
Partie Théorique
Équipements :
1- Une série de tamis normalisés à mailles carrées
2- Une série de grailles à fentes de largeurs normalisé
Mode opératoire :
1. On a Pesé un échantillon de masse M ≥ 0.2 D, D étant le diamètre maximum des
granulats en millimètres, et M la masse de l’échantillon exprimée en kg.
2. On a Tamisé l’échantillon sur un tamis de 4 mm d’ouverture et le refus de masse
M0 est utilisé pour la détermination de A.
3. Nous avons effectué le tamisage et chaque fraction d/D est pesée, puis tamisée sur
le tamis à fentes d’écartement E correspondant. Après on a Pesé le passant à travers chaque
grille.
4. Nous Calculons le coefficient d’aplatissement :
Pour une classe granulaire d/D donnée on peut définir un coefficient d’aplatissement
partiel Ai=
RAPPORT DE STAGE 9
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 10
Partie Théorique
Après le rasage
Rasé le bord sans
compactage
RAPPORT DE STAGE 11
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 12
Partie Théorique
2. On a Lave l’échantillon jusqu’à ce qui l’eau qui traverse le tamis soit claire
3. Nous essayons l’excès en eau à l’aide d’un chiffon et peser la nouvelle masse, soit M1
4. Après, nous calculons la propreté de gravier par la formule suivante :
𝐏(%)=(
RAPPORT DE STAGE 13
Partie Théorique
Mode opératoire :
1. Après imbibition l'échantillon dans l'eau pendant 24 heures.
2. Nous étalons l'échantillon sur une surface plane non absorbante et le soumettre à un flux
d'air chaud (l'étuve), tout en le remuant afin que la surface externe des grains sèche. Ce
séchage doit être effectué de manière douce afin de ne pas éliminer l'eau qui pourrait
étier piégée à l'intérieur du granulat.
3. Les grains sont alors libres de toutes forces d'attraction capillaire. On peut vérifier que
cet état a été atteint en plaçant le matériau dans un moule tronconique, posé sur une
surface plane non absorbante, et en le compactant légèrement. On vérifie que celui-ci
s'écoule en démoulant
I.3.1.5. Essai Los Angeles : NF P 18-573 Décembre 1990
Principe d’essai :
Cet essai permet de déterminer la résistance aux chocs des granulats.
L'essai consiste à introduire des gravillons dans le cylindre de la machine Los Angeles.
Lors de sa rotation, les granulats sont heurtés par des boulets plus lourds que les gravillons.
La masse des éléments inférieurs à 1,6 mm à la fin de l’essai donne la résistance aux chocs
du granulat. Plus le résultat est faible, plus le granulat est résistant aux chocs.
Équipements :
- La machine Los Angeles
- Balance
- Etuve
RAPPORT DE STAGE 11
Partie Théorique
I.3.1.6. Essai de micro-deval en présence d’eau (MDE) : Norme (NF P 18- 572
Décembre 1990)
Principe d’essai :
L’essai effectué à mesurer l’usure des granulats sous une charge abrasive dans une jale en
rotation et la charge abrasive de boulets et le matériau éventuellement introduit à
l’intérieure des jales dans une préparation conforme.
Équipements :
- Machine de micro-deval
- Un tamis de 1.6mm
- Balance
- Etuve
Mode opératoire :
RAPPORT DE STAGE 12
Partie Théorique
Pour cet essai, nous avons préparé par lavage et tamisage les masses des fractions
suivantes, en rajoutant la masse de bille indiquée :
- On a mettre la prise d'essai, la masse de bille et compléter avec 2.5 litres d'eau par
cylindre.
- On a mettre à tourner pendant 12000 tours à la vitesse de 100 tours/minute.
- Nous avons Séparées l'échantillon obtenu des billes d'acier.
- Nous avons lavées les granulats restant au tamis de 1.6 mm en éliminant tous le
passant à ce tamis.
- Après ça, nous avons Séchées et pesées le refus à 1.6
Calcul du MDE :
en excès, ni en trop faible proportion. Le caractère plus ou moins fin d'un sable peut être
quantifié par le calcul du module de finesse (MF).
I.3.1.7. Module de finesse : Norme (NF P 18-540) Le module de finesse d’un sable
«MF»
Le résultat :
RAPPORT DE STAGE 13
Partie Théorique
La hauteur totale donne représente la proportion de sable brut dans le sable. Cette
proportion exprimée en pourcentage est appelé (E.S) : Equivalent de Sable
Équipements :
- Éprouvettes en P1exiglas avec deux traits repères et leurs bouchons.
- Entonnoir pour introduire le sable
- Bonbonne de solution lavant avec son bouchon, le siphon et le tube souple
- Tube laveur métallique plongeant
- Machine agitatrice
- Réglet métallique pour la mesure des hauteurs des sables et floculat
- Piston taré à masse de 1 kg pour la mesure de l'ES
RAPPORT DE STAGE 14
Partie Théorique
Mode Opératoire :
RAPPORT DE STAGE 15
Partie Théorique
I.3.2. Le ciment : Le ciment utilisé par l’entreprise est un ciment résistant aux sulfates
ayant une résistance ordinaire à court terme, il s’agit de ciment (CRS/CHF-CEM I/A
42.5N- ES) provenant de la cimenterie LAFARGE d’Algérie, sous le nom commercial
MOKAOUM.
I.3.2.1. Introduction :
La prise du ciment est une réaction chimique qui, à partir d'un corps anhydre et
instable auquel on ajoute de l'eau donne un nouveau corps stable et indéformable.
Pour un ciment donné, la quantité d'eau optimale à ajouter dépend de la nature du
ciment.
La consistance d'une pâte caractérise sa plus ou moins grande fluidité. L'essai de
consistance permet de déterminer la quantité d'eau optimale pour avoir la
consistance de la pâte optimale dite consistance normalisée. Une telle pâte est dite
pâte normale.
I.3.2.2. Essai de la consistance :
But de l’essai :
Déterminer la quantité d'eau nécessaire pour obtenir une pâte normale.
Principe de l’essai :
L'essai consiste à évaluer la consistance en mesurant l'enfoncement, dans la pâte,
d'une sonde sous l'effet d'une charge constante. L'enfoncement est d'autant plus
important que la consistance est plus fluide. La consistance ainsi évaluée est appelée
"consistance Vicat ".
Équipements :
RAPPORT DE STAGE 16
Partie Théorique
2. Nous ajoutons une quantité d'eau (on commence par exemple par un rapport de
tronconique et araser la surface au moyen d'une truelle prenant appui sur le bord
du moule.
5. Nous avons mettre le moule dans l'appareil de Vicat et réglons le niveau zéro
vitesse initiale.
7. Nous lis la distance " d " donnant l'épaisseur de la pâte entre le fond du moule et
l'extrémité de la sonde.
Résultat :
RAPPORT DE STAGE 17
Partie Théorique
Matières consommables :
o Ciment à étudier
o Sable normal
o Adjuvants éventuellement
Mode opératoire :
Nous avons préparé une pâte normale ou un mortier normal.
Le temps t0 est celui où l'eau a fini d'être ajoutée au ciment dans la cuve du
malaxeur.
1. Nous avons Remplir immédiatement le moule tronconique et araser la
surface au moyen de la truelle.
2. Nous avons Immergé immédiatement le moule dans l'eau
3. Nous avons Sortir le moule de l'eau pour procéder à une mesure. Et nous
Amenons l'aiguille en contact avec la surface de la pâte.
RAPPORT DE STAGE 18
Partie Théorique
4. Nous Relâchons l'aiguille sans vitesse initiale lorsque elle est immobilisée
(ou après 30 secondes d’attente). Nous relevons la distance " d " séparant
l'extrémité de l'aiguille de la plaque de base.
Sur le gravier :
Graviers station de Concassage……….
Les essais Gravier 3/8 Gravier 8/15 Gravier 15/25
Coefficient d’aplatissement 17,72% 12% 5%
Masse volumique absolue 2,77 2,77 2,76
Masse volumique apparente 1,49 1,43 1,46
Coefficient d’absorption d’eau 1,00 0,71 0,62
La propreté superficielle 1,37 1,37 0,35
Los Angeles 19,06
Micro-deval 14,25
Tab I.2 : les résultats des essais sur gravier
RAPPORT DE STAGE 19
Partie Théorique
Sur Le sable :
I.4. Le gâchage de béton : est une opération simple et rapide. En effet, grâce à
la bétonnière, elle ne prendra guère plus de 10 minutes.
RAPPORT DE STAGE 20
Partie Théorique
base inférieur égal à 200 mm, et de diamètre de la base égal à 100 mm avec une
hauteur de 300 mm.
- Une plaque carrée d’arête égale à 400 mm.
- Pelle carrée.
Mode opératoire
Au moyen d’une pelle introduire le béton dans le moule en tris couches ayant une
hauteur égale au tiers de la hauteur de cône ;
Piquer chaque couche 25 fois avec la tige de piquage ;
Araser le bord supérieur du moule par une truelle, éviter pendant cette opération un
compactage supplémentaire.
Après 30 s démouler lentement le moule et sans secousses.
Après démoulage, procéder le lecteur de l’affaissement en mesurant la point la plus
haut.
RAPPORT DE STAGE 21
Partie Théorique
Appareillage
Moule ou récipient leurs volume ne doit pas être inférieur à 5 L ;
Moyen de mise en place du béton soit par piquage ou par vibration ;
Balance d’un porté surfaisant ;
Truelle.
Pelle carré
Mode opératoire
- Mesure de la masse du moule ou de récipient noté : m1 en Kg.
RAPPORT DE STAGE 22
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 23
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 24
Partie Théorique
Après démoulage les éprouvettes doivent être entreposées dans l’eau jusqu’au
moment de l’essai à une température de 20 °C ±2°C, ou dans une chambre à
20°C±2°C et humide.
I.6.1. Essai de la compression simple sur éprouvette du Béton
But
Le présent essai à pour objet la détermination de la résistance à la compression des
éprouvettes de béton durci, le principe de l’essai est basé sur la réalisation d’un
chargement jusqu’à la rupture dans une machine de compression, la charge
maximale atteinte est enregistrée et la résistance à la compression calculée.
L'éprouvette doit être un cube ou un cylindre de dimensions nominales suivantes :
Cube :
Appareillage
Machin d’essai de compression de force appropriée, elle doit être contrôlée et
étalonnée.
Mode opératoire
- Sécher toute humidité excessive de la surface de l’éprouvette avant de la
positionner dans la machine d’essai.
- Les faces d'appui doivent être préparées par rectification ou par surfaçage (voir
Tableau 2.6).
RAPPORT DE STAGE 25
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 26
Partie Théorique
Résistance caractéristique
C8/10 8 10
C12/15 12 15
C16/20 16 20
C20/25 20 25
C25/30 25 30
C30/37 30 37
C35/45 35 45
C40/50 40 50
C45/55 45 55
C50/60 50 60
C55/67 55 67
C60/75 60 75
C70/85 70 85
C80/95 80 95
C90/105 90 105
C100/115 100 115
Tab I.6 : bétons de masse volumique normale et de bétons lourds
RAPPORT DE STAGE 27
Partie Théorique
Avec L= 4d
Matériel
RAPPORT DE STAGE 28
Partie Théorique
L'éprouvette est placée sur l'appareil de chargement conformément au schéma ci-
dessous :
Avec :
Spécifications :
Les résultats des essais mécaniques doivent être communiqués par rapport aux
spécifications du CPS (Cahier de Prescription Spéciales) du projet.
I.6.3. Essais non destructive sur les éléments d’un ouvrage en Béton :
I.6.3.1. Essai sclérotique :
But
Cet essai permet de déterminer l'indice de rebondissement d'une surface de béton
durci, à l'aide d'un marteau en acier projeté par ressort.
Appareillage
- Scléromètre : constitué d'un marteau en acier comprimé par un ressort qui,
après libération, projette une tige de percussion en acier au contact de la
surface de béton.
RAPPORT DE STAGE 28
Partie Théorique
- Les éléments de béton soumis à l'essai doivent avoir une épaisseur minimale de
100 mm ;
- Une surface d'essai doit être d'environ (300 mm ×300 mm).
- Poncer au moyen de la pierre à polir les surfaces de texture rugueuse ou peu
RAPPORT DE STAGE 29
Partie Théorique
RAPPORT DE STAGE 30
Partie Théorique
Appareillage
- Appareil à ultrason constitué d’une unité d’affichage, d’une paire de
- Pâte
Mode opératoire
- Avant de procéder aux mesures, l’appareil doit être calibré sur la barre
RAPPORT DE STAGE 31
Partie Théorique
V= (L1-L2)/ (T1-T2)
Sachant que les points (L1, T1) et (L2, T2) appartiennent au droit de mesures et
L1=2L2.
Calcule de la résistance du béton
A. Le calcul des résistances se fait suivant les deux relations empiriques suivantes
⁄
Ed =
RAPPORT DE STAGE 32
Partie Théorique
Où :
fc : est la résistance en compression, exprimée en méga pascals (N/mm2);
F : Charge maximale enregistrée à la rupture, exprimée en N;
S : Surface transversale de l’éprouvette, soumise à l’essai et exprimée en mm².
-RC d’une carotte de (10cm < D < 15cm et H=2D) RC d’un cylindre (15*30).
-RC d’une carotte de (D=10 cm et H=D) RC d’un cube (15*15*15).
RAPPORT DE STAGE 33
Partie Théorique
I.7. Conclusion :
Nous avons montré dans ce chapitre une caractérisation sur les matériaux utilisées
dans notre projet, ainsi que les procédures expérimentales qui vont nous permettre
d’analyser nos résultats afin d’évaluer l’influence de la méthode de formulation du
béton sur sa résistance à la compression
RAPPORT DE STAGE 34
PARTIE PRATIQUE
II.1. Introduction
Dans ce chapitre nommé « partie pratique » nous avons travaillé à la composition de
béton de classe c25 dosage c350 avec l’utilisation de la méthode Faury on respecté
les étapes et le mode opératoire de laboratoire.
Les défèrent composant de béton sont :
Sable roulé de Laghouat
Graviers 3/8 station berraiane
Graviers 8/15 station berraiane
Graviers 15/25 station berraiane
Ciment CRS 42,5
Adjuvant super plastifiant SIKAPLAST R DZ+de SIKA.
II.2. Les Caractéristiques des Constituants :
II.2.1. Le ciment :
Le ciment utilisé est un ciment destiné pour des ouvrages exposés aux milieux
agressifs, il s’agit d’un ciment à haut résistance au sulfates de la classe résistances 42,5
MPa, en d’autre terme [HRS-CEM I/A 42,5]
II.2.2. Le sable :
Afin de déterminer les caractéristiques intrinsèques et de fabrication du sable, les essais
suivant ont été réalisés :
- L’analyse granulométrique selon la norme NF P 18-560 ;
Sable
Granularité Voir la courbe
Équivalant de sable (%) 60
Module de finesse 2.16
Poids spécifique (t/m3) 2.69
Masse volumique apparente (t/m3) 1.72
Ces résultats témoignés d’un sable propre ayant une bonne granularité.
RAPPORT DE STAGE 35
PARTIE PRATIQUE
Les résultats obtenus par les échantillons analysés présentent en général des
caractéristiques physico-mécaniques admissibles pour l’utilisation en béton.
II.2.4. L’eau de gâchage:
L’eau de gâchage utilisée est une eau potable, donc d’après la normeXP P 18-211,
elle est considérée comme appropriée pour la fabrication du béton et ne nécessite
aucun essai.
II.2.5. L’adjuvant :
L’adjuvant est un super plastifiant retardateur de prise provenant de la société SIKA,
ses caractéristiques sont représentées dans le tableau suivant :
Nom Forme Densité Plage
commercial d’utilisation
Super SIKAPLAST Liquide 1.055 t/m3 0,2 à 2.5 %
plastifiant R DZ+
RAPPORT DE STAGE 36
PARTIE PRATIQUE
RAPPORT DE STAGE 37
PARTIE PRATIQUE
90
80
70
60
50
40
30
20
10
RAPPORT DE STAGE 38
Conclusion Générale
Conclusion Générale
A la fin de ce stage, nous avons découvrir les déférentes formulations des bétons et
spécialement la formulation propos par «faury».
Nous avons aussi découvrir le positionnement et le rôle d’un laboratoire dans une
étude de béton. Nous avons pu voir comment le travail d’un résultat émis puisque le
laboratoire assure un rôle d’étude, d’expertise et aussi de contrôle (compactage, béton).
Ce stage restera une expérience très forte au niveau de notre formation.
39
Liste des Photos
Partie Théorie
Photo I.1 : les tamis ............................................................................................................. 6
Photo I.2 : Balance ............................................................................................................... 6
Photo I.3 : les grailles........................................................................................................................... 7
Photo I.4 : l’essai de masse volumique................................................................................................ 9
Photo I.5 : l’essai de la propreté .............................................................................................. 10
Photo I.6 : l’essaid’absorption ............................................................................................................10
Photo I.7 : La machine LA ................................................................................................. 11
Photo I.8 : La Machine Micro-Deval ................................................................................................12
Photo I.9 : l’essai MDE ......................................................................................................................12
Photo I.10 : Machine Agitatrice ......................................................................................... 14
Photo I.11 : l’essai de l’équivalent de sable. .....................................................................................15
Photo I.12 : l’essai de consistance......................................................................................................16
Photo I.13 : l’essai de prise de ciment ...............................................................................................19
Photo I.14: Le gâchage de béton ........................................................................................................20
Photo I.15 : affaissement au cône d’Abrams ..................................................................... 22
Photo I.16 : Mesure horizontale et verticale .....................................................................................29
Photo I.17 : Transmission directe, semi-directe et indirecte...........................................................31
Photo I.18 : Opération de carottage ................................................................................... 32
Partie Pratique
Photo II.1. : Les courbes des agrégats et la courbe du mélange et de référence ................ 38