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du professeur
Sous la direction de Joël Malaval
Michel Bachimont
Jean-Luc Bousseyroux
Bernard Chrétien
Pierre-Antoine Desrousseaux
Fabrice Destruhaut
Anne Keller
Jean-Marc Lécole
Isabelle Lericque
Annie Plantiveau
Frédéric Puigredo
Joël Ternoy
Mickaël Védrine
Myriam Vialaneix
© Nathan 2019
25 avenue Pierre de Coubertin, 75013 PARIS
ISBN : 978-209-172909-1
ALGÈBRE
1 Suites numériques . . . . . . . . ........................................................... 5
2 Comportement d’une suite ...................................................... 23
3 Second degré . . . . . . . . . . . . . . . . ........................................................... 37
ANALYSE
4 Dérivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ........................................................... 57
5 Applications de la dérivation .................................................... 69
6 Fonction exponentielle . ........................................................... 89
7 Trigonométrie . . . . . . . . . . . . . . . ........................................................... 107
8 Fonctions sinus et cosinus . ...................................................... 127
GÉOMÉTRIE
9 Produit scalaire et calcul vectoriel ........................................... 143
10 Applications du produit scalaire ............................................... 161
STATISTIQUES ET PROBABILITÉS
11 Probabilités conditionnelles et indépendance . . ........................ 183
Sommaire ★ 3
3 a) • a1 = 0 , 25 × 64.
21 Par exemple, pour tout nombre n de , (fenêtre : 0 < X < 11, pas 1 et
v n = n2 − 3n + 1 -160 < Y < 0 , pas 10)
40 h6 = h4 + (6 − 4)r
Voici la valeur de v10 affichée dans la console : 0 = 8 + 2r c’est-à-dire r = −4.
Donc la suite arithmétique (hn ) a pour raison -4.
41 • Succursale A :
Ainsi, v10 » 0 ,668. 34 − 35 = 33 − 34 = −1 mais 31 − 33 = −2.
On ne peut pas modéliser le chiffre d’affaires de A
1 1 1
32 k1 = = = avec une suite arithmétique.
1 + k0 1 + 2 3
• Succursale B :
1 1 1 3
k2 = = = = 37 − 35 = 39 − 37 = 41 − 39 = 2.
1 + k1 1 + 1 4 4
On peut modéliser le chiffre d’affaires de B durant ces
3 3
4 mois avec une suite arithmétique de raison 2.
1 1 1 4
k3 = = = = Si l’évolution se poursuit ainsi, le chiffre d’affaires de
1 + k2 1 + 3 7 7
B, le mois n (avec n Î , n >1), sera 35 + 2(n − 1)
4 4
c’est-à-dire 33 + 2n.
43 u8 = u0 + 8r = 1 + 8 × (−10) = −79
3 1 1 5 S = 11u0 + 5 × (1 + 2 + + 10)
bn = − (n − 1) = − n +
4 2 2 4 10 × 11
S = 11× 2 + 5 ×
2
49 a) Pour tout nombre n de , S = 11× (2 + 25) = 11× 27 = 297.
an = a0 + nr
an = 7 − 2n 56 T = v 0 + (v 0 − 3) + (v 0 − 2 × 3) +
b) + (v 0 − 30 × 3)
a0 T = v 0 + v 0 + … + v 0 − 3 × (1 + 2 + … + 30)
31 termes
a1 = 1 1 1
57 E = w 0 + w 0 + + w 0 + 2 × +
2 2
O 1 2 3
1
+ w 0 + 15 ×
2
8
10
1
102 a) 1200 × 1 + + 800 = 2 012
100
Donc il y avait bien 2 012 € sur le compte d’Inès au
2 janvier 2001.
b) Pour tout nombre n de ,
On constate que pour n < 9, an > bn et que pour 1
Sn+1 = Sn 1 + + 800
n = 10, a10 < b10 . 100
À partir de n = 10, le nombre de timbres de Yasmine Sn+1 = 101
, Sn + 800
diminue de 30 par mois, alors que celui de Carole c) Avec la calculatrice, on tabule la suite (Sn ) définie
diminue d’au plus 24 par mois par S0 = 1200 et pour tout nombre n de ,
(car 700 ,28 × 3, 5 % ≈ 24 ). Donc, pour tout n >10, Sn+1 = 101
, Sn + 800.
an < bn . On constate que S20 » 19 079.
• Conclusion Au 2 janvier 2020, le solde du compte d’Inès s’élève à
Après 10 mois de ventes dans ces conditions, le environ 19 079 €.
nombre de timbres restants à Carole devient plus
important que celui de Yasmine. 103 a) On exécute Factorielle (5) et on obtient :
16
On pose Sn = 1 + 2 + 3 + … + n .
2
2 n−1
2 2
Sn = 11 + + + … + . 6
2 2 2 33
3
2 n 23
1 − 1
n 13
2 2 2
Sn = × = ( 2 + 1) 1 − 0 u1 u2 u3 … un - 1 un
2 2 2
1− Géométriquement, la somme 13 + 23 + + n3
2
représente ci-dessous, l’aire du carré de côté un .
130 On note un la distance, en m, entre les sacs et le Ainsi, pour tout nombre n de ,
n-ième arbre (avec 1< n < 20 ). 13 + 23 + + n3 = un2 = (1 + 2 + + n)2
Pour tout nombre n de avec 1< n < 20 ,
un+1 − un = 4 132 On note Tn le nombre de transistors dans les
et donc, un = u1 + 4(n − 1) tous nouveaux microprocesseurs de l’année
c’est-à-dire un = 15 + 4(n − 1) 1970 + n (avec n Î ).
soit un = 4 n + 11 D’après l’énoncé, T0 = 2 300 et pour tout nombre n
On note S = u1 + u2 + + u20 et D la distance par- de , Tn+1 = 1,40 × Tn .
courue par le jardinier. On souhaite déterminer le premier rang n tel que
D = 2S Tn >15 ´ 109.
D = 2(u1 + (u1 + 4) + + (u1 + 19 × 4)) On peut procéder avec un tableur ou une calculatrice.
D = 2 × [20 u1 + 4(1 + 2 + + 19)] On trouve n > 47.
19 × 20 Selon la loi de Moore, les scientifiques auraient pu
D = 2 × 20 × 15 + 4 ×
2 construire des ordinateurs quantiques à partir de
D = 2 × (300 + 4 × 190) 2017 !
D = 2 × (300 + 760) = 2120 Il n’en est rien car, comme dit dans le manuel, la
Au total, le jardinier aura parcouru 2 120 m. miniaturisation des composants demande mainte-
nant plus de temps.
18
134 1. a) F2 = F1 + F0 = 1 + 0 = 1
F3 = F2 + F1 = 1 + 1 = 2
F4 = F3 + F2 = 2 + 1 = 3 Nombres
b) X ¬ 0 de couples 1 1 2 3 5 8
Y ¬1 e
Au 7 mois, parmi les 8 couples existants, seuls 5 sont
Afficher X, Y adultes (trame grise) et vont procréer. Il y aura donc
Pour i allant de 2 à n 13 couples (8 + 5 = 13).
Z←X+Y Plus généralement, le nombre de couples Fn+2 au
X¬Y mois n + 2 est égal au nombre de couples adultes, à
Y¬Z savoir ceux présents au mois n + 1, Fn+1, plus ceux
Afficher Z nés au mois n (et qui vont donc devenir adultes au
Fin Pour mois n + 2 ), Fn .
20
22
24
= 3 × (−2)2k +1. 30 a) x −∞ -1 +∞
2 k +1
Comme (−2) < 0 , les termes impairs de la suite
(un ) sont décroissants. f (x)
0
Par conséquent la suite (un ) n’est ni croissante ni
décroissante. La fonction f définie par f( x) = ( x + 1)2 est croissante
sur [0 ; + ∞[ , donc la suite (un ) est croissante.
23 La fonction f est croissante sur l’intervalle b) x −∞ 0 +∞
[0 ; + ∞[ , donc la suite (un ) est croissante.
f (x)
24 La suite (un ) est croissante à partir du rang 2.
10
25 a) x 0 +∞ La fonction f définie par f( x) = 2 − est décrois-
x
+∞ sante sur [0 ; + ∞[ , donc la suite (un ) est décrois-
f (x)
0 sante.
b) La suite (un ) définie sur par un = n2 a le même 31 La fonction f définie par f( x) = x2 − 200 x est
sens de variation que la fonction f définie sur décroissante sur ]− ∞ ; 100 ], puis croissante sur
[0 ; + ∞[ par f( x) = x2 , elle est croissante. [100 ; + ∞[ , donc la suite (un ) est croissante à partir
du rang 100.
26 a) x 0 +∞ Laura se trompe.
f (x)
On en déduit que la suite (bn ) définie sur par b) w n est de la forme f (n), avec f la fonction définie
un = 2 − n2 a le même sens de variation que la fonc- sur ]0 ; + ∞[ par :
tion f définie sur [0 ; + ∞[ par f( x) = 2 − x2 , elle est 1
f( x) = 2 + .
décroissante. x+3
40 a)
mn+1 0 , 6 × 1, 22n+1
La suite (un ) semble décroissante. b) = = 1, 22 > 1, la suite (mn ) est
mn 0 , 6 × 1, 22n
2n+1 croissante.
un+1 n +2 2n+1 7n+1 2 2. a) m48 » 8383 g, m72 » 990966 g.
b) = 7 n = n +2 × n = .
un 2 7 2 7 b) La masse de la culture dépasse 20 kg au bout de
n+1
7 53 h.
2 3. Le modèle choisi par les étudiants se traduit par
c) < 1, donc un+1 < un , la suite (un ) est décrois-
7 une augmentation infinie de masse.
sante.
26
La suite (w n ) semble tendre vers 5. 62 a) Le coefficient qui permet de modéliser l’évo-
9
lution de population est 1 − = 0 , 91. On a donc
58 a) v 0 = 3 × 0 , 4 0 = 3, v1 = 3 × 0 , 4 = 1, 2, 100
v n = 1250 × 0 , 91n.
v 2 = 3 × 0 , 4 2 = 0 , 48 ,
b) En 2020 il y aura 1250 ´ 0 , 914 soit environ 857
v 3 = 3 × 0 , 4 3 = 0 ,192, v 4 = 3 × 0 , 4 4 = 0 , 0768.
gazelles.
b)
c) La population de gazelles sera inférieure à 100 indi-
vidus en 2047.
d) La suite (v n ) semble tendre vers 0. La population
0 < v n < 10−3 0 < v n < 10−6
de gazelles va s’éteindre.
pour n > 8. pour n > 16.
c) La suite (v n ) semble tendre vers 0. 63 a) La limite de la suite 1 semble être +∞,
b) la limite de la suite 1 semble être −∞.
1 1 1 1
59 a) u2 = 2
= , u3 = 2 = ,
2 4 3 9 64 a) La limite de la suite semble être +∞,
1 1 1 1 b) la limite de la suite semble être −∞.
u4 = 2 = , u5 = 2 = .
4 16 5 25
b) 65 a) La limite de la suite (un ) semble être +∞,
b) La limite de la suite (v n ) semble être 5,
c) La limite de la suite (un ) semble être −∞.
0 < un < 10−2 0 < un < 10−4
pour tout entier n > 10. pour tout entier n > 100.
c) La suite (un ) semble tendre vers 0.
28
b) un < −100 pour n > 11, un < −1000 pour
n > 32.
c) La suite (un ) semble tendre vers −∞.
67 a)
3 n
69 a) un = 0 ,1×
2
b)
b)
La suite (un ) semble croissante à partir du rang 2.
2. f ′( x) = 2 x − 4, f ′( x) > 0 pour x > 2.
x 0 2 +∞ Il y aura plus de 100 000 pies à partir de l’année 38.
f ¢(x) - +
82 b) t n > 100 pour n > 8, t n > 1000 pour
6
n > 19, t n > 10000 pour n > 57, t n > 106 pour
f (x)
n > 568.
2
c) La suite (t n ) semble avoir pour limite +∞.
La suite (un ) a le même sens de variation que la fonc-
tion f, elle est croissante à partir du rang 2. 83 1. a) un = u0 + nr .
b) a = n et b = u0
76 1. (un ) figure 1, (v n ) figure 2 et (w n ) figure 3. c) Si a > 0, la fonction f est croissante sur [ 0 ; + ∞[
2. a) 1, 99 < v n < 2 pour n > 300 et la suite (un ) est croissante. Si a < 0, la fonction f
b) v n < −1010 pour n > 18 est décroissante sur [ 0 ; + ∞[ et la suite (un ) est
c) v n > 106 . pour n > 995. décroissante.
3. La suite (un ) semble tendre vers +∞. La suite 5 5
2. a) f( x) = x − 1, > 0 , la fonction f est crois-
(v n ) semble tendre vers 2 2 2
La suite (w n ) semble tendre vers −∞. sante, la suite (un ) est croissante.
b) f( x) = (1 − 2 )x + 7,1 − 2 < 0 , la fonction f est
décroissante, la suite (un ) est décroissante.
30
91 a)
b)
on a n = 4 on a n = 7
c) La suite (un ) semble tendre vers −∞ et confirmer
les conjectures.
La valeur affichée en sortie pour n est 13. Le salaire 101 La suite qui modélise le nombre de joueurs au
annuel dépassera 18 000 € la treizième année. bout de n semaines est définie par u0 = 7500 et
pour tout entier naturel n par un+1 = 0 , 8un + 300.
97 a)
En utilisant un tableur, on conjecture que (un ) est
décroissante et tend vers 1 500. On considère la suite
(v n ) définie par v n = un − 1500.
v n+1 − v n = 0 , 8(un − 1500) = 0 , 8v n .
La suite (v n ) est définie par v n = 6 000 × (0 , 8)n .
On a donc un = 6 000 × (0 , 8)n + 1500.
1 − 1, 5n+1 Pour tout entier n, un > 1500 Le jeu sera maintenu
b) Sn = u0 = −2(1 − 1, 5n+1)
1 − 1, 5 sur le site
c) Comme (1, 5n+1) semble tendre vers +∞, il
semble que (Sn ) tende aussi vers +∞. 102 a) La suite est géométrique de raison q, avec
0 < q < 1. Elle est donc décroissante.
98 a) Vrai, la suite (un ) est décroissante et tend
b) On utilise un programme en langage Python pour
vers 0.
déterminer en quelle année les sacs seront interdits :
b) Faux, u0 = 500 > 100
on obtient n = 10.
c) Faux un = 500 × 0 , 5n ≠ 0.
d) Vrai, à partir d’un certain rang, tous les termes de Les sacs seront interdits en 2029.
la suite (un ) seront inférieurs à 5.
e) Vrai, la suite (un ) est décroissante de premier
terme égal à 500.
f) Faux, la suite (un ) est décroissante de premier
terme égal à 500.
106 a) S0 = 1, S1 = 11
, , S2 = 111
, , S3 = 1111
, et
104 1. a) (un ) : est définie par u0 = 200 000 et S4 = 11111
, .
un+1 = 0 , 987un . b) Sn est la somme des n + 1 premiers termes de la
(v n ) : est définie par v 0 = 150 000 et v n+1 = 1, 015v n . suite géométrique de premier terme 1 et de raison
b) 1
.
10
1 n+1
1 −
10 1
n+1
10
Sn = = 1 − .
1−
1 9 10
10
1 n+1
tend vers 0 quand n tend vers l’infini, la limite
10
10
de la suite (Sn ) est .
9
3 3
107 a) T0 = , T1 = .
4 16
b) Notons pn la partie de Tn non coloriée.
3
On a pn+1 = pn .
4
3
c) La population de la ville A semble décroitre, celle La suite ( pn ) est géométrique de raison et de pre-
de la ville B semble croitre. n 4
3 3 3
mier terme donc pn = × .
2. La population de la ville B, dépassera celle de la 4 4 4
ville A en 2015 + 11, soit en 2026.
3 3
n
La partie colorée du triangle Tn est × 1 − .
105 1. pn+1 = 0 , 99 pn avec p0 = 1000. 4 4
2. a) n ¬ 0 3 n
Le plus petit entier n tel que 1 − > 0 , 99 est 17.
p ¬ 1000 4
Tant que p > A
c) On conjecture que la limite de la suite des aires des
n ← n +1
3
p ¬ 0 , 99 p triangles Tn est .
4
Fin de tant que
Afficher n´100
108 a) Une perte de 20 % du chiffre d’affaire se tra-
b) duit par un coefficient égal à 0,8, les clients qui
s’abonnent entrainent une augmentation de 18 :
un+1 = 0 , 8un + 18 et u0 = 65.
b) La recette ne dépassera pas 4 420 € en 2018
(u5 = 4 254 , 016).
3. a)
•
La pression atmosphérique est égale à c) La recette mensuelle de la société tend vers 4 680 €
800 mbar, approximativement à 2 300 m. du fait de la stabilisation du nombre de clients à 90.
34
36
−0 , 3( x − 4)2 + 4 , 8 = 2, 82
Découvrir −0 , 3( x − 4)2 = −4 , 8 + 2, 82
−0 , 3( x − 4)2 = −1, 98
−1, 98
( x − 4)2 =
−0 , 3
( x − 4)2 = 6 , 6
1 Équation du second degré
et forme canonique x − 4 = 6 , 6 ou x − 4 = − 6 , 6
x = 4 + 6 , 6 ou x = 4 − 6 , 6
1 f( x) = x(−0 , 3 x + 2, 4)
On résout f( x) = 0 {
6 = 4 + 6, 6 ; 4 − 6, 6 . }
x = 0 ou −0 , 3 x + 2, 4 = 0 b) À 0,9m au-dessus de l’eau, la largeur du pont
x = 0 ou x =
−2 , 4 ( )
est égale à 4 + 13 − 4 − 13 = 2 13 m,
−0 , 3 soit environ 7, 21 m > 3, 90 m.
x = 0 ou ou x = 8 À 2,92 m au-dessus du niveau de l’eau, la largeur
La largeur du pont est égale à 8 m. de l’arche est égale à :
5 9 5 9 26 a) f( x) = ( x − 5)( x − 4)
21 −(−1)2 + × (−1) + = −1 − + = 0.
4 4 4 4 b) ( x − 5)( x − 4) = 0
-1 est une racine.
x − 5 = 0 ou x − 4 = 0
2 x = 5 ou x = 4
1 1 1 1 2 1 1
22 a) x + − = x + x + −
2 2 2 2 4 2 6 = {4 ; 5}.
1 2 1 3
= x + x−
2 2 8 27 a) f( x) = x[2( x + 1) − ( x − 4)]
b) x2 − ( x2 + 2 x + 1) = −2 x − 1 f( x) = x( x + 6)
1 −2 x 2 − 4 x + 3 −2( x + 1)2
30 > 0 donc g est du signe de (4t − 1)(3t − 2)
2 -2 x 2 - 8 x - 5 −2( x + 2)2 + 3
1 2
t −∞ +∞ -2 x 2 - 4 x - 2 −2( x + 1)2 + 5
4 3
4t - 1 - 0 + + 39 a) ∆ = (−5)2 − 4 × 2 × (−3) = 49
3t - 2 - - 0 + 49 > 0 , donc l’équation a deux solutions :
g(t ) + 0 - 0 + 5 − 49 1 5 + 49
x1 = = − ou x2 = =3
2×2 2 2×2
31 (2) en développant le membre de droite on 1
6 = − ; 3.
démontre l’égalité. 2
1
32 a) forme (3) b) ∆ = (−2)2 − 4 × 3 × = 0.
3
L’équation a une solution :
33 a) formes (4) et (2) 2 1
x0 = =
2×3 3
34 a) ∆ = 22 − 4 × 2 × (−1) = 12 1
12 > 0 : donc l’équation a deux solutions. 6 = .
3
b) ∆ = 32 − 4 × (−1) × (−4) = −7. c) L’équation peut s’écrire :
−7 < 0 donc l’équation n’a pas de solution. x2 + 2 x − 35 = 0
4
c) ∆ = (−4)2 − 4 × 3 × = 0 donc l’équation a une ∆ = (2)2 − 4 × 1× (−35) = 144.
3 144 > 0 , donc l’équation a deux solutions :
solution.
1 −2 − 144 −2 + 144
35 ∆ = 4 2 − 4 × × 8 = 0 donc l’équation a une x1 = = −7 ou x2 = =5
2 2 ×1 2 ×1
unique solution. 6 = {−7 ; 5}.
Octave a tort. d) ∆ = 12 − 4 × 1× 9 = −35. ∆ < 0, donc l’équation
5 n’a pas de solution. 6 = ∅ .
36 f( x) = 4 x2 + 2 x −
4
2 2 5 40 a) ∆ = 12 − 4 × (−3) × 4 = 49
f( x) = 4 ( x + 1) − 1 − 49 > 0 : l’équation a deux solutions :
4
9 −1 − 49 4 −1 + 49
f( x) = 4 ( x + 1)2 − x1 = = ou x2 = = −1
4 2 × (−3) 3 2 × (−3)
40
42
Pour f( x) = 2 x2 + 3 x + 4 on obtient :
Les courbes semblent avoir deux points d’intersec-
tion d’abscisses x1 » 0 , 4 et x2 » 11, 7
b) En raison de la racine carrée, l’équation n’a de sens
que si x > 0 .
1 1
Soit f( x) = 2( x + 0 , 75)2 + 2, 875 De plus, pour x réel positif, x + est positif.
4 2
Deux nombres positifs sont égaux si et seulement si
83 a) leurs carrés sont égaux.
2
De plus, x étant positif, x = x
L’équation est, pour tout x ∈ [0 ; + ∞[ , équivalente
2
1 1
à : x + = x
4 2
c) L’équation précédente peut s’écrire :
1 2 3 1
x − x+ =0
16 4 4
On calcule le discriminant :
3 2 1 1 8 1
∆ = − − 4 × × = =
4 16 4 16 2
Les courbes # f et # g semblent avoir deux points ∆ > 0 donc l’équation a deux solutions :
d’intersection. Le premier a pour abscisse x1 ≈ −0 , 85 3 1 3−2 2
−
et le second x2 » 2, 35 4 2 4
x1 = = = 6−4 2
b) Les abscisses des points d’intersection des courbes 1 1
2×
# f et # g sont les solutions dans * de l’équation 16 8
3 1 3+2 2
f ( x) = g( x) c’est-à-dire : +
1 3 1 x2 = 4 2 = 4 =6+4 2
x− = 1 1
2 4 x 2×
1 3 16 8
Dans * cette équation équivaut à x − x = 1 Les deux solutions trouvées sont positives donc les
2 4
1 3
c’est-à-dire x2 − x − 1 = 0. abscisses des points d’intersection de # f et # g sont
2 4 6 - 4 2 et 6 + 4 2 .
3 2 1 41
∆ = − − 4 × × (−1) =
4 2 16 85 1. a) ∆ = b2 − 4 ac
∆ > 0 donc l’équation a deux solutions : a et c sont de signes contraires donc leur produit est
3 41 négatif et par conséquent -4 ac > 0
−
4 16 3 − 41 D est donc la somme de deux nombres positifs donc
x1 = = et
1 4 est positif : l’équation aura donc au moins une solution.
2×
2 b) Pour que l’équation ait deux solutions réelles dis-
3 41 tinctes, il faut que D soit strictement positif.
+
x2 = 4 16 = 3 + 41 Or dans ce cas, ∆ = 0 si et seulement si b = c = 0.
1 4 Ainsi pour que l’équation ait deux solutions distinctes,
2×
2 il suffit que b ou c soit non nul.
Donc # f et # g ont deux points d’intersections 2. x2 + 2 x + 1 = 0 est équivalente à ( x + 1)2 = 0.
d’abscisses x1 et x2 . L’équation admet donc une unique solution x = −1
On vérifie que x1 ≈ −0 , 85 et x2 » 2, 35 mais a et c sont tous les deux positifs.
46
x1 =
−10 − 256
= −13 ou x2 =
−10 + 256
=3 D( x) = π2 x −
2 2 4
b) On retrouve bien les mêmes solutions. π
D( x) = (−x2 + 4 x).
2
101 On note a et b les longueurs des côtés adjacents b) Par la méthode de la complétion du carré :
à l’angle droit. On sait que a > 0 et b > 0 π
D( x) = − ( x − 2)2 + 2π.
D’après les données, on obtient le système : 2
ab = 429 × 2 L’aire de la partie bleue est maximale lorsque M est le
2 milieu de [AB] et Dmax = 2π.
a + b2 = 72, 52
π 3
858 c) On doit avoir : π < (−x2 + 4 x) < π
L’équation 1 donne : b = ce qui en substituant 2 2
a c’est-à-dire x2 − 4 x + 2 < 0 et −x2 + 4 x − 3 < 0
dans l’équation 2 :
736 164 avec 0 < x < 4.
a2 + = 5 256 , 25
a2 • x2 − 4 x + 2 = 0
Soit : a 4 − 5 256 , 25a2 + 736 164 = 0 4+2 2
∆ = 8; x1 = = 2 + 2 et x2 = 2 − 2 .
On pose X = a2 2
x 0 2- 2 2+ 2 4
Cela revient à résoudre :
X2 − 5 256 , 25X + 736 164 = 0 x2 − 4 x + 2 + - +
2
On calcule le discriminant : • −x + 4 x − 3 = 0.
∆ = (−5 256 , 25)2 − 4 × 736 164 = 24 683 508 , 062 5 ∆ = 4 ; x3 = 1 et x4 = 3.
52
Chapitre 4 ★ Dérivation 57
11 a) g est dérivable sur et pour tout nombre g(1 + h) − g(1) −(1 + h)2 + 3(1 + h) − 1 − (1)
=
réel x, g ′( x) = −12 x2 + 2 x. h h
1 g(1 + h) − g(1) −h2 + h h(−h + 1)
b) Pour tout nombre réel x, f( x) = (2 x2 − x). = = = −h + 1.
5 h h h
f est dérivable sur et pour tout nombre réel x, b) La limite de −h + 1 lorsque h tend vers 0 est 1
1 donc g est dérivable en 1 et g ′(1) = 1.
f ′( x) = (4 x − 1).
5
c) h est le produit de deux fonctions dérivables sur 21 a) Pour tout nombre réel h avec h > −1 et
et pour tout nombre réel x, h ¹ 0,
h′( x) = 2( x2 − 2 x + 2) + (2 x − 5)(2 x − 2) 4
−4
h′( x) = 2 x2 − 4 x + 4 + 4 x2 − 14 x + 10 f (1 + h) − f (1) 1 + h 4 − 4(1 + h)
= =
h h h(1 + h)
h′( x) = 6 x2 − 18 x + 14.
f (1 + h) − f (1) −4 h −4
= = .
12 g est le quotient de deux fonctions dérivables h h(1 + h) 1 + h
sur ]− ∞ ; 4[ et ]4 ; + ∞[ donc g est dérivable sur −4
b) La limite de lorsque h tend vers 0 est -4
chacun de ces intervalles. 1+ h
Pour tout nombre réel x ¹ 4, donc f est dérivable en 1 et f ′(1) = −4.
58
1
37 Pour tout x de * , g ′( x) = − . 0 1 1
x2
4
1 1
a) g ′(1) = −1 b) g ′(2) = − 2. a) Pour tout nombre réel x > 0, g ′( x) =
4 1 2 x
1 donc g ′(1) = .
1 2
c) g ′(−2) = − d) g ′ = −4
4 2 b) Voir graphique ci-dessus.
3. a) Les droites T et T ¢ semblent parallèles.
1 b) Les droites T et T ¢ ont la même pente car
38 Pour tout nombre réel x > 0, f ′( x) = .
2 x 1 1
a) L’égalité est vraie. f ′ = g ′(1) = donc elles sont parallèles.
4 2
b) L’égalité est fausse.
c) L’égalité est vraie. 42 Une équation de la tangente au point d’abs-
cisse 1 à la courbe :
39 a) Pour tout nombre réel x, f ′( x) = 3 x2 # f : y = f ′(1)( x − 1) + f (1), y = 2( x − 1) + 1,
donc f ′(2) = 12. y = 2 x − 1. Il s’agit de T3 .
b) Une équation de la tangente T à # au point d’abs- # g : y = g ′(1)( x − 1) + g(1), y = −1( x − 1) + 1,
cisse 2 est : y = −x + 2. Il s’agit de T1.
y = f ′(2)( x − 2) + f (2), soit y = 12( x − 2) + 8 , 1
# h : y = h′(1)( x − 1) + h(1), y = ( x − 1) + 1,
2
y = 12 x − 16. 1 1
y = x + . Il s’agit de T2 .
c) 2 2
A
8 43 a) Pour tout t de * , f (t ) = t −3 donc n = −3.
b) Pour tout t de * , f ′(t ) = −3t −4 .
−3
c) Donc, pour tout t de * , f ′(t ) = 4 .
t
#
44 Pour tout nombre réel x, f ′( x) = 3 x2 + 2 x.
L’expression est donc (2).
51 Pour tout nombre réel x de ]0 ; + ∞[ , 59 a) g est la fonction définie sur [0 ; + ∞[ par
x −1 g(X) = X .
f ′( x) = x + donc f ′(1) = 1.
2 x g est dérivable sur ]0 ; + ∞[ et pour tout nombre
La tangente à # au point d’abscisse 1 a pour équation 1
y = f ′(1)( x − 1) + f (1), soit y = 1( x − 1), y = x −1. réel X > 0, g ′(X) = .
2 X
Cette tangente est bien la droite d.
b) f est dérivable en tout nombre réel x tel que
4
52 a) Pour tout nombre réel x, u ′( x) = 5. 3 x + 4 > 0. Ainsi f est dérivable sur − ; + ∞ et
b) Pour tout nombre réel x, 3
g ′( x) = 2 × 5 × (5 x + 7) = 10(5 x + 7) 4
pour tout nombre réel x tel que x > − ,
3
1 3
53 Pour tout nombre réel x, ′
f ( x) = 3 × ′
, f ( x) = .
a) f ′( x) = 2 × (−3)(−3 x + 5) = −6(−3 x + 5) 2 3x + 4 2 3x + 4
1
b) g ′( x) = 2(2 x + 4) x2 + 4 x − 60 1. B 2. C 3. A
2
Chapitre 4 ★ Dérivation 61
S'entraîner
En effet, pour tout nombre réel x,
f ′( x) = 6 x2 + 6 x − 12.
Donc f ′(−2) = 0 et f ′(1) = 0.
3. L’affirmation est fausse.
1
En effet, pour tout nombre réel x > ,
4
4 2 68 1. a) Pour 0 < h < 1, la pente de la sécante
g ′( x) = = .
2 4x −1 4x −1 (OM) est :
g(h) − g(0) h2 + 2h h(h + 2)
63 h est un nombre réel, h ¹ 0. c= = = = h + 2.
h h h
a) f (1 + h) = 3(1 + h)2 = 3(1 + 2h + h2 ) L’algorithme s’écrit :
f (1 + h) = 3 + 6h + 3h2 .
h ¬1
f (1 + h) − f (1) 3 + 6h + 3h2 − 3
b) = Tant que h > 0
h h
f (1 + h) − f (1) 3h(h + 2) c ← h+2
= = 3(h + 2). Afficher c
h h
c) 3(h + 2) a pour limite 6 lorsque h tend vers 0 donc h ← h − pas
f est dérivable en 1 et f ′(1) = 6. Fin Tant que
c) Avec pas = 0,1, on obtient :
1
64 Pour tout nombre réel x ¹ 0, f ′( x) = − 2 donc h 1 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0,1
x
1 c 3 2,9 2,8 2,7 2,6 2,5 2,4 2,3 2,2 2,1
f ′ = −4.
2
2. a) Lorsque h tend vers 0, la droite T position limite
La pente de la tangente T à # au point A est -4 et
des sécantes (OM) est la tangente à la courbe repré-
T est donc parallèle à d.
sentative # de g au point O.
65 a) Pour tout nombre réel x, g ′( x) = 3 x2 donc La limite de la pente c lorsque h tend vers 0 est égale
g ′(1) = 3. à 2 donc une équation de T est y = 2 x
b) Une équation de T est : b) Ce nombre est la pente de T, soit g ′(0) = 2.
y = g ′(1)( x − 1) + g(1), soit y = 3( x − 1) + 2,
y = 3 x − 1. 69 a) Pour h tel que 1 < 1 + h < 2,
1
66 a) Pour tout nombre réel x ¹ 5, −1
f (1 + h) − f (1) 1 + h −h 1
u( x) = −2 x + 3 et v( x) = x − 5. = = =−
h h h(1 + h) 1+ h
b) Pour tout nombre réel x ¹ 5,
u ′( x) = −2 et v ′( x) = 1. b) Le programme calcule et affiche le taux de varia-
c) Pour tout nombre réel x ¹ 5, tion de f entre 1 et 1+ h pour des valeurs de h de
u ′( x)v( x) − u( x)v ′( x) plus en plus proches de 0.
f ′( x) =
(v( x))2 h est initialisée à 1 et diminue de la valeur pas à
−2( x − 5) − (−2 x + 3) chaque passage dans la boucle tant que h > 0.
f ′( x) =
( x − 5)2 c) On obtient les taux de variation successifs avec un
7 pas de 0,01.
f ′( x) =
( x − 5)2
71 a) On conjecture que l’aire du triangle est
constante égale à 2.
b) Si a > 0, l’aire du triangle OAB est égale à
1 2
× 2a × = 2.
2 a
Si a < 0, ’aire du triangle OAB est égale à
1 2
(−2a) × − = 2.
2 a
62
Chapitre 4 ★ Dérivation 63
x1 =
(
20 5 + 7 )≈ 50 , 97 et
91 1. Une équation T est :
3
y = 2( x − 1) + 1, y = 2 x − 1.
2. a) Pour h ¹ 0, x2 =
(
20 5 − 7 ) ≈ 15, 69
3
yM = (1 + h)2 et yP = 2(1 + h) − 1 = 1 + 2h.
La production de l’entreprise doit être comprise entre
b) Pour h proche de 0, yM » yP , c’est-à-dire : ces deux valeurs.
(1 + h)2 ≈ 1 + 2h.
96 a) Pour tout nombre réel x,
3. (1, 001)2 ≈ 1 + 0 , 002, (1, 001)2 ≈ 1, 002,
x2 + 2 x = −x2 + 6 x − 2 équivaut à
(0 , 995)2 ≈ 1 − 0 , 01, (0 , 995)2 ≈ 0 , 99
2 x2 − 4 x + 2 = 0 , soit 2( x − 1)2 = 0.
L’unique solution de cette équation est x = 1.
92 a) La proposition est vraie. Les deux courbes ont un unique point commun, le
1
En effet, pour tout nombre réel x ¹ 0, f ′( x) = − point A de coordonnées (1 ; 3).
x2 b) f : x x2 + 2 x a pour dérivée f ¢ : x 2 x + 2
donc f ′( x) < 0.
donc f ′(1) = 4.
b) La proposition est vraie.
g : x −x2 + 6 x − 2 a pour dérivée g ¢ :
En effet, f ′(1) = −1. x −2 x + 6 donc g ′(1) = 4.
c) La proposition est fausse. f ′(1) = g ′(1) donc les deux courbes ont une tangente
En effet, f ′(−0 , 5) = −4 et f ′(−0 , 5) < −1. commune au point A.
Chapitre 4 ★ Dérivation 65
Chapitre 4 ★ Dérivation 67
68
Découvrir
sant sur les intervalles où f ′(t ) < 0 et que le prix
de l’action est croissant sur l’intervalle où
f ′(t ) > 0.
37 f ′( x) = 6 x2 − 6 x − 36. f ¢(x) + 0 - 0 +
b) f ′( x) = 0 si et seulement si x = 3 ou x = −2 64 -12
x −∞ -2 3 +∞ f(x) 3 64
-
f ¢(x) + 0 - 0 + 12 3
45 4 64
f(2) = × 23 − 16 × 2 = .
f(x) 3 3
64
-80 f est impaire donc f (−2) = −f (2) =
3
c) 45 est un maximum local de f et -80 est un mini-
40 a) Fenêtre -1 < X < 2, pas 0,5
mum local de f.
-2 < Y < 5, pas 1
38 a) Fenêtre -6 < X < 6 , pas 1
-0 , 5 < Y < 0 , 5 pas 0,5
x -4 -2 0 b
45 − = 2.
f ¢(x) + 0 - 2a
6 f est décroissante sur l’intervalle ]− ∞ ; 2] et f est
f (x) croissante sur l’intervalle [2 ; + ∞[.
5
46 Elle se trompe, ce n’est pas le signe de b = −5
qui permet de donner la nature de l’extremum mais
42 a) g est dérivable et g ′( x) = 3 x2 − 18 x + 24.
celui de a = 2. a > 0 donc la fonction f admet un
g ′( x) = 0 si et seulement si x = 2 ou x = 4.
minimum sur .
x −∞ 2 4 +∞
g¢(x) + 0 - 0 + b −4
47 − =− = −2 et f(−2) = 5
17 2a −2
g(x) donc réponse (3).
13
48 f ′( x) = 2 x − 4 et f ′( x) = 0 pour x = 2
b) D’après a), g admet un maximum local égal à 17 en
x = 2 et un minimum local égal à 13 en x = 4. f ′( x) > 0 sur l’intervalle [2 ; + ∞[ et f ′( x) < 0 sur
l’intervalle ]− ∞ ; 2].
c) Sur l’intervalle [2 ; + ∞[ g admet 13 pour mini-
mum local, donc pour tout x > 2, g( x) > 13.
49 f( x) = x2 + x − 2 est une fonction polynôme
2
43 a) h′( x) = 2 x − 3 x = x(2 − 3 x) de degré 2 donc sa courbe représentative dans un
2 repère est une parabole.
h′( x) = 0 si et seulement si x = 0 ou x = .
3 Iheb a donc raison.
2
x 0 1
3 50 A et B ont la même ordonnée et
h¢(x) 0 + 0 - xA + xB 3 +1
= = 2 = xS
4 2 2
h(x) 27 Lison a donc raison.
0 0
1
b) 0 est le minimum de h sur l’intervalle [0 ; 1], donc 51 a) f admet un minimum sur car a = et
3
h( x) > 0 sur [0 ; 1.] a > 0.
c) La position relative, dans un repère, de la courbe b −4
Il est obtenu en − = = −6 et sa valeur est
représentative de la fonction x x2 et de la courbe 2a 2 × 1
3
représentative de la fonction x x3 est donnée par f(−6) = −12
le signe de x2 - x3 c’est-à-dire de h( x). Or d’après b), 3
b) a = − et a < 0 donc l’extremum local est un
pour tout x de l’intervalle [0 ; 1], h( x) > 0 donc 2
x2 > x3 . Ainsi la courbe de la fonction carrée est maximum, il est obtenu pour
b −4 4 4 8
située au-dessus de celle de la fonction cube sur [0 ; 1]. x=− = = et sa valeur est f = .
2a 3 3 3 3
2 × −
44 a) f ′( x) = 3 x2 − 3 2
b) Sur [0 ; + ∞[ f ′( x) = 0 si et seulement si x = 1 c) f( x) = ( x − 5)2 est la forme canonique de f( x). Ici,
x 0 1 a = 1 et a > 0 donc l’extremum local est un minimum,
+∞
il est obtenu en x = −5 et sa valeur est f(5) = 0.
f ¢(x) - 0 +
d) f( x) = −3( x + 1)2 est la forme canonique de f( x).
Ici, a = −3 et a < 0 donc l’extremum local est un
f (x)
maximum, il est obtenu en x = −1 et sa valeur est
0 f(−1) = 0.
74
g (x)
1
-
3 4
1
b) Pour tout x de l’intervalle ] 3 ; 4 [ , g( x) > −
1 4
donc < − 4.
1
g( x)
–
2
-4 5
56 a) T : y = f ′(1)( x − 1) + f (1) avec f ′( x) = 6 x
-–
4 y = 6( x − 1) + 4
y = 6x − 2
b) g( x) = 3 x2 − 6 x + 3
g est dérivable sur et pour tout x, g ′( x) = 6 x − 6.
-3
g ′( x) = 0 si et seulement si x = 1.
x −∞ 1 +∞
76
x 0 3 3
S¢(x) + 0 -
16 3
S(x) 3
0 0
( 3 ) = − 89 ( 3 ) 16 3
3
68 a) h(−105) = 1 et h(4) = −108 S +8 3 = .
Pour tout x < 5, h( x) < 2. 3
Ainsi, l’ordonnée des points d’abscisses strictement L’aire du rectangle est donc maximale lorsque l’abs-
inférieures à 5 et supérieures ou égales à -105 est cisse du point A est 3.
strictement inférieure à 2 donc les points à coordon-
nées entières de G ont une abscisse comprise entre 71 a) On conjecture que l’aire du triangle ABC rec-
-105 et 4. tangle en B est maximale lorsque C a pour coordon-
b) 64
nées 2 ; .
9
b) On note x l’abscisse de B (-6 < x < 6 ) et S( x)
l’aire du triangle ABC en fonction de x.
Le point C a pour coordonnées ( x ; h( x)) car C appar-
tient à #.
1 1
S( x) = AB × BC = ( x + 6) × h( x)
2 2
1 2
S( x) = ( x + 6)− x2 + 8.
2
9
80
82
1 1 2 1 3 x 0 3 0,2
f = − + 1 =
2 2 2 4 15
! ¢(x) + 0 -
Le point de # le plus proche de A est donc
1 3 3
M ; . ! (x)
2 2 90
0 0
95 On note x et y les dimensions d’un box.
Les douze box nécessitent 16 x + 15 y de clôture 3 3 3 3
! = −6 , 25 + 0 , 25
donc 16 x + 15 y = 2.
15
15 15
L’aire des douze box est 12xy, c’est-à-dire
3 3
2 − 16 x 3
12 x
1
= x(2 − 16 x) avec 0 < x < . ! =
15 5 8 15 90
1 L’abscisse du point M pour laquelle l’aire du rectangle
! est la fonction définie sur 0 ; par
4
8 3
!( x) = (2 x − 16 x2 ) bleu est maximale est .
5 15
4
!′( x) = (2 − 32 x).
5 97 La durée du trajet de 1000 km à la vitesse
1 1000
!′( x) = 0 si et seulement si, x = . moyenne v est t = .
16 v
On dresse le tableau de variations de la fonction !.
Le salaire du chauffeur sera donc de :
1 1
x 0 1000 10 200
16 8 10 , 20 × = .
v v
!¢(x) + 0 -
La consommation en litres pour 1000 km sera de
1
6 000
!(x) 20 100(v ) = + 2v .
v
0 0
Le litre de carburant coûte 1,5 € donc le coût du car-
2 16 2 16 1 1 6 000 9 000
ymax = − xmax = − × = burant sera de 1, 5 + 2v = + 3v .
15 15 15 15 16 15 v v
Les dimensions d’un box qui donnent le maximum
1 Le prix de revient est alors :
d’espace aux animaux sont km c’est-à-dire 62,5 m
1 16 10 200 9 000 19 200
sur km c’est-à-dire 66,7 m. P(v ) = + + 3v = + 3v.
15 v v v
19 200
96 On note x l’abscisse du point M de P ′(v ) = − +3
v2
3(0 < x < 0 , 5).
3 a pour sommet le point S(0 ; − 0 , 25) donc la 3(−6 400 + v 2 ) 3(80 + v )(80 − v )
= = .
fonction f dont la courbe représentative est 3 est v2 v2
définie sur [0 ; 0 , 5] par f ( x) = a x2 − 0 , 25. Sur ]0 ; + ∞[ , P ′(v ) = 0 si et seulement si v = 80.
84
=
8 x(2 + x2 ) ( 2−x )( 2+x ) p
4–
p–
(4 + x 4 )2 6
- 3
3
f ′( x) = 0 si et seulement si x = 0 ou x = 2 ou -1 O 1
3
x = − 2. p 3
- 6–
Le signe de f ′( x) est celui de 8 x(2 − x2 ) car - p4–
(4 + x 4 )2 > 0 et 2 + x2 > 0.
x −∞ - 2 0 2 +∞
101 To find latitude and longitude of the southern-
8x - - 0 + +
most point at which the full eclipse could viewed, we
2 - x2 - 0 + + 0 - will find the extremum values of the function f.
f ¢(x) + 0 - 0 + 0 - f ′( x) = 0 , 025 x − 1157
, .
1 1 ′
f ( x) = 0 if and only if x = 46 , 28.
P(x) x 15 46,28 90
0 f ¢(x) - 0 +
Donc pour tout x, 0 < f( x) < 1. Ainsi M = 1 et So the number of degrees of longitude east of the prime
m = 0. meridian is 46°16’48” and the latitude is 3°54’32” South.
88
N(7) e7
Découvrir
3 a) = 1 ≈ 403, 429
N(1) e
N(5) e5
= ≈ 2, 718
N(4) e 4
N(6) e6
= ≈ 54 , 598
1 La fonction exponentielle N(2) e2
b) On remarque :
1 f(0) = 1. N(7) N(5) N(6)
= N(6) ; = N(1) et = N(4).
N(1) N(4) N(2)
2 Cette contrainte se traduit par :
pour tout nombre réel x, f ′( x) = f ( x). ea
Il semble que = ea−b où a et b désignent
eb
3 a) b) deux nombres réels.
c) a 2, 7183.
3 f( x) = (5 + x)e x
2 Découvrir des propriétés f est dérivable sur . Pour tout nombre réel x,
de la fonction exponentielle u( x) = 5 + x u ′( x) = 1
x
v( x) = e v ′( x) = e x
1 t 0 1 2 3 f ′( x) = 1× e x + (5 + x) × e x
N(t) 1 2,718 7,389 20,086 f ′( x) = e x (1 + (5 + x))
t 4 5 6 7 f ′( x) = e x (6 + x)
N(t) 54,598 148,413 403,429 1 096,633
4 a) f( x) = (2 x − 5)e x
2 a) N(2) × N(3) = e2 × e3 ≈ 148 , 413
f est le produit de deux fonctions dérivables sur
N(3) × N(4) = e3 × e 4 ≈ 1096 , 633 donc dérivable.
N(1) × N(5) = e1 × e5 ≈ 403, 429 Pour tout nombre réel x,
b) On remarque que : u( x) = 2 x − 5 u ′( x) = 2
x
N(2) × N(3) = N(5), N(3) × N(4) = N(7) v( x) = e v ′( x) = e x
N(1) × N(5) = N(6) f ′( x) = 2 × e + (2 x − 5) × e x
x
u( x) = 3 x + 1 u ′( x) = 3
x 48 La fonction f est dérivable sur .
v( x) = e v ′( x) = e x
Pour tout nombre réel t,
3 × e x − (3 x + 1) × e x 7 − t
7
f ′( x) = f ′(t ) = 4 ,1× − × e 3
(e x )2 3
7 7
e x (3 − 3 x − 1) 2 − 3 x −28 , 7 −3 t −287 −3 t
f ′( x) = = f ′(t ) = e = e
(e x )2 ex 3 30
b) La fonction f est le quotient de deux fonctions déri- 49 a) La fonction f est dérivable sur . Pour tout
vables sur donc dérivable sur . nombre réel x,
Pour tout nombre réel t, u( x) = e−2 x+1 u ′( x) = −2e−2 x+1
u(t ) = 1 + et u ′(t ) = et v( x) = e 5 x −4
v ′( x) = 5e5 x−4
t
v(t ) = e v ′(t ) = et
−2e−2 x+1 × e5 x−4 − e−2 x+1 × 5e5 x−4
t t t t f ′( x) =
e × e − (1 + e ) × e (e5 x−4 )2
f ′(t ) =
(et )2 −7e5 x−4 × e−2 x+1 −7e−2 x+1
f ′( x) = =
et (/e/t − 1 − /e/t ) −et 1 (e5 x−4 )2 e 5 x −4
f ′(t ) = t 2
= t 2 =− t
(e ) (e ) e f ′( x) = −7e−2 x+1−(5 x−4) = −7e−7 x+5
f ′( x) = e x (6 + 6 x − 2) f ¢(x) + 0 - 0 +
x
f ′( x) = e (4 + 6 x) f(−1− 5 )
b) Pour tout nombre réel x, e x > 0, f ′( x) est donc du f (x)
signe de 4 + 6 x. f(−1 + 5 )
2 4 + 6x = 0 ∆ = 22 − 4 × 1× (−4) = 20
x −∞ - +∞
3 6 x = −4
−2 − 20
f ¢(x) - 0 + x=
−4 x1 = = −1 − 5
6 2
2 x2 = −1 + 5
c) La fonction f est donc décroissante sur −∞ ; −
3 f(−1 − 5 ) ≈ 0 , 25
2
et croissante sur l’intervalle − ; + ∞ . f(−1 + 5 ) ≈ −8 , 51
3
94
h( 2 )
h(x)
h(− 2 ) #h
1
2
−x + 2 = 0
0 1
x2 = 2
x = − 2 ou x = 2 62 La fonction h est le quotient de deux fonctions
h(− 2 ) ≈ −3, 41 dérivables sur l’intervalle [−3 ; 1], h est donc dérivable
h( 2 ) ≈ 117
, sur l’intervalle [−3 ; 1].
Pour tout nombre réel x de l’intervalle [−3 ; 1],
58 f(1) = e1 g(1) = e−0 ,5 h(1) = e0 ,1 u( x) = 5 − 4 x u ′( x) = −4
−0 , 5 < 0 ,1 < 1 x
v( x) = e v ′( x) = e x
Or la fonction exponentielle est croissante sur donc
h′( x) = −4 × e x + (5 − 4 x) × e x
e−0 ,5 < e0 ,1 < e1
g(1) < h(1) < f (1). h′( x) = e x (−4 + 5 − 4 x)
La courbe # 3 est donc la courbe représentative de la h′( x) = e x (1 − 4 x)
fonction f, la courbe #1 est celle de la fonction h et la b) Pour tout nombre réel x de [−3 ; 1], e x > 0, h′( x)
courbe # 2 est celle de la fonction g. est du signe de 1 - 4 x.
f)
e7 x
= e7 x−( x+5) = e7 x− x−5 = e6 x−5
S’entraîner
e x +5
f (x)
Il semble que, quel que soit le nombre réel a, la
courbe # est située au-dessus de la tangente T.
75 # 2. a) Une équation de la tangente T est :
f
#g y = f ′(a)( x − a) + f (a)
1 c’est-à-dire y = −e−a ( x − a) + e−a .
b) La fonction d est dérivable sur et
0 1 d ′( x) = −e− x + e−a .
Or, d ′( x) < 0 si, et seulement si, -e- x > -e-a ,
soit e- x < e-a ,
76 On résout graphiquement f( x) > 2. c’est-à-dire -x < -a et x > a.
On obtient comme ensemble solutions l’intervalle x −∞ a +∞
[5 ; 8 ].
d¢(x) - 0 +
En tabulant la fonction f avec la calculatrice avec un
pas de 0,001 on obtient f(5,198) < 2 et f(5,199) > 2.
d(x)
C’est donc à partir de 5 199 personnes connectées
simultanément que la durée de chargement dépasse 0
2 s. Ainsi, pour tout nombre réel x, d( x) > 0.
Ainsi :
• Si a > b , # f et # g sont confondues.
• Si a < b , # f est au-dessus de # g sur l’intervalle
]− ∞ ; 0[ ,
# f est en dessous de # g , sur l’intervalle ]0 ; + ∞[
Il semble que, quel que soit le nombre réel a, la et # f et # g se coupent en t = 0.
courbe # est située au-dessous de la tangente T. • Si a > b , # f est au-dessus de # g sur l’intervalle
2. a) Une équation de la tangente T est : ]0 ; + ∞[ , # f est en dessous de # g sur l’intervalle
y = g ′(a)( x − a) + g(a) ]− ∞ ; 0[ et # f et # g se coupent en t = 0.
y = −e−a ( x − a) + 2 − ea .
85 Christophe pense que les deux courbes qu’il a
b) La fonction d est dérivable sur et
tracées à l’écran de sa calculatrice sont confondues
d ′( x) = −e x + ea .
sur l’intervalle ]− ∞ ; − 3].
d ′( x) > 0 si, et seulement si -e x > -ea , soit
Fatima pense qu’une exponentielle peut être nulle.
e x < ea ,
5(1 + e 4 x+7 ) = 5
c’est-à-dire x < a.
c’est-à-dire 1 + e 4 x+7 = 1 donc e 4 x+7 = 0 ce qui est
x −∞ a +∞ impossible.
d¢(x) + 0 - L’équation n’a donc aucune solution.
0
d(x) 86 a) La fonction g est dérivable sur .
Pour tout nombre réel x,
u( x) = 3 − x u ′( x) = −1
Ainsi, pour tout nombre réel x, d( x) < 0. x
v( x) = e v ′( x) = e x
c) Quel que soit le nombre réel a et pour tout nombre
réel x, g ′( x) = −1× e x + (3 − x) × e x
−e x < −ea ( x − a) − ea g ′( x) = e x (−1 + 3 − x)
donc 2 − e x < −ea ( x − a) + 2 − ea . g ′( x) = e x (2 − x)
Quel que soit le nombre réel a, la courbe # est située b) Pour tout nombre réel x, e x > 0, donc g ′( x) est
au-dessous de la tangente T. du signe de 2 - x.
x −∞ 2 +∞
83 Pour tout nombre réel x,
g¢(x) + 0 -
(e x − 1)(e x + 1) (e x )2 − 12 e2 x − 1
= =
e2 x e2 x e2 x e2
g(x)
e2 x 1
= 2 x − 2 x = 1 − e−2 x
e e
c) Une équation de la tangente T0 à # g au point
84 Pour tout nombre réel t, d’abscisse 0 est :
f (t ) − g(t ) = eat − ebt T0 : y = g ′(0)( x − 0) + g(0)
f (t ) − g(t ) > 0 si, et seulement si eat - ebt > 0 y = 2x + 3
soit eat > ebt c’est-à-dire at > bt ou encore En effet g ′(0) = e0 (2 − 0) = 2 et
(a − b)t > 0. g(0) = (3 − 0)e0 = 3 .
98
88 a) La fonction f est dérivable sur . La fonction f est donc décroissante sur l’intervalle [0 ; 3].
Pour tout nombre réel x, L’affirmation est donc vraie.
u( x) = x2 + 1 u ′( x) = 2 x b) La tangente T a pour équation :
x
v( x) = e v ′( x) = e x y = f ′(0)( x − 0) + f (0)
3
2 x × e x − ( x2 + 1) × e x y =− x+4
f ′( x) = 4
(e x )2
L’affirmation est donc fausse.
e x (2 x − x2 − 1) c) La tangente à la courbe # au point d’abscisse 2 a
=
(e x )2 pour équation :
−x2 + 2 x − 1 −( x − 1)2 y = f ′(2)( x − 2) + f (2)
= =
ex ex −e2 e2
y= ( x − 2) + 5 −
Pour tout nombre réel x, e x > 0 et ( x − 1)2 > 0 donc 4 2
−( x − 1)2 −e 2
e 2
e 2
−e2
< 0. = x+ − +5 = x+5
ex 4 2 2 4
La fonction f est donc décroissante sur . L’affirmation est donc fausse.
x −∞ -3 2 +∞
g(0 , 5) ≈ 33, 4 fenêtre : 0 < X < 7, pas 1 et -0 ,1 < Y < 1, 2, pas 0,1.
8 T » 5, 728.
g ≈ −11
, 3. a) N(2 T) = N0 e−0 ,121×2 T
3
g(3) ≈ −0 , 9 = N0 (e−0 ,121T )2
= e5050 .
−2 − 16 −2 + 16
X1 = = −3 et X2 = =1
2 2
Or X = e x
L’équation e x = −3 n’admet aucune solution.
L’équation e x = 1 équivaut à e x = e0 donc x = 0.
L’équation e2 x + 2e x − 3 = 0 admet comme solution
le nombre 0.
106
π π
b) cos ≈ 0 , 81 et sin ≈ 0 , 59.
Découvrir 5 5
On retrouve les résultats obtenus au 1 c)
= 2π et IP
c) IN = 4π .
5 5
2π
L’abscisse du point N est cos ≈ 0 , 31
1 Une nouvelle mesure d’angle : 5
le radian 4π
L’abscisse du point P est cos ≈ −0 , 81
5
1 a) Si la mesure de l’angle est 180°, l’arc de cercle
est un demi-cercle de rayon 1. Son périmètre 3 La largeur de la fenêtre vaut donc 0 , 81 + 0 , 31,
vaut donc p m. c’est-à-dire 1,12 m.
b) Pour un angle au centre de 180°, la longueur La hauteur de la fenêtre vaut donc 2 ´ 0 , 59 ,
vaut p m. Ainsi, par proportionnalité,
de l’arc AB c’est-à-dire 1,18 m.
la longueur de l’arc AB vaut 80 ×π , c’est-à-dire
180
environ 1,4 m.
O I
7 Pour tout nombre réel x,
cos2( x) + sin2( x) = 1. C
A
5 2
Ainsi, sin ( x) = 1 − cos ( x) = 1 −
2 2
3
16π π 1
5 4 10 a) cos = −cos = −
soit sin2( x) = 1 − . D’où sin2( x) = . 3 3 2
9 9
2 2 16π π 3
et sin sin
On en déduit que sin( x) = ou sin( x) = − . 3 = − 3 = − 2
3 3
π 23π π
Or x appartient à l’intervalle − ; 0 donc sin( x) < 0. b) cos = cos = 0
2 2 2
2 23π π
Ainsi sin( x) = − . et sin = −sin = −1
3 2 2
8 Pour tout nombre réel x,
π π
cos2 ( x) + sin2 ( x) = 1. 11 a) rad = 30° b) rad = 90°
6 2
1 2 15 c) π rad = 180°
Ainsi, cos2 ( x) = 1 − sin2 ( x) = 1 − − = .
4 16
15 15 π π
On en déduit que cos( x) = ou cos( x) = − . 12 a) 30° = rad b) 45° = rad
4 4 6 4
π π π
Or x ∈ − ; 0 donc cos( x) > 0. c) 60° = rad d) 90° = rad
2 3 2
15
Ainsi cos( x) = . e) 180° = π rad
4
7p 13 Agnès a tort. En effet, la longueur d’un arc de
9 a) A est le point image du nombre réel .
4 cercle de rayon 2 cm et d’angle au centre de mesure
7π π π × 45 π
Comme = − + 2π, le point A est le symétrique 45° est = 2 × , soit = cm.
4 4 180 2
p
du point B image du nombre réel par rapport à
4 14 Réponse (2). En effet, la longueur d’un arc de
l’axe des abscisses. cercle de rayon 3 cm et d’angle au centre de mesure
7π π 2 p π
Ainsi, cos = cos = rad est = 3 × , soit = π cm.
4 4 2 3 3
108
p p
17 a) 140° b) 75° c) 67,5° d) 144°. 25 a) p b) c) .
2 18
8p 7p = 18°.
26 IOM
18 a) rad b) rad
9 18
29p 7p
c) rad d) rad p 3p 5p 7p
36 20 27 a) A : ; B : ; C : ; D :
4 4 4 4
p 2p 4p 5p
5π b) I : 0 ; M : ; N : ; P : p ; Q : ; R : .
19 a) l = 6 × = 5π cm soit l » 15, 71 cm 3 3 3 3
6
8π 24π
b) l = 3 × = m soit l » 10 , 77 m π 5p
7 7 28 Lily a tort. − et ont bien le même point
3 3
11π
c) l = 12 × = 26 , 4π km soit l » 82, 94 km 5p
5 image mais n’appartient pas à l’intervalle
3
[2π ; 4π[.
π × 150 5π
20 a) l = 2 × = m soit l » 5, 24 m.
180 3 p 2p 3π
29 A : ; B : ; C : − ; I : 1002π; J : 7p ;
π × 80 16π 6 3 4
b) l = 4 × = cm soit l » 5, 59 cm.
180 9 π π
K : − ; L : −
π × 5 5π 2 6
c) l = 30 × = mm soit l » 2, 62 mm.
180 6
30 p
– +
= 60° ; ION
21 a) IOM = 150° 2
M 1
N
5p p
––– –
6 3
p 0 ; 2p
0 0 1
= 5π π π
b) MON − = rad. Ainsi la longueur de l’arc
6 3 2
3p
π
est l = 2, 5 × cm soit l = 3, 93 cm –––
MN 2
2
π × 30 240
22 a) 40 = R × soit R = cm donc
180 π
R » 76 , 4 cm
1
b) 1 = R × π soit R= m donc R » 0 , 318 m
p
3p 6p
––– –––
0 1 3 0 1 3
4p 2p p 4p 5p
––– ; - ––– -– ––– –––
3 3 3 3 3
32 + 36 a) 6p
7p ––– 5p
8p ––– 12 ––– 4p
12 ––– +
––– 12
5p 1 9p 12 12 3p
p 13p ––– 1 –––
––– 10p12 M 12
6 – ; –––– –––– p
6 6 12 –
11p 6 p
–––– –––
12 12
12p 24p
0 1 ––––
12
––––
0 1 12
13p 23p
–––– ––––
12 12
5p p 14p 22p
- ––– -– –––– ––––
6 6 12 15p 21p12
–––– ––––
12 16p 20p 12
–––– 17p 18p 19p ––––
12 –––– –––– –––– 12
33 + 12 12 12
3p 19p p puisque
––– ; –––– 1 b) On trace la bissectrice de l’angle IOM
4 4 –
4 π 1 π
= ×
12 2 6
c) Voir la figure à la question a).
0 1
p 7π 13π
37 C : ; B : − ; K : − ; I : 2v
3 4 6
3p p 7p 2p 5π
- ––– -– G : 15p ; H : ; D : ; E : −
4 4 6 3 4
34 13p p 17p 5p 8π
–––– + 38 G : ; N : ; K : ; L : − ;
2 13p 6 6 4 3
–––– 3p 11π 5p 9π
1 3 M : ; J : − ; H : ; P : −
2 2 3 4
39 Faux. Le cercle étant coupé en 8 arcs de même
p 2p 3p
longueur, il s’agit des nombres réels ; ; ;
0 1 4 4 4
4p 5p 6p 7p 8p
; ; ; ; dans le repère ci-dessous.
13p 4 4 4 4 4
- ––––
13p 6
–––– 13p
4 - ––––
3
110
7π 7π 5π π 5p p
2 2 56 • = π− donc et ont des points
b) cos = ; sin = − 6 6 6 6
4 2 C06_fig118
4 2
images symétriques par rapport à l’axe des ordonnées.
3π 2 3π 2
cos = − ; sin = 5π π 1
Ainsi, sin = sin = .
4 2 4 2 6 6 2
5π 2 5π 2
cos = − ; sin = − 23π π 23π p
4 2 4 2 • − = − 3 × 2π donc − et ont le même
4 4 4 4
11π 2 11π 2 point image sur le cercle trigonométrique. Ainsi,
cos− =− ; sin− =−
4 2 4 2 23π π 2
cos− = cos = .
4 4 2
52 a) 2π π 11π
;–
3 3 3
1 + 2π 3
57 a) Faux. En effet, sin =
3 2
π 3
et 2 sin = 2 × = 3.
O 1 3 2
2π 5π π π 2
– c) Vrai. En effet, cos = sin = .
3 3 4 4 2
2π 1 2π 3
b) cos− = − ; sin− = − π 1 π 3
3 C06_fig119
2 3 2 d) Faux. En effet, cos = et sin = .
3 2 3 2
5π 1 5π 3
cos = ; sin = −
3 2 3 2
π 2
2π 1 2π 3 sin
cos = − ; sin = π
58 a) tan =
4 2
3 2 3 2 = = 1.
4 π
2
11π 1 11π cos
3 4 2
cos− = ; sin− =
3 2 3 2 π 3
sin
π 3
5π b) tan = = 2 = 3.
2 3 π 1
53 a) cos = − cos
4 2 3 2
7π 1
b) cos− = 7π
sin 1
3 2 −
7π 6 2 1
c) tan = = = .
5π 3 6 7π 3 3
c) cos = − cos −
6 2 6 2
112
π 180°
76 a) rad = = 20°.
p 6p p 9 9
-–
p + – = ––– 5 b)
5 5
b) Pour tout nombre réel x, cos2 ( x) + sin2 ( x) = 1.
p
–
2 π 5 + 12 16 − (5 + 2 5 + 1) 9
Ainsi sin = 1 −
=
5 4 16 3 cm
π π
π 10 − 2 5 c) l = R × α = 3 × = cm
soit sin2 = 9 3
5 16 Ainsi l » 1, 05 cm
π 10 − 2 5
Ainsi sin = 4p +
5 4 77 - –––
3
π 1
10 − 2 5
ou sin = − .
5 4
π π 10 − 2 5
Or sin > 0 donc sin = .
5 5 4 0 1
π π 5 +1 7p
2. b) cos− = cos = –––
5 5 4 6 5p
–––
π π 10 − 2 5 4
sin− = −sin = −
5 5 4
78 p
6π π 5 +1 –
cos = −cos = − 2 p +
5 5 4 3 –
––– 3 p
2 –
6π π 10 − 2 5 2 4
sin = −sin = − . ––– p
5 5 4 2 –
1 6
–
73 1. C 2. C 3. B 4. D 5. D 6. C 2
3p N
–––
1 M p
– S'entraîner
4 4
0 1
82 a) Voici le tableau de suivi des valeurs des
variables k et S lors de l’exécution de l’algorithme.
P 15p
–––– k
4 - 3 - 2 - 1
3 3 1
3π π 2 S 0 - 1 -1 - -1 - -
c) sin = sin = 2 2 2
4 4 2
k 0 1 2 3
15π π 2
cos cos = 3 1 3
4 = 4 2 S -1 - - -1 - - 1 0
2 2 2
E
O 1 I
p
–
4 G
20
––– cm F
3
)= AI
• sin(DAE où I est le milieu du segment [AB].
DI
1
1 1, 8 m Or AI = AB = 14 , 85
115 a) L’échelle étant , AB = = 0 , 9 m. 2
2 2
b) 1 et DI2 = DA2 + AI2 = 212 + 14 , 852
≈ π – 1,12 ≈ 1,12
A 0,9 donc DI = 611, 522 5
= sin−1 14 , 85
Ainsi DAE 661, 522 5
C
B O 1
= 180° − DAE
• Or AED − DAC
soit AED » 89 , 997
π
x est le nombre réel de l’intervalle ; π tel que
2 Marc a tort, l’angle est quasi droit.
sin( x) =C06_fig127
0 , 9.
On a sin−1(0 , 9) ≈ 112
, 119 1. a) Le polygone est régulier à 6 côtés ; ainsi le
d’où x ≈ π − 112,
= π rad. et
triangle OAJ est équilatéral. Donc AOJ
Donc x » 2, 02 m. 3
La longueur de l’arc AC est donc 2,02 m environ sur π
= rad. A est donc le point image du nombre
IOA
la maquette, et 4,04 m en réalité. 6
p
réel .
116 En appliquant successivement le théorème de 6
Pythagore dans les triangles rectangles colorés, on π 1
b) AH = sin =
obtient les longueurs inscrites sur le schéma. 6 2
1 1 π 1
1 sin
1 π 6 2 1
BI = tan = =
6 π 3 3
1 6
7
8 1 cos
5 6 2
4
9
1 1 c) Le demi-périmètre du polygone rouge est :
α4
α3
α5
α2 α6 7
3 α1 α
α8
C 1
A p1 = × 6 = 3.
2 B 11 2
1 1 Le demi-périmètre du polygone bleu est :
1 1 2 6
1 1 1 p2 = × ×6 = .
Ainsi, sin(α1) C06_fig130
= ; sin(α 2 ) = ; ; sin(α 8 ) = . 2 3 3
4 5 11
6
On a alors : On a donc 3 < π <
3
= sin−1 1 + sin−1 1 + … + sin−1 1
ABC 5 2.
4 11
≈ 179 , 02° et ABC
ABC ≠ 180°.
Les points A, B, C ne sont pas alignés.
117
b) Archimede (4) renvoie (3.141 031 950 890 510 2,
3.142 714 599 645 368 7)
223
c) » 3,140 845 07
71
) = DC or DC = 29 , 7
118 • sin(DAC 22
AC » 3,142 857143
7
et AC2 = AD2 + DC2 = 212 + 29 , 72 Remarque : Archimède n’avait pas les techniques
donc AC = 1323, 09 actuelles pour effectuer ces calculs.
120
127 Chaque point rouge est donc équidistant des 129 Le théorème de Pythagore dans le triangle ABC
deux autres. Le triangle formé par ces points est donc rectangle en B permet d’écrire :
équilatéral, et les angles aux sommets sont donc AC2 = AB2 + BC2 .
p Ainsi AC2 = 12 + 12
égaux rad.
3 et AC = 2.
On se place alors dans le repère (O ; I ; J). Le cercle Le théorème de Pythagore dans le triangle AEC rec-
rouge est donc de rayon 1. Les arcs rouges AB , BC
et tangle en A permet d’écrire :
AC sont de même longueur et donc de longueur EC2 = AE2 + AC2 .
2p 2
. Ainsi EC2 = 12 + 2 .
3
d’où EC2 = 3 et EC = 3 .
Sur le cercle rouge trigonométrique, les points A et B
) = EA 1
p π Donc dans le triangle AEC, sin(ECA =
sont les images des réels et − . EC 3
3 3
π 3 π 3 = sin−1 1 .
d’où ECA
Or sin = et sin− = −
3 3
2 3 2
Le triangle AOC est isocèle en O
Ainsi AB = 3.
= 180° − 2 sin−1 1 .
donc AOC
a pour longueur AB × π = 3π .
L’arc bleu AB 3
3 3 ≈ 109 , 5°.
AOC
Le tracé bleu a donc une longueur égale à l = 3π
Le périmètre du cercle rouge est égal à p = 2π 130 a) D’après le théorème de Pythagore, on a :
2 l 2 = R2 − h2
On a donc p = l.
3 = 202 − h2
128 Le théorème de Pythagore dans le triangle LEO = 400 − h2
rectangle en L permet d’écrire : L’aire de la base vaut ! = πl 2
OE2 = LE2 + OL2 = π(400 − h2 )
Ainsi LE2 = OE2 − OL2 Le volume du cône vaut donc
d’où LE2 = 4 2 − 2,12 = 11, 59. 1
V(h) = π(400 − h2 )h
Donc LE = 11, 59 cm soit LE » 3,4 cm. 3
• OLA est isocèle en O donc le pied H de la hauteur 1
b) V(h) = π(400h − h3 )
issue de O est le milieu de [LA ]. 3
1
E 4 cm O A V ′(h) = π(400 − 3h2 )
3
c m
H
I L G 400
⇔ h2 =
1 3
LA
C06_fig131
LH 2 20 20
Ainsi, cos(OLH) = = ⇔h= ou h = − .
LO 2 ,1 3 3
).
et LA = 4 , 2 cos(OLH On en déduit le tableau de variation de la fonction V.
20
= 1 OLG
Or OLH = 1 EOL
. h 0 20
2 2 3
En effet, OLG est aussi isocèle en L et (HL) est bissec- V¢(h) + 0 -
. 20
trice de l’angle OLG V
V(h) 3
Comme cos(EOL ) = OL = 2,1 = 0 , 525
EO 4 0 0
3 a)
Découvrir sin(x)
x
sin(x + 2p)
x + 2p
O cos(x) O cos(x + 2p)
1 Les fonctions trigonométriques Pour tout x, sin( x + 2π) = sin( x)
et cos( x + 2π) = cos( x).
1 b) On remarque que point U appartient au cercle b) Graphiquement on peut tracer les courbes
trigonométrique. représentatives des fonctions cos et sin sur les
Pour tout nombre réel t de l’intervalle [0 ; 2π], intervalles [−3π ; − π], [π ; 3π], par transla-
OU2 = cos2 t + sin2 t = 1 donc OU = 1.
tion de vecteur −2πi , 2pi ,…
2 b) M(t ; sin(t )) avec 0 < t < 2p.
Le point M décrit donc la courbe représentative
de la fonction sinus sur l’intervalle [0 ; 2π].
3 b) P(t ; cos(t )) avec 0 < t < 2p. Acquérir des automatismes
Le point P décrit donc la courbe représentative
de la fonction cosinus sur l’intervalle [0 ; 2π].
π 1 π 2
23 a) cos = b) cos =
3 2 4 2
π
c) cos = 0 d) cos(π) = −1.
2
2. a) x = 0 b) x = 3π c) x = −2π d) x = 2π.
24 Pour tout nombre réel x,
cos( x + 10π) = cos( x + 5 × 2π) = cos( x) car la fonc- 33 a) Pour tout nombre réel t > 0,
tion cos a pour période 2p. 8π
P(t + 0 , 75) = 100 − 20 cos (t + 0 , 75)
Fiona a donc raison. 3
8π
P(t + 0 , 75) = 100 − 20 cos t + 2π
25 On peut conjecturer que f est paire et de période 1. 3
8π
π P(t + 0 , 75) = 100 − 20 cos t
26 (3) f est croissante sur −π ; − et croissante 3
3π 2 (La fonction cos a pour période 2p).
sur π ; .
2 P(t + 0 , 75) = P(t ).
b) Un cycle dure 0,75 s donc dans 60 secondes il y a
27 a) h a pour période 1. 60
= 80 cycles c’est-à-dire 80 battements de cœur.
b) Pour tout nombre réel x, h( x + 2 × 1) = h( x). 0 , 75
44
0 0
5π π p 5p 3 a)Pour tout réel x,
67
x −2π − −π − 0 p 2p
3 3 3 3 π π
f( x + 10) = sin ( x + 10) = sin x + 2π
0 5
5
3 3 3 3
g( x) 4 0 0 4 0 π
3 3 3 3 = sin x = f ( x).
0
-
4
-
4
5
π π
g( x + 6) = sin ( x + 6) = sin x + 2π
π 3
3
64 a) sin = 1
2 π
π = sin x = g( x).
Or > 1 3
2
La proposition est donc fausse. Ainsi f est de période T1 = 10 et g de période T2 = 6.
2 2
π π 2 2 T1 a a
b) sin2 − cos2 = − = 0. b) On pose
T2
= avec
b b
irréductible.
4 4 2 2
La proposition est donc vraie. Ainsi bT1 = aT2 .
c) Pour tout nombre réel x, Pour tout nombre réel x,
π π π h( x + bT1) = f ( x + bT1) + g( x + aT2 )
cos ( x + 12) = cos x + 2π = cos x = f ( x) + g( x) = h( x)
6
6 6
donc T = bT1 = aT2
π π π
cos ( x − 24) = cos x − 4π = cos x − 2 × 2π (car f a pour période T1 et g a pour période T2 ).
6 6 6 T 10 5
π c) 1 = = donc a = 5, b = 3
= cos x. T2 6 2
6 et T = 5 ´ 6 = 3 ´ 10 = 30.
La proposition est donc vraie.
68 1. a) On pose X = sin( x).
65 a) Pour tout nombre réel x, −1 < sin( x) < 1. L’équation devient 2X2 + X − 1 = 0.
x
Si x est solution de (E) alors sin( x) = donc b) 2X2 + X − 1 = 0 si et seulement si X = −1
x 2 1
-1 < < 1 donc -2 < x < 2. ou X =
2 2 1
x
b) Si x est solution de (E) alors sin( x) = L’ensemble des solutions est 6 = −1 ; .
x 2
c) X = sin x 2
donc −sin( x) = −
2 3π
Dans [0 ; 2π[ , sin x = −1 si et seulement si x =
−x 2
donc sin(−x) = 1 π 5π
2 sin x = si et seulement si x = ou x = .
donc -x est solution de (E). 2 6 6
136
Les vitesses sont nulles lorsque le piston est dans sa L’inéquation a pour ensemble de solution l’intervalle
position haute et basse. π
0 ; .
3
70 a) For any real number t > 0, O(t ) < 180
π 72 Le point M appartient au cercle # de centre O
O(t ) = 180 equals 30 sin t = 30
10 et de rayon 1
π π
equals t = + k 2π Ses coordonnées dans le repère orthonormé (O, A, C)
10 2 p
equals t = 5 + 20k with k Î sont (cos(t ) ; sin(t )) avec 0 < t < .
2
Chapitre 8 ★ Fonctions sinus et cosinus 137
76 a) A(0) = 500 + cos(0) + 3 sin(0) = 501 On peut donc supposer qu’une valeur approchée à
Le point de référence est à 501 m. 2 chiffres significatifs après la virgule est 3,82.
b) Pout tout nombre réel x, Pour déterminer le plus petit entier n, on modifie le
x π
500 + 2 sin + programme.
4 6
x π π x
= 500 + 2 sin cos + sin cos
4 6 6 4
x π 3 x 1 x
500 + 2 sin + = 500 + 2 sin + cos
4 6 4 2 4
2
x π x x
500 + 2 sin + = 500 + 3 sin + cos
4 6 4 4
= A( x).
c) L’altitude maximale est 502 m.
4π
En effet pour tout x, A( x) < 502 et A = 502.
3
Une personne part à 25 km à l’est du point de réfé- On obtient
rence ( x = 25) pour aller à 25 km à l’ouest ( x = −25)
donc x appartient à l’intervalle [−25 ; 25].
2π
La fonction A est périodique de période T= = 8π
1 78 a) Dans le triangle OHC rectangle en H,
4π 28π
+ 8π = > 25 4 OH = cos(α) et et HC = sin(α) donc l’aire du rec-
3 3
4π 20π tangle ABCD est 2OH × 2HC = 4 cos(α)sin(α).
− 8π = − > −25 Le volume du parallélépipède rectangle est donc
3 3
4π 4π 3 × 4 cos(α)sin(α) c’est-à-dire 12sin(α)cos(α).
− 2 × 8π = − < −25.
3 3 b) Le volume du parallélépipède peut s’écrire
La personne atteint donc 2 fois l’altitude maximale. 6 sin(2α).
140
D 7 7 C
3 À partir du Doc. 1, la période du mouvement est
82 Dans le triangle HBC rectangle en H :
2π HC
T= . cos( x) = donc h = 30cos( x).
n 30
D’après le Doc. 3, HB
2π π sin( x) = donc HB = 30sin( x).
• T = 16 donc = 16 , et n = . 30
n 8 1
• x(2) = 0 donc Csin(2n + α) = 0 comme C ¹ 0 AB = 7 + HB = 7 + 30 sin( x)
2
π
2n + α = 0 donc α = −2n = − donc AB = 2(7 + 30 sin( x)).
4
π π π L’aire du trapèze ABCD est :
• v(4) = 2π donc × Ccos4 × − = 2π (CD + AB) × h [14 + 2(7 + 30 sin( x))]× 30 cos( x)
8 8 4 =
π 2 2
donc Ccos = 16 c’est-à-dire 30(14 + 30 sin( x))cos( x).
4
π
donc C = 16 2. On note f la fonction définie sur 0 ; par
2
L’amplitude du mouvement est 16 2 m. f( x) = 30(14 + 30sin( x))cos( x).
D’après le Doc. 3, f ′( x) = 900 cos(2 x) − 420 sin( x)
83 • D’après le Doc. 1 : Donc f ′( x) = 900[−2 sin2 ( x) + 1] − 420 sin( x)
L(0) = 40 000 et L(6) = 25 000. f ′( x) = −1800 sin2 ( x) − 420 sin( x) + 900
D’après le Doc. 2 : L(0) = a + b et L(6) = a On pose X = sin( x).
On déduit que a = 25 000 et b = 15 000. f ′( x) = 0 s’écrit donc −1800X2 − 420X + 900 = 0
• D’après le Doc. 1 : C(0) = 5 000 et C(6) = 7 000 3 5
∆ = 6 656 400 et X = ou X = − .
D’après le Doc. 2 : C(6) = c + d et C(0) = c 5 6
On déduit que c = 5 000 et c = 2 000. 5 3
f ′( x) = −1800sin( x) + sin( x) −
On trace les courbes représentatives des fonctions C 6 5
et L. π
Pour tout nombre x de l’intervalle 0 ; , sin( x) > 0
Les populations de lapins et de coyotes ont le même 5 2
donc sin( x) + > 0.
cycle qui est de 6 ans. 6
La population de lapins est au maximum (40 000) en 3 p 3
0 < < donc il existe a tel que sinα = .
2012. Et décroît jusqu’en 2024. Celle des coyotes en 5 2 5
2012 est de 5 000 individus et croît jusqu’en 2018. Pour tout x > a, sin( x) > sin(α) car sin est crois-
Puis décroît jusqu’en 2030. π 3
sante sur 0 ; donc sin( x) − > 0.
Ceci explique le cycle lapins-coyotes du document 3. 2 5
On dresse le tableau de variations de f.
p
x 0 a
2
5
−1800 sin( x) + - -
6
3
sin( x) − - 0 +
5
f ¢( x) + -
768
f( x)
420 0
142
Découvrir
mesurer les longueurs AB et AH .
) = 180° − HAC
2 a) (BAC , d’où
) = cos(180° − HAC
cos(BAC ) = −cos(HAC ).
b) Dans le triangle ACH , rectangle en H ,
1 Le travail d’une force en physique ) = AH .
cos(HAC
AC
Donc, AH = AC × cos(HAC ) = −AC × cos(BAC) .
1 a)
D’où, AB ⋅ AC = AB × (−AH), c’est-à-dire
0° 30° 45° 60° 120°
BAC AB ⋅ AC = −AB × AH.
W 50 000 25 000 3 25 000 2 25 000 - 25 000 c) Il suffit donc de mesurer les longueurs AB et
= 90° d’où cos(BAC
b) Dans ce cas, BAC ) = 0, AH pour calculer le produit scalaire AB × AC :
donc W = 0. En conséquence, le travail (l’effica- Fred a donc raison.
cité) de la force est nulle. Louise a donc raison.
2 a) W = AB × F × cos(BAC ).
Comme AB > 0 et F > 0, il vient :
W > 0 équivaut à cos(BAC ) > 0,
soit 0° < BAC < 90°.
) = 0 ,
Acquérir des automatismes
W = 0 équivaut à cos(BAC
= 90°.
soit BAC
W < 0 équivaut à cos(BAC ) < 0 ,
soit 90° < BAC < 180°.
3 a) DE ⋅ DC = DE × DC × cos(CDE ).
b) W < 0 équivaut à BAC est obtus, ce qui = 60°,
Le triangle AED est équilatéral donc ADE
signifie que le vent exerce une force contraire au = 90° − 60° = 30° .
d’où CDE
sens de déplacement de Vincent. 3
DE ⋅ DC = 4 × 5 × cos(30°) = 20 × = 10 3
2
b) ABCD est un rectangle donc CB = DA.
2 Une expression du produit
)
scalaire D’où CB ⋅ DE = DA ⋅ DE = DA × DE × cos(ADE
CB ⋅ DE = 4 × 4 × cos(60°) = 8
)
1 AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC
et le triangle
Dans les deux figures : BAC = HAC 4 a) Le triangle ABC est isocèle en C , donc le
ACH est rectangle en H . projeté orthogonal du point C sur la droite (AB)
est I.
D’où cos(BAC ) = AH
) = cos(HAC
AC D’où BC ⋅ BA = BI ⋅ BA
) .
soit AH = AC × cos(BAC Les vecteurs BA et BI sont colinéaires et de même
Donc AB ⋅ AC = AB × AH. sens, d’où : BC ⋅ BA = BI × BA = 2, 5 × 5 = 12, 5.
7 a) H est le projeté orthogonal du point C sur la 16 a) u × v est un nombre réel et non un vecteur.
droite (AB). AB et AH sont colinéaires et de sens b) u ⋅ v = 0 équivaut à u et v orthogonaux.
opposés, donc AB ⋅ AC = −AB × AH, 1
c) L’écriture n’a pas de sens car 1 est un nombre
AB ⋅ AC = −4 × 2 = −8. v
réel et v un vecteur.
).
b) D’autre part, AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC
d) AB ⋅ AC = AB ⋅ (− CA) = − AB ⋅ CA
),
D’où −8 = 4 × 5 × cos(BAC
) = −8 2 17 a) L’affirmation est fausse. En effet,
c’est-à-dire cos(BAC =− .
20 5 )
AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC
Donc avec la calculatrice, il vient α ≈ 114°. 1
AB ⋅ AC = 6 × 6 × cos(60°) = 36 × = 18
2
8 AB(2 ; 2) et AC(4 ; 1) donc AB ⋅ AC = 10. b) L’affirmation est vraie. En effet,
Par projection orthogonale sur (AB), AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC ).
10 10
AB ⋅ AC = AB × AK . D’où, AK = = AB ⋅ AC = 5 × 6 × cos(0°) d’où AB ⋅ AC = 30.
AB 8 = 90°
c) L’affirmation est vraie. En effet, BAC
soit AK » 3,5.
donc cos(BAC ) = 0 , d’où AB ⋅ AC = 0.
11 DE ⋅ AF = (DA + AE) ⋅ (AD + DF),
= 0° donc cos(BAC
18 a) BAC ) = 1. D’où :
DE ⋅ AF = DA ⋅ AD + DA ⋅ DF + AE ⋅ AD + AE ⋅ DF,
) = 6 × 2 ×1
AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC
DE ⋅ AF = −AD2 + DA ⋅ DF + AE ⋅ AD + AE × DF.
AB ⋅ AC = 12
Les vecteurs DA et DF sont orthogonaux ainsi que
= 180° donc cos(BCA
b) BCA ) = −1.
les vecteurs AE et CD , donc DA ⋅ DF = AE ⋅ AD = 0.
) = 2 × 4 × (−1)
CA ⋅ CB = CA × CB × cos(BCA
DE ⋅ AF = −AD2 + AE × DF = −4 + 1× 4 = 0.
Donc les droites (DE) et (AF) sont perpendiculaires. CA ⋅ CB = −8.
19
12 Dans le repère orthonormé (A ; AI, AJ) :
4 AB AC en rad dans ]− p ; p]
BAC AB × AC
A(0 ; 0), D(0 ; 2), K ; 0 , C(3 ; 2).
3
4 3 2 p
8 12
Donc, AC(3 ; 2) et DK ; − 2. 2 4
3
5 8 2p
4 - 20
Ainsi, AC ⋅ DK = 3 × + 2 × (− 2) = 4 − 4 = 0 3
3
p
et les droites (AC) et (DK) sont perpendiculaires. 2 4 4 2
4
π
13 AB ⋅ AC = AB × AC × cos(BAC ), 2 7,5 − 7,5
3
1
d’où AB ⋅ AC = 4 × 3 × cos(60°) = 12 × = 6.
2
)
20 a) EB ⋅ EC = EB × EC × cos(BEC
AB ⋅ AC EB ⋅ EC = 4 × 4 × cos(60°) = 8
14 cos(BAC) =
AB × AC b) CE ⋅ CF = 4 × 2 × cos(60°) = 4
−15 = 90° − 60° = 30°
c) DCE
) =
d’où cos(BAC = −1
15 CD ⋅ CE = 4 × 4 × cos(30°) = 8 3
= π rad.
soit BAC d) BA ⋅ BF = BA × BF × cos(90°) = 4 × 4 × 0 = 0
144
)
56 a) AB ⋅ AD = AB × AD × cos(BAD
AB ⋅ AD = 4 × 2 × cos(60°) = 4.
2 2 2
b) AB + AD = AB + 2AB ⋅ AD + AD
2
AB + AD = 16 + 8 + 4 = 28
61 a) AB(−6 ; 1) et AC(1 ; 6).
c) • ABCD est un parallélogramme donc
Donc AB ⋅ AC = −6 + 6 = 0.
AB + AD = AC.
b) AB et AC sont orthogonaux donc le triangle ABC
D’après b), AC2 = 28 , d’où AC = 2 7.
2 est rectangle en A.
• BD2 = BD = (BA + AD)2 On peut même préciser que ABC est isocèle en A car
BD2 = BA2 + 2BA ⋅ AD + AD2 AB = AC = 37.
BD2 = BA2 − 2AB ⋅ AD + AD2
62 AB(3 ; − 2) et CD(−4 ; − 6).
BD2 = 16 − 8 + 4 = 12
soit BD = 12 = 2 3. Donc AB ⋅ CD = −12 + 12 = 0.
D’où les droites (AB) et (CD) sont perpendiculaires.
57 a)
63 a) Ligne 5 : x*u+y*v==0
Ligne 6 : vecteurs orthogonaux
Ligne 8 : vecteurs non orthogonaux
b) Avec t (3 ; − 2) et w(−4 ; − 6) le programme
affiche : vecteurs orthogonaux.
Avec t (3 ; − 2) et w(−4 ; 6) le programme affiche :
b) Le projeté orthogonal du point C sur (AB) est B, vecteurs non orthogonaux.
donc AB ⋅ AC = AB2 = 25.
c) Le projeté orthogonal du point B sur (AC) est H, 64 u et v orthogonaux équivaut à
AH et AC sont colinéaires et de même sens, donc ( x + 3)(−7 − x) + ( x + 6)( x + 9) = 0, soit
33
AB ⋅ AC = AH × AC. 5 x + 33 = 0 , c’est-à-dire x = − = −6 , 6.
5
Le théorème de Pythagore appliqué au triangle ABC
rectangle en B, conduit à AC = 29. 65 On introduit le repère orthonormé
Ainsi, 25 = AH 29 , soit AH =
25
. A , 1 AB, AD.
2
29
2
AH » 4,6 cm. A(0 ; 0), C( 2 ; 1), D(0 ; 1) et E ; 0.
2
2
58 u ⋅ v = ( 2 − 1)( 2 + 1) + (4 + 5 )(4 − 5 )
D’où AC( 2 ; 1) et DE ; − 1.
u ⋅ v = 2 − 1 + 16 − 5 = 12 2
AC ⋅ DE = 1 − 1 = 0.
12 ¹ 0 donc u et v ne sont pas orthogonaux.
Donc les droites (AC) et (ED) sont perpendiculaires.
59 a) L’affirmation est vraie. En effet, ABC est un 66 1. A 2. C 3. B 4. B 5. D
triangle rectangle en A ou A = B ou A = C.
67 1. B, C, D 2. B, C, D 3. C, D 4. A, B, D
Dans tous les cas, AB ⋅ AC = 0.
b) L’affirmation est vraie. En effet, la médiatrice 68 1. Faux. En effet,
(CD) de [AB] est perpendiculaire à la droite (AB), 16 2
AB ⋅ AC = 4 × 4 × cos(45°) = = 8 2.
donc AB ⋅ CD = 0. 2
148
2 2
79 AB2 − AC2 = AB − AC
AB2 − AC2 = (AH + HB)2 − (AH + HC)2 .
Or, (AH + HB)2 = AH2 + 2AH ⋅ HB + HB2 et
(AH + HC)2 = AH2 + 2AH ⋅ HC + HC2 , donc
AB2 − AC2 = 2AH ⋅ (HB − HC) + HB2 − HC2
AB2 − AC2 = 2AH ⋅ CB + HB2 − HC2 .
On conjecture que lorsqu’on fait varier a, les droites (AH) est la hauteur issue de A donc AH et CB sont
(AH) et (FB) restent perpendiculaires. orthogonaux, soit AH ⋅ CB = 0.
1
b) AH = (AE + AD). Finalement, AB2 − AC2 = HB2 − HC2 .
2
Par conséquent,
80 1. a) Les projetés orthogonaux des points I et J
1
AH ⋅ FB = (AE + AD) ⋅ (FA + AB) sur la droite (AB) sont respectivement I et A.
2
1 AB ⋅ IJ = AB ⋅ IA.
AH ⋅ FB = (AE ⋅ FA + AE ⋅ AB + AD ⋅ FA + AD ⋅ AB).
2
Or les droites (AB) et (AD) sont perpendiculaires
donc AD ⋅ AB = 0 et AE ⋅ FA = 0.
AE et AB sont colinéaires et de même sens
1 1
donc AE ⋅ AB = a × a = a2 .
2 2
AD et FA sont colinéaires et de sens contraires
1 1
donc AD ⋅ FA = − a × a = − a2 .
2 2
D’où AH ⋅ FB = 0.
Ce résultat ne dépend donc pas de a.
Pour tout nombre réel a strictement positif, les droites
(AH) et (FB) sont perpendiculaires. Le projeté orthogonal du point H sur la droite (AB)
est I, donc AB ⋅ HA = AB ⋅ IA. D’où AB ⋅ IJ = AB ⋅ HA.
2 2
78 1. u = v équivaut à u = v , b) On procède de la même façon : les projetés ortho-
soit u 2 = v 2 , c’est-à-dire u 2 − v 2 = 0 , gonaux des points A et H sur la droite (AC) corres-
ce qui s’écrit (u − v ) ⋅ (u + v ) = 0. pondent respectivement aux projetés orthogonaux
Ainsi, u - v et u + v sont orthogonaux. de I et J sur (AC).
2. On raisonne en deux temps. On obtient AC ⋅ IJ = AC ⋅ AH.
1
• On suppose que v( x ; y) et u(a ; b) sont orthogo-
2. A ¢ est le milieu de [BC ] donc AA ′ = (AB + AC).
naux. 2
1
u ⋅ v = 0 donc a x + b y = 0, soit a x = −b y. AA ′ ⋅ IJ = (AB + AC) ⋅ IJ,
1er cas : b = 0. 2
1 1
x AA ′ ⋅ IJ = AB ⋅ IJ + AC ⋅ IJ,
On note k le nombre réel . Ainsi, x = kb. 2 2
b
150
u
w Organiser son raisonnement
v
a2 5
Or, CI = a2 + = a et CA = 2a,
4 2
5
d’où CI ⋅ CA = a × 2a × cos(I
CA), c’est-à-dire
2 2. a) A ¢ est le milieu de [BC] donc A ′B + A ′C = 0.
10 2 OB + OC = OA ′ + A ′B + OA ′ + A ′C = 2OA ′
CI ⋅ CA = a × cos(I
CA).
2 b) OH = OA + OB + OC, donc
3 2 OA + AH = OA + OB + OC , d’où
a
C I ⋅ CA 3 AH = OB + OC.
c) cos(I
CA) = = 2 = .
10 2 10 2 10 D’après 2. a), OB + OC = 2OA ′ donc, AH = 2OA ′.
a a
2 2 c) O est le centre du cercle circonscrit au triangle ABC,
3
est indépendant de a, donc la mesure de l’angle donc (OA ′) est la médiatrice de [BC], d’où les droites
10
est constante et ICA ≈ 18°. (OA ′) et (BC) sont perpendiculaires.
ICA
D’après 2. b), les droites (AH) et (OA ′) sont parallèles
104 On note a la longueur AB avec a > 0 et b la lon- donc les droites (AH) et (BC) sont perpendiculaires.
gueur AE avec b > 0. d) On raisonne comme dans 2. b) et 2. c) pour obte-
1 1 nir que les droites (BH) et (AC) sont perpendicu-
On introduit le repère orthonormé A, AB, AD. laires.
a a
e) A est un point de la droite (AH) et (AH) est per-
a −b
A(0 ; 0), B(a ; 0) et G(0 ; − b) donc I ; . pendiculaire à (BC), donc (AH) est la hauteur issue
2 2
de A.
E(−b ; 0), D(0 ; a). De même (BH) est la hauteur issue de B.
a b
D’où, AI ; − et ED(b ; a). De même (CH) est la hauteur issue de C .
2 2
ab ab H appartient à ces trois hauteurs qui ne sont pas
AI ⋅ ED = − = 0, donc les droites (IA ) et (ED) confondues sinon les côtés du triangle ABC seraient
2 2
sont perpendiculaires. parallèles entre eux, ce qui est impossible.
Par conséquent, les trois hauteurs du triangle ABC
105 On pose S = AB2 + BC2 + CD2 + DA2 . sont concourantes en H.
Comme ABCD est un parallélogramme, AB = CD et Remarque : H est l’orthocentre du triangle ABC.
BC = AD. 3. a) A ¢ est le milieu de [BC], donc GB + GC = 2GA ′.
S = 2AB2 + 2AD2 = 2(AB2 + AD2 ). D’où GA + GB + GC = GA + 2GA ′ ,
On note I le milieu des diagonales [BD] ou [AC ]. GA + GB + GC = GA + 2(GA + AA ′),
2 2
S = 2(AB + AD ) = 2((AI + IB)2 + (AI + ID)2 ) GA + GB + GC = 3GA + 2AA ′ ,
2
S = 2(2AI2 + 2AI ⋅ (IB + ID) + IB2 + ID2 ) De AG = AA ′ on déduit 3GA = 2A ′A.
3
I est le milieu de [BD] donc IB + ID = 0.
Finalement, GA + GB + GC = 0.
AC 2 BD 2
S = 2(2AI2 + 2IB2 ) = 22 + 2 b) GA + GB + GC = 0 donc,
2 2
GB + BA + GB + GB + BC = 0,
S = AC2 + BD2 . 3GB = AB + CB.
aigu
112 1. a) 1er cas : BAC
Dans le triangle ACH rectangle en H,
On souhaite montrer que la droite (IA ′) est perpendi-
) = CH . Or, H appartient au segment [AB]
sin(HAC
AC culaire à la droite (BC).
donc HAC = BAC. IA ′ ⋅ BC = (IC′ + C′A ′) ⋅ (BA + AC),
) = CH.
Par conséquent, AC × sin(BAC IA ′ ⋅ BC = IC′ ⋅ BA + IC′ ⋅ AC + C′A ′ ⋅ BA + C ′A ′ ⋅ AC,
1 1 ), d3 est perpendiculaire à (AB) et passe par C¢ , d’où
S = AB × CH = AB × AC × sin(BAC
2 2
1 IC¢ et BA sont orthogonaux soit IC′ ⋅ BA = 0.
).
S = bc sin(BAC
2 Les projetés orthogonaux de A, B et C sur la droite
obtus
2e cas : BAC (A ′C′) sont respectivement A ¢ , B¢ et C¢ donc
Dans le triangle ACH rectangle en H, C′A ′ ⋅ BA = C′A ′ ⋅ B′A ′ et C′A ′ ⋅ AC = C′A ′ ⋅ A ′C′.
) = CH . Or HAC
sin(HAC = 180° − BAC , De plus, IC ′ = IB′ + B′C′.
AC Par conséquent,
) = sin(BAC
et sin(180° − BAC ).
IA ′ ⋅ BC = (IB′ + B′C′) ⋅ AC + C′A ′ ⋅ B′A ′ + C′A ′ ⋅ A ′C′ ,
) = CH.
Par conséquent, AC × sin(BAC
1 1 IA ′ ⋅ BC = IB′ ⋅ AC + B′C′ ⋅ AC + C′A ′ ⋅ B′A ′ + C′A ′ ⋅ A ′C′.
S = AB × CH = AB × AC × sin(BAC ),
2 2 IB¢ et AC sont orthogonaux soit IB′ ⋅ AC = 0.
1 ). Les projetés orthogonaux de A et C sur la droite
S = bc sin(BAC
2 (B′C′) sont respectivement A ¢ et C¢ donc
b) En permutant les rôles de A et B dans la réponse
B′C′ ⋅ AC = B′C′ ⋅ A ′C′.
à 1. a), on obtient :
D’où,
1 ).
S = ac sin(CBA
2 IA ′ ⋅ BC = B′C′ ⋅ A ′C′ + C′A ′ ⋅ B′A ′ + C′A ′ ⋅ A ′C′ ,
1 ). IA ′ ⋅ BC = A ′C′ ⋅ A ′B′ + B′C′ ⋅ A ′C′ + C′A ′ ⋅ A ′C′ ,
c) S = absin(ACB
2
IA ′ ⋅ BC = A ′C ⋅ (A ′B′ + B′C ’ + C′A ′),
2. Ainsi :
1 ) = 1 ac sin(CBA ) = 1 ab sin(ACB
). IA ′ ⋅ BC = A ′C ⋅ 0 = 0.
bc sin(BAC
2 2 2 Donc la droite (IA ′) qui passe par I et A ¢ , est perpen-
En divisant tous les membres de ces égalités par diculaire à la droite (BC).
abc ) sin(CBA
sin(BAC ) sin(ACB ) D’où la droite (IA ′) correspond à la droite d1.
, il vient : = = .
2 a b c Finalement les trois droites d1, d2 et d3 sont concou-
= 180° − (75° + 50°) = 55°.
3. BCA rantes en I.
sin(50°) sin(55°)
= d’où AC » 4 , 7.
AC 5 114 1. a) AB ⋅ AM = (AO + OB) ⋅ (AO + OM)
sin(55°) sin(75°) AB ⋅ AM = AO2 + AO ⋅ OM + OB ⋅ AO + OB ⋅ OM
= d’où BC » 5, 9.
5 BC
OB et AO sont orthogonaux donc OB ⋅ AO = 0.
113 Les droites d2 et d3 ne sont pas parallèles Le projeté orthogonal de M sur la droite (AO) est A et
sinon (AB) et (AC) seraient parallèles. le projeté orthogonal de M sur la droite (BO) est B,
On note I le point d’intersection des droites d2 et donc AO ⋅ OM = AO2 et OB ⋅ OM = OB2 .
d3 . AB ⋅ AM = AO2 − AO2 + 0 + OB2 = OB2 .
A K C I B
115 On note I le milieu du segment [BC]. 117 On nomme ABCD un quadrilatère quelconque, I
1 1 le milieu du segment [AC ] et J le milieu du segment
(AC2 − AB2 ) = (AC2 − AB2 )
2 2 [BD].
158
160
4 M( x ; y) d’où AB(−0 , 2 ; v ) et BM( x − 2, 8 ; y − v )
Découvrir
et AB ⋅ BM = 0 soit −0 , 2( x − 2, 8) + v( y − v ) = 0
d’où −0 , 2 x + v y = v 2 − 0 , 56.
166
3 77 a) x2 − 2 x = ( x − 1)2 − 1
72 I1 ; et AB = 17
2 y 2 − 4 y = ( y − 2)2 − 4
Une équation du cercle de diamètre [AB] est : x2 + y 2 − 2 x − 4 y + 3 = 0 peut s’écrire
2
3 ( x − 1)2 + ( y − 2)2 = 2.
( x − 1)2 + y − = 17.
2 # est le cercle de centre A(1 ; 2) et de rayon 2.
1 9 b) (2 − 1)2 + (3 − 2)2 = 2. B appartient à #
73 I ; − et AB = 2.
2 2 c) Un vecteur normal à d est n(1 ; 1).
Une équation du cercle de diamètre [AB] est : AB(2 − 1 ; 3 − 2) = n(1 ; 1)
2 2
x − 1 + y + 9 = 2. d est bien tangente à # en B.
2 2
78 x2 + y 2 − 2 x − 6 y + 8 = 0
74 1. a) I(1 ; 2) est le centre du cercle.
a) x2 − 2 x = ( x − 1)2 − 1
Son rayon est IA = 32 + (−1)2 = 10.
y 2 − 6 y = ( y − 3)2 − 9.
b) Une équation de # est ( x − 1)2 + ( y − 2)2 = 10. x2 + y 2 − 2 x − 6 y + 8 = 0 peut s’écrire
2. a) MA ⋅ MB = (4 − x)(−2 − x) + (3 − y)(1 − y) ( x − 1)2 + ( y − 3)2 = 2
= −8 + x 2 − 2 x + 3 + y 2 − 4 y # est le cercle de centre A(1 ; 3) et de rayon 2.
= x2 − 2 x + y 2 − 4 y − 5 b) (0 − 1)2 + (4 − 3)2 = 2 donc B appartient à #.
b) M appartient à # si, et seulement si, MA ⋅ MB = 0 c) AB(− 1 ; 1) est un vecteur normal à T, une équation
soit x2 − 2 x + y 2 − 4 y − 5 = 0. de T est de la forme −x + y + c = 0. B Î T donc
Par la méthode de complétion des carrés c = −4
x2 − 2 x = ( x − 1)2 − 1 y 2 − 4 y = ( y − 2)2 − 4 Une équation de T est −x + y − 4 = 0.
168
S’entraîner
2
lorsque x = (c’est l’abscisse du sommet de la
2
parabole d’équation y = 2 x2 − 2 2 x + 2).
Donc H, projeté orthogonal de O sur d, a pour coor-
2 2
données ; . 87 Voici la partie de l’algorithme concernée par les
2 2
adaptations.
1 1
OH2 = + = 1 et OH = 1, donc H appartient au Si p = 0 alors
2 2
cercle de centre O et de rayon 1. Donc la droite d est a ← ( xA + xB ) / 2
2 2 b ← ( yA + yB ) / 2
tangente au cercle # en H ; .
2 2 Afficher « G est réduit au point I(a ; b) »
Sinon
)
83 a) BC2 = AB2 + AC2 − 2AB × AC × cos(BAC Afficher « G est le cercle de centre
= 9 + 12, 25 − 21cos(50°) I(a ; b) et de rayon p »
Soit BC » 7, 75 » 2, 8 cm. Fin Si
= 180 − 2 × 70 = 40°
b) ACB 88
)
AB2 = CA2 + CB2 − 2CA × CB × cos(ACB
d ← ( x − xA )2 + ( y − yA )2
= 9 + 9 − 18 cos(40°) Si d = r
soit AB2 » 4 , 211 soit AB » 2,1 cm. Afficher « M appartient au cercle »
c) AC2 = BC2 + BA2 − 2BC × BAcos(β) Sinon
BC2 + BA2 − AC2 1 Afficher « M n’appartient pas au cercle »
soit cos(β) = = d’où β = 60°.
2BC × BA 2 Fin Si
98
( )
le milieu de [AC ], c’est-à-dire à MI2 − 2 2 = 1
4
soit MI2 = 3.
Ainsi MI = 3 et l’ensemble cherché est le cercle #¢
de centre I et de rayon 3.
-2 0 1 2 3 4 5
-2
174
O A1
Le triangle OA1A2 est équilatéral. Les coordonnées
1 2 2 3
D’où : y = , c’est-à-dire H appartient à l’hyperbole
x de A2 sont A2 ; .
-. 3 3
-6 -4 -2 0 2 4 6
-2
-4
65 O
x
2
16
56 E
A D
(OE) est une médiane du triangle AEC. En utilisant la
-2 relation de Chasles on a:
2 2
EC2 + EA2 = EC + EA
= (EO + OC)2 + (EO + OA)2
= 2EO2 + 2EO ⋅ (OC + OA) + OC2 + OA2
Commandes Geogebra
O milieu de [AC ] entraine OC + OA = 0
• a : −6 < x < 6 ∧ −1 < y < 1
1
• b : 9 < x2 + y 2 < 20 , 25 ∧ y > 1 et OC = OA = AC.
2
• e : 9 < x2 + y 2 < 20 , 25 ∧ y < −1 1
On a donc EC2 + EA2 = 2EO2 + AC2
• j : 9 < x2 + y 2 < 20 , 25 ∧ −1 < y < 1 2 1
soit x2 + 562 = 2 × (40 , 5 − 16)2 + × 812
2
d’où x2 = 1345. x = 1345 EC » 36 , 7 m.
UNDERGROUND
182
85
2 a) • p1 = = 0 ,17. La probabilité que ce véhi-
500
cule fonctionne à l’éthanol est 0,17.
39
Acquérir des automatismes
p2 = = 0 , 078. La probabilité que ce véhi-
500
cule ait un fonctionnement hybride est 0,078.
39
b) p3 = = 0 , 6. Parmi les véhicules qui fonc-
65
tionnent à l’électricité, la probabilité de choisir
un véhicule qui fonctionne à l’éthanol est 0,6. 3 « L’employé choisi est en CDI et a plus de
P2 30 ans » est l’événement D Ç J.
3 a) P1 = P(B); P2 = P(A ∩ B). b) P3 = . Sa probabilité est :
P1
P(D ∩ J) = PD × PD (J) = 0 , 2 × 0 , 4 = 0 , 08.
2 Formule des probabilités totales
4 Deux boules de l’urne portent des numéros
1 a) F 2 1
11 24 impairs (3 et 5) donc P(B) = = .
15 10 5
Cinq boules de l’urne portent un numéro inférieur ou
44 6 15 5 1
égal à 5 (2, 2, 3, 4 et 5) donc P(C)= = .
10 2
A B C Univers L’événement B Ç C est réalisé par le tirage d’une
11 + 24 + 15 50 10 boule portant un numéro impair et inférieur ou égal à
b) P(F) = = = . 2 1
115 115 23 5 (boule 3 ou boule 5) donc P(B ∩ C) = = .
10 5
2 a) • A Ç B : « L’adhérent choisi pratique l’athlé- 1 1 1
Or, P(B) × P(C) = × = .
tisme et le badminton ». Cet ensemble est vide. 2 5 10
• A Ç C : « L’adhérent choisi pratique l’athlétisme Ainsi P(B ∩ C) ≠ P(B) × P(C) donc les événements B
et le canoë ». Cet ensemble est vide. et C ne sont pas indépendants.
184
S’entraîner
p¬0
sinon
p¬2
Fin Si
Fin Si
58 a) Si p = 2 alors
p¬0 1
Si a < alors
Pour i allant de 1 à 2 2
a ¬ un nombre aléatoire de [0 ; 1] p¬0
Si a < 0 , 5, alors Sinon
p ← p+2 p ¬1
sinon Fin Si
Fin Si
p ← p +1
Fin Pour
Fin Si
Afficher p
Fin Pour
Afficher p b) On représente la situation par un arbre pondéré.
b) L’arbre des probabilités ci-dessous indique les 1
numéros des cases où le lapin peut se situer après 2 B
chaque déplacement. La probabilité que le lapin ter- 1
A
2
mine son parcours sur la case numéro 3 est donc, 1 C
d’après la formule des probabilités totales : B 1 2
1 1 1 1 1 1 A
× + × = . 1 2
2 2 2 2 2 2 C
2
1 B
1er déplacement 2e déplacement 2 1
1 2 B
1
2 4 1 A
2
1 2 2 1 C
2 1 C 1 2
3 A
2 1 2
1 B
1 3 2
2 1 C
2 1 2
1 2
2
190
18 18 81 3
P(A) = P(F ; F) = × = . 5 V2
32 32 256
175 b) P(A) = P(B1 ∩ V2 ) + P(O1 ∩ V2 ) + P(V1)
b) P(A) = 1 − P(A) = . 3 1 3 1 3
256 P(A) = × + × +
2. a) B est l’événement « Aucun des deux élèves 5 5 5 5 5
choisis n’est une fille » autrement dit « Les deux élèves P(A) = 0 , 84.
choisis sont des garçons ». La probabilité qu’au moins l’une des boules tirées soit
14 14 49 verte est égale à 0,84.
P(B) = P(G ; G) = × = . 1 1
32 32 256 P(B) = 1 − P(B) = 1 − P(O1 ∩ O2 ) = 1 − × = 0 , 96.
207 5 5
b) P(B) = 1 − P(B) = . La probabilité que les deux boules tirées ne soit pas
256
oranges est égale à 0,96.
75 a) • P(A ∩ B) = P(A) × P(B) Situation 2
= 0 , 01× 0 , 95 = 0 , 009 5. a) er e
1 tirage 2 tirage
• P(A ∩ B) = P(A) × P(B) = 0 , 99 × 0 , 05 = 0 , 049 5. 2
1
• P(A ∩ B) = P(A) × P(B) = 0 , 99 × 0 , 95 = 0 , 940 5. 5 2
• P(A ∩ B) = P(A) × P(B) = 0 , 01× 0 , 05 = 0 , 000 5. 1 52
b) Présenter uniquement le défaut B se traduit par
1
A Ç B. 2 3
5
5
La probabilité que ces deux enceintes présentent uni- 2 1
quement le défaut B est : 2 5 2
5 2 52
0 , 049 5 × 0 , 049 5 ≈ 0 , 002 5.
1
5 3
138 160 23 1
76 a) P(A) × P(F) = × = .
240 240 60 5 2 1
92 23 5 2
P(A ∩ F) = = . 52
240 60 3
Ainsi P(A ∩ F) = P(A) × P(F) et les événements A et F 1
5 3
sont indépendants.
79 a) Pour tout événement A ; on a PA (A) = 1. 82 On note A l’événement « le père est asthma-
b) Il existe un événement C tel que P(A) + P(C) = 1. tique », B l’événement « la mère est asthmatique » et
c) Pour tous événements A et B, on a C l’événement « l’enfant est asthmatique ».
PA (B) × P(A) = PB (A) × P(B). On peut donc représenter la situation par un arbre
pondéré.
0,9 C
B
194
1 1 5
85 PA (B) = 1 − PA (C) − PA (D) = 1 − − = .
4 8 8
P(A ∩ B) PA (B) × P(A)
PB (A) = =
P(B) PA (B) × P(A) + PA (B) × P(A)
1 -1
1--
n 1
- 0
n
1 1
1-- 0
-
n n b) Valeur approchée de l’aire bleue affichée par le
1 programme : 0,784 73
1
- 2
n (pour la simulation de 100 000 expériences).
La probabilité que le pion soit au centre après deux 1
c) Le disque bleu a pour rayon , donc :
déplacements est donc : 2
1 2
1 − 1 × 1 × 2 = 2 − 2 = 2n − 2 Aire (bleue) = π × ≈ 0 , 784 73
n n n n2 n2 2
On peut alors étudier la fonction f définie sur Ainsi, π ≈ 4 × 0 , 784 73 ≈ 3,138 92.
2x − 2
[0 ; + ∞[ par f( x) = .
x2 89 Test A 0,8 T1
−2 x + 4
f ′( x) = n donc f ′( x) est négatif pour 1 M
x3 200 0,2 T1
x > 2, donc la fonction f est décroissante pour
n > 2. Lauriane a donc raison, sauf de n = 1 à n = 2.
199 0,05 T1
0,56 C
0,32
0,56 C E
93 Lorsque le joueur choisit, il a une chance sur 3
0,32 0,12 T
0,56 C E de désigner la bonne porte. Il avait donc 2 chances
0,32 sur 3 de désigner une mauvaise porte.
C E 0,12 T
0,56 1
S’il garde son choix, la probabilité de gagner est .
0,32 0,12 T
3
E
S’il modifie son choix, il gagne si son choix initial était
0,12 T
2
perdant, donc avec une probabilité de .
3
La probabilité qu’Enzo soit gagnant à la 4e question Il a donc intérêt à changer.
est 0 , 563 ´ 0 , 32 soit environ 0,056.
94 On note :
92 1. a) On représente la situation par un arbre M l’événement « Le voyageur passe le portique avec
pondéré. un objet métallique ».
198
0,22 A
0,82 A
0,15
0,78 A
A
0,15 A
0,85
A
0,85 A
1 Définir une variable aléatoire 3 Le dé est équilibré donc on modélise cette expé-
rience aléatoire par une loi équirépartie.
1 a) 1re pièce Les valeurs prises par X sont 0, 2, 10 et 20.
2e pièce Issues Valeurs de X
Voici la loi de probabilité de X :
P PP 2
P a 0 2 10 20
F PF 1
1 1 1 1
P FP 1 P(X = a)
F 6 3 3 6
F FF 0
b) X prend les valeurs 0, 1 et 2.
4 Les valeurs prises par X sont 2, 5, 10 et 50.
2 a 0 1 2 Voici la loi de probabilité de X :
1 1 1 a 2 5 10 50
P(X = a)
4 2 4 25 10 5 1
P(X = a)
41 41 41 41
21 a) 1 2 3 4 5 6
1 1 2 3 4 5 6
2 2 4 6 8 10 12
3 3 6 9 12 15 18
4 4 8 12 16 20 24
11 X peut prendre les valeurs : 0,5 ; 2 ; 1,5 ; 2 ; 2,5 ; 5 5 10 15 20 25 30
3. L’affirmation d’Alicia est donc fausse. 6 6 12 18 24 30 36
202
23 a) X prend les valeurs 0, 1 et 4. 28 a) La somme des probabilités est égale à 1 donc la
b) Voici la loi de probabilité de X : valeur manquante est P(X = 3) = 1 − 0 , 3 − 0 , 5 = 0 , 2.
b) P(X > 10) = P(X = 2) + P(X = 3)
a 0 1 4
= 0, 5 + 0, 2 = 0, 7
1 2 2
P(X = a)
5 5 5
29 a) p1 + p2 + p3 + p4 = 1
donc p1 + p1 + p1 + 3 p1 = 1, ce qui donne 6 p1 = 1
24 a) Voici la loi de probabilité de X :
1
a 1 5 10 puis p1 = .
6
19 12 1 On en déduit la loi de probabilité de X :
P(X = a)
32 32 32
a 5 10 15 20
19 12 31
b) P(X < 5) = P(X = 1) + P(X = 5) = + = 1 1 1 3
32 32 32 P(X = a)
6 6 6 6
La probabilité de gagner 5 points ou moins est égale
31 b) P(X > 10) = P(X = 10) + P(X = 15) + P(X = 20)
à .
32 1 1 3 5
P(X > 10) = + + =
6 6 6 6
25 a) On peut utiliser un arbre pour déterminer les p
p p
4 chemins possibles. 30 a) p1 = 2 = 3 = 4
2 3 4
2 1……… X = 5 donc p2 = 2 p1, p3 = 3 p1 et p4 = 4 p1.
1
1……… X = 4 Or p1 + p2 + p3 + p4 = 1
1 donc p1 + 2 p1 + 3 p1 + 4 p1 = 1
1
1____1……… X = 5 ce qui donne 10 p1 = 1 et donc p1 = 0 ,1.
Par conséquent, p2 = 0 , 2, p3 = 0 , 3 et p4 = 0 , 4.
3 1……… X = 5 b) Voici la loi de probabilité de X :
b) Voici la loi de probabilité de X : a 1 2 3 4
a 4 5 P(X = a) 0,1 0,2 0,3 0,4
1 3
P(X = a) c) P(X < 3) = P(X = 1) + P(X = 2) + P(X = 3) = 0 , 6.
4 4
204
S'entraîner
1 n n n 68 a) 1/2 A :X = 0
V(X) = ∑ai2 − ∑2aiE(X) + ∑E(X)2 1/2
B 1/2
n i =1 C :X = 4
i =1 i =1 A 1/2 A :X = 0
1 n n 1/2 1/2 D 1/2
V(X) = ∑ai2 − 2E(X)∑ai + nE(X)2 C :X = 4
n i =1
i =1 B
n n
1 2E(X) 1/2
V(X) = ∑
n i =1
ai2 − ∑ai + E(X)2
n i =1
1/2
C :X = 2
2E(X) n 1 n
d) ∑
n i =1
ai = 2E(X) × ∑ai or on sait que
n i =1
A
1/2 A :X = 0
B 1/2
1/2 1/2
1 n 2E(X) n
C :X = 4
∑
n i =1
ai = E(X) donc ∑ai = 2E(X)2 .
n i =1 1/2
A
D
1/2 A :X = 0
1/2 1/2
C :X = 4
1 n D
Par conséquent, V(X) = ∑ai2 − 2E(X)2 + E(X)2 1/2
n i =1
C :X = 2
1 n La loi de probabilité de X est donc :
et donc V(X) = ∑ai2 − E(X)2 .
n i =1 1 4 1
P(X = 0) = 4 ´ =
e) Avec la formule du cours, on doit effectuer n sous- 2 4
tractions, alors qu’avec la formule de König-Huygens, 1 2 1
P(X = 2) = 2 ´ =
on n’en effectue qu’une. 2 2
208
210
a -1 2 3 4 5 7 9 1
b) • P(X = 1) =
1 1 1 1 1 1 1 4
P(X = a) La probabilité que la première fille sorte au 1er étage
3 9 9 9 9 9 9
1 1 1
E(X) = × (−1) + + × 9 = 3 est .
3 9 4
1
Ce jeu n’est pas équitable, il est favorable au joueur • P(Y = 1) =
4
car E(X) > 0.
La probabilité que la seconde fille sorte au 1er étage
1
89 On note X la valeur du gain algébrique du est .
4
joueur. On représente la situation par un arbre. 1 1 1 1
• E(X) = × 1 + × 2 + × 3 + × 4 = 2, 5
1re jeton 1 2e jeton Valeurs de X 4 4 4 4
1 n rouge 16 Sur un grand nombre de répétitions, la première fille
n rouge
n -1 1 blanc 1 sera montée avec l’ascenseur de, en moyenne,
n n 2,5 étages par trajet.
n -1 rouge 1
blanc
n n -1 blanc - 5 1 1 1 1
• E(Y) = × 1 + × 2 + × 3 + × 4 = 2, 5
n 4 4 4 4
On en déduit la loi de probabilité de X : Sur un grand nombre de répétitions, la deuxième fille
a 16 1 - 5 sera montée avec l’ascenseur de, en moyenne,
1 2(n − 1) (n −1)2 2,5 étages par trajet.
P(X = a) 2. a) p = P(X > 2) × p(X > 2)
n2 n2 n2
L’espérance de X est donc, en fonction de n, p = P( X = 2) × P( Y = 2) + P(X = 2) × P( Y = 3)
1 2(n − 1) (n − 1) 2 + P(X = 2) × P(Y = 4) + P(X = 3) × P(Y = 2)
E(X) = × 16 + ×1 + × (−5)
n2
n 2
n2 + P(X = 3) × P(Y = 3) + P(X = 3) × P(Y = 4)
16 + 2n − 2 − 5n2 + 10n − 5 + P(X = 4) × P(Y = 2) + P(X = 4) × P(Y = 3)
E(X) =
n2 + P(X = 4) × P(Y = 4)
212
216
1 x 1 5 10 20
1 4 1 1 3 a) On écrit :
P(X = x)
3 9 9 9 11 print(Nb_Pile())
2 a) a est un nombre entier aléatoire compris entre b) On saisit et on teste le programme complété.
1 et 9.
x est la valeur prise par la variable aléatoire X.
On convient que si a < 3, la boule tirée est verte
2 Simuler un échantillon
d’une variable aléatoire
x 0 1 2
1 1 1
P(X = x)
4 2 4
3. a) Voici ce programme :
1 2
3 1. a) P(X = 10) = et P(X = −5) = .
3 3
1 2
b) E(X) = × 10 + × (−5) = 0. 2. La fonction Distance renvoie pour résultat l’écart
3 3
entre la moyenne m de l’échantillon et l’espérance
2. a) Voici les fonctions X et Moyenne écrites dans le
µ = 0 de la variable aléatoire X.
langage Python.
3. La fonction Répétition renvoie la proportion
d’échantillons tels que l’écart entre m et e soit infé-
2s
rieur ou égal à .
n
4. b) On obtient des proportions proches de 95 %.
2σ
Pour environ 95 % d’échantillons, on a m − µ < .
n
1 2
6 1. a) P(X = 0) = , P(X = 1) = ,
7 7
2 2
b) On obtient par exemple : P(X = 4) = et P(X = 9) = .
7 7
1 2
b) E(X) = × 0 + × (1 + 4 + 9) = 4
7 7
1 2
V(X) = × (0 − 4)2 + × ((1 − 4)2 + (4 − 4)2 + (9 − 4)2 )
7 7
3. a) Voici ce programme : V(X) = 12
Donc µ = 4 et σ = 2 3.
Le programme devient :
7 a) x +3 +5 -2
1 1 3
P(X = x)
2 5 10
b)
8 a) La variable a prend pour valeur un nombre Avec des valeurs assez grandes de n, le pourcentage
entier aléatoire de 1 à 32, elle représente la 1re carte de paniers réussis est proche de 80 %.
tirée.
La variable b prend pour valeur un nombre entier 11 1.
aléatoire de 1 à 32, elle représente la 2e carte tirée.
b) On convient que si a < 4, la 1re carte tirée est un
as et que si b < 4, la 2e carte tirée est un as.
c) On saisit le programme et on exécute plusieurs fois
la fonction.
d) En effet, la probabilité de tirer deux as est :
1 1
× ≈ 0 , 016.
8 8 2. On complète la ligne 17 :
m = somme/n
9 1. Entre 1 et 100, on compte 14 multiples de 7
3. On saisit et on teste les fonctions obtenues.
donc P(X = 1) = 0 ,14 et P(X = 0) = 0 , 86.
2. Saisir n 3 2
12 1. a) P(X = 0) = et P(X = 1) = .
Pour k allant de 1 à n 5 5
Afficher Aléa () 3 2
b) E(X) = × 0 + × 1 = 0 , 4.
Fin Pour 5 5
220
S'entraîner
3. a) Pour chacun des N échantillons de taille n, la
fonction calcule la distance d entre la moyenne de cet
échantillon et e. 24
3
Elle renvoie pour résultat la proportion d’échantillons
2µ
telle que d <
σ.
b) Par exemple :
17 1. C 2. B 3. C
18 1. A, B, C, D 2. A, D
2. a) On saisit et on teste ces fonctions.
19 1. L’affirmation est fausse.
b) On exécute plusieurs fois Moyenne(10000).
En effet, dans la boucle l’affectation s=X() ne convient
pas. On devrait écrire s=s+X().
2. L’affirmation est vraie.
En effet, la moyenne d’un échantillon de taille n assez
grande est proche de l’espérance de X.
20 a)
On propose alors 2,5 pour estimation de l’espérance
de X.
1 3
29 1. a) P(X = 10) = , P(X = 2) =
8 8
1
et P(X = −1) = .
2
1 3 1
b) E(X) = × 10 + × 2 + × (−1) = 1, 5
8 8 2
2. a)
27 1. P(X = 1) = 0 , 7 et P(X = 0) = 0 , 3.
E(X) = 0 , 3 × 0 + 0 , 7 × 1 = 0 , 7
V(X) = 0 , 3 × (−0 , 7)2 + 0 , 7 × (−0 , 3)2 = 0 , 21
σ(X) = 0 , 21 ≈ 0 , 46. b) On saisit et on teste ces fonctions.
2. Chaque cellule du domaine B2:CW2 contient la for- Par exemple ; Moyenne(10000) renvoie une valeur
mule : proche de l’espérance E(X) = 1, 5.
= SI(ALEA()<= 0 ,7 ;1; 0)
On corrige le contenu de la cellule CZ2 :
= ABS(CY2−0 ,7) .
2σ(X)
≈ 0 , 092, on corrige la formule de la cellule
n
DA2 : = SI(CZ2<= 0 ,092;1; 0)
Le reste de la feuille convient.
222
x 2 3 4 5 6 7 8 9
1 2 3 4 5 6 5 4
P(X = x)
36 36 36 36 36 36 36 36
x 10 11 12
3 2 1
P(X = x) b) On saisit et on teste cette fonction.
36 36 36
3. a)
2. a)
2 2
3 1. a) P(X = 1) =
39 , P(X = 5) =
5 5
1
et P(X = 10) = .
5
2 2 1
b) E(X) = × 1 + × 5 + × 10, µ = 4 , 4
5 5 5
2 2 1
V(X) = (1 − 4 , 4)2 + (5 − 4 , 4)2 + (10 − 4 , 4)2
5 5 5
V(X) = 11, 04 et σ = 11, 04 ≈ 3, 32
43 a)
2. a) Dans chaque cellule du domaine B2:CW2, on sai-
sit la formule :
= SI(ALEA()<= 0,4 ;1; SI(ALEA()<= 2/3;5;10))
b) Dans la cellule CY2, on saisit la formule :
=MOYENNE(B2:CW2))
Dans la celluleCZ2, on saisit la formule :
= ABS(CY2− 4,4)
3. a) Afin de réaliser une simulation de N = 100 b) On écrit une fonction Moyenne qui simule un
échantillons de taille n = 100 de X, on recopie les échantillon de taille n de X et renvoie pour résultat la
formules jusqu’à la ligne 101. moyenne des n valeurs obtenues.
226
51