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République Algérienne Démocratique et

Populaire
Ministère de l'enseignement Supérieur et
La Recherche Scientifique
Université de Ghardaïa

Faculté des Sciences et Technologie


Département d hydraulique
Et de Génie civil

R apport de stage en vue de l'obtention du diplôme de


Licence académique en génie civil
Spécialité :génie civil
THEME:

Réalise par: Encadre par:


- Lalia ABDELOUAHED
- Hadjer FARADJI Mme .AZZOUZ

ANNEE UNIVERSITAIRE
2021/2020
Remerciement

"Il n'est jamais facile pour un étudiant de trouver un stage, c'est pourquoi je
remercie l'entreprise LTPS de m'avoir accueillie durant ces 7 jour.
Je tiens à remercier tout particulièrement Mr. Mme .AZZOUZ
Mon estimé professeur et directeur technique de laboratoire travaux publics de
sud LTPS, qui m'a accordé sa confiance et attribué des missions valorisantes
durant ce stage, et Mr cheikh Djekaoua( qui a supervisé mon stage au jour le
jour.
Merci également à toute l'équipe de l'entreprise, car chacun d'entre vous a su
trouver un peu de temps pour m'aider dans mes missions.
Faire mon stage de dernière année dans votre entreprise a été un plaisir, j'ai
pu apprendre beaucoup grâce à vous, et j'ai surtout été conforté dans mon
projet professionnel, ce qui est un aboutissement de mon cursus universitaire.
Remerciement
Introduction générale : .................................................................................................................. ....1
I. Partie Théorie :
I.1. Introduction :..................................................................................................................................3
I.2. La formulation de béton par la méthode de Faury :..................................................................3
I.3. Matériaux utilisés :...........................................................................................................................5
I.3.1. Le gravier :.......................................................................................................... .............................5
I.3.1.1. L’essai d’analyse granulométrique : NF P 18-560 septembre 1990................................................5
I.3.1.2. Essai de coefficient d’aplatissement des granulats : Norme (NFP-18 561).....................................7
I.3.1.3. L’essai des masses volumiques : (absolue et apparente)..................................................................8
I.3.1.4. Essais de la propreté de gravier : NF P 18-591 Septembre 1990.....................................................9
I.3.1.5. Essai de coefficient d’absorption d’eau d’un gravier : NF P 18-554 Décembre 1990 ..................10
I.3.1.6. Essai Los Angeles : NF P 18-573 Décembre 1990........................................................................11
I.3.1.7. Essai de micro-deval en présence d’eau (MDE) ....................................................................12
I.3.2. Le Sable ............................................................................................................. ............................13
I.3.2.1. Module de finesse : Norme (NF P 18-540) Le module de finesse d’un sable «MF»...................13
I.3.2.2. Équivalente de sable : NF P 18-598 Octobre 1991........................................................................14
I.3.3. Le ciment ............................................................................................................ ...........................16
I.3.3.1. Introduction :..................................................................................................................................16
I.3.3.2. Essai de la consistance :........................................................................................... ...................16
I.3.3.3. Essais prise de ciment : NA 230 :2010 /EN 196-3 2008........................................................18
I.4. Le gâchage de béton ......................................................................................................................20
I.5. Essai sur béton frais........................................................................................................................21
I.5.1. Essais de consistance...................................................................................................................21
I.5.1.1. Essai d’affaissement au cône d’Abrams :................................................................................. 21
I.5.1.2. Essai de la masse volumique d’un béton frais :.......................................................................22
I.6. Essai sur Béton Durci.....................................................................................................................23
I.6.1. Essai de la compression simple sur éprouvette du Béton.......................................................24
I.6.2. Essai de la traction par flexion sur éprouvette du Béton........................................................26
I.6.2.1. La relation entre la traction par flexion et la traction par fendage :......................................28
I.6.3. Essais non destructive sur les éléments d’un ouvrage en Béton :.........................................28
I.6.3.1. Essai sclérotique :................................................................................................. .......................28
I.6.3.2. Essai ultrasonique :......................................................................................................................30
I.6.4. Essais mécaniques sur carottes (Essai d’écrasement).............................................................32
I.7. Conclusion :............................................................................................................ ......................34
II. Partie Pratique :
II.1. Introduction .............................................................................................................................35
II.2. Les Caractéristiques des Constituants : ..................................................................................35
II.2.1. Le ciment :...............................................................................................................................35
II.2.2. Le sable : .......................................................................................................... .......................35
II.2.3. Les graviers : ...................................................................................................... .....................36
II.2.4. L’eau de gâchage: ...................................................................................................................36
II.2.5. L’adjuvant : ........................................................................................................ .....................36
II.3. Étude du mélange :..................................................................................................................37
II.4. Vérification des performances du mélange :..........................................................................37
Conclusion générale :...................................................................................................................39
Liste des Photos
Liste des Tableaux
Introduction

I. Introduction :
Il n’existe pas de méthode de formulation du béton qui soit universellement reconnue
comme étant la meilleure. La composition du béton est toujours le résultat d’un compromis
entre une série d’exigences.
De nombreuses méthodes de formulation du béton plus ou moins compliquées et
ingénieuses ont été élaborées.
Une étude de formulation de béton doit toujours être contrôlée expérimentalement au
laboratoire.
Une étude de formulation doit être adaptée ultérieurement aux conditions réelles du
chantier par une étude de convenance.
Afin d'obtenir les propriétés mécaniques et de mise en œuvre souhaitées il y a plusieurs
méthodes de formulation existent.
Dont notamment :
• la méthode Baron ;
• la méthode Bolomey ;
• la méthode de Féret ;
• la méthode de Faury;
• la méthode Dreux-Gorisse.
À cet effet on a effectué un stage pratique a nivaux de laboratoire des travaux publics des
sud à Ghardaïa et contacter des professionnels et des gens de métier, et pour participer à
des opérations réelles après avoir pris des cours de formation.
Présentation du L.T.P. Sud :
LTP-Sud a été créé le 12 mars 1983 par décret n° 83-186. En octobre 1989, il est devenu
une entreprise autonome dont le propriétaire est le Holding Public Réalisations et Grands
Travaux et en 1998, il a été transformé en filiale faisant partie du groupe LCTP.
Champ d’action :
Le L.T.P-Sud étend son champ d’action pratiquement sur ¾ de la superficie l’Algérie. Il
est implanté dans les wilayat mentionnées ci-dessous, ce qui lui permet de répondre aux
sollicitations de la clientèle sur la majeure partie du territoire national.

RAPPORT DE STAGE 1
Introduction

Adrar ; El-Bayad ; El-oued ; Ghardaïa ; Illizi ; Laghouat ; M’silla ; Ouargla ; Tamanrasset


; In Salah
Domaine D’activité :
La caractéristique géologique de l’Algérie associée l’étendue du territoire fait en sorte que
nos ingénieurs sont confrontés à divers types de sol et de roc.
L’aménagement d’infrastructures requiert leur avis dans pratiquement tous types projets :
• Les études géotechniques routières et aéroportuaires.
• Les études géotechniques pour sol de fondation.
• Les études géologiques et géophysique.
• Les études géométriques des tracés routiers et des infrastructures aéroportuaires.
• Les études techniques despetites retenues d’eau.
• Les études d’assainissement et d’A.E.P.
• Le contrôle et suivi de réalisations de routes, aérodromes, ouvrages d’art et
bâtiments.
• Contrôle des matériaux (béton, liants hydrocarbonés, granulats, eau, etc…).
• Auscultation des chaussées au HWD.
• Mesure d’uni au RSPS mark III L2.2.
• Contrôle de l’adhérence RST et tache de sable.
• Contrôle de signalisations horizontales.
Dénomination et statut juridique :
Le Laboratoire des Travaux Publics du Sud dénommé en abrégé <<LTPS>> est une
entreprise publique économique (EPE) société par actions, à caractère commercial.
Portée du système de gestion :
Le système de gestion du LTPS s’applique aux activités d’études, contrôles, d’expertises,
essais en laboratoire et in-situ

RAPPORT DE STAGE 2
Partie Théorique

I.1. Introduction :
La formulation joue le rôle effectuant par ses paramètres propriétaires qui permettent
d’apporter un nouveau regard sur béton, elle consiste à choisir des proportions de chacun
des constituants d'un béton afin d'obtenir les propriétés mécaniques et de mise en œuvre,
elle doit intégrer avant tout les exigences de la norme NF EN 206-1, laquelle, en fonction
de l'environnement dans lequel sera mis en place le béton, sera plus ou moins difficile vis-
à-vis de la quantité minimale de ciment à insérer dans la formule ainsi que la quantité d'eau
maximum tolérée. De même, à chaque environnement donné, une résistance garantie à 28
jours sur éprouvettes sera exigée aux producteurs, pouvant justifier des dosages de ciments
plus ou moins supérieurs à la recommandation de la norme, et basée sur l'expérience propre
à chaque entreprise, laquelle étant dépendante de ses matières premières dont la masse
volumique peut varier, notamment celle des granulats.
Plusieurs auteurs Bolomey (1925), Caquot (1937), Valette (1940), Faury (1942), Joisel
(1952), cités dans la référence [Dreux et Festa, 1998] ont développé des méthodes de
formulation de bétons. Selon le pays et l’école de pensée, les plus utilisés sont la méthode
Américaine (1994), la méthode Britannique (1988), la méthode française [Dreux, 1970],
la méthode Barron Lesage (France, 1976), la méthode basée sur le modèle d’empilement
compressible (France, 2000), la méthode des plans d’expériences (Louvet F.) cité dans
[Baron et Olliver, 1996]
Dans ce chapitre nous avons élaboré une présentation générale sur la méthode de faury
Aussi l’objectif de ce chapitre expérimental, est la caractérisation des matériaux utilisés
dans ce travail et la composition de béton et sa résistance à la compression
I.2. La formulation de béton par la méthode de Faury :
Faury proposa une nouvelle loi de granulation de type continu, il s’est inspiré pour cela de
la théorie de Caquot relative à la compacité d’un granulat de dimension uniforme
correspondant à un serrage moyen. La loi de granulation qui en découle est une loi fonction
de 5√d.
La courbe granulométrique idéale conduisant à la compacité maximale est alors
théoriquement une droite ; cependant Faury a distingué les grains fins et moyens (<D/2),

RAPPORT DE STAGE 3
Partie Théorique
es gros grains (>D/2) et la pente de la droite n’est pas la même pour chacune de ces deux
catégories.

On trace pour l’ensemble du mélange, ciment compris une courbe granulométrique de


référence qui est composée de deux droits si l’on opère sur un graphique gradué. en
abscisse, en 5√d. l’abscisse du point de rencontre de ces deux droites est fixé à D/2et son
ordonnée .Y est donnée par une formule tenant compte de la grosseur D du granulat et
comportant certains paramètres dont la valeur est une valeur tabulée en fonction de types
des granulats (roulés ou concassés) et de la puissance du serrage (simple piquage ou
vibration plus ou moins intense).
- Y, se calcule par la formule suivante :

- A : coefficient dépend de la nature des granulats (roulés, concassés) et la mise en œuvre

de coulage (se choisit dans le tableau au-dessous TAB1)R


- B : varie de 1 à 2 selon que le béton ferme ou mou.

- D : est exprimé en dimension de passoire.

- R : est exprimé en dimension de passoire

Dn-1 : le diamètre au tamis (n-1)


- X : le refus sur le tamis (n-1)

- Y : le refus entre Dn-1 et

La courbe granulaire de référence AOB


- le point O est repéré par ses coordonnées : [0.065 ; 1]

- le point B est repéré par ses coordonnées : [D ; 100], (D : le diamètre du plus gros

granulat).

- Le point de brisure A aux coordonnées suivante [ ]

- La quantité d’eau est donnée par la formule


RAPPORT DE STAGE 4
Partie Théorique

- On a1000l de béton → éléments sec=1000


- Le dosage de ciment / volume de ciment = quantité de ciment

- Le pourcentage de ciment = (quantité de ciment /éléments sec) x100

RAPPORT DE STAGE 5
Partie Théorique

Sable et Sables Sable et


graviers roulés et graviers
roulés gravier concassés
concassés
Consistance très fluide sans serrage >32 >34 >38
Consistance fluide faible serrage 30-32 32-34 36-38
Consistance molle serrage moyen 28-30 30-32 34-36
Consistance ferme serrage soigné 26-28 28-30 32-34
Consistance très ferme, serrage puissant 24-26 26-28 30-32
Consistance de terre humide, serrage très puissant 22-24 24-26 28-30
Serrage exceptionnellement <22 <24 <28
Tab I.1 : valeur de A

 Pour trace la courbe granulométrique et la courbe de référence de faury on effectue


tous les essais avant :
o Essais granulométrique sur sable et gravier
o Essai équivalent de sable
o La densité apparente et absolue de sable et gravier.
o On détermine les 3 points de la référence de faury
AOB [(0.0065 ;1%),(D(max/2) ;Y(Dmax/2),(D100% ;100%)] et on trace cette courbe

 On a fait glisser une règle sur les courbe granulométrique et la courbe de référence de
tel façon que les deux segments d’ordonne extérieurs sont égaux, puis on détermine le point
d’intersection (ordonné) ;(100-ordonné) est le pourcentage des éléments de cette fract
I.3. Matériaux utilisés :
I.3.1. Le gravier :
Le gravier prévient de station de concassage prodag2000, (Béchar).
On travaille sur trois classes de gravier de 3/8 ; 8/15 et 15/25
I.3.1.1. L’essai d’analyse granulométrique : NF P 18-560 septembre 1990
 But de l’essai :
L’analyse granulométrique permet de déterminer des grains suivant leur dimension.
 Principe d’essai :
L’essai consiste à fractionner au moyen d’une série de tamis un matériau en plusieurs
classes granulaires de tailles décroissantes.

RAPPORT DE STAGE 6
Partie Théorique

Les masses des différentes refus et tamisât sont rapportées à la masse initiale du matériau.
Les pourcentages obtenus sont exploités sous forme graphique.
 Équipements :
1. Série des tamis
2. Balance
 Mode opératoire :
-Le tamisage peut être effectué soit manuellement soit à l’aide d’un vibro- tamis
1. On à peser l’échantillon.
2. On a tamisé l’échantillon en versant ce dernier au sommet d’une série de tamis et en
les agitant.
3. Nous Recueillons le refus de chaque tamis et le peser dans une balance de portée
pesant au gramme prés.
4. Rapporter les poids des différents refus aux poids initiaux du matériau.
5. Nous Calculons le pourcentage des tamisât.
6. Établirent la courbe granulométrique.
 Le Calcul :
On note les masses des refus partiels (Ri), on calcule les pourcentages des refus partiels
donné par la relation suivante :

Refus(i)%= avec M la masse totale de l’échantillon

Photo I.1 : les tamis Photo I.2 : Balance

RAPPORT DE STAGE 7
Partie Théorique

On trace la courbe granulométrique après le calcul du pourcentage des tamisât partiels


par la formule suivant T a m i s ( i ) % = 1 0 0 - r e f u s ( i ) %
I.3.1.2. Essai de coefficient d’aplatissement des granulats : Norme (NFP-18 561)
 But de l’essai : La présente a pour objet de définir le mode opératoire pour
détermination du coefficient d´aplatissement d´un échantillon de granulats dont les
dimensions sont comprises entre 4 et 50 mm.
 Principe d’essai : L´essai consiste à effectuer un double tamisage :
Tamisage sur tamis à mailles carrées, pour classer l´échantillon étudié en différentes classes
d/D (avec D = 1,25 d), suivant leur grosseur G.
Puis tamisage des différentes classes granulaires d/D, sur des grilles à fentes parallèles
d´écartement : D/ 1,58
Le coefficient d´aplatissement de chaque classe granulaire d/D correspond au passant du
tamisage sur la grille à fentes d´écartement d/1,58, exprimé en pourcentage.
Le coefficient d´aplatissement global de l´échantillon est égal à la somme pondérée des
coefficients d´aplatissement des différentes classes granulaires d/D composant
l´échantillon.
La forme d´un élément est définie par trois dimensions principales :
- Longueur L = le plus grand écartement d´un couple de plans tangents parallèles.

- Épaisseur E = le plus petit écartement d´un couple de plans tangents parallèles.

- Grosseur G = dimension de la maille carrée minimale à travers laquelle passe l´élément

Le coefficient d´aplatissement A d´un lot de granulats soumis à l´essai est, par définition,
le pourcentage des éléments tels que : G/E˃1,58

Photo I.3 : les grailles

RAPPORT DE STAGE 8
Partie Théorique

 Équipements :
1- Une série de tamis normalisés à mailles carrées
2- Une série de grailles à fentes de largeurs normalisé
 Mode opératoire :
1. On a Pesé un échantillon de masse M ≥ 0.2 D, D étant le diamètre maximum des
granulats en millimètres, et M la masse de l’échantillon exprimée en kg.
2. On a Tamisé l’échantillon sur un tamis de 4 mm d’ouverture et le refus de masse
M0 est utilisé pour la détermination de A.
3. Nous avons effectué le tamisage et chaque fraction d/D est pesée, puis tamisée sur
le tamis à fentes d’écartement E correspondant. Après on a Pesé le passant à travers chaque
grille.
4. Nous Calculons le coefficient d’aplatissement :
Pour une classe granulaire d/D donnée on peut définir un coefficient d’aplatissement
partiel Ai=

Avec Mei= masse passant à travers le tamis à fentes d’écartement E


Mgi = masse de la classe granulaire d/D.
Le coefficient d’aplatissement global A s’exprime en intégrant les valeurs partielles
déterminées sur chaque classe granulaire A=
I.3.1.3L’essai des masses volumiques : (absolue et apparente)
 La masse volumique absolue :
La masse volumique absolue d'un matériau est la masse d'un mètre cube de ce matériau,
déduction faite de tous les vides, aussi bien des vides entre les grains que des vides à
l'intérieur des grains.

Ms = La masse des grains solides Vs = Le volume des grains solides


 Etuve ventilée réglée à 105 °C

RAPPORT DE STAGE 9
Partie Théorique

Photo I.4 :l’essai de masse volumique

Figure 1- : Matériel utilisé

RAPPORT DE STAGE 10
Partie Théorique

Après le rasage
Rasé le bord sans
compactage

On pèse le récipient rempli de sable


Mt

Figure -2- : Mode opératoire

RAPPORT DE STAGE 11
Partie Théorique

 La masse volumique apparente :


La masse volumique apparente d'un matériau est la masse volumique d'un mètre cube du
matériau pris en tas, comprenant à la fois des vides perméables et imperméables de
la particule ainsi que les vides entre particules. La masse volumique apparente d'un
matériau pourra avoir une valeur différente suivant qu'elle sera déterminée à partir d'un
matériau compacté ou non compacté. Il faut donc préciser : masse volumique apparente à
l'état compacté ou masse volumique apparente à l'état non compacté.
La masse volumique apparente est donnée par
L’essai est répété 4 fois pour un volume de 5 litre et la moyenne de ces essais donne la
valeur de la masse volumique apparente.
Avec Mt = La masse totale d'échantillon et Vt= Le volume total d'échantillon

I.3.1.3. Essais de la propreté de gravier : NF P 18-591 Septembre 1990


 Principe d’essai : Contrairement aux sables, les graviers présentant des classes
granulaires relativement grossières, ainsi le principe de séparation des agrégats des
éléments fins ne se fera pas par sédimentation mais par lavage.
 Équipements :
- Tamis de 0,5 mm et un sceau de d’eau
- Tamis de décharge
- Balance avec une précision relative de 0,1 %
 Mode opératoire :
1. On a posé un kg de gravier soit Mo et placer dans le tamis

RAPPORT DE STAGE 12
Partie Théorique

2. On a Lave l’échantillon jusqu’à ce qui l’eau qui traverse le tamis soit claire
3. Nous essayons l’excès en eau à l’aide d’un chiffon et peser la nouvelle masse, soit M1
4. Après, nous calculons la propreté de gravier par la formule suivante :
𝐏(%)=(

Photo I.5 :l’essai de la propreté

I.3.1.4. Essai de coefficient d’absorption d’eau d’un gravier : NF P 18-554


Décembre 1990
 Principe d’essai :
On détermine un coefficient d’absorption, qui est défini comme le rapport de
l’augmentation de la masse de l’échantillon a prés imbibition par l’eau, à la masse sèche
de l’échantillon.
Cette imbibition est obtenue par immersion de l’échantillon dans l’eau pendant 24 heures
à 20°C.
Le coefficient d’absorption (Ab) est défini par la relation suivante :

• Ms : massesèche du refus au tamis 4 mm


• Ma : masse de l’échantillon imbibé dans l’air
 Équipements :
• Etuve
• Balance de précision 1 à 2
• Récipient de mesure
• Tamis 4 mm
Photo I.6 :l’essai d’absorption

RAPPORT DE STAGE 13
Partie Théorique

 Mode opératoire :
1. Après imbibition l'échantillon dans l'eau pendant 24 heures.
2. Nous étalons l'échantillon sur une surface plane non absorbante et le soumettre à un flux
d'air chaud (l'étuve), tout en le remuant afin que la surface externe des grains sèche. Ce
séchage doit être effectué de manière douce afin de ne pas éliminer l'eau qui pourrait
étier piégée à l'intérieur du granulat.
3. Les grains sont alors libres de toutes forces d'attraction capillaire. On peut vérifier que
cet état a été atteint en plaçant le matériau dans un moule tronconique, posé sur une
surface plane non absorbante, et en le compactant légèrement. On vérifie que celui-ci
s'écoule en démoulant
I.3.1.5. Essai Los Angeles : NF P 18-573 Décembre 1990
 Principe d’essai :
Cet essai permet de déterminer la résistance aux chocs des granulats.
L'essai consiste à introduire des gravillons dans le cylindre de la machine Los Angeles.
Lors de sa rotation, les granulats sont heurtés par des boulets plus lourds que les gravillons.
La masse des éléments inférieurs à 1,6 mm à la fin de l’essai donne la résistance aux chocs
du granulat. Plus le résultat est faible, plus le granulat est résistant aux chocs.
 Équipements :
- La machine Los Angeles

- La charge est constituée par des boulets sphériques de 47 mm de diamètre environ et

pesant 400 et 445 g.


- Un tamis de 1.6 mm

- Des tamis de 10mm ,14mm et 16mm.

- Balance

- Etuve

Photo I.7 : La machine LA

RAPPORT DE STAGE 11
Partie Théorique

I.3.1.6. Essai de micro-deval en présence d’eau (MDE) : Norme (NF P 18- 572
Décembre 1990)
 Principe d’essai :
L’essai effectué à mesurer l’usure des granulats sous une charge abrasive dans une jale en
rotation et la charge abrasive de boulets et le matériau éventuellement introduit à
l’intérieure des jales dans une préparation conforme.
 Équipements :
- Machine de micro-deval

- Billes d'inox de10mm.

- Un tamis de 1.6mm

- Des tamis de 10mm ,14mm et 16mm

- Balance

- Etuve

Photo I.8 : La Machine Micro-Deval

 Mode opératoire :

Photo I.9 : l’essai MDE

RAPPORT DE STAGE 12
Partie Théorique

Pour cet essai, nous avons préparé par lavage et tamisage les masses des fractions
suivantes, en rajoutant la masse de bille indiquée :
- On a mettre la prise d'essai, la masse de bille et compléter avec 2.5 litres d'eau par

cylindre.
- On a mettre à tourner pendant 12000 tours à la vitesse de 100 tours/minute.
- Nous avons Séparées l'échantillon obtenu des billes d'acier.

- Nous avons lavées les granulats restant au tamis de 1.6 mm en éliminant tous le

passant à ce tamis.
- Après ça, nous avons Séchées et pesées le refus à 1.6

 Calcul du MDE :

 Le Sable : le sable utilisé est appelée « sable de dune » et ramené de la zone de


Ain Saleh.
- Les sables doivent présenter une granulométrie telle que les éléments fins ne soient ni

en excès, ni en trop faible proportion. Le caractère plus ou moins fin d'un sable peut être
quantifié par le calcul du module de finesse (MF).
I.3.1.7. Module de finesse : Norme (NF P 18-540) Le module de finesse d’un sable
«MF»

1.8≤MF≤2.2 le sable est à majorité des grains fins.


2.2≤MF≤2.8 sable préférentiel.
2.8 ≤MF≤3.3 sable un peu grossier

 Le résultat :

Mf=(0.1+12+83.7+95.2+99)/100=1.9 sable des grains fin

RAPPORT DE STAGE 13
Partie Théorique

I.3.1.8. Équivalente de sable : NF P 18-598 Octobre 1991


 Principe d’essai :
L'essai d'équivalent de sable utilisé de manière courante pour évaluer la propreté des sables
entrant dans la composition des bétons l'est aussi pour les sols, mais son importance est
moindre, Cet essai consiste à séparer les particules fines contenues dans le sol des éléments
sableux plus grossier. Une procédure normalisée permet de déterminer un coefficient
d'équivalent de sable qui quantifie la propreté de celui.

La hauteur totale donne représente la proportion de sable brut dans le sable. Cette
proportion exprimée en pourcentage est appelé (E.S) : Equivalent de Sable

 Équipements :
- Éprouvettes en P1exiglas avec deux traits repères et leurs bouchons.
- Entonnoir pour introduire le sable
- Bonbonne de solution lavant avec son bouchon, le siphon et le tube souple
- Tube laveur métallique plongeant
- Machine agitatrice
- Réglet métallique pour la mesure des hauteurs des sables et floculat
- Piston taré à masse de 1 kg pour la mesure de l'ES

PhotoI.10 : Machine Agitatrice

RAPPORT DE STAGE 14
Partie Théorique

 Mode Opératoire :

PhotoI.11 :l’essai de l’équivalent de sable

1. Nous Remplirons les 2 éprouvettes de solution lavant jusqu’au 1er repère,


ensuite nous versons la quantité de sable tarée.
2. Nous avons Eliminer les bulles d’air en frappant chaque éprouvette contre la
paume de la main et laisser reposer 10 minutes.
3. Nous bouchons les éprouvettes et les agiter d’un mouvement rectiligne,
horizontal, sinusoïdal de 20 cm d’amplitude à l’aide d’une machine à secouer
(en 30 secondes).
4. Nous l’avons et remplirons les éprouvettes avec le tube laveur en rinçant le
bouchon, lavant les parois intérieures de toutes les éprouvettes et laver la
masse du sable en y faisant remonter et descendre lentement le tube ainsi les
fines remontent en surface.
5. On a fermé le robinet lorsque la solution atteint le 2eme trait (supérieur) et on
sort le tube laveur.
6. On a laissé reposer 20 minutes en évitant toute vibration.
7. On a mesuré à vue les hauteurs h1 et h2 (h2 est entachée d’incertitude)
 Pour effectuer la mesure de façon plus précise, on introduit le piston taré à
travers le floculat, le manchon prenant appui sur le bord supérieur de
l’éprouvette et on l’immobilise au contact du sable
8. Et enfin, nous mesurons h’2

RAPPORT DE STAGE 15
Partie Théorique

I.3.2. Le ciment : Le ciment utilisé par l’entreprise est un ciment résistant aux sulfates
ayant une résistance ordinaire à court terme, il s’agit de ciment (CRS/CHF-CEM I/A
42.5N- ES) provenant de la cimenterie LAFARGE d’Algérie, sous le nom commercial
MOKAOUM.
I.3.2.1. Introduction :
La prise du ciment est une réaction chimique qui, à partir d'un corps anhydre et
instable auquel on ajoute de l'eau donne un nouveau corps stable et indéformable.
Pour un ciment donné, la quantité d'eau optimale à ajouter dépend de la nature du
ciment.
La consistance d'une pâte caractérise sa plus ou moins grande fluidité. L'essai de
consistance permet de déterminer la quantité d'eau optimale pour avoir la
consistance de la pâte optimale dite consistance normalisée. Une telle pâte est dite
pâte normale.
I.3.2.2. Essai de la consistance :
 But de l’essai :
Déterminer la quantité d'eau nécessaire pour obtenir une pâte normale.
 Principe de l’essai :
L'essai consiste à évaluer la consistance en mesurant l'enfoncement, dans la pâte,
d'une sonde sous l'effet d'une charge constante. L'enfoncement est d'autant plus
important que la consistance est plus fluide. La consistance ainsi évaluée est appelée
"consistance Vicat ".
 Équipements :

PhotoI.12 :l’essai de consistance

RAPPORT DE STAGE 16
Partie Théorique

1. Appareil de VICAT avec sonde


2. Malaxeur
 Matières consommables :
Ciment à tester
 Mode opératoire :
La salle de préparation d’essai doit être maintenue à une température de 20±2°C et
humidité relative minimale 50%
1. On a Pesé 500 g * 1 g de ciment et l'introduire dans la cuve du malaxeur.

2. Nous ajoutons une quantité d'eau (on commence par exemple par un rapport de

masse eau / ciment : E/C = 0.25), effectué l’opération en 10 sec maximum


3. Nous mettons le malaxeur en marche à vitesse lente pendant 90 secondes et aprés,

arrêtons le malaxeur pendant 30 secondes. Pendant ces 30 secondes en lever le


moyen d’une raclette en toute la pâte adhérant aux parois et au fond du cuve et
placer cette pate au milieu, remettre le malaxeur à vitesse rapide pendant 90
seconde.
4. Avec la pâte ainsi préparée, nous avons rempli immédiatement le moule

tronconique et araser la surface au moyen d'une truelle prenant appui sur le bord
du moule.
5. Nous avons mettre le moule dans l'appareil de Vicat et réglons le niveau zéro

lorsque la sonde est au contact du bord du moule.


6. Nous avons centré le moule dans l'axe de la sonde et la laisser descendre sans

vitesse initiale.
7. Nous lis la distance " d " donnant l'épaisseur de la pâte entre le fond du moule et

l'extrémité de la sonde.
 Résultat :

Dans ce cas, le d = 6 mm, Alors la consistance est une consistance normalisée.

RAPPORT DE STAGE 17
Partie Théorique

I.3.2.3. Essais prise de ciment : NA 230 :2010 /EN 196-3 2008


 But de l’essai :
Déterminer le temps de prise, c'est à dire la durée qui s'écoule entre l'instant où le
liant a été mis en contact avec l'eau de gâchage et le début de prise.
 Principe de l’essai :
On détermine le début de prise à l'aide de l'aiguille de Vicat s'enfonçant dans le
moule tronconique rempli de mortier normal ou de pâte de consistance normale.
Quand, sous l'effet d'une charge de 500 g l'aiguille s'arrête à une distance " d " du
fond de moule telle que
D > 2.5 mm
On dit que le début de prise est atteint. Le temps de fin de prise est celui au bout
duquel l'aiguille ne s'enfonce plus que de 0.5 mm.
 Équipements :
o Appareil de VICAT
o Chronomètre
o Balance de précision 1 à 2 g

 Matières consommables :
o Ciment à étudier
o Sable normal
o Adjuvants éventuellement

 Mode opératoire :
Nous avons préparé une pâte normale ou un mortier normal.
Le temps t0 est celui où l'eau a fini d'être ajoutée au ciment dans la cuve du
malaxeur.
1. Nous avons Remplir immédiatement le moule tronconique et araser la
surface au moyen de la truelle.
2. Nous avons Immergé immédiatement le moule dans l'eau
3. Nous avons Sortir le moule de l'eau pour procéder à une mesure. Et nous
Amenons l'aiguille en contact avec la surface de la pâte.

RAPPORT DE STAGE 18
Partie Théorique

4. Nous Relâchons l'aiguille sans vitesse initiale lorsque elle est immobilisée
(ou après 30 secondes d’attente). Nous relevons la distance " d " séparant
l'extrémité de l'aiguille de la plaque de base.

5. nous avons Recommencé l'opération à intervalles de temps


convenablement espacés jusqu'à constatation du début de prise
(intervalle de temps mesuré à 5 min près). Entrer deux mesures,
nous avons remettre le moule dans l'eau.

*Suivre l'évolution jusqu'à constatation de la fin de prise.

PhotoI.13 :l’essai de prise de ciment

Les résultats obtenus de granulats :

 Sur le gravier :
Graviers station de Concassage……….
Les essais Gravier 3/8 Gravier 8/15 Gravier 15/25
Coefficient d’aplatissement 17,72% 12% 5%
Masse volumique absolue 2,77 2,77 2,76
Masse volumique apparente 1,49 1,43 1,46
Coefficient d’absorption d’eau 1,00 0,71 0,62
La propreté superficielle 1,37 1,37 0,35
Los Angeles 19,06
Micro-deval 14,25
Tab I.2 : les résultats des essais sur gravier

RAPPORT DE STAGE 19
Partie Théorique

 Sur Le sable :

Les essais Sable de dune (zone inSalah) Observation


Masse volumique absolue 2,64 /
Masse volumique apparente 1,59 /
Module de finesse 1,9 Sable des grains fins
Equivalant de sable 77,65 Sable très propre
Tab I.3 : les résultats d’essais sur sable

I.4. Le gâchage de béton : est une opération simple et rapide. En effet, grâce à
la bétonnière, elle ne prendra guère plus de 10 minutes.

Photo I.14 : Le gâchage de béton

RAPPORT DE STAGE 20
Partie Théorique

I.5. Essai sur béton frais


Afin de contrôler le béton frais des différents essais doivent être réalisés.
Le prélèvement destiné à la réalisation des essais prévus il doit avoir un volume égal
à 1.5 V, avec V est le volume de béton du béton compacté correspondant à ces essais.
Le prélèvement doit être effectué au milieu du déchargement de la gâché.
I.5.1. Essais de consistance
I.5.1.1. Essai d’affaissement au cône d’Abrams :
 But
Cet essai consiste a mesuré la hauteur d’affaissement d’un volume tronconique de
béton frais, s’applique au béton ayant le Dmax inférieur à 40mm.
 Appareillage
- Moule de forme tronconique d’épaisseur minimale 1.5 mm et de diamètre de la

base inférieur égal à 200 mm, et de diamètre de la base égal à 100 mm avec une
hauteur de 300 mm.
- Une plaque carrée d’arête égale à 400 mm.

- Une tige piquage en acier de section circulaire de diamètre égale à 16 mm et

une longueur de 600 mm.


- Une truelle.

- Pelle carrée.

 Mode opératoire
Au moyen d’une pelle introduire le béton dans le moule en tris couches ayant une
hauteur égale au tiers de la hauteur de cône ;
Piquer chaque couche 25 fois avec la tige de piquage ;
Araser le bord supérieur du moule par une truelle, éviter pendant cette opération un
compactage supplémentaire.
Après 30 s démouler lentement le moule et sans secousses.
Après démoulage, procéder le lecteur de l’affaissement en mesurant la point la plus
haut.

RAPPORT DE STAGE 21
Partie Théorique

 Expression des résultats


Mesurer l’affaissement par un nombre entier en centimètre A.

Affaissement (mm) XP P18 - 305 NF EN 206-1


De 10 à 40 béton ferme F S1
De 50 à 90 béton plastique P S2
De 100 à 150 béton très plastique TP S3
De 160 à 210 béton fluide Fl S4
>220 S5
Tab I.4 : les résultats des Essai d’affaissement au cône d’Abrams

Photo I.15 : affaissement au cône d’Abrams

Classification des bétons selon les valeurs d’affaissements


I.5.1.2. Essai de la masse volumique d’un béton frais :
 But
Afin de connaître la masse volumique d’un béton frais des essais peut être effectué
au niveau de laboratoire et in situ par la mise en place du béton frais dans un moule
au dans un récipient rigide.

 Appareillage
 Moule ou récipient leurs volume ne doit pas être inférieur à 5 L ;
 Moyen de mise en place du béton soit par piquage ou par vibration ;
 Balance d’un porté surfaisant ;
 Truelle.
 Pelle carré
 Mode opératoire
- Mesure de la masse du moule ou de récipient noté : m1 en Kg.

RAPPORT DE STAGE 22
Partie Théorique

- Mesure du volume de moule ou de récipient noté : V en litre.


- Remplissage du moule : le remplissage du doit être en au moins deux couches,
l’épaisseur d’une couche ne doit pas dépasser 100 mm pour les moules
cylindriques et une couche pour les moules prismatiques et cubiques.
- Serrage du béton : le serrage du béton doit être effectué après le remplissage du
moule de façon à obtenir des de béton bien serré, ce serrage peut être effectué par
les deux méthodes suivantes :
 Serrage par une aiguille vibrante : pendant les vibrations du béton,
la position de l’aiguille doit être maintenue verticale dans l’axe du
moule, et le temps de vibration dépend de la consistance du béton et
le type d’agrégat ainsi le Dmax. (voir les abaques en annexes)
 Serrage par piquage : les coups appliqués par la tige doivent être
uniformément répartie sur toute la section du moule ne pénètre pas
sensiblement la couche précédente, le béton doit être soumis à au moins
25 coups par couche.
 Le béton au bord supérieur du moule doit être enlevé au moyen d’une
truelle.
 Le moule et son continue doivent être pesés noté : m2 en Kg
 Expression des résultats
MV= (m2-m1)/V
Mv : est la masse volumique du béton frais en Kg/l.

RAPPORT DE STAGE 23
Partie Théorique

I.6. Essai sur Béton Durci


Après la confection des éprouvettes, ces dernières doivent rester dans le moule et
être protégées contre les chocs, les vibrations et la dessiccation pendant un minimum
de 16 h et un maximum de 3 jours à une température de 20± 5 °C (ou 25±5 °C dans
les pays chaud).

RAPPORT DE STAGE 24
Partie Théorique

Après démoulage les éprouvettes doivent être entreposées dans l’eau jusqu’au
moment de l’essai à une température de 20 °C ±2°C, ou dans une chambre à
20°C±2°C et humide.
I.6.1. Essai de la compression simple sur éprouvette du Béton
 But
Le présent essai à pour objet la détermination de la résistance à la compression des
éprouvettes de béton durci, le principe de l’essai est basé sur la réalisation d’un
chargement jusqu’à la rupture dans une machine de compression, la charge
maximale atteinte est enregistrée et la résistance à la compression calculée.
L'éprouvette doit être un cube ou un cylindre de dimensions nominales suivantes :
 Cube :

d (mm) 100 150 200 250 300

d (mm) 100 113(a) 150 200 250 300

(a) Ce cylindre présent une surface de chargement de 10 000 mm2.

 Appareillage
Machin d’essai de compression de force appropriée, elle doit être contrôlée et
étalonnée.

 Mode opératoire
- Sécher toute humidité excessive de la surface de l’éprouvette avant de la
positionner dans la machine d’essai.
- Les faces d'appui doivent être préparées par rectification ou par surfaçage (voir
Tableau 2.6).

RAPPORT DE STAGE 25
Partie Théorique

Méthode Limite basée sur la résistance attendue (par


anticipation)
Rectification Sans limite Sans limite
Mortier de ciment Jusqu'à environ 50 MPa (N/mm2)
Mortier de soufre Jusqu'à environ 50 MPa (N/mm2)
Boîte à sable Sans limite
Tab I.5 : Limites aux méthodes de préparation des faces d'appui
Center l’éprouvette sur le plateau inférieur de façon que le chargement s'effectue
perpendiculairement au sens de coulage.
 Mise en charge
Sélectionner une vitesse constante de chargement dans la plage 0,2 MPa/s (N/mm2
.s) à 1,0 MPa/s (N/mm2. s), appliquer la charge sans choc jusqu'à la rupture de
l'éprouvette, la charge maximale obtenue doit être enregistrée.

 Expression des résultats


La résistance à la compression est donnée par l'équation suivante :

fc= (F/Ac). Avec :

fc : la résistance en compression, exprimée en mégapascals (Newtons par


millimètres carrés) ;
F: la charge maximale, exprimée en Newtons ;
Ac : l'aire de la section de l'éprouvette sur laquelle la force de compression est
appliquée, exprimée en millimètres carrés.
Ac = Л * (d2/4) pour un éprouvette cylindrique
Ac= (Xm) 2 Pour un éprouvette cubique.
 Classe de résistance à la compression du Béton hydraulique
Lorsque le béton est classé selon sa résistance à la compression, le tableau suivant
est applicable s'il s'agit de bétons de masse volumique normale et de bétons lourds.
- La valeur fck-cyl est la résistance caractéristique exigée à 28 jours mesurée sur
des cylindres de 150 mm de diamètre sur 300 mm de haut.
- Et la valeur fck-cube, à la résistance caractéristique exigée à 28 jours mesurée
sur des cubes de 150 mm de côté.

RAPPORT DE STAGE 26
Partie Théorique

Résistance caractéristique
C8/10 8 10
C12/15 12 15
C16/20 16 20
C20/25 20 25
C25/30 25 30
C30/37 30 37
C35/45 35 45
C40/50 40 50
C45/55 45 55
C50/60 50 60
C55/67 55 67
C60/75 60 75
C70/85 70 85
C80/95 80 95
C90/105 90 105
C100/115 100 115
Tab I.6 : bétons de masse volumique normale et de bétons lourds

I.6.2. Essai de la traction par flexion sur éprouvette du Béton


 But
Cet essai permet de contrôler la qualité du béton ; il donne une indication sur la
résistance à la traction par flexion du béton et donc sur sa résistance à la fissuration.
Le principe de l’essai est basé sur la réalisation d’un chargement jusqu’à la rupture
dans une machine de flexion, la charge maximale atteinte est enregistrée et la
résistance à la traction calculée.
L'éprouvette doit être un prisme dimensions nominales suivantes :

RAPPORT DE STAGE 27
Partie Théorique

d (mm) 100 150 200 250 300

Avec L= 4d

 Matériel

La machine d’essais, de force appropriée, elle doit être contrôlée et étalonnée


conformément aux normes.
 Mode opératoire
- Sécher toute humidité excessive de la surface de l’éprouvette avant de la
positionner dans la machine d’essai.
- Au moment de l’essai, les appuis doivent parallèles entre eux, et leur
positionnement est effectué par rapport à l’axe de la machine.
- Placer l’éprouvette dans l’appareil de chargement en prenant comme faces de
chargement ses faces de moulage et en plaçant son axe longitudinal dans la plan
de flexion de l’appareil.
- Appliquer la charge d’une manière continue et sans chocs, la vitesse de
chargement doit être constante pendant toute la durée de l’essai et égale à 0.05
Mpa/s, ce qui correspondant aux accroissements de force suivant :

Arête, d, de Longueur Accroissement de la force


Format de Section
la base
l’éprouvette L=4d d2 (cm2) (KN/S)

Prisme de 10 100 400 100 0.170

Prisme de 14 150 600 225 0.377

Prisme de 20 200 800 400 0.670

Tab I.7 : Accroissement de la force

RAPPORT DE STAGE 28
Partie Théorique
L'éprouvette est placée sur l'appareil de chargement conformément au schéma ci-
dessous :

I.6.2.1. La relation entre la traction par flexion et la traction par fendage :


fct = 0.60 ff

Avec :

fct : est la résistance en traction par fendage ;

ff : est la résistance en traction par flexion.

 Spécifications :
Les résultats des essais mécaniques doivent être communiqués par rapport aux
spécifications du CPS (Cahier de Prescription Spéciales) du projet.

I.6.3. Essais non destructive sur les éléments d’un ouvrage en Béton :
I.6.3.1. Essai sclérotique :
 But
Cet essai permet de déterminer l'indice de rebondissement d'une surface de béton
durci, à l'aide d'un marteau en acier projeté par ressort.

 Appareillage
- Scléromètre : constitué d'un marteau en acier comprimé par un ressort qui,
après libération, projette une tige de percussion en acier au contact de la
surface de béton.

RAPPORT DE STAGE 28
Partie Théorique

- Enclume de calibrage : enclume en acier permettant le calibrage du marteau.


- Pierre à polir : pierre de texture à grains moyens en carbure de silicium
aggloméré ou matériau équivalent.
 Préparation de la surface
Avant la préparation de la surface d'essai, il convient de prendre en considération les
Facteurs suivants :
- La direction de la frappe : horizontale, verticale vers le haut ou le bas.
- Age du béton ;

- Taille et forme des corps de comparaison (cube, cylindre) ;

- Les éléments de béton soumis à l'essai doivent avoir une épaisseur minimale de

100 mm ;
- Une surface d'essai doit être d'environ (300 mm ×300 mm).
- Poncer au moyen de la pierre à polir les surfaces de texture rugueuse ou peu

résistantes ou couvertes de laitance se désagrégeant jusqu'à ce qu'elles soient


lisses
 Mode opératoire
- Le scléromètre doit être utilisé conformément aux instructions d'utilisation

prescrites par le fabricant.


- Avant de procéder à une série d'essais sur une surface de béton, des relevés sur

l'enclume de calibrage doivent être effectués et enregistrés.


- Maintenir fermement le scléromètre de manière à permettre à la tige de

percussion de frapper perpendiculairement la surface d'essai


- Augmenter progressivement la pression exercée sur la tige jusqu'au
déclenchement du choc ;
- Après le choc, enregistrer l’indice de rebondissement.
Pour obtenir une estimation fiable de l'indice de rebondissement de la surface d'essai,
neuf essais au moins doivent être effectués et l distance minimale entre deux essais
de choc doit être de 25 mm et il est préférable que ne dépasse pas 50 mm.

RAPPORT DE STAGE 29
Partie Théorique

 Expression des résultats


Rm= ∑ Rn/n
Avec :
Rm : l’indice de rebondissement moyen.
Rn : les valeurs des différents indices de rebondissement.
n : les nombres d’essais réalisés.
Si plus de 20 % de l'ensemble des lectures effectuées sur une surface d’essai donnée
diffèrent de la valeur médiane de plus de six unités, l'ensemble des lectures doit être
écarté.
Afin de déterminer la résistance mécanique du béton à partir de la valeur de
rebondissement, il est recommandé de faire un étalonnage des essais sclérométrique
par des essais mécanique sur des éprouvettes cylindrique ou cubique ou sur des
carottes et de réaliser des courbes de conversion.
Les courbes de conversion dépend du :
 Type de ciment
 Le diamètre des grains les plus gros ≤ 32 mm.
 L’âge du béton : 14 à 56 jours.

Mesure horizontale Mesure verticale

Photo I.16 : Mesure horizontale et verticale

RAPPORT DE STAGE 30
Partie Théorique

I.6.3.2. Essai ultrasonique :


 But
Cet essai permet de déterminer la vitesse de propagation des ondes ultrasoniques
longitudinales dans le béton durci utilisé un certain nombre d’application.

 Appareillage
- Appareil à ultrason constitué d’une unité d’affichage, d’une paire de

transducteurs (émetteur et récepteur) et deux câbles ;


- Barre d’étalonnage ;

- Pâte

 Mode opératoire
- Avant de procéder aux mesures, l’appareil doit être calibré sur la barre

d’étalonnage. selon le mode opératoire de l’appareil.


- Mesurer la longueur de parcours du son.

- Positionner les transducteurs et exercer une pression se propage


perpendiculairement aux transducteurs, il est possible de mesurer la vitesse de
propagation du son en plaçant les deux transducteurs sur des faces opposées
(transmission directe), sur des faces adjacentes (transmission semi-directe), ou
sur la même surface (transmission indirecte ou transmission de surface), voir les
schémas suivants :

Transmission directe Transmission semi-directe Transmission indirecte

Photo I.17 : Transmission directe, semi-directe et indirecte


 Expression des résultats

RAPPORT DE STAGE 31
Partie Théorique

Pour les transmissions directes et semi-directes, la vitesse de propagation de son


doit être calculée d’après la formule :
V= (L/T)
Avec :
V : est la vitesse de propagation du son en Km/s.
L : est la longueur de parcours
T : est le temps de propagation du son pour parcourir la longueur.

Pour la transmission indirecte, la vitesse de propagation du son calculée comme


suite :

V= (L1-L2)/ (T1-T2)

Sachant que les points (L1, T1) et (L2, T2) appartiennent au droit de mesures et
L1=2L2.
 Calcule de la résistance du béton
A. Le calcul des résistances se fait suivant les deux relations empiriques suivantes

Ed : module d’élasticité dynamique

Ed =

V : vitesse de son m/s.


 : Densité du béton t/m3.
 : Cœfficient de poisson dynamique = 0,25.
G : 9.81 m/s2.

Photo I.18 : Opération de carottage

RAPPORT DE STAGE 32
Partie Théorique

I.6.4. Essais mécaniques sur carottes (Essai d’écrasement)


 But de l’essai :
Le présent essai spécifie une méthode de détermination de la résistance en
compression sur une éprouvette carottière.
 Principe d’essai :
Le principe de l’essai consiste a réalisé une charge de compression sur l’éprouvettes
jusqu'à la rupture, la charge maximale atteinte est enregistrée et la résistance en
compression calculée.
Les carottes doivent être d’élancements 2, sinon 1.
 Appareillage :
Machine d'essai de compression
 Mode opératoire :
L’assai doit être réalisé comme le paragraphe IV.1.3
 Expression des résultats :
La résistance (Rc) à la compression, exprimée en MPa, est donnée par la formule :

Où :
fc : est la résistance en compression, exprimée en méga pascals (N/mm2);
F : Charge maximale enregistrée à la rupture, exprimée en N;
S : Surface transversale de l’éprouvette, soumise à l’essai et exprimée en mm².
-RC d’une carotte de (10cm < D < 15cm et H=2D) RC d’un cylindre (15*30).
-RC d’une carotte de (D=10 cm et H=D) RC d’un cube (15*15*15).

Correction des RC de diamètre de 5 mm vers des Rc de diamètre de 10 mm :


 Si Dmax = 20mm :
- Rc de carotte diamètre de10mm=1.07 Rc de carotte diamètre de 5mm.
 b) Si Dmax =40 mm :
-Rc de carotte diamètre de10mm=1.17 Rc de carotte diamètre de 5mm.

RAPPORT DE STAGE 33
Partie Théorique

I.7. Conclusion :
Nous avons montré dans ce chapitre une caractérisation sur les matériaux utilisées
dans notre projet, ainsi que les procédures expérimentales qui vont nous permettre
d’analyser nos résultats afin d’évaluer l’influence de la méthode de formulation du
béton sur sa résistance à la compression

RAPPORT DE STAGE 34
PARTIE PRATIQUE

II.1. Introduction
Dans ce chapitre nommé « partie pratique » nous avons travaillé à la composition de
béton de classe c25 dosage c350 avec l’utilisation de la méthode Faury on respecté
les étapes et le mode opératoire de laboratoire.
Les défèrent composant de béton sont :
 Sable roulé de Laghouat
 Graviers 3/8 station berraiane
 Graviers 8/15 station berraiane
 Graviers 15/25 station berraiane
 Ciment CRS 42,5
 Adjuvant super plastifiant SIKAPLAST R DZ+de SIKA.
II.2. Les Caractéristiques des Constituants :
II.2.1. Le ciment :
Le ciment utilisé est un ciment destiné pour des ouvrages exposés aux milieux
agressifs, il s’agit d’un ciment à haut résistance au sulfates de la classe résistances 42,5
MPa, en d’autre terme [HRS-CEM I/A 42,5]
II.2.2. Le sable :
Afin de déterminer les caractéristiques intrinsèques et de fabrication du sable, les essais
suivant ont été réalisés :
- L’analyse granulométrique selon la norme NF P 18-560 ;

- L’essai équivalant de sable selon la norme NF P 18-598 ;

- Le Poids spécifique selon la norme NF P 18-554.

- Masse volumique apparente selon mode d’opératoire R. LAUCHON BTS.DUT.

Les résultats sont consignés dans le tableau suivant :

Sable
Granularité Voir la courbe
Équivalant de sable (%) 60
Module de finesse 2.16
Poids spécifique (t/m3) 2.69
Masse volumique apparente (t/m3) 1.72

Ces résultats témoignés d’un sable propre ayant une bonne granularité.

RAPPORT DE STAGE 35
PARTIE PRATIQUE

II.2.3. Les graviers :


Afin de déterminer les caractéristiques physico-mécaniques des graviers, les essais
suivants sont réalisés :
• L’analyse granulométrique selon la norme NF P 18-560 ;
• L’essai d’aplatissement selon la norme NF P 18-561 ;
• La propreté superficielle selon la norme NF P 18-591;
• La résistance au choc : essais LOS ANGLELES selon la norme NF P 18-573 ;
• L’absorption d’eau selon la norme NF P 18-554 ;
• Le poids spécifique selon la norme NF P 18-554 ;
• Masse volumique apparente selon mode d’opératoire R. LAUCHON BTS.DUT.
Les résultats sont consignés dans le tableau suivant :
Essai Gravier 3/8 Gravier Gravier
Granulométrique Voire les courbes
Aplatissement % 29 17 18
propreté superficielle% 1.03 0.67 0.51
LOS ANGLELES % 24 24 20
Absorption d’eau % 2.86 2.76 2.50
3
Le Poids spécifique /m 2.54 2.52 2.54
Masse volumique apparente t/m3 1.26 1.27 1.35

Les résultats obtenus par les échantillons analysés présentent en général des
caractéristiques physico-mécaniques admissibles pour l’utilisation en béton.
II.2.4. L’eau de gâchage:
L’eau de gâchage utilisée est une eau potable, donc d’après la normeXP P 18-211,
elle est considérée comme appropriée pour la fabrication du béton et ne nécessite
aucun essai.
II.2.5. L’adjuvant :
L’adjuvant est un super plastifiant retardateur de prise provenant de la société SIKA,
ses caractéristiques sont représentées dans le tableau suivant :
Nom Forme Densité Plage
commercial d’utilisation
Super SIKAPLAST Liquide 1.055 t/m3 0,2 à 2.5 %
plastifiant R DZ+

RAPPORT DE STAGE 36
PARTIE PRATIQUE

II.3. Étude du mélange :


L'étude de composition de béton consiste à définir le mélange des différents
constituants : gravier, sable, ciment ainsi que la quantité d'eau et l’adjuvant, afin de
réaliser un béton de qualité.
Selon la demande du client, on a étudié une formulation de béton de classe C25 de
dosage 350Kg/m3.
La méthode utilisée est la méthode graphique dite méthode de J.FAURY.
Les dosages obtenus pour 01 m3 de bétonsont consignés dans le tableau suivant :
pour un mètre cube du béton pour un sac
COMPOSITIONS Pourcentages Masses Volumes Masses Vol-
Ciment CPJ 13.6 350 - 50 - Un
Sable 30.4 679 395 97 56 1B
Gravier 3/8 12.0 253 201 36 29 ½
Gravier 8/15 20.0 418 329 60 47 1B
Gravier 15/25 24.0 506 389 72 56 1B
Eau 170 24
Le rapport Eau sur Ciment E/C 0.49 B : Brouette= 55
Le rapport Eau sur Ciment efficace E/C 0.42 lremplie à
Le rapport Gravier sur Sable G/S 1.84 P : pelle = 03l

II.4. Vérification des performances du mélange :


Pour vérifier les caractéristiques du béton, nous avons réalisé un gâchées d’essai en
Laboratoire, dont neufé prouvettes ont été confectionnée, après vérification de la
consistance du béton à l’aide de l’essai de cône d’Abrams.
Les valeurs des écrasements enregistrées et l’affaissement au cône d'Abrams obtenus
sont consignés dans le tableau suivant :

RAPPORT DE STAGE 37
PARTIE PRATIQUE

Age Densité Charge total Résistance à La résistance Moyenne


[t/m3] [kg F] la [Bars]
compression
[Bars]
2.36 38760 193 193
jours
03

2.36 39984 199


2.36 37740 188
2.36 53652 267 256
jours
07

2.36 49266 245


2.36 51408 256
Affaissements au cône 09 cm Béton plastique
d'Abrams

Photo III.1 : Les courbes des agrégats et la courbe du mélange


et de référence
100

90

80

70

60

50

40

30

20

10

0,08 0,16 0,31 0,63 1,25 2,5 5 6,3 8 10 12,5 16 20 25 31,5


5
Sable 2 7 21 71 90 95 100
gravier 3//8 0 0 0 0 1 2 48 82 100
gravier 8/15 0 0 0 0 0 1 1 2 13 40 72 97 100
gravier 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 6 18 67 95 100
15/25
mélange 14 16 20 35 41 43 50 54 59 64 72 80 92 99 100
référance 13 18 23 28 33 38 43 48 53 58 64 69 78 89 100

RAPPORT DE STAGE 38
Conclusion Générale

Conclusion Générale

A la fin de ce stage, nous avons découvrir les déférentes formulations des bétons et
spécialement la formulation propos par «faury».
Nous avons aussi découvrir le positionnement et le rôle d’un laboratoire dans une
étude de béton. Nous avons pu voir comment le travail d’un résultat émis puisque le
laboratoire assure un rôle d’étude, d’expertise et aussi de contrôle (compactage, béton).
Ce stage restera une expérience très forte au niveau de notre formation.

39
Liste des Photos
Partie Théorie
Photo I.1 : les tamis ............................................................................................................. 6
Photo I.2 : Balance ............................................................................................................... 6
Photo I.3 : les grailles........................................................................................................................... 7
Photo I.4 : l’essai de masse volumique................................................................................................ 9
Photo I.5 : l’essai de la propreté .............................................................................................. 10
Photo I.6 : l’essaid’absorption ............................................................................................................10
Photo I.7 : La machine LA ................................................................................................. 11
Photo I.8 : La Machine Micro-Deval ................................................................................................12
Photo I.9 : l’essai MDE ......................................................................................................................12
Photo I.10 : Machine Agitatrice ......................................................................................... 14
Photo I.11 : l’essai de l’équivalent de sable. .....................................................................................15
Photo I.12 : l’essai de consistance......................................................................................................16
Photo I.13 : l’essai de prise de ciment ...............................................................................................19
Photo I.14: Le gâchage de béton ........................................................................................................20
Photo I.15 : affaissement au cône d’Abrams ..................................................................... 22
Photo I.16 : Mesure horizontale et verticale .....................................................................................29
Photo I.17 : Transmission directe, semi-directe et indirecte...........................................................31
Photo I.18 : Opération de carottage ................................................................................... 32
Partie Pratique
Photo II.1. : Les courbes des agrégats et la courbe du mélange et de référence ................ 38

Liste des Tableaux


Partie Théorie
Tab I.1 : valeur de A ............................................................................................................ 5
Tab I.2 : les résultats des essais sur gravier ....................................................................... 19
Tab I.3 : les résultats d’essais sur sable ..............................................................................................20
Tab I.4 : les résultats des Essai d’affaissement au cône d’Abrams..................................................22
Tab I.5 : Limites aux méthodes de préparation des faces d'appui .......................................... 25
Tab I.6 : bétons de masse volumique normale et de bétons lourds .................................................26
Tab I.7 : Accroissement de la force .................................................................................... 27

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