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3 e

Conforme aux
ÉDITION REPÈRES
2021 ANNUELS
de progression

CYCLE 4

Livre du professeur
Sous la direction de Joël Malaval

Véronique Carlod Anne Keller


Académie de Clermont-Ferrand (63) Académie de Lille (59)

Bernard Chrétien Jean-Marc Lécole


Académie de Lille (59) Académie de Clermont-Ferrand (03)

Pierre-Antoine Desrousseaux Annie Plantiveau


Académie de Montpellier (34) Académie de Nantes (44)

Marion Girin Frédéric Puigredo


Académie de Paris (75) Académie de Nice (83)

Damien Jacquemoud Mickaël Vedrine


Académie de Grenoble (74) Académie de Strasbourg (67)

Anne Jorioz
Académie de Grenoble (73)
Sommaire

Documents à photocopier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Outils et activités pour utiliser Scratch . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

Chapitre 1 l Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17


Chapitre 2 l Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

Chapitre 3 l Rendre irréductible une fraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Projets Scratch
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

Chapitre 4 l Déterminer des indicateurs de position, de dispersion . . . . . . . . . . . . . . . 51


Chapitre 5 l Calculer des probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

Chapitre 6 l Utiliser la notion de fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

Chapitre 7 l Utiliser les fonctions linéaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

Chapitre 8 l Utiliser les fonctions affines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94

Chapitre 9 l Faire le point sur la proportionnalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107

Projets Scratch
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117

Chapitre 10 l Calculer avec des grandeurs mesurables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118

Projets Scratch
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127

Chapitre 11 l Représenter l’espace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128


Chapitre 12 l Prolonger le théorème de Thalès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
Chapitre 13 l Utiliser les triangles semblables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
Chapitre 14 l Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
Chapitre 15 l Transformer des figures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176

Projets Scratch
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187

Tâches complexes transversales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188

© Éditions Nathan 2021 – ISBN : 978-209-172941-1

 2
Documents à photocopier

Outils et activités pour utiliser Scratch

■ Activité 2 p. 15 ■ Exercice 1 p. 20
1. a. S 96 76
x 1 2 4 v 0 1
k 0 1 2

■ Exercice 3 p. 21
■ Activité 5 p. 18
d 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
2. 1. a. A modulo d 0 0
M 0 24 1
Diviseurs 1
k 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 2
x 24 67

CHAPITRE 1 Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes


■ Exercice 97 p. 38

CHAPITRE 2  tiliser le calcul littéral


U
pour résoudre ou démontrer
■ Activité 1 p. 41 ■ Activité 2 p. 41
2. a. 2. b.
• –(a + b) = (–1) × (a + b) = … × … + … × … = –a … (a + b)(c + d) = (a + b) × … + (a + b) × …
• –(a – b) = (–1) × (a – b) = … × … + … × … = –a … (a + b)(c + d) = … × … + … × … + … × … + … × …

Documents à photocopier  3 
■ Exercice 35 p. 47 ■ Exercice 51 p. 48
Forme développée Forme factorisée
(x + 5)(x – 5) × 39 × 31
x – 49
2

(x + 3)(x – 3)
x2 – 100 – 22 + 26

■ Exercice 39 p. 47
Forme développée Forme factorisée ■ Exercice 64 p. 49
(2x + 1)(2x – 1) x 2 = 25 ● ● 7 et – 7
9x2 – 16
x 2 = 3 ● ● 5 et – 5
(5 + 5x)(5 – 5x)
x 2 = 6 ● ● 26 et – 26
81x2 – 100
2x 2 = 98 ● ● 23 et – 23

■ Exercice 49 p. 48
■ Exercice 81 p. 52
80 Règle
a+b
–5
5 11 a b Choisir ×
un nombre.
+5

CHAPITRE 3 Rendre irréductible une fraction


■ Exercice 15 p. 62

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
31 32 33 34 35 36 37 38 39 40
41 42 43 44 45 46 47 48 49 50
51 52 53 54 55 56 57 58 59 60
61 62 63 64 65 66 67 68 69 70
71 72 73 74 75 76 77 78 79 80
81 82 83 84 85 86 87 88 89 90
91 92 93 94 95 96 97 98 99 100
101 102 103 104 105 106 107 108 109 110
111 112 113 114 115 116 117 118 119 120
121 122 123 124 125 126 127 128 129 130
131 132 133 134 135 136 137 138 139 140
141 142 143 144 145 146 147 148 149 150
151 152 153 154 155 156 157 158 159 160
161 162 163 164 165 166 167 168 169 170
171 172 173 174 175 176 177 178 179 180
181 182 183 184 185 186 187 188 189 190
191 192 193 194 195 196 197 198 199 200

 4
■ Exercice 22 p. 62 ■ Exercice 62 p. 66

71 133 121 163 0% 100 %

97 101 98 107
■ Exercice 81 p. 70
12 131 23 231
Compteur 0 1
d 1 2
201 207 67 91
d.a Faux
a modulo d
30 135 59 151 Vrai
est égal à 0

Projets Scratch

■ Projet 2 p. 75
k 1 2
M 14 28
M modulo B 4 8

CHAPITRE 4  éterminer des indicateurs de position,


D
de dispersion
■ Activité 1 p. 77
1. a.
Diamètre (en cm) 4,4 4,5 4,6 4,7 4,8 4,9
Effectif

■ Activité 2 p. 77 3.
2. a. Nombre de communes
n est compris
Nombre n de moutons 0¯n,5 5 ¯ n , 10 10 ¯ n , 15 entre 6
Nombre de communes 10 (inclus) et 5
15 (exclu). 4
3
2
1
■ Exercice 37 p. 82 0
0 5 10 15
b.
Nombre de moutons
Durée d
0¯d,1 1¯d,2 2¯d,3
(en h)
Effectif

■ Exercice 38 p. 82
a.
Calibre 28 ¯ c , 30 30 ¯ c , 32

Effectif

Documents à photocopier  5 
■ Exercice 44 p. 83 ■ Exercice 55 p. 86
a. a.
Âge Effectif Nombre d’habitants 0¯n,2 2¯n,4
20 ¯ a , 30 1 Effectif
30 ¯ a , 40

CHAPITRE 5 Calculer des probabilités


■ Activité 2 p. 93 ■ Exercice 38 p. 101
2 enfant
e
n 100 1 000 10 000
F G
1er enfant f
F (F ; F)
G
■ Exercice 55 p. 105
1.
■ Exercice 24 p. 98
1. Modèle Pour la ville Pour le sport Total

Fève 2 Noir 5 20
A B C D
Fève 1 Blanc 7
A (A ; A) (A ; B) Marron 3
B (B ; A) Total 27 45
C
D

■ Exercice 25 p. 98
1. a.
2e pièce
A E F I
1 pièce
re

A (A ; E)
E
F
I

CHAPITRE 6 Utiliser la notion de fonction


■ Activité 2 p. 109 ■ Exercice 9 p. 112
a. a.
t 0 1 2 3 5 6 7 10 11 Notation
En français
mathématique
C(t)
f (7) = 2 L’image de . . . est . . . .
f (8) = –3 Un antécédent de . . . est . . . .
f (. . .) = . . . 4 a pour image 5.
f (. . .) = . . . 1 a pour antécédent – 6.

 6
■ Exercice 38 p. 115 ■ Exercice 54 p. 119
c. a.
x – 1,5 – 1 – 0,5 0 0,5 1 1,5 x 0 0.5 1 1.5 2
f (x) g(x)

CHAPITRE 7 Utiliser les fonctions linéaires


■ Activité 1 p. 125 ■ Exercice 26 p. 129
a. b.
Nombre de tickets achetés 1 5 10 15 20 x 0 1 4,5
Prix payé (en €) p (x) 6 15

■ Exercice 22 p. 129 ■ Exercice 76 p. 137


2. a.
x – 3 – 1,5 0
Quantité d’alcool (en dL) 0 1 5 7
h (x) 8 2,4 – 16
Taux d’alcool (en g/L)

CHAPITRE 8 Utiliser les fonctions affines


■ Activité 1 p. 141 ■ Exercice 21 p. 145
a. b.
Prix (en €) payé Prix (en €) payé Prix (en €) payé x –3,7 –2,3 –1,2 0,4 2,5 3,6
pour 5 séances pour 10 séances pour 15 séances
h (x)
Tarif A
Tarif B
Tarif C ■ Exercice 55 p. 150
a.
x 50 200 300 400
■ Activité 2 p. 141
f (x)
2. b.
g(x)
Point A’ B’ C’ D’ E’
h(x)
Abscisse x 1 2 4 6 7
Ordonnée g(x)
■ Exercice 72 p. 153

■ Exercice 19 p. 144 • Choisir un nombre.


• Ajouter 3 à ce nombre.
x –3 0 3 4,5 • . . .
f (x) –3,5 –2,5 • . . .

Documents à photocopier  7 
CHAPITRE 9 Faire le point sur la proportionnalité
■ Activité 2 p. 157 ■ Exercice 42 p. 163
2. a. 1.a.
Prix initial (en €) 34 60 100 AC (en cm) 2 3,5 5,2
Montant de la réduction (en €) . . . . . . . . . Aire du triangle CAS (en cm2) . . . . . . . . .
Prix réduit (en €) . . . . . . . . .

■ Exercice 19 p. 161
1.
Durée (en s) 0 4 . . . . . .
Distance (en m) 0 . . . 1 250 4 800

Projets Scratch

■ Projet 4 p. 173
2.

CHAPITRE 10 Calculer avec des grandeurs mesurables


■ Activité 2 p. 175 ■ Exercice 27 p. 179
2. a.
Je sais que 1 μs = 10–6 s et que 1 ms = 10–3 s,
• 1 m = 10
3 . . .
dam
3
c’est-à-dire 1 s = 103 ms.
• 2,7 × 105 m3 = 2,7 × 105 × 1 m3 En multipliant, on obtient . . .
2,7 × 105 m3 = 2,7 × 105 × 10. . . dam3
2,7 × 105 m3 = 2,7 × 10. . . dam3

 8
Projets Scratch

■ Projet 5 p. 190
2. a.
n 1 2
V 4,19 33,52

CHAPITRE 11 Représenter l’espace


■ Exercice 7 p. 197 ■ Exercice 42 p. 200
a. b.
B
A
A B A

■ Exercice 43 p. 200
■ Exercice 41 p. 200 a.
a. b. E F
K
A B

A I J
H G
A
D C

CHAPITRE 12 Prolonger le théorème de Thalès


■ Exercice 13 p. 214 ■ Exercice 18 p. 215
b. b.
LA . . . . . . ×…
BA BC AC
LO . . . . . . . . .
×…
. . .
BD BE DE

Documents à photocopier  9 
■ Exercice 38 p. 216 ■ Exercice 43 p. 217
a. A
LP 2,5 2,5 × … … D
LO = 3 = 3 × 1,8 = …
C B
LI 1,5 1,5 × … …
LA = 1,8 = 1,8 × 3 = … E

CHAPITRE 13 Utiliser les triangles semblables


■ Exercice 25 p. 231 ■ Exercice 78 p. 241
Angles Sommets Côtés Cette voie ferrée fera gagner chaque jour
homologues homologues homologues
. . . h . . . min aux camions qui empruntent la
jABC et . . . B et . . . [AC] et . . . route entre Auloin et Cityville.
jBAC et . . . A et . . . [BC] et . . . Surtout, cette voie ferrée permettra chaque
jACB et . . . C et . . . [AB] et . . . année de réduire de   . . .   tonnes
les émissions de CO2.

■ Exercice 62 p. 238
B’

A B A’

CHAPITRE 14 Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle


■ Activité 1 p. 243

b. « On sait que


BC = AC donc BC × . . . = AC × . . .
BC’ A’C’
. . .
Par conséquent, AC = .  Ainsi le rapport AC ne dépend que de l’angle . . . ».
BC . . . BC

 10
CHAPITRE 15 Transformer des figures
■ Activité 1 p. 259 ■ Exercice 12 p. 262
1. a. 1.

B A
O

■ Exercice 13 p. 262
a.
C

■ Activité 2 p. 259
1.
A B D

■ Exercice 14 p. 263
a.
C

C A B

A B ■ Exercice 23 p. 263
O M

■ Exercice 9 p. 262
■ Exercice 51 p. 269

O C

O
A B

Documents à photocopier  11 


Projets Scratch

■ Projet 7 p. 274
2. b.
a 0 1
x 150 149,98
y 0 2,62

TÂCHES COMPLEXES TRANSVERSALES


■ Tâches complexes 5 p. 278

Plaque Heure de passage Heure de passage Vitesse moyenne Excès de vitesse


du véhicule au 1er radar au 2e radar (en km/h) éventuel
BE-482-GR 14 : 28 : 00 14 : 31 : 12

EF-531-BA 14 : 29 : 45 14 : 32 : 15

CD-893-MA 14 : 30 : 28 14 : 33 : 28

 12
Outils et activités
pour utiliser Scratch

J'APPRENDS À…

ACTIVITÉ 1 Distinguer les étapes ACTIVITÉ 2 Répéter jusqu’à ce


d’un programme qu’une inégalité soit vraie
1 a. 1 1. a.
x 1 2 4 8 16 32 64 128
k 0 1 2 3 4 5 6 7

b. À la fin du déroulement du script, le lutin énonce


« k = 7 » et « x = 128 ».
128 = 27 est la première puissance de 2 strictement supé-
b. rieure à 100.
2. a.
• A = 200
Le lutin énonce « k = 8 » et « x = 256 ».
256 = 28 est la première puissance de 2 strictement supé-
rieure à 200.
• A = 1 000
2 a. Le sous-programme Partie fait appel trois fois au
Le lutin énonce « k = 10 » et « x = 1 024 ».
sous-programme Tirage.
1 024 = 210 est la première puissance de 2 strictement
b. À la fin de l’exécution du sous-programme Partie, la supérieure à 1 000.
variable g a deux valeurs possibles : 0 et 1.
• A = 10 000
La variable g a la valeur 1 si le jeton numéroté 8 a été tiré
Le lutin énonce « k = 14 » et « x = 16 384 ».
au moins une fois sinon la variable g a la valeur 0.
16 384 = 214 est la première puissance de 2 strictement
3 a. supérieure à 10 000.
b. De façon plus générale, le script détermine la première
puissance de 2 strictement supérieure au nombre A, c’est-
à-dire le nombre k tel que x . A avec x = 2k.
2 a.
• E = 0,1
Le lutin énonce « k = 4 » et « x = 0,062 5 ».
0,062 5 = 0,54 est la première puissance de 0,5 strictement
inférieure à 0,1.
• E = 0,01
Le lutin énonce « k = 7 » et « x = 0,007 812 5 ».
0,007 812 5 = 0,57 est la première puissance de 0,5 stricte-
b. On saisit les différents sous-programmes complétés. ment inférieure à 0,01.
c. • E = 0,001
Le lutin énonce « k = 10 » et « x = 0,000 976 562 5 ».
0,000 976 562 5 = 0,510 est la première puissance de 0,5
strictement inférieure à 0,001.
b. De façon plus générale, le script détermine la première
puissance de 0,5 strictement inférieure au nombre E, c’est-
à-dire le nombre k tel que x , E avec x = 0,5k.

On exécute le programme principal afin de tester le fonc-


tionnement du projet.

Outils et activités pour utiliser Scratch  13 


ACTIVITÉ 3 Programmer le jeu 2. a. Par exemple :

du nombre mystère
1 a. La variable Nb_mystère a pour valeur un nombre
entier aléatoire compris entre 1 et 100.
Il s’agit du nombre mystère choisi par le lutin.
La variable Rep prend pour valeurs les réponses succes-
sives proposées par le joueur.
b.

c. On saisit et on teste le programme complété.


2 a.

b. Le contenu de la variable Issue est la lettre obtenue sur


le sommet supérieur du tétraèdre lors de la simulation.
3. On saisit le sous-programme Lancer complété.
2 a.

b. On saisit et on teste cette nouvelle version.

ACTIVITÉ 4 Répéter le lancer d’un dé


b. À la fin du déroulement du programme, la variable N a
tétraédrique pour valeur le nombre de fois où la lettre A est obtenue.
1 1. c. On exécute et on teste le fonctionnement du projet.
Issue A L E
Probabilité 0,5 0,25 0,25
ACTIVITÉ 5 Déterminer le plus grand
nombre d’une liste
1 a. La boucle est répétée 10 fois donc la liste L est for-
mée de 10 nombres entiers aléatoires compris entre 1 et
100.
b. représente l’élément de rang 7
de la liste L, c'est-à-dire 83 pour la liste obtenue.

 14
2 1. a. ACTIVITÉ 6 Tracer un quadrilatère
M 0 24 67 67 95 95 95 95 95 95 95 variable
k 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
x 24 67 17 95 28 25 83 71 13 37
1 On définit les lutins du projet.
2 a. On saisit le script du lutin Point1.
b. À la fin du programme, la variable M a pour valeur 95,
b. On associe ce script aux lutins Point2, Point3 et Point4.
c’est-à-dire le plus grand des nombres de la liste L.
c. On exécute ces scripts en parallèle.
c. De façon plus générale, ce programme détermine le
plus grand des nombres d’une liste L. 3 a. On saisit le script du lutin Sprite1.

2. On saisit le projet et on teste son fonctionnement. b. On teste le projet ainsi réalisé.

JE M'ENTRAÎNE

1 1. a. b. D’une année à la suivante, le capital augmente de 4 %,


S 96 76 56 36 16
cela revient à multiplier sa valeur par 1,04.
v 0 1 2 3 4 c. On saisit et on exécute le script de Tom.

À la fin du déroulement du sous-programme Vingt, la d. La réponse obtenue par Paul est de 11 années de pla-
variable  v a pour valeur 4, elle représente le nombre de cement.
billets de 20 € dans la décomposition de 96 €. 2.
b. De façon plus générale, ce sous-programme détermine
le nombre de billets de 20 € dans la décomposition d’une
somme de S €.
2. a.
S 16 11 6 1
c 0 1 2 3

À la fin du déroulement du sous-programme Cinq, la


variable  c a pour valeur 3, elle représente le nombre de
billets de 5 € dans la décomposition de 16 €.
b. De façon plus générale, ce sous-programme détermine
le nombre de billets de 5 € dans la décomposition d’une
somme de S €.
3. a.

3 1. La condition :

est vraie lorsque le reste de la division euclidienne de A


par d est égal à 0, c’est-à-dire lorsque d est un diviseur de
A.
2. a.
d 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
A modulo d 0 0 1 2 0 4 3 2 1 0
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2 2 2 2
Diviseurs
5 5 5 5 5 5
10

À la fin du déroulement du programme la liste Diviseurs


b. On saisit et on teste le projet complété. contient les nombres 1 ; 2 ; 5 et 10, c’est-à-dire les diviseurs
de 10.
2 1. a. La variable N prend successivement pour valeurs
le nombre d’années du placement. b. De façon générale, le programme détermine les divi-
seurs de A.
c. On saisit et on teste le programme.

Outils et activités pour utiliser Scratch  15 


3. Par exemple : 2. Script du lutin Boo :

Script du lutin Cannelle :

ou bien :

Script du lutin Dixi :

4. a. Les diviseurs stricts de 220 sont : 1 ; 2 ; 4 ; 5 ; 10 ; 11 ;
20 ; 22 ; 44 ; 55 et 110.
b. La somme des diviseurs stricts de 220 est 284.
Les diviseurs stricts de 284 sont : 1 ; 2 ; 4 ; 71 et 142.
Leur somme est 220 donc les nombres 220 et 284 sont
amiables.
4 1. a. Le point de départ du lutin Aaron a pour coordon-
nées (–220 ; 160).
b. Le lutin Aaron se dirige vers le lutin Boo, son déplace-
ment élémentaire de 1 pas est répété 400 fois.

 16
1 Utiliser les nombres
pour résoudre
des problèmes

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le début du cycle 4 ● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe  3


« Puissance de base quelconque ». Les règles permettant
Il revient au cycle 4 d’introduire la notation puissance, de réduire l’écriture de produits et de quotients sont pré-
parfois qualifiée de « cinquième opération ». La notation sentées à travers des exemples. Il ne s’agit pas pour l’élève
10n (exposants positifs puis négatifs) est introduite en de les utiliser de façon systématique, un retour à la défini-
milieu de cycle 4 (classe de 4e), puis étendue pour une tion de la notation puissance permet d’effectuer tous les
base quelconque (exposant positif ). Il est important que calculs proposés.
l’élève se familiarise au plus tôt avec les puissances de dix
● Le paragraphe 4 «  Nombres rationnels et calculs  »
et la notation scientifique d’un nombre non nul, afin de
reprend les attendus de la fin de la classe de 4e sur le calcul
se préparer à leurs usages dans les sciences appliquées
fractionnaire.
et la technologie.
● Le paragraphe 5 « La racine carrée d’un nombre positif »
L’inverse d’un nombre relatif non nul est défini en classe
de 4e, ce qui permet d’introduire dans ce chapitre la puis- permettra aux élèves de résoudre des problèmes mettant
sance négative d’un nombre relatif non nul. en jeu des racines carrées.
Les opérations sur les nombres rationnels sont toutes
connues à l’entrée en classe de 3e, elles seront ici mobili- J’applique le cours
sées au service de la résolution de problèmes. La racine Exercice résolu 1
carrée d’un nombre positif, introduite en classe de 4e, est, L’exercice demande aux élèves de combiner la connais-
elle aussi remobilisée dans le cadre de la résolution de sance de la notation scientifique d’un nombre décimal
problèmes. non nul et les effets de la multiplication par une puissance
de dix.
2 Je découvre Le contrôle des réponses à la calculatrice permet l’appren-
tissage de l’utilisation de la syntaxe de la calculatrice rela-
Activité 1 tivement à la notation scientifique, pour la lecture et pour
L’activité 1 se consacre aux calculs faisant intervenir des l’écriture.
nombres écrits à l’aide d’une puissance de dix. L’élève est
amené à manipuler des nombres sous la forme a × 10n, où
a est un nombre décimal et n un entier naturel. Le contexte 4 Compléments
de l’astronomie est le lieu de calculs de distances faisant
Utiliser la notation scientifique
intervenir une situation de proportionnalité.
Les exercices 20 à 31 permettent de travailler sur la nota-
Activité 2 tion scientifique d’un nombre décimal non nul.
L’activité 2 a pour objectif d’introduire la puissance néga- L’exercice 30 permet de manipuler des préfixes moins fré-
tive d’un nombre. Les élèves sont amenés à la question 1 à quemment rencontrés (zetta).
réinvestir la définition d’une puissance pour pouvoir effec-
tuer les multiplications. Utiliser les puissances de base quelconque
La question 3 pourra être abordée à l’aide du tableur pour Les exercices 32 à 40 permettent de revenir sur les règles
renforcer le sens de l’opération itérée. de calculs découvertes plus tôt dans le cycle. L’élève est
invité à s’appuyer sur la définition de la notation puissance
3 Cours - J’applique le cours pour répondre aux questions.

Cours Utiliser une racine carrée


● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe  1 Les exercices 51 à 57 permettent aux élèves de manipuler
« Puissance de 10 : rappels » et le paragraphe 2 « Notation des expressions où figurent une racine carrée. Le champ
scientifique : rappel ». Ces paragraphes font le point sur les des problèmes s’élargit et ne se limite plus au seul contexte
notations découvertes plus tôt dans le cycle. géométrique comme c’était le cas en classe de 4e.

Chapitre 1– Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes  17 


CORRIGÉS

Bien démarrer 3 On détermine la notation scientifique des deux


masses en kg :
1. b et c ; 2. a et b ; 3. b ; 4. b ; 5. a.
0,009 109 4 × 10–28 = 9,109 4 × 10–3 × 10–28 = 9,109 4 × 10–31
1 672,6 × 10–30 = 1,672 6 × 103 × 10–30 = 1,672 6 × 10–27
On compare les exposants : –27 . –31, donc le proton est
Je découvre
plus lourd que l’électron.
Activité 1
5 Le périmètre d’un carré de côté c est égal à 4 × c.
a. 1 min = 60 s et 1 h = 60 × 60 s = 3 600 s 4 × 210 = 22 × 210 = 212 = 4 096
24 h = 24 × 3 600 s = 86 400 s Le périmètre d’un carré de côté 210 cm est donc 4 096 cm.
365,25 × 86 400 s = 31 557 600 s
Dans 365,25 jours, il y a donc environ 3,156 × 107 s. 6 La longueur du côté d’un carré de périmètre p est
b. La lumière parcourt 3 × 105 km en 1 s. Dans une année, égale à p  .
4
il y a environ 3,156 × 107 s. Donc en une année, la lumière 210 210
= 2 = 28 = 256
parcourt approximativement 3 × 105 × 3,157 × 107 km soit 4 2
environ 9,5 × 1012 km. La longueur du côté d’un carré de périmètre 210  cm est
c. L’exoplanète Kepler-1649c se trouve à 300 al de la Terre, donc 256 cm.
soit à environ 300 × 9,5 × 1012 km. Une valeur approchée 2 1 2 × 6 1 × 5 12 5 17
8 + = + = + =
de cette distance est 2,85 × 1015 km. 5 6 5 × 6 6 × 5 30 30 30
L’exoplanète Kepler-42c est ainsi la plus proche de la Terre. 17
Liza et Lino ont au total parcouru du trajet au cours du
30
1 et du dernier jours.
er

Activité 2 1–
17 30 17 13
= – =
30 30 30 30
1  a. 32 = 25 13
b. Après une dilution, la salinité est divisée par 2 : Ils ont parcouru le 2e jour.
30
25 2 × 2 × 2 × 2 × 2
= = 2 × 2 × 2 × 2 = 24 = 16 soit 16 g/L. 9 Pour déterminer la fraction de la production de
2 2
c. Après 3 dilutions : pommes contenue dans chaque caisse, on doit diviser par
25 2 × 2 × 2 × 2 × 2 3
= = 2 × 2 = 22 = 4 soit 4 g/L. 9 les de la production de pommes.
23 2×2×2 5
d. Après 5 dilutions : 3 3 1 3 1
;9 = × = =
25 = 2 × 2 × 2 × 2 × 2 = 20 = 1 soit 1 g/L. 5 5 9 45 15
1
25 2 × 2 × 2 × 2 × 2 Chaque caisse contient de la production de pommes.
15
2  Après 6 dilutions : 114 m2
11 Aire du carré ABCD : = 38 m2. La longueur AB
25 2×2×2×2×2 1 1 3
= =  . La salinité est bien g/L. est égale à 438 m.
26 2 × 2 × 2 × 2 × 2 × 2 2 2
À l’aide de la calculatrice, on obtient : AB ≈ 6,16 m.
3  a. Nombre de dilutions Salinité en g/L
1
12 La longueur exacte du côté de la Cour carrée du
6 = 0,5 Louvre est 912 650 m.
2
7
1
= 0,25 Une valeur approchée à l’unité près est 112 m.
4
1
8 = 0,125
8
1
9
16
= 0,062 5 Je m’entraîne
Armel doit effectuer 9 dilutions pour obtenir une salinité
inférieure à 0,1 g/L. Utiliser les puissances de 10
1 1
b. = = 2–4
16 24 13  a. 2 × 102 × 5 = 2 × 5 × 102 = 10 × 102 = 103
b. 25 × 103 × 4 = 25 × 4 × 103 = 100 × 103 = 105
J’applique le cours c. 20 × 106 × 50 = 20 × 50 × 106 = 1 000 × 106 = 109
d. 104 × 2,5 × 107 × 4 = 104 × 107 × 2,5 × 4 = 1011 × 10 = 1012
2 On détermine la notation scientifique des deux dis-
tances en km : 945 × 1013 = 9,45 × 102 × 1013 = 9,45 × 1015 14  a. 2,356 18 c. 23 561 800
0,064 5 × 1017 = 6,45 × 10–2 × 1017 = 6,45 × 1015 b. 235 618 d. 0,023 561 8
Les exposants sont égaux, on compare donc les facteurs
15  a. L’égalité est vraie.
placés devant les puissances de 10 :
6,45 × 1015 , 9,45 × 1015. b. 10–4 = 0,000 1 donc l’égalité est fausse.
Donc Bételgeuse est la plus proche du Soleil. c. L’égalité est vraie.

 18
d. 105 = 100 000 et 10–5 = 0,000 01 b. Un ordre de grandeur de G est donc 4 × 10–7 ou encore
donc 105 – 10–5 = 99 999,999 99 10–7.
L’égalité est fausse. Un ordre de grandeur de H est donc 5 × 1010 ou encore
1011.
16  256 000 W = 256 × 103 W
84 × 256 × 103 = 21 504 × 103 = 21,504 × 103 × 103 26  a. 6,85 × 10–4 b. 2,5 × 103 c. 7,251 × 109
84 × 256 × 103 = 21,504 × 106
27  a. 2 793 × 106 = 2,793 × 103 × 106 = 2,793 × 109
Or 106 W = 1 MW (mégawatt), donc le parc éolien produit
au total environ 21,5 MW. Anaïs a raison. b. 0,000 68 × 10–4 = 6,8 × 10–4 × 10–4 = 6,8 × 10–8
c. 352 × 10–5 = 3,52 × 102 × 10–5 = 3,52 × 10–3
17  Le diamètre de l’atome de carbone est 24 000 fois
plus grand que celui de son noyau. d. 0,097 × 107 = 9,7 × 10–2 × 107 = 9,7 × 105
24 000 × 5,4 × 10–15 = 129 600 × 10–15 = 1 296 × 102 × 10–15 28  a. 365 × 17 000 = 6 205 000 = 6,205 × 106
24 000 × 5,4 × 10–15 = 1 296 × 10–13 En une année de 365  jours, 6,205 × 106 litres de pétrole
18  a. 32 Go = 32 × 109 o et 700 Mo = 700 × 106 o sont déversés en mer depuis cette plateforme.
32 Go 32 × 109 32 b. 17 ans se sont écoulés entre le 1er septembre 2004 et le
= = × 103 soit environ 45,7 1er septembre 2021.
700 Mo 700 × 106 700
Donc il faut 46 CD de 700 Mo pour stocker autant de don- 17 × 6,205 × 106 = 102,425 × 106 = 1,024 25 × 102 × 106
nées que dans une clé USB de 32 Go. 17 × 6,205 × 106 = 1,024 25 × 108
b. 500 Go = 500 × 109 o Or un milliard est égal à 109, donc Janna n’a pas raison.
500 Go 500 × 109 5 29  a. 1 m3 = 1 000 dm3 = 1 000 L donc
= = × 103 soit environ 714,3
700 Mo 700 × 106 7 1,338 × 109 milliards m3 = 1,338 × 109 × 109 m3
Donc il faut 715  CD de 700  Mo pour stocker autant de et ensuite 1,338 × 109 × 109 × 103 L = 1,338 × 1021 L.
données que dans un disque dur de 500 Go. b. 1 m3 d’eau de mer contient 0,005 mg d’or,
c. 1 To = 1012 o soit 5 × 10–3 mg d’or.
3 To 3 × 1012 3 1,338 × 109 × 109 × 5 × 10–3 mg = 6,69 × 1015 mg
= = × 106 soit environ 4 285,7
700 Mo 700 × 106 700 = 6,69 × 1012 g = 6,69 × 109 kg = 6,69 × 106 t
Donc il faut 4 286 CD de 700 Mo pour stocker autant de
30  a. 1 Zo = 109 To = 109 × 1012 o = 1021 o.
données que dans un disque dur de 3 To.
b. 100 To = 100 × 1012 o = 102 × 1012 o = 1014 o
19  a. 1 h = 60 min et 1 min = 60 s donc 47 Zo 47 × 1021
1 h = 60 × 60 s = 3 600 s et 103 , 3 600 , 104. = = 47 × 107 = 4,7 × 101 × 107 = 4,7 × 108
100 To 1014
b. 1 journée = 24 h = 24 × 3 600 s = 86 400 s Il faudrait 4,7 × 108 (470 millions) de disques durs de 100 To
et 104 , 86 400 , 105. pour sauvegarder toutes les données créées en 2020.
c. 1  an = 365  jours = 365 × 86 400 s = 31 536 000 s 31  Notation scientifique des superficies en m2 :
et 107 , 31 536 000 , 108. Tonlé Sap : 1,3 × 1010
d. 1 siècle = 100 ans = 100 × 31 536 000 s = 3 153 600 000 s Lac Baïkal : 3,15 × 1010
et 109 , 3 153 600 000 , 1010. Lac Victoria : 6,948 5 × 1010
Lac Titicaca : 8,135 × 109
Lac Supérieur : 8,241 4 × 1010
Utiliser la notation scientifique Par ordre décroissant de superficie : lac Supérieur, lac Vic-
toria, lac Baïkal, Tonlé Sap, lac Titicaca.
20  A = Z, B = X et C = Y
21  Les nombres B, C et E sont en notation scientifique. Utiliser les puissances de base quelconque
22  0,081 × 10 = 8,1 × 10 × 10 = 8,1 × 10 donc Marc
–5 –2 –5 –7

se trompe. 32  a. 4 × 2 × 4 × 2 = 82 c. 3 × 72 × 3 = 212


b. 2 × 2 × 5 × 2 × 5 × 5 = 103 d. 6 ×4 6 = 6–2
23  a. 5,45 × 102 d. 8 × 10–3 6
b. 7 × 10–1 e. 1,5 × 10–2 33  a. 3–1 = 1 donc l’affirmation est fausse.
3
c. 7,1 × 104 f. 8,5 × 107 26 2 × 2 × 2 × 2 × 2 × 2 5
b. = = 2 donc l’affirmation est fausse.
2 2
24  a. E = 8,782 × 102 × 10–5 = 8,782 × 10–3
1 3 1
F = 9,12 × 10–3 c. 3 × 3–5 = 3 × 5 = = = 3–4 donc l’affir-
3 3 × 3 × 3 × 3 × 3 34
b. Pour comparer ces deux nombres, on compare les expo- mation est vraie.
sants des puissances de 10. Les exposants sont égaux, on 34  a. 1 + 4 + 27 = 32 1
c. 8 + = 8,5
compare alors 8,782 et 9,12. Manon se trompe, F est supé- 2
rieur à E car 9,12 . 8,782. b. 4 + 25 = 29 d. –32 + (–32) = –64
25  a. G = 4,07 × 10–2 × 10–5 = 4,07 × 10–7 35  a. 32 = 9 et 23 = 8 donc 32 . 23.
H = 5,3 × 102 × 108 = 5,3 × 1010 b. 1 + 42 = 1 + 16 = 17 et 52 = 25 donc 1 + 42 , 52.

Chapitre 1– Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes  19 


1 b. Nombre de rebonds Hauteur de la balle en cm
c. 2–1 = et (–1)2 = 1 donc 2–1 , (–1)2.
2
d. (–3)–2 =
1 1
= et (–2)–3 =
1
=
1
= – 
1 5 ()
35
4
× 100 ≈ 24
(–3)2 9
donc (–3)–2 . (–2)–3.
(–2)3 –8 8 6 ()
3
4
6
× 100 ≈ 18

36  a. 74 × 73 × 7–1 = (7 × 7 × 7 × 7) × (7 × 7 × 7) × 1 = 76
7 ()
37
4
× 100 ≈ 13
7
b. 3–2 × 38 × 3–10 =
1
×3×3×3×3×3×3×3×3
8
3
4()8
× 100 ≈ 10,01
3×3
×
1
=
1
= 3–4
9
4()
39
× 100 ≈ 7,5
3 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 × 3 34
À partir de 9 rebonds la balle remonte de moins de 10 cm.
37  a. 25 × 8 = 25 × 23 = 28
b. 9 × 27 = 32 × 33 = 35
1 5×5 1 Utiliser les nombres rationnels
c. 25 × 5–3 = 52 × 3 = = = 5–1
5 5×5×5 5
41  a. 13 = 65 7
b. –  = – 
28
38  a. 6 ×5 6 = 65 = 6 × 6 × 6 × 6 × 6 × 6 × 6 × 6 × 6
7 2 9
12 60 5 20
6 6 6×6×6×6×6
et ensuite 6 × 6 × 6 × 6 = 64
1
3
( )
42   × –  = – 
5
2
5
3 ×
5×5
2
= – 
6
25
b. 11–1 × 113 = × 11 × 11 × 11 = 11 × 11 = 112 alors Donc l’affirmation de Manon est fausse.
11
112 112 43   2 + 1 = 4 + 1 = 5
3 = = 110 3 6 6 6 6
11 × 11
–1
112 5
Maël et Sybille ont mangé à eux deux de la pizza.
56 56 5 × 5 × 5 × 5 × 5 × 5 6
c. = = = 5 × 5 × 5 × 5 = 54 5
25 52 5×5 Or , 1, donc il reste de la pizza pour leur petit frère Éloi.
6
39  a. Les contenus successifs de P sont 1, 3, 32, 33, 34, 35,
44  a. 12 × 14 = 4 × 3 × 7 × 2 = 4 × 2 = 8
36, 37, 38, 39, 310. 7 15 7×3×5 5 5
b. 6 –25 6×5×5 5
b. –  × = +  =
5 12 5×6×2 2
2 3 12
c. 12; = 12 × = × 3 = 6 × 3 = 18
3 2 2
45  a. 28 = 4 b. – 
40 –5
= c.
–63 7
=
35 5 48 6 –81 9
46  a. 8 + 3 = 8 × 7 + 3 × 5 = 56 + 15 = 56 + 15 = 71
5 7 5 × 7 7 × 5 35 35 35 35
7 5 –7 × 4 5 × 3 –28 15 –13
b. –  + = + = + =
9 12 9 × 4 12 × 3 36 36 36
7 9 7 × 4 9 × 3 28 27 1
c. – = – = – =
6 8 6 × 4 8 × 3 24 24 24
2 9 2 11
d. 1 + = + =
9 9 9 9
7 5 7 2
e. 1 – = – = – 
5 5 5 5
3 12 3 15
40  a. • Après le premier rebond, la hauteur de la balle est f. 3 + = + =
4 4 4 4
3 3 1 1
× 1 m =  m. 47  a. 5
= = 2,5 c. = 10
4 4 2 2 1
• Après le deuxième rebond, la hauteur de la balle est 5 10
3 3
4 4
× m= () 3 2
4
 m. b.
1
–4 –4
=
3
= –0,75 d.
– 
1
5
= – 
1 000
5
= – 200
• Après le troisième rebond, la hauteur de la balle est 3 1 000
3
4
×() 3 2
4 ()
 m =
3 3
4
 m. 48  Pour mettre sur chaque paire de volets une couche
1 2 1
de peinture, Lucie utilise × 2 = = d’un pot.
• Après le quatrième rebond, la hauteur de la balle est 6 6 3
Donc pour mettre sur chaque paire de volets 3 couches de
3
4
×() 3 3
4 ()
 m =
3 4
4
 m. 1
peinture, Lucie utilise × 3 = 1 pot.
3
• Après le cinquième rebond, la hauteur de la balle est Alors, pour mettre sur 4  paires de volets 3  couches de
peinture, Lucie utilise 4 pots de peinture.
3
4
×() 3 4
4 ()
 m =
3 5
4
 m.
49  Pour calculer la somme des proportions indiquées,
()3 5
 ≈ 0,24. Donc après le cinquième rebond, la hauteur de on cherche un multiple commun à 3, 4, 5 et 20. C’est 60.
4
la balle est environ 0,24 m. 1 1 1 1 3 12 15 20 50 5
+ + + = + + + = =
20 5 4 3 60 60 60 60 60 6
 20
5 6 5 1 Utiliser les nombres pour résoudre
1– = – = donc la proportion des GES provenant
6 6 6 6
1
des énergies renouvelables et des déchets est  .
6 58 a. • un milliard = 109
1
50  1. a. = 1 1 2 1 • 100 milliards = 102 × 109 = 1011
+ = = donc R = 10 Ω.
R 20 20 20 10 • 1 000 milliards = 103 × 109 = 1012
1 1 1 3 2 5 1 b. 2 000 milliards × 100 milliards = 2 × 1012 × 1011 = 2 × 1023.
b. = + = + = = donc R = 60 Ω.
R 100 150 300 300 300 60
On peut estimer le nombre d’étoiles dans l’Univers à
1 1 1 1 1 1 1 1 4 1 2 × 1023, soit 200 000 milliards de milliards.
2. a. = + donc = – = – = –
R R1 R2 R1 R R2 6 24 24 24
1 3 1 59 1. a. 2,68 × 10–26 = 2,68 × 101 × 10–27 = 26,8 × 10–27
= = alors R1 = 8 Ω.
R1 24 8 b. Une molécule d’eau est constituée de deux atomes
1 1 1 1 1 8 3 d’hydrogène et d’un atome d’oxygène, donc sa masse en
b. De même, = – = – = –
R1 R R2 225 600 1 800 1 800 kg est :
1 5 1 2 × 1,67 × 10–27 + 26,8 × 10–27 = 3,34 × 10–27 + 26,8 × 10–27
= = alors R1 = 360 Ω.
R1 1 800 360 et 30,14 × 10–27 = 3,014 × 101 × 10–27 = 3,014 × 10–26
2. La masse d’une molécule d’eau est 3,014 × 10–26 kg.
Utiliser une racine carrée Un litre d’eau (dont la masse est 1  kg) contient alors
1
2 molécules d’eau, soit environ 3,32 × 1025
51 a. 9 cm b. 0,6 m c. mm 3,014 × 10–26
3 molécules d’eau.
52 • 9 , 12 , 16 donc 3 , 412 , 4.
• 4 , 8,56 , 9 donc 2 , 68,56 , 3. 60 a. D’après l’énoncé : 31,5 = 7 × v × 1,5.
25
• 36 , 43,64 , 49 donc 6 , 843,64 , 7. 7 31,5 21
Alors  v = = 21. Donc v =  .
25 1,5 7
53 a. 4 , 7 , 9 donc 2 , 17 , 3.
25
b. 36 , 42 , 49 donc 6 , 442 , 7. 25 21
b. v = 21 × = × 25 = 3 × 25 = 75.
c. 81 , 83 , 100 donc 9 , 483 , 100. 7 7
La vitesse de la voiture de Jean est 75 km/h.
d. 100 , 108 , 121 donc 10 , 5108 , 11.
61 a. On a 83 = @ × h  . On multiplie par 3 les deux mem-
54 La longueur du côté d’un carré d’aire a cm2 est égale 3
à 1a cm, pour tout nombre positif a. bres de cette égalité :
83 × 3 = @ × h soit @ × h = 249 m3.
a. 425 cm = 5 cm c. 15 cm
b. Mais h = 6,81 m.
b. 60,09 cm = 0,3 cm d. 71 600 cm = 40 cm 249
Donc @ × 6,81 = 249 et @ = soit @ ≈ 36,56 m2.
55 La longueur du côté de ce carré est égale au quart de 6,81
20 17 20 La longueur du côté d’un carré d’aire 36,56 m2 est égale à
son périmètre, soit : = × 17 = 5 × 17. 736,56 m.
4 4
L’aire de ce carré est égale au carré de la longueur de son 736,56 ≈ 6,05 donc la longueur du côté de la base carrée
côté, soit (5 × 17)2 = 5 × 17 × 5 × 17 = 5 × 5 × (17)2 = 25 × 7 de la pyramide est environ 6,05 m.
soit 175 cm2. On a utilisé la propriété du cours : quel que 62 a. v2 = 400 × (273 + 16) = 400 × 289 = 115 600
soit le nombre positif a, (1a)2 = a. b. Si v2 = 115 600, alors v = 9115 600 soit v = 340 m/s.
56 1. a. f = 10 × 5100 = 10 × 10 = 100 soit 100 Hz d
c. v =  . On multiplie les deux membres de cette égalité
t
b. f = 10 × 5225 = 10 × 15 = 150 soit 150 Hz par t : v × t = d.
c. f = 10 × 5400 = 10 × 20 = 200 soit 200 Hz d = v × t = 340 × 5 = 1 700
La foudre est tombée à 1 700 m de Louise.
2. a. L’égalité f = 10 × 1t s’écrit 440 = 10 × 1t.
On divise par 10 les deux membres de cette égalité :
440 Je m’évalue à mi-parcours
1t = = 44.
10 63 c. 64 b. 65 b. 66 a. 67 a. 68 c. 69 a.
b. Si 1t = 44, alors (1t )2 = 442 donc t = 442. Ainsi, t = 1 936 N. 70 b. 71 c.
57 a. IMC = 71 2 soit IMC ≈ 22,4
1,78
b. On note t la taille, en m, de César. On obtient l’équation
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
77
23 = 2 . On multiplie par t2 les deux membres de l’égalité :
t
5
77 77 72  1. a.
23t = 77 et t2 =
2
donc t = soit t ≈ 1,83.
23 23 Étape 1 2 3
La taille de César est environ 1,83 m. Nombre de triangles obtenus 3 9 27

Chapitre 1– Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes  21 


b.
Étape 1 2 3
Longueur en cm du côté d’un petit 1 1 1
triangle 2 4 8
c.
Étape 1 2 3

Périmètre en cm de la figure 9 27 81
2 4 8

2. a. La variable t représente le nombre de triangles, à


l’étape n.
La variable c représente la longueur en cm du côté d’un
petit triangle, à l’étape n.
La variable p représente le périmètre en cm de la figure, à Parcours différenciés
l’étape n.
74
b. PARCOURS 1
2
a. Le nombre de plantes vertes est les de 24 500.
5
2
Ainsi, on multiplie la fraction par 24 500.
5
2 2 × 24 500 49 000
b. × 24 500 = = = 9 800
5 5 5
Le nombre de plantes vertes dans la pépinière est 9 800.
PARCOURS 2

a. On compare les deux proportions :


2 2 × 7 14 3 3 × 5 15
= = et = =  .
5 5 × 7 35 7 7 × 5 35
15 14 3 2
. donc .  .
35 35 7 5
Ruben cultive donc plus de plantes grasses que de plantes
vertes. Anna a raison.
3 3 × 24 500
b. × 24 500 = = 10 500
7 7
Le nombre de plantes grasses dans la pépinière est 10 500.
PARCOURS 3

On commence par comparer la proportion de plantes


vertes et celle de plantes grasses :
c. 2 2 × 7 14 3 3 × 5 15
= = et = =  .
Valeur de n 4 10 15 5 5 × 7 35 7 7 × 5 35
Valeur de p affichée 15,19 173,00 1 313,68 15 14 3 2
. donc .  .
35 35 7 5
d. 1 km = 103 m   1 m = 102 cm Ruben cultive donc plus de plantes grasses que de plantes
Donc 1 000 km = 103 km = 103 × 103 × 102 cm. vertes.
En effectuant plusieurs essais avec des valeurs différentes On peut à présent déterminer la proportion des plantes à
de n, on détermine que le périmètre de la figure dépassera fleurs parmi l’ensemble des plantes cultivées dans la pépi-
1 000 km à l’étape 43. nière.
73  1. b. Dans la cellule B3, on saisit la formule =B2/2  . 2 3 2 × 7 3 × 5 14 15 29
+ = + = + =
d. 5 7 5 × 7 7 × 5 35 35 35
Les plantes vertes et les plantes grasses représentent à
29
elles deux des plantes cultivées dans la pépinière de
35
Ruben.
29 35 29 35 – 29 6
1– = – = =
35 35 35 35 35
6
Les plantes à fleurs représentent donc des plantes
35
cultivées dans la pépinière de Ruben.
2. En poursuivant la recopie vers le bas, on détermine que 15 14 6
. . donc ce sont les plantes grasses qui sont en
34 380 années se sont écoulées depuis la mort du mam- 35 35 35
mouth. plus grand nombre dans la pépinière.

 22
75 d 4,97 × 1011
Alors v = = soit v ≈ 28 939,4.
PARCOURS 1 t 1,717 38 × 107
La vitesse moyenne, en m/s, de la sonde Mars 2020 est
a. 1 min = 60 s ; 1 h = 60 × 60 s = 3 600 s ;
approximativement 28 939,4. La sonde voyage donc à
1 jour = 24 h = 24 × 3 600 s = 86 400 s
près de 29 km/s.
1 année = 365 jours = 365 × 86 400 s = 31 536 000 s
b. La distance en km parcourue par la lumière en une 77 Dans 24 h, il y a 24 × 60 × 60 = 86 400 s.
année est alors de : 300 000 × 31 536 000, Dans 1 s, il y a 1 000 ms.
soit 3 × 105 × 3,153 6 × 107 = 9,460 8 × 1012. Donc dans 24 h, il y a 86 400 × 1 000 = 86 400 000 ms.
La valeur en km d’une année-lumière est donc : Or, 22 = 4, 33 = 27, 44 = 256 et 55 = 3 125,
9,460 8 × 1012. d’où 11 × 22 × 33 × 44 × 55 = 1 × 4 × 27 × 256 × 3 125
soit 86 400 000. Donc Océane a raison.
PARCOURS 2
78 D M C
a. 1 h = 60 min et 1 min = 60 s donc
1 h = 60 × 60 s = 3 600 s
1 jour = 24 h = 24 × 3 600 s = 86 400 s
1 année = 365 jours = 365 × 86 400 s = 31 536 000 s
La distance en km parcourue par la lumière en une année
est alors de : 300 000 × 31 536 000,
soit 3 × 105 × 3,153 6 × 107 = 9,460 8 × 1012. A B
La valeur en km d’une année-lumière est donc  : On peut partager le carré ABCD en quatre triangles rec-
9,460 8 × 1012. tangles de même aire que le triangle AMD. L’aire du carré
10 000 milliards = 10 × 109 = 1013
4
ABCD est donc 36 m2. La longueur en m de son côté est
9,460 8 × 1012 est proche de 10 × 1012 soit 1013. Donc Pierre alors 436 m. La longueur du côté du carré ABCD est 6 m.
a raison.
b. 4,22 × 9,460 8 × 1012 = 39,924 576 × 1012 = 3,992 457 6 × 1013 79 a. En un jour, les cheveux de Léo poussent de
Cette distance est très proche de 4 × 1013 km. 24 × 1,25 × 10–5 m.
En 60 jours, ils poussent de 60 × 24 × 1,25 × 10–5 m.
PARCOURS 3 Or 1 800 × 10–5 m = 1,8 × 103 × 10–5 m
Un siècle-lumière est la distance parcourue par la lumière = 1,8 × 10–2 m
en un siècle (100 années). Cette distance est donc égale à = 1,8 cm.
100 années-lumière. Dans 60 jours, la longueur, en cm, du cheveu de Léo sera
1 h = 60 min et 1 min = 60 s donc alors 5,4 + 1,8 = 7,2.
1 h = 60 × 60 s = 3 600 s 1,8 18 3 × 6 3 1
b. = = = =  .
1 jour = 24 h = 24 × 3 600 s = 86 400 s 5,4 54 9 × 6 9 3
1 année = 365 jours = 365 × 86 400 s = 31 536 000 s 1
La pousse représente de la longueur initiale du cheveu.
La distance en km parcourue par la lumière en une année 3
est alors de : 80 a. FCMC = 191,5 – 0,007 × 322
300 000 × 31 536 000 = 3 × 105 × 3,153 6 × 107 = 9,460 8 × 1012 = 191,5 – 0,007 × 1 024
La valeur en km d’une année-lumière est donc : = 191,5 – 7,168 = 184,332
9,460 8 × 1012. b. On note a l’âge de François. On obtient une équation
La valeur en km d’un siècle-lumière est alors : d’inconnue a : 190,128 = 191,5 – 0,007 × a2.
9,460 8 × 1012 × 100 = 9,460 8 × 1014. On soustrait 191,5 aux deux membres de l’équation :
Donc la valeur en km de 0,5 siècle-lumière est : 190,128 – 191,5 = – 0,007 × a2 soit –1,372 = –0,007 × a2.
9,460 8 On divise les deux membres de l’équation par –0,007 :
× 1014 = 4,730 4 × 1014.
2 –1,372
Mais 47 305 × 1010 = 4,730 5 × 104 × 1010 = 4,730 5 × 1014. = a2 soit a2 = 196. Alors a = 5196 = 14.
–0,007
La distance de la constellation de Pégase au Soleil est donc François a 14 ans.
très proche de 0,5 siècle-lumière. Joseph a raison.
81 1. a.

J’utilise mes compétences


76 On utilise v = d  , où d est la distance parcourue en m
t
et t la durée du trajet en s.
d = 497 × 106 km = 497 × 106 × 103 m = 497 × 109 m
d = 4,97 × 102 × 109 m = 4,97 × 1011 m
Le trajet a duré 203 jours.
Or dans 24 h il y a 24 × 60 × 60 = 86 400 s, donc le trajet a
duré 203 × 86 400 = 17 173 800 = 1,717 38 × 107 s.

Chapitre 1– Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes  23 


b. Avec 10 doigts, on a 210 = 1 024  combinaisons. Mais la
combinaison où aucun doigt n’est en contact avec l’écran
ne permet pas d’interaction, donc il ne faut pas la prendre
en compte. Il y a ainsi 1 024 – 1 = 1 023 combinaisons pos-
sibles.
85 On note L la longueur totale, en km, de la randonnée
de Louise.
La valeur de la variable p après l’exécution du script est 39. 2
La pointure de Sacha est 39. Le premier jour, la distance parcourue par Louise est  L.
5
2. La distance restant à parcourir à la fin du premier jour est

( 2
) 3
alors 1 – L =  L. Le deuxième jour, la distance parcou-
5 5
5 3 3
rue par Louise est donc ×  L =  L.
8 5 8
Le troisième jour, Louise parcourt 18 km. Alors :
2
5  3
L +  L + 18 = L soit
8 (
2 3
5 8 ) 
+ L + 18 = L.
2 3 2 × 8 3 × 5 16 15 31
Mais + = + = + =  ,
5 8 5 × 8 8 × 5 40 40 40
31 31
donc  L + 18 = L et 18 = L –  L.
40 40

82 Les nombres x et y cherchés sont des diviseurs de


Or L –
31
40 (
 L = 1 –
31
40) L=
9
40
 L, donc
9
40
 L = 18

612, donc ils sont de la forme 2a × 3b, où a et b sont des 18 40 18


d’où L = = 18 × = × 40 = 2 × 40 = 80.
9 9 9
nombres entiers positifs inférieurs ou égaux à 12.
40
On écrit x = 2a × 3b et y = 2c × 3d, avec a, b, c et d des nombres La longueur totale de la randonnée de Louise est 80 km.
entiers positifs inférieurs ou égaux à 12.
Alors x2 = 2a × 3b × 2a × 3b = 22a × 32b et 86 Le diamètre d’un atome de cristal de fer est 165 mil-
y3 = 2c × 3d × 2c × 3d × 2c × 3d = 23c × 33d. liards de fois plus petit que celui d’une sphère de l’ato-
Donc x2y3 = 22a × 32b × 23c × 33d = 22a+3c × 32b+3d. mium.
Mais 612 = (2 × 3)12 = (2 × 3) × … × (2 × 3) = 2 × … × 2 × 3 × … 18 18
= × 10–9 soit environ 0,109 × 10–9
× 3 = 212 × 312, donc 22a+3c × 32b+3d = 212 × 312, d’où 2a + 3c = 12 165 × 109 165
Un ordre de grandeur du diamètre, en m, d’un atome de
et 2b + 3d = 12. Comme a, b, c et d sont des nombres
cristal de fer est donc de 10–10.
entiers positifs, les seules possibilités pour a et b sont 0, 3
et 6 et pour c et d 4, 2 et 0. 87 a. Le gain de Claire, en €, est 5 × 5 × 5 = 53.
Par exemple, si a = 0, c = 4, b = 0 et d = 4, on obtient les Le gain de Wael, en €, est 54.
valeurs suivantes : x = 20 × 30 = 1 et y = 24 × 34 = 1 296. Le gain d’Aya, en €, est 57.
On regroupe les neuf possibilités dans un tableau : b. 125 = 53
a b x c d y Le gain total de Claire, en €, est 53 × 125 = 53 × 53 = 56.
0 0 1 4 4 1 296 54
Le gain de Wael est divisé par 5 : = 53. Il gagne finale-
0 3 27 4 2 144 5
0 6 729 4 0 16 ment 53 €.
57 57
3 0 8 2 4 324 Le gain d’Aya est divisé par 25 : = = 55. Elle gagne
25 52
3 3 216 2 2 36 finalement 5 €.
5

3 6 5 832 2 0 4 Le vainqueur du jeu est donc Claire.


6 0 64 0 4 81 88 a. Après un pliage, Mattéo obtient 2 épaisseurs de
6 3 1 728 0 2 9
papier.
6 6 46 656 0 0 1
Après 2 pliages, il obtient 4 = 22 épaisseurs.
Après 6 pliages, il en obtient 26 = 64.
83 a. 40 × 3,4 × 109 = 156 × 109 = 1,56 × 1011.
Après un pliage, Mattéo obtient donc une épaisseur
Donc il y a 1,56 × 1011 particules de poussière dans la
0,2  mm de papier. Après 2 pliages, l’épaisseur de papier
chambre de Matthew.
est 22 × 0,1 mm = 0,4 mm.
b. 1,56 × 1011 × 7,53 × 10–10 g = 11,746 8 × 1011+ (–10) g Après 6 pliages, l’épaisseur est 26 × 0,1 mm = 6,4 mm.
= 11,746 8 × 101 g La hauteur de la cale est 6,4 mm.
= 117,468 g
b. L’épaisseur de papier peut s’exprimer à l’aide du
Donc il y a 117,468 g de poussière dans la chambre de
nombre n de pliages, elle est égale à 2n × 0,1 mm.
Matthew.
La distance de la Terre à la Lune en mm est :
84 Pour chaque doigt, il y a deux états possibles  : en 384 000 × 103 × 103 = 3,84 × 1011.
contact avec l’écran et sans contact avec l’écran. On cherche donc la plus petite valeur de n telle que 2n × 0,1
Avec 2 doigts, on a donc 2 × 2 = 22 combinaisons. dépasse 3,84 × 1011.

 24
On utilise le tableur, en saisissant la formule =2^A3*0,1 92 a. La proportion de fleurs fanées est 19 .
dans la cellule B3. 24
3 3 × 6 18 19 3
On détermine donc que Mattéo devrait plier sa feuille de Or = =  , donc .  . Plus des trois quarts des
4 4 × 6 24 24 4
papier 42 fois pour que la hauteur de la cale atteigne la fleurs sont fanées donc la récolte peut commencer. L’affir-
distance de la Terre à la Lune. mation est vraie.
Voici un extrait de la feuille de calcul : b. Par an, pour 1 000  personnes, 1 000 × 7 000  kWh soit
7 000 000  kWh = 7 000  MWh = 7  GWh. Une éolienne ne
produit que 5 GWh d’électricité par an, donc une éolienne
ne couvre pas les besoins en électricité de 1 000 personnes
pour un an. L’affirmation est vraie.
c. b = 2 × 35 × 72 = 2 × 3 × 7 × (34 × 7) = 42 × a, donc le
nombre b est un multiple du nombre a. L’affirmation est
vraie.
93 a. La route est mouillée, donc la valeur du coeffi-
cient k est 0,14. On obtient alors l’équation :
15 = 0,14 × v2.
On divise les deux membres de l’équation par 0,14 :
v2 =
15
0,14
. Alors v = 8
15
0,14
soit v ≈ 10,4. La vitesse du véhi-
cule est environ égale à 10,4 m/s.
b. La route est sèche, donc la valeur du coefficient k est
89 Le nombre entier n est compris entre 1 et 100, donc : 0,08. On obtient alors l’équation :
11 , 10 + n , 110 et 411 , 910 + n , 5110. 15,5 = 0,08 × v2.
Mais les nombres entiers compris entre 411 et 5110 sont On divise les deux membres de l’équation par 0,08  :
4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10. Donc 910 + n ne peut prendre que les 15,5
v2 = = 193,75. Alors v = 9193,75 m/s. En 1 heure, le
valeurs 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10. 0,08
véhicule parcourt une distance 3  600 fois plus grande,
On regroupe les possibilités dans un tableau :
3 600 × 9193,75 soit environ 50 110 m. La distance parcou-
810 + n 10 + n n rue par le véhicule en 1 h est supérieure à 50 km, donc
4 16 6 sa vitesse est supérieure à 50 km/h. Il ne respecte pas la
5 25 15 limitation de vitesse en agglomération.
6 36 26 94 1. a. 530 000
7 49 39 2. c. 1,5 × 109
8 64 54 3. c. (4 × 10–3)2 = 4 × 10–3 × 4 × 10–3 = 16 × 10–6
9 81 71 et ensuite 1,6 × 101 × 10–6 = 1,6 × 10–5
10 100 90 4. b. (–8)18

90 En prenant l’inverse de chaque nombre de cette éga- 95 1,5 Go = 1 500 Mo et 1 500 = 375. Donc Hugo peut
4
lité, on obtient : télécharger au maximum 375  nouveaux titres musicaux
1 29 de 4 Mo.
a+ =  .
1 22
b+
c 96 La vente des 92 arbres a rapporté 19 320 €. Donc la
29 22 7 7 1 7 19 320
Or = + = 1 +  , donc a = 1 et =  , vente d’un arbre a rapporté  € = 210 €.
22 22 22 22 1 22 92
b+
c Un m3 de pin rapporte 70 € donc le volume d’un pin du
1 22
soit b + =  . 210
c 7 lot est = 3 soit 3 m3.
70
22 21 1 1 Pour déterminer le diamètre D d’un arbre du lot, on résout
Mais = + = 3 +  , donc b = 3 et c = 7.
7 7 7 7 l’équation :
On conclut : a = 1, b = 3 et c = 7. 10 10 2 3
3= × D2 × 22, soit D =  .
24 24 22
3 10 3 24 18
Alors D2 = ; =
22 24 22 10 55
× = et D = 5
18
55
 .
Dossier Brevet Le diamètre moyen des arbres de ce lot est environ 0,57 m.
91 1. a. (–2)4 = 16
97 1. La taille d’une bactérie légionelle est :
2. c. 16 bouteilles 0,8 µm = 0,8 × 10–6 m = 8 × 10–1 × 10–6 m = 8 × 10–7 m.
5
3. c. 2. a. Dans la cellule B3, on saisit la formule =2*B2  .
8

Chapitre 1– Utiliser les nombres pour résoudre des problèmes  25 


b. 1 h est égale à 4 quarts d’heure, il faut donc doubler 100 98 On note h la hauteur de l’écran choisi par Valentin, l sa
quatre fois. largeur et d sa diagonale.
100 × 24 = 100 × 16 = 1 600 D’après le document 2,
Au bout d’une heure, il y a 1 600 bactéries. 16 60 20 320
l= × 60 = 16 × = 16 × = cm.
c. On calcule les quotients successifs : 9 9 3 3
nombre de bactéries 200 400 L’écran étant de forme rectangle, on peut appliquer le
= = 200, = 200, théorème de Pythagore :
nombre de quarts d’heure 1 2
800
3
≠ 200. Les quotients ne sont pas égaux donc le nom-
bre de bactéries légionelles n’est pas proportionnel au
( )
d 2 = l 2 + h2 =
320 2
3
+ 602 donc d ≈ 122,4 cm.

temps écoulé. Distance écran-téléspectateur (en cm)


500
d. On complète le tableau :
400 Distance
maximale
300

200

Distance
100 minimale

0
0 50 100 150
Longueur de la diagonale de l’écran (en cm)

Sur le graphique du document 3, le point de coordonnées


Cette population dépasse dix mille bactéries légionelles (122,4 ; 320) est bien situé dans la région délimitée par les
après 7 quarts d’heure. droites donnant la distance minimale et la distance maxi-
male. Donc Valentin peut acheter ce téléviseur, il est bien
3. a. Au bout de 3 heures, il reste environ 5 000 bactéries
adapté aux dimensions de son salon.
légionelles dans le récipient.
b. Il reste 6 000 bactéries légionelles au bout de 2 h 15 min 99 • Poids total des photos :
environ. 1 000 × 900 Ko = 900 000 Ko = 900 Mo = 0,9 Go
c. La quantité initiale de bactéries légionelles dans le réci- • Poids total des vidéos :
pient est 10 000. Pour être efficace, l’antibiotique testé 65 × 700 Mo = 45 500 Mo = 45,5 Go
doit réduire cette quantité de 80 % en moins de 5 heures, • Contenu total du disque dur externe :
autrement dit, après 5 heures, il doit rester moins de 20 % 0,9 Go + 45,5 Go = 46,5 Go.
de la quantité initiale de bactéries, soit moins de 2 000 Le document 2 indique que le nouvel ordinateur dispose
bactéries. Or, après 5 heures, il reste environ 3 000 bacté- d’un espace libre de 50 Go.
ries dans le récipient. Donc cet antibiotique n’est pas effi- La totalité du disque dur externe peut donc être transfé-
cace sur l’être humain. rée vers le nouvel ordinateur.

 26
2 Utiliser le calcul
littéral pour résoudre
ou démontrer

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le début du cycle 4 J’applique le cours


Au début du cycle 4, les élèves ont appris à manipuler Exercice résolu 1
des expressions littérales, et en particulier utiliser la Dans cet exercice, et les deux exercices d’application
distributivité simple. La notion de solution d’une équa- directe, on applique la double distributivité pour dévelop-
tion a été formalisée. Par ailleurs, dans le domaine des per et réduire.
nombres, les notions de puissance et de racine carrée Exercice résolu 4
ont été introduites. Dans cet exercice, et les deux exercices d’application
directe, on factorise des expressions, en particulier de la
2 Je découvre forme a2 – b2.
Exercice résolu 7
Activité 1
Dans cet exercice, et les deux exercices d’application
Cette activité introduit l’opposé d’une somme algébrique. directe, on revoit la méthode pour mettre en équation un
● Dans la question 1, on observe la situation avec des
problème et le résoudre.
valeurs numériques.
Exercice résolu 10
● Dans la question 2, on prouve les formules avec des
Dans cet exercice, et les deux exercices d’application
expressions littérales. C’est aussi l’occasion de revoir le directe, on résout des équations « produit nul ».
vocabulaire : somme et différence.
Activité 2 4 Compléments
L’objectif de cette activité est d’introduire la double dis-
Prendre l’opposé d’une expression littérale
tributivité par une illustration géométrique. On peut faire
De façon progressive, on manipule des opposés d’ex-
remarquer que les deux expressions de l’aire sont égales,
pressions littérales, en commençant par des cas simples
ce qui donne la formule.
qui sont faits à l’oral. Les derniers exercices de cette partie
Ensuite, dans la question 2, on démontre la formule avec
amènent à réduire des expressions plus complexes.
des expressions littérales, en se basant sur la distributivité
simple. Utiliser la double distributivité
On applique la procédure avec des niveaux de difficulté
Activité 3 variés, de façon plus ou moins guidée. Les exercices 27 à
Dans cette activité, on obtient la factorisation de a2 – b2 29 constituent l’objectif principal de cette partie.
en utilisant la double distributivité. Dans la question 2, on Utiliser l’identité (a − b)(a + b) = a2 − b2
applique cette factorisation dans deux situations diffé- Sur le même modèle que la partie précédente, la factori-
rentes. sation est mise en œuvre de façon progressive, en com-
mençant par des situations simples à l’oral. On introduit à
3 Cours - J’applique le cours partir de l’exercice 37 l’utilisation de la racine carrée dans
Cours des factorisations de ce type.
La première page de cours est en lien direct avec les acti- Résoudre des équations du 1er degré
vités d’introduction. Les exercices de cette partie permettent de mettre en
● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe 1.
œuvre des compétences de 4e sur la résolution d’équation,
avec de nombreux problèmes. À partir de l’exercice 55, on
● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 2.
rencontre des équations « produit nul ».
● Suite à l’activité 3, on peut étudier le paragraphe 3.
La deuxième page de cours peut être vue plus tard dans Résoudre une équation du type x2 = a
le chapitre, après l’exercice 40, par exemple. On y traite les On résout plusieurs équations de ce type, de façon plus
résolutions d’équations de plusieurs types. ou moins guidée. La racine carrée est essentielle dans ces
exercices.
● Paragraphe 4 : rappels sur les équations à une inconnue.

● Paragraphe 5 : équations « produit nul ».

● Paragraphe 6 : équations du type x = a.


2

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  27 


Utiliser le calcul littéral ● Dans l’exercice 82, on construit et manipule des expres-
Dans cette partie, on met en œuvre plusieurs procédures sions littérales autour des périmètres et des aires de deux
du chapitre dans des contextes variés. L’objectif de chaque figures.
exercice est clairement annoncé. Dossier Brevet – J’extrais des informations
Parcours différenciés ● Dans l’exercice 105, il faut produire et utiliser une expres-
● Dans l’exercice 81, on étudie plusieurs programmes de sion littérale pour résoudre le problème.
calcul qui amènent à résoudre des équations. Dans les ● Dans l’exercice 106, il faut trouver les expressions litté-
parcours 1 et 2, il s’agit d’équations « produit nul ». Dans rales qui correspondent aux deux scripts.
le parcours 3, c’est une équation du premier degré, mais
l’élève doit établir cette équation en autonomie.

CORRIGÉS

Bien démarrer On cherche donc un nombre x tel que x2 – 1 = 24, c’est-


à-dire x2 = 25. Il y a deux possibilités : 5 et –5. On ne peut
1. a ; 2. b ; 3. a ; 4. a et b ; 5. a et c. donc pas deviner de façon certaine quel nombre Mériam
a choisi.
Je découvre
Activité 1
J’applique le cours
1 a. Yaël a raison.
–5 – 4 = –9, donc il suffisait de soustraire 9. 2 • M = (5x + 2)(3x – 6)
b. –8 + 2 = –6, donc il suffit de soustraire 6. M = 5x × 3x – 5x × 6 + 2 × 3x – 2 × 6
2 a. • – (a + b) = (–1) × (a + b) M = 15x2 – 30x + 6x – 12
– (a + b) = (–1) × a + (–1) × b M = 15x2 – 24x – 12
– (a + b) = –a – b
• – (a – b) = (–1) × (a – b)
( 3 )
• N = (6x – 9) 1  x – 1

– (a – b) = (–1) × a + (–1) × (–b) N = 6x ×  x – 6x × 1 – 9 × 1  x + 9 × 1


1
3 3
– (a – b) = –a + b
N = 2x2 – 6x – 3x + 9
b. L’opposé d’une somme est la somme des opposés de N = 2x2 – 9x + 9
chaque terme.
• P = 2x2 – (x + 3)(x – 3)
c. L’opposé d’une différence est la différence des opposés P = 2x2 – (x2 – 9)
de chaque terme. P = 2x2 – x2 + 9
P = x2 + 9
Activité 2
3 • Q = (2x + 1)(x – 3)
1  • L’un des côtés du rectangle est a + b et l’autre est Q = 2x × x – 2x × 3 + 1 × x – 1 × 3
c + d. Donc son aire est ! = (a + b)(c + d).
Q = 2x2 – 6x + x – 3
• Le rectangle est découpé en quatre rectangles dont les
Q = 2x2 – 5x – 3
aires sont respectivement a × c, a × d, b × c et b × d.
Donc son aire est ! = a × c + b × c + a × d + b × d. ( )
• R = (2a – 1) 1  a + 1
2
2 a. k(c + d) = k × c + k × d R = 2a ×  a + 2a × 1 – 1 × 1  a – 1 × 1
1
2 2
b. (a + b)(c + d) = (a + b) × c + (a + b) × d
(a + b)(c + d) = a × c + b × c + a × d + b × d 1
R = a2 + 2a –  a – 1
2
3
R = a +  a – 1
2
Activité 3 2
1 a. (a – b)(a + b) = a × a + a × b + a × (–b) + b × (–b) • S = t  – (2 – t)(2 + t)
2

(a + b)(a – b) = a2 – ab + ab – b2 S = t 2 – (4 – t 2)


(a + b)(a – b) = a2 – b2 S = t 2 – 4 + t 2
b. En lisant l’égalité précédente dans l’autre sens, on S = 2t 2 – 4
obtient a2 – b2 = (a + b)(a – b), qui est bien une factorisa- 5 • P = 25x + 45x2
tion de a2 – b2. P = 5x(5 + 9x)
2 a. 1002 – 992 = 199 × 1 = 199 • Q = 169 – 64a2
b. On note x le nombre choisi. Q = 132 – (8a)2
• x  • x2  • x2 – 1 Q = (13 – 8a)(13 + 8a)

 28
• R = x2 – (x + 3)2
R = (x – (x + 3))(x + (x + 3)) Je m’entraîne
R = (x – x – 3)(x + x + 3)
R = (–3)(2x + 3) Prendre l’opposé d’une expression littérale
6 • S = x – 100
2

S = x2 – 102 13  a. –3x b. –x – 3 c. –x + 3


S = (x – 10)(x + 10) d. 5x e. –3x – 1 f. 5x + 2
• T = (a + 1)2 – (a – 1)2 14  
T = ((a + 1) – (a – 1))((a + 1) + (a – 1)) A = x + 5 • • E = 5x – 1
T = (a + 1 – a + 1)(a + 1 + a – 1) B = – x + 5 • •F=x–5
T = 2 × 2a C = 5x + 1 • • G = – x – 5
T = 4a D = – 5x + 1 • • H = – 5x – 1
• U = 2(t + 1) – t(t + 1)
U = (2 – t)(t + 1) 15  a. –35 b. 56
8 On note x le prix d’un DVD, en euro. 16  a. –x – 8 b. –3x – 5 c. –4 + x
La somme payée par Jordan est 4x + 20. 5
d. x e. 3x – 4 f. 9x + 2
La somme payée par Diariatou est 2x + 50. 4
Comme ils ont payé la même somme,
17  a. • –2   • –8   • –3   • 3
4x + 20 = 2x + 50
2x + 20 = 50 b. • a • 4a • 4a + 5 • –4a – 5
2x = 30 18  a. L’aire de la figure rouge est 4x + 2.
x = 15
b. L’aire de la partie restante est 7x – (4x + 2)
Donc un DVD coûte 15 €.
ce qui donne 7x – 4x – 2 = 3x – 2.
9 On note x le prix, en euro, d’un lot de stylos.
19  E = 4x – (3x + 7) = 4x – 3x – 7 = x – 7
La somme récoltée par Damian est 12x + 20.
Donc la réponse de Michal est incorrecte.
La somme récoltée par Ruben est 15x + 2.
Ils ont récolté la même somme donc : 20  • A = 7x – (2x + 5) • C = 8x + 11 – (10x + 6)
12x + 20 = 15x + 2 A = 7x – 2x – 5 C = 8x + 11 – 10x – 6
–3x + 20 = 2
A = 5x – 5 C = –2x + 5
–3x = –18
x=6 • B = 3x – (6x + 1) • D = 7,5x + 3 – (–1,5x + 2)
Donc un lot de stylos coûte 6 €. B = 3x – 6x – 1 D = 7,5x + 3 + 1,5x – 2
11 a. x(2x – 9) = 0 est une équation « produit nul ». B = –3x – 1 D = 9x + 1
x = 0  ou  2x – 9 = 0
x = 0  ou  2x = 9
x = 0  ou  x = 4,5 Utiliser la double distributivité
Les solutions de l’équation sont 0 et 4,5.
b. 3x(6x + 1) = 0 est une équation « produit nul ». 21  a. E = 5(2x – 3) = 10x – 15
3x = 0  ou  6x + 1 = 0 b. F = (x + 2)(x – 7) = x2 – 7x + 2x – 14
x = 0  ou  6x = –1 F = x2 – 5x – 14
1 22  a. A = 101 × 102
x = 0  ou  x = – 
6 A = (100 + 1) × (100 + 2)
1 A = 100 × 100 + 100 × 2 + 1 × 100 + 1 × 2
Les solutions de l’équation sont 0 et –   .
6 A = 10 000 + 300 + 2
12 a. (t + 4)(t – 10) = 0 est une équation « produit nul ». A = 10 302
t + 4 = 0 ou t – 10 = 0 b. B = 53 × 301
t = –4 ou t = 10 B = (50 + 3) × (300 + 1)
Les solutions de l’équation sont –4 et 10. B = 50 × 300 + 50 × 1 + 3 × 300 + 3 × 1
b. (2,5a – 7)(8a – 9,6) = 0 est une équation « produit nul ». B = 15 000 + 950 + 3
2,5a – 7 = 0  ou  8a – 9,6 = 0 B = 15 953
2,5a = 7  ou  8a = 9,6 23 S = (y + 18)(x + 12)
7 9,6 S = yx + 12y + 18x + 216
a=  ou a =
2,5 8
a = 2,8  ou  a = 1,2 24 a. (2x + 1)(x + 4) = 2x2 + 8x + 1x + 4
Les solutions de l’équation sont 2,8 et 1,2. (2x + 1)(x + 4) = 2x2 + 9x + 4
b. (3y – 2)(y + 3) = 3y2 + 9y – 2y – 6
(3y – 2)(y + 3) = 3y2 + 7y – 6

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  29 


c. (5t – 4)(6 – 2t) = 30t – 10t2 – 24 + 8t 36 a. L’aire de la zone verte est x2 – 12, c’est-à-dire x2 – 1.
(5t – 4)(6 – 2t) = –10t2 + 38t – 24 b. La longueur est x + 1 et la largeur est x – 1.
25 Pour x = 0, –(x + 3)(2x – 5) = –3 × (–5) = 15 et c. La zone verte de la figure ➀ a la même aire que le rec-
–2x2 + x – 15 = –15. tangle de la figure ➁, donc x2 – 1 = (x + 1)(x – 1).
Donc la réponse d’Alberto est incorrecte.
37 a. • 5 = (15)2 • 21 = (421)2
–(x + 3)(2x – 5) = –(2x2 – 5x + 6x – 15)
–(x + 3)(2x – 5) = –(2x2 + x – 15) b. • x2 – 5 = (x – 15)(x + 15) • 21 – t 2 = (421 – t)(421 + t)
–(x + 3)(2x – 5) = –2x2 – x + 15 38 a. • 1 • 1 • 4 • –1
26 • B  • C  • A  • C b. • a • a2 • 4a2 • 4a2 – 5
27 • A = (x + 4)(x + 5) • B = (x – 3)(x + 8) c. Pour a = 1, (4a – 3)(4a + 3) = 1 × 7 = 7 donc l’expression
A = x2 + 5x + 4x + 20 B = x2 + 8x – 3x – 24 factorisée de Sara est fausse.
A = x2 + 9x + 20 B = x2 + 5x – 24 4a2 – 5 = (2a)2 – (15)2 = (2a – 15)(2a + 15)

28 • C = (2y + 1)(y + 3)
C = 2y2 + 6y + y + 3
( 1
)
• D = 1 –  y (y – 4)
4
39
Forme développée Forme factorisée
1
C = 2y2 + 7y + 3 D = y – 4 –  y2 + y
4 4x – 1
2
(2x + 1)(2x – 1)
1 2 9x2 – 16 (3x + 4)(3x – 4)
D = –   y + 2y – 4
4 25 – 25x2 (5 + 5x)(5 – 5x)

(1
2 )
29 • E =  a + 1 (2a – 1) • F = (3 – 2a)(a + 1)
F = 3a + 3 – 2a2 – 2a
81x2 – 100 (9x + 10)(9x – 10)

1 40 a. 4x2 – 121 = (2x + 11)(2x – 11)


E = a2 –  a + 2a – 1 F = –2a2 + a + 3
2
3 b. 9y2 – 64 = (3y + 8)(3y – 8)
E = a +  a – 1
2
2 c. 16x2 – 3 = (4x + 13)(4x – 13)
30 a. • x • 3x • 3x – 5
b. • y • 5y • 5y + 1
c. (3x – 5)(5y + 1) = 15xy + 3x – 25y – 5 Résoudre des équations du 1er degré
31 • A = x(x + 4) – (2x + 1)
A = x2 + 4x – 2x – 1 41 a. 4x = 20 pour x = 5 b. –2x = 8 pour x = – 4
8
A = x2 + 2x – 1 c. 5x = 8 pour x = d. x + 3 = 7 pour x = 4
5
• B = (a + 5)(2 – 3a) – (3a + 4) e. x + 8 = 1 pour x = –7 f. x – 4 = 6 pour x = 10
B = 2a – 3a2 + 10 – 15a – 3a – 4
42 On note x le prix, en euro, de chaque roue.
B = – 3a2 – 16a + 6
50 – 3 = 4x + 15 soit 4x = 32, x = 8.
Chaque roue coûte 8 €.
Utiliser l’identité (a − b)(a + b) = a2 − b2
43 On note x le nombre d’heures.
32 a. I = (x + 8)(x – 8) = x – 64
2 25x + 10 = 60 soit 25x = 50 et x = 2.
Donc Hugo a loué une planche pendant 2 h.
b. J = (t – 5)(t + 5) = t2 – 25
44 a. x(x – 1) = 0 pour x = 0 et pour x = 1.
33 a. x2 – 81 = x2 – 92 = (x + 9)(x – 9)
b. (x – 2)(x – 3) = 0 pour x = 2 et pour x = 3.
b. x2 – 1 = x2 – 12 = (x + 1)(x – 1)
c. 3x(x – 5) = 0 pour x = 0 et pour x = 5.
c. 9a2 – 4 = (3a)2 – 22 = (3a + 2)(3a – 2)
d. (x + 7)(x – 6) = 0 pour x = –7 et pour x = 6.
34 a. 101 × 99 = (100 + 1) × (100 – 1)
101 × 99 = 1002 – 12 45 a. 5x + 7 = 2x – 2 b. 3y + 2 = y – 10
101 × 99 = 10 000 – 1 5x + 7 – 2x = –2 3y + 2 – y = –10
101 × 99 = 9 999 3x + 7 = –2 2y + 2 = –10
3x = –2 – 7 2y = –10 – 2
b. 205 × 195 = (200 + 5) × (200 – 5) = 2002 – 52 3x = –9 2y = –12
205 × 195 = 40 000 – 25 = 39 975 x = –3 y = –6
35 c. 2,5x – 1 = 4 + 2x d. 7x – 3 = –5x + 4
Forme développée Forme factorisée 2,5x – 1 – 2x = 4 7x – 3 + 5x = 4
x2 – 25 (x + 5)(x – 5) 0,5x – 1 = 4 12x – 3 = 4
x2 – 49 (x + 7)(x – 7) 0,5x = 4 + 1 12x = 4 + 3
x2 – 9 (x + 3)(x – 3) 0,5x = 5 12x = 7
x = 10 7
x2 – 100 (x + 10)(x – 10) x=
12

 30
9 2 9
46 a. 2t – 5 = 5t + 1 c. 3t – (1 – t) = 7 x= × =
4 7 14
2t – 5 – 5t = 1 3t – 1 + t = 7 2 1 5
–3t – 5 = 1 4t – 1 = 7 (2) + t =  t + 1 –   y = 1 + 3
5 4 4
–3t = 1 + 5 4t = 8 2 1 5
–3t = 6 t=2 + t –  t = 1 –   y = 4
5 4 4
t = –2 d. 2(1 – 4t) = t + 3 2 4 1 5
+  t –  t = 1  y = –4
b. 3 – 7x = 3x + 2 2 – 8t = t + 3 5 4 4 4
3 – 7x – 3x = 2 2 – 8t – t = 3 2 3 4
+  t = 1 y = –4 ×  
2 – 9t = 3 5 4 5
–10x + 3 = 2
–9t = 3 – 2 3 2 16
–10x = 2 – 3  t = 1 –   y = – 
4 5 5
–10x = –1 –9t = 1
3 5 2 1 4
1 1  t = –   (4)  m + 6 = – 2m
x= t = –  4 5 5 3 3
10 9 3 3 1 4
9  t =    m + 2m + 6 =  
47 a.  x – 1 = 2 – 3x c. 5x – 6 = –x + 3 4 5 3 3
2 3 4 1 6 4
9 5x – 6 + x = 3 t= ×    m +  m + 6 =  
 x – 1 + 3x = 2 6x – 6 = 3 5 3 3 3 3
2 7 4
15 6x = 3 + 6 4  m + 6 =  
 x – 1 = 2 t= 3 3
2 6x = 9 5
9 1 3 7 4
15 x= (3)  y – 3 =  y + 1  m = – 6
 x = 2 + 1 6 4 2 3 3
2 7 4 18
15 3 1 3  m = –  
 x = 3 x =  y – 3 –  y = 1 3 3 3
2 2 4 2
1 6 7 14
6 d. 3(4 + 3t) = 4(–2t + 1) y – 3 –  y = 1  m = –   
x= 4 4 3 3
15 12 + 9t = –8t + 4 7m = –14
2 5
x= 12 + 9t + 8t = 4 –   y – 3 = 1 m = –2
5 4
1 12 + 17t = 4 L’affirmation d’Aline est vraie, c’est l’équation (4).
b. 2a – = 1 17t = 4 – 12
3 L’affirmation de Léonard est vraie, c’est l’équation (3) ou
1 17t = –8 l’équation (4).
2a = 1 + 8
3 t = –  L’affirmation de Maggy est vraie, c’est l’équation (1).
4 17
2a =
3 51 On résout l’équation 39x – 22 = 31x + 26.
2 39x – 31x – 22 = 26 soit 8x – 22 = 26, c’est-à-dire 8x = 26 + 22
a=
3 et 8x = 48. Ainsi, x = 6.
48 ➊ 4(x + 2) = x – 1 ➌ 3n – 1 = 2(n + 1) 6
× 39 × 31
4x + 8 = x – 1 3n – 1 = 2n + 2
4x + 8 – x = –1 3n – 1 – 2n = 2 234 186
3x + 8 = –1 n–1=2
3x = –1 – 8 n=3 – 22 + 26
212
3x = –9 ➍ 4(a + 1) – 5 = 6a + 5
x = –3 4a + 4 – 5 = 6a + 5 52 On note x le nombre de camions de 30 tonnes que
➋ 5y + 1 = 3(y – 1) – 2 4a – 1 = 6a + 5 l’on peut charger. La masse totale chargée est alors 30x. La
5y + 1 = 3y – 3 – 2 4a – 1 – 6a = 5 masse totale avec des camions de 20 tonnes est 20(x + 8).
5y + 1 = 3y – 5 –2a – 1 = 5 On doit donc résoudre l’équation :
5y + 1 – 3y = –5 –2a = 5 + 1 30x = 20(x + 8)
2y + 1 = –5 –2a = 6 30x = 20x + 160
2y = –5 – 1 a = –3 30x – 20x = 160
2y = –6 10x = 160
y = –3 x = 16
Donc les équations ➊, ➋ et ➍ ont la même solution. On peut donc charger 16 camions de 30 tonnes.
49 On note x le nombre manquant sur la ligne du bas. 53 On note x le nombre de jours de vent. Le nombre
Les nombres de la ligne du milieu sont alors 5 + x et x + 11. de jours sans vent pendant cette période est alors égal à
Par conséquent, 5 + x + x + 11 = 80 soit 2x + 16 = 80 c’est- 90 – x.
à-dire 2x = 64 et x = 32. On doit donc résoudre l’équation :
18x + 15(90 – x) = 1 440
50 (1) 5 – 1  x = 3x – 1 7 5
–   x = –1 –  
4 2 2 4 18x + 1 350 – 15x = 1 440
5 1 7 4 5 3x + 1 350 = 1 440
–  x – 3x = –1 –   x = –  –  
4 2 2 4 4 3x = 1 440 – 1 350
5 1 6 7 9
–  x –  x = –1 –   x = –    3x = 90
4 2 2 2 4
5 7 7 9 x = 30
–  x = –1  x =   Il y a donc eu du vent pendant 30 jours.
4 2 2 4

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  31 


54 a. Le nombre de filles est 2x. Résoudre une équation du type x2 = a
b. L’équation est : 2x – 3 = 4(x – 4)
2x – 3 = 4x – 16 60 La solution de l’équation x2 = 0 est 0.
2x – 4x – 3 = –16 Les solutions de l’équation x2 = 1 sont 1 et –1.
–2x – 3 = –16
–2x = –16 + 3 61 Amélie a tort. Cette équation a deux solutions, qui ne
–2x = –13 sont pas des nombres entiers : 17 et – 17.
x = 6,5 62 a. x2 = 36 pour x = 6 et x = –6.
c. On peut dire que l’affirmation de Nathalie est fausse, car b. t2 = 2 pour t = 12 et t = – 12.
le nombre de garçons doit être un nombre entier. c. z2 = 112 pour z = 11 et z = –11.
55 a. Les équations (3) et (4) ont pour solution –4. 63 Katrin a raison.
Les équations (1) et (4) ont pour solution 4. L’autre solution est – 15.
b. (1) (3x – 12)(x + 4,5) = 0 (3) (2x + 8)(5x – 2,4) = 0
3x – 12 = 0 ou x + 4,5 = 0 2x + 8 = 0 ou 5x – 2,4 = 0 64
3x = 12 ou x = –4,5 2x = –8 ou 5x = 2,4 x2 = 25 • • 7 et –7
x = 4 ou x = –4,5 x = –4 ou x = 0,48 x2 = 3 • • 5 et –5
(2) (4x – 7,8)(x – 7) = 0 (4) (3,5x + 14)(x – 4) = 0 x2 = 6 • • 16 et – 16
4x – 7,8 = 0 ou x – 7 = 0 3,5x + 14 = 0 ou x – 4 = 0 2x2 = 98 • • 13 et – 13
4x = 7,8 ou x = 7 3,5x = –14 ou x = 4
x = 1,95 ou x = 7 x = –4 ou x = 4 65 a. x2 – 7 = 0 soit x2 = 7
56 a. (2x + 1)(3x – 5) = 0 b. 2(4y – 3)(6y + 1) = 0 x = 17 et x = – 17
2x + 1 = 0 ou 3x – 5 = 0 4y – 3 = 0 ou 6y + 1 = 0 9 4
2x = –1 ou 3x = 5 4y = 3 ou 6y = –3 b.  x2 = 1 soit 9x2 = 4, c’est-à-dire x2 =
4 9
1 5 3 1 2 2
x = –  ou x = y = ou y = –  x = et x = – 
2 3 4 2 3 3
Toutes les solutions sont des nombres rationnels, donc
Nick a raison. c. –3x + 243 = 0 soit –3x2 = –243, c’est-à-dire x2 = 81
2

x = 9 et x = –9
57 a. (x + 8)(x – 5) = 0 c. (x + 3)2 = 0
x + 8 = 0 ou x – 5 = 0 x+3=0
x = –8 ou x = 5 x = –3 Utiliser le calcul littéral
b. 5x(4 – x) = 0
66 a. E = (x – 2)2 + (x – 2)(3x – 1)
5x = 0 ou 4 – x = 0
x = 0 ou x = 4 E = (x – 2)(x – 2) + (x – 2)(3x – 1)
E = x2 – 2x – 2x + 4 + 3x2 – x – 6x + 2
58 a. (2x + 7)(3x – 12) = 0 c. 2x(4x – 5) = 0 E = 4x2 – 11x + 6
2x + 7 = 0 ou 3x – 12 = 0 2x = 0 ou 4x – 5 = 0 b. E = (x – 2)2 + (x – 2)(3x – 1)
2x = –7 ou 3x = 12 x = 0 ou 4x = 5 E = (x – 2)(x – 2) + (x – 2)(3x – 1)
x = –3,5 ou x = 4 5 E = (x – 2)[(x – 2) + (3x – 1)]
x = 0 ou x =
b. (5y – 2)(6y + 9) = 0 4 E = (x – 2)[x – 2 + 3x – 1]
5y – 2 = 0 ou 6y + 9 = 0 d. (3 – 2n) 2
(n + 4) = 0 E = (x – 2)(4x – 3)
5y = 2 ou 6y = –9 3 – 2n = 0 ou n+4=0
c. Pour résoudre l’équation E = 0, on utilise la forme fac-
2 9 –2n = –3 ou n = – 4
y = ou y = –  3 torisée :
5 6 n = ou n = – 4
2 3 2 (x – 2)(4x – 3) = 0
y = ou y = –  x – 2 = 0 ou 4x – 3 = 0
5 2
59 On note x le numéro du paquet qui contient le x = 2 ou 4x = 3
cadeau. Il y a six équations différentes possibles : 4
x = 2 ou x =
3
• (x + 1) × 2 = 3 • (x + 2) × 1 = 3 • (x + 3) × 1 = 2
2x + 2 = 3 x+2=3 x+3=2 67 1. a. (2x – 3)2 – 1 = 0 b. 2x – 4 = 0 ou 2x – 2 = 0
2x = 1 x=1 x = –1 (2x – 3)2 – 12 = 0 2x = 4 ou 2x = 2
1 ((2x – 3) – 1)((2x – 3) + 1) = 0 x = 2 ou x = 1
x=
2 (2x – 3 – 1)(2x – 3 + 1) = 0
• (x + 1) × 3 = 2 • (x + 2) × 3 = 1 • (x + 3) × 2 = 1 (2x – 4)(2x – 2) = 0
3x + 3 = 2 3x + 6 = 1 2x + 6 = 1
2. a. Les nombres dont le carré est égal à 1 sont 1 et –1.
3x = –1 3x = –5 2x = –5
1 5 5 Par conséquent, pour que (2x – 3)2 soit égal à 1, il faut que
x = –  x = –  x = –  2x – 3 soit égal à 1 ou à –1.
3 3 2
x doit être un nombre entier entre 1 et 3, donc la seule b. 2x – 3 = 1 soit 2x = 4, c’est-à-dire x = 2
possibilité est x = 1. Le cadeau se trouve dans le paquet 1. 2x – 3 = –1 soit 2x = 2, c’est-à-dire x = 1

 32
68 132 = 52 + x2 c. L’expression de la variable Résultat prendrait donc la
169 = 25 + x2 2
valeur 0 quand x =  , qui est bien un nombre compris
169 – 25 = x2 3
entre 0 et 1.
x2 = 144
Les solutions sont x = 12 et x = –12. 80 1. a. et b. Tableur :
BC est une longueur, donc c’est un nombre positif.
Par conséquent, BC = 12.
69 a. A = (x + 5)(x + 5) b. B = (2x – 3)(2x – 3)
A = x2 + 5x + 5x + 25 B = (2x)2 – 6x – 6x + 9
A = x2 + 10x + 25 B = 4x2 – 12x + 9
70 a. C’est l’équation ➌ qui traduit la situation.
b. 40 + n = 2(n + 14)
40 + n = 2n + 28
n – 2n = 28 – 40 c. Il semble que le résultat est toujours impair.
–n = –12 2.a. La différence est (n + 1)2 – n2.
n = 12 b. (n + 1)2 – n2 = ((n + 1) – n)((n + 1) + n)
Donc l’âge de Pamela sera le double de l’âge de Danaé (n + 1)2 – n2 = (n + 1 – n)(n + 1 + n)
dans 12 ans. (n + 1)2 – n2 = 1(2n + 1)
71 a. • L’aire de ABCD est 9x. (n + 1)2 – n2 = 2n + 1
Le résultat est le nombre entier qui suit un nombre entier
• L’aire de BMNP est 2(x – 3).
pair, donc il est toujours impair. La conjecture est donc vraie.
b. On doit résoudre l’équation :
9x = 2(x – 3) + 40
9x = x – 6 + 40
9x = x + 34 Parcours différenciés
9x – x = 34
8x = 34 81
34 PARCOURS 1
x=
8 a. Si je choisis 7, j’obtiens 2 × 12 = 24.
x = 4,25
b.
Donc le côté [DC] soit mesurer 4,25 cm.
–5 x–5
Choisir × (x – 5) (x + 5)
Je m’évalue à mi-parcours un nombre.

72 c. 73 a. 74 c. 75 a. 76 b. 77 b. 78 a. +5 x+5

On doit choisir 5 ou –5.


PARCOURS 2

Je m’entraîne avec Scratch et le tableur On note x le nombre choisi au départ.


Le résultat du programme A est (x – 5)(x + 5) = x2 – 25.
79  1. b. Le résultat du programme B est x2 – 4.
x –5 –4 –3 –2 –1 0 Pour obtenir 0 en multipliant les résultats des programmes
Résultat 17 14 11 8 5 2 A et B, il faut que l’un des deux programmes donne 0. Pour
le programme A, c’est le cas quand on choisit 5 ou –5, et
x 1 2 3 4 5 pour le programme B quand on choisit 2 ou –2. Donc Mar-
Résultat –1 –4 –7 –10 –13 tha a tort.
c. On peut conjecturer que la variable Résultat a pour
PARCOURS 3
valeur 0 pour une valeur de x comprise entre 0 et 1.
On note x le nombre choisi.
2. a. E1 contient x – 1.
Le résultat du programme B est x2 – 4.
E2 contient x – 2.
Le résultat du programme C est (x – 5)x = x2 – 5x.
E3 contient (x – 1)(x – 2).
On doit donc résoudre l’équation :
Résultat contient (x – 1)(x – 2) – x2.
x2 – 5x = x2 – 4
(x – 1)(x – 2) – x2 = x2 – 2x – x + 2 – x2
–5x = – 4
(x – 1)(x – 2) – x2 = –3x + 2 4
b. On doit donc résoudre l’équation –3x + 2 = 0. x=
5
2 4
Ainsi, –3x = –2 et x =  . Il faut donc choisir le nombre   .
3 5

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  33 


82 150x – 200 = 1 300
PARCOURS 1 150x = 1 500
a. En fonction de x, le périmètre du rectangle AMIE s’écrit x = 10
2(x + 2), c’est-à-dire 2x + 4. Donc le tarif adulte est 10 € et le tarif enfant 6 €.
b. GC = MB = 14 – x 85  a. • (x + 3)2 = (x + 3)(x + 3)
De plus FC = 8 – 2 = 6. (x + 3)2 = x2 + 3x + 3x + 9
Donc le périmètre du rectangle IFCG s’écrit 2(14 – x + 6), (x + 3)2 = x2 + 6x + 9
c’est-à-dire 40 – 2x. • (x – 3)2 = (x – 3)(x – 3)
c. On doit résoudre l’équation : (x – 3)2 = x2 – 3x – 3x + 9
2x + 4 = 16 – 2x (x – 3)2 = x2 – 6x + 9
4x = 12 b. M est le milieu de [BC] et BM = x, donc MC = x et
x=3 CH = x – 3.
Donc les rectangles colorés ont le même périmètre dès Dans le triangle ACH, rectangle en H, d’après le théorème
que AM = 3 cm. de Pythagore,
AC2 = AH2 + CH2
PARCOURS 2 62 = h2 + (x – 3)2
L’aire de AMIE est !1 = AM × AE = 2x. 36 = h2 + x2 – 6x + 9
L’aire de IFCG est !2 = CG × FC = 6(14 – x), c’est-à-dire h2 = 36 – x2 + 6x – 9
!2 = 84 – 6x. h2 = –x2 + 6x + 27
On doit résoudre l’équation !1 = !2. BH = x + 3. Dans le triangle ABH, rectangle en H, d’après le
2x = 84 – 6x théorème de Pythagore,
8x = 84 AB2 = AH2 + BH2
x = 10,5 92 = h2 + (x + 3)2
Donc les deux rectangles colorés ont la même aire quand 81 = h2 + x2 + 6x + 9
AM = 10,5 cm. h2 = 81 – x2 – 6x – 9
h2 = –x2 – 6x + 72
PARCOURS 3
c. D’après les deux égalités précédentes, x est solution de
L’aire de AMIE est !1 = AM × AE = 2x. l’équation :
L’aire de IFCG est !2 = CG × FC = 6(14 – x), c’est-à-dire –x2 + 6x + 27 = –x2 – 6x + 72
!2 = 84 – 6x. 6x + 27 = –6x + 72
On doit résoudre l’équation !2 = 2!1. 12x = 45
84 – 6x = 4x 45 15
10x = 84 x= =
12 4
x = 8,4 86  1. c. Il semble que les aires sont égales quand M est
Donc l’aire de IFCG est le double de l’aire de AMIE pour
le milieu de [DC].
AM = 8,4 cm.
2. a. L’aire du rectangle ABCD est 4 × 9 = 36 et l’aire du
1
triangle DMN est × x × 2x = x2 donc l’aire du polygone
2
J’utilise mes compétences ABCMN est 36 – x2.
L’aire du rectangle EFGH est 6 × 8 = 48 et l’aire du triangle
83  On note x le nombre choisi par Charlotte. 1
Elle obtient, dans l’ordre, x + 1, x – 2, (x + 1)(x – 2), et enfin EPH est × 8 × 2x = 8x donc l’aire du polygone EFGP est
2
(x + 1)(x – 2) – x2. 48 – 8x.
Ce résultat est égal à 4 + x, donc on doit résoudre l’équa- b. (x – 4)2 – 4 = (x – 4)(x – 4) – 4
tion : (x – 4)2 – 4 = x2 – 4x – 4x + 16 – 4
(x + 1)(x – 2) – x2 = 4 + x (x – 4)2 – 4 = x2 – 8x + 12
x2 – 2x + x – 2 – x2 = 4 + x
c. On cherche donc la valeur de x telle que :
–x – 2 = 4 + x
48 – 8x = 36 – x2
–x – 2 – x = 4
48 – 8x + x2 – 36 = 0
–2x – 2 = 4
x2 – 8x + 12 = 0
–2x = 4 + 2
(x – 4)2 – 4 = 0
–2x = 6
(x – 4)2 – 22 = 0
x = –3
(x – 4 – 2)(x – 4 + 2) = 0
Donc Charlotte avait choisi le nombre –3.
(x – 6)(x – 2) = 0
84  On note x le tarif adulte, en euro. Alors, le tarif enfant x – 6 = 0 ou x – 2 = 0
est x – 4, en euro. x = 6 ou x = 2
Il y a 100 adultes et 50 enfants, donc la recette est La solution x = 6 n’est pas possible car AM doit être infé-
100x + 50(x – 4) = 100x + 50x – 200, c’est-à-dire 150x – 200. rieur à 4, donc la seule solution est x = 2. M est alors bien
On doit donc résoudre l’équation : le milieu de [CD].

 34
87  1. a. et b. On doit résoudre l’équation :
4x + 2 = 106
4x = 104
x = 26
Donc les côtés mesurent 26 cm et 27 cm.
26 × 27 = 702 donc l’aire de ce rectangle est 702 cm2.
b. On doit résoudre l’équation :
4x + 2 = 124
4x = 126
x = 31,5
Cette solution n’est pas un nombre entier, donc il n’existe
pas de tel rectangle.
92  a. • 2 × 4 – 32 = 8 – 9 = –1
• 7 × 9 – 82 = 63 – 64 = –1
• 11 × 13 – 122 = 143 – 144 = –1
b. Il semble que (n – 1)(n + 1) – n2 = –1
c. (n – 1)(n + 1) – n2 = n2 – 1 – n2
(n – 1)(n + 1) – n2 = –1
Donc la conjecture est vraie.
93  On note x la longueur, en cm, du côté du carré ABCD.
L’aire du carré est alors x2 et l’aire du triangle rectangle
2. a. On observe que 11 , v0 , 12 et 19 , v1 , 20. 5x
AED est , c’est-à-dire 2,5x.
b. Avec un pas de 0,1, on obtient 11,4 , v0 , 11,5 et 2
19,9 , v1 , 20. On doit donc résoudre l’équation :
x2 = 2,5x
88  On note x le nombre initial. x2 – 2,5x = 0
On obtient alors x2 – 1. x(x – 2,5) = 0
• x2 – 1 = 99, c’est-à-dire x2 = 99 + 1, x2 = 100. x = 0 ou x = 2,5
Donc les nombres entiers possibles sont 10 et –10. On peut écarter la solution 0, donc la longueur du côté du
• x2 – 1 = 101, c’est-à-dire x2 = 101 + 1, x2 = 102. carré doit être 2,5 cm.
Aucun nombre entier ne vérifie cette équation.
• x2 – 1 = 143, c’est-à-dire x2 = 143 + 1, x2 = 144. 94  1. a. 11 × 18 = 198 et 102 + 2 = 102.
Donc les nombres entiers possibles sont 12 et –12. b. Fatou a choisi les nombres 9, 10, 11.
• x2 – 1 = 226, c’est-à-dire x2 = 226 + 1, x2 = 227. 2. a. Si Fatou a choisi 6 comme deuxième nombre alors
Aucun nombre entier ne vérifie cette équation. Lila trouve 7 × 10 = 70 et John trouve 62 + 2 = 38.
89  On note x le premier de ces nombres entiers. Cela ne convient pas.
Les cinq entiers consécutifs sont alors x, x + 1, x + 2, x + 3 Si Fatou a choisi –7 comme deuxième nombre alors Lila
et x + 4. trouve –6 × (–16) = 96 et John trouve (–7)2 + 2 = 51.
Leur somme est x + x + 1 + x + 2 + x + 3 + x + 4 = 5x + 10. Cela ne convient pas.
Or 5x + 10 = 5(x + 2). b. Les trois nombres choisis sont n – 1, n et n + 1.
Ainsi, cette affirmation est vraie quels que soient les cinq Le calcul effectué par Lila est (n + 1) × 2(n – 1), ce qui donne
nombres entiers consécutifs choisis. 2(n + 1)(n – 1), donc 2(n2 + 1), ou 2n2 – 2.
90  On note x l’argent, en gros, dans la bourse au moment Le calcul effectué par John est n2 + 2.
On doit donc résoudre l’équation :
où le narrateur entre à Paris.
2n2 – 2 = n2 + 2
Premier jour : 2x – 1.
2n2 – n2 – 2 – 2 = 0
Deuxième jour : 3(2x – 1) – 2 = 6x – 5.
n2 – 4 = 0
Troisième jour : 4(6x – 5) – 3 = 24x – 23.
Donc l’affirmation de Fatou est vraie.
On doit donc résoudre l’équation :
Cette équation s’écrit n2 = 4, et les solutions sont 2 et –2.
24x – 23 = 3
Donc Fatou a choisi les nombres 1, 2, 3 ou –3, –2, –1.
24x = 26
26 95  On note n et n + 1 ces deux entiers.
x=
24 On doit résoudre l’équation :
13 n(n + 1) = n + (n + 1) – 1
x=
12 n2 + n = 2n
13 n2 – n = 0
Donc le narrateur avait gros.
12
n(n – 1) = 0
91  a. On note x et x + 1 les longueurs des côtés du rec- n = 0 ou n – 1 = 0
tangle. Son périmètre est donc : n = 0 ou n = 1
2x + 2(x + 1) = 4x + 2. Donc il y a deux possibilités : 0 et 1 ou bien 1 et 2.

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  35 


96   On note x la longueur, en cm, du côté d’un des carrés 100  a. Pour x = 4,
verts. Alors la longueur du côté du carré blanc est 3x. 5x2 – 3(2x + 1) = 5 × 42 – 3(2 × 4 + 1)
La longueur du segment situé sous les cinq carrés bleus 5x2 – 3(2x + 1) = 5 × 16 – 3(8 + 1)
est égale à 50 d’une part, et à x + 3x, donc 4x, d’autre part. 5x2 – 3(2x + 1) = 80 – 3 × 9
Ainsi, 4x = 50 et x = 12,5. 5x2 – 3(2x + 1) = 80 – 27
La longueur du côté du carré blanc est donc 3 × 12,5, c’est- 5x2 – 3(2x + 1) = 53
à-dire 37,5 cm. b. Pour toute valeur de x,
5x2 – 3(2x + 1) = 5x2 – (6x + 3)
5x2 – 3(2x + 1) = 5x2 – 6x – 3
Dossier Brevet c. On doit résoudre l’équation :
5x2 – 3(2x + 1) = 5x2 – 4x + 1
97  1. Affirmation 1 : Faux. En effet, 3 + 1 = 6 + 5 5x2 – 6x – 3 = 5x2 – 4x + 1
2 2 10 10 5x2 – 6x – 5x2 + 4x = 1 + 3
3 1 11 3+1 4
soit + =  , alors que =  . –2x = 4
5 2 10 5+2 7
x = –2
2. Affirmation 2 : Faux. En effet, quand on ordonne les La valeur de x cherchée est donc –2.
valeurs on obtient 20,09 ; 20,12 ; 20,19 ; 20,25 ; 20,38  ;
20,69. Donc la médiane est comprise entre 20,19 et 20,25. d. On doit résoudre l’équation :
5x2 – 3(2x + 1) = –6x + 122
3. Affirmation 3 : Vrai. En effet, pour tout nombre x : 5x2 – 6x – 3 = –6x + 122
(2x + 1)2 – 4 = (2x + 1)2 – 22
5x2 = 125
(2x + 1)2 – 4 = (2x + 1 + 2)(2x + 1 – 2)
x2 = 25
(2x + 1)2 – 4 = (2x + 3)(2x – 1)
Ainsi, x = –5 ou x = 5.
98   a. Si la valeur de x est 5 alors on obtient :
101  1. Programme 1 :
Étape 1 : 5 + 4 = 9
• 5 • 3 × 5 = 15 • 15 + 1 = 16
Étape 2 : 2 × 5 – 3 = 10 – 3 = 7
Programme 2 :
Résultat : 9 × 7 = 63
• 5 • 5 – 1 = 4 • 5 + 2 = 7 • 4 × 7 = 28
Le résultat est bien 63.
2. a. • x • 3x • 3x + 1
b. Si la valeur de x est –3 alors on obtient :
Donc A = 3x + 1.
Étape 1 : –3 + 4 = 1
Étape 2 : 2 × (–3) – 3 = –6 – 3 = –9 b. On doit résoudre l’équation, ce qui donne 3x + 1 = 0 et
Résultat : 1 × (–9) = –9 1
donc x = –   .
On obtient donc –9. 3
1
c. Étape 1 : x + 4 = 9 Il faut donc choisir le nombre –   .
3
Étape 2 : 2x – 3
Résultat : (x + 4) × (2x – 3) 3. B = (x – 1)(x + 2)
C’est l’expression A. B = x2 + 2x – x – 2
B = x2 + x – 2
d. On doit résoudre l’équation :
(x + 4) × (2x – 3) = 0 4. a. B – A = x2 + x – 2 – (3x + 1)
x + 4 = 0 ou 2x – 3 = 0 B – A = x2 + x – 2 – 3x – 1
x = –4 ou 2x = 3 B – A = x2 – 2x – 3
x = –4 ou x = 1,5 Par ailleurs, (x + 1)(x – 3) = x2 – 3x + x – 3
(x + 1)(x – 3) = x2 – 2x – 3
99   1. • 1   • 12 = 1   • 1 + 3 × 1 = 4   • 4 + 2 = 6 Donc B – A = (x + 1)(x – 3).
2. • −5   • (–5)2 = 25   • 25 + 3 × (–5) = 10   • 10 + 2 = 12 b. Dire que le programme 1 et le programme 2 donnent le
3. • x  • x2  • x2 + 3x  • x2 + 3x + 2 même résultat signifie que A = B, c’est-à-dire que B – A = 0.
4. (x + 2)(x + 1) = x2 + x + 2x + 2 On doit donc résoudre l’équation :
(x + 2)(x + 1) = x2 + 3x + 2 (x + 1)(x – 3) = 0
C’est bien le résultat du programme, pour toutes les x + 1 = 0 ou x – 3 = 0
valeurs de x. x = –1 ou x = 3
5. a. On a saisi la formule =(B1+2)*(B1+1)  . Il faut donc choisir –1 ou 3.
b. On voit sur la feuille de calcul que c’est le cas pour les 102  On note x le nombre de grands coquillages.
valeurs –2 et –1. Alors, le nombre de petits coquillages est 20 – x.
Pour justifier on résout l’équation : La longueur totale en les mettant bout à bout est :
(x + 2)(x + 1) = 0 2 × x + 1 × (20 – x) = x + 20
x + 2 = 0 ou x + 1 = 0 On doit donc résoudre l’équation x + 20 = 32, ce qui donne
x = –2 ou x = –1 x = 12.
Ce sont bien les valeurs trouvées avec le tableur. Ainsi, l’enfant a 12 grands coquillages et 8 petits.

 36
103  1. Triangle équilatéral pour x = 2. Les expressions A et B sont donc égales pour toutes les
valeurs de x.
4. • Affirmation 1 : Faux. En effet, pour x = –3, on obtient
–8, qui est un nombre négatif.
• Affirmation 2 : Vrai. En effet, on obtient 8x + 16, or si x est
un nombre entier, 8x est un multiple de 8, et puisque 16
l’est aussi, 8x + 16 est un multiple de 8.
9
2. a. Le périmètre du rectangle est : 105  On note x le nombre de pavés que l’on place le long
P = 2(4x + 1,5 + 2x) d’un côté de la partie de la cour. Il y a donc 4 × 2 × x pavés
P = 2(6x + 1,5) au bord de chaque côté, c’est-à-dire 8x pavés.
P = 12x + 3 Il y a toujours 4 pavés à chaque coin, soit 16 pavés dans
les coins.
b. On doit résoudre l’équation :
Le nombre total de pavés est donc égal à 8x + 16.
12x + 3 = 18
12x = 15 Chaque pavé coûte 0,40 €, donc le coût est, en fonction
de x et en euro, 0,4(8x + 16), c’est-à-dire 3,2x + 6,4.
15
x= On doit donc résoudre l’équation
12
5 3,2x + 6,4 = 1 000
x= 3,2x = 993,6
4
993,6
3. Le périmètre du triangle est 3(4x + 1), ce qui est toujours x=
3,2
égal à 12x + 3. Donc les deux figures ont le même péri-
x ≈ 310,5
mètre pour toutes les valeurs de x.
Le budget permet donc de placer 310 pavés le long de
104  1. • –1 • 4 × (–1) = –4 • –4 + 8 = 4  • 4 × 2 = 8 chaque côté. 310 × 12 = 3 720 donc cela fait une longueur
2. On remonte le programme de calcul. maximale de 3 720 cm, c’est-à-dire 37,2 m.
7
• 30;2 = 15  • 15 – 8 = 7  • 7;4 = 106  On note x le nombre choisi.
4
7 • Avec le script d’Alice :
Le nombre choisi au départ est donc  .
4 2x + 3
3. a. • x  • 4x  • 4x + 8 • 2(4x + 8) (2x + 3)(2x + 3) = 4x2 + 6x + 6x + 9
Donc A = 2(4x + 8). (2x + 3)(2x + 3) = 4x2 + 12x + 9
b. A = 2(4x + 8) = 8x + 16 et 4(2x + 4) = 8x + 16 • Avec le script de Gabriel :
donc A = 4(2x + 4). x2
c. B = (4 + x)2 – x2 4x2
B = (4 + x)(4 + x) – x2 4x2 + 12x
B = 16 + 4x + 4x + x2 – x2 4x2 + 12x + 9
B = 16 + 8x Les deux scripts donnent donc bien toujours le même
Par ailleurs, A = 8x + 16. résultat.

Chapitre 2 – Utiliser le calcul littéral pour résoudre ou démontrer  37 


3 Rendre irréductible
une fraction

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur les classes précédentes – reconnaître des diviseurs d’un nombre à partir de sa
décomposition en facteurs premiers.
Repères annuels de progression
Tout au long du cycle, les élèves sont amenés à modéliser Activité 2
et résoudre des problèmes mettant en jeu la divisibilité et L’objectif est d’apprendre à rendre irréductible une
les nombres premiers. fraction. Deux méthodes sont proposées. La première
● En 5 , le travail sur les multiples et les diviseurs, déjà
e méthode utilise les critères de divisibilité et demande
abordé au cycle 3, est poursuivi. Il est enrichi par l’intro- à l’élève de simplifier au fur et à mesure et la deuxième
duction de la notion de nombre premier. Les élèves se méthode utilise les décompositions en produit de fac-
familiarisent avec la liste des nombres premiers inférieurs teurs premiers. Cette deuxième méthode est plus tech-
ou égaux à 30. Ceux-ci sont utilisés pour la décomposition nique avec notamment la définition d’une puissance.
en produit de facteurs premiers. Cette décomposition est
utilisée pour reconnaître et produire des fractions égales. 3 Cours - J’applique le cours
● En 4 , les élèves déterminent la liste des nombres pre-
e
Cours
miers inférieurs ou égaux à 100 et l’utilisent pour décom-
● Suite à l’activité 1, on peut rappeler le paragraphe  1
poser des nombres en facteurs premiers, reconnaître et
« Nombres premiers » et le paragraphe 2 « Décomposition
produire des fractions égales, simplifier des fractions.
en produit de facteurs premiers  ». Deux méthodes sont
● En 3 , la notion de fraction irréductible est introduite. Elle
e
proposées dans l’exemple 1.
est abordée en lien avec celles de multiple et de diviseur
● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 3 « Frac-
qui sont travaillées tout au long du cycle. L’utilisation d’un
tion irréductible ».
tableur, d’un logiciel de programmation ou d’une calcula-
trice permet d’étendre la procédure de décomposition en J’applique le cours
facteurs premiers. Exercice résolu 1
Cet exercice permet de vérifier que les élèves sont capables
Attendus de fin d’année de 3e de décomposer un nombre entier en produit de facteurs
Exemple de réussite premiers à la main ou à l’aide de la calculatrice, ce qui fait
– Il décompose en produit de facteurs premiers (à la main, à l’aide partie des attendus de fin d’année de 3e.
d’un tableur ou d’un logiciel de programmation) les entiers naturels
suivants : 306 ; 124 ; 2 220. Exercice résolu 6
66 12
–  Il rend irréductibles les fractions suivantes  :   ; (en question
Cet exercice permet de vérifier que les élèves sont
30 51 capables de rendre irréductible une fraction. La vérifica-
flash).
– Il rend irréductibles les fractions suivantes 
140 7 140
 ; . tion à la calculatrice peut aider l’élève à se rendre compte
340 3 310 s’il a simplifié au maximum.
– Deux ampoules clignotent. L’une s’allume toutes les 153 secondes
et l’autre toutes les 187 secondes. À minuit, elles s’allument ensemble.
Détermine l’heure à laquelle elles s’allumeront de nouveau ensemble. 4 Compléments
Les nombres premiers
2 Je découvre Bien que cette notion ait été travaillée en 4e, nous avons
fait le choix de reprendre quelques exercices en allant un
Activité 1 peu plus loin.
Les objectifs de cette activité sont : L’exercice 15 est fondamental. Il reprend la méthode du
– décomposer en produit de facteurs premiers à partir crible d’Ératosthène et est repris pour en résoudre d’autres.
de nombres raisonnables qui permettent d’appliquer des Nous demandons d’aller jusqu’à 200. C’est l’occasion d’es-
méthodes vues en 4e. Cela permet au professeur de véri- sayer de regarder des régularités (répartition des multi-
fier les acquis des élèves ; ples de 3…), des fréquences d’apparition des nombres
– introduire la calculatrice dès cette première activité afin premiers. Les exercices qui suivent l’exercice 15 utilisent le
de pouvoir par la suite l’utiliser pour des décompositions crible, notamment les exercices 20 et 21. Il peut être pro-
avec des plus grands nombres dans les problèmes ; posé aux élèves d’avoir leur tableau pour les résoudre.

 38
L’exercice 72 propose une méthode avec un tableur. Cette tion sont alors proposés dans la rubrique «  J’utilise mes
méthode n’est pas optimale et pourra donner lieu à la compétences » et le « Dossier Brevet ».
recherche d’une méthode plus efficace en fonction des Enfin, comme stipulé dans les programmes, la calculatrice
propositions des élèves. en 3e permet de donner la décomposition en produit de
Il est important de montrer la performance des logiciels facteurs premiers afin de se concentrer sur l’intérêt et l’uti-
pour déterminer si un nombre est premier. Ce qui serait lisation de cette décomposition dans la résolution de pro-
fastidieux à la main. Le logiciel Scratch est une réponse blèmes.
efficace à la recherche de diviseurs d’un nombre. L’exer- Rendre irréductible une fraction
cice 81 permet par exemple de trouver le nombre de divi- C’est la capacité introduite en 3e. Dans les classes anté-
seurs d’un nombre entier. Ce qui serait très long à la main. rieures, on utilise le verbe d’action «  simplifier une frac-
Résoudre des problèmes mettant en jeu les tion » au lieu de « rendre irréductible ». Nous ne parlons
nombres premiers pas de nombres premiers entre eux, non mentionné dans
Les exercices mettent en jeu les nombres premiers dans les programmes, mais avons fait le choix de dire qu’une
plusieurs situations. En 3e, en accord avec les attendus de fraction est irréductible lorsque le numérateur et le déno-
fin d’année, nous avons en particulier proposé des exer- minateur n’ont pas de diviseur commun autre que 1.
cices sur la conjonction de phénomène avec la recherche Pour rester progressif, la méthode de simplification en
d’un plus petit multiple commun. Cela est fait de manière cherchant des diviseurs communs peut être mobilisée
progressive, sans contexte aux exercices 38 et 39 puis avec par les élèves tout en veillant à montrer l’efficacité de la
un contexte simple à l’exercice 60. Les problèmes plus méthode en décomposant en produit de facteurs pre-
complexes demandant de reconnaître ce type de situa- miers le numérateur et le dénominateur.

CORRIGÉS

Bien démarrer • 7 n’est pas un diviseur de 300, on ne retrouve pas 7 dans


la décomposition en produit de facteurs premiers de 300.
1. a, b et c ; 2. a ; 3. b et c ; 4. a ; 5. a et c ; 6. a et b.
Activité 2

Je découvre 1 a. 360 et 840 sont divisibles par 10, on obtient :


360 36 × 10 36
Activité 1 = =
840 84 × 10 84
1 • 12 = 22 × 3 • 25 = 52 • 50 = 2 × 52 b. 36 et 84 sont divisibles par 4. On obtient :
• 23 = 23 • 36 = 22 × 32 • 250 = 2 × 53 36 9 × 4 9
= =
2 a. D’après les critères de divisibilité, 1 014 est divisible 84 21 × 4 21
par 2 mais aussi par 3. c. 9 et 21 sont divisibles par 3. On obtient :
1 014 = 2 × 507 = 2 × 3 × 169 9 3×3 3
= =
Or, comme écrit dans la remarque 169 = 13 × 13. 21 7 × 3 7
On obtient : 1 014 = 2 × 3 × 132 ce qui correspond à l’affi- d. 3 et 7 n’ont pas de diviseurs communs.
chage de la calculatrice. 3
La fraction ne peut pas être simplifiée.
b. On peut vérifier à la calculatrice les réponses de la ques- 7
tion a.. 2 a. 23 × 32 × 5 = 8 × 9 × 5 = 360
2 × 3 × 5 × 7 = 8 × 3 × 5 × 7 = 840
3

b. On obtient :
360 23 × 32 × 5 2×2×2×3×3×5 3
3 a. 100 = 2 × 5 × 2 × 5 = 22 × 52 = = =
840 23 × 3 × 5 × 7 2 × 2 × 2 × 3 × 5 × 7 7
b. 300 = 3 × 100 = 3 × 22 × 52 = 22 × 3 × 52
c. • 25 est un diviseur de 300, on retrouve 52 = 25 dans la
décomposition en produit de facteurs premiers de 300. J’applique le cours
• 12 est un diviseur de 300, on retrouve 22 × 3 = 12 dans
2 a. • 124 = 2 × 62 • 525 = 5 × 105
la décomposition en produit de facteurs premiers de 300.
124 = 2 × 2 × 31 525 = 5 × 5 × 21
• 8 n’est pas un diviseur de 300, on ne retrouve pas 23 = 8 124 = 22 × 31 525 = 5 × 5 × 3 × 7
dans la décomposition en produit de facteurs premiers de 525 = 3 × 52 × 7
300.
b.
• 50 est un diviseur de 300, on retrouve 2 × 52 = 50 dans
la décomposition en produit de facteurs premiers de 300.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  39 


3 a. 535 = 5 × 107 d. 927 = 32 × 103 f. 567 est divisible par 3 (mais aussi par 9), la somme des
b. 280 = 23 × 5 × 7 e. 900 = 2 × 3 × 5
2 2 2 chiffres est 18 qui est un multiple de 3 (mais aussi de 9).
c. 624 = 24 × 3 × 13 13 a. Lisa n’a pas raison. Tous les nombres premiers sont
impairs sauf le nombre 2. C’est le seul nombre premier
4 a. • 1 400 = 23 × 52 × 7 pair. Les autres étant des multiples de 2 ne peuvent pas
• 2 500 = 22 × 54 être premiers.
• 186 = 2 × 3 × 31
b. Hector n’a pas raison. On peut choisir le nombre 9 qui
b. est un nombre impair mais ce n’est pas un nombre pre-
mier. Il est divisible par 3.
14 On calcule mentalement la somme des chiffres de
5 1 225 = 49 × 25, donc : 53 892 789. Ce qui donne 51.
1 225 = 7 × 7 × 5 × 5. Ainsi, ce nombre est divisible par 3 puisque 51 est divisible
Ainsi, 1 225 = 52 × 72. par 3 (5 + 1 = 6 ou 17 × 3 = 51).
7 On décompose 180 puis 154 en produit de facteurs Le chiffre des unités est 9. Il n’est pas divisible par 2 ni par 5.
premiers. 15
180 = 22 × 32 × 5 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
154 = 2 × 7 × 11 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
180 22 × 32 × 5 2 × 32 × 5 90
Ainsi, = = =  . 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
154 2 × 7 × 11 7 × 11 77
31 32 33 34 35 36 37 38 39 40
70 2 × 5 × 7 5×7 35
8 a. = 4 2 = 3 2= 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50
144 2 ×3 2 ×3 72
105 3 × 5 × 7 7 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60
b. = =
75 3 × 52 5 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70
c. Ici on peut simplifier en trouvant des diviseurs communs : 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80
240 24 6 3 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90
= = =  .
160 16 4 2 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100
99 32 × 11 32 9
d. = = =  . 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110
121 11 × 11 11 11
111 112 113 114 115 116 117 118 119 120
On peut vérifier les réponses à la calculatrice.
121 122 123 124 125 126 127 128 129 130
9 On décompose 315 puis 225 en produit de facteurs 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140
premiers.
141 142 143 144 145 146 147 148 149 150
315 = 32 × 5 × 7 et 225 = 32 × 52.
151 152 153 154 155 156 157 158 159 160
315 32 × 5 × 7 7
Ainsi, = 2 2 =  . 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170
225 3 ×5 5
171 172 173 174 175 176 177 178 179 180
10 a.
181 182 183 184 185 186 187 18 189 190
191 192 193 194 195 196 197 198 199 200

De la même manière avec la calculatrice, on obtient : 16 a. D’après l’exercice  15  , il y a 25 nombres premiers


1 015 203 243 124 31 inférieurs à 100 et 21 nombres premiers compris entre 100
b. = c. = 3 d. =
575 15 81 400 100 et 200.
b. Il y a 100 nombres compris entre 0 et 100 inclus. On
ne prend pas en compte 0. Parmi ces nombres, il y a
Je m’entraîne 25 nombres premiers.
La probabilité d’avoir un nombre premier entre 0 et 100
25 1
Connaître les nombres premiers inclus est soit  .
100 4
c. Il y a 100 nombres compris entre 100 et 200 inclus. On
11 Les nombres premiers sont 13, 23 et 17. ne prend pas en compte 100. Parmi ces nombres, il y a 21
12 a. 145 est divisible par 5, le chiffre des unités est 5. nombres premiers. La probabilité d’avoir un nombre pre-
21
b. 381 est divisible par 3, la somme des chiffres est 12 qui mier entre 0 et 100 inclus est  .
100
est un multiple de 3. Il est donc plus probable d’avoir un nombre premier entre
c. 372 est divisible par 2, le chiffre des unités est 2. 0 et 100 inclus qu’entre 100 et 200 inclus.
d. 156 est divisible par 2 (mais aussi par 3), le chiffre des 17 On teste par ordre croissant les nombres premiers
unités est 6 (la somme des chiffres est 12). pour savoir s’ils sont diviseurs de 391. Le premier nombre
e. 240 est divisible par 5 (mais aussi par 2), le chiffre des premier diviseur de 391 est 17.
unités est 0. 391 = 17 × 23, 17 et 23 sont premiers.

 40
18 On utilise l’exercice  15 pour connaître les nombres 25
30 2×3×5
premiers plus petits que 200.
Il y a 11, 13, 17, 37 et 79 qui sont des nombres premiers 110 32 × 7
inférieurs à 100. 60 2 × 5 × 11
Il y a seulement les nombres qui ont pour chiffre des uni- 63 22 × 3 × 5
tés 1 qui peuvent être des nombres palindromes.
Ainsi, parmi ceux-ci, les nombres premiers sont 101, 131, 26 a. 700 = 7 × 100 = 7 × 4 × 25 = 22 × 52 × 7
151, 181 et 191. b. 123 est divisible par 3 et 123 = 3 × 41.
19 La date est un nombre premier plus grand que 10. 41 est un nombre premier.
Les possibilités sont 11, 13, 17, 19, 23, et 29. c. 165 est divisible par 5.
La somme des chiffres est 11 donc c’est 29. 165 = 5 × 33 = 5 × 3 × 11 = 3 × 5 × 11
La date du jour de son anniversaire est le 29. d. 875 est divisible par 25.
20 a. Le double de 2 est 4 et 4 augmenté de 1 est 5. Or 5 875 = 25 × 35 = 52 × 5 × 7 = 53 × 7
est un nombre premier. Donc 2 est un nombre premier de 27 224 = 7 × 8 × 4
Sophie Germain. On continue de décomposer en produit chaque facteur
b. On utilise l’exercice 15  . On calcule successivement non premier.
pour chaque nombre premier son double augmenté de 224 = 7 × 2 × 2 × 2 × 2 × 2 = 25 × 7
1 et on vérifie si le résultat est un nombre premier. On 28 256 = 16 × 16 et 16 = 24.
obtient que les nombres premiers de Sophie Germain Ainsi, la décomposition en produit de facteurs premiers
inférieurs à 100 sont : 2, 3, 5, 11, 23, 29, 41, 53, 83 et 89. de 256 est : 256 = 24 × 24 = 28.
Remarque. Il n’est pas nécessaire de calculer pour les 29 a. 27 × 24 = 3 × 9 × 3 × 8 = 3 × 3 × 3 × 3 × 23 = 23 × 34
nombres premiers dont le chiffre des unités est 7 puisque
b. 26 × 38 = 2 × 13 × 2 × 19 = 22 × 13 × 19
leur double augmenté de 1 aura pour chiffre des unités 5.
Ils sont divisibles par 5. c. 63 × 23 = 7 × 9 × 23 = 7 × 32 × 23 = 32 × 7 × 23

21 On utilise l’exercice 15  . On cherche deux nombres 30 a. 64 × 15 × 10 = 8 × 8 × 3 × 5 × 2 × 5


premiers inférieurs à 200 distants de 10. On peut lire Or 8 = 23. On obtient 64 × 15 × 10 = 23 × 23 × 3 × 5 × 2 × 5.
colonne par colonne le tableau. Donc 64 × 15 × 10 = 27 × 3 × 52.
On obtient les couples suivants : 31-41 ; 61-71 ; 181-191 ; b. 282 × 49 = 28 × 28 × 49 = 4 × 7 × 4 × 7 × 7 × 7 = 24 × 74
3-13 ; 13-23 ; 43-53 ; 73-83 ; 103-113 ; 163-173 ; 7-17 ; 37-47 ; c. 212 × 354 = (3 × 7)2 × (5 × 7)4 = 32 × 54 × 76
97-107 ; 127-137 ; 157-167 ; 19-29 ; 79-89 et 139-149.
31 a.
22

71 133 121 163 10 000 n’est pas un nombre premier.


b.
97 101 98 107

12 131 23 231 10 139 est un nombre premier.


c.
201 207 67 91

30 135 59 151 10 101 n’est pas un nombre premier. On pouvait déjà le


savoir avec le critère de divisibilité par 3.
d.

Décomposer en produit
de facteurs premiers 10 007 est un nombre premier.
32 1. La décomposition de 350 en produit de facteurs
23 On cherche les nombres premiers qui sont des divi-
premiers est : 350 = 2 × 52 × 7.
seurs de 21. Dans l’ordre croissant, on obtient 3 et 7. 2. a. 25 est un diviseur de 350. En effet, 52 = 25 apparaît
3 et 7 sont les deux facteurs premiers dans la décomposi- dans sa décomposition en produit de facteurs premiers.
tion de 21.
b. 14 est un diviseur de 350. En effet, 2 × 7 = 14 apparaît
24 • La décomposition en produit de facteurs premiers dans sa décomposition en produit de facteurs premiers.
de 100 est : 2 × 2 × 5 × 5. c. 75 n’est pas un diviseur de 350. En effet, le facteur 3
• La décomposition en produit de facteurs premiers de devrait apparaître dans sa décomposition en produit de
102 est : 2 × 17 × 3. facteurs premiers puisque 75 = 3 × 52.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  41 


d. 20 n’est pas un diviseur de 350. En effet, 20 = 22 × 5 n’ap- 2. a. 525 est un multiple de 175 puisqu’on retrouve 52 × 7
paraît pas dans sa décomposition en produit de facteurs dans la décomposition.
premiers.
e. 35 est un diviseur de 350. En effet, 5 × 7 = 35 apparaît
dans sa décomposition en produit de facteurs premiers.
b. 800 n’est pas un multiple de 175 puisqu’on ne retrouve
33 1. 8 712 = 88 × 99 = 8 × 11 × 9 × 11
pas 52 × 7 dans la décomposition.
La décomposition de 8 712 en produit de facteurs pre-
miers est 8 712 = 23 × 32 × 112.
2. a. 6 est un diviseur de 8 712. En effet, 2 × 3 = 6 apparaît
dans sa décomposition en produit de facteurs premiers.
c. 700 est un multiple de 175 puisqu’on retrouve 52 × 7
b. 33 est un diviseur de 8 712. En effet, 3 × 11 = 33 apparaît dans la décomposition.
dans sa décomposition en produit de facteurs premiers.
c. 8 est un diviseur de 8 712. En effet, 23 = 8 apparaît dans
sa décomposition en produit de facteurs premiers.
d. 22 × 3 × 11 est un diviseur de 8 712. En effet, ce produit d. 1 575 est un multiple de 175 puisqu’on retrouve 52 × 7
apparaît dans sa décomposition en produit de facteurs dans la décomposition.
premiers.
e. 22 × 7 n’est pas un diviseur de 8 712. En effet, ce produit
n’apparaît pas dans sa décomposition en produit de fac- e. 13 650 est un multiple de 175 puisqu’on retrouve 52 × 7
teurs premiers. dans la décomposition.
f. 32 × 112 est un diviseur de 8 712. En effet, ce produit
apparaît dans sa décomposition en produit de facteurs
premiers.
34 1. f. 14 630 n’est pas un multiple de 175 puisqu’on ne retrouve
pas 52 × 7 dans la décomposition.

2. a. 4 divise 12 100 car 4 = 22.


b. 22 divise 12 100 car 22 = 2 × 11. 39 1. 42 = 2 × 21 = 2 × 3 × 7
c. 125 = 53 ne divise pas 12 100. 70 = 2 × 35 = 2 × 5 × 7
2. a. 180 n’est pas divisible par 7, donc ce n’est ni un multi-
d. 112 × 23 ne divise pas 12 100 à cause de 23.
ple de 42, ni de 70.
e. 55 divise 12 100 car 55 = 5 × 11.
b. 420 = 42 × 10 = 70 × 6 donc c’est un multiple de 42 et
35 1. 45 = 9 × 5 = 32 × 5 de 70.
150 = 15 × 10 = 3 × 5 × 2 × 5 c. 2 × 3 × 7 n’est pas divisible par 5 donc ce n’est pas un
150 = 2 × 3 × 52 multiple de 70.
2. a. Oui, car il apparaît dans les décompositions en pro- d. 2 × 3 × 5 × 7 × 11 est un multiple de 42 et de 70, car dans
duits de facteurs premiers de 45 et de 150. sa décomposition en produit de facteurs premiers appa-
On procède de même pour répondre, sans calcul, aux raît celle de 42 et celle de 70.
autres questions.
e. 23 × 3 × 52 × 7 est un multiple de 42 et de 70, car dans sa
b. Non  c. Non  d. Oui  e. Non  f. Non décomposition en produit de facteurs premiers apparaît
3. Le plus grand diviseur commun à 45 et 150 est 3 × 5, celle de 42 et celle de 70.
c’est-à-dire 15. f. 25 × 3 × 53 n’est pas divisible par 7 donc ce n’est pas un
36 1. 28 = 7 × 4 = 22 × 7 et 35 = 5 × 7. multiple de 42 ou de 70.
b. On constate que le plus grand diviseur commun à 28
et 35 est 7.
2. Au maximum, il pourra faire 7 bouquets. Rendre irréductible une fraction
Il sera composé de 4 roses rouges et de 5 roses blanches.
37 Chaque nombre étant premier, il apparaît au mini- 40 a. La fraction irréductible est 14 car 14 et 17 n’ont pas
17
mum une fois dans la décomposition en produit de fac-
teurs premiers. de diviseur commun autre que 1.
Le plus petit nombre est alors : 3 × 5 × 7 × 11 = 1 155. 15 5 35 5 10 1
b. • =    • =    • =
18 6 14 2 210 21
38 1.
41 286 = 2 2× 11 × 13 = 13 = 13
308 2 × 7 × 11 2 × 7 14

 42
42 a. 35 = 7 200 5 360 23 × 32 × 5 10
d. = c. = =
55 11 40 1 252 22 × 32 × 7 7
24 12 25 1 220 22 × 5 × 11 11
b. = e. = d. = =
50 25 50 2 100 22 × 52 5
63 7
c. =
27 3 50 a. 16 et 28 sont divisibles par 4, donc 16 = 4  .
28 7
43 a. 60 et 40 sont divisibles par 20, donc 60 = 3  . b. 250 et 100 sont divisibles par 50, donc
250 5
=  .
40 2 100 2
126 14 180 18
b. 126 et 198 sont divisibles par 9, donc =  . c. 180 et 190 sont divisibles par 10, donc =  .
198 22 190 19
14 7 d. On décompose 245 et 65 en produit de facteurs pre-
Puis, 14 et 22 sont divisibles par 2, donc =  .
22 11 miers en remarquant que ces deux nombres sont divi-
126 7
Ainsi, =  . sibles par 5.
198 11
105 21 245 5 × 72 49
c. 105 et 190 sont divisibles par 5, donc =  . = =
90 18 65 5 × 13 13
21 7
Puis, 21 et 18 sont divisibles par 3, donc =  . 51 Cette fraction est irréductible car il n’y a pas de divi-
18 6
105 7 seur commun au numérateur et au dénominateur.
Ainsi, =  .
90 6
On vérifie ensuite à la calculatrice les fractions obtenues. 52 a. 49 = 7 et 7 est un nombre décimal qui peut
140 20 20
44 a. La fraction 465 n’est pas irréductible. En effet, 5 est s’écrire 0,35.
570 15 5
un diviseur commun de 465 et 570. b. =
54 18
b. On décompose en produit de facteurs premiers le 25 5 5
numérateur et le dénominateur. c. = et est un nombre décimal qui peut s’écrire
40 8 8
465 = 3 × 5 × 31 0,625.
570 = 2 × 3 × 5 × 19 72 9 9
465 3 × 5 × 31 31 31 d. = et est un nombre décimal qui peut s’écrire
c. = = = 320 40 40
570 2 × 3 × 5 × 19 2 × 19 18
0,225.
45 a.
53 William n’a pas raison. 11 est un diviseur de 220.
220
D’ailleurs, = 20.
11
54 Iseult n’a pas raison. Un cas est possible lorsque le
numérateur et le dénominateur sont égaux. Dans ce cas,
b. On remarque que 23 × 7 est le plus grand diviseur com-
la fraction est égale à 1. Dans tous les autres cas, la fraction
mun à 224 et 280. On peut donc simplifier par 23 × 7 la
sera irréductible et différente de 1.
224
fraction  .
280 55 a. 120 + 150 = 270. On voit facilement que 150 et 270
224 25 × 7 4 sont divisibles par 10 :
150 15
=  .
Ainsi, = 3 =  .
280 2 × 5 × 7 5 270 27
150 15 5
Puis, 15 et 27 sont divisibles par 3 : = =  .
46 1. a. 68 = 22 × 17 270 27 9
b. 96 = 25 × 3 La proportion de bonbons au chocolat noir dans la boîte
c. 180 = 22 × 32 × 5 5
est  .
96 25 × 3 23 × 3 24 9
2. a. = = = b. 120 – 3 = 117, 150 – 3 = 147 et 117 + 147 = 264.
68 22 × 17 17 17
180 2 × 3 × 5 3 × 5 15
2 2 147
b. = = 3 = La fraction devient  .
96 25 × 3 2 8 264
68 2 × 17
2
17 17 Rendons irréductible cette fraction.
c. = = = 147 (3 × 72) 49
180 22 × 32 × 5 32 × 5 45 = 3 =
264 (2 × 3 × 11) 88
47 a. Oui b. Non c. Oui La proportion de bonbons au chocolat noir dans la boîte
6
48 a. 2 × 5 × 11 2 × 11 44
3 3
= = change. Elle est maintenant de  .
2 × 3 × 52 3×5 15 11
23 × 34 × 52 × 7 32 9
b. 4 2 2 2 = = 56 On cherche à réduire la fraction 126 .
2 ×3 ×5 ×7 2 × 7 14 588
Or, 126 = 2 × 32 × 7 et 588 = 22 × 3 × 72.
49 a. 48 = 2 × 32 = 16
4

75 3 × 5 25 126 2 × 32 × 7 3 3
Ainsi,  = = =  .
126 2 × 32 × 7 7 588 22 × 3 × 72 2 × 7 14
b. = =
180 22 × 32 × 5 10 La proportion d’élèves est trois quatorzièmes.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  43 


a 61 a. 1 280 = 28 × 5 et 720 = 24 × 32 × 5.
57 a. n’est pas irréductible car a et b ont 23 comme
b 1 280 28 × 5 24 16
diviseur commun. b. = 4 2 = 2=
720 2 ×3 ×5 3 9
b
b. est irréductible car b et c n’ont pas de diviseur com- c. Léo a raison. Cet écran a une résolution seize-neuvièmes.
c
mun.
62 a. 550 = 2 × 52 × 11 et 264 = 23 × 3 × 11
a
c. est irréductible car b + c ne peut pas être factorisé 264 23 × 3 × 11 23 × 3 12
b+c b. = = =
par un facteur premier commun à b et c. 550 2 × 52 × 11 52 25
a 12 48
c. = soit 48 %.
d. n’est pas irréductible car a + c peut être factorisé 25 100
a+c
par 7. Ainsi, 7 est un diviseur commun à a et à a + c.
c 0% 100 %
e. est irréductible car b + c ne peut pas être factorisé
b+c
par un facteur premier commun à b et c. 63 a. et b. Les points représentant les diviseurs de N1
sont les points N1, A, M, C, D, E, F, G, H et I.
c. Les points représentant les diviseurs de N2 sont les
Utiliser des nombres premiers
points N2, L, B, N, K, J, D, C, M, I, H et G.
58 a. Max peut planter sur 3 rangées. Il plantera 10 pom- d. Les points associés aux diviseurs communs à N1 et N2
sont M, C, D, I, H et G.
miers par rangée.
e. Le point M(2 ; 1) est associé au nombre 22 × 3 = 12.
b. Max ne peut pas planter sur 7 rangées. En effet, 7 ne
divise pas 30.
c. La liste des diviseurs de 30 : 1, 2, 3, 5, 6, 10, 15, 30.
d. Max peut planter ses pommiers des manières suivantes :
1 rangée de 30 pommiers ; 2 rangées de 15 pommiers ;
3  rangées de 10 pommiers  ; 5 rangées de 6 pommiers.
Mais aussi par symétrie 30 rangées de 1 pommier, 15 de
2 pommiers, 10 de 3 pommiers et 6 de 5 pommiers.
59 a. 720 = 24 × 32 × 5 et 840 = 23 × 3 × 5 × 7.
b. On remarque que 2, 3, 5 sont les diviseurs premiers de
720 et 840. On a les puissances de 2 : 22 = 4 et 23 = 8.
Par composition, on a aussi : 6, 12, 24, 10, 20, 40, 15, 60 et
120.
c. Les compositions possibles pour le primeur sont :
– 1 corbeille de 720 pommes et 840 poires ;
– 2 corbeilles de 360 pommes et 420 poires ;
– 3 corbeilles de 240 pommes et 280 poires ; Je m’évalue à mi-parcours
– 4 corbeilles de 180 pommes et 210 poires ;
– 5 corbeilles de 144 pommes et 168 poires ; 64 b. 65 c. 66 a. 67 b. 68 b. 69 c. 70 b.
– 6 corbeilles de 120 pommes et 140 poires ;
– 8 corbeilles de 90 pommes et 105 poires ;
– 10 corbeilles de 72 pommes et 84 poires ; Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
– 12 corbeilles de 60 pommes et 70 poires ;
– 15 corbeilles de 48 pommes et 56 poires ; 71 1. a. 26 modulo 5 renvoie 1 et 26 modulo 2 renvoie 0.
– 20 corbeilles de 36 pommes et 42 poires ;
b. L’opérateur modulo permet de donner le reste de la
– 24 corbeilles de 30 pommes et 35 poires ; division euclidienne de n par d. Si n modulo d est 0, alors
– 40 corbeilles de 18 pommes et 21 poires ; d divise n.
– 60 corbeilles de 12 pommes et 14 poires ;
– 120 corbeilles de 6 pommes et 7 poires. 2. a. b. et c. On initialise la variable d à 2 puisque d = 1 est
Seules certaines de ces compositions sont cohérentes toujours un diviseur de n. Deux choses sont alors à éviter,
avec la réalité. d = 1 est un diviseur non premier donc ne doit pas être
dans la liste Facteurs premiers mais aussi la boucle répéter
60 a. 153 = 32 × 17 et 187 = 11 × 17. jusqu’à n = 1 ne s’arrêterait jamais.
b. 11 × 153 = 11 × 32 × 17 et 32 × 187 = 32 × 11 × 17 ce qui d. À la ligne (1) : si n modulo d = 0
donne bien le même produit. À la ligne (2) : ajouter 1 à d
c. 32 × 11 × 17 = 1 683. Les deux lampes s’allumeront à nou- 3. a. Dans la liste Facteurs premiers, pour 330 on obtient
veau ensemble pour la première fois à la 1 683e seconde. les nombres premiers : 2, 3, 5, 11.
1 683 s = 28 min 3 s. Ce qui donne 330 = 2 × 3 × 5 × 11.

 44
b. Dans la liste Facteurs premiers, pour 97 on obtient le PARCOURS 2
nombre premier : 97. Donc 97 est un nombre premier. a. 320 = 26 × 5 et 100 = 22 × 52.
c. Dans la liste Facteurs premiers, pour 147 on obtient les b. On cherche le plus petit multiple commun à 320 et 100.
nombres premiers : 3, 7, 7. Ce qui donne 147 = 3 × 72. Pour cela on multiplie chaque nombre par les facteurs
d. Dans la liste Facteurs premiers, pour 8 329 on obtient premiers manquants de l’un par rapport à l’autre afin d’ob-
le nombre premier : 8 329. Donc 8 329 est un nombre pre- tenir un même nombre, multiple commun.
mier. 320 × 5 = 26 × 5 × 5 et 100 × 24 = 22 × 24 × 52.
e. Dans la liste Facteurs premiers, pour 52 841 on obtient Le plus petit multiple commun est alors 1 600. De plus, il
les nombres premiers : 53, 997. faut 16 tours à la petite roue pour atteindre 1 600 cm et
Ce qui donne 52 841 = 53 × 997. 5 tours à la grande roue.
La distance cherchée est donc 1 600 cm soit 16 m.
72 1. a. b. et c.
PARCOURS 3

36 = 22 × 32 et 15 = 3 × 5.
On cherche le plus petit multiple commun à 36 et 15.
Pour cela on multiplie chaque nombre par les facteurs
premiers manquants de l’un par rapport à l’autre afin d’ob-
tenir un même nombre, multiple commun.
36 × 5 = 22 × 32 × 5 et 15 × 3 × 22 = 3 × 5 × 3 × 22.
Le plus petit multiple commun est alors 180. De plus, il
faut 12 tours à la petite roue pour atteindre 180 pouces
et 5 tours à la grande roue. La distance cherchée est donc
180 pouces.
d. On remarque qu’aucun reste de la division euclidienne 180 × 25,4 = 4 572, 180 pouces = 4 572 mm.
de 13 par les nombres de 2 à 12 est zéro. Donc, 13 n’a pas Ce qui correspond à la distance de 4,57 m arrondie au cen-
de diviseur parmi les nombres de 2 à 12. tième près.
e. On peut conclure que le nombre 13 est premier. 74
2. a. On écrit dans la cellule B1 le nombre 169. PARCOURS 1
On écrit les nombres de 2 à 168 dans la colonne A. On a. La décomposition de 875 en produit de facteurs pre-
recopie, la même formule que précédemment jusqu’à la miers est 53 × 7. Donc les diviseurs de 875 sont 1, 5, 25, 125,
cellule B168. 7, 35, 175 et 875.
On vérifie que 169 n’est pas un nombre premier. Son pre-
mier diviseur différent de 1 est 13. b. Parmi ces nombres 125 est le seul compris entre 100 et
130. La distance entre deux arbustes est alors 125 cm.
b. Grâce au tableur, on vérifie que 237 n’est pas un nombre
premier. Son premier diviseur différent de 1 est 3. c. Il faut planter un arbuste tous les 125  cm en partant
d’un sommet du carré. Il y a 6 arbustes hors extrémités sur
c. Grâce au tableur, on vérifie que 301 n’est pas un nombre chaque côté du carré soit 6 × 4 + 4 = 28. Le nombre total
premier. Son premier diviseur différent de 1 est 7. d’arbustes est 28.
d. Grâce au tableur, on vérifie que 53 147 est un nombre
premier. 53 147 n’a pas de diviseur parmi les nombres de PARCOURS 2
2 à 53 146. On cherche la décomposition en produit de facteurs pre-
3. On teste avec le tableur les nombres possibles d’être miers de 1 722 : 1 722 = 2 × 3 × 7 × 41.
premiers entre 500 et 510. Les deux seuls à tester sont 503 Les diviseurs de 1 722 sont : 1, 2, 3, 7, 41, 6, 14, 82, 21, 123,
et 509. On obtient que 503 et 509 sont deux nombres pre- 287, 42, 246, 861, 1 722.
miers. Parmi ces diviseurs, 123 est le seul compris entre 100 et
130. La distance entre deux arbustes est alors 123 cm. Il y
a donc 14 espacements réguliers entre chaque arbre soit
14 arbustes au total.
Parcours différenciés
PARCOURS 3
73
PARCOURS 1 On cherche la décomposition en produit de facteurs pre-
miers de 1 652 et 1 180 :
a. Les premiers nombres entiers non nuls divisibles par 27
1 652 = 22 × 7 × 59 et 1 180 = 22 × 5 × 59.
sont 27, 54, 81.
On cherche un diviseur commun à 1 652 et 1 180 entre 100
b. Le nombre 54 est divisible par 6 car 6 × 9 = 54. et 130. 2 × 59 = 118 est une possibilité.
c. Quand la grande roue fait 2  tours, la petite roue fait Magali va devoir espacer ces arbustes de 118 cm.
9 tours. 10 espacements réguliers pour la largeur et 14 pour
Il faut 9 fois 6 dm pour parcourir 2 fois 27 dm. On conclut la longueur. On compte 13  arbustes sur la longueur et
que la distance cherchée est 54 dm soit 5,4 m. 9 arbustes sur la largeur auxquels on ajoute les 4 coins.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  45 


Au total, Magali va pouvoir planter 48 arbustes car 79 1. a. Pour N = 5 : A = 52 –1 = 25 – 1 = 24
2 × 13 + 2 × 9 + 4 = 48. Pour B, écrivons étape par étape les calculs.
5 × 2 = 10 1er résultat
10 = 100
2
2e résultat
100 + 10 = 110
J’utilise mes compétences
110 + 1 = 111
75 a. 2 × 3 × 5 × 7 × 11 × 13 × 17 = 510 510 A 24
b. =  . 111 et 24 sont divisibles par 3.
Le plus petit nombre cherché est 510 510. B 111
La fraction n’est pas irréductible.
b. 714 = 2 × 3 × 7 × 17 et 715 = 5 × 11 × 13.
2. Dans la cellule B2, on saisit la formule =A2^2-1 et dans
c. 714 × 715 = 2 × 3 × 7 × 17 × 5 × 11 × 13 la cellule C2, =(A2*2)^2+A2*2+1  .
En réorganisant, on obtient :
714 × 715 = 2 × 3 × 5 × 7 × 11 × 13 × 17.
d. 2 + 3 + 7 + 17 = 29 et 5 + 11 + 13 = 29.
La somme des facteurs premiers de 714 est la même que
celle des facteurs de 715.
76 1. Le reste de la division euclidienne de 1 365 par 20
est 5. Le reste de la division euclidienne de 1 183 par 20 Lorsque l’on regarde les résultats obtenus avec le tableur,
est 3. il faut être vigilant car il nous induit en erreur en donnant
Il lui reste au total 8 dragées non utilisées. une fraction qui semble simplifiée. C’est le cas pour N = 6
2. a. Le reste de la division euclidienne de 1 365 par 90 est et N = 7.
15. Cela ne convient pas. L’utilisateur peut alors modifier le format ou mieux vérifier
grâce à une fonction du tableur qui s’appelle PGCD. Cette
b. On peut décomposer 1 365 et 1 183 en produit de fac- fonction donne le plus grand diviseur commun des deux
teurs premiers. nombres A et B.
1 365 = 3 × 5 × 7 × 13 et 1 183 = 7 × 132. Dans la colonne E, on saisit =PGCD(B2;C2)  .
Le plus grand diviseur commun à 1 365 et 1 183 est Si le PGCD des deux nombres est 1, alors la fraction est
7 × 13 = 91. Ils feront au maximum 91 ballotins. irréductible.
1 365;91 = 15 et 1 183;91 = 13.
Il y aura dans chaque ballotin 15 dragées au chocolat et
13 dragées aux amandes.
77 La moitié des élèves, le tiers des élèves et le quo-
tient du nombre d’élèves par 7 doivent être des nombres
entiers. Autrement dit, le nombre d’élèves doit être multi- Ainsi pour N = 6 et N = 7, on obtient que la fraction est irré-
ple de 2, 3 et 7. ductible alors que le tableur donne une fraction simplifiée.
Les premiers multiples communs à ces trois nombres sont C’est un arrondi au format choisi.
2 × 3 × 7 = 42 puis 84, 126, 168... 80 a. Avec la calculatrice, on demande la décomposition
Or, le nombre d’élèves est compris entre 80 et 120. Le seul en facteurs premiers de 210 –1.
multiple commun possible est 84. Le nombre d’élèves est On obtient :
donc 84.
84;7 = 12
Il y a donc 12 élèves aux yeux bleus et 72 qui n’ont pas les
yeux bleus.
Ce qui signifie que 210 – 1 n’est pas un nombre premier
78 Les lignes 1 et 2 comportent chacune 8 arrêts. Le cir- puisqu’il admet une décomposition en produit de 3 fac-
cuit complet de la ligne 1 met 24 min car 8 × 3 = 24. Celui teurs premiers.
de la ligne 2 met 32 min car 8 × 4 = 32. b. On teste ensuite pour n allant de 2 à 10.
Le bus de la ligne 1 passe à l’arrêt «  Mairie  » toutes les 22 – 1 = 4 – 1 = 3 est un nombre premier.
24 min et celui de la ligne 2 toutes les 32 min. 23 – 1 = 8 – 1 = 7 est un nombre premier.
24 = 23 × 3 et 32 = 25. 24 – 1 = 16 – 1 = 15 n’est pas un nombre premier.
On multiplie 24 par 22 et 32 par 3 pour obtenir le plus petit 25 – 1 = 32 – 1 = 31 est un nombre premier.
multiple commun qui est donc 96. 26 – 1 = 64 – 1 = 63 n’est pas un nombre premier.
Les deux bus se retrouveront à l’arrêt « Mairie » toutes les 27 – 1 = 128 –1 = 127 est un nombre premier car avec la
calculatrice :
96 min.
Les horaires sont alors : 6 h 30 – 8 h 06 – 9 h 42 – 11 h 18 –
12 h 54 – 14 h 30 – 16 h 06 – 17 h 42 – 19 h 18.

 46
28 – 1 = 256 – 1 = 255 n’est pas un nombre premier. On observe que le premier multiple commun non nul à
29 – 1 = 512 – 1 = 511 n’est pas un nombre premier car avec 198 et 225 est obtenu en multipliant 198 par 52 et 225 par
la calculatrice : 2 et par 11.
Ce multiple commun est donc 2 × 32 × 52 × 11. Ce qui
donne 4 950.
4 950 s = 82 min 30 s ou 1 h 22 min 30 s.
Remarque. Les nombres de la forme 2n – 1 sont appe- Ils se retrouveront sur la ligne de départ de nouveau au
lés nombres de Mersenne. Nous avons obtenu que pour bout de 1 h 22 min 30 s.
n = 2, 3, 5 ou 7, ces nombres de Mersenne sont premiers. 83 1. a. 3 = 4 × 0 + 3 ; 5 = 4 × 1 + 1 : 7 = 4 × 1 + 3 ; 11 = 4 × 2 + 3 ;
On peut conjecturer que lorsque le nombre n n’est pas
13 = 4 × 3 + 1 ; 17 = 4 × 4 + 1 ; 19 = 4 × 4 + 3
premier les nombres de Mersenne ne sont pas premiers.
Ces nombres s’écrivent sous la forme 4n + 1 ou 4n + 3, où
En revanche, si n est premier, le nombre de Mersenne n’est
n désigne un nombre entier positif.
pas toujours premier comme par exemple :
211 – 1 = 2 047 = 23 × 89. b. Dans une division euclidienne par 4, les restes possibles
sont 0, 1, 2 et 3. Le dividende est une des formes suivantes :
81 1. On prend a = 6 4n ou 4n + 1 ou 4n + 2 ou 4n + 3.
Compteur 0 1 2 3 3 3 4 c. 4n et 4n + 2 sont divisibles par 2. Ce ne peut pas être
d 1 2 3 4 5 6 7 des nombres premiers sauf pour 2. Donc les nombres pre-
d.a Faux Faux Faux Faux Faux Faux Vrai miers, supérieurs à 2, sont parmi les nombres de formes
a modulo d = 0 Vrai Vrai Vrai Faux Faux Vrai 4n + 1 ou 4n + 3.
Ce script compte le nombre de diviseurs du nombre a. d. 21 = 4 × 5 + 1. 21 s’écrit sous la forme 4n + 1. Mais 21
a = 6 a 4 diviseurs : 1, 2, 3, 6. n’est pas un nombre premier, il est par exemple divisible
2. a. On obtient que 352 a 12 diviseurs. par 3.
2. a. Dans une division euclidienne par 6, les restes pos-
sibles sont 0, 1, 2, 3, 4 ou 5. Le dividende est une des
formes suivantes :
6n ou 6n + 1 ou 6n + 2 ou 6n + 3 ou 6n + 4 ou 6n + 5.
Or, les nombres de la forme 6n sont les multiples de 6, les
nombres de la forme 6n + 2 ou 6n + 4 sont divisibles par 2,
b. On obtient que 60 a 12 diviseurs.
ceux de la forme 6n + 3 divisibles par 3. Les nombres pre-
miers sont donc parmi ceux de la forme 6n + 1 ou 6n + 5.
b. 35 = 6 × 5 + 5 est de la forme 6n + 5.
35 est divisible par 5, ce n’est donc pas un nombre premier.
84 Les spectateurs d’un festival de musique sont entre
c. On obtient que 8 329 a 2 diviseurs. 500 et 1 000.
8 329 est donc un nombre premier. a. Notons N le nombre de spectateurs. Le problème se tra-
duit par :
N compris entre 500 et 1 000.
N = 24q + 9
N = 20q1+ 9
N = 18q2+ 9
Donc N – 9 est divisible par 24, 20 et 18 et se situe entre
d. On obtient que 147 a 6 diviseurs. 500 et 1 000.
Les multiples de 24, 20 et 18 sont multiples de :
23 × 32 × 5 = 360.
N – 9 = 720 est la seule solution entre 500 et 1 000.
Les spectateurs étaient 729.
b. 5729 = 27
Les spectateurs pourront se ranger en forme de carré avec
82 3 min 18 s = 3 × 60 s + 18 s = 198 s
27 lignes et 27 colonnes.
3 min 45 s = 3 × 60 s + 45 s = 225 s
Décomposons 198 et 225 en produit de facteurs premiers : 85 On commence par regarder les premières sonneries
198;2 = 99 des deux montres.
99;3 = 33 Montre 1 Montre 2
33;3 = 11 et 11 est un nombre premier. 8h 8h
Donc 198 = 2 × 32 × 11. 8 h 01 8 h + 64 s = 8 h 01 + 4 s
225 = 15 × 15 8 h 02 8 h 02 + 8 s
225 = 3 × 5 × 3 × 5 Pour la montre 2, il y a un décalage de 4 s multiplié par le
225 = 32 × 52 nombre de sonneries de la montre 1.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  47 


À 8 h 10 par exemple, le décalage sera de 10 × 4 s soit 40 s. Il suffit de chercher un événement composé de 4 issues
Le plus petit multiple commun de 60 et 64 est 960 soit possibles.
16 min.
92 On note n le nombre d’enfants.
Toutes les 16 min, les deux montres sonnent en même
397 = n × x + 37
temps.
598 = n × y + 13
Elles sonneront donc à 8 h 16, 8 h 32, 8 h 48, 9 h 04 en
Le nombre n est donc un diviseur de : 397 – 37 = 360, et
même temps.
de : 598 – 13 = 585.
Un décalage de 20 s correspond alors à 5 sonneries après
360 = 23 × 32 × 5
9 h 04. La montre 1 indique alors 9 h 09.
585 = 32 × 5 × 13
Un diviseur commun, le plus grand possible, est 32 × 4 = 45.
Dossier Brevet 45 enfants, au maximum, étaient présents.
93 a. La roue A tourne dans le sens des aiguilles d’une
86 1. c. ; 2. b. ; 3. b ; 4. b. ; 5. a.
montre ainsi que la roue C. La roue B est intermédiaire et
87 1. Vrai car 2 et 5 sont les deux diviseurs premiers en tourne dans le sens inverse.
commun. D’ailleurs 70 = 2 × 5 × 7. b. Les décompositions en produit de facteurs premiers du
nombre de dents de chaque roue sont :
2. Faux car 53 ne divise pas b.
– pour A : 24 = 23 × 3 ;
3. Vrai car il n’y a pas de diviseur commun au numérateur – pour B : 16 = 24 ;
et au dénominateur. – pour C : 36 = 22 × 32.
4. On écrit que m = 2 × 5 × 11 × n. On cherche le plus petit multiple commun à partir de ces
L’affirmation est vraie. décompositions.
88 a. On obtient les décompositions en produit de fac- On obtient 24 × 32 = 9 × 16 = 144. Ce qui correspond à
teurs premiers suivantes : 6 tours complets pour la roue A, 9 pour la roue B et 4 pour
69 = 3 × 23 la roue C.
1 150 = 115 × 10 = 5 × 23 × 2 × 5 = 2 × 52 × 23 94 a. Les décompositions en produit de facteurs pre-
4 140 = 414 × 10 = 46 × 9 × 2 × 5 = 22 × 32 × 5 × 23 miers de 154 et 105 sont :
b. Il faut chercher un diviseur commun à ces trois nombres. 154 = 2 × 7 × 11 et 105 = 3 × 7 × 5.
On remarque que seul 23 est possible. Les marins sont On remarque alors que 7 est un diviseur commun à 154
donc 23. Chaque marin reçoit alors 3 diamants, 50 perles et 105.
et 180 pièces d’or. b. On vérifie que 126 est divisible par 7 le seul diviseur
89 1. 588 = 22 × 3 × 72 commun à 154 et 105 avec 126;7 = 18. Il faudrait donc
7 bassins.
Les diviseurs premiers sont 2, 3 et 7.
c. À partir des décompositions, dans chaque bassin, il y
2. a. 27 = 33 et 1 000 000 = 106 = (2 × 5)6 = 26 × 56.
aurait 22 poissons de l’espèce A, 15 de l’espèce B et 18 de
Ainsi, 27 000 000 = 26 × 33 × 56.
l’espèce C.
b. Les diviseurs premiers sont 2, 3 et 5.
95 1. A = 22 × 3 × 53 × 7
3. On calcule 3 × 5 × 7 qui vaut 105. On ne peut pas utiliser
A2 = 24 × 32 × 56 × 72
le facteur 2 puisque l’on cherche un nombre impair.
2. a. B = 24 × 36 × 54
90 a. La fraction quote-part est 85  . B = 22 × 33 × 52 × 22 × 33 × 52
1 250
On remarque que 85 et 1 250 sont divisibles par 5. B est donc le carré de 22 × 33 × 52.
85 5 × 17 17 b. 3 136 = 26 × 72
= =
1 250 5 × 250 250 3 136 = 23 × 7 × 23 × 7
17 3 136 est le carré du nombre 23 × 7 = 56. C’est un carré par-
b. On calcule × 1 180 = 80,24.
250 fait.
Tom devra payer 80,24 €.
c. C ne peut pas être un carré parfait. En effet, s’il était un
91 1. On peut obtenir les tirages pairs : 12, 16, 22, 26, 32, carré parfait, chaque exposant serait un nombre pair. Si on
36 soit six nombres pairs. Les tirages impairs sont : 13, 15, prend 23, il n’existe pas de puissance de 2 qui donnerait au
23, 25, 33 et 35 soit également six nombres impairs. Le carré 23.
nombre de chances d’avoir un nombre pair ou un nombre
96 1 a. On peut utiliser 260 = 26 × 10.
impair est le même.
On obtient : 260 = 22 × 5 × 13.
2. a. Les deux nombres premiers possibles sont 13 et 23. On peut utiliser 90 = 9 × 10.
b. On peut former 12 nombres différents. On obtient : 90 = 2 × 32 × 5.
2 1
La probabilité d’avoir un nombre premier est =  . b. D’après les deux décompositions en produit en facteurs
12 6
premiers, 2 × 5 = 10 est le plus grand diviseur commun à
3. On peut proposer comme événement «  Obtenir un 260 et 90.
4 1
nombre inférieur à 17 » qui a une probabilité de soit  . La longueur du côté d’un carré est 10 cm.
12 3
 48
c. 260;10 = 26 et 90;10 = 9. Calcul de l’aire de la salle de recherche : on peut décompo-
26 × 9 = 234 ser la salle de recherche en deux polygones : un rectangle
Elle obtiendra 234 carrés de côté 10 cm. et un triangle rectangle.
4 m × 8 m
2. 117 × 75 = 8 775 3,5 m × 8 m + = 44 m2
2
117 × 80 = 9 360 L’aire de la salle de recherche est 44 m2.
8 775 + 9 360 = 18 135 L’objectif de la documentaliste est réalisé.
2. a. On décompose en produit de facteurs premiers les
nombres 550 et 800.
On peut utiliser 550 = 55 × 10 et 800 = 8 × 100.
On obtient :
550 = 2 × 52 × 11
800 = 25 × 52
b. On cherche le plus grand diviseur commun à 550 et 800.
Le montant du devis est 18 135 F. D’après les deux décompositions en produits en facteurs
premiers, ce diviseur est 2 × 52. Donc c = 50.
Dans la cellule D2, on saisit =B2*C2  .
800;50 = 40
97 1. a. 8 m = 800 cm 550;50 = 11
9 m – 3,5 m = 5,5 m 40 × 11 = 440
440 dalles sont nécessaires pour recouvrir le sol de la salle
5,5 m = 550 cm
de travail.
Les dimensions de la salle de travail, en cm, sont 800 cm
et 550 cm. c. Une dalle de côté 50 cm a une aire de 0,25 m2.
Une dalle coûte alors 5,975 €.
b. Calcul de l’aire de la salle de travail : 8 m × 5,5 m = 44 m2 440 × 5,975 = 2 629
L’aire de la salle de travail est 44 m2. La dépense sera de 2 629 €.

Chapitre 3 – Rendre irréductible une fraction  49 


Projets Scratch

Au bout de 23 jours de sécheresse, le volume d’eau de la


PROJET 1 citerne du voisin de Victor sera inférieur à 1 000 L.

Automatiser des calculs


PROJET 2
1 1. Le volume d’eau contenue dans la citerne après :
a. 1 journée de sécheresse est : 1 500 L × 0,95 = 1 425 L. Déterminer un multiple commun
b. 2 jours de sécheresse est : 1 500 L × 0,952 ≈ 1 354 L.
1 a.
c. 5 jours de sécheresse est : 1 500 L × 0,955 ≈ 1 161 L.
k 1 2 3 4 5
2. Si un jour donné, le volume de la citerne est V L, après M 14 28 42 56 70
une journée de sécheresse, il est égal à V – 0,05 V L, c’est- M modulo B 4 8 2 6 0
à-dire 0,95 V L.
b. À la fin du déroulement du programme, le lutin énonce
2 a. 70 pour valeur de M.
70 = 7 × 10 et 70 = 5 × 14, 70 est un multiple de 10 et de 14.
c.
• M est un nombre de la forme kA (k [ N*), il s’agit donc
d’un multiple non nul de A.
• M modulo B = 0 donc M est un multiple de B.
• M est le premier nombre de la forme kA (k [ N*) qui soit
multiple de B, c’est donc le plus petit multiple non nul
commun à A et B.
d. On saisit le script.
e. On teste son fonctionnement avec différentes valeurs
de A et B.

Le script détermine le volume (en litre) de la citerne de Vic- 2 a. On donne la valeur 135 à la variable A et la valeur
tor après n jours de sécheresse. 155 à la variable B.
Le lutin énonce 4 185 pour valeur de M, ainsi les deux
b. On saisit le script complété.
phares seront à nouveau synchronisés pour la première
c. Le volume d’eau de la citerne après 10 et 15 jours de fois au bout de 4 185 secondes, c’est-à-dire :
sécheresse est : • 898 L    • 695 L. 1 heure 9 minutes et 45 secondes.
3 1. a. Ce script détermine le nombre de jours de séche- b. La journée compte 24 × 60 × 60 = 86 400 secondes, or
resse au bout duquel le volume d’eau de la citerne devient 86 400
≈ 20,6.
inférieur à 500 L. 4 185
b. On saisit et on exécute ce script. Donc les deux signaux seront émis 20 fois simultanément
dans la journée (sans compter les signaux émis à minuit).
c. Le lutin énonce le nombre 22.
Au bout de 22 jours de sécheresse, le volume d’eau de la 3 On note N le nombre de jetons possédés par Zoë.
citerne devient inférieur à 500 L. D’après l’énoncé, N – 5 est un multiple de 14 et de 20.
2. Le plus petit multiple non nul commun à 14 et 20 est 140.
Les multiples non nuls de ces deux nombres sont : 140 ;
280 ; 420 ; 560…
Zoë possède entre 400 et 500 jetons donc :
N – 5 = 420 et N = 425.
Zoë possède 425 jetons.

 50
4 Déterminer
des indicateurs de 
position, de dispersion

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 4 –  introduire un nouveau type de représentation : l’histo-


gramme.
●  Les élèves ont été initiés à la lecture et à l’interprétation
de données statistiques sous différentes formes (tableaux,
graphiques…) depuis plusieurs années déjà. Ils ont
3 Cours - J’applique le cours
appris à présenter des données sous forme de tableaux, Cours
de diagrammes ou de graphiques, à la main ou à l’aide ● Le paragraphe 1 rappelle comment calculer la moyenne
d’un tableur-grapheur, lors de la résolution de problèmes pondérée et comment déterminer la médiane d’une série
issus de la vie courante ou tirés d’autres enseignements. statistique.
● Depuis le début du cycle 4 :
● Le paragraphe 2 présente le premier indicateur de dis-
– les élèves ont été entraînés à acquérir les premiers persion, l’étendue.
outils statistiques, calculer des effectifs, des fréquences,
● Le paragraphe 3 est consacré au regroupement en
lire et interpréter des informations à partir d’un tableau,
classes de même amplitude d’une série statistique et à la
d’un graphique ou d’un diagramme ;
– ils ont été aussi initiés à calculer et interpréter des indica- représentation d’une telle série à l’aide d’un histogramme.
teurs de position (moyenne, médiane). On peut insister sur le fait que les bornes des classes sont
Ainsi, en 5e, une première caractéristique de position, la représentées sur l’axe horizontal et les effectifs sur l’axe
moyenne d’une série statistique, a été mise en place avec vertical, que l’unité choisie n’est pas nécessairement la
le procédé de calcul associé (somme des n données divi- même sur chaque axe. On rappelle le vocabulaire (inclus/
sée par n), tout comme la moyenne d’une série de valeurs, exclu) en lien avec les notations < et ,.
pondérée par les effectifs (somme des produits de chaque J’applique le cours
valeur par son effectif divisée par l’effectif total de la série).
Exercice résolu 1
La notion de médiane d’une série statistique, autre
caractéristique de position, a été introduite en 4e : nombre L’exercice 1 est consacré au calcul de l’étendue d’une série
qui partage la liste des valeurs d’une série statistique, ran- statistique selon qu’elle est présentée à l’aide d’un tableau,
gées par ordre croissant, en deux listes de même effectif ; d’un diagramme en barres ou d’un diagramme circulaire.
– ils ont aussi appris à représenter des données statis- Exercice résolu 4
tiques sous forme d’un tableau, d’un diagramme, d’un L’exercice 4 donne des indications pratiques afin de
graphique, selon la situation, à la main ou à l’aide d’un construire l’histogramme d’une série regroupée en classes
tableur-grapheur. de même amplitude.
Ce chapitre peut être traité à n’importe quel moment de
l’année, y compris dès le début, les thèmes abordés se
situant dans des domaines suffisamment familiers aux
4 Compléments
élèves pour que le contenu ne fasse pas obstacle. Indicateurs de position
Les exercices 7 à 22 permettent aux élèves de s’entraîner
2 Je découvre au calcul d’une moyenne pondérée ou à la détermination
d’une médiane. Les données sont présentées sous forme
Activité 1 de texte, d’un tableau ou d’un diagramme à bâtons ou cir-
L’objectif est ici de comparer deux séries statistiques. C’est culaire.
l’occasion de revoir, en situation, la détermination d’une Les exercices 7 et 14 permettent de revenir sur l’interpré-
moyenne pondérée et d’une médiane. Cette activité per- tation d’une moyenne, les exercices 17, 18, 21 reviennent
met également d’introduire un indicateur de dispersion : sur l’interprétation d’une médiane.
l’étendue d’une série.
Étendue
Activité 2 Les exercices 23 à 33 permettent aux élèves de s’entraîner
L’objectif de cette activité est double : au calcul et à l’interprétation de l’étendue d’une série sta-
– mettre en place le regroupement de données en classes tistique. Selon les cas, la série est présentée à l’aide d’un
de même amplitude ; tableau ou d’un diagramme à bâtons ou circulaire.

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  51 


Regroupement en classes et histogramme Un objectif est fixé et les questions sont plus nombreuses
L’exercice 34 teste la compréhension du vocabulaire relatif mais détaillées afin d’atteindre cet objectif.
aux séries présentées en classes. Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
Les exercices 35 et 36 testent la compréhension des his- L’objectif de l’exercice 52 est de réaliser un script Scratch
togrammes. afin de calculer l’étendue d’une liste de données saisie ini-
Les exercices 37 et 38 présentent des listes de données, les tialement.
élèves doivent les dépouiller et les présenter regroupées Le début du script est donné, il s’agit de le compléter à
en classes de même amplitude donnée. l’aide de blocs donnés.
Les exercices 39 et 40 sont consacrés à la construction L’exercice 53 est l’occasion d’utiliser les formules du tableur
d’histogrammes. pour déterminer la moyenne et la médiane d’une liste de
Exercices de synthèse données saisie dans une plage.
Les exercices 41 à 46 abordent des situations plus com- Cet exercice introduit les fonctions MAX et MIN du tableur,
plètes, cela ne signifie pas plus difficiles. utiles au calcul de l’étendue.

CORRIGÉS

Bien démarrer De la 10e à la 13e valeur, ce sont des valeurs 4,9 donc la 12e
et la 13e valeurs sont des valeurs 4,9 ainsi que leur demi-
1. b et c ; 2. b ; 3. b ; 4. a et b. somme. La médiane de la série est donc 4,9 cm.
On remarque que le diamètre médian des disques est le
même, 4,9 cm, pour les deux fournées.
Je découvre
Activité 1 2 a. • 5,5 cm – 4,4 cm = 1,1 cm
L’étendue de la série Fournée 1 est 1,1 cm.
1 a. Fournée 1 • 5,3 cm – 4,7 cm = 0,6 cm
Diamètre (en cm) 4,4 4,5 4,6 4,7 4,8 4,9 L’étendue de la série Fournée 2 est 0,6 cm.
Effectif 1 1 1 2 4 4
b. L’étendue de Fournée 2 est inférieure à celle de Four-
Diamètre (en cm) 5 5,1 5,2 5,3 5,4 5,5 née  1. Donc Fournée 2 semble avoir été réalisée avec la
Effectif 1 3 2 1 2 3 machine, car elle est plus régulière, moins hétérogène,
Fournée 2 moins dispersée.
Diamètre (en cm) 4,7 4,8 4,9 5 5,1 5,2 5,3
Activité 2
Effectif 1 3 9 3 2 2 4
1 Voici le tableau complété.
b. Diamètre moyen
Fournée 1 Nombre n de moutons 0 1 2 3 4 5 6
L’effectif total de la fournée 1 est 25. Nombre de communes 0 0 3 0 1 2 1
4,4 × 1 + 4,5 × 1 + … + 5,4 × 2 + 5,5 × 3
m= Nombre n de moutons 7 8 9 10 11 12
25
125 cm Nombre de communes 1 1 0 1 1 1
m= = 5 cm
25
Fournée 2 2 a. Voici le tableau avec les données regroupées en
L’effectif total de la fournée 2 est 24. classe d’amplitude 5.
4,7 × 1 + 4,8 × 3 + … + 5,2 × 2 + 5,3 × 4 Nombre n de moutons
m’ = 0¯n,5 5 ¯ n , 10 10 ¯ n , 15
24
120 cm Nombre de communes 4 5 3
m’ = = 5 cm
24
On remarque que le diamètre moyen des disques est le b. Un inconvénient de ce tableau par rapport à celui de la
même, 5 cm, pour les deux fournées. question 1 est le fait que l’on perde des informations (on
ne sait pas exactement le nombre de communes qui ont
Diamètre médian 2 moutons, 4 moutons).
Fournée 1
L’effectif total de la fournée 1 est impair (25) donc le dia- c. 5 + 3 = 8 donc 8 communes ont au moins 5 moutons.
mètre médian est la 13e valeur de la série. 3 Voici l’histogramme Nombre de communes
On cumule les effectifs : • 1 + 3 = 4   • 4 + 9 = 13. associé. 6
De la 5e à la 13e valeur, ce sont des valeurs 4,9 donc la 5
médiane de la série est 4,9 cm. 4
3
Fournée 2
2
L’effectif total de la fournée 2 est pair (24) donc le diamètre
1
médian est la demi-somme des 12e et 13e valeurs de la série.
0
On cumule les effectifs : • 1 + 1 = 2   • 2 + 1 = 3 0 5 10 15
• 3 + 2 = 5 • 5 + 4 = 9 • 9 + 4 = 13 Nombre de moutons

 52
J’applique le cours 11 3 + 4 + 5 + 7 + 8 + 6 + 2 = 35 = 5
7 7
Juan a parcouru en moyenne 5 km par jour.
2 100 mL – 15 mL = 85 mL
12 24,99 × 3 + 31,49 × 2 = 137,95 = 27,59
L’étendue de la série est 85 mL. 3+2 7
Le prix moyen d’un vêtement est 27,59 €.
3 Le plus grand nombre de buts marqués est 4, le plus
petit nombre de buts marqués est 1. 13 0 × 9 + 1 × 12 + 2 × 18 + … + 6 × 6 + 7 × 4 = 300 = 3
4 buts – 1 but = 3 buts 9 + 12 + 18 + 26 + 15 + 10 + 6 + 4 100
L’étendue de la série est 3 buts. Le nombre moyen de fautes est 3.

5 Horizontalement, on Effectif 14 a. 16 × 3 + 18 × 2 + … + 46 × 1 + 50 × 1 = 650 = 26


3+2+7+6+5+1+1 25
indique les précipitations Dans cette entreprise, le salaire annuel moyen est 26 000 €.
10
(ici on choisit 2  carreaux
b. La masse salariale totale aurait été la même dans cette
pour 3 mm). Verticalement, 8
entreprise si chaque salarié avait perçu 26 000 € par an.
on indique les effectifs (ici
on choisit un carreau pour 6 15 On présente les données dans un tableau.
un relevé). Nombre d’animaux 0 1 2 3 4
Voici l’histogramme. 4 Fréquence (en %) 10 30 25 20 15

0 × 0,1 + 1 × 0,3 + 2 × 0,25 + 3 × 0,2 + 4 × 0,15 2


2 = =2
0,1 + 0,3 + 0,25 + 0,2 + 0,15 1
La moyenne de cette série est 2.
0 Dans ce quartier, il y a en moyenne 2 animaux par famille.
0 3 6 9 12
Précipitation (en mm) 16 On range les prix des morceaux de fromage par ordre
6 Voici l’histogramme. croissant.
Effectif
3,40 3,45 3,73 3,95 4,35 4,85 5,09
8 L’effectif total de la série est impair (7).
7 = 2 × 3 + 1 donc la médiane de la série est la 4e valeur.
6 Ainsi, la médiane de la série est 3,95.
Le prix médian d’un morceau de fromage est 3,95 €.
4
17 L’effectif total est pair (30).
2 30 = 2 × 15 + 1 donc la médiane est la demi-somme des
15e et 16e valeurs de la série.
0 On cumule les effectifs : • 5 + 6 = 11   • 11 + 7 = 18
0 200 400 600 Ainsi, de la 12e à la 18e valeur de la série, les valeurs sont
Nombre de visiteurs
des 1999. Les 15e et 16e valeurs de la série sont donc des
valeurs 1999, leur demi-somme est aussi 1999.
La médiane de la série est donc 1999.
Je m’entraîne • Interprétation : au moins la moitié des coureurs sont nés
en 1995 ou en 1997 ou en 1999.
Au moins la moitié des coureurs sont nés entre 1999 et
Déterminer des indicateurs de position 2003 (ces deux années étant incluses).

7 Lili confond la moyenne avec la médiane. 18 a. 5 + 11 + 10 + 8 + 5 + 6 + 4 = 49


L’effectif total est donc impair (49).
8 C’est faux. En effet, si l’effectif total de la série est pair, il 49 = 2 × 24 + 1 donc la médiane est la 25e valeur de la série.
est possible que la médiane ne soit pas une valeur de la série. On cumule les effectifs : • 5 + 11 = 16   • 16 + 10 = 26
Exemple : la médiane de la série 10 ; 12 ; 14 ; 15 est la demi- Ainsi, de la 17e à la 26e valeur de la série, les valeurs sont
somme de 12 et de 14, c’est-à-dire 13 (
12 + 14 26
2
=
2
= 13 . ) des valeurs 20. La 25e valeur est donc 20.
La médiane de la série est donc 20 km/h.
Or, 13 n’est pas une valeur de la série.
b. Au moins la moitié des vitesses des trottinettes mesu-
9 5 × 2 + 6 × 5 + 8 × 2 + 10 × 1 = 66 = 6,6 rées sont comprises entre 15 km/h et 20 km/h (ces deux
2+5+2+1 10 vitesses étant incluses).
Le prix moyen d’une entrée est 6,60 €. Au moins la moitié des vitesses des trottinettes mesu-
10 Les valeurs de la série sont rangées par ordre crois- rées sont comprises entre 20 km/h et 30 km/h (ces deux
sant et l’effectif total est pair (8). vitesses étant incluses).
8 = 2 × 4 donc la médiane de la série est la demi-somme Info. Depuis le 26 octobre 2019, l’usage des trottinettes
des 4e et 5e valeurs. Or, ces deux valeurs sont 11, donc leur électriques est inscrit au code de la route, leur vitesse
demi-somme est aussi 11. maximale autorisée est 25 km/h, le conducteur doit avoir
La médiane de la série est donc 11. au moins 12 ans.

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  53 


19 On peut réaliser un tableau d’effectifs. 25 La pointure la plus grande est 38, la plus petite est 34.
Jour L Ma Me J V S D 38 – 34 = 4 donc l’étendue de la série est 4.
Effectif 25 20 40 15 35 40 35
26 a. Son meilleur score est 1 835 ; son moins bon est
25 + 20 + 40 + 15 + 35 + 40 + 35 210 1 210.
a. = = 30
7 7 b. 1 835 – 1 210 = 625
En moyenne, 30 pots sont rapportés par jour. Le plus grand écart entre ses scores est 625.
b. On range les effectifs par ordre croissant. Cet écart est l’étendue de la série des scores.
15 20 25 35 35 40 40
L’effectif total est impair (7). Ainsi, la médiane est la 27 a. 35 – 20 = 15
4e valeur de la série, c’est-à-dire 35. L’étendue de la série est 15.
Le nombre médian de pots rapportés par jour est donc 35. b. 25 – 9 = 16
c. Le nombre de pots rapportés par jour est supérieur ou L’étendue de la série est 16.
égal au nombre médian (35) pendant 4 jours sur les 7. 28 Le prix le plus élevé est 7,20 €, le prix le moins élevé
4 est 4,50 €.
≈ 0,57 donc pendant environ 57  % des jours de la
7 7,20 € – 4,50 € = 2,70 €
semaine, le nombre de pots rapportés est supérieur ou
L’étendue des prix est 2,70 €.
égal au nombre médian.
29 Les nombres de cette série sont rangés par ordre
20 15 + 9 + 12 = 36
croissant, donc l’étendue est la différence entre le nombre
Claire a déjà 36 points.
cherché (le plus grand nombre de la série) et 17 (le plus
13 × 4 = 52
petit nombre de la série).
Pour avoir 13 de moyenne avec ses 4 évaluations, Claire
17 + 26 = 43
doit avoir 52 points au total.
Le nombre cherché est 43.
52 – 36 = 16
Il lui faut donc obtenir 16 à la prochaine évaluation. 30 a. 1 × 9 + 2 × 8 + … + 10 × 2 + 11 × 2 = 219
Il y a donc eu 219 retards au total.
21 L’effectif total des candidats est impair (25).
25 = 2 × 12 + 1 donc l’âge médian est la 13e valeur de la b. 11 – 0 = 11 donc l’étendue est 11.
série des âges des candidats. 31 La hauteur la plus grande est 60 cm, la plus petite est
Or, l’on sait que cet âge médian est 35 ans. 35 cm.
Donc, d’après la définition de la médiane d’une série, on 60 cm – 35 cm = 25 cm
peut affirmer qu’au moins 13 candidats ont 35 ans ou L’étendue de la série est 25 cm.
moins de 35 ans.
32 a. 89 ans – 10 ans = 79 ans
22 Si les deux nombres désignés par ◆ et ♥ sont 13,5 et L’étendue de la série est 79 ans.
14,5, alors la série est :
11 14 16 15,5 7 8,5 13,5 14,5 b. 103 + 82 + 40 = 225
• Moyenne de la série L’effectif total des spectateurs est 225.
11 + 14 + 16 + 15,5 + 7 + 8,5 + 13,5 + 14,5 100 82
= = 12,5 ≈ 0,36 donc environ 36 % des spectateurs ont moins
8 8 225
• Médiane de la série de 20 ans.
On range les valeurs de la série par ordre croissant. 33 a. La taille la plus grande est 54 cm et la taille la plus
7 8,5 11 13,5 14 14,5 15,5 16 petite est 45 cm.
L’effectif total est pair (8), donc la médiane est la demi- 54 cm – 45 cm = 9 cm
somme des 4e et 5e valeurs de la série. L’étendue de la série est 9 cm.
13,5 + 14 • Interprétation : dans cette maternité, les bébés les plus
= 13,75 donc la médiane est 13,75.
2 grands mesurent 9 cm de plus que le bébé le plus petit.
13,75 ≠ 13 donc il est impossible que les nombres dési-
gnés par ◆ et ♥ soient 13,5 et 14,5. b. Les tailles de ces bébés correspondent, à une exception
près, à la fourchette 46 cm-54 cm indiquée par les spécia-
listes. On peut penser que le bébé mesurant 45 cm est un
Calculer, interpréter l’étendue d’une série
bébé prématuré.
On peut réaliser un tableau d’effectifs.
23 Issa s’est trompé. Il a fait comme si les valeurs de
Taille (en cm) 45 47 48 49 50 51 52 53 54
la série étaient rangées par ordre croissant, ce qui n’est
Effectif 1 4 3 7 8 4 7 5 2
pas le cas. La plus grande valeur de la série est 30, la plus
petite est 17. • Moyenne des tailles
30 – 17 = 13 donc l’étendue de la série est 13. – de tous les bébés :
24 La série 1 semble être la plus dispersée. 45 × 1 + 47 × 4 + … + 53 × 5 + 54 × 2 2 061
m= =
17 – 9 = 8 donc l’étendue de la série 1 est 8. 1+4+3+7+8+4+7+5+2 41
15 – 11 = 4 donc l’étendue de la série 2 est 4. soit m ≈ 50,3 cm.
8 . 4 donc la série 1 est bien plus dispersée que la série 2. • sans le bébé mesurant 45 cm :

 54
2 061 – 45 2 016 46 noix du lot ont un calibre au moins égal à 30 mm.
m= = = 50,4
41 – 1 40
m = 50,4 cm • On ajoute les effectifs des quatre classes pour lesquelles
Que l’on compte le bébé de 45 cm ou non, la moyenne le calibre est strictement inférieur à 36 mm.
est bien proche de la moyenne de 50 cm indiquée par les 4 + 12 + 7 + 10 = 33 (ou 50 – 17 = 33)
spécialistes. 33 noix du lot ont un calibre strictement inférieur à 36 mm.
39 Voici l’histogramme.
Regrouper en classes. Effectif
Construire, interpréter un histogramme 10

34 a. La série a trois classes. 8


b. 20 – 15 = 25 – 20 = 30 – 25 = 5
6
L’amplitude des classes est 5 m.
c. Voici six exemples de longueurs de la classe 20 ¯ L , 25 : 4
20 m ; 21 m ; 22 m ; 23 m ; 24 m ; 24,99 m
d. 12 bateaux ont une longueur comprise entre 20  m 2
(inclus) et 25 m (exclu).
0
35 a. L’histogramme est formé de six rectangles, donc la 1 400 1 500 1 600 1 700 1 800 1 900
série a six classes. Salaire (en €)
b. 90 – 80 = … = 130 – 120 = 140 – 130 = 10 40 a. 620 + 380 + 250 + 360 + 290 + 200 = 2 100
L’amplitude des classes est 10 min. L’effectif total est de 2 100 ampoules LED.
c. 2 h = 60 min × 2 = 120 min On ajoute les effectifs des quatre classes pour lesquelles
On ajoute les effectifs des deux classes pour lesquelles la la durée de vie est comprise entre 3 ans (inclus) et 7 ans
durée du film est supérieure ou égale à 120 min. (exclu).
2 + 3 = 5 donc cinq films durent au moins 2 h. 380 + 250 + 360 + 290 = 1 280
1 280 ampoules ont une durée de vie comprise entre 3 ans
36 La durée la plus grande est 138 min, la plus courte
(inclus) et 7 ans (exclu).
est 85 min. 1 280 1 280
138 min – 85 min = 53 min La proportion cherchée est  . Or, ≈ 0,61.
2 100 2 100
L’étendue de la série est 53 min. Ainsi, environ 61 % des ampoules LED installées par cette
commune ont une durée de vie comprise entre 3 ans
37 a. • Deux jours ont eu plus de 8 h d’ensoleillement. (inclus) et 7 ans (exclu). Or, 61 % est proche de 60 %, donc
• 1 h = 60 min les études statistiques sont aussi valables pour cette com-
Cinq jours ont eu moins d’1 h d’ensoleillement. mune.
b. Voici le tableau complété. b. Voici l’histogramme.
Durée d (en h) 0¯d,1 1¯d,2 2¯d,3 Effectif
700
Effectif 5 1 1

Durée d (en h) 3¯d,4 4¯d,5 5¯d,6


600
Effectif 3 2 1

Durée d (en h) 6¯d,7 7¯d,8 8¯d,9


500
Effectif 1 0 2

c. • On ajoute les effectifs des six classes pour lesquelles la


400
durée d’ensoleillement est supérieure ou égale à 3 h.
3+2+1+1+2=9
Neuf jours ont eu au moins 3 h d’ensoleillement. 300
• On ajoute les effectifs des deux classes pour lesquelles
la durée d’ensoleillement est strictement inférieure à 2 h. 200
5+1=6
Six jours ont eu moins de 2 h d’ensoleillement.
100
38 a. Voici le tableau complété.
Calibre 28 ¯ c , 30 30 ¯ c , 32 32 ¯ c , 34 34 ¯ c , 36 36 ¯ c , 38
0
Effectif 4 12 7 10 17 2 3 4 5 6 7 8
b. • Il s’agit de l’effectif de la classe 32 ¯ c , 34. Durée de vie (en année)
Sept noix du lot ont un calibre compris entre 32 mm
(inclus) et 34 mm (exclu). Traiter des données statistiques
• On ajoute les effectifs des quatre classes pour lesquelles
le calibre est supérieur ou égal à 30 mm. 41 1. a. En 2019, on produit 39,7 millions de tonnes de
12 + 7 + 10 + 17 = 46 (ou 50 – 4 = 46) blé tendre en France, soit 39 700 000 tonnes.

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  55 


b. 39,7 × 0,25 = 9,925 et 39,7 – 9,925 = 29,775 strictement supérieures. Ainsi, 24 valeurs sont strictement
Une baisse de 25 % de la production de blé tendre en 2019 inférieures à la hauteur médiane.
conduit à une production de 29,775 millions de tonnes. 24 – (10 + 11) = 3
Or, 29,7 millions de tonnes (la production en 2020), est La donnée manquante en cellule B2 est donc 3.
proche de 29,775 millions de tonnes. 3. En colonne B, on indique que trois des jeunes cèdres
L’affirmation est donc vraie. plantés ont une hauteur de 92 cm.
40,9 + 27,6 + 37,8 + 34,1 + 39,7 180,1
2. = = 36,02 44 a. Voici le tableau complété.
5 5
La production moyenne annuelle de blé tendre a été de Âge Effectif
36,02 millions de tonnes pour la période 2015-2019. 20 ¯ a , 30 1
30 ¯ a , 40 10
3. 36,02 × 0,17 = 6,123 4
36,02 – 6,123 4 = 29,896 6 40 ¯ a , 50 16
Une baisse de 17 % de la production moyenne annuelle 50 ¯ a , 60 5
de blé tendre pour la période 2015-2019 conduit à une 60 ¯ a , < 70 1
production de 29,896 6 millions de tonnes. b. Voici l’histogramme.
Or, 29,7 millions de tonnes, la production en 2020, est
Effectif
proche de 29,896 6 millions de tonnes, à 200 milliers près.
On peut considérer que l’affirmation est vraie. 16
Dans la question 1. b., on a vérifié que la première partie
de l’article de presse était exacte. On vient ici de vérifier 14
l’exactitude de la fin de l‘article. On peut donc dire que l’ar-
ticle de presse est exact. 12

42 a. On remarque que, quel que soit l’effectif des ruches 10


des producteurs, les hauteurs des barres qui représentent
la production de miel en 2019 sont inférieures aux hau- 8
teurs des barres qui représentent la production en 2018.
Ainsi, la production totale de miel a baissé entre 2018 et 6
2019.
b. • En 2018 4
6 379 + 2 774 + 8 043 + 10 540 = 27 736
La production totale de miel a été de 27 736 tonnes en 2
2018.
• En 2019 0
20 30 40 50 60 70
5 084 + 2 531 + 6 383 + 7 638 = 21 636 Âge (en an)
La production totale de miel a été de 21  636 tonnes en
2019. 45 1. a. Du 16 au 25 janvier, il y a 10 jours.
c. 27 736 – 21 636 = 6 100 On calcule la concentration moyenne en PM10 par jour à
Entre 2018 et 2019, la production totale de miel a baissé Grenoble.
de 6 100 tonnes. 32 + 39 + 52 + … + 60 + 82 × 2 + 89
m=
6 100 10
≈ 0,22 634
27 736 m= = 63,4
Entre 2018 et 2019, la production totale de miel a baissé 10
d’environ 22 %. À Grenoble, la concentration moyenne par jour en PM10 a
été de 63,4 µg/m3.
43 1. L’étendue de la série des hauteurs des cèdres est • D’après l’énoncé, la concentration moyenne en PM10 à
la différence entre la hauteur la plus grande (115 cm) et la Lyon a été de 72,5 µg/m3.
hauteur la plus petite (donnée manquante en cellule B1). 72,5 . 63,4 donc c’est à Lyon que la concentration
115 cm – 23 cm = 92 cm moyenne en PM10 a été la plus forte.
En cellule B1, la donnée manquante est donc 92.
b. On détermine la concentration médiane en PM10 à Gre-
2. a. La médiane 103 cm est une valeur de la série. noble.
Son effectif est 1.
On range les valeurs de la série par ordre croissant.
On peut en déduire que l’effectif total de la série des hau-
32 39 52 57 60 63 78 82 82 89
teurs des cèdres est un nombre impair.
L’effectif total est pair (10). Donc la médiane de la série de
b. 8 + 5 + 4 + 7 = 24 valeurs est la demi-somme des 5e et 6e valeurs de la série.
24  valeurs de la série sont strictement supérieures à la La 5e valeur est 60, la 6e est 63.
hauteur médiane. 60 + 63
Comme l’effectif total est impair, on peut en déduire qu’il = 61,5 donc la médiane de la série est 61,5.
10
y a autant de valeurs de la série qui sont strictement infé- À Grenoble, la concentration médiane en PM10 a été de
rieures à la hauteur médiane que de valeurs qui lui sont 61,5 µg/m3.

 56
• D’après l’énoncé, la concentration médiane en PM10 à
Lyon a été de 83,5 µg/m3.
Je m’évalue à mi-parcours
83,5 . 61,5 donc c’est à Lyon que la concentration 47 b. 48 a. 49 c. 50 b. 51 c.
médiane en PM10 a été la plus forte.
c. • À Grenoble, la plus grande concentration en PM10 a Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
eu lieu le 25 janvier (89 µg/m3), la plus faible le 16 janvier
(32 µg/m3).
52 1. et 2. Voici le script complété.
89  µg/m3 – 32 µg/m3 = 57 µg/m3
À Grenoble, l’étendue des concentrations est 57 µg/m3.
• 107 µg/m3 – 22 µg/m3 = 85 µg/m3
À Lyon, l’étendue des concentrations est 85 µg/m3.
85 . 57 donc c’est à Lyon que l’étendue des concentra-
tions en PM10 a été la plus grande.
2. Un exemple de réponse :
Pendant l’épisode de pollution aux particules PM10 qui a
touché les villes de Lyon et de Grenoble du 16 au 25 jan-
vier 2017, c’est Lyon qui a eu la plus forte concentration
moyenne quotidienne en PM10, la plus forte concentra-
tion médiane et la plus grande étendue des concentra-
tions en PM10.
46 1. 2 % + 3 % + … + 12 % + 6 % = 100 %
On vérifie ainsi que la somme des fréquences est bien
égale à 100 %.
• Moyenne des longueurs
15 × 2 + 16 × 3 + … + 23 × 12 + 24 × 6 2 057
m= =
100 100
m = 20,57 cm.
La moyenne des longueurs des tortues mesurées est
20,57 cm.
• Médiane des longueurs
L’effectif total est pair (100).
100 = 50 × 2 donc la médiane de la série est la demi-
somme des 50e et 51e valeurs de la série.
On cumule les effectifs :
• 2 + 3 = 5 • 5 + 4 = 9 • 9 + 7 = 16 3. a. Voir le script ci-dessus.
• 16 +11 = 27 • 27 + 16 = 43 • 43 + 22 = 65 b. Le lutin dit : L’étendue est 234.
De la 44e à la 65e valeur, ce sont des valeurs 21, donc les 50e
et 51e valeurs de la série sont 21, leur demi-somme aussi.
Ainsi, la médiane des longueurs des tortues mesurées est
21 cm.
2. a. et b. On réalise la feuille de calcul et on insert un
diagramme en bâtons.

4. Modification des valeurs des données et de leur


nombre, selon le choix de chaque élève, et exécution du
script.
On peut demander une vérification de l’annonce du lutin,
dans chaque cas choisi, comme ci-dessus, à la question
3. b. En effet, 729 – 495 = 234.
53 1. a. En cellule O3, on peut saisir la formule
=MOYENNE(B3:K3) ou =SOMME(B3:K3)/10  .
c. La différence entre moyenne et médiane est à relier à En cellule P3, on peut saisir la formule =MEDIANE(B3:K3)  .
la dissymétrie du diagramme, dont la «  pente  » est plus
On peut aussi saisir la formule =(F3+G3)/2  . En effet, l’ef-
douce à gauche du bâton qui correspond à la longueur
21 cm, qu’à droite. fectif total de la classe B est pair (10) donc la médiane de

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  57 


la série est la demi-somme des 5e et 6e valeurs de la série. d. La moyenne (999,5  Ω) et la médiane (999  Ω) des
• Vérification des résultats mesures de l’échantillon  A sont bien strictement com-
– Moyenne prises entre 998 Ω et 1 002 Ω.
0 + 1 + 2 + 4 + 9 + 17 + 20 + 25 + 28 + 34 140 L’étendue (12 Ω) des mesures de l’échantillon A est infé-
= = 14
10 10 rieure ou égale à 12 Ω. Ainsi les trois conditions sont satis-
Donc la moyenne de la série est 14. faites.
Or, le résultat affiché est bien 14. Donc c’est exact. Donc, en utilisant cet échantillon A, on peut dire que la
– Médiane qualité de la production est satisfaisante.
Elle est la demi-somme des 5e et 6e valeurs de la série.
PARCOURS 2
9 + 17 26
= = 13 donc la médiane est 13. a. 5 + 4 + 7 + 3 + 5 + 4 = 28
2 2
Or, le résultat affiché est bien 13. Donc c’est exact. Dans l’échantillon B, 28 mesures ont été effectuées.
b. En cellule Q3, on lit 34. – Moyenne
Or, 34 – 0 = 0. L’étendue de la série est bien 34. 996 × 4 + 998 × 4 + … + 1 001 × 5 + 1 004 × 4
m=
28
2. On peut saisir : 27 986
m= = 999,5
• en cellule O2, la formule =MOYENNE(B2:N2) ou 28
=SOMME(B2:N2)/13  ; Pour l’échantillon B, la moyenne des mesures est 999,5 Ω.
• en cellule P2, on peut saisir la formule : – Médiane
=MEDIANE(B2:N2)  . Les mesures sont rangées par ordre croissant.
L’effectif total est pair (28). Donc la médiane des mesures
On peut aussi saisir la formule =H2  . En effet, l’effec- est la demi-somme des 14e et 15e valeurs de la série.
tif total de la série est impair (13) donc la médiane est la On cumule les effectifs : • 5 + 4 = 9   • 9 + 7 = 16
7e valeur de la série ; Ainsi, de la 10e à la 16e valeur de la série des mesures, les
• en cellule Q2, on peut saisir la formule : mesures sont des valeurs 999. Les 14e et 15e valeurs sont
=MAX(B2:N2)–MIN(B2:N2)  . donc 999, leur demi-somme aussi.
3. On peut saisir : Donc, pour l’échantillon B, la médiane de la série de
– en cellule O4, la formule =MOYENNE(B2:N3) ou mesures est 999 Ω.
=SOMME(B2:N3)/23  ; – Étendue
La plus grande des valeurs de l’échantillon B est 1 004, la
– en cellule P4, on peut saisir la formule =MEDIANE(B2:N3)  ;
plus petite est 996.
– en cellule Q4, on peut saisir la formule :
1 004 – 996 = 8
=MAX(B2:N3)–MIN(B2:N3)  . L’étendue des mesures de l’échantillon B est 8 Ω.
Voici la copie d’écran de la feuille de calcul. b. La moyenne (999,5  Ω) et la médiane (999  Ω) des
mesures de l’échantillon  B sont bien strictement com-
prises entre 998 Ω et 1 002 Ω.
L’étendue (8  Ω) des mesures de l’échantillon B est infé-
rieure ou égale à 12 Ω.
Ainsi les trois conditions sont satisfaites.
Parcours différenciés Donc, en utilisant cet échantillon B, on peut dire que la
qualité de la production est satisfaisante.
54
PARCOURS 1 PARCOURS 3

a. La plus grande des valeurs de l’échantillon A est 1 007, la Étude de l’échantillon A


plus petite est 995. • Moyenne
1 007 – 995 = 12 Huit mesures ont été effectuées sur l’échantillon A.
L’étendue des mesures de l’échantillon A est 12 Ω. 995 + 998 + … + 1 007 + 1 002 7 996
= = 999,5
b. 995 + 998 + … + 1 007 + 1 002 = 7 996 Ω 8 8
Pour l’échantillon A, la somme des mesures est 7 996 Ω. La moyenne des mesures est 999,5 Ω.
Huit mesures ont été effectuées sur l’échantillon A. • Médiane
7 996 On range les mesures par ordre croissant :
= 999,5 995 996 997 998 1  000 1  001 1  002 1 007
8
Pour l’échantillon A, la moyenne des mesures est 999,5 Ω. L’effectif total est pair (8). Donc la médiane des mesures est
c. On range les mesures par ordre croissant : la demi-somme des 4e et 5e valeurs de la série.
995 996 997 998 1  000 1  001 1  002 1 007 998 + 1 000
= 999
L’effectif total est pair (8). Donc la médiane des mesures est 2
la demi-somme des 4e et 5e valeurs de la série. La médiane de la série de mesures est 999 Ω.
998 + 1 000 • Étendue
= 999 donc, pour l’échantillon A, la médiane 1 007 – 995 = 12
2
de la série de mesures est 999 Ω. L’étendue des mesures est 12 Ω.

 58
Étude de l’échantillon B PARCOURS 2
5 + 4 + 7 + 3 + 5 + 4 = 28
Ainsi, 28 mesures ont été effectuées. Nombre d’habitants
Effectif
(en million d’habitants)
• Moyenne
0¯n,1 6
996 × 4 + 998 × 4 + … + 1 001 × 5 + 1 004 × 4
m= 1¯n,2 0
28
27 986 2¯n,3 2
m= = 999,5
28 3¯n,4 3
La moyenne des mesures est 999,5 Ω. 4¯n,5 0
• Médiane 5¯n,6 4
Les mesures sont rangées par ordre croissant. 6¯n,7 1
L’effectif total est pair (28). Donc la médiane des mesures 7¯n,8 0
est la demi-somme des 14e et 15e valeurs de la série.
8¯n,9 1
On cumule les effectifs : • 5 + 4 = 9   • 9 + 7 = 16
9 ¯ n , 10 0
Ainsi, de la 10e à la 16e valeur de la série des mesures, les
10 ¯ n , 11 0
mesures sont des valeurs 999. Les 14e et 15e valeurs sont
donc 999, leur demi-somme aussi. 11 ¯ n , 12 0
Donc la médiane de la série de mesures est 999 Ω. 12 ¯ n , 13 1
• Étendue
1 004 – 996 = 8 Effectif
L’étendue des mesures de l’échantillon B est 8 Ω. 6
Bilan
Les séries de mesures effectuées sur les échantillons A et 4
B ont la même moyenne (999,5 Ω) et la même médiane
(999 Ω). 2
On vérifie que ces mesures moyenne et médiane sont bien
strictement comprises entre 998 Ω et 1 002 Ω. 0
0 2 4 6 8 10 12 14
L’étendue des mesures pour l’échantillon A (12 Ω) et celle Nombre d’habitants (en million)
des mesures pour l’échantillon B (8 Ω) sont inférieures ou
égales à 12 Ω. PARCOURS 3
Ainsi les trois conditions sont satisfaites pour les deux
500 000 = 0,5 million
échantillons A et B. Donc, en utilisant ces deux échantillons,
on peut dire que la qualité de la production est satisfaisante. Nombre d’habitants
Effectif
(en million d’habitants)
Différences entre les deux échantillons 0 ¯ n , 0,5 5
L’échantillon B comporte davantage de mesures (28) que 1
0,5 ¯ n , 1 
l’échantillon A (8).
1 ¯ n , 1,5 0
Si les mesures effectuées dans ces deux échantillons ont la
1,5 ¯ n , 2 0
même moyenne et la même médiane, on peut cependant
2 ¯ n , 2,5 0
noter que l’échantillon A est plus dispersé que l’échantil-
lon B, puisque l’étendue des mesures de l’échantillon A est 2,5 ¯ n , 3 2
supérieure à l’étendue des mesures de l’échantillon B. 3 ¯ n , 3,5 2
3,5 ¯ n , 4 1
55
4 ¯ n , 4,5 0
PARCOURS 1
4,5 ¯ n , 5 0
a. Voici le tableau complété. 5 ¯ n , 5,5 1
Nombre d’habitants 0 ¯ n , 2 2 ¯ n , 4 4 ¯ n , 6 6 ¯ n , 8 5,5 ¯ n , 6 3
Effectif 6 5 4 1
6 ¯ n , 6,5 1
Nombre d’habitants 8 ¯ n , 10 10 ¯ n , 12 12 ¯ n , 14 6,5 ¯ n , 7 0
Effectif 1 0 1 7 ¯ n , 7,5 0
b. Voici l’histogramme. 7,5 ¯ n , 8 0
Effectif 8 ¯ n , 8,5 1
8,5 ¯ n , 9 0
6
9 ¯ n , 9,5 0
9,5 ¯ n , 10 0
4
10 ¯ n , 10,5 0
2 10,5 ¯ n , 11 0
11 ¯ n , 11,5 0
0 11,5 ¯ n , 12 0
0 2 4 6 8 10 12 14
Nombre d’habitants (en million) 12 ¯ n , 12,5 1

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  59 


Effectif b. • Groupe 1
1,65 + 1,75 + 1,47 + 1,62 + 1,51 + 1,54 + 1,66 11,2
4 = = 1,6
7 7
2 La taille moyenne des personnes du groupe 1 est 1,60 m.
• Groupe 2
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 1,59 + 1,61 + 1,60 + 1,58 + 1,60 + 1,62 9,6
= = 1,6
Nombre d’habitants (en million) 6 6
Pour aller plus loin : Il est possible de comparer les trois La taille moyenne des personnes du groupe 2 est 1,60 m.
histogrammes et d’observer les ressemblances et les dif- c. On remarque que la taille moyenne est la même dans
férences liées au changement de l’amplitude des classes. les deux groupes (question b.). Pourtant les deux groupes
En particulier, on observe que les six régions qui ont le sont différents (voir question a.). La moyenne d’une
moins d’habitants sont affichées quasi de la même façon, série de valeurs est toujours comprise entre les valeurs
quelle que soit l’amplitude des classes. Quant à la région extrêmes de la série, ce qui est bien le cas ici.
qui a le plus grand nombre d’habitants, elle apparaît déta- En effet, 1,47 m , 1,60 m , 1,75 m (Groupe 1)
chée des autres dans les trois histogrammes, même si 1,58 m , 1,60 m , 1,62 m (Groupe 2)
l’écart est plus net sur l’histogramme du Parcours 3. Les réponses sont donc bien cohérentes.
Pour information, voici les noms des différentes régions et 58 1. On calcule la dépense D pour les colonnes com-
leur nombre d’habitants (en million). plètes du tableau.
Auvergne- Bourgogne- Bretagne Centre-Val Corse D = 42,50 € × 20 + 130 € × 30 + 172,50 € × 40 + 61 € × 80
Rhône-Alpes Franche- 3,340 de Marne 0,345 D = 16 530 €
8,032 Comté 2,559
2,783 19 200 € – 16 530 € = 2 670 €
Grand Est Hauts-de- Île-de-France Normandie Nouvelle-
La dépense pour les 30 tricycles de marque C est 2 670 €.
5,512 France 12,278 3,304 Aquitaine 2 670 €;30 = 89 €
5,963 6 La dépense par tricycle de marque C est 89 €.
Occitanie Pays de la Provence- Guadeloupe Guyane 2. a. 20 + 30 × 2 + 40 + 80 = 200
5,925 Loire Alpes-Côte 0,377 0,291
L’effectif total des tricycles est 200.
3,802 d’Azur
5,056 19 200 €;200 = 96 €
La Réunion La Mayotte La dépense moyenne par tricycle est 96 €.
0,860 Martinique 0,280 b. Cette dépense moyenne de 96  € par tricycle ne
0,359 décrit pas correctement les dépenses effectuées car ces
dépenses sont hétérogènes selon la marque des tricycles,
de 42,50 € pour la marque A à 172,50 € pour la marque D.
J’utilise mes compétences En effet, 172,50 € – 42,50 € = 130 €.
Ainsi, l’étendue des dépenses par tricycle est 130 €.
56 a. m = 8 × 14 + 12 × 6 + … + 18 × 8 + 20 × 4 = 670 3. a. On range les montants des dépenses par ordre crois-
14 + 6 + 8 + 10 + 8 + 4 50
m = 13,4. sant. On a ainsi ce tableau d’effectifs.
Le prix moyen d’un de ces snoods est £13,40. Dépense par
42,50 61 89 130 172,50
b. Les prix sont rangés par ordre croissant. tricycle (en €)
L’effectif total est pair (50). Donc la médiane des prix est la Effectif 20 80 30 30 40
demi-somme des 25e et 26e valeurs de la série. L’effectif total des tricycles est pair (200). Donc la médiane
On cumule les effectifs : • 14 + 6 = 20   • 20 + 8 = 28 des dépenses est la demi-somme des 100e et 101e valeurs
Ainsi, de la 21e à la 28e valeur de la série, les prix sont des de la série.
valeurs 14. Les 25e et 26e valeurs sont donc 14, leur demi- On cumule les effectifs : • 20 + 80 = 100  • 100 + 30 = 130
somme aussi. Ainsi, la 100e valeur de la série est 61 € et la 101e valeur
Ainsi, la médiane de la série de prix est £14. est 89 €.
c. Étendue 61 + 89 150
= = 75
20 – 8 = 12 2 2
Ainsi, la dépense médiane par tricycle est 75 €.
L’étendue des prix des snoods est £12.
b. 89 €, 130 € et 172,50 € sont les dépenses supérieures
57 a. On peut observer que les personnes du groupe 1 à la dépense médiane.
ont des tailles dispersées alors que celles du groupe 2 ont 30 + 30 + 40 = 100
toutes à peu près la même taille. 100  tricycles sur les 200 nécessitent pour leur entretien
On calcule l’étendue de chaque série pour vérifier. une dépense supérieure à la dépense médiane.
1,75 m – 1,47 m = 0,28 m = 28 cm 100 1
Or, = donc Ewan se trompe : ce n’est pas plus d’un
1,62 m – 1,58 m = 0,04 m = 4 cm 200 2
L’étendue de la série de tailles du groupe  1 est 28  cm. tricycle sur deux pour lequel la dépense a dépassé la
Pour le groupe 2, l’étendue des tailles est 7 fois plus petite dépense médiane, mais exactement un tricycle sur deux.
(4 cm). 59 a. 100 % – (30 % + 25 % + 15 % + 20 %) = 10 %
La série des tailles du groupe 2 est homogène tandis que Le pain mis à la poubelle représente 10 % de la masse
celle des tailles du groupe 1 est dispersée. totale de gaspillage alimentaire.

 60
On calcule, pour la première année, la masse de produits • On peut observer que, bien que les masses de restes
gaspillés pour les cinq catégories. de repas gaspillés et de fruits et légumes gaspillés aient
Puis on soustrait 2 kg à chaque masse pour obtenir la perdu 2 kg chacune, les secteurs associés ont des angles
masse de denrées gaspillées l’année suivante et on pré- aux mesures plus grandes sur le diagramme 2, les fré-
sente les résultats dans un tableau. quences étant plus grandes.
0,3 × 40 kg = 12 kg 12 kg – 2 kg = 10 kg En effet, pour les restes de repas,
0,25 × 40 kg = 10 kg 10 kg – 2 kg = 8 kg 10 1 3 12 3
= =  et  =  .
0,15 × 40 kg = 6 kg 6 kg – 2 kg = 4 kg 30 3 9 40 10
0,2 × 40 kg = 8 kg 8 kg – 2 kg = 6 kg 3 3 10 12
Or, .  soit  .  .
0,1 × 40 kg = 4 kg 4 kg – 2 kg = 2 kg 9 10 30 40
Répartition l’année suivante : De même, pour les fruits et légumes,
Masse (en kg) Mesure de l’angle (en °) 8 4 10 1 4
Catégorie =  et  = =  .
Restes de repas 10 120 30 15 40 4 16
4 4 8 10
Fruits et légumes 8 96 Or, .  soit  .  .
Boissons 4 48
15 16 30 40
Produits entamés 6 72
• On peut aussi observer que, bien que la masse de pro-
Pain 2 24
duits entamés gaspillés ait été réduite de 2 kg, le secteur
Total 30 360
associé a le même angle sur les deux diagrammes, les fré-
quences étant égales.
Pour réaliser le diagramme circulaire, on complète ce 6 1 8 1
tableau par une ligne « Total » et par une colonne « Mesure En effet, =  et  =  .
30 5 40 5
de l’angle (en °) ». • On peut observer que sur le diagramme 2, les secteurs
360;30 = 12 associés aux boissons et au pain gaspillés ont des angles
• 10 × 12 = 120  • 8 × 12 = 96  • 4 × 12 = 48  • 6 × 12 = 72 aux mesures plus petites, les fréquences étant plus petites.
• 2 × 12 = 24 4 2 8 6 3 9
En effet, pour les boissons, = =  et  = =  .
Voici le diagramme circulaire. 30 15 60 40 20 60
9 8 6 4
Or, ,  soit  ,  .
Restes de repas 60 60 40 30 4 1 3
De même, pour le pain gaspillé, = =  .
Fruits et légumes 40 10 30
Boissons 2 3 2 4
Or, ,  soit  ,  .
Produits entamés 30 30 30 40
Pain
60 a. et b. Voici le script complété.
10 8 4
• ≈ 0,33 • ≈ 0,27 • ≈ 0,13
30 30 30
6 1 2
• = = 0,2 • ≈ 0,07
30 5 30
Voici un tableau des valeurs approchées à l’unité près des
fréquences en pourcentage par catégorie.
Catégorie Fréquence (en %)
Restes de repas 33
Fruits et légumes 27
Boissons 13
Produits entamés 20
Pain 7

b. Voici les deux diagrammes circulaires.


• Première année (diagramme 1)
10 %
Restes de repas
30 % 20 % Fruits et légumes
Boissons
15 % Produits entamés
25 % Pain

• Année suivante (diagramme 2)


7%
Restes de repas
33 % 20 % Fruits et légumes
Boissons
13 % Produits entamés
27 % Pain

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  61 


61 a. Les valeurs de la série sont rangées par ordre crois- Ainsi, la série est : … … 9 … ….
sant. L’effectif est pair (8) donc la médiane est la demi- …+…+9+…+…
• La moyenne est 8 donc = 8.
somme des 4e et 5e valeurs de la série. 5
16 + 18 Ainsi, … + … + 9 + … + … = 8 × 5.
= 17 donc la médiane de la série est 17.
2 40 – 9 = 31 donc la somme des quatre nombres man-
11 + 12 + 16 × 2 + 18 + 19 × 2 + 45 156 quants doit être égale à 31.
m= = = 19,5
8 8 • L’étendue de la série est 8, donc la différence entre la plus
La moyenne de la série est 19,5. grande et la plus petite valeur de la série est 8.
17 , 19,5 donc la médiane de la série est inférieure à la On peut en déduire que le plus petit nombre de la série
moyenne. ne peut pas être 0, car dans ce cas, le plus grand serait 8,
b. On observe que la série de valeurs comporte une valeur nombre strictement inférieur à 9, la valeur médiane.
exceptionnelle, 45, très éloignée des autres valeurs. Cette On fait des essais organisés, en commençant par choisir 1
valeur 45 déséquilibre la série et est à l’origine de la diffé- comme nombre le plus petit de la série, le plus grand des
rence notable entre moyenne et médiane de la série. nombres étant alors 1 + 8 soit 9. Dans ce cas, le 4e nombre
On peut noter que si on supprime cette valeur 45 de la serait aussi 9. Toutefois cette situation 1 … 9 9 9 est impos-
série, l’effectif total devient impair (7) donc la médiane est sible car la moyenne est alors strictement inférieure à 8.
alors la 4e valeur de la série, c’est-à-dire 16. La moyenne On choisit ensuite 2 comme plus petit nombre de la série,
156 – 45 le plus grand est alors 2 + 8 soit 10. On obtient la série
devient dont une valeur approchée au dixième
7 2 … 9 … 10. La moyenne de la série est 8 si la somme des
près est 15,9. La médiane (16) et la moyenne (environ 15,9)
deux nombres manquants est égale à 19, avec l’un des
sont alors proches.
nombres compris entre 2 et 9 (2 et 9 inclus) et l’autre com-
62 a. Réponse : Non. pris entre 9 et 10 (9 et 10 inclus).
En effet, la moyenne d’une série de valeurs n’est pas forcé- On obtient ainsi la solution : 2 9 9 10 10.
ment égale à l’une des valeurs de la série. On poursuit la recherche en choisissant 3, puis 4, comme
b. Réponse : Oui. plus petit nombre de la série.
Par exemple, si l’appartement a été occupé neuf années 5 ne peut pas être le plus petit nombre de la série, car dans
pendant 350 jours par an et est resté inoccupé pendant ce cas, la série serait 5 … 9 … 13, avec la somme des
une année, alors l’occupation moyenne sur les dix années deux nombres manquants égale à 13, ce qui est impos-
est de 315 jours. sible, la plus petite somme possible étant 5 + 9 soit 14.
350 × 9 + 0 × 1 3 150 • Voici les sept solutions :
En effet, = = 315
10 10 2 9 9 10 10 3 6 9 11 11
63 100 – 70 = 30 3 7 9 10 11 3 8 9 9 11
30 candidats ont échoué à ce test. 4 4 9 11 12 4 5 9 10 12
6,5 × 100 = 650 4 6 9 9 12
Les 100 candidats ont obtenu 650 points au total. 66 On range les six distances connues, en km, par ordre
8 × 70 = 560 croissant. On obtient la série (S).
Les 70 candidats qui ont réussi le test ont obtenu 560 points. 4,8 5 6,5 7,5 10 11,7
650 – 560 = 90
L’effectif de la série est impair (7) donc la médiane est la 4e
Les 30 candidats qui ont échoué ont obtenu 90 points.
valeur de la série.
90;30 = 3
La moyenne des candidats qui ont échoué est 3. a. 7,5 est une valeur de la série (S) et elle doit être la 4e
valeur. Il manque donc une valeur dans le groupe des
64 a. En France, en 2016, au moins la moitié des salariés valeurs supérieures ou égales à 7,5.
en entreprise avaient un salaire mensuel net d’au moins La distance parcourue par Yann le dimanche est donc
1 789 €. supérieure ou égale à 7,5 km.
Autre réponse : En France, en 2016, au moins la moitié des
salariés en entreprise avaient un salaire mensuel net d’au b. 7 n’est pas une valeur de la série (S) et elle doit être la
plus 1 789 €. 4e valeur de la série des sept valeurs. Il s’agit donc de la
distance manquante.
b. 2 238 . 1 789 donc, en France, en 2016, le salaire men-
suel net moyen est supérieur au salaire mensuel net 4,8 5 6,5 7 7,5 10 11,7

médian.
médiane
Cette différence peut s’expliquer par la présence dans
chaque entreprise de cadres salariés et de directeur(s) de Le dimanche, Yann parcourt une distance de 7 km.
l’entreprise, dont le salaire peut être très nettement supé- c. 6,5 est une valeur de la série (S) et c’est la 3e  valeur.
rieur au salaire des employés. Or, elle doit être la 4e valeur de la série de sept valeurs. Il
65 • Recherche manque donc une valeur dans le groupe des valeurs infé-
L’effectif de la série est impair (5) donc la médiane 9 est rieures ou égales à 6,5.
la 3e valeur de la série lorsque celles-ci sont rangées par La distance parcourue par Yann le dimanche est donc infé-
ordre croissant. rieure ou égale à 6,5 km.

 62
30 × 1 + 31 × 2 + … + 47 × 1 + 48 × 1 965
d. 5 est une valeur de la série (S) et c’est la 2e valeur. Or, c. = = 38,6
25 25
elle devrait être la 4e valeur lorsqu’on ajoute la 7e distance.
La masse moyenne des tas de gros sel est 38,6 kg.
C’est impossible.
71 2 + 5 + 4 + 3 + 1 × 4 = 18
67 On peut penser à choisir la moyenne des limites de
L’histogramme comporte 18 blocs de 20 employés.
chaque classe c’est-à-dire la valeur centrale de la classe.
20 × 18 = 360
10 + 15 15 + 20
• = 12,5 • = 17,5 Il y a 360 employés dans l’entreprise.
2 2
3 + 1 × 4 = 7 et 20 × 7 = 140
20 + 25 25 + 30
• = 22,5 • = 27,5 Parmi les 360 employés, 140 ont un salaire au moins égal
2 2
On réalise alors un tableau d’effectifs : à 1 700 €.
140
Valeur centrale de la classe 12,5 17,5 22,5 27,5 Or, ≈ 0,389. Ainsi, environ 38,9 % des employés ont un
360
Effectif 5 10 15 10
salaire au moins égal à 1 700 €.
12,5 × 5 + 17,5 × 10 + 22,5 × 15 + 27,5 × 10 850 38,9 % , 40 % donc l’affirmation est fausse.
= = 21,25
5 + 10 + 15 + 10 40 140 7
21,25 min = 21 min + 0,25 min = 21 min + 15 s Remarque. =  .
360 18
Le temps de trajet moyen est donc de 21 min 15 s.
72 1. On lit que le gaspillage de nourriture est environ
68 On peut commencer par étudier la situation lors de 400 kg pour un habitant du pays A et environ 40 kg pour
la semaine de Noël. Voici le tableau d’effectifs pour cette un habitant du pays F.
semaine. 40 kg × 10 = 400 kg
Durée de travail (en h) 13 21 23 … 35 On peut donc affirmer qu’en 2019, le gaspillage de nour-
Effectif 2 1 3 1 3 riture d’un habitant du pays F représente environ un
2 + 1 + 3 + 1 + 3 = 10 dixième de celui d’un habitant du pays A.
L’effectif total des salariés de l’entreprise est 10. 2. a. On lit sur la feuille de calcul, en cellule D2, que la
Pour les colonnes complètes de ce tableau, on a : quantité totale de nourriture gaspillée par les habitants
13 h × 2 + 21 h × 1 + 23 h × 3 + 35 h × 3 = 221 h du pays X est 24 734 000 tonnes.
25 h × 10 = 250 h En effet, 289 kg × 83 × 106 = 24 734 × 106 kg
La semaine de Noël, l’ensemble des salariés a fourni une 24 734 × 106 kg = 24 734 × 103 t
durée totale de travail égale à 250 h. Or, 221 de ces heures b. Il s’agit de la formule (3).
ont été fournies par 9 salariés.
250 h – 221 h = 29 h 73 a. 2 + 5 + 6 + 7 + 7 + 4 + 1 + 5 + 3 = 40.
La semaine de Noël, le salarié de la colonne incomplète a On a effectué 40 tests.
travaillé pendant 29 h. b. • Le plus grand temps mesuré est 2 min 38 s et le plus
29 h – 3 h = 26 h petit est 2 min 22 s.
Lors d’une semaine normale, ce salarié travaille donc pen- 2 min 38 s – 2 min 22 s = 16 s
dant 26 h. L’étendue des temps est donc de 16 s, durée inférieure à
20 s. La première condition est donc vérifiée.
• Les temps mesurés sont rangés par ordre croissant.
Dossier Brevet
L’effectif total est pair (40) donc la médiane est la demi-
69 1. b ; 2. c ; 3. b ; 4. b ; 5. c somme de la 20e et de la 21e valeurs de la série.
70 Afin de n’oublier aucune valeur de la série, on peut On cumule les effectifs :
• 2 + 5 = 7  • 7 + 6 = 13  • 13 + 7 = 20  • 20 + 7 = 27.
commencer par réaliser un tableau d’effectifs.
La 20e valeur est 2 min 29 s et la 21e est 2 min 30 s. Leur
Masse de sel (en kg) 30 31 32 33 34 36 37 38
demi-somme est 2 min 29,5 s.
Effectif 1 2 2 1 2 1 1 2
La médiane est donc bien comprise entre 2 min 29  s et
Masse de sel (en kg) 39 40 42 43 45 46 47 48 2 min 31 s. Ainsi, la 2e condition est vérifiée.
Effectif 2 2 2 2 2 1 1 1 • Comme tous les temps commencent par 2 min, il suffit
a. 48 – 30 = 18 donc l’étendue de la série est 18 kg. de faire la moyenne des secondes.
22 × 2 + 26 × 5 + … + 35 × 5 + 38 × 3 1 204
b. L’effectif total de la série est impair (25). = = 30,1
40 40
25 = 2 × 12 + 1 donc la médiane est la 13e valeur de la série.
Le temps moyen d’écoulement est 2 min 30,1 s.
On cumule les effectifs :
La moyenne des temps est donc bien comprise entre
• 1 + 2 = 3 • 3 + 2 = 5 • 5 + 1 = 6 •6+2=8
2 min 28 s et 2 min 32 s. Ainsi, la 3e condition est vérifiée.
• 8 + 1 = 9 • 9 + 1 = 10 • 10 + 2 = 12 • 12 + 2 = 14
• Conclusion : le sablier testé ne sera pas éliminé, puisque
Ainsi, la 13e et la 14e valeurs de la série sont des 39.
les trois conditions sont vérifiées.
La médiane de la série est donc 39 kg.
Interprétation  : au moins la moitié des masses de sel 74 a. L’étendue est la différence entre la plus haute
récolté par carreau sont au moins 39 kg (autre réponse : fréquence, c’est-à-dire la fréquence maximale, et la plus
au moins la moitié des masses de sel récolté par carreau basse, c’est-à-dire la fréquence minimale.
sont au plus 39 kg). 182 − 65 = 117

Chapitre 4 – Déterminer des indicateurs de position, de dispersion  63 


L’étendue des fréquences cardiaques enregistrées est – l’un, qu’on note x, tel que 17 ¯ x ¯ 18 ;
117 pulsations/min. – l’autre, qu’on note y, tel que 18 ¯ y ¯ 19,5.
b. Denis a enregistré 3 640 pulsations avec une fréquence La série de lancers est donc :
moyenne de 130 pulsations/min. 17  x 18 y 19,5
3 640 pulsations : 130 pulsations/min = 28 min La moyenne de la série de lancers est 18,2 m donc
L’entraînement a duré 28 min. 17 + x + 18 + y + 19,5 54,5 + x + y
= 18,2 soit = 18,2.
5 5
75 a. Usain Bolt a parcouru 200 m en 19,78 s. Ainsi, x + y = 18,2 × 5 – 54,5 = 36,5.
d Conclusion : un lancer manquant, en m, est 18.
On utilise l’égalité v =  . Les deux autres lancers manquants, en m, x et y, sont tels
t
200 m 200 que x + y = 36,5, avec 17 ¯ x ¯ 18 et 18 ¯ y ¯ 19,5.
v= = m/s soit v ≈ 10,11 m/s.
19,78 s 19,78 On peut prendre par exemple 17,5 et 19.
La vitesse moyenne de Usain Bolt était environ 10,11 m/s.
77 1. a. Voici les IMC.
19,78 + 20,02 + … + 20,23 + 20,43 161,02 72 85
b. = = 20,127 5 Salarié A : ≈ 25,2 Salarié B : ≈ 28,7
8 8 1,692 1,722
Ainsi, le temps moyen pour les huit finalistes est environ
74 70
20,13 s. Salarié C : ≈ 24,2 Salarié D : ≈ 22,1
1,752 1,782
c. • 20,43 s – 19,78 s = 0,65 s 115 85
En 2016, l’étendue des performances est de 0,65 s. Salarié E : ≈ 33,2 Salarié F : ≈ 24
1,862 1,882
En 1964, elle est de 0,6 s.
b. 18,5 ¯ 22,1 , 24 , 24,2 , 25 donc les salariés C, D et F
On peut dire que les étendues sont sensiblement les
ont une corpulence normale.
mêmes en 1964 et en 2016. 25 ¯ 25,2 , 28,7 , 30 donc les salariés A et B sont en
• En 2016, la moyenne des performances est environ situation de surpoids.
20,13 s. En 1964, elle est de 20,68 s. 33,2 . 30 donc le salarié E est en situation d’obésité.
20,68 s – 20,13 s = 0,55 s
On peut dire que la moyenne des performances des fina- 2. a. • Moyenne des IMC
listes a baissé entre 1964 et 2016 d’environ une demi- 20 × 9 + 22 × 12 + … + 30 × 1 + 33 × 2 949
m= =
seconde. 41 41
m ≈ 23
76 a. 19,9 – 17,4 = 2,5 L’IMC moyen des employés de cette entreprise est d’envi-
19 – 17,6 = 1,4 ron 23.
Pour Solenne, l’étendue est égale à 2,5 m et pour Rachida, • Médiane des IMC
elle est égale à 1,4 m. Les IMC sont rangés par ordre croissant.
1,4 m ≠ 2,5 m donc les données ne sont pas celles de L’effectif total est impair (41), la médiane est donc la 21e
Rachida. valeur de la série.
• On range les lancers de Solenne par ordre croissant : 9 + 12 = 21 donc la 21e valeur de la série est 22.
17,4 17,8 17,9 18 19,9. L’IMC médian est donc 22.
L’effectif total est impair (5), donc la médiane de la série est • Étendue des IMC
la 3e valeur, c’est-à-dire 17,9 m. 33 – 20 = 13 donc l’étendue des IMC est 13.
17,9 m ≠ 18 m donc les données ne sont pas celles de b. L’IMC médian est 22. Cela signifie qu’au moins la moitié
Solenne. des salariés de l’entreprise ont un IMC inférieur ou égal à
Les caractéristiques données sont donc celles de Sarah. 22 (autre réponse : au moins la moitié des salariés de l’en-
b. L’étendue des lancers est 2,5 m et le meilleur lancer est treprise ont un IMC supérieur ou égal à 22).
de 19,5 m. c. 2 + 1 + 1 + 2 = 6
19,5 m − 2,5 m = 17 m Il y a 6 personnes en situation de surpoids ou d’obésité
Ainsi, le lancer de Sarah le moins bon est 17 m. dans cette entreprise.
On connaît donc trois des lancers, en m, de Sarah sur les 6
cinq : 17 ; 18 ; 19,5 par ordre croissant. ≈ 0,15 donc environ 15 % des salariés de cette entre-
41
Puisque la médiane est 18 et que l’effectif total est impair prise sont en situation de surpoids ou d’obésité.
(5), cette valeur 18 est la 3e valeur de la série. 15 % . 5 %. L’affirmation du magazine de presse spéciali-
Ainsi, les deux lancers manquants sont : sée est vraie pour cette entreprise.

 64
5 Calculer des
probabilités

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le début du cycle 4 J’applique le cours


En classe de 5e, les élèves abordent la notion de hasard à Exercice résolu 1
partir d’expériences concrètes. Ils utilisent le vocabulaire Dans cet exercice, les fréquences d’apparition de chaque
relatif aux probabilités (expérience aléatoire, issue, évé- couleur sont données pour 10 000  tirages. L’élève doit
nement) et calculent des probabilités dans des situations interpréter ces fréquences en les comparant aux probabi-
simples d’équiprobabilité. lités théoriques d’obtention de ces couleurs.
En classe de 4e, on étend le vocabulaire des événements Exercice résolu 4
(événement certain, événement impossible, événement Les issues d’une expérience à deux épreuves sont présen-
contraire). Les élèves poursuivent le calcul de probabili- tées dans un tableau. On dénombre les issues qui réalisent
tés et étudient des situations de non-équiprobabilité des un événement afin d’obtenir sa probabilité.
issues. Ils reconnaissent des événements contraires et les
utilisent pour calculer des probabilités. 4 Compléments
On exprime les probabilités sous diverses formes.
Observer et interpréter la stabilisation
des fréquences
2 Je découvre Dans différents contextes, on observe la stabilisation des
Activité 1 fréquences des issues vers leurs probabilités lorsque le
On réalise N simulations d’une expérience aléatoire à l’aide nombre de réalisations de l’expérience augmente.
d’un programme Scratch. On constate, lorsque N devient Dans l’exercice 13, la répétition de l’expérience est effec-
tuée à l’aide d’un programme Scratch et dans l’exercice 15
de plus en plus grand, la stabilisation des fréquences des
à l’aide d’un tableur.
issues de l’expérience et on compare ces fréquences aux
probabilités. Étudier une expérience à une épreuve
Activité 2 On reprend quelques exemples de calculs de probabi-
lités dans des situations d’expériences aléatoires à une
On aborde l’étude, dans un cas très simple, d’une expé-
épreuve.
rience à deux épreuves.
On représente les issues dans un tableau à double entrée Étudier une expérience à deux épreuves
et on calcule des probabilités à l’aide de ce tableau. Dans ces exercices, on décrit l’ensemble des issues dans
Au passage, on révise la notion d’événement contraire un tableau et on dénombre les événements à l’aide de ce
rencontrée en classe de 4e. tableau.

Utiliser le calcul des probabilités


3 Cours - J’applique le cours Dans des situations concrètes, on reprend les notions
Cours de probabilités déjà rencontrées  : stabilisation des fré-
Le paragraphe 1 énonce la propriété de la stabilisation des quences, calculs de probabilités, expériences à deux
fréquences d’une issue vers un nombre lorsqu’on répète épreuves.
un grand nombre de fois une expérience aléatoire. Ce Les exercices 38 et 39 proposent de nouveaux exemples
nombre est la probabilité de l’issue. On note également de simulation d’expériences aléatoires à l’aide d’un pro-
que la fréquence d’une issue varie d’une série à l’autre. gramme Scratch et du tableur.
Le paragraphe 2 rappelle la façon de calculer la probabilité
d’un événement en effectuant la somme des probabilités
des issues qui le réalisent.
Dans le paragraphe 3, on étudie un exemple d’expérience
à deux épreuves. On représente toutes les issues de l’expé-
rience dans un tableau et le dénombrement des issues qui
réalisent un événement est effectué grâce à ce tableau.

Chapitre 5 – Calculer des probabilités  65 


CORRIGÉS

Bien démarrer • La fréquence d’apparition 0,407 9 d’une boule verte est


proche de la probabilité 0,4. Celle 0,098 5 d’obtenir une
1. b et c ; 2. a ; 3. a et c ; 4. a et c. boule rouge est proche de 0,1 et enfin celle 0,493 6 d’obte-
nir une boule blanche est proche de 0,5.
Je découvre 5 a. « Ne pas obtenir la lettre B » est réalisé par 4 issues,
4
Activité 1 donc la probabilité de cet événement est  .
9
1 a. Les variables R, J et V sont initialisées à 0. b. «  Obtenir deux fois la même lettre  » est réalisé par
b. Si le nombre aléatoire a prend pour valeur 1, 2, 3 ou 4, 3 1
3 issues donc la probabilité de cet événement est =  .
9 3
alors le contenu de la variable R est augmenté de 1. c. «  Obtenir deux lettres distinctes  » est réalisé par
2 a. et b. Par exemple : 6 2
6 issues donc la probabilité de cet événement est =  .
9 3
Rouge Jaune Vert
6
N = 100 0,42 0,38 0,2
2e tirage
N = 1 000 0,514 0,368 0,118 1 2 3 4
1er tirage
N = 10 000 0,498 4 0,371 2 0,130 4
1 (1 ; 1) (1 ; 2) (1 ; 3) (1 ; 4)
c. Les probabilités d’obtenir chaque couleur lors d’un 2 (2 ; 1) (2 ; 2) (2 ; 3) (2 ; 4)
tirage sont données dans le tableau suivant : 3 (3 ; 1) (3 ; 2) (3 ; 3) (3 ; 4)
Issue Rouge Jaune Vert 4 (4 ; 1) (4 ; 2) (4 ; 3) (4 ; 4)

Probabilité
1 3 1 L’expérience compte 16 issues.
2 8 8 L’événement « Obtenir au plus une fois le numéro 4 » est
Lorsque N devient de plus en plus grand, la fréquence de 15
réalisé par 15 issues. Sa probabilité est  .
chaque issue tend à se stabiliser autour de sa probabilité. 16

Activité 2
1 a. Je m’entraîne
2e enfant
1er enfant
F G Observer et interpréter
F (F ; F) (F ; G)
la stabilisation des fréquences
G (G ; F) (G ; G)
7  La probabilité d’obtenir Pile est 0,5, la fréquence
b. Les issues sont (F ; F), (F ; G), (G ; F) et (G ; G). 0,494 9 est proche de cette probabilité.
1
La probabilité de chacune d’elles est  . De même, la probabilité d’obtenir Face est 0,5, la fré-
4
quence 0,505 1 est proche de cette probabilité.
2 a. L’événement contraire de l’événement X est : « Le
couple a deux garçons ». 8  La probabilité d’apparition de chaque face du dé est
1 1
Sa probabilité est égale à  .  .
4 6
1 3
b. Donc la probabilité de l’événement X est 1 – =  . Donc la fréquence d’apparition de chacune des faces est
4 4
proche de cette valeur.
c. X est réalisé par les issues (F ; F), (F ; G) et (G ; F).
3 9  
On retrouve ainsi sa probabilité égale à  .
4 Issue A B C D
1 1 1 1
Probabilité
8 4 2 8
J’applique le cours
10  1. a. Les issues sont les couleurs Bleu, Vert et Jaune.
5
2 • La probabilité d’obtenir une boule verte est = 0,625, b.
3 8
celle d’obtenir une boule rouge est = 0,375. Issue Bleu Vert Jaune
8
Probabilité 0,6 0,3 0,1
• La fréquence d’apparition 0,624 6 d’une boule verte est
proche de la probabilité 0,625. De même, la fréquence 2. La fréquence 0,594 1 de l’issue Bleu est proche de 0,6,
d’apparition 0,375 4 d’une boule rouge est proche de la celle 0,302 2 de l'issue Vert est proche de 0,3 et celle 0,103 7
probabilité 0,375. de l’issue Jaune est proche de 0,1.
4 11  La fréquence de la sortie Pile se stabilise vers le nom-
3 • La probabilité d’obtenir une boule verte est = 0,4,
10
1 bre 0,12 lorsque le nombre de lancers augmente. Or, la
celle d’obtenir une boule rouge est = 0,1 et celle d’ob-
10 probabilité de l'issue Pile pour une pièce équilibrée est 0,5
5
tenir une boule blanche est = 0,5. donc Sophie a raison, la pièce est sans doute truquée.
10
 66
12  La fréquence de la réalisation de la Position 1 se stabi- 20  a. D’après le script, l’expression de C en fonction de x
lise autour de 0,55. On peut alors proposer la modélisation est : C = x × A × B = x(x – 3)(x – 8)
suivante. Les valeurs de x pour lesquelles C = 0 sont x = 0, x = 3 et
Issue Position 1 Position 2 3
x = 8. Donc la probabilité que C = 0 est  .
Probabilité 0,55 0,45 11
b. On en déduit que la probabilité que C ≠ 0 est :
13 1. Les issues sont les couleurs Marron et Vert. 3 8
1–  =  .
Issue Vert Marron 11 11
1 3 21  a. La probabilité de l’événement B est :
Probabilité
4 4 8 % + 1 % = 9 %, soit 0,09.
2. a. À la fin du programme, le contenu de la variable R est b. La probabilité de l’événement R+ est :
le nombre de fois où la couleur Vert est sortie et celui de la 36 % + 38 % + 8 % + 3 % = 85 %, soit 0,85.
variable f est la fréquence de cette issue. c. La probabilité de l’événement A– est 7 %, soit 0,07.
1
c. Le contenu de la variable f est proche de la probabilité  .
4
14 a. À partir de la stabilisation des fréquences, on estime Étudier une expérience à deux épreuves
les probabilités des issues de l’expérience.
Issue Jaune Vert Rouge Bleu 22 L’expérience compte quatre issues. La probabilité
Probabilité 0,5 0,25 0,2 0,05 1
d’obtenir deux fois Pile est  .
4
b. On propose la composition suivante du sac :
23
0,5 × 20 = 10 jetons jaunes ; 0,25 × 20 = 5 jetons verts ;
Face 1 2 3 4 5 6
0,2 × 20 = 4 jetons rouges ; 0,05 × 20 = 1 jeton bleu.
Fréquence 0,16 0,12 0,14 0,2 0,18 0,2
15 1. Les issues de cette expérience sont les numéros 1,
2, 3 et 4. 24 1.
1
La probabilité de chaque issue est  . Fève 2
4 Fève 1
A B C D
2. a. En cellule A1, on a saisi la formule :
A (A ; A) (A ; B) (A ; C) (A ; D)
=ALEA.ENTRE.BORNES(1;4) B (B ; A) (B ; B) (B ; C) (B ; D)
b. Cette formule compte le nombre de sorties du numéro 1 C (C ; A) (C ; B) (C ; C) (C ; D)
au cours des 1 000 simulations. D (D ; A) (D ; B) (D ; C) (D ; D)
Dans la cellule L2, on obtient la fréquence 0,245 de la face 4 × 4 = 16 donc il y a 16 issues possibles pour la répartition
numérotée 1. des deux fèves.
d. Chacune des fréquences obtenues est proche de la pro- 2. a. L’événement « Anissa a les deux fèves » a pour pro-
babilité 0,25 de sortie de chaque face. 1
babilité  .
16
b. L’événement « Coralie a exactement une fève » a pour
Étudier une expérience à une épreuve probabilité
6 3
=  .
16 8
16 La probabilité que cette carte soit une figure est  : c. L’événement «  Baptiste n’a pas de fève  » a pour pro-
3×4 3 9
 =  . babilité  .
32 8 16
d. L’événement « Dylan a au moins une fève » a pour pro-
17 Parmi les nombres entiers de 1 à 25, il y a cinq multi- 7
babilité  .
ples de 5 (5 ; 10 ; 15 ; 20 ; 25). 16
5 1
La probabilité d’obtenir un multiple de 5 est :  =  . 25 1. a.
25 5
La probabilité que le nombre obtenu ne soit pas un multi- 2e pièce A E F I
1 4 1re pièce
ple de 5 est donc : 1 –  =  . A (A ; E) (A ; F) (A ; I)
5 5
E (E ; A) (E ; F) (E ; I)
18 La probabilité de l’événement E est :
F (F ; A) (F ; E) (F ; I)
1 1 1 9 3
 +  + =  =  . I (I ; A) (I ; E) (I ; F)
12 6 2 12 4
19  a. L’événement « La boule tirée est grise » a pour Certaines cases sont barrées car le tirage a lieu sans remise.
10 5 La même pièce ne peut pas être tirée deux fois.
probabilité :  =  . 1
22 11 b. La probabilité de chaque issue est  .
12
b. L’événement «  La boule porte le numéro 5  » a pour 2. a. La probabilité qu’une pièce provienne de France est :
3 6 1
probabilité  . =  .
22 12 2
c. L’événement « La boule porte un numéro pair » a pour b. La probabilité qu’aucune pièce ne provienne de France
2 + 3 + 5 10 5 1 1
probabilité :  = =  . est : 1 – =  .
22 22 11 2 2

Chapitre 5 – Calculer des probabilités  67 


26 1. a. 30 1. a.
2e lettre Robe Blanche Noire Rouge Bleue
R O S E
1re lettre Chapeau (B) (N) (R) (L)
R (R ; R) (R ; O) (R ; S) (R ; E) Rouge (R) (R ; B) (R ; N) (R ; R) (R ; L)
O (O ; R) (O ; O) (O ; S) (O ; E) Bleu (L) (L ; B) (L ; N) (L ; R) (L ; L)
S (S ; R) (S ; O) (S ; S) (S ; E) 1
b. La probabilité de chaque issue est  .
E (E ; R) (E ; O) (E ; S) (E ; E) 8
1 2. a. Cet événement est réalisé par les deux issues (R ; R)
b. La probabilité de chaque issue est  .
16 et (L ; L).
– 2 1
2. a. L’événement contraire de M est M : « Je n'ai pas tiré la b. La probabilité de cet événement est : =  .
8 4
lettre O ».
– 9 31 a. La variable r1 prend pour valeur le reste de la divi-
b. La probabilité de l’événement M est  .
16 sion de a par 5.
c. On en déduit la probabilité de l’événement M : La variable r2 prend pour valeur le reste de la division de
9 7
1– =  . a par 6.
16 16
3. La probabilité qu’Antoine tire deux fois la même lettre b. La condition r1 = 0 signifie que a est divisible par 5.
4 1 La condition r2 = 0 signifie que a est divisible par 6.
est : =  .
16 4 c. Les valeurs de a pour lesquelles r1 = 0 et r2 = 0 sont 30,
27 On construit un tableau pour dresser la liste des 60 et 90.
issues. d. La probabilité que le lutin énonce « Gagné ! » à la fin du
Couleur Rouge 3
Pièce Vert Bleu Noir Jaune script est : = 0,03.
100
P (P ; R) (P ; V) (P ; B) (P ; N) (P ; J)
32 a.
F (F ; R) (F ; V) (F ; B) (F ; N) (F ; J)
Porte
R B J
« Mathis obtient Pile et une couleur qui n’est pas le jaune » Fenêtre
est réalisée par 4 issues, la probabilité de cet événement R (R ; R) (R ; B) (R ; J)
4 2 B (B ; R) (B ; B) (B ; J)
est =  .
10 5 J (J ; R) (J ; B) (J ; J)
1
Utiliser le calcul des probabilités b. La probabilité de chacun des dessins possibles est  .
9
c. La probabilité que les trois couleurs apparaissent sur le
28 a. Lorsque le nombre de lancers augmente, la fré- 2
dessin est car l’événement est réalisé par les deux issues
quence d’obtention de la face 1 semble se rapprocher de 9
0,2. (B ; J) et (J ; B).
b. De même, les fréquences d’obtention des faces 2 et 3 33 a.
semblent se rapprocher de 0,2. Changement
climatique Menacées Non
En revanche, la fréquence d’obtention de la face 4 semble menacées
Total
se rapprocher de 0,4. Déforestation
Menacées 35 95 130
c. Si le dé d’André était équilibré, les fréquences d’obten-
Non menacées 45 25 70
tion de chaque face devraient se rapprocher de 0,25  ; il
Total 80 120 200
semble donc que le dé ne soit pas équilibré.
29 1. a. L’expérience compte 32 issues. b. La probabilité qu’une espèce ne soit menacée ni par
1 la déforestation ni par le changement climatique est  :
b. La probabilité de chaque issue est  . 25 1
32 =  .
2. a. L’événement E est réalisé par 16 issues. 200 8
L’événement F est réalisé par 4 issues.
b. La probabilité de l’événement E est :
16 1
=  . Je m’évalue à mi-parcours
4 1 32 2
Celle de l’événement F est : =  . 34 b. 35 a. 36 b. 37 c.
32 8
3. a. Les deux issues : As de cœur et As de carreau réalisent
les deux événements E et F en même temps.
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
b. La probabilité que E et F se réalisent tous les deux est
2 1 38  1. a. La variable a prend pour valeur un nombre entier
=  .
32 16 aléatoire compris entre 1 et 250.
4. 18 issues réalisent l’un au moins des deux événements Elle permet de désigner le choix d’une cordelette.
E et F. À la fin du script, la variable g a pour valeur le nombre
La probabilité que l’un au moins des deux événements se de gros lots obtenus lors des n répétitions et la variable f
18 9
réalise est : =  . représente la fréquence.
32 16
 68
c. Par exemple : 41
n 100 1 000 10 000 PARCOURS 1
f 0,14 0,134 0,119 4 a.
2. a. La probabilité que le joueur gagne le gros lot est  : Paule 10 € 100 € 200 € 500 €
Léa
30 (10 ; 10) (10 ; 100) (10 ; 200) (10 ; 500)
= 0,12. 10 €
250 (100 ; 10) (100 ; 100) (100 ; 200) (100 ; 500)
100 €
b. Les fréquences sont de plus en plus proches de la pro-
200 € (200 ; 10) (200 ; 100) (200 ; 200) (200 ; 500)
babilité 0,12 lorsque n devient grand.
500 € (500 ; 10) (500 ; 100) (500 ; 200) (500 ; 500)
39 1. a. Lorsqu'on fait tourner la roue une fois, la proba-
1 1
bilité d’obtenir le secteur X est : = 0,2, ceci explique la b. La probabilité de chaque issue est  .
5 16
formule saisie dans la cellule A3. PARCOURS 2
2. a. a. L’expérience compte 16 issues car 4 × 4 = 16.
2e secteur
1re secteur
V W X Y Z b. Cet événement est réalisé par 4 issues.
4 1
V (V ; V) (V ; W) (V ; X) (V ; Y) (V ; Z) La probabilité de cet événement est : =  .
16 4
W (W ; V) (W ; W) (W ; X) (W ; Y) (W ; Z)
PARCOURS 3
X (X ; V) (X ; W) (X ; X) (X ; Y) (X ; Z)
Y (Y ; V) (Y ; W) (Y ; X) (Y ; Y) (Y ; Z) Les deux événements E et F ont la même probabilité
6 3
Z (Z ; V) (Z ; W) (Z ; X) (Z ; Y) (Z ; Z) =  .
16 4
1
b. La probabilité qu’Aya gagne les deux parties est  .
25
9
La probabilité qu’Aya gagne au moins une partie est  . J’utilise mes compétences
25
42  On peut représenter les issues de l’expérience à l’aide
d’un tableau.
Parcours différenciés Jeton jaune
1 2 3 4 5 6
Jeton rouge
40 1 (1 ; 2) (1 ; 3) (1 ; 4) (1 ; 5) (1 ; 6)
PARCOURS 1
2 (2 ; 1) (2 ; 3) (2 ; 4) (2 ; 5) (2 ; 6)
La probabilité de l’issue 1 pour le dé A est 1 3 (3 ; 1) (3 ; 2) (3 ; 4) (3 ; 5) (3 ; 6)
1
 . 2 1 2 4 (4 ; 1) (4 ; 2) (4 ; 3) (4 ; 5) (4 ; 6)
3 5 (5 ; 1) (5 ; 2) (5 ; 3) (5 ; 4) (5 ; 6)
La fréquence 0,336 1 obtenue est proche de 3
6 (6 ; 1) (6 ; 2) (6 ; 3) (6 ; 4) (6 ; 5)
cette probabilité. 3
L’expérience compte 30 issues.
L’événement «  Les jetons sont placés sur des cases avec
PARCOURS 2
un nombre pair » est réalisé par 6 issues donc sa probabi-
6 1
1 lité est : =  .
La fréquence de l’issue 1 est proche de  , 1 30 5
6
1 3 2 3 43  a.
celle de l’issue 2 est proche de et celle de
3
1 3 2e
l’issue 3 est proche de  . Cube Cube Cube Cube Boule Boule
2 2 1er objet
jaune rouge vert bleu rouge jaune
Il s’agit du dé C . objet
Cube jaune (CJ ; CR) (CJ ; CV) (CJ ; CB) (CJ ; BR) (CJ ; BJ)
PARCOURS 3 Cube rouge (CR ; CJ) (CR ; CV) (CR ; CB) (CR ; BR) (CR ; BJ)
1 Cube vert (CV ; CJ) (CV ; CR) (CV ; CB) (CV ; BR) (CV ; BJ)
La fréquence de l’issue 1 est proche de  , celle de l’issue 2
6 Cube bleu (CB ; CJ) (CB ; CR) (CB ; CV) (CB ; BR) (CB ; BJ)
2
est proche de  . Boule rouge (BR ; CJ) (BR ; CR) (BR ; CV) (BR ; CB) (BR ; BJ)
3
Boule jaune (BJ ; CJ) (BJ ; CR) (BJ ; CV) (BJ ; CB) (BJ ; BR)
On peut alors proposer :
Issue 1 2 3
b. La probabilité que les deux objets soient :
14 7
1 2 1 – de la même forme est : =  ;
Probabilité 30 15
6 3 6 4 2
– de la même couleur est : =  .
et par exemple : 30 15
2 44  D’après le sous-programme, la probabilité de l’événe-
8
1 2 3 ment « A = 1 » est soit environ 0,533 3.
15
2 Lorsqu’on exécute ce sous-programme 10 000 fois, la fré-
2 8
quence 0,530 9 de l’issue 1 est proche de la probabilité  .
15

Chapitre 5 – Calculer des probabilités  69 


45  Il y a 25 issues possibles car 5 × 5 = 25. L’événement «  Le plus grand des deux nombres repérés
La probabilité que Phil et Tom gagnent la même somme est 3 » est réalisé par les issues :
5 1 (1 ; 3), (2 ; 3), (3 ; 1), (3 ; 2), (3 ; 3).
est : =  .
25 5 5 1
Donc la probabilité de cet événement est : = = 0,2.
Donc la probabilité qu’ils gagnent des sommes différentes 25 5
1 4 Magalie a raison.
est : 1 – =  .
5 5
Or, chacun a la même probabilité de gagner une somme 50  On construit un tableau afin de faire apparaître les
strictement plus importante que l’autre, cette probabilité issues de l’expérience.
2 Jeton du sac
est donc  .
5 Sommet A B1 B2
On peut aussi construire un tableau afin de faire appa- du tétraèdre
raître toutes les issues de l’expérience. 1 (1 ; A) (1 ; B1) (1 ; B2)
46  a. La probabilité que le premier sportif à sortir du bus 2 (2 ; A) (2 ; B1) (2 ; B2)
3 (3 ; A) (3 ; B1) (3 ; B2)
soit :
10 1 4 (4 ; A) (4 ; B1) (4 ; B2)
– un joueur de ping-pong est : =  ;
40 4
30 3 On note B1 et B2 les deux jetons B du sac.
– un coureur ou un gymnaste est : =  . «  Obtenir le sommet numéroté 3 et ne pas obtenir le
40 4
b. On note n le nombre de nageurs. La probabilité que ce jeton A » est réalisé par les deux issues (3 ; B1) et (3 ; B2)
n 2 1
soit un nageur qui sorte du bus en premier est  . donc la probabilité de cet événement est =  .
n + 40 12 6
n 1
Ainsi =  , donc 5n = n + 40, soit 4n = 40, c’est-à-dire 51  On note n le nombre de balles de couleur rouge de
n + 40 5
n = 10. l’urne (1 < n , 10).
Il y a 10 nageurs dans le bus. L’expérience a 100 issues car 10 × 10 = 100 et l’événement
«  Les deux balles tirées sont rouges  » est réalisé par n2
47  a. La probabilité d’avoir un vent d’ouest (cap 260° à issues car n × n = n2. Ainsi la probabilité de cette issue est
280°) de force au plus 4 est environ : 0,12 + 0,11 = 0,23. n2
 .
b. La probabilité d’avoir un vent de force au moins 5 est 100 n2
environ 0,24. D’après l’énoncé   ≈ 0,5, donc n2 ≈ 50 et ainsi on pose
100
L’éolienne donnera sa pleine puissance avec moins d’une n = 7.
chance sur deux. L’urne contient 7 balles rouges et 3 balles bleues.
48  a. Le programme suivant écrit en langage Scratch 52  
permet de simuler cette expérience. 2e lancer
F P
1er lancer
F (F ; F) (F ; P)
P (P ; F) (P ; P)

La probabilité pour chacun de faire la vaisselle est :


1 1 1
• Matéo :   • Élisa :   • Léo :
4 4 2
Cette façon de faire n’est pas équitable.
53  a. On complète le script de la façon suivante :
(1) répéter 100 fois
(2) mettre b à nombre aléatoire entre 1 et 2
(3) si a = 2 et b = 2 alors
(4) mettre f à n/100

b. Par exemple, on obtient : Dossier Brevet


Issue Rouge Blanc 54  1. c. 3,7 × 109
Fréquence 0,28 0,72 12
2. b.
35
49  a. Réalisation de la feuille de calcul. 3. a. 4x2 – 9
b. On décrit les issues de l’expérience à l’aide d’un tableau. 4. c. 0,17
Roue B
1 2 3 4 5 55  1.
Roue A
Modèle Pour la ville Pour le sport Total
1 (1 ; 1) (1 ; 2) (1 ; 3) (1 ; 4) (1 ; 5)
Noir 15 5 20
2 (2 ; 1) (2 ; 2) (2 ; 3) (2 ; 4) (2 ; 5)
3 (3 ; 1) (3 ; 2) (3 ; 3) (3 ; 4) (3 ; 5) Blanc 7 10 17
4 (4 ; 1) (4 ; 2) (4 ; 3) (4 ; 4) (4 ; 5) Marron 5 3 8
5 (5 ; 1) (5 ; 2) (5 ; 3) (5 ; 4) (5 ; 5) Total 27 18 45

 70
2. La probabilité de choisir un modèle : La probabilité que Carole obtienne deux macarons qui lui
20 4 8 4
a. de couleur noire est : =  ; plaisent est donc : =  .
45 9 30 15
18 2 59  1. Sur la roue de loterie, la probabilité d’obtenir un
b. pour le sport est : =  ;
45 5 2 1
5 1 multiple de 3 est : =  .
c. pour la ville de couleur marron est : =  . 6 3
45 9 2. L’urne contient 8 boules donc le nombre d’issues équi-
3. La probabilité d’obtenir un modèle couleur noire dans probables est : 8 × 6 = 48.
30 5 L’urne contient 3  boules rouges et la roue de loterie
le magasin B est : =  .
54 9 compte 2 nombres multiples de 3 donc il y a 6 issues qui
4 5 mènent au gros lot car 3 × 2 = 6.
, donc on a le plus de chances d’obtenir un tel
9 9
modèle dans le magasin B. La probabilité qu’un participant gagne le gros lot est donc :
6 1
=  .
56  1. a. La probabilité que la piste empruntée soit une 48 8
2 3. On note n le nombre de boules rouges, la probabilité de
piste rouge est  . n
5 tirer une boule rouge de l’urne est  .
b. La probabilité qu’il emprunte alors une piste bleue est n+5
n 1
1 On cherche n tel que =  , soit 2n = n + 5, c’est-à-dire
 . n+5 2
7
n = 5. Il faut donc mettre 5 boules rouges dans l’urne.
2.
2e piste 60  1. La probabilité de tirer une boule bleue est  :
1re N N N R B V V 30 1
piste =  .
120 4
N NN NN NN NR NB NV NV
2. Réponse (3) : On ne peut pas savoir.
N NN NN NN NR NB NV NV
R RN RN RN RR RB RV RV
3. a. Le nombre de boules rouges dans le sac est :
R RN RN RN RR RB RV RV
0,4 × 120 = 48.
B BN BN BN BR BB BV BV b. Le nombre de boules vertes est donc 42 et la probabilité
42 7
Le nombre total de descentes possibles est : 7 × 5 = 35. de tirer une boule verte est : = = 0,35.
120 20
Le nombre de celles formées de deux pistes noires est  : 61  1. La probabilité que la lettre tirée ne soit pas un A
3 × 2 = 6. 4
6 est  .
La probabilité cherchée est donc  . 7
35
2. On présente les issues dans un tableau.
57  a. Pour cette simulation, 170  lancers donnent la 2e
somme 7. gâteau
170 P P n n n n N N N N
La fréquence représentée par ces lancers est  , soit 1er
1 000 gâteau
17 %.
P PP Pn Pn Pn Pn PN PN PN PN
b.
P PP Pn Pn Pn Pn PN PN PN PN
Dé B n nP nP nn nn nn nN nN nN nN
1 2 3 4 5 6
Dé A
n nP nP nn nn nn nN nN nN nN
1 2 3 4 5 6 7
n nP nP nn nn nn nN nN nN nN
2 3 4 5 6 7 8
n nP nP nn nn nn nN nN nN nN
3 4 5 6 7 8 9
N NP NP Nn Nn Nn Nn NN NN NN
4 5 6 7 8 9 10
N NP NP Nn Nn Nn Nn NN NN NN
5 6 7 8 9 10 11
N NP NP Nn Nn Nn Nn NN NN NN
6 7 8 9 10 11 12
N NP NP Nn Nn Nn Nn NN NN NN
Parmi les 36 issues possibles, 6 issues donnent une somme (P : pistaches, n : noisettes, N : noix)
égale à 7. La probabilité d’obtenir cette somme est  :
6 1 L’expérience compte 90 issues.
= soit environ 0,17.
36 6 a. Il y a 12 issues possibles donc la probabilité que les deux
La fréquence 17 % est proche de cette probabilité. 12 2
baklavas soient à base de noisettes est : = soit envi-
90 15
58  1. La probabilité de choisir un macaron au café dans ron 0,13.
3 1
la boîte numéro 1 est : =  . b. Il y a 56 issues possibles donc la probabilité qu’aucun
12 4
2. La boîte numéro 1 compte 5 macarons et la boîte des deux baklavas ne soit à base de pistaches est :
numéro 2 compte 6 macarons, il y a donc 30 choix pos- 56 28
= soit environ 0,62.
sibles car 5 × 6 = 30. 90 45
Si l’on s’intéresse aux macarons dont le parfum n’est 62  D’après le tableau des fréquences, on estime que la
pas chocolat, la boîte numéro 1 en contient 2 et la boîte probabilité de tirer un jeton jaune est 0,35 et celle d’obte-
numéro 2 en contient 4 donc il y a 8 choix qui plaisent à nir un jeton vert est 0,65.
Carole car 2 × 4 = 8. Ainsi, le sac contient 7 jetons jaunes et 13 jetons verts.

Chapitre 5 – Calculer des probabilités  71 


Voici le programme complété : 63  Le prix des 750 000 tickets de Solitaire s’élève à :
2 € × 750 000 = 1 500 000 €.
On calcule maintenant le total des gains obtenus avec ces
750 000 tickets.
0 × 532 173 + 2 × 100 000 + 4 × 83 000 + 6 × 20 860 + 12 ×
5 400 + 20 × 8 150 + 150 × 400 + 1 000 × 15 + 15 000 × 2
soit 989 960 €.
Le calcul de Tom est mauvais.

 72
6 Utiliser la notion
de fonction

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 et le début On travaille ainsi les compétences modéliser, représenter,
calculer et communiquer.
du cycle 4
La notion de fonction ne fait pas partie des programmes Activité 2
de cycle 3 mais plusieurs thèmes abordés permettent de L’objectif de cette activité est de présenter une fonction
préparer son étude comme la lecture ou la construction définie par un graphique permettant de modéliser une
de graphiques ainsi que l’utilisation de formules (péri- situation (concentration d’algues vertes en fonction du
mètres, aires, volume). temps). C’est aussi l’occasion de revenir sur une lecture
● Dès le début du cycle 4, dans les attendus de fin d’année
graphique dans un repère du plan. À un instant t donné,
de 5e, l’élève produit une expression littérale pour traduire on associe une concentration unique que l’on note  C(t)
un programme de calcul. Il substitue une valeur numé- reprenant ainsi la notation fonctionnelle qui a été intro-
rique à une lettre pour calculer la valeur d’une expres- duite à l’activité précédente.
sion littérale. Dans la rubrique « Comprendre et utiliser la Cette situation donne l’occasion de travailler les com-
notion de fonction », il est attendu que l’élève traduise la pétences, représenter et modéliser et permet, à la ques-
relation de dépendance entre deux grandeurs et produise tion a., le changement de cadre : graphique/tableau.
une formule représentant la dépendance de deux gran- À la question b., on pourra faire remarquer qu’une lec-
deurs. ture graphique ne permet parfois d’obtenir qu’une valeur
● Dans les attendus de fin d’année de 4 , l’élève produit
e approchée lorsque les points ne sont pas clairement repé-
une formule littérale représentant la dépendance de deux rés par une croix.
grandeurs. Il représente la dépendance de deux gran- La question c. permet de faire le lien entre la représenta-
deurs par un graphique. Il utilise un graphique représen- tion de la situation étudiée et son interprétation dans le
tant la dépendance de deux grandeurs pour lire et inter- langage naturel.
préter différentes valeurs sur l’axe des abscisses ou l’axe
des ordonnées. 3 Cours - J’applique le cours
● Les élèves ont donc été amenés à appliquer des pro-
Cours
grammes de calculs, lire et produire des graphiques. La ● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe  1
notion de fonction a ainsi pu être progressivement instal- « Notion de fonction ».
lée en dehors de toute formalisation ou notation.
● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 2 « Défi-
nir une fonction ».
2 Je découvre
Activité 1 J’applique le cours
L’objectif de cette activité est d’introduire la notion de fonc- Exercice résolu 1
tion à partir d’un programme de calcul qui est aussi pré- Cet exercice présente, à partir d’un support concret, la lec-
senté comme « une machine à transformer les nombres ». ture graphique d’images et d’antécédents. Dans la solu-
Dans la question 1, on reste dans le domaine numérique tion, les différentes couleurs et les directions des flèches
pour permettre aux élèves de bien comprendre le proces- facilitent la compréhension du sens de lecture sur lequel
sus de transformation. on insiste également dans la remarque.
Dans la question  2, on passe dans le domaine littéral et Les compétences abordées sont, conformément au pro-
on introduit la notation f (x) ainsi que le vocabulaire image gramme, déterminer, à partir d’un mode de représentation,
puis antécédent. La question 2.a. est à rapprocher de la l’image ou l’antécédent d’un nombre par une fonction, modé-
question 1.a. En effet, cela permet de faire le lien entre le liser un phénomène continu par une fonction et résoudre des
langage naturel et la notation fonctionnelle. Il est alors problèmes modélisés par des fonctions.
important d’insister sur la signification de la notation f (x) On travaille les compétences chercher et représenter ainsi
dans laquelle les parenthèses ont un usage différent de que communiquer dans les interprétations des lectures.
celui qu’elles occupent dans l’écriture d’une expression
littérale.

Chapitre 6 – Utiliser la notion de fonction  73 


4 Compléments ● Dans la rubrique « Changer de mode de représentation »,
des exercices permettent d’utiliser différents modes de
Notion de fonction représentation d’une fonction, en particulier de passer d’un
De nombreux exercices permettent de travailler le concept programme de calcul à une expression symbolique ou inver-
de fonction numérique. Les exercices de la rubrique sement. L’exercice 38 propose de passer d’un programme
« Connaître le vocabulaire des fonctions » proposent des Scratch à une expression symbolique d’une fonction puis à
exemples aidant à la connaissance et l’utilisation des nota- un tableau de valeurs de cette fonction.
tions et du vocabulaire fonctionnels. On passe de la nota- ● Les exercices de la rubrique « Utiliser des fonctions » pro-
tion f (a) = b à des phrases du type « b est l’image de a par la posent des modélisations de situations par des fonctions.
fonction f » ou « a est un antécédent de b par la fonction f » Conformément au programme, on travaille la compé-
dans les exercices 7 à 9. Les exercices 10 à 12 permettent tence résoudre des problèmes modélisés par des fonctions.
d’insister sur le sens des notations f (x) et f : x ∞ f (x).
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
Différents modes de représentation
Les exercices de la page 117 proposent, conformément au
● Dans la rubrique « Utiliser un graphique », on propose
programme et aux attendus de fin d’année de 3e, de tra-
des exemples de fonctions définies par un graphique. On vailler la compétence passer d’un mode de représentation
y trouve des lectures d’images et d’antécédents ainsi que à un autre.
le lien avec des égalités du type f (a) = b. Plusieurs situa-
● L’exercice  50 permet d’obtenir un tableau de valeurs
tions s’appuient sur des supports concrets.
d’une fonction définie par une formule en utilisant le logi-
● Des exemples de fonctions définies par un tableau sont
ciel Scratch.
proposés dans la rubrique « Utiliser un tableau ». On réin- À l’exercice  51, à partir d’un support concret, on passe
vestit aussi dans ces cas-là, les notations et le vocabulaire. d’un tableau à un graphique en utilisant le tableur.
L’exercice 24 permet aussi de comprendre le passage d’un
tableau à un graphique. Dossier Brevet
● De nombreux exercices de ce chapitre permettent de ● L’exercice 71 amène les élèves à chercher les informa-

comprendre et d’utiliser la notion de fonction définie par tions utiles dans les documents et interpréter la représen-
une formule, en particulier les exercices de la rubrique tation graphique d’une fonction dans le contexte de la
« Utiliser une expression algébrique ». On réinvestit aussi situation.
les notations et le vocabulaire. Conformément aux atten- ● À l’exercice 72, les élèves devront lire des informations

dus de fin d’année de 3e, les élèves sont amenés à détermi- sur la représentation graphique d’une fonction. Ils auront
ner l’image d’un nombre (exercices 27 et 28) et à déterminer à utiliser une formule donnée pour effectuer un calcul et
de manière algébrique l’antécédent par une fonction, dans répondre au problème.
des cas se ramenant à la résolution d’une équation du pre-
mier degré (exercices 30 et 31).

CORRIGÉS

Bien démarrer Activité 2


1. b et c ; 2. a et c ; 3. c ; 4. b. a.
t 0 1 2 3 5 6 7 10 11
C(t) en mg/L 40 34 32 34 24 20 18 24 22
Je découvre
b. • Les antécédents de 20 par la fonction C sont 6 et envi-
Activité 1 ron 7,8.
1 a. 42 – 4 = 16 – 4 = 12 • C(t) est minimum pour t = 7.
En choisissant 4, on obtient 12. c. La concentration d’algues vertes était de 20  mg/L au
b. 72 – 4 = 49 – 4 = 45 bout de 6 mois et au bout de 7,8 mois (7 mois et 25 jours)
En choisissant 7, on obtient 45. environ.
(–7)2 – 4 = 49 – 4 = 45 La concentration d’algues vertes la plus basse a été rele-
En choisissant –7, on obtient 45. vée au bout de 7 mois.
c. On note x le nombre choisi.
x2 – 4 = 0, c’est-à-dire x2 = 4.
Pour obtenir 0, on peut choisir 2 ou –2. J’applique le cours
2 a. f (4) = 4 – 4 = 16 – 4 = 12
2
2 a. L’image de 4 par la fonction f est 2 et l’image de 0
b. L’image de –1 par la fonction f est notée f (–1). par la fonction f est 0.
(–1)2 – 4 = 1 – 4 = –3, donc f (–1) = –3. b. L’image de 2 par la fonction f est approximativement
c. x2 – 4 = 21, c’est-à-dire x2 = 25. égale à –0,7.
5 et –5 ont pour image 21 par la fonction f. c. Les antécédents de 0 par la fonction f sont –4 ; –2 ; 0 et 3.

 74
d. Les antécédents de 1 par la fonction f sont approximati- 11 a. Les notations correctement écrites pour définir la
vement –1,8 ; –0,3 et 3,6. fonction f sont les notations ➊ et ➍ :
3 a. L’image de 0 par la fonction g est 1. f (x) = 3x + 1  et  f : x ∞ 3x + 1.
b. L’image de –4 par la fonction g est approximativement b. f (–1) = 3 × (–1) + 1 = –3 + 1 = –2.
égale à –2,5. Par la fonction f, l’image de –1 est –2.
c. Les antécédents de 1 par la fonction g sont 0 et 3. c. f (–4) = 3 × (–4) + 1 = –12 + 1 = –11. Donc c’est faux : par
L’antécédent de –2 par la fonction g est –3. la fonction f, –4 est un antécédent de –11, pas de 0.
d. Par exemple, 2,5 n’a pas d’antécédent par la fonction g. 12 a. La fonction qui à un nombre, associe son opposé
e. 0 a trois antécédents par la fonction g : –1 ; environ 3,5 est la fonction g.
et 6. b. À un nombre, la fonction f associe son double.
À un nombre, la fonction h associe sa moitié.
c. f (10) = 2 × 10 = 20
Je m’entraîne L’image de 10 par la fonction f est 20.
g(10) = –10
L’image de 10 par la fonction g est –10.
Connaître le vocabulaire des fonctions
1
h(10) = × 10 = 5
2
4 a. Cette notation définit une fonction f, la variable L’image de 10 par la fonction h est 5.
est t.
b. L’expression de f (t) est 2t + 8.
c. Pour calculer l’image d’un nombre par cette fonction, il
Utiliser un graphique
faut le multiplier par 2 et ajouter 8 au résultat.
5 a. 10 est l’image de 8 par la fonction g. 13 a. L’image de 2 est 3 ; l’image de 6 est 4 ; l’image de 1
b. 8 est un antécédent de 10 par la fonction g. est environ 1,6.

( )
6 • p(20) = 20 = 52 = 25
b. Les antécédents de 3 sont 2 et 8 ; l’antécédent de 1 est
2

4 0 ; les antécédents de 2 sont 10 et environ 1,2.


L’image de 20 par p est 25.
14 a. Le double de 3 est 6, son image est 3.
• On cherche un nombre x tel que p(x) = 9 c’est-à-dire
b. La moitié de 4 est 2, son antécédent est 5.
()x 2
4
= 9,
15 a. Ce graphique définit une fonction p qui à l’âge de
x x l’enfant (en mois), associe son poids (en kg).
soit = 3 ou = –3.
4 4 b. À 4 mois, l’enfant pesait 6 kg.
Ainsi, x = 12 ou x = –12.
Un antécédent de 9 par la fonction p est 12 ou –12. c. L’enfant pesait 4 kg à 1 mois. Il pesait 9 kg à 10 mois.
p(1) = 4 et p(10) = 9.
7 a. L’image de 4 est 2 par la fonction g.
d. p(0) = 3,3 signifie qu’à la naissance, l’enfant pesait 3,3 kg.
b. L’image de –5 est –2 par la fonction g.
16 1. a. On lit les images des nombres sur l’axe des
1
c. L’image de est –3 par la fonction g. ordonnées.
2
8 a. 1 a pour antécédent 0 par la fonction h. b. On lit les antécédents sur l’axe des abscisses.
b. –2 a pour antécédent 2,5 par la fonction h. 2. f (0,5) = 0, f (–1,5) = 1 et f (0) = 3.
c. 0 a pour antécédent –1 par la fonction h. 3. a. –2 n’a aucun antécédent.
b. –1 a un seul antécédent : 1.
9 a.
Notation mathématique En français
c. 0 a deux antécédents : 0,5 et environ 1,3.
f (7) = 2 L’image de 7 est 2. d. 1 a trois antécédents : –1,5 ; environ 0,3 et environ 1,4.
f (8) = –3 Un antécédent de –3 est 8. 4. Karim a raison car 3 a une infinité d’antécédents com-
f (4) = 5 4 a pour image 5. pris entre –1 et 0.
f (–6) = 1 1 a pour antécédent –6.
17 a. L’image par h de 0 est 1 ; l’image par h de –3 est 3.
b. f (–3) = 4 signifie que –3 a pour image 4 par la fonction f
b. Les antécédents par h de 2 sont approximativement
ou que 4 a pour antécédent –3 par la fonction f.
–4,6 ; –1,1 et 5,7 ; les antécédents par h de 0 sont approxi-
10 a. La fonction est f et la variable est x. mativement –5,7 ; 1 et 4,6.
b. La fonction est h et la variable est t. c. Les nombres x tels que h(x) = –1 sont environ –6 et 3.
c. La fonction est g et la variable est x. d. h(1) ≈ 0
d. La fonction est D et la variable est v. e. h(–1) ≈ 1,9

Chapitre 6 – Utiliser la notion de fonction  75 


18 1. Sur l’axe des abscisses, on peut écrire «  heure  » Utiliser une expression algébrique
et sur l’axe des ordonnées, on peut écrire « température,
en °C ». 25 C’est l’expression (2).
2. a. T(8) = 15, à 8 h la température était de 15 °C. 1
• T(12) = 23, à 12 h la température était de 23 °C. = 0,25 donc g(x) = 4 + 0,25x.
4
• T(14) = 24, à 14 h la température était de 24 °C. 26 a. 22 – 5 = 4 – 5 = –1 donc l’image de 2 est –1.
b. Les antécédents de 16 sont approximativement 4 h 15
b. 02 – 5 = –5 donc l’image de 0 est –5.
et 8 h 45.
La température a été de 16 °C, à environ 4 h 15 et 8 h 45. c. h(–5) = (–5)2 – 5 = 25 – 5 = 20
d. h(8) = 82 – 5 = 64 – 5 = 59
27 f (x) = –3x + 2
Utiliser un tableau a. f (1) = –3 × 1 + 2 = –3 + 2 = –1
L’image de 1 est –1.
19 a. 0 et 1 ont la même image : 3. b. f (0) = –3 × 0 + 2 = 0 + 2 = 2
L’image de 0 est 2.
b. 3 a pour antécédent 0.
c. f (–2) = –3 × (–2) + 2 = 6 + 2 = 8
20 On ne définit pas une fonction car, au nombre 4, on L’image de –2 est 8.
associe deux nombres différents : –7 et 1.
21 1 × 1,5 = 1,5 mais 4 × 1,5 = 6. () 2 2
d. f  = –3 × + 2 = –2 + 2 = 0
3 3
Les nombres et leurs images ne sont pas proportionnels. 2
L’image de est 0.
Ce n’est pas un tableau de proportionnalité. 3

22 a. 0 et 2 sont des antécédents de 5. 28 a. g(2) = 2(4 × 2 – 1) = 2(8 – 1) = 2 × 7 = 14


b. 0 a pour antécédent 3. b. g(0) = 0(4 × 0 – 1) = 0 × (–1) = 0
c. 2 est l’image de –1. c. g(–3) = –3(4 × (–3) – 1) = –3 × (–13) = 39
23 a. L’image de 2 par g est –2.
L’image de –2 par g est 5.
d. g( 12 ) = 12  (4 × 12 – 1) = 12  (2 – 1) = 12  
L’image de 5 par g est 10. 29 1. f (x) = x(x + 3)
b. Un antécédent de 2 par g est –1. 2. a. Vrai car f (–3) = –3(–3 + 3) = 0.
Un antécédent de –2 par g est 2.
b. Vrai car f (7) = 7(7 + 3) = 70.
Un antécédent de 5 par g est –2.
c. Faux car f (2) = 2(2+ 3) = 10.
c. Léa a tort : g(10) = 12. C’est g(–3) qui est égal à 10, elle a
confondu image et antécédent. d. Vrai car f (–4) = –4(–4 + 3) = 4.
d. h(a) = 10 pour a = –3 ou a = 5. 30 a. On cherche le nombre x tel que g(x) = 1.
–3x + 1 = 1
24 1. a. h(0) = 2,4 signifie que le ballon a été lancé à partir
–3x = 0
d’une hauteur de 2,4 m.
x = 0
b. h(0,5) = 4,4 L’antécédent de 1 par g est 0.
c. Les antécédents de 3 sont 0,1 et 1. b. On cherche le nombre x tel que g(x) = –2.
2. a. et b. –3x + 1 = –2
Échelle 1/2 –3x = –3
Hauteur (en m) x = 1
5,0
L’antécédent de –2 par g est 1.
4,5
c. On cherche le nombre x tel que g(x) = –1.
4,0 –3x + 1 = –1
3,5 –3x = –2
3,0 2
x =
3
2,5
2
2,0 L’antécédent de –1 par g est  .
3
1,5 d. On cherche le nombre x tel que g(x) = 0.
1,0 –3x + 1 = 0
0,5 –3x = –1
1
x =
O 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 3
Temps (en s) 1
L’antécédent de 0 par g est  .
3
 76
31 a. On cherche les nombres x tels que f (x) = 0 vérifient Pour trouver le nombre choisi, il suffit à Jane d’ajouter 1 au
(2x + 4)(x – 1) = 0. résultat obtenu.
Pour qu’un produit soit égal à 0, il faut et il suffit que l’un
des facteurs soit égal à 0. Utiliser des fonctions
Ainsi, 2x + 4 = 0 ou x – 1 = 0.
Soit x = –2 ou x = 1. 40 On pose AM = x.
Les antécédents de 0 par la fonction f sont –2 et 1.
a. Si 0 < x < 4, alors f (x) est l’aire d’un rectangle de dimen-
b. On cherche les nombres x tels que g(x) = 0, c’est-à-dire sions x et 3.
(3x – 7)(x + 9) = 0. f (x) = 3x donc f (3) = 3 × 3 = 9.
Pour qu’un produit soit égal à 0, il faut et il suffit que l’un
b. Si 4 < x < 7, alors f (x) est la somme de l’aire du rec-
des facteurs soit égal à 0.
tangle de dimensions 4 et 3 et de l’aire d’un rectangle de
g(x) = 0, c’est-à-dire 3x – 7 = 0 ou x + 9 = 0,
7 dimensions (x – 4) et 1.
soit x = ou x = –9. f (x) = 12 + x – 4 = 8 + x  donc f (6) = 8 + 6 = 14.
3 7
Les antécédents de 0 par la fonction g sont et –9. c. Si 7 < x < 10, alors f (x) est la somme des aires des rec-
3
tangles de dimensions 4 et 3, 3 et 1, (x – 7) et 4.
f (x) = 12 + 3 + 4(x – 7) = 15 + 4x – 28
Changer de mode de représentation donc f (x) = 4x – 13.
f (8) = 4 × 8 – 13 = 32 – 13 = 19
32 f (x) = 2x + 3
41 1. a. Pour une distance de 0 m la hauteur est de 1 m
33 a. p(3) = 2 × (7 + 3) = 2 × 10 = 20 donc la flèche est tirée d’une hauteur de 1 m.
b. p(5,5) = 2 × (7 + 5,5) = 2 × 12,5 = 25 b. La hauteur est égale à 0 pour une distance de 10  m
5,5 est bien un antécédent de 25 par la fonction p. donc la flèche retombe au sol à 10 m de Julien.
34 a. p(x) = 5x2 + 10 c. La hauteur maximum atteinte par la flèche correspond à
b. • p(–1) = 5 × (–1)2 + 10 = 5 × 1 + 10 l’ordonnée du plus haut point de la courbe. On lit approxi-
p(–1) = 5 + 10 = 15 mativement 3 m.
• p(3) = 5 × 32 + 10 = 5 × 9 + 10 2. a. f (4) = –0,1 × 42 + 0,9 × 4 + 1
p(3) = 45 + 10 = 55 donc f (4) = –1,6 + 3,6 + 1 = 3.
• p(0) = 5 × 02 + 10 = 5 × 0 + 10 = 10 f (5) = –0,1 × 52 + 0,9 × 5 + 1
donc f (5) = –2,5 + 4,5 + 1 = 3.
35 a. 5 → 5 + 3 = 8 → 8 × 2 = 16.
En choisissant le nombre 5, on obtient 16. b. La flèche s’élève à 3 m de hauteur lorsqu’elle est à 4 m
et à 5 m de Julien.
b. f (–4) = 2(–4 + 3) = 2 × (–1) = –2 Il semble qu’entre les deux, elle soit à plus de 3 m de hau-
c. f (x) = 2(x + 3) teur.
d. On cherche le nombre x tel que f (x) = 40. f (4,5) = –0,1 × 4,52 + 0,9 × 4,5 + 1 = 3,025
2(x + 3) = 40 3,025 . 3
x + 3 = 20 La flèche s’élève donc à plus de 3 m de hauteur.
x = 17 42 1. a.
L’antécédent de 40 par la fonction f est 17.
36 • Choisir un nombre.
• Multiplier par 4.
• Soustraire 7.
37 • Choisir un nombre.
• Élever au carré.
• Multiplier par 2.
• Ajouter 5.
38 a. f (x) = x2 – 2x
b. La variable x contient le nombre choisi par l’utilisateur.
b. En déplaçant le curseur, on peut observer que l’aire du
La variable y contient l’image de x par la fonction f.
polygone semble être toujours égale à 18 m2.
c.
2. Aire de ABCD : 62 = 36
x –1,5 –1 –0,5 0 0,5 1 1,5 6×t
f (x) 5,25 3 1,25 0 –0,75 –1 –0,75 Aire de ADE : = 3t
2
6 × (6 – t)
39 En notant x le nombre choisi au départ, Aire de ABF : = 3(6 – t) = 18 – 3t
2
(2,5x)2;6,25 – x S(t) = 36 – 3t – 3(6 – t) = 36 – 3t – 18 + 3t = 18
on calcule  .
x Donc, quelle que soit la valeur de t, l’aire de AECF est égale
(2,5x) ;6,25 – x 6,25x ;6,25 – x x2 – x x(x – 1)
2 2
à 18 m2.
= = = = x – 1.
x x x x

Chapitre 6 – Utiliser la notion de fonction  77 


43 a. et b. Dans la cellule B2, on peut saisir la formule c. • L’image de –4 est –56.
L’image de 8 est 16.
=0,3*B1+0,005*B1^2 et dans la cellule B3, on peut saisir
• 16 a pour antécédents 2 et 8.
la formule =0,3*B1+0,0075*B1^2  . 2. a.

c. Dans les cellules L3 et N2, on peut voir que la distance


d’arrêt par temps de pluie à 110 km/h est égale à la dis-
tance d’arrêt par temps sec à 130 km/h.

Je m’évalue à mi-parcours
44 c. 45 b. 46 b. 47 c. 48 c. 49 a.

Je m’entraîne avec Scratch et le tableur

50 1. a. et b.

b. • L’image de –5 est 105 ; l’image de –15 est 505.


• –20 a pour antécédents 0 et 20.
• 5 et 15 ont pour image –95.
• –20 est l’image de son opposé.
51 1.

2. a., b., c. et d.

 78
3. Au bout de 2 h le taux d’alcoolémie est de 0,8 g/L et au PARCOURS 3
bout de 2,5 h, il est de 0,7 g/L.
2 h 15 min = 2,25 h.
On peut estimer qu’au bout de 2 h 15 min, le taux d’alcoo-
lémie est de 0,75 g/L.

Parcours différenciés
52
PARCOURS 1

a. Après 10 mn de course, Hamza avait parcouru 4 km.


b. Pour parcourir 6 km, Hamza a mis 20 min.
Pour parcourir 9 km, Hamza a mis 40 min.
c. Au total, Hamza a parcouru 10 km en 50 min.

PARCOURS 2

a. La distance totale parcourue par Hamza est 10 km.


Hamza a mis 50 min pour effectuer cette course. J’utilise mes compétences
10
Vitesse moyenne : × 60 = 12 km/h. 54 a.
50
Pour cette course, Hamza a roulé à la vitesse moyenne de x 0 0,5 1 1,5 2
12 km/h. g(x) –3 –2,75 –2 –0,75 1
b. Hamza a roulé le plus vite pendant les 10  premières
b. Les valeurs de x sont sur l’axe des abscisses et celles de
minutes de la course.
g(x) sur l’axe des ordonnées, c’est donc le graphique de
droite qui peut représenter la fonction g.
PARCOURS 3
55 f (x) = (2x – 4)(x + 9)
Temps (en min) 0 10 20 30 40 50
Pour qu’un produit soit égal à 0, il faut et il suffit que l’un
Distante restante (en km) 10 6 4 3 1 0
des facteurs soit égal à 0.
Distance (en km)
f (x) = 0, c’est-à-dire 2x – 4 = 0 ou x + 9 = 0.
12 Ainsi, x = 2 ou x = –9.
10 Pour que le lutin dise « f (x) est égal à 0 », il faut choisir 2
8 ou –9.
6 56 a. f (0) = (0 – 1)(0 + 2) = –1 × 2 = –2
4 g(0) = 02 – 0 – (2 – 2 × 0) = –2
2 f (1) = (1 – 1)(1 + 2) = 0 × 3 = 0
g(1) = 12 – 1 – (2 – 2 × 1) = 0 – 0 = 0
O 10 20 30 40 50 60 Tom a raison.
Temps (en min ) b. (x – 1)(x + 2) = x2 + 2x – x – 2
Donc (x – 1)(x + 2) = x2 + x – 2.
53 f (x) = x2 + x – 2
PARCOURS 1 g(x) = x2 – x – (2 – 2x) = x2 – x – 2 + 2x
Donc g(x) = x2 + x – 2
a. Le prix à payer pour une lettre verte de 15 g est 1,08 €. Quel que soit le nombre x choisi, f (x) = g(x).
b. • Le prix à payer pour une lettre verte de 30 g est 2,16 €. Emma a raison.
• Le prix à payer pour une lettre verte de 60 g est 2,16 €.
• Le prix à payer pour une lettre verte de 120 g est 3,94 €. 57 1. Dans la cellule B2, on a saisi =B1/5+1  .
c. Les tarifs ne sont pas proportionnels aux masses car 5
2. a. Vrai car g(5) = + 1 = 1 + 1 = 2.
on paie le même prix pour une lettre de 30 g et pour une 5
lettre de 60 g. 1

PARCOURS 2
b. Faux car g ()
1
2
= 2 +1=
5
1
10
11
+ 1 =  .
10
a. 1,08 + 2,16 + 5,91 = 9,15 3 3 5 8 8
c. Vrai car g(3) = + 1 = + = et = 1,6.
Victor dépensera 9,15 €. 5 5 5 5 5
b. Lina sait que sa lettre pèse plus de 250 g et moins de 4 4 5 9 9
d. Faux car g(4) = + 1 = + = et ≠ 15.
500 g. 5 5 5 5 5

Chapitre 6 – Utiliser la notion de fonction  79 


58 Sur le graphique pour la machine A, on lit qu’à moins
de 5 m de la machine le niveau de bruit dépasse les 85 dB.
Sur le graphique pour la machine B, on lit que le niveau
de bruit dépasse les 85 dB lorsqu’on se trouve à moins de
10 m de la machine.
Le port d’un casque antibruit est donc obligatoire quand
on se trouve à moins de 10 m de la machine B.
59 f (41) = 43 × 41 – 422
f (41) = (42 + 1) × (42 – 1) – 422
On utilise l’identité (a + b)(a – b) = a2 – b2.
Ainsi, (42 + 1) × (42 – 1) = 422 – 12
et f (41) = 422 – 12 – 422 = –12
Donc f (41) = –1.
60 Chaque petit segment a une longueur égale à x  cm.
3
Le contour de l’étoile bleue se compose de 12 petits seg-
ments.
x
Donc P(x) = 12 × soit P(x) = 4x.
3
61 1. Dans la cellule B2, Fazia a saisi la formule :
=B1/(B1+5)  .

2. Dans la cellule H2, le calcul demandé correspond à 5


divisé par 0 ce qui est mathématiquement impossible. Avec la calculatrice ou le tableur, on trouve que L = 870
Lorsqu’un nombre est divisé par 0, le logiciel affiche le pour n = 28.
message d’erreur « #DIV/0! ». On aura alors 28 + 2 soit 30 points alignés.
3. a. Les nombres affichés dans les cellules B2 et E2 sont
63 Sur le graphique, la vitesse diminue quand la voiture
des valeurs approchées.
est dans un virage. Le circuit contient trois virages. On
–1 1 peut donc éliminer les circuits A et E.
b. f (–1) = =
–1 – 5 6 Sur le graphique, on remarque que la vitesse de la voiture
2 2 diminue le plus au 2e virage. On remarque aussi que la dis-
f (2) = = – 
2–5 3 tance entre le 1er et le 2e virages est un peu plus courte que
62 Départ : L = 2 × 1 pour 2 points alignés. la distance entre le 2e virage et le 3e.
Étape 1 : L = 2 × (1 + 2) pour 3 points alignés. Sur le circuit C, les virages sont à peu près identiques et les
Étape 2 : L = 2 × (1 + 2 + 3) pour 4 points alignés. distances entre les virages aussi. On peut donc éliminer ce
Étape 3 : L = 2 × (1 + 2 + 3 + 4) pour 5 points alignés. circuit.
Étape 4 : L = 2 × (1 + 2 + 3 + 4 + 5) pour 6 points alignés. Sur le circuit D, la distance entre le 1er et le 2e virages est
… plus grande que celle entre le 2e et le 3e virages. On peut
Étape n : L = 2 × (1 + 2 + … + n + n + 1) pour n + 2 points donc éliminer ce circuit.
alignés. Conclusion : la voiture roulait sur le circuit B.
L = 870 cm lorsque 2 × (1 + 2 + … + n + n + 1) = 870.
64 P(x) = 4 × (x + 6) et A(x) = (x + 6)2.
Soit 1 + 2 + … + n + n + 1 = 435.
851,84 = 7,2
!(x) = 51,84 pour x + 6 = 7,2
Ainsi, x = 7,2 – 6 = 1,2
P(1,2) = 4 × 7,2 = 28,8
Lorsque l’aire du carré est égale à 51,84 cm2, son périmètre
est égal à 28,8 cm.
65 On note t la durée, en h, passée après 11 h.
• La distance parcourue par le premier pilote est :
d1(t) = 40(t + 2).
La distance parcourue par le deuxième pilote est :
d2(t) = 30(t + 1).
La distance parcourue par le troisième pilote est :
d3(t) = 60t.
• La distance séparant le premier pilote du troisième est
égale à 40(t + 2) – 60t.
On note f la fonction qui à une durée t, en h, associe cette
distance.

 80
3 5
Ainsi f (t) = –20t + 80. = 0,5 et , 0,5.
6 11
f (4) = 0 donc le troisième pilote rattrapera le premier au L’affirmation est fausse.
bout de 4 h soit à 15 h.
4. 3x(5 – 4x) = 3x × 5 – 3x × 4x = 15x – 12x2
• La distance séparant le troisième pilote du deuxième est
L’affirmation est vraie.
égale à 60t – 30(t + 1).
On note g la fonction qui à une durée t, en h, associe cette 67 60 % × 5 V = 3 V
distance. Cette tension est atteinte au bout de 0,09 s.
Ainsi g(t) = 30t – 30.
68 a. h(t) = (–5t – 1,35)(t – 3,7)
g(1) = 0 donc le troisième pilote rattrapera le deuxième au
h(t) = –5t2 + 5 × 3,7t – 1,35t + 1,35 × 3,7
bout de 1 h soit à 12 h.
h(t) = –5t2 + 18,5t – 1,35t + 4,995
• L’heure cherchée se situe entre 12 h et 15 h soit pour une
h(t) = –5t2 + 17,15t + 4,995
valeur de t comprise entre 1 et 4.
L’affirmation est fausse.
On obtient les tableaux de valeurs suivants :
x 1 2 3 4
b. Gaëtan quitte la rampe au temps t = 0.
f (x) 60 40 20 0
h(0) = 4,995.
Graphiquement on voit que h(0) ne peut pas être inférieur
x 1 2 3 4 à 5.
g(x) 0 30 60 90 L’affirmation est fausse.
On place ces points dans un repère et on obtient le gra- c. On lit sur le graphique que Gaëtan retombe au bout
phique suivant : d’environ 3,7 s.
L’affirmation est vraie.
d. h(3,5) = (–5 × 3,5 – 1,35)(3,5 – 3,7)
h(3,5) = (–17,5 – 1,35)(3,5 – 3,7)
h(3,5) = –18,85 × (–0,2) = 3,77
L’affirmation est vraie.
e. D’après le graphique, la hauteur maximum est atteinte
entre 1,5 s et 2s.
L’affirmation est fausse.
69 a. f (x) = 4(x – 5)
g(x) = 6x – 20 – 2x donc g(x) = 4x – 20.
b. f (–2) = 4(–2 – 5) = 4 × (–7) = –28
g(–2) = 4 × (–2) – 20 = –8 – 20 = –28
En choisissant –2, les deux programmes donnent –28
pour résultat.
c. Dans la cellule B2, on a saisi la formule =4*(A2-5)  .
d. f (x) = 4(x – 5) = 4 × x – 4 × 5 = 4x – 20 = g(x)
Les distances sont égales pour t = 2,2. Pour tout nombre x, f (x) = g(x).
2,2 h = 2 h 12 min Lucie a raison.
Le troisième pilote sera à égale distance des deux autres 70 1. a. L = BC + CD + DE + EF
à 13 h 12. L = 5 + (15 + 4) + (6 + 5) + 15
L = 5 + 19 + 11 + 15 = 50
Leïla utilise les 50 m de grillage.
Dossier Brevet b. OC = 6 m + 5 m =11 m
OE = 4 m + 15 m = 19 m
66 1. 4x + 1 = 9x – 6 A = OC × OE = 11 m × 19 m = 209 m2
4x – 9x = –6 – 1 L’aire de l’enclos OCDE est égale à 209 m2.
–5x = –7
2. A(5) = –52 +18 × 5 + 144
7
x = = 1,4 A(5) = –25 + 90 + 144 = 209
5
La solution de l’équation n’est pas 1,2. On retrouve bien le résultat de la question 1.
L’affirmation est fausse. 3. a. Dans la cellule F2, la formule inscrite est :
2. f (–1) = 5 – 3 × (–1) = 5 + 3 = 8 =-F1*F1+18*F1+144
L’image de –1 par f est 8. b. 225 est l’aire maximum, elle est obtenue pour x = 9.
L’affirmation est fausse. Leïla va choisir BC = 9 m pour obtenir un enclos d’aire
3. De 1 à 11, les nombres premiers sont 2, 3, 5, 7 et 11. maximum.
Il y a donc 5 possibilités sur 11. c. OC = 6 + 9 = 15
De 1 à 6, les nombres pairs sont 2, 4 et 6. OE = 225 : 15 = 15
Il y a donc 3 possibilités sur 6. L’enclos obtenu est un carré de côté 15 m.

Chapitre 6 – Utiliser la notion de fonction  81 


71 70 % × 190 = 133 Chris a fourni un effort léger de 9 h 33 à 9 h 41, puis il a
85 % × 190 = 161,5 fourni un effort soutenu de 9 h 41 à 10 h14 et il a fourni un
La fréquence cardiaque de Chris n’a pas dépassé effort léger de 10 h 14 à 10 h 30.
161,5 bat/min. 72
Fréquence cardiaque (en bat./min) Hauteur (en m)
180 7
160 ≈ 5,8 6
140 ≈ 133 5
4
120
3
100 2
80
≈ 0,75 1
60 0
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
40 8 h 15 14 h 30 Heure
20
≈8 ≈ 41 5,8 – 0,75
0 C≈ × 100 soit C ≈ 75,8
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 5,34
Durée (en min) C . 70
9 h 33 min + 8 min = 9 h 41 min La marée était une marée de vives-eaux.
9 h 33 min + 41 min = 10 h 14 min

 82
7 Utiliser les
fonctions linéaires

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 et le début des spécificités du langage mathématique par rapport à
la langue française ».
du cycle 4 À la question d., on attire l’attention sur le fait que, dans
●  La notion de fonction ne fait pas partie des programmes la situation concrète, les valeurs prises par la variable
de cycle 3 mais plusieurs thèmes abordés permettent de doivent être entières et positives. On définit alors ce qu’est
préparer son étude. une fonction linéaire dans sa généralité.
● L’utilisation de formules pour le calcul du périmètre du À la question 2, on propose une situation qui peut être
carré et du cercle a donné lieu à des activités préparant modélisée par une fonction qui n’est pas une fonction
la compréhension de la notion de fonction linéaire. Dès linéaire.
le CM1, les élèves ont commencé à identifier et à résoudre
Activité 2
des problèmes de proportionnalité portant sur des grandeurs.
En 6e, ils ont remobilisé les procédures déjà étudiées pour L’objectif de cette activité est, conformément au pro-
résoudre des problèmes relevant de la proportionnalité en les gramme, de travailler la compétence «  représenter  » en
enrichissant par l’utilisation du coefficient de proportionnalité. proposant une situation (fonction reliant puissance et
énergie) permettant des changements de cadres.
● Dans les attendus de fin d’année de 5 , les élèves recon-
e
À la question 1, on passe d’un tableau à un graphique en
naissent une situation de proportionnalité entre deux gran-
réinvestissant la caractérisation graphique d’une situation
deurs et résolvent des problèmes de proportionnalité dans
de proportionnalité vue en 4e.
des situations diverses.
À la question 2, on passe d’un graphique à une formule en
Dans les attendus de fin d’année de 4e, les élèves recon-
déterminant le coefficient de proportionnalité correspon-
naissent sur un graphique une situation de proportionnalité
dant à la situation.
ou de non-proportionnalité. Ils utilisent une formule liant
deux grandeurs dans une situation de proportionnalité.
Ainsi, dès le début du cycle 4, les cas de proportionna- 3 Cours - J’applique le cours
lité de deux grandeurs ont permis d’aborder la notion de Cours
fonction linéaire mais sans formalisation et sans que le ● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe  1
terme de fonction linéaire ne soit énoncé. « Fonction linéaire ».
Remarque. La notion de fonction, le vocabulaire et les ● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe  2
notations ont été introduits dans le chapitre 6 précédent. « Représentation graphique d’une fonction linéaire ».
J’applique le cours
2 Je découvre Exercice résolu 1
Activité 1 Dans cet exercice, on présente la procédure de recherche
L’objectif de cette activité est, dans la question 1, de recon- d’image et d’antécédent d’un nombre par une fonction
naître une situation de proportionnalité et de modéliser linéaire. Il est précisé dans les programmes de cycle 4 que
cet exemple par une fonction. On profite de cette activité ces procédures doivent être mémorisées ou automatisées.
pour réinvestir la notion de fonction et introduire le cas À la question a., on présente la procédure qui permet de
particulier de la fonction linéaire en mettant en avant le calculer l’image d’un nombre par une fonction linéaire. À la
processus caractéristique de ce type de fonctions décrit question b., on présente la procédure qui permet de déter-
par une formulation du type : « on multiplie … par … ». miner l’antécédent d’un nombre par une fonction linéaire.
À la question c., on utilise les notations des fonctions Exercice résolu 4
vues au chapitre  6. On travaille ainsi, conformément au Cet exercice propose, conformément au programme, de
programme, la compétence « modéliser » et en particu- travailler la compétence « représenter graphiquement une
lier «  Traduire en langage mathématique une situation fonction linéaire ». Dans nos conseils, on met en avant le
réelle ». Cette question sera aussi l’occasion de réinvestir fait que le choix d’un point à coordonnées entières faci-
le vocabulaire (image, antécédent) et de travailler la com- lite la tâche et permet d’obtenir une plus grande précision
pétence «  communiquer  » et en particulier «  Distinguer pour le tracé de la droite.

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  83 


4 Compléments tains utilisent alors la représentation graphique d’une
fonction linéaire.
Expressions algébriques et calculs
● On retrouve aussi de nombreux autres exercices utilisant
● Les exercices de la rubrique «  Connaître les fonctions
des modélisations de situations dans la suite du chapitre,
linéaires » permettent de travailler la notion de fonction en particulier dans les Parcours différenciés.
linéaire. Les élèves sont amenés à reconnaître si une fonc-
tion est linéaire à partir de son expression symbolique ou Représentations graphiques
de la donnée de nombres et de leurs images ou d’un pro- D’après le programme, les élèves doivent avoir mémorisé
gramme de calcul. l’allure de la représentation graphique d’une fonction linéaire
Les exercices 12 et 13 proposent de déterminer l’expres- et doivent savoir représenter graphiquement une fonction
sion symbolique d’une fonction linéaire à partir de la don- linéaire.
née d’un nombre et de son image. ● Les exercices 36 à 41 de la rubrique « Représenter gra-

● Dans la rubrique «  Calculer une image ou un antécé-


phiquement une fonction linéaire » entraînent les élèves à
dent », les exercices proposés permettent d’entraîner les passer de l’expression symbolique d’une fonction linéaire
élèves à la procédure de calculs d’images et d’antécédents à sa représentation graphique.
par une fonction linéaire. À l’inverse, les exercices 44 à 47, entraînent les élèves à
passer de la représentation graphique d’une fonction
Modélisations de situations linéaire à son écriture symbolique.
● Dans les exercices de la rubrique « Modéliser des situa-
● Dans de nombreux autres exercices de ce chapitre, les
tions », conformément au programme et aux attendus de élèves sont amenés à lire, interpréter ou tracer des repré-
fin d’année de 3e, les élèves sont amenés à modéliser une sentations graphiques de fonctions linéaires, en particu-
situation de proportionnalité à l’aide d’une fonction linéaire. lier dans les exercices 76 à 80 des pages « Dossier Brevet ».
● Dans la rubrique «  Utiliser les fonctions linéaires  »,
d’autres exemples de modélisations sont proposés. Cer-

CORRIGÉS

Bien démarrer b.
1. a et c ; 2. a, b et c ; 3. a et b ; 4. a ; 5. c. E (en Wh)
70
60
Je découvre 50
Activité 1 40
1 a. 30
Nombre de tickets achetés 1 5 10 15 20 20
Prix payé (en €) 1,50 7,50 15 22,50 30 10
t (en h)
b. On obtient le prix à payer en multipliant le nombre de
O 0,5 1 1,5 2 2,5
tickets achetés par 1,5.
Le tableau précédent est un tableau de proportionnalité. Les points sont alignés avec le point O.
c. f (10) = 15 signifie que le prix de 10 tickets est égal à
2 a. Sur le graphique on lit que 60 = P × 1 donc P = 60.
15 €.
L’ampoule utilisée a une puissance de 60 W.
d. f (–5) = –5 × 1,5 = –7,5    f (1,5) = 1,5 × 1,5 = 2,25 b. g(t) = 60t
On ne peut pas interpréter ces résultats pour la situation
étudiée car le nombre de tickets achetés ne peut être
qu’un nombre entier positif.
J’applique le cours
2 La fonction qui modélise le prix payé avec la carte est
la fonction x ∞ 20 + 0,5x. 2 a. • f (9) = –1,6 × 9 = –14,4
Cette fonction n’est pas une fonction linéaire car elle n’est L’image de 9 par f est –14,4.
pas du type x ∞ ax. • f (–4,5) = –1,6 × (–4,5) = 7,2
L’image de –4,5 par f est 7,2.
Activité 2 • f (24,125) = –1,6 × 24,125 = –38,6
20 30 40 50 60 70 L’image de 24,125 par f est –38,6.
1 a. = = = = = = 40
0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75
On passe de la 1 ligne du tableau à la 2 en multipliant
re e • f (–0,08) = –1,6 × (–0,08) = 0,128
par 40 donc ce tableau est un tableau de proportionnalité. L’image de –0,08 par f est 0,128.
On a E = 40 × t donc l’ampoule utilisée a une puissance b. On cherche un nombre x tel que f (x) = –8 c’est-à-dire tel
de 40 W. que –1,6x = –8.

 84
Ainsi, x = –8;(–1,6) = 5. 8 En 1 tour de pédalier, Lucas parcourt 26 m, c’est-à-dire
L’antécédent de –8 par f est 5. 5
5,2 m. Le coefficient de la fonction g est 5,2 et g(x) = 5,2x.
3 a. g(9) = –2,4 × 9 = –21,6
9 a. Pour les valeurs du tableau, on a g(x) = 2,5x.
b. On cherche un nombre x tel que g(x) = –8, c’est-à-dire
Donc g peut être la fonction linéaire de coefficient 2,5.
tel que –2,4x = –8.
–8 10 b. h(0) ≠ 0 donc la fonction h ne peut pas être une fonction
Ainsi, x = =  .
–2,4 3 linéaire.
10
L’antécédent de –8 par g est  .
3 10 • P1(x) = 7x + 2
• On cherche un nombre x tel que g(x) = 2,88, c’est-à-dire On ne peut pas associer une fonction linéaire au pro-
tel que –2,4x = 2,88. gramme P1.
2,88 6 7x
Ainsi, x = = –  = –1,2 • P2(x) = 7x;2 = = 3,5x
–2,4 5 2
L’antécédent de 2,88 par g est –1,2. On peut associer au programme P2 la fonction linéaire de
• On cherche un nombre x tel que g(x) = –26,4, c’est-à-dire coefficient 3,5.
tel que –2,4x = –26,4. • P3(x) = x + 4
–26,4
Ainsi, x = = 11. On ne peut pas associer une fonction linéaire au pro-
–2,4
L’antécédent de –26,4 par g est 11. gramme P3.
1
• On cherche un nombre x tel que g(x) = 252, c’est-à-dire • P4(x) = x : 2 =  x
2
tel que –2,4x = 252.
On peut associer au programme P4 la fonction linéaire de
252
Ainsi, x = = –105. 1
–2,4 coefficient  .
L’antécédent de 252 par g est –105. 2
2 11 a. g(x) = x + 7 donc g(x) n’est pas de la forme ax.
5 g(–5) = –  × (–5) = 2
5 La fonction g n’est pas une fonction linéaire.
La droite représentant la fonction g passe par l’origine du
b. On peut remplacer la ligne (1) par :
repère et par le point A(–5 ; 2).

A 2
1 La fonction g serait alors la fonction linéaire de coeffi-
cient 7.
–5 O 1
• On peut remplacer la ligne (1) par :
(d)

5
6 k(4) = ×4=5
4
La droite représentant la fonction k passe par l’origine du
repère et par le point A(4 ; 5). La fonction g serait alors la fonction linéaire de coefficient
1
(d )
 .
7

5
A 12 a × 3 = 5 soit a = 5  .
3
5
Ainsi, f (x) = x.
3
13 a. a × 4 = 120 soit a =120;4 = 30.
1
Ainsi, f (x) = 30x.
b. a × (–10) = 8 soit a = 8;(–10) = –0,8.
O 1 4 Ainsi, f (x) = –0,8x.
14 a. a × 5 = 8 soit a = 8 = 1,6.
5
b. h(2,5) = 2,5 × 1,6 = 4
Marine a raison.
Je m’entraîne h(7,5) = 7,5 × 1,6 = 12
Abdel a raison.
Connaître les fonctions linéaires 15 –7;2 = –3,5  et  35;(–10) = –3,5.
Donc g(2) = –3,5 × 2 et g(–10) = –3,5 × (–10).
7 a. Non b. Oui, a = 4 c. Oui, a = –1,8 La fonction g peut être linéaire.
2 Dans ce cas, son coefficient est –3,5 donc g(x) = –3,5x.
d. Non e. Oui, a = f. Non
3

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  85 


Calculer une image ou un antécédent b. L’aire d’un disque de rayon r est égale à πr 2. Cette situa-
tion peut être modélisée par la fonction f : x ∞ πx 2.
f (x) n’est pas de la forme ax. Donc cette fonction n’est pas
16 a. On calcule l’image de 16 par la fonction f.
une fonction linéaire.
b. On calcule l’antécédent de 16 par la fonction f.
25 Le prix de 1 DVD est égal à 59,70 €;6.
17 a. f (–3) = 7 × (–3) = –21 60 €;6 = 10 € et 0,30 €;6 = 0,05 €
b. 7x = 4,2 pour x = 4,2;7 = 0,6 10 € – 0,05 € = 9,95 €
c. L’image de 4 est 7 × 4 soit 28. Chaque DVD est vendu au prix de 9,95 €.
d. L’antécédent de –350 est –350;7 soit –50. Cette situation peut être modélisée par la fonction linéaire
de coefficient 9,95.
18 Dans le cas d’une fonction linéaire, les images sont
proportionnelles aux antécédents. 26 a. p(x) = 2,5x donc p est la fonction linéaire de coeffi-
• 9 = 3 × 3 donc g(9) = 3 × g(3). cient 2,5.
Ainsi, g(9) = 3 × 4 = 12. b.
• –6 = –2 × 3 donc g(–6) = –2 × g(3). x 0 1 2,4 4,5 6
Ainsi, g(–6) = –2 × 4 = –8. p(x) 0 2,5 6 11,25 15
19 a. f (–3,4) = 5 × (–3,4) = –17 c. p(5) = 2,5 × 5 = 12,5
L’image de –3,4 par f est –17. Pour la situation, cette égalité signifie que 5 kg d’abricots
b. On cherche un nombre x tel que f (x) = 18,2, c’est-à-dire coûtent 12,50 €.
tel que 5x = 18,2.
27 a. h(10) = 16 soit a × 10 = 16
Ainsi, x = 18,2;5 = 3,64.
c’est-à-dire a = 16;10 = 1,6. Ainsi h(x) = 1,6x.
L’antécédent de 18,2 par f est 3,64.
h est la fonction linéaire de coefficient 1,6.
20 a. g(3) = –3,5 × 3 = –10,5 b. h(121) = 1,6 × 121 = 193,6
L’image de 3 est –10,5. La distance entre Los Angeles et San Diego est 193,6 km.
b. On cherche un nombre x tel que g(x) = –14, c’est-à-dire
c. 313;1,6 = 195,625
tel que –3,5x = –14.
La distance entre Lyon et Marseille est d’environ 196 miles.
Ainsi, x = –14;(–3,5) = 4.
L’antécédent de –14 est 4. 28 a. 3(x) = 2(2x + x) = 2 × 3x = 6x
c. g(–16) = –3,5 × (–16) = 56 3 est la fonction linéaire de coefficient 6.
d. On cherche un nombre x tel que g(x) = 21, c’est-à-dire b. !(x) = 2x × x = 2x2
tel que –3,5x = 21. ! n’est pas une fonction linéaire.
Ainsi, x = 21;(–3,5) = –6. 29 x désigne le salaire annuel en €.
Le nombre qui a pour image 21 est –6. 1
Le montant de la prime, en €, est égal à  x.
21 a. k ()
9
2
9
4 9
= × =6
3 2 1
12
Le revenu annuel total est égal à x +  x soit   x.
13
L’image de est 6. 12 12
2 La fonction qui modélise la situation est la fonction linéaire
b. On cherche un nombre x tel que k(x) = 5, c’est-à-dire tel 13
de coefficient  .
4 12
que  x = 5.
3
3 15 30 1. a. 1 680;12 = 140
Ainsi, x = 5 × =  .
4 4 140 m parcourus rapportent 1 point.
15
L’antécédent de 5 est  . 2 030;140 = 14,5
4
Lou a eu une note de 14,5.
22
b. 20 × 140 = 2 800
x –3 –2,5 –1,5 –0,75 0 5
Pour avoir une note de 20, il faut avoir parcouru 2 800 m.
h(x) 9,6 8 4,8 2,4 0 –16
2. N(2 030) = 14,5 et N(2 800) = 20.
23 a. Dans la cellule B1, il doit saisir =B2/5  . 31 a. f (t) = 900t
b. Dans la cellule B3, il doit saisir =B2*5  . b. f (1,5) = 900 × 1,5 = 1 350
• f (4) = 900 × 4 = 3 600
Modéliser des situations • f (5,5) = 900 × 5,5 = 4 950
c. On cherche un nombre x tel que f (x) = 4 050, c’est-à-dire
24 a. Le périmètre d’un triangle équilatéral de côté x est tel que 900x = 4 050.
égal à 3x. Ainsi x = 4 050;900 = 4,5.
Cette situation peut donc être modélisée par la fonction L’antécédent de 4 050 par la fonction f est 4,5.
linéaire de coefficient 3. L’avion parcourt 4 050 km en 4,5 h c’est-à-dire en 4 h 30 min.

 86
32 7 + 11 + 14 + 18 = 50 38 a. et b. La droite représentant la fonction linéaire
Ses enfants ont 50 ans à eux quatre. h :  x ∞ –3,5x passe par l’origine du repère et par le point
100;50 = 2. Olga peut donner 2 noisettes par an. A(1 ; –3,5).
Ses enfants recevront l’équivalent du double de leur âge
en noisettes soit respectivement 14, 22, 28 et 36 noisettes.
1

1
Représenter graphiquement
O
une fonction linéaire

33 ➊ Non car ce n’est pas une droite.


➋ Oui, a = 0,5.
➌ Non car la droite ne passe pas par l’origine du repère.
34 L’ordonnée de A est 1,5 × 4 soit 6. –3,5
A
35 a. h(0) = 0 donc A ” (d).
b. h(–1) = 5 donc B [ (d).
c. h(10) = –50 donc C ” (d). 39 h(7) = –  2 × 7 = –2
7
d. h(0,2) = –1 donc D [ (d). La droite représentant graphiquement la fonction h passe
36 a. f (3) = –0,8 × 3 = –2,4 par l’origine du repère et par le point A de coordonnées
Donc l’image de 3 par f est –2,4. (7 ; –2).
b. On cherche un nombre x tel que f (x) = –4, c’est-à-dire tel
que –0,8x = –4. 1
Ainsi, x = –4;(–0,8) = 5. 7
L’antécédent de – 4 par f est 5. O 1
c. La droite (d) passe par l’origine du repère. A
–2
D’après b., f (5) = –4 donc (d) passe par le point A(5 ; –4).

1
(d ) 5
O 1 40 a. La droite représentant la fonction linéaire g définie
par g(x) = –2,5x passe par l’origine du repère et par le point
C (1 ; –2,5).

–4
A
B

37 a. La droite représentant la fonction linéaire de coeffi-


cient 5 passe par l’origine du repère et par le point A(1 ; 5).
1
1 2
A
5 –1,5 O

C
–2,5

1
–5
A
O 1
(d )
b. Sur le graphique, on lit que A a pour ordonnée –5.
b. La droite représentant la fonction linéaire g : x ∞ –2x g(2) = –2,5 × 2 = –5
passe par l’origine du repère et par le point A(1 ; –2). c. Sur le graphique, on lit que B a pour abscisse –1,5.
On cherche un nombre x tel que g(x) = 4, c’est-à-dire tel
1 que –2,5x = 4.
1 Ainsi, x = 4;(–2,5) = –1,5.
O
41 a. La droite (d) représentant la fonction linéaire de
A
–2 coefficient 6 passe par l’origine du repère et par le point
de coordonnées (1 ; 6).

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  87 


46 a. h(–4) = –3 donc a = –3 = 0,75.
–4
(d ) h(2) = 0,75 × 2 = 1,5
6
Le résultat est cohérent avec la lecture graphique.
2 2
b. h(–3) = 2 donc a = = –  .
–3 3
2 4
h(2) = –  × 2 = – 
3 3
Le résultat est cohérent avec la lecture graphique.
1 47 f (1) = 3 donc, pour f, a = 3 = 3. Donc f (x) = 3x.
1
O 1 1
1 g(3) = 1 donc, pour g, a =  . Donc g(x) = x.
3 3
2 1 1
h(–4) = 2 donc, pour h, a = = –   . Donc h(x) = –  x .
–4 2 2
b. • 6 × 0,5 = 3 donc le point A (0,5 ; 3) appartient à la droite
(d).
• 6 × (–1,25) = –7,5 donc le point B (–1,25 ; –7,5) n’appar- Utiliser les fonctions linéaires
tient pas à la droite (d).
48 1. a. Le mousseur permet d’économiser 20 L d’eau par
42 Le point A(6 ; 9) appartient à la droite représentant la
douche. Pour x douches, on économise 20x L d’eau.
9
fonction linéaire f donc f (6) = 9. Ainsi f (x) =  x = 1,5x. b. 1 000 L = 50 × 20 L
6
a. L’image de 9 par la fonction f est 1,5 × 9 soit 13,5. L’affir- 20 L d’eau chaude reviennent donc à 5,50;50 soit 0,11 €. Le
mation est fausse. mousseur permet donc d’économiser 0,11 € par douche.
Donc g(x) = 0,11x.
b. f (18) = 1,5 × 18 = 27. L’affirmation est vraie.
2. a. g(4) = 0,11 × 4 = 0,44
c. f (2) = 1,5 × 2 = 3. L’affirmation est vraie. La famille économise 0,44 € par jour.
43 10,95;0,44 ≈ 24,9
La famille aura remboursé l’achat du mousseur en 25 jours.
1 (d)
b. 4 × 365 = 1 460
0,5 La famille prend 1 460 douches par an.
–1
g(1 460) = 0,11 × 1 460 = 160,6
–2 O 1 2
– 0,5 Sur une année, la famille économise 160,60 €.
–1 49 a. Le volume, en m3, du réservoir est égal à 3 × 2,5 × x
c’est-à-dire à 7,5x.
Il peut donc être modélisé par la fonction f : x ∞ 7,5x.
a. L’image de 1 par la fonction f est 0,5.
b. f (0,5) = 7,5 × 0,5 = 3,75
b. f (–1) = –0,5
f (1,5) = 7,5 × 1,5 = 11,25
c. L’antécédent de 1 par la fonction f est 2. Pour 0,5 < x < 1,5, la fonction f est représentée par le
44 a. Quand x augmente de 1, y diminue de 2 donc le segment ayant pour extrémités les points (0,5 ; 3,75) et
coefficient de la fonction linéaire g représentée est –2. (1,5 ; 11,25).
g(x) = –2x. Volume du réservoir (en m3 )
12
b. Quand x augmente de 1, y augmente de 3 donc le coef- 11,25
ficient de la fonction linéaire g représentée est 3. g(x) = 3x.
45 1. La représentation graphique de la fonction f est
une droite qui passe par l’origine du repère donc f est une 9
fonction linéaire.
2.
(d)
2
6
1
1 4
–4 O
–1 3,75
–2 3

a. L’image de 2 est –1.


b. L’antécédent de –2 est 4.
0
3. f (x) = –0,5x 0 0,5 1,0 1,5 2,0
x
 88
c. L’antécédent de 9 par la fonction f est 1,2. 2. a. Il faut affecter à la variable Change :
Le réservoir a un volume de 9 m3 soit 9 000 L lorsque x est
égal à 1,2 m.
50 a. A(x) = 12x – 4x = 12x – 2x = 10x
2
b. On cherche le nombre x tel que 10x = 45. b. Avec l’exemple utilisé précédemment, on obtient :
x = 45;10 = 4,5
L’antécédent de 45 par la fonction A est 4,5.
L’aire du domaine jaune est égale à 45 cm2 lorsque la lon-
gueur x est égale à 4,5 cm.
51 a. f (x) = 3,2x
b. f (20) = 64
Dans un repère, lorsque x > 0, la fonction f est représentée
par la demi-droite d’origine O passant par le point A de
coordonnées (20 ; 64).
Échelle : 0,5 Prix (en euro)

160

58 1. a. Le réservoir A est vide au départ et la hauteur


d’eau augmente de 3 cm par minute. Au bout de x min, la
hauteur d’eau dans le réservoir A est égale à 3x cm.
Donc f (x) = 3x.
64 A Le réservoir B a une hauteur d’eau de 200 cm au départ
et la hauteur d’eau diminue de 5 cm par minute. Au bout
de x min, la hauteur d’eau dans le réservoir B est égale à
20 (200 – 5x) cm.
Donc g(x) = 200 – 5x.
O 10 20 50
b. La fonction f est la fonction linéaire de coefficient 3.
Nombre de kilomètres parcourus
2. a. et b.
c. Le point de la demi-droite ayant pour ordonnée 160 a
pour abscisse 50.
Pour 160 €, on peut parcourir 50 km.

Je m’évalue à mi-parcours
52 a. 53 c. 54 b. 55 c. 56 b.

c.
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur

57 1. a. et b. La variable Change contient la somme


obtenue dans la devise souhaitée.
Cette somme est proportionnelle au montant que l’on
souhaite changer. Le coefficient de proportionnalité est le
taux de change.
Ainsi Change = Montant × Taux.
c. Par exemple, pour 150 € en Livre sterling.

3. Le point d’intersection des deux segments a pour abs-


cisse 25.
L’eau est à la même hauteur dans les deux réservoirs au
bout de 25 minutes.

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  89 


PARCOURS 2
Parcours différenciés 25
a. V(x) =  x
59 3
PARCOURS 1
b. 30 mL = 30 cm3
25
a. Avec le tarif 1, Anna paiera 0,18  € × 380, c’est-à-dire On cherche la valeur de x pour laquelle  x = 30.
3
68,40 €. 3
Ainsi, x = 30 × = 3,6.
b. 12 € + 0,15 € × 380 = 12 € + 57 € = 69 € 25
Le flacon contenant 30 mL a une hauteur de 3,6 cm.
Avec le tarif 2, le montant de la facture d’Anna s’élèvera à
69 €. PARCOURS 3
c. On peut conseiller à Anna de choisir le tarif 1. 25
Le volume d’un flacon de hauteur x cm est égal à  x cm3.
3
PARCOURS 2 La fonction qui à la hauteur x, en cm, du flacon associe son
a. f1(x) = 0,18x et f2(x) = 12 + 0,15x. 25
volume en cm3 est la fonction linéaire de coefficient  .
3
b. f1(x) = f2(x) lorsque 0,18x = 12 + 0,15x, c’est-à-dire Dans un repère, sa représentation graphique est la droite
0,03x = 12 soit x = 12;0,03 = 400. qui passe par l’origine du repère et par le point de coor-
Pour une consommation mensuelle de 400 kWh, le prix à données (6 ; 50).
payer est le même avec le tarif 1 et avec le tarif 2. Volume du flacon (en cm3)
PARCOURS 3
100
Le prix à payer pour x kWh consommés peut être modélisé
par la fonction f : x ∞ 0,18x pour le tarif 1 et par la fonction
g : x ∞ 0,15x + 12 pour le tarif 2.
La fonction f est une fonction linéaire. Sa représentation
graphique est la droite qui passe par l’origine du repère et
par le point de coordonnées (500 ; 90). 50
Pour la fonction g, on a le tableau de valeurs suivant :
x 0 100 200 300 400 500
g(x) 12 27 42 57 72 87
Prix (en euro)
10

O 1 6 12
72
Hauteur du flacon (en cm)
100 mL = 100 cm3
Le point de la droite qui a pour ordonnée 100 a pour abs-
cisse 12.
Un flacon contenant 100 mL a une hauteur de 12 cm.

10
J’utilise mes compétences
O 100 400
Consommation mensuelle (en kWh) 61 Sur le graphique, on lit que l’image de 3 est 1.
Pour une consommation mensuelle de 400 kWh, on paye 1
h est donc la fonction linéaire de coefficient  .
le même montant de 72 € avec les deux tarifs. 3
1
Pour une consommation mensuelle inférieure à 400 kWh, × 16,38 = 5,46 donc le point A appartient à la droite (d).
3
le tarif 1 est le plus avantageux et pour une consomma- 1 17
tion mensuelle supérieure à 400 kWh, c’est le tarif 2 qui est × (–8,5) = –  ≠ –2,8 donc le point B n’appartient pas
3 6
le plus avantageux. à la droite (d).
60 62 a. Le coefficient de cette fonction linéaire est 26 soit
PARCOURS 1 64.
a. L’aire de la base de ce flacon est 5 cm × 5 cm, c’est-à-dire b. Il faut remplacer 5 par 9 car 1 024 = 210.
25 cm2. 63 1. a. • g(–2) = (2 × (–2) – 1)(3 × (–2) – 4) – 2(3 × (–2)2 + 2)
25 cm2 × 7 cm 175
b. V = = cm3 g(–2) = –5 × (–10) – 2 × 14
3 3
175 g(–2) = 50 – 28 = 22
Ce flacon a un volume de cm3.
3 • g(–1) = (2 × (–1) –1)(3 × (–1) – 4) – 2(3 × (–1)2 + 2)
175
c. ≈ 58, donc ce flacon a un volume d’environ 58 cm3 g(–1) = –3 × (–7) – 2 × 5
3
soit 58 mL. g(–1) = 21 – 10 = 11

 90
• g(0) = (2 × 0 – 1)(3 × 0 – 4) – 2(3 × 02 + 2) Avec le tarif 2, on lit sur le graphique que pour 12 €, on
g(0) = –1 × (–4) – 2 × 2 peut téléphoner pendant 130 min.
g(0) = 4 – 4 = 0 Le tarif le plus avantageux pour Arash est le tarif 2.
• g(1) = (2 × 1 – 1)(3 × 1 – 4) – 2(3 × 12 + 2) 68 147;200 = 0,735
g(1) = 1 × (–1) – 2 × 5 La conversion des euros en livres peut être modélisée par
g(1) = –1 – 10 = –11 la fonction linéaire f de coefficient 0,735.
• g(2) = (2 × 2 – 1)(3 × 2 – 4) – 2(3 × 22 + 2) f (140) = 0,735 × 140 = 102,9 et 102,9 . 100.
g(2) = 3 × 2 – 2 × 14 f (90) = 0,735 × 90 = 66,15 et 66,15 . 65.
g(2) = 6 – 28 = –22 f (40) = 0,735 × 40 = 29,4 et 29,4 , 30.
On obtient le tableau de valeurs suivant : Il vaut mieux acheter la veste et le jeans à Londres.
x –2 –1 0 1 2 69 Le volume d’eau (en m3) contenu dans la piscine pour
g(x) 22 11 0 –11 –22 une hauteur d’eau h (en cm) est :
b. On peut penser que g est la fonction linéaire de coeffi- h
V = 2,5 × 8 × = 0,2 h.
cient –11. 100
La pompe a un débit de 25 L par minute soit 25 × 60 L par
2. g(x) = (2x – 1)(3x – 4) – 2(3x2 + 2)
heure, c’est-à-dire 1 500 L/h.
g(x) = (6x2 – 8x – 3x + 4) – (6x2 + 4)
1 500 L = 1,5 m3
g(x) = 6x2 – 11x + 4 – 6x2 – 4
Pour une durée t de remplissage (en h), le volume d’eau
g(x) = –11x
(en m3) contenu dans la piscine est : V = 1,5t.
g est bien la fonction linéaire de coefficient –11.
1,5
0,2 h = 1,5t donc h =  t soit h = 7,5t.
64 f (9) = 7 × 9 = 21     f (21) = 7 × 21 = 49 0,2
3 3
L’image de 9 par la fonction f est 21 et 21 est aussi l’anté- 70 En 60 s, une personne marchant sur le tapis parcourt
cédent de 49. 125 m et une personne marchant à côté du tapis parcourt
75 m soit 50 m de moins. La vitesse du tapis est donc de
65 • Pour la fonction f, on lit sur le graphique que l’image 50 m par minute.
de 3 est –1. La demi-droite correspondant à la personne immobile sur
–1
Son coefficient est donc égal à  . le tapis est celle qui passe par le point (60 ; 50).
3
• Pour la fonction g, on cherche le coefficient de propor- Distance (en m)
tionnalité du tableau.
4 –2 –8 –4
= = =
–3 1,5 6 3
–4 125
Son coefficient est donc égal à  .
3
• Pour la fonction h, on développe et réduit l’expression de 75
h(x). 50
h(x) = 4(x + 3) – 12 = 4x + 12 – 12 = 4x. 0
Son coefficient est donc égal à 4. 0 30 60 90
Temps (en s)
66 1. a. À la vitesse de 1 m/s on parcourt 1 m en 1 s donc
3 600 m en 3 600 s c’est-à-dire 3,6 km en 1 h.
Donc 1 m/s = 3,6 km/h. 71 12 = 3
8 2
b. f (x) = 3,6x Quand Tim parcourt 1  tour, Lou en parcourt 1,5. Quand
f est la fonction linéaire de coefficient 3,6. Tim parcourt 2 tours, Lou en parcourt 3.
2. Pour convertir des km/h en m/s il faut diviser par 3,6 Ils se croiseront pour la première fois au point D lorsque
1 Tim aura effectué 2 tours et Lou, 3 tours.
c’est-à-dire multiplier par  .
3,6
1 5 5 72 1. P = 70 × 9,8 = 686
= donc g(x) =  x .
3,6 18 18 Sur la Terre, le poids d’un homme de 70 kg est 686 newtons.
5
g est la fonction linéaire de coefficient  . 2. a. 17;10 = 1,7
18
67 a. 1 h 30 min = 90 min L’accélération de la pesanteur sur la Lune est 1,7.
0,10 × 90 = 9 b. 9,8;1,7 ≈ 5,8
Avec le tarif 1, Sarah paiera 9 €. 5,8 est proche de 6 donc l’affirmation est exacte.
Avec le tarif 2, on lit sur le graphique qu’elle paiera plus
73 91;(–78) = –  7
de 9 €. 6
Le tarif le plus avantageux pour Sarah est le tarif 1. 7
–105;90 = – 
6
b. 12;0,10 = 120
La droite (AB) représente la fonction linéaire de coefficient
Pour 12 €, avec le tarif 1, Arash peut téléphoner 120 min
7
à l’étranger. –   .
6

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  91 


Dossier Brevet Sur le graphique, on lit que cela se produit à partir de
6,1 dL de bière.
74 1. D’après le théorème de Pythagore : 77 1. a. La distance totale parcourue par le nageur 1 lors
d 2 = 102 + 202 = 100 + 400 = 500 de cette course est 2 000 m soit 2 km.
Donc d = 6500 ≈ 22,3 soit environ 22  cm à l’unité près.
b. Le nageur 1 a parcouru les 200  premiers mètres en
Réponse b..
5 minutes.
2. 2x + 3 = 7x – 4, c’est-à-dire 3 + 4 = 7x – 2x
c. La distance parcourue n’est pas proportionnelle au
7 temps car le graphique n’est pas une droite qui passe par
soit 5x = 7. Ainsi, x = = 1,4. Réponse b..
5 l’origine du repère.
3. L’antécédent de 8 par la fonction f est le nombre x tel
2. Le nageur 1 a parcouru 2 000 m en 45 min. Sa vitesse
8
que 3x = 8. Ainsi, x =  . 2 000
3 moyenne, en m/min, est ≈ 44,4.
9 45
3 = donc l’antécédent de 8 par la fonction f est inférieur Sa vitesse moyenne est bien d’environ 44 m/min.
3
à 3. Réponse a.. 3. a. f (10) = 50 × 10 = 500
L’image de 10 par la fonction f est 500.
4. 1 725 est divisible par 5 et 2 547 est divisible par
b. f (30) = 50 × 30 = 1 500
9 (2 + 5 + 4 + 7 = 18). Le seul nombre premier parmi les
trois proposés ne peut qu’être 1 151. Réponse b.. 4. a. D’après 3.a., au bout de 10 min, le nageur 2 a par-
couru 500 m.
75 a. 10 × 2 × 15 = 300 On lit sur le graphique, qu’au bout de 10 min, le nageur 1
10 semaines de séances lui coûtent 300 €. a parcouru 400 m.
b. La solution donne le nombre de semaines à partir Au bout de 10 min, c’est donc le nageur 2 qui est en tête.
duquel le coût des séances au centre aquatique dépassera b. D’après 3.b., au bout de 30 min, le nageur 2 a parcouru
le coût d’achat du vélo de piscine. 1 500 m.
c. L’achat du vélo de piscine sera rentabilisé à partir de la On lit sur le graphique, qu’au bout de 30 min, le nageur 1
34e semaine. a parcouru 1 600 m.
Au bout de 30 min, c’est donc le nageur 1 qui est en tête.
76 1. a. Le taux d’alcool est égal à 2 × 330 × 0,05 × 0,8 78 a. 1,5 L d’eau donne 1,62 L de glace donc 1 L d’eau
60 × 0,7
soit environ 0,63 g/L. 1,62
donne L de glace soit 1,08 L.
1,5
b. 0,63 . 0,5 donc cette personne n’a pas le droit de
b. D’après la question précédente, on passe de C1 à C2 en
conduire.
multipliant par 1,08.
2. a. Dans la cellule B2, on peut saisir la formule =1,08*B1  .
Quantité d’alcool (en dL) 0 1 5 7
c. On obtient le tableau suivant :
Taux d’alcool (en g/L) 0 0,08 0,41 0,57

b.
Taux d’alcool (en g/L)
0,6
On place les six points obtenus dans un repère et on
obtient le graphique suivant :
0,5
Volume de glace (en L)

0,4 F
E
0,3 D
0,24 C
0,2 B
1
A
0,1
O 1
6,1
0 Volume d’eau (en L)
0 1 2 3 4 5 6 7
Quantité d’alcool (en dL)
La situation peut être modélisée par la fonction linéaire
3. a. Pour une quantité de bière de 3 dL, on lit un taux d’al- de coefficient 1,08. Sa représentation graphique est une
cool d’environ 0,24 g/L. droite qui passe par l’origine du repère.
b. Cet homme n’est plus autorisé à conduire lorsque son 79 1. a. 2 h 30 min = 2,5 h
taux d’alcool dépasse 0,5 g/L. Au bout de 2,5 h, la distance parcourue est égale à 80 km.

 92
b. La 3e heure correspond au temps écoulé entre 2 h et 3 h 36 PSI correspondent à environ 2,5 bars.
de course. 100 – 70 = 30. Jenane doit augmenter la pression des pneus de sa voi-
Lors de la 3e heure de course, le cycliste a parcouru 30 km. ture de 0,5 bar.
c. La 4e heure correspond au temps écoulé entre 3 h et 4 h 81 • Différence de coût pour le carburant
de course. 135 – 100 = 35. Version essence
Lors de la 4e heure de course, le cycliste a parcouru 35 km. 22 300
Il a été plus rapide lors de la 4e heure de course. • = 1 382,6 L
100
2. a. et b. 1 382,6 × 1,399 = 1 934,2574
Distance (en km) Avec la version essence, le carburant coûterait 1 934,26 €
par an.
160
Version électrique
22 300
140 • × 1,96 = 437,08 €
100
Avec la version électrique, le carburant coûterait 437,08 €
120
par an.
• 1 934,26 € – 437,08 € = 1 497,18 €
100
Avec la version électrique, M. Durand paierait environ
80
1 497 € de moins par an.
• 1 497 € × 5 = 7 485 €
60 En 5 ans, M. Durand économiserait environ 7 485 € avec la
version électrique.
40 • 950 € – 300 € = 650 €
En tenant compte du crédit d’impôt, l’installation de la
20 borne de charge rapide lui revient à 650 €.
• 7 485 € – 650 € = 6 835 €
0 Avec la version électrique et en tenant compte de l’instal-
0 1 2 3 4 5 lation de la borne de charge rapide, M. Durand économise
Temps (en h)
6  835 € sur les 5 années.
3. a. Sur le graphique précédent, on lit qu’au bout de 1 h • 34 900 € – 7 000 € = 27 900 €
de course, le cycliste avait parcouru environ 35 km. En enlevant le bonus écologique, la version électrique
coûte 27 900 € à l’achat.
b. Pour parcourir 75  km, il a mis environ 2,25  h soit
2 h 15 min. • Différence de prix d’achat
• 27 900 € – 21 500 € = 6 400 €
4. Les points ne sont pas alignés avec l’origine du repère
La version électrique lui coûte 6 400 € de plus à l’achat.
donc la fonction f n’est pas une fonction linéaire.
• 6 835 . 6 400
80 Sur le graphique, on lit que 2 bars correspondent à un Sur 5 ans, la version électrique est plus rentable que la ver-
peu moins de 30 PSI. sion essence.

Chapitre 7 – Utiliser les fonctions linéaires  93 


8 Utiliser les
fonctions affines

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 et le début et sur la notion de translation (attendus de fin d’année de
4e).
du cycle 4
Le terme « fonctions » n’apparaît pas dans les programmes 3 Cours - J’applique le cours
de cycle  3. Les élèves ont cependant été amenés à pra-
tiquer des activités préparant à l’étude des fonctions  : Cours
production et utilisation de tableaux et de graphiques, ● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe  1
résolution de problèmes impliquant des grandeurs, « Fonction affine ».
reconnaissance de situations de proportionnalité. ● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe  2
Dès le début du cycle 4, des études de relations entre deux « Représentation graphique d’une fonction affine ».
grandeurs ont amené les élèves à reconnaître des situa-
J’applique le cours
tions de proportionnalité ou de non-proportionnalité. Ces
relations ont été exprimées par des formules (attendus de Exercice résolu 1
fin d’année de 5e) et des graphiques (attendus de fin d’an- Dans cet exercice, on présente la procédure de recherche
née de 4e). d’image et d’antécédent d’un nombre par une fonction
Les notations et le vocabulaire fonctionnels (image, anté- affine. Il est précisé dans les programmes de cycle 4 que
cédent, fonctions linéaires et affines) sont des éléments ces procédures doivent être mémorisées ou automatisées.
nouveaux étudiés en classe de 3e. Dans les attendus de fin d’année de 3e, il est précisé que
l’élève doit savoir déterminer, à partir de tous les modes de
Remarques. La notion de fonction, le vocabulaire (image,
représentation, l’image d’un nombre ainsi que déterminer
antécédent) et les notations ont été introduits dans le cha-
de manière algébrique l’antécédent d’une fonction, dans
pitre 6. Le cas des fonctions linéaires liées aux situations de
des cas se ramenant à la résolution d’une équation du pre-
proportionnalité a été traité dans le chapitre 7 précédent.
mier degré.
Dans la solution, on propose une démarche numérique
2 Je découvre pour le calcul de l’image et une démarche algébrique
Activité 1 avec la résolution d’une équation pour la détermination
de l’antécédent.
L’objectif de cette activité est de définir la notion de fonc- Dans nos conseils, l’utilisation de schémas peut aider les
tion affine par son expression caractéristique : x ∞ ax + b élèves à comprendre le sens des calculs effectués et à bien
où a et b sont des nombres donnés. distinguer les deux types de raisonnements.
À partir d’une situation à support concret, on propose,
conformément au programme de modéliser des phéno- Exercice résolu 4
mènes continus par une fonction. Cette activité est aussi Cet exercice propose, conformément au programme, de
l’occasion de montrer aux élèves que les fonctions linéaires travailler la compétence représenter graphiquement une
et constantes sont des cas particuliers de fonctions affines. fonction affine. Dans nos conseils, on met en avant le fait
La question d. fait apparaître une situation de proportion- que le choix d’un point à coordonnées entières facilite la
nalité entre la différence du nombre de séances et la dif- tâche. On présente aussi la procédure utilisant l’ordonnée
férence de prix. à l’origine et le coefficient directeur.
Le professeur pourra mettre en évidence que, g étant la
fonction x ∞ 4x + 48, si x augmente de 3, alors g(x) aug- 4 Compléments
mente de 4 × 3.
Expressions algébriques et calculs
Activité 2 ● Dans les exercices de la rubrique « Connaître les fonctions

L’objectif de cette activité est de faire comprendre aux affines » les élèves sont amenés à reconnaître si une fonc-
élèves comment obtenir la représentation graphique tion est affine en identifiant ses coefficients, à partir de son
d’une fonction affine. On propose ici aussi une situation expression symbolique ou d’un programme de calcul.
à support concret. On s’appuie sur la représentation gra- ● Dans la rubrique «  Calculer une image ou un antécé-

phique de la fonction linéaire associée (vue au chapitre 7) dent », les exercices proposés permettent d’entraîner les

 94
élèves à la procédure de calculs d’images et d’antécédents ● Les exercices 31 et 32 de la rubrique « Représenter gra-
par une fonction affine. Dans les exercices 13 à 19, la fonc- phiquement une fonction affine » entraînent les élèves à
tion est définie par son expression symbolique. Dans l’exer- passer de l’expression symbolique d’une fonction affine
cice 20, la fonction est définie à l’aide d’un script Scratch et à sa représentation graphique en utilisant deux points.
dans l’exercice 21, les élèves sont amenés à écrire un script Dans les exercices 34 à 36, les élèves sont amenés à lire
Scratch correspondant à une fonction donnée. les coefficients de la fonction à partir du tracé de sa repré-
Modélisations de situations sentation graphique. Ceci afin de répondre à l’un des
objectifs des attendus de fin d’année de 3e : interpréter les
● L’étude des fonctions affines permet de travailler particu-
paramètres d’une fonction affine suivant l’allure de sa courbe
lièrement la compétence « modéliser ».
représentative.
Conformément au programme, plusieurs exercices Dans l’exercice 37, les élèves doivent tracer la représenta-
entraînent les élèves à modéliser des phénomènes continus tion graphique d’une fonction affine en utilisant le coeffi-
par une fonction et à résoudre des problèmes modélisés par cient directeur.
des fonctions dans les différentes rubriques de ce chapitre,
● Dans de nombreux autres exercices de ce chapitre, les
en particulier dans la rubrique « Modéliser des situations ».
élèves sont amenés à lire, interpréter ou tracer des repré-
● Dans la rubrique « Utiliser les fonctions affines », d’autres
sentations graphiques de fonctions affines.
exemples de modélisations sont proposés. Certains utilisent L’exercice 52 propose d’obtenir le tracé de la représenta-
alors la représentation graphique d’une fonction affine. tion d’une fonction affine à partir d’un script Scratch. Dans
● On retrouve aussi de nombreux autres exercices utilisant l’exercice 53, on utilise le logiciel GeoGebra.
des modélisations de situations dans la suite du chapitre, Résolutions de problèmes
en particulier dans les Parcours différenciés. Dans la rubrique J’utilise mes compétences, de nom-
Représentations graphiques breux exercices permettent de travailler la compétence :
D’après le programme, les élèves doivent savoir mémoriser résoudre des problèmes modélisés par des fonctions, en utili-
l’allure de la représentation graphique d’une fonction affine sant différents modes de représentations.
et doivent savoir représenter graphiquement une fonction Cette compétence est également travaillée dans plusieurs
affine. exercices des pages « Dossier Brevet ».

CORRIGÉS
Bien démarrer d. Avec le tarif B, on paie 4 € par séance.
1. b et c ; 2. a et b ; 3. b et c ; 4. b ; 5. a, b et c. Jeanne a vu trois séances de plus que Lorna, elle a donc
payé 3 × 4 € c’est-à-dire 12 € de plus.

Je découvre Activité 2
Activité 1 1 a. Pour x menus emportés, le prix payé, en €, est égal
à 20x.
a.
b. et c. f est la fonction linéaire de coefficient 20.
Prix (en €) payé Prix (en €) payé Prix (en €) payé
pour 5 séances pour 10 séances pour 15 séances
f (5) = 20 × 5 = 100
Tarif A 60 120 180
Dans un repère, sa représentation graphique est la droite
Tarif B 68 88 108
(d) qui passe par l’origine et par le point de coordonnées
Tarif C 100 100 100
(5 ; 100).
150
b. PA = 12x 140
E
PB = 4x + 48 130
PC = 100 120
D
c. Le prix payé avec le tarif A, en fonction du nombre x de 110
séances vues dans l’année, peut être modélisé par la fonc- 100
tion f définie par f (x) = 12x. f est une fonction affine car f (x) 90
C
est de la forme ax + b avec a = 12 et b = 0. 80
Le prix payé avec le tarif B, en fonction du nombre x de 70
séances vues dans l’année, peut être modélisé par la fonc- 60
tion g définie par g(x) = 4x + 48. g est une fonction affine 50
B
car g(x) est de la forme ax + b avec a = 4 et b = 48. 40
30
Le prix payé avec le tarif C, en fonction du nombre x de 20 A
séances vues dans l’année, peut être modélisé par la fonc- 10
tion h définie par h(x) = 100. h est une fonction affine car
h(x) est de la forme ax + b avec a = 0 et b = 100. O 1 2 3 4 5 6 7

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  95 


2 a. Pour x menus livrés, le prix payé, en €, est égal à
1
20x + 10. (d )
b.
Point A’ B’ C’ D’ E’
Abscisse x 1 2 4 6 7
O 1 3
Ordonnée g(x) 30 50 90 130 150
c.
E’ 3
150 6 k(0) = × 0 – 2 = –2
2
140 3
D’ E k(2) = × 2 – 2 = 3 – 2 = 1
130 2
120 La droite (d) passe par le point (0 ; –2) et par le point (2 ; 1).
D
110
100
C’ (d )
90
80
C 1
70
60
B’
50
O 1 2
40
B
30 A’
20
10 A
–2
O 1 2 3 4 5 6 7

Les points A’, B’, C’, D’ et E’ semblent alignés.


d. On passe de A à A’, de B à B’, de C à C’, de D à D’ et de E
à E’ par une même translation (glissement vertical vers le Je m’entraîne
haut de 1 cm).
Connaître les fonctions affines

J’applique le cours 7 a. b.
• Choisir un nombre. • Choisir un nombre.
2 a. f (–4) = –3 × (–4) + 2 = 12 + 2 = 14 • Multiplier par 3. • Multiplier par –7.
L’image de –4 par f est 14. • Soustraire 4. • Ajouter 2.
b. On cherche un nombre x tel que f (x) = 5, c’est-à-dire tel
que –3x + 2 = 5 8 a. a = 1 et b = 3 d. a = 1 et b = 0
–3x = 5 – 2 b. a = 2 et b = –1 e. a = 0 et b = 7
–3x = 3 1
c. a = –5 et b = 2 f. a = –  et b = 0
3 2
Ainsi, x = = –1.
–3 9 a. La fonction représentée par le schéma est :
L’antécédent de 5 par f est –1. f2 : x ∞ 3x + 4.
3 a. g(2) = 5 × 2 + 1 = 10 + 1 = 11 b. f2(–1) = 3 × (–1) + 4 = –3 + 4 = 1
L’image de 2 par g est 11. L’image de –1 est 1.
b. On cherche un nombre x tel que g(x) = –4, 10 a. Pour le programme 1 : f1(x) = 7x – 2.
c’est-à-dire tel que 5x + 1 = –4 1
5x = –4 – 1 Pour le programme 2 : f2(x) =  x + 7.
2
5x = –5 Pour le programme 3 : f3(x) = x + 7.
–5
Ainsi, x = = –1. Pour le programme 4 : f4(x) = x2 + 2.
5
L’antécédent de –4 par g est –1. b. Les programmes 1, 2 et 3 correspondent à une fonction
1 affine.
5 h(0) = –  × 0 + 1 = 1
3
11 a. Dans la cellule B2, il a saisi la formule =2*B1-5  .
1
h(3) = –  × 3 + 0 = –1 + 1 = 0 b. Dans la colonne F, on lit que l’image de 4 par la fonc-
3
La droite (d) passe par le point (0 ; 1) et par le point (3 ; 0). tion g est 3.
Dans la colonne E, on lit que 3 est l’antécédent de 1 par la
fonction g.
Cheikh a raison.

 96
12 a. g(x) = 4 – 3  x 20 1. a. 4 × (–4) – 5 = –16 – 5 = –21
5 5 En choisissant –4, le lutin dira –21.
3 4
b. g est une fonction affine avec a = –  et b =  . b. 4 × 1,1– 5 = 4,4 – 5 = –0,6
5 5
En choisissant 1,1, le lutin dira –0,6.
c. 4 × (–1,5) – 5 = –6 – 5 = –11
Calculer une image ou un antécédent
En choisissant –1,5, le lutin dira –11.
13 a. On calcule l’image de –1 par f. 2. a. 4x – 5 = –5
4x = 0
b. On calcule l’antécédent de 7 par f. x=0
c. On calcule l’image de 2 par f. Pour que le lutin dise –5, il faut choisir le nombre 0.
14 a. L’image du nombre 5 est 11, réponse (2). b. 4x – 5 = 11
4 4x = 16
b. L’antécédent du nombre 0 est  , réponse (3).
3 x=4
15 1. a. f (–3) = 4 × (–3) – 9 = –12 – 9 = –21 Pour que le lutin dise 11, il faut choisir le nombre 4.
L’image de –3 est –21. c. 4x – 5 = –7
b. f (0) = 4 × 0 – 9 = 0 – 9 = –9 4x = –2
–2 1
L’image de 0 est –9. x= = –  = –0,5
4 2
c. f (0,5) = 4 × 0,5 – 9 = 2 – 9 = –7 Pour que le lutin dise –7, il faut choisir le nombre –0,5.
L’image de 0,5 est –7.
21 a.
d. f (–0,25) = 4 × (–0,25) – 9 = –1 – 9 = –10
L’image de –0,25 est –10.
2. a. (3 + 9);4 = 3
L’antécédent de 3 est 3.
9
b. (0 + 9);4 =
4
9
L’antécédent de 0 est  .
4
c. (–1 + 9);4 = 2
L’antécédent de –1 est 2.
d. (7 + 9);4 = 4
L’antécédent de 7 est 4.
b.
16 a. Yanis a raison. Pour f, a = 4 et b = –5. x –3,7 –2,3 –1,2 0,4 2,5 3,6
Pour g, a = –1 et b = 0. h(x) –21,2 –12,8 –6,2 3,4 16 22,6
Pour h, a = 0 et b = –1.
b. f (1) = 4 × 1 – 5 = 4 – 5 = –1 22 a. Dans la cellule B2, il faut saisir la formule =-2*B1+6  .
g(1) = –1 et h(1) = –1.
b. Jules a tort. Pour obtenir l’antécédent d’un nombre par
Ilona a raison.
la fonction h, on soustrait 6 et on divise le résultat par –2.
17 1. f (–2) = 3 × (–2) + 4 = –6 + 4 = –2 La fonction g qui permet de passer de la ligne 2 à la ligne 1
L’image de –2 par la fonction f est –2. x–6
est définie par g(x) =  .
–2
2. a. 3x + 4 = –8 1
3x = –12 Donc g(x) = –   x + 3.
2
x = –4
23 a.
L’équation 3x + 4 = –8 a pour solution –4.
• Choisir un nombre.
b. D’après a., f (x) = –8 pour x = –4. • Ajouter 1.
L’antécédent de –8 par la fonction f est –4. • Diviser par –4.
18 a. 5 × (–3) – 2 = –15 – 2 = –17 x+1 1 1
b. q(x) = = –   x –
L’image de –3 par la fonction g est –17. –4 4 4
1
b. On cherche le nombre x tel que g(x) = 18. q est une fonction affine, a = b = –   .
4
Soit 5x – 2 = 18
5x = 20
Modéliser des situations
x=4
L’antécédent de 18 par la fonction g est 4.
24 a. p(x) = 25 + 0,25x
19 a = 0,25 et b = 25. p est une fonction affine.
x –3 –1,5 0 1,5 3 4,5 b. p(x) = 15
f (x) –4 –3,5 –3 –2,5 –2 –1,5 a = 0 et b = 15. p est une fonction constante.

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  97 


c. p(x) = 2x + 10 Représenter graphiquement
a = 2 et b = 10. p est une fonction affine. une fonction affine
d. p(x) = 4x
a = 4 et b = 0. p est une fonction linéaire. 29 a. f3 est linéaire car sa représentation graphique est
25 g(x) = 10 + 0,5x une droite qui passe par l’origine du repère.
f1 est constante car sa représentation graphique est une
a. g(35) = 10 + 0,50 × 35 = 10 + 17,5 = 27,5 droite parallèle à l’axe des abscisses.
Pour 35 livres empruntés, on paie 27,50 €.
b. L’antécédent de 3 par f2 est 0.
b. On note x le nombre de livres empruntés. L’antécédent de 3 par f3 est 1.
x est tel que g(x) = 19, c’est-à-dire tel que 10 + 0,5x = 19.
3 n’a pas d’antécédent par f1.
0,5x = 19 – 10   0,5x = 9
9 30 a. –5 × 1 + 2 = –5 + 2 = –3
Ainsi, x = = 18.
0,5 L’ordonnée du point A est –3.
Avec un budget de 19 €, on peut emprunter 18 livres dans b. (7 – 2);(–5) = 5;(–5) = –1
l’année. L’abscisse du point B est –1.
26 a. 0,05 × 400 + 5 = 20 + 5 = 25 31 a. f (0) = –2 × 0 + 5 = 0 + 5 = 5
Le prix pour un stockage de 400 Go est 25 €. L’image de 0 par f est 5.
b. On cherche le nombre x tel que : f (3) = –2 × 3 + 5 = –6 + 5 = –1
0,05x + 5 = 15 L’image de 3 par f est –1.
0,05x = 15 – 5 b. Les points A(0 ; 5) et B(3 ; –1) appartiennent à la droite
0,05x = 10 (d).
10
Ainsi, x = = 200.
0,05
Avec un budget de 15 €, on peut stocker 200 Go. A
5
c. D’après a., f (400) = 25.
D’après b., f (200) = 15. (d )
27 a. Pour refaire une toiture de x m , le coût total, en €,
2

est égal à 900 + 40x.


1
b. • C(120) = 900 + 40 × 120 3
C(120) = 900 + 4 800 = 5 700 O 1
C(120) = 5 700 signifie que pour refaire une toiture de –1
B
120 m2 le coût est de 5 700 €.
• L’antécédent de 4 500 par la fonction C est le nombre x
tel que C(x) = 4 500 c’est-à-dire tel que 900 + 40x = 4 500.
40x = 4 500 – 900 32 a. La représentation graphique de la fonction f est la
40x = 3 600 droite qui passe par le point A(0 ; 4) et le point B(4 ; 0).
3 600
Ainsi, x = = 90.
40
L’antécédent de 4 500 par la fonction C est 90. Cela signifie A
4
qu’avec un budget de 4 500 € on peut refaire une toiture
de 90 m2.
28 1. Après installation de la cloison, la surface, en m2, du 1
garage sera égale à 4 × 10 – 4x soit 40 – 4x. B
2. a. • s(2,5) = 40 – 4 × 2,5 = 40 – 10 = 30 O 1 4
• L’antécédent de 32 par la fonction s est le nombre x tel
que s(x) = 32 c’est-à-dire tel que 40 – 4x = 32.
–4x = 32 – 40 b. La représentation graphique de la fonction g est la
–4x = –8 droite qui passe par le point A(0 ; –3) et le point B(2 ; 1).
–8
Ainsi, x = = 2.
–4
L’antécédent de 32 par la fonction s est 2. B
1
b. En installant une cloison à 2,5 m du fond, Louise dispo-
sera d’une surface de garage de 30 m2. O 1 2
Pour disposer d’une surface de garage de 32  m2, Louise
doit installer la cloison à 2 m du fond de son garage.
–3
A

 98
c. La représentation graphique de la fonction h est la b. Pour aller de A vers B, x augmente de 1 et y diminue de
droite qui passe par le point A(0 ; 6) et le point B(–4 ; 4). 9 donc le coefficient directeur est a = –9.
c. f (x) = –9x + b
Pour déterminer b on utilise par exemple le point A(2 ; 5).
6 f (2) = –9 × 2 + b = 5
A
On a donc –18 + b = 5,
B 4 soit b = 5 + 18 = 23.
Donc f (x) = –9x + 23.
37 a. Dans un repère, la droite représentant la fonction f
passe par le point de coordonnées (0 ; –2). Le coefficient
1
directeur est a = 3 donc lorsque x augmente de 1, y aug-
O mente de 3.
–4 1

d. La représentation graphique de la fonction k est la


1
droite qui passe par le point A(0 ; –1) et le point B(–1 ; 3).
O 1
B
3 –2

1 b. Dans un repère, la droite représentant la fonction g passe


par le point de coordonnées (–3 ; –1). Le coefficient direc-
–1 O A 1 teur est a = –2 : lorsque x augmente de 1, y diminue de 2.
–1

–3 O 1
33 • g(1,8) = –5 × 1,8 + 7 = –9 + 7 = –2 –1
donc A [ (d).
• g(3,3) = –5 × 3,3 + 7 = –16,5 + 7 = –9,5
donc B ” (d).
• g(5,2) = –5 × 5,2 + 7 = –26 + 7 = –19 donc C ” (d).
• g(–0,5) = –5 × (–0,5) + 7 = 2,5 + 7 = 9,5 donc D [ (d). 38 La droite (d) coupe l’axe des ordonnées au point (0 ; 2)
donc b = 2.
• g(–4,1) = –5 × (–4,1) + 7 = 20,5 + 7 = 27,5 donc E [ (d). Quand x augmente de 2, y diminue de 1 donc a = –   .
1
• g(–9) = –5 × (–9) + 7 = 45 + 7 = 52 donc F [ (d). 1 2
Donc f (x) = –   x + 2.
2
34 a. Coefficient directeur : a = –2. Ordonnée à l’origine :
b = 3. 39 La droite (d) passe par le point de coordonnées (0 ; 2)
donc b = 2.
b. Coefficient directeur : a = 1. Ordonnée à l’origine : b = 1.
Quand x augmente de 1, y augmente de 3 donc a = 3.
c. Coefficient directeur : a = 3. Ordonnée à l’origine : b = –2. La droite (d) représente la fonction g : x ∞ 3x + 2.
35 a. L’ordonnée à l’origine est b = –2. 40 a = 1 donc quand x augmente de 1, y augmente de
b. A(1 ; 0) et B(2 ; 2). Lorsque x augmente de 1, f (x) aug- 4
1
 . Quand x augmente de 4, y augmente de 1.
mente de 2 donc le coefficient directeur est a = 2. 4
c. f (x) = 2x – 2 C’est la droite (d2) qui représente graphiquement la fonc-
tion f.
36 a.
5
A 41 • La droite (d1) passe par les points de coordonnées
(0 ; –1) et (1 ; –3), elle représente la fonction affine telle que
b = –1 et a = –2.
La droite (d1) représente donc la fonction k.
• La droite (d2) passe par les points de coordonnées (0 ; 3)
1 et (1 ; 5), elle représente la fonction affine telle que b = 3
3 et a = 2.
O 1 2 La droite (d2) représente donc la fonction f.
• La droite (d3) passe par les points de coordonnées (0 ; –2)
et (3 ; 0), elle représente la fonction affine telle que b = –2
2
–4
B et a =  .
3
La droite (d3) ne représente aucune des fonctions données.

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  99 


• La droite (d4) passe par les points de coordonnées (0 ; 2) Ainsi, x = 42;7 = 6.
et (1 ; 1), elle représente la fonction affine telle que b = 2 L’équation f (x) = g(x) a pour solution 6.
et a = –1. b. Le triangle ACM et le carré MDEB ont le même péri-
La droite (d4) représente donc la fonction g. mètre lorsque f (x) = g(x).
• La droite (d5) passe par les points de coordonnées (0 ; –1) D’après a., ceci se produit pour x = 6.
et (1 ; 1), elle représente la fonction affine telle que b = –1 Le triangle et le carré ont donc le même périmètre lorsque
et a = 2. AM = 6 cm.
La droite (d5) représente donc la fonction h. Le périmètre, en cm, du triangle ACM est f (6) = 6 × 3 = 18.
• La fonction j n’est représentée par aucune des droites tra- Le périmètre, en cm, du carré MDEB est :
cées. On a donc : g(6) = 42 – 4 × 6 = 42 – 24 = 18.
(d1) (d2) (d3) (d4) (d5) 44 1. a. f (x) = ax + b donc f (1) = a + b et f (3) = 3a + b.
f
g
b. f (1) – f (3) = a + b – (3a + b)
h
f (1) – f (3) = a + b – 3a – b
j
donc f (1) – f (3) = –2a.
k Puisque f (1) = 4 et f (3) = –2 ; f (1) – f (3) = 4 – (–2) = 4 + 2 = 6.
On a donc –2a = 6 soit a = –3.
Les intrus sont la fonction j et la droite (d3).
2. f (x) = ax + b et a = –3.
Donc f (x) = –3x + b.
Utiliser les fonctions affines f (1) = 4 donc –3 × 1 + b = 4.
Ainsi, –3 + b = 4 soit b = 4 + 3 = 7.
42 1. Avec le tarif individuel, le prix à payer est égal à 50x. f est la fonction affine définie par f (x) = –3x + 7.
Avec le tarif groupe, le prix à payer est égal à 30x + 400.
45 a. Le salaire de Léo est égal à 3a + b.
2. a. Les représentations graphiques de ces deux fonc- Le salaire de Théo est égal à 8a + b.
tions sont deux droites.
b. La différence entre les deux salaires est égale à 5a et
Pour i : x ∞ 50x : la droite (d) passe par l’origine du repère
aussi à 1 000 €.
et par le point (10 ; 500).
Donc 5a = 1 000 soit a = 200.
Pour g : x ∞ 30x + 400 : la droite (d’) passe par le point (0 ;
400) et par le point (20 ; 1 000). c. 3 × 200 + b = 1 800
600 + b = 1 800
d
b = 1 800 – 600 = 1 200
d’ Chaque vendeur reçoit un salaire fixe de 1 200 € et une
1 000 prime de 200 € par voiture vendue.
46 1. a. Pour x cartes achetées dans l’année, avec l’op-
tion A, le coût, en €, pour la famille, sera égal à 165x.
b. Pour x cartes achetées dans l’année, avec l’option B, le
500 coût, en €, pour la famille, sera égal à 140x + 70.
2. a. f (x) = 165x et g(x) = 140x + 70.
• Pour x ˘ 0, la représentation graphique de f est la demi-
droite (d) d’origine (0 ; 0) passant par le point (2 ; 330).
• Pour x ˘ 0, la représentation graphique de g est la demi-
O 10 20 droite (d’) d’origine (0 ; 70) passant par le point (2 ; 350).
Prix (en euro)
b. Selon le graphique, on paie le même prix quel que soit d
le tarif choisi pour un groupe de 20 danseurs. d’
3. i(x) = g(x) lorsque 50x = 30x + 400.
50x – 30x = 400
20x = 400 350
Ainsi, x = 400;20 = 20. 330
On paie le même prix avec les deux tarifs pour 20 inscrip-
tions.
43 1. Le périmètre du triangle ACM est égal à 3x.
Le périmètre du carré MDEB est égal à 4 × (10,5 – x) soit 70
42 – 4x. 50

2. a. D’après 1., f (x) = 3x et g(x) = 42 – 4x. O 1 2 3


3x = 42 – 4x Nombre de cartes
3x + 4x = 42 b. L’option B devient plus avantageuse lorsque la droite
7x = 42 représentant graphiquement la fonction g se situe au des-

 100
sous de celle qui représente la fonction f. Sur le graphique, 53 1. Pour x films loués, avec la formule A, le prix payé est
on lit que l’option B devient plus avantageuse à partir de égal à 3,5x et avec la formule B, il est égal à 12 + 2x.
3 cartes de 10 séances achetées dans l’année. 2. a. b. et c.

Je m’évalue à mi-parcours
47 b. 48 c. 49 a. 50 a. 51 b.

Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra

52 1. a. et b. ; 2. a

3. Le point d’intersection A des demi-droites a pour coor-


données (8 ; 28).
Cela signifie que pour 8  films loués dans l’année le prix
payé est de 28 € quelle que soit la formule utilisée.
Pour moins de 8 films loués dans l’année, la formule A est
la plus avantageuse. Pour plus de 8 films loués dans l’an-
née, c’est la formule B qui est la plus avantageuse.

Parcours différenciés
54
PARCOURS 1

a. L’image de 0 par la fonction f est 60.


Quand le réservoir de la voiture est plein, il y a 60 L d’es-
sence dans le réservoir.
b. L’image de 200 par la fonction f est 50.
Après avoir parcouru 200 km, il reste 50 L d’essence dans le
réservoir de la voiture.
c. Pour parcourir 200 km, la voiture a consommé 10 L d’es-
sence.
Pour parcourir 100 km, cette voiture consomme 5 L d’es-
sence.
PARCOURS 2

a. Le réservoir de cette voiture a une contenance de 60 L.


b. Pour parcourir 200  km, la voiture a consommé 10  L
d’essence, donc pour parcourir 100  km, cette voiture
consomme 5 L d’essence.
60 L = 12 × 5 L
Avec un plein, cette voiture peut parcourir 12 × 100 km
b. Pour a = –0,5 et b = 50. soit 1 200 km.
PARCOURS 3

f est une fonction affine donc f (x) est de la forme ax + b.


La droite passe par le point de coordonnées (0 ; 60) donc
b = 60.
Quand x augmente de 200, f (x) diminue de 10
10 1
donc a = –  = –   .
200 20
1
Donc f (x) = –   x + 60.
20

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  101 


55
PARCOURS 1 (d2 )
a. (d3 )
x 50 200 300 400
f (x) 600 600 600 600 600
500
(d1)
g(x) 125 500 750 1 000
h(x) 500 650 750 850

b. La fonction f modélise le salaire de Jonathan.


La fonction g modélise le salaire de Maxime. 100
La fonction h modélise le salaire de Sonia.
O 50 200 300
c. • Pour 50 livraisons effectuées dans le mois, c’est Maxime
qui touchera le plus petit salaire avec 125  €, Sonia tou- Le salaire de Maxime est modélisé par la fonction g repré-
chera 500  € et c’est Jonathan qui touchera le plus gros sentée par la droite (d2).
salaire avec 600 €. La droite (d2) est au-dessus des deux autres pour des
valeurs de x supérieures à 300.
• Pour 200 livraisons effectuées dans le mois, c’est Maxime
Maxime recevra le plus gros salaire mensuel pour plus de
qui touchera le plus petit salaire avec 500 €, Jonathan tou-
300 livraisons effectuées dans le mois.
chera 600 € et c’est Sonia qui touchera le plus gros salaire
avec 650 €.
• Pour 300  livraisons effectuées dans le mois, c’est Jona-
than qui touchera le plus petit salaire avec 600 €, Sonia et J’utilise mes compétences
Maxime toucheront le même salaire avec 750 €. 56 • Li a inversé abscisse et ordonnée.
• Pour 400 livraisons effectuées dans le mois, c’est Jona- La droite représentant la fonction h passe par le point
than qui touchera le plus petit salaire avec 600 €, Sonia (0 ; 2) et par le point (5 ; –2).
touchera 850 € et c’est Maxime qui touchera le plus gros 4
• Dimitri s’est trompé pour le coefficient directeur : a = – 
salaire avec 1 000 €. 4 5
donc lorsque x augmente de 1, y diminue de  .
5
PARCOURS 2
Par conséquent, lorsque x augmente de 5, y diminue de 4.
a. La fonction f modélise le salaire de Jonathan. La droite représentant la fonction h passe par le point
La fonction h modélise le salaire de Sonia. (0 ; 2) et par le point (5 ; –2).
Sonia aura le même salaire que Jonathan lorsque h(x) = f (x).
57 a. Si l’utilisateur choisit le nombre 1, la variable x
x + 450 = 600
contiendra successivement les valeurs :
x = 600 – 450
x = 150 • 1   • 4 × 1 soit 4   • 4 – 6 soit –2   • –2;2 soit –1.
Sonia aura le même salaire que Jonathan pour 150 livrai- Le lutin dira « –1 ».
sons effectuées dans le mois. b. En notant x le nombre choisi par l’utilisateur, le nombre
4x – 6
b. La fonction g modélise le salaire de Maxime. énoncé par le lutin correspond à soit 2x – 3.
2
Sonia aura le même salaire que Maxime lorsque h(x) = g(x). La fonction qui au nombre x associe le nombre 2x – 3 est la
x + 450 = 2,5x fonction affine telle que a = 2 et b = –3.
2,5x – x = 450 c.
1,5x = 450
450
x= = 300
1,5
Sonia aura le même salaire que Maxime pour 300  livrai-
sons effectuées dans le mois.
PARCOURS 3

• f : x ∞ 600 est une fonction constante.


Sa représentation graphique est la droite (d1), parallèle à
l’axe des abscisses, qui passe par le point de coordonnées
(0 ; 600).
• g : x ∞ 2,5x est une fonction linéaire.
Sa représentation graphique est la droite (d2) qui passe 58 a. f (x + 1) = 4(x + 1) – 5 = 4x + 4 – 5
par l’origine du repère et par le point de coordonnées donc f (x + 1) = 4x – 5 + 4 = f (x) + 4.
(200 ; 500). b. f (x + 3) = 4(x + 3) – 5 = 4x + 4 × 3 – 5
• h : x ∞ x + 450 est une fonction affine. donc f (x + 3) = 4x – 5 + 4 × 3 = f (x) + 4 × 3.
Sa représentation graphique est la droite (d3) qui passe par c. f (x – 5) = 4(x – 5) – 5 = 4x – 4 × 5 – 5
les points de coordonnées (0 ; 450) et (300 ; 750). donc f (x – 5) = 4x – 5 – 4 × 5 = f (x) – 4 × 5.

 102
(
d. f  x +
3
4 )
– f (x) = 4 x +(3
4 )
– 5 – (4x – 5)
b. La distance parcourue par chacun est égale à :
16 × =
2 32
soit environ 10,7.
( )
3 3 3 3
f  x + – f (x) = 4x + 4 × – 5 – 4x + 5 Ils seront donc à environ 10,7 km de leur maison.
4 4

(
f  x +
3
4 )
– f (x) = 3 61 n désigne un nombre entier.
1
f (x) =  x + =
1 3x + 5
=n
59 a. La fonction modélisant le tarif C est : 5 3 15
x ∞ 8 + 0,05x. 3x + 5 = 15n
3x = 15n – 5
b. • La fonction modélisant le tarif A est une fonction
5
constante. Quel que soit x, le tarif A est égal à 19  €. Sa x = 5n –
3
représentation graphique est la demi-droite parallèle à 5 15 – 5 10
l’axe des abscisses d’origine le point (0 ; 19). Pour n = 1, x = 5 – = =  .
3 3 3
• La fonction modélisant le tarif B est une fonction linéaire. 10
L’image de par la fonction f est 1.
Pour x élèves, le tarif B est égal à 0,18x €. Sa représentation 3
graphique est la demi-droite d’origine (0 ; 0) et passant par 62 Les points A et B sont sur une droite qui représente
le point (100 ; 18). une fonction affine f.
• La fonction modélisant le tarif C est une fonction affine. f(x) = ax + b
C’est la fonction x ∞ 8 + 0,05x. f (28) = 201  et  f (43) = 306.
Sa représentation graphique est la demi-droite d’origine le 28a + b = 201  et  43a + b = 306.
point (0 ; 8) et passant par le point (200 ; 18). Ainsi, 201 – 28a = 306 – 43a
Tarif (en €) 43a – 28a = 306 – 201
22 15a = 105
Tarif B Tarif C
20 105
18 Tarif A a= =7
15
16 Donc f (x) = 7x + b.
14
12
Comme f (28) = 201, on a 7 × 28 + b = 201.
10
196 + b = 201 d’où b = 201 – 196 = 5.
8 Donc les points A et B sont sur la droite qui représente la
6 fonction affine définie par f (x) = 7x + 5.
4 f (87) = 7 × 87 + 5 = 609 + 5 = 614
2 Le point C appartient aussi à cette droite.
0 Les ponts A, B et C sont donc alignés.
0 100 200 220 300
Nombre d’élèves 63 a. À une altitude de 4 km, la température a baissé de
c. Par lecture graphique, on lit que le tarif A est plus inté- 26 °C.
ressant que le tarif C à partir de 220 élèves. 26;4 = 6,5.
La température baisse de 6,5 °C par km.
d. D’après le graphique, pour une école de 209  élèves,
c’est le tarif C qui est le plus intéressant. b. À ce rythme, la température baissera de 13 °C en pas-
Par le calcul : sant d’une altitude de 4 km à une altitude de 6 km.
Tarif A : 19 € On peut donc estimer qu’à une altitude de 6 km la tempé-
Tarif B : 0,18 × 209 = 37,62 € rature mesurée serait –15 °C.
Tarif C : 8 + 0,05 × 209 = 18,45 €. 64 On note x le temps de trajet en min, T(x) la distance,
60 a. À 8 h, Romain est parti depuis 2 h et a déjà par- en km, séparant Tim du village de Fourbon et B(x) la dis-
couru 2 × 4 km soit 8 km. tance, en km, séparant Ben de ce même village.
On note R et J les fonctions qui modélisent respectivement Tim et Ben se croiseront lorsque T(x) = B(x).
la distance, en km, parcourue par Romain et par Juliette en 21
21 km/h = km/min = 0,35 km/min donc T(x) = 0,35x.
fonction de la durée, en h, écoulée depuis 8 h. 60
R(x) = 4x + 8 et J(x) = 16x. 27
27 km/h = km/min = 0,45 km/min.
Juliette rejoindra Romain lorsque : 60
R(x) = J(x) Les villages de Fourbon et de Valsagne sont distants de
4x + 8 = 16x 32 km donc B(x) = 32 – 0,45x.
16x – 4x = 8 On cherche x tel que T(x) = B(x), c’est-à-dire tel que
12x = 8 0,35x = 32 – 0,45x.
8 2 0,35x + 0,45x = 32
x= =
12 3 0,8x = 32
2 32
h = 40 min. Ainsi, x = = 40.
3 0,8
Juliette rejoindra Romain à 8 h 40. Tim et Ben se croiseront au bout de 40 min soit à 10 h 20.

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  103 


65 La fonction f est affine donc f(x) = ax + b. • 0,6x si 0 < x < 350
La longueur du ressort sans objet suspendu correspond à • 0,6 × 350 + x – 350 soit x – 140 si x ˘ 351
f (0) c’est-à-dire b. La fonction modélisant ce salaire n’est pas une fonction
50a + b = 95 et 60a + b = 98 linéaire.
donc 10a = 3. La graduation de l’axe des abscisses permet de visualiser
Ainsi, a = 0,3. le salaire jusqu’à 500  seaux récoltés. Le graphique 2 ne
f (x) = 0,3x + b convient donc pas.
0,3 × 50 + b = 95 C’est le graphique 3 qui illustre la façon dont les deux pro-
15 + b = 95 ducteurs payent leurs employés.
b = 95 – 15 = 80
La longueur du ressort sans objet suspendu est 80 mm. Dossier Brevet
66 On note x le nombre de kWh consommés par cette
famille l’an dernier.
D’après les tarifs de l’an dernier :
( )
70 1. 2 + 3 ; 1 = 5 ; 1 = 5 × 5 = 25  . Réponse b.
7 7 5 7 5 7 7
90 000 m
84,56 + 0,137 2x = 1 012,30 2. 90 km/h = = 25 m/s. Réponse c.
3 600 s
0,137 2x = 1 012,30 – 84,56 3. L’aire du rectangle agrandi est égale à 10 × 16 soit
0,137 2x = 927,74 160 cm2. Réponse c.
927,74
Ainsi, x = soit environ 6 762 kWh. 4. f (–1) = 2 × (–1) + 5 = –2 + 5 = 3. Réponse a.
0,137 2
D’après les tarifs de cette année : 5. Si on multiplie par 3 les deux dimensions d’un rectangle,
88,42 + 0,146 7 × 6 762 = 1 080,405 4. son aire est multipliée par 32 soit 9. Réponse c.
Pour la même consommation, cette famille va payer 71 a. La fonction f est une fonction affine, sa représenta-
1 080,40 € cette année.
tion graphique est une droite.
67 a. f (0) = –3 et f (3) = 5 × 3 – 3 = 5 – 3 = 2. C’est donc #2 qui représente la fonction f.
3
La droite (d) passe par les points de coordonnées (0 ; –3) b. On peut lire sur le graphique que f (3) est égal à 2.
et (3 ; 2). c. Le nombre qui a pour image 6 par la fonction f est le
nombre tel que :
(d )
2 –2x + 8 = 6
1
–2x = –2
x = 1.
O 1 3 Le nombre qui a pour image 6 par la fonction f est le
nombre 1.
d. Dans la cellule B2, on peut saisir la formule  =-2*B1+8  .
–3
72 1. a. On lit dans la colonne C que l’image de –1 par la
fonction f est –7.
b. Les points de l’axe des abscisses ont une ordonnée
b. On lit dans la colonne G que l’antécédent de 5 par la
égale à 0.
fonction f est 3.
On cherche donc le nombre x tel que f (x) = 0
5 c. f (x) = 3x – 4
soit  x – 3 = 0.
3 d. f (10) = 3 × 10 – 4 = 30 – 4 = 26
5
 x = 3 2. a.
3
3 9 • Multiplier par 2.
x = 3 × = = 1,8
5 5 • Soustraire 5.
Le point d’intersection de la droite (d) avec l’axe des abs-
cisses est le point de coordonnées (1,8 ; 0). b. 8 + 3 = 11
11 × 2 = 22
68 La droite (d) passe par les points de coordonnées (0 ; –2) 22 – 5 = 17
et (7 ; 2). Si l’on choisit le nombre 8 au départ, le résultat sera 17.
f (x) = ax + b
c. En notant x le nombre choisi au départ, le résultat
b = –2 donc f (x) = ax – 2.
obtenu est (x + 3) × 2 – 5.
f (7) = a × 7 – 2 = 2
4 (x + 3) × 2 – 5 = 2x + 6 – 5 = 2x + 1
Donc 7a = 4 et a =  . Le résultat obtenu est bien 2x + 1.
7 4
Le coefficient directeur est égal à  . d. Pour obtenir 6, le nombre choisi doit être le nombre x
7
tel que 2x + 1 = 6.
69 Le producteur A propose un salaire d’au moins 200 €
2x + 1 = 6
quel que soit le nombre de seaux récoltés ce qui élimine 2x = 5
les graphiques 1 et 4. 5
Avec le contrat proposé par le producteur B, pour x seaux x = = 2,5
2
récoltés, le salaire est égal à : Pour obtenir 6, il faut choisir le nombre 2,5.

 104
3. Pour que la fonction f et le programme de calcul e. La distance parcourue par Claude est 6t car il marche à
donnent le même résultat, il faut choisir le nombre x tel la vitesse constante de 6 km/h. Claude rattrapera Camille
que f (x) = 2x + 1. lorsque 6t = 4t + 3.
3x – 4 = 2x + 1 D’après b., t = 1,5.
3x – 2x = 1 + 4 Claude rattrapera Camille au bout de 1,5 h soit
x=5 1 h 30 min.
Pour que la fonction f et le programme de calcul donnent
76 • Avec la formule A, le prix payé est proportionnel au
le même résultat, il faut choisir le nombre 5.
nombre de magazines achetés. La fonction qui au nombre
73 1. La droite ne passe pas par l’origine du repère donc de magazines achetés associe le prix est représentée par la
le temps et la vitesse de rotation du hand spinner ne sont droite bleue.
pas proportionnels. • Avec la formule B, le prix payé est fixe.
2. a. La vitesse de rotation initiale du hand spinner est de La fonction qui au nombre de magazines achetés associe
20 tours/s. le prix est une fonction constante donc représentée par la
b. 1 min 20 s = 80 s. droite rouge.
Au bout d’une minute et vingt secondes, la vitesse de • La droite verte représente donc le prix payé avec la for-
rotation du hand spinner est de 3 tours/s. mule C.
c. Le hand spinner va s’arrêter au bout d’environ 93 s. On lit sur le graphique que, pour moins de 20 magazines
3. a. V(30) = –0,214 × 30 + 20 = 13,58 achetés dans l’année, la formule la plus avantageuse est
Au bout de 30 s, la vitesse de rotation du hand spinner est la formule A, entre 20 et 44 magazines achetés dans l’an-
13,58 tours/s. née, la formule la plus avantageuse est la formule  C et
pour plus de 44 magazines achetés dans l’année, c’est la
b. Le hand spinner s’arrête lorsque V(t) = 0.
–0,214t + 20 = 0 formule B qui est la plus avantageuse.
0,214t = 20 77 On note x le nombre de séances d’une heure.
20 • Avec SportRoom, le prix payé, en €, est modélisé par la
t= soit t ≈ 93,46
0,214
Le hand spinner va s’arrêter au bout de 93,46 s. fonction R : x ∞ 6x.
• Avec SportVitalité, le prix payé, en €, est modélisé par la
74 1. A = 2x(x – 1) – 4(x – 1)
fonction V : x ∞ 4,5x + 30.
A = 2x2 – 2x – 4x + 4 Dans un repère, on trace les représentations graphiques
A = 2x2 – 6x + 4
de ces deux fonctions.
2. (2 × (–5) + 1) × (–5 – 2) = –9 × (–7) = 63 La fonction R est une fonction linéaire, sa représentation
–5 est bien une solution de l’équation. graphique est une droite (d) qui passe par l’origine du
3. a. C’est (d2) qui représente la fonction f. repère.
b. Le coefficient directeur est négatif donc la droite « des- R(10) = 6 × 10 = 60.
cend  » ou l’ordonnée à l’origine est 1,5 donc la droite La droite (d) passe par le point de coordonnées (10 ; 60).
coupe l’axe des ordonnées au point (1,5 ; 0). La fonction V est une fonction affine, sa représentation
graphique est une droite (e).
75 a. La droite (d1) passe par l’origine du repère, elle V(0) = 4,5 × 0 + 30 = 30
représente donc une fonction linéaire. La droite (d2) repré- V(20) = 4,5 × 20 + 30 = 90 + 30 = 120
sente une fonction affine. La droite (e) passe par les points de coordonnées (0 ; 30)
La droite (d1) représente la fonction g et la droite (d2) repré- et (20 ; 120).
sente la fonction f. Pour que les tarifs proposés par Hasna soient compris
b. Par lecture graphique : f (t) = g(t) pour t = 1,5. entre les deux tarifs de ses concurrents, le prix à payer en
Par le calcul : 4t + 3 = 6t fonction du nombre de séances, peut-être représenté par
6t – 4t = 3 une droite située entre les deux droites (d) et (e).
2t = 3
3
t = = 1,5
2
3
c. 45 min = h
4
3
×4=3
4
Au moment du départ de Claude, Camille a déjà parcouru
3 km.
d. Camille marche à la vitesse constante de 4 km/h donc
en x h, elle parcourt 4x km.
Au moment du départ de Claude, elle a déjà parcouru
3 km.
Donc, si t est le temps écoulé après le départ de Claude, la
distance parcourue par Camille est bien 4t + 3.

Chapitre 8 – Utiliser les fonctions affines  105 


Par exemple, cette droite peut être la droite qui passe par 100
a= =5
les points de coordonnées (0 ; 20) et (20 ; 120). 20
Cette droite représente la fonction affine h telle que Donc h(x) = 5x + 20.
h(0) = 20 et h(20) = 120. Hasna peut proposer l’achat obligatoire d’une carte de
h(x) = ax + 20 et donc 20a + 20 = 120 membre à 20 € (valable un an) puis 5 € la séance d’une
20a = 100 heure.

 106
9 Faire le point
sur la proportionnalité

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 et le début longueurs de deux triangles, dans le cadre du théorème
de Thalès, des triangles semblables, d’une homothétie ou
du cycle 4 d’une réduction.
● En fin de cycle 4, il s’agit de compléter l’étude de la pro-
portionnalité par une synthèse d’un apprentissage com- Activité 2
mencé au cycle 3. L’objectif de cette activité est d’établir le fait que diminuer
● Au cycle 3, l’élève a été amené à reconnaître des situa-
de 5 %, c’est multiplier par 0,95.
tions relevant de la proportionnalité en particulier dans le La question 2 rappelle le lien entre proportionnalité et
cadre des grandeurs. Il a appris à les traiter en utilisant un pourcentage en s’appuyant sur un tableau dont les lignes
moyen adapté : propriétés d’additivité et d’homogénéité sont proportionnelles.
de la proportionnalité et passage par l’unité.
L’élève a également été confronté à des situations mettant 3 Cours - J’applique le cours
en jeu des échelles, des vitesses constantes et l’application Cours
d’un taux de pourcentage.
● Le paragraphe 1 présente, à travers deux exemples, dif-
Des situations de proportionnalité entre deux grandeurs
férents aspects de la proportionnalité rencontrés tout au
s’appuyant sur un graphique ont aussi été travaillées.
long du cycle : fonctions linéaires et représentations gra-
L’élève a enfin appris à reconnaître des situations relevant
phiques, agrandissements et réductions, le théorème de
ou ne relevant pas de la proportionnalité.
Thalès, les triangles semblables et les homothéties.
– Au cycle 4, en classe de 5e, l’élève a poursuivi la recon-
● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe  2
naissance d’une situation de proportionnalité ou de
non-proportionnalité à partir de données présentées, par «  Pourcentage d’évolution, proportionnalité et fonctions
exemple, sous forme d’un tableau. linéaires » qui utilise le « coefficient multiplicateur ».
Il utilise différentes procédures (additivité, homogénéité, J’applique le cours
passage à l’unité, coefficient de proportionnalité) pour Exercice résolu 1
résoudre des problèmes de proportionnalité dans le Dans ce premier exercice, un taux de réduction est donné.
cadre, par exemple, de pourcentages, d’échelles. Il partage Il s’agit alors de calculer le coefficient multiplicateur cor-
une quantité à l’aide d’un ratio donné. respondant et de l’utiliser.
– À partir de la classe de 4e, l’élève reconnaît sur un gra-
Exercice résolu 4
phique une situation de proportionnalité ou de non-pro-
Dans ce deuxième exercice résolu, il s’agit de calculer un
portionnalité. Il choisit la procédure pour calculer une
taux de hausse à partir de la valeur initiale et de la valeur
quatrième proportionnelle et utilise une formule liant
finale.
deux grandeurs dans une situation de proportionnalité.
Les situations de proportionnalité sont étendues au
cadre de la géométrie (configuration de Thalès avec des 4 Compléments
triangles emboîtés, agrandissement-réduction).
Étudier des situations de proportionnalité
–  En classe de 3e, le cadre géométrique est étendu aux
Les exercices 7 à 17 proposent différentes situations qui
triangles semblables, aux homothéties et à la configura-
mettent en œuvre des procédures de calcul de quatrième
tion en papillon du théorème de Thalès.
proportionnelle étudiées en classes de 5e et 4e.
L’élève modélise une situation de proportionnalité à l’aide
Les exercices 18 à 20 font le lien entre proportionnalité et
d’une fonction linéaire. Il utilise le lien entre pourcentage
fonctions linéaires.
d’évolution et coefficient multiplicateur.
Dans les exercices 21 à 24, différents aspects de la propor-
tionnalité dans un cadre géométrique sont proposés.
2 Je découvre
Utiliser des pourcentages d’évolution
Activité 1 Les exercices 30 à 38 permettent de manipuler de façon
L’objectif de cette activité est d’utiliser une fonction progressive un pourcentage d’évolution  : calcul d’une
linéaire pour résoudre un problème de géométrie. La valeur finale, puis d’une valeur initiale et d’un taux d’évo-
situation proposée s’appuie sur la proportionnalité des lution.

Chapitre 9 – Faire le point sur la proportionnalité  107 


CORRIGÉS

Bien démarrer 2 a.
Prix initial (en €) 34 60 100
1. b et c ; 2. a ; 3. b et c ; 4. c ; 5. a et c.
Montant de la réduction (en €) 1,70 3 5
Prix réduit (en €) 32,30 57 95

Je découvre 32,3 57 95
b. = 0,95 ; = 0,95 et = 0,95
34 60 100
Activité 1
Le prix réduit est proportionnel au prix initial.
1 On sait que le triangle ABC est rectangle en A Le coefficient de proportionnalité est 0,95 soit 95 %.
avec AB = 4 cm et AC = 3 cm. 5
D’après l’égalité de Pythagore : 3 x× = 0,05x €
100
BC2 = AB2 + AC2 La remise est 0,05x.
BC2 = 42 + 32 x – 0,05x = (1 – 0,05)x € = 0,95x €
BC2 = 16 + 9 Le prix du livre après réduction est 0,95x €.
BC2 = 25
Alors BC = 425 = 5 cm.
2 a. Les points B, S, A et B, T, C sont alignés et les droi- J’applique le cours
tes (TS) et (AC) sont parallèles (car ARTS est un rectangle)
donc les triangles SBT et ABC forment une configuration 2 a. Augmenter une valeur de 2 % revient à multiplier
de Thalès : cette valeur par :
2
BT BS ST 1+ = 1 + 0,02 = 1,02
= = 100
BC BA AC Donc le coefficient multiplicateur correspondant à une
BT x TS hausse de 2 % est 1,02.
= =
5 4 3
b. 17,50 € × 1,02 = 17,85 €
3 5 Le nouveau prix est 17,85 €.
Ainsi ST =  x et BT =  x.
4 4
3 5 3 a. Diminuer une valeur de 12 % revient à multiplier
b. f (x) = BT + ST + SB =  x +  x + x
4 4 cette valeur par :
12 12
f (x) =  x = 3x 1– = 1 – 0,12 = 0,88
4 100
Ainsi x et f (x) sont proportionnels. Donc le coefficient multiplicateur correspondant à une
baisse de 12 % est 0,88.
f est une fonction linéaire de coefficient 3.
b. On cherche le prix initial P, en euro, du jeu.
c. AS = 4 – x
Il vérifie : P × 0,88 = 66 €.
g(x) = TS × 2 + AS × 2
Ainsi, P = 66 €;0,88 = 75 €.
3
g(x) =  x × 2 + (4 – x) × 2 Ce jeu coûtait 75 € avant réduction.
4
3 1 5 On cherche le coefficient multiplicateur k.
g(x) =  x + 8 – 2x = 8 –  x
2 2 480,7
Il vérifie 475 × k = 480,70, c’est-à-dire k = = 1,012.
Ainsi x et g(x) ne sont pas proportionnels. 475
Un coefficient multiplicateur de 1,012 correspond à une
d. f (x) = g(x)
hausse de 1,2 %.
1
3x = 8 –  x Le loyer a augmenté de 1,2 %.
2
1 6 On cherche le coefficient multiplicateur k.
3x +  x = 8 126
2 Il vérifie 150 × k = 126, c’est-à-dire k = = 0,84.
7 2 150
 x = 8 ainsi x = 8 ×   Un coefficient multiplicateur de 0,84 correspond à une
2 7
16 baisse de 16 %.
x= soit x ≈ 2,3 cm La consommation a baissé de 16 %.
7
Donc pour SB ≈ 2,3 cm, ARTS et TSB ont le même péri-
mètre.
Je m’entraîne
Activité 2
5
1 30 × = 1,50 € Étudier des situations de proportionnalité
100
Le libraire accorde une remise de 1,50 €.
30 – 1,5 = 28,50 € 7 On peut utiliser un contre-exemple.
Jade paye donc 28,50 € pour ce livre. S’il y a 150 filles et 200 garçons, le ratio est 15;20. Si 5 filles

 108
s’inscrivent en plus le ratio sera 155;200 qui n’est pas égal 1 000 × 9,6 = 9 600
à 20;20. Avec une tonne de sel, on couvre 9 600 m².
8 1. a. BD = 2 cm + 6 cm = 8 cm. 15 a. 27 cm = 1,8
15 cm
BD = 4 × BC
Le coefficient d’agrandissement est 1,8.
1
b. CA = × DE b. 8 cm × 1,8 = 14,4 cm
4
2. Pour obtenir l’aire du triangle BED, il faut multiplier l’aire La largeur de la photographie agrandie est 14,4 cm.
du triangle BAC par ()
1 2
4
c’est-à-dire
1
16
 .
c. 30,6 cm;1,8 = 17 cm
La diagonale de la photographie initiale est 17 cm.
9 Exemples de réponses. 16 a. On calcule le prix de 1 kg de farine pour chaque sac.
4 34 54,4
a. 4 m + m = 6 m = 1,36  = 1,36
2 25 40
30 Le prix est proportionnel à la masse de farine.
30 € +  € = 30 € + 15 € = 45 €.
2 b. On complète :
6 m de tissu coûtent 45 €. Ligne (1) : M et 1,36
b. 30 € × 2,5 = 75 € Ligne (2) : P
4 m × 2,5 = 10 m
Avec 75 €, on peut acheter 10 m de ce tissu.
10 a. A’B’ = AB × 0,7 = 4 cm × 0,7 = 2,8 cm
B’C’ = BC × 0,7 = 7 cm × 0,7 = 4,9 cm
b. A’B’ = AB × 1,5 = 4 cm × 1,5 = 6 cm
B’C’ = BC × 1,5 = 7 cm × 1,5 = 10,5 cm
11 a. 180 mL;2 = 90 mL
1 volume mesure 90 mL.
90 mL × 3 = 270 mL
Le volume de peinture jaune est 270 mL.
b. Le mélange contient 2 doses de peinture bleue pour 17 a. On calcule les quotients :
5 doses au total, ainsi : 12 4 16 4
=  et  =
2 40 9 3 12 3
=
5 100 Il s’agit d’un tableau de proportionnalité.
Il y a 40 % de peinture bleue. b. 9 m = 900 cm
12 a. 15 billets;3 = 5 billets 12 1
Échelle = =
5 billets × 5 = 25 billets 900 75
1
Il faut imprimer 25 billets gagnants pour respecter ce ratio. L’échelle du plan est  .
75
3 3 18 a. d(x) = 15 × x
b. =
5+3 8
3 b. d(16) = 15 × 16 = 240
La proportion de billets perdants est  .
8 En 16 min, le robot parcourt 240 m.
3
c. 400 × = 150 c. d(x) = 135
8
Il faut imprimer 150 billets perdants. 15x = 135
5 135
400 – 150 = 250 ou 400 × = 250 x= =9
8 15
Il faut imprimer 250 billets gagnants. En 9 min, le robot parcourt 135 m.
19 1.
13 1. a. 11 = 2,20 €. 1 kg de pommes coûte 2,20 €.
5 Durée (en s) 0 4 25 96
b. x = 8,2 × 2,20 = 18,04 € Distance (en m) 0 200 1 250 4 800
c. Par exemple avec l’égalité des produits en croix :
2. a. d(t) = 50 × t = 50t
8,2 × 11
x= = 18,04 €. b. d(15) = 50 × 15 = 750
5
En 15 s, l’avion parcourt 750 m.
2. y = 36,3;2,2 = 16,5
Avec 36,30 €, on achète 16,5 kg de pommes. 3. La fonction est une fonction linéaire.
20 a. Le prix d’un fil est proportionnel à sa longueur. La
14 a. 480 = 9,6 m2 donc 1 kg de sel couvre 9,6 m2.
50 courbe 2 est une droite passant par l’origine du repère :
1 500 elle représente la fonction p.
= 156,25.
9,6 6
Pour couvrir 1 500 m², il faut 156,25 kg. b. = 2,5  1 m de fil coûte 2,5 €.
2,4
b. 1 tonne représente 1 000 kg. p(x) = 2,5 × x = 2,5x

Chapitre 9 – Faire le point sur la proportionnalité  109 


21 a. FE = 8,9 ≈ 1,62 et DE = 4,8 = 1,6 30 Le coefficient multiplicateur correspondant à une
AB 5,5 BC 3 hausse de 20 % est 1,2.
Les triangles DEF et ABC ne sont pas semblables.
380 g × 1,2 = 456 g
GI 13,2 IH 7,2 La boîte contient 456 g de céréales.
b. = = 2,4 et = = 2,4
AB 5,5 BC 3
Les triangles GHI et ABC sont semblables. 31 Le coefficient multiplicateur correspondant à une
hausse de 5 % est 1,05.
22 a. Les triangles AFE et ABC sont dans une configura-
429 € × 1,05 = 450,45 €
tion de Thalès, ils ont des côtés de longueurs proportion-
Lisa devra payer 450,45 € avec les frais de livraison.
nelles.
AB 6,5 32 Le coefficient multiplicateur correspondant à une
b. = = 2,6
AF 2,5 hausse de 2,5 % est 1,025.
Le coefficient d’agrandissement du triangle AFE au 420 € × 1,025 = 430,5 €
triangle ABC est 2,6. Zian va payer 430,50 € le téléviseur.
AC = 3 cm × 2,6 = 7,8 cm 33 Le coefficient multiplicateur correspondant à une
EF = 5,2 cm;2,6 = 2 cm baisse de 31 % est 0,69.
23 a. DH = 3,5 = 5  , DI = 4 = 5 et HI = 3 = 5 825 TWh × 0,69 = 569,25 TWh
DE 5,6 6 DC 6,4 8 EC 4,8 8 En 2028, la consommation devrait être de 569,25 TWh.
Le triangle DHI est une réduction du triangle CDE.
34 • Le coefficient multiplicateur correspondant à une
b. Comme les points E, D et H sont alignés ainsi que les
baisse 15 % est 0,85.
points C, D et I et que les quotients sont égaux, on peut en
69 € × 0,85 = 58,65 €
déduire que les droites (EC) et (HI) sont parallèles. Le 1er blouson coûte 58,65 €.
24 AB = 7,2 = 1,6 • Le coefficient multiplicateur correspondant à une baisse
EF 4,5 20 % est 0,80.
Le rapport de l’homothétie est 1,6. 73 € × 0,80 = 58,40 €
b. BC = 6 cm × 1,6 = 9,6 cm Le 2e blouson coûte 58,40 €.
EG = 15,2 cm;1,6 = 9,5 cm Marin choisit le 2e blouson.
OG = 17,6 cm;1,6 = 11 cm 35 a. Le coefficient multiplicateur correspondant à une
hausse de 1,5 % est 1,015.
Utiliser des pourcentages d’évolution b. 1 827;1,015 = 1 800
Le salaire de Lisa le mois dernier était de 1 800 €.
25
36 Le coefficient multiplicateur correspondant à une
Hausse de 2 % • • x ∞ 0,98x baisse de 6,4 % est 0,936.
Hausse de 20 % • • x ∞ 1,002x 323;0,936 ≈ 345
La masse de déchets en 2012 est d’environ 345 millions de
Baisse de 20 % • • x ∞ 1,02x
tonnes.
Hausse de 0,2 % • • x ∞ 1,2x
Baisse de 2 % • • x ∞ 0,8x 37 Casque audio
63,60
= 0,8
79,50
26 a. Hausse de 40 %. d. Baisse de 8 %. Le coefficient de 0,8 correspond à une baisse de 20 %.
b. Baisse de 25 %. e. Baisse de 50 %. Enceinte
c. Hausse de 3,5 %. f. Hausse de 200 %. 70,20
= 0,65
108
27 1 % de 300 L représente 3 L. Il reste 297 L d’eau. Le coefficient de 0,65 correspond à une baisse de 35 %.
28 La récolte a augmenté de 10 kg. 38 1,68 = 1,05
10 1,60
= 0,25. La hausse est de 25 %. Le coefficient de 1,05 correspond à une hausse de 5 %.
40
29 a. 1 + 6 = 1 + 0,06 = 1,06 39 a. 5,6 – 3,5 = 2,1 kg
100 D'octobre à avril, la marmotte perd 2,1 kg.
13 2,1 37,5
b. 1 – = 1 – 0,13 = 0,87 = 0,375 or 0,375 =  .
100 5,6 100
50 La marmotte perd 37,5 % de sa masse pendant l’hiver.
c. 1 + = 1 + 0,5 = 1,5
100 2,1 60
b. = 0,6 or 0,6 = .
99 3,5 100
d. 1 – = 1 – 0,99 = 0,01
100 La masse de la marmotte augmente de 60  % d’avril à
0,1 octobre.
e. 1 – = 1 – 0,001 = 0,999
100
40 Le panier contient 90 % de cerises et 10 % d’autres
100
f. 1 + =1+1=2 fruits.
100
 110
10 Donc le coefficient multiplicateur correspondant à une
× 15 = 1,5
100 baisse de 20 % est 0,8.
Il y a 1,5 kg d’autres fruits. Léo n’en mange pas. À la fin, les
Ainsi le nouveau prix est : 105 € × 0,8 = 84 €
autres fruits représentent 20 % du panier.
84
20 c. = 0,56, or 1 – 0,56 = 0,44
1,5; = 7,5 150
100 Le pourcentage total de baisse est donc 44 %.
Il reste donc 7,5 kg de fruits dans le panier !
2. Le prix final est :
150 € × 0,7 × 0,8 = 150 € × 0,56 = 84 €
Utiliser la proportionnalité Donc Nadia a raison.
41 a. 2 min 10 s = 130 s 45 a. Le coefficient multiplicateur correspondant à une
DE = 2,5 × 130 = 325 m hausse de 17 % est 1,17.
15,8 MW × 1,17 = 18,486 MW
b. 3 min 28 s = 208 s En 2018, la capacité de production est 18,486 MW.
DA = 2,5 × 208 = 520 m
b. Le coefficient multiplicateur correspondant à une
c. (EF) et (AB) sont perpendiculaires à (DB), elles sont paral- hausse de 20 % est 1,20.
lèles. 18,486 MW × 1,20 = 22,183 2 MW
Comme (EF) // (AB), et les droites (EA) et (FB) sécantes en D, En 2019, la capacité de production est 22,183 2 MW.
d’après le théorème de Thalès : 22,183 2
DE EF 325 EF c.  = 1,404
= donc = 15,8
DA AB 520 44 Le pourcentage total de hausse est donc 40,4 %.
EF 44 × 325
= = 27,5 m
AB 520 Je m’évalue à mi-parcours
42 1. a. 46 b. 47 c. 48 c. 49 b. 50 a.
AC (en cm) 2 3,5 5,2
Aire du triangle CAS (en cm²) 5 8,75 13
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
5 8,75 13
b. = 2,5   = 2,5   = 2,5
2 3,5 5,2
Il s’agit d’un tableau de proportionnalité. 51 1. a. Le coefficient multiplicateur correspondant à
x×5 une hausse de 1,25 % est 1,012 5.
2. a. !(x) = = 2,5x 200 € × 1,012 5 = 202,5 €
2
Au bout d’un an, Maeva disposera de 202,50 €.
b. !(x) s’obtient en multipliant x par 2,5 qui est le coeffi-
cient de proportionnalité. b. • 202,5 € × 1,012 5 = 205,031 25 € ≈ 205,03 €
Au bout de deux ans, Maeva aura environ 205,03 €.
c. !(x) = 2,5x = 12
• 205,031 25 € × 1,012 5 = 207,594 110 6 € ≈ 207,60 €
12 Au bout de trois ans, Maeva aura environ 207,60 €.
x= = 4,8
2,5
Pour x = 4,8 cm, l’aire du triangle CAS est égale à 12 cm2. 2. a. N représente le nombre d’années.
S représente la somme d’argent dont disposera Maeva au
43 a. 240 × 0,8 = 192 bout de N années.
Dans la première salle, il y a 192 sièges occupés.
b. Pour la question 1.a. :
b. 216;0,6 = 360 Ligne (1) : 1 et Ligne (2) : 1,012 5
Dans la deuxième salle, il y a 360 sièges. Pour la question 1.b. :
c. 240 + 360 = 600 Ligne (1) : 2 et Ligne (2) : 1,012 5
Il y a 600 sièges dans ce théâtre. c.
192 + 216 = 408
Il y a 408 sièges occupés dans ce théâtre.
408
d.  = 0,68
600
68 % des sièges de ce théâtre sont occupés.
44 1. a.  Diminuer une valeur de 30 % revient à multiplier
cette valeur par :
30
1– = 1 – 0,3 = 0,7
100
Donc le coefficient multiplicateur correspondant à une
baisse de 30 % est 0,7.
Ainsi le nouveau prix est : 150 € × 0,7 = 105 €
b. Diminuer une valeur de 20 % revient à multiplier cette
valeur par :
20
1– = 1 – 0,2 = 0,8
100

Chapitre 9 – Faire le point sur la proportionnalité  111 


52 2. a. Cette formule permet de calculer le prix total HT 100 kg × 0,8 = 80 kg
pour les 3 cartouches achetées. Au bout de deux mois, il y a 80 kg de compost.
b. Dans la cellule D7, on peut saisir la formule : 80 kg × 0,8 = 64 kg
Au bout de deux mois, il y a 64 kg de compost.
= SOMME(D2:D6) ou = D2+D3+D4+D5+D6
3
5 64 × ≈ 27,4
3. a. 1 – = 1 – 0,05 = 0,95 7
100 On pourra couvrir 27 m².
Diminuer une valeur de 5 % revient à la multiplier par 0,95.
54
La formule à saisir est = D7*0,95  .
PARCOURS 1

4. a. Dans la cellule D9, on peut saisir la formule : a. 450 kcal × 0,6 = 270 kcal


= D8*0,20  . b. E = 8,4 × 40 = 336 kcal
b. Dans la cellule D10, on peut saisir la formule : c. L’apport énergétique est inférieur à la dépense énergé-
tique.
= D8 + D9  .
PARCOURS 2
On peut aussi saisir la formule : = D8*1,20  .
a. 1 h 10 min = 70 min
E = 8,4 × 70 = 588 kcal.
b. • Apport énergétique des pains au chocolat :
deux pains au chocolat pèsent 120 g.
455
120 × = 546 kcal
100
• Apport énergétique du fromage blanc :
98
125 × = 122,5 kcal
100
• Apport énergétique du petit-déjeuner :
546 kcal + 122,5 kcal = 668,5 kcal
c. L’apport énergétique est supérieur à la dépense éner-
gétique.
Parcours différenciés
PARCOURS 3
53 Apport énergétique des céréales :
PARCOURS 1
450
120 × = 540 kcal
a. « Une baisse de 20 % correspond à un coefficient mul- 100
tiplicateur de : Apport énergétique du fromage blanc :
20 98
1– = 1 – 0,2 = 0,8 140 × = 137,2 kcal
100 100
Un mois plus tard, la masse de compost sera : Apport énergétique du petit-déjeuner :
75 kg × 0,8 = 60 kg. 540 kcal + 137,2 kcal = 677,2 kcal
9 Temps d’activité sportive :
b. = 2,25
4
E 677,2
Il faut 2,25 kg par jardinière. t= = ≈ 81 min
8,4 8,4
c. 2,25 kg × 26 = 58,5 kg Tao devra pédaler au moins 1 h 21 min.
Comme 58,5 kg , 60 kg, il y a assez de compost pour rem-
plir 26 jardinières.
PARCOURS 2 J’utilise mes compétences
50 kg × 0,8 = 40 kg
55  15 + 9 + 6 = 30
Au bout d’un mois, il y a 40 kg de compost.
40 kg × 0,8 = 32 kg Ils ont travaillé 30 heures au total.
Au bout de deux mois, il y a 32 kg de compost. 15
• Joe a travaillé h donc il recevra :
30
2 15
32 × ≈ 14,2 × 640 = 320 $
4,5 30
On pourra fertiliser 14 arbres. 6
• Sean a travaillé h donc il recevra :
30
PARCOURS 3 6
× 640 = 128 $
30
Les deux composteurs contiennent 125 kg de compost. 9
• Marie a travaillé h donc elle recevra :
125 kg × 0,8 = 100 kg 30
9
Au bout d’un mois, il y a 100 kg de compost. × 640 = 192 $
30
 112
56 • Aire de la façade : 61 Soit x le prix.
π × 32 Pour une hausse de 10 %, le nouveau prix est x + 0,1x.
6 × 4,5 + ≈ 41,4
2 Pour une hausse de 10 € le nouveau prix est x + 10.
La façade a une surface d’environ 42 m2. • Si x , 100 €, alors 0,1x , 10.
• Volume de peinture avec 2 couches : La réduction de 10 € est plus intéressante.
2 • Si x = 100 €, alors 0,1x = 10.
(42 × 2) × ≈ 11
15 Les 2 réductions sont identiques.
Il faut environ 11 L de peinture.
• Si x . 100 €, alors 0,1x . 10.
• Comme un pot contient 4 L, il faut 3 pots.
La réduction de 10 % est plus intéressante.
3 × 39,90 = 119,7
Il faut prévoir un budget minimum de 119,7 €.
62 • AB = AC donc 7 = 5
CD CE CD 4
57 • 365 × 24 = 8 760
7×4
Une année compte 8 760 heures. Ainsi CD = = 5,6 cm
5
3
• = 0,15 AB AC 7 5
20 • = donc =
1 kWh coûte 0,15 €. EF EG EF 3
• E = 32 × 8 760 = 280 320 Wh 7×3
Ainsi EF = = 4,2 cm
5
Le congélateur Classe A consomme 280,32 kWh .
280,32 × 0,15 = 42,048 € AB AC 7 5
• = donc =
Le coût annuel est 42,048 € GH GI GH 2
7×2
• E = 48 × 8 760 = 420 480 Wh Ainsi GH = = 2,8 cm
5
Le congélateur Classe B consomme 420,48 kWh .
420,48 × 0,15 = 63,072 € AB AC 7 5
• = donc =
Le coût annuel est 63,072 € IJ IK IJ 1
7×1
• 619 – 599 = 20 € Ainsi IJ = = 1,4 cm
5
63,072 € – 42,048 € = 21,024 € (AB + CD + EF + GH + IJ) × 2 = (7 + 5,6 + 4,2 + 2,8 + 1,4) × 2
Le congélateur A est plus rentable. = 42 cm
58 Soit x le prix d’une entrée plein tarif. La ligne brisée mesure 42 cm.
1re offre 63 • D’après le théorème de Pythagore dans le triangle
Une réduction de 40 % correspond à un coefficient multi- ABD rectangle en D, AB2 = BD2 + AD2 donc
plicateur de 0,6. BD2 = 4,52 – 2,72 = 12,96
4x + 0,6x = 4,6x Ainsi BD = 812,96 = 3,6 cm.
2e offre • D’après le théorème de Pythagore dans le triangle ABC
Une réduction de 10 % correspond à un coefficient multi- rectangle en B, AC2 = BA2 + BC2 donc AC2 = 4,52 + 62 = 56,25.
plicateur de 0,9. Ainsi AC = 856,25 = 7,5 cm.
5x × 0,9 = 4,5x
• On calcule les quotients :
La 2e offre est la plus intéressante.
AB 4,5 3
59 Soit x le prix du terrain. Une réduction de 10 % corre- = =
AC 7,5 5
spond à un coefficient multiplicateur de 0,9. Donc après la AD 2,7 3
= =
baisse de 10 % le terrain coûte : 0,9x. AB 4,5 5
Une hausse de 10  % correspond à un coefficient multi- BD 3,6 3
= =
plicateur de 1,10. Donc après la hausse de 10 % le terrain BC 6 5
coûte : 0,9x × 1,10 = 0,99x Le triangle ADB est une réduction de ABC. Le rapport de
Le prix du terrain a donc baissé de 1 %. 3
réduction est  .
5
60 On note x le coût total de fabrication.
64 1re banque  : le coefficient multiplicateur correspon-
• Le coût de la main-d’œuvre représente 0,60x. Augmenter
dant à une hausse de 3 % est 1,03.
une valeur de 5 % revient à la multiplier par 1,05. Ainsi le
320 € × 1,03 = 329,6 €
coût de la main-d’œuvre est : 1,05 × 0,60x = 0,63x.
• Le coût des matières premières représente 0,40x. Aug- 2e banque : le coefficient multiplicateur correspondant à
menter une valeur de 15 % revient à la multiplier par 1,15. une hausse de 2 % est 1,02.
Ainsi le coût des matières premières est : 180 € × 1,02 = 183,6 €
1,15 × 0,40x = 0,46x. 180 € + 320 € = 500 €
Casey a investi 500 €.
• 0,46x + 0,63x = 1,09x
183,6 € + 329,6 € = 513,2 €
Le coût de fabrication de ce vêtement est passé de x € à
Au bout d’un an, elle a 513,2 €.
1,09x € : il a été multiplié par 1,09 ce qui correspond à une
513,2
augmentation de 9 %. = 1,026 4
500

Chapitre 9 – Faire le point sur la proportionnalité  113 


Le coefficient multiplicateur 1,026 4 correspond à une Le pas, au bout de n années est : 10 × 0,90n.
hausse de 2,64 % et non 5 %. On peut utiliser un tableur ou des essais sur la calculatrice
Casey se trompe. pour trouver le plus petit n tel que : 10 × 0,90n , 0,65.
65  Le coefficient multiplicateur correspondant à une Avec la calculatrice, on trouve :
baisse de 32 % est 0,68. 10 × 0,9027 ≈ 0,58
On cherche le nombre k tel que 0,68 × k = 1 10 × 0,9026 ≈ 0,646
1 10 × 0,9025 ≈ 0,72
d’où k = ≈ 1,47. Donc la 26e année, le pas de Gargantua sera inférieur à
0,68
Le coefficient multiplicateur 1,47 correspond à une hausse 65 cm.
de 47 %. 71  On appelle x le taux.
66  Le coefficient multiplicateur correspondant à une Augmenter une valeur de x revient à la multiplier par
hausse de 15 % est 1,15. y=1+
x
On note x le côté de ce carré. 100
a. Le périmètre 3 de ce carré est 3 = 4x. Pour que la somme double en 10 ans, on écrit l'équation :
Le périmètre 3’ du carré agrandi est : 1000 × y10 = 2 000
3’ = 4 × (x × 1,15) = 4x × 1,15 = 3 × 1,15 y10 = 2
Le périmètre du carré augmente aussi de 15 %. On peut réaliser des essais successifs avec la calculatrice
ou utiliser le tableur :
b. L’aire ! de ce carré est ! = x2.
• D'après ce premier tableau, y est compris entre 1 et 1,1.
L’aire !’ du carré agrandi est :
!’ = (x × 1,15) × (x × 1,15) = x × 1,152 = x × 1,322 5
L’aire du carré augmente de 32,25 %.
67  On note x le côté du carré et d sa diagonale.
D’après l’égalité de Pythagore :
d 2 = x2 + x2 • D'après ce deuxième tableau, y est compris entre 1,07 et
d 2 = 2x2 1,08.
d = x × 12
La diagonale d’un carré est donc proportionnelle à la lon-
gueur de son côté : le coefficient de proportionnalité est
12.
68  Volume du 1er cube : 91 = 33 = 27 cm3
234,9
= 8,7
27 • D’après ce troisième tableau, y est compris entre 1,071
1 cm3 de laiton pèse 8,7 g. et 1,072.
Volume du 2e cube : 92 = 43 = 64 cm3
563,2
= 8,8
64
1 cm de bronze pèse 8,8 g.
3

Volume du 3e cube : 93 = 53 = 125 cm3


1 100 x
= 8,8 Comme y = 1 + , alors x est compris entre 7,1  % et
125 100
Le 3 cube est en bronze.
e
7,2 %. M. Avare doit donc placer son argent à un taux com-
69  a. pris entre 7,1 et 7,2 %.
Avec le nombre –8 Avec le nombre 3,7
• –8 + 2 = –6 • 3,7 + 2 = 5,7
• –6 × 9 = –54 • 5,7 × 9 = 51,3 Dossier Brevet
• –54 + (–8) = –62 • 51,3 + 3,7 = 55
• –62 – 18 = –80 • 55 – 18 = 37 72 1. c ; 2. a ; 3. a ; 4. c
b. Avec le nombre x 73 a. Faux.
•x+2 AR = 3 × AN donc AR ≠ AN donc les triangles NOA et DAR
• (x + 2) × 9 = 9x + 18 ne sont pas symétriques par rapport au point A.
• 9x + 18 + x = 10x + 18 b. Vrai.
• 10x + 18 – 18 = 10x On vérifie les conditions :
Le résultat final est égal à 10x : la fonction qui associe le – AR = 3 × AN et AD = 3 × AO
nombre choisi au résultat final est une fonction linéaire de – N, A, R et O, A, D sont alignés dans le même ordre
coefficient 10.
– (DR) // (ON)
70  Le coefficient multiplicateur correspondant à une DAR est donc l’image du triangle NAO par une homothé-
baisse de 10 % est 0,90. tie de centre A.

 114
c. Vrai. Donc l’aire du quadrilatère EFGH est égale à :
AR DR 1 950  cm2 × 1,562 5 = 3 046,875  cm2 ≈ 3 047  cm2 au cm²
= 3  et  =3
AN NO près.
Il s’agit d’un tableau de proportionnalité. 1 1
d. A’D’ = AD × = 35 cm × = 4,375 cm
74 • Il y aura 58 personnes à prévoir. 8 8
Enzo aurait dû choisir 4,4 cm comme valeur approchée.
• Calcul des proportions : il faut donc multiplier toutes les
quantités de la recette par 12,5. 78 a. 75 = 5
30 2
Ingrédients
Quantité pour Quantité pour Quantité pour Le ratio masse de beurre : masse de farine est 5;2.
4 personnes 1 personne 58 personnes
Beurre 50 g 12,5 g 725 g
b. 100 g × 2,5 + 250 g
Haricots 400 g 100 g 5 800 g
Donc 30 g × 2,5 = 75 g
Bœuf 500 g 125 g 7 250 g
Il faut 75 g de farine.
Oignons 2 0,5 29 79 a. D, F, A sont alignés, ainsi que E, G, A.
Concentré 65 g 16,25 g 942,5 g Les droites (DE) et (FG) sont parallèles.
D’après le théorème de Thalès,
Le cuisinier ne pourra pas recevoir les 8  personnes  : il
AF AG
n’aura pas assez de bœuf haché. =
AD AE
Il pourra recevoir 6 personnes.
5 4
=
75 a. Baisser de 21 % c’est multiplier par : AD 4 + 6,8
21 79 5 4
1– = = 0,79. =
100 100 AD 10,8
Donc la quantité de gaz à effet de serre émise en 2013 par 5 × 10,8
D’où AD = = 13,5 cm.
l’Union européenne est égale à : 5 680,9 × 0,79 = 4 487,91 4
≈ 4 487,9 millions de tonnes à 0,1 près. b. Les angles hFAG et jCAB sont opposés par le sommet et
2 de même mesure.
b. Diminuer de ses émissions de 1990 revient à pro-
5 AF 5
2 3 = = 0,8
duire encore 1 – = = 0,6. AD 6,25
5 5 AG 4
La France devra donc produire en 2030 au plus : = = 0,8
AC 5
549,4 × 0,6 = 329,64 millions de tonnes équivalent CO2. Deux quotients de côtés homologues sont égaux et deux
1
De même diminuer de ses émissions de GES de 2013 angles homologues sont égaux donc les triangles AFG et
3
ABC sont semblables.
revient à produire encore :
1 2 80 a. Le trajet de Zoé a une longueur de :
1 – =  .
3 3 π
La France devra donc produire en 2030 au plus : 3 × 60 + 2 × 10 × = 180 + 5π ≈ 211,4 m.
2
2 Le trajet de Tim est de 200 m.
490,2 × = 326,8 millions de tonnes équivalent CO2.
3 Zoé a le trajet le plus long.
À 3 millions près l’affirmation est correcte.
b. • Vitesse de Tim :
76 a. Sa consommation ne sera plus que de 85 % de sa 200
≈ 7,14 (m/s)
consommation antérieure, soit : 6 × 0,85 = 5,1 L/100 km. 28
b. 20 000 = 200 × 100 • Vitesse de Zoé :
Il économisera 6 L – 5,1 L = 0,9 L tous les 100 km. 180 + 10π
≈ 7,14 (m/s)
Il va donc économiser en un an : 28,5
200 × 0,9 = 180 L de carburant. Zoé est la plus rapide.
L’économie sera donc de : 160 × 1,35 = 243 €. 81 • Les droites (FG) et (BC) sont parallèles car elles sont
Comme 243 . 200 il aura donc amorti la dépense pour perpendiculaires à la même droite (SB).
le stage. On peut donc d’après la propriété de Thalès avec les
77 a. Le rapport des longueurs des diagonales est : triangles SFG et SBC, écrire :
GE 100 cm SF FG 5 FG
= = 1,25 =  soit  =
AC 80 cm SB BC 20 6
5 6
GH GH d’où FG = × 6 = = 1,5 cm.
b. On a donc = = 1,25 20 4
CD 60
d’où GH = 60 cm × 1,25 = 75 cm. Le volume d’un cône est égal à :
HE EF SF 5
De même = = 1,25 (puisque EF = EH), π × EF2 × = π × 1,52 × ≈ 11,781
AD CD 3 3
d’où EF = 35 cm × 1,25 = 43,75 cm. soit 11,78 cm3 au centième près.
Jean doit remplir 80 % des 400 cônes de sauce tomate soit
c. Puisque les longueurs sont multipliées par 1,25, les aires
80
sont multipliées par 1,252 = 1,562 5. 400 × = 400 × 0,80 = 320 cônes.
100

Chapitre 9 – Faire le point sur la proportionnalité  115 


320 cônes de 11,78 cm3 de sauce tomate représentent Or chaque bouteille de mayonnaise a un volume de :
320 × 11,78 = 3 769,6 cm3. π × 2,52 × 15 = 93,75 π ≈ 294,524 cm3.
3 769,6 942,4
Il a donc besoin de ≈ 7,6 Il lui faut donc acheter ≈ 3,2
500 294,524
soit 8 bouteilles de sauce tomate. soit 4 bouteilles de mayonnaise.
• Pour la mayonnaise il lui faut remplir 80  cônes soit Il faut donc à Jean 8 bouteilles de sauce tomate et 4 bou-
80 × 11,78 = 942,4 cm3. teilles de mayonnaise.

 116
Projets Scratch

PROJET 3 PROJET 4
Calculer une moyenne Construire une table de valeurs
1 Nadia a choisi de représenter ces données à l’aide des 1
1 a. !(x) =
2
x (x + 2).
listes Valeurs et Effectifs.
b. On peut écrire :
2 a. La variable N a pour valeur 7 (nombre de valeurs de 1 1 x2
!(x) =  x2 + x × 2 = + x.
la série). 2 2 2
b. Valeurs Effectifs Ainsi l’affectation effectuée dans le sous-programme Aire
est justifiée.
1 1
c. On saisit le sous-programme.
2 5
1
3 8 renvoie 84 et !(12) = × 12 × 14 = 84.
2
4 8
5 5
2
6 3
7 2

c. À la fin du déroulement du programme :


E = 1 + 5 + 8 + . . . + 2 = 32
S = 1 × 1 + 2 × 5 + . . .  . . . + 7 × 2 = 124
124
M= = 3,875.
32
La variable E a pour valeur l’effectif total de la série et la
variable M a pour valeur la moyenne de la série.
La classe compte 32 élèves, le nombre moyen d’ouvrages
empruntés au CDI par ces élèves est 3,875.
3 a. On saisit le projet de Nadia.
b. On exécute le projet avec la série donnée dans la partie  2
et on contrôle les résultats obtenus.
c. Avec le projet, on obtient un nombre moyen de fautes 3 a. On saisit le programme précédent.
de frappe égal à 3,04. b. On l’exécute avec les valeurs u = 3 et p = 0,5 saisies en
entrée.
On peut lire que par la fonction ! :
• 4 est un antécédent de 12 ;
• 5 est un antécédent de 17,5 ;
• 7 est un antécédent de 31,5.

Projets Scratch  117 


10 Calculer avec des
grandeurs mesurables

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le début du cycle 4 obtenir le volume total d’un solide. Cette méthode est
mise en œuvre régulièrement dans le chapitre.
Au début du cycle 4, les élèves ont réinvesti les formules
des aires de figures planes usuelles et découvert des for- Exercice résolu 4
mules de volumes de solides : prisme, cylindre, pyramide Dans cet exercice, et les deux exercices d’application
et cône. Les grandeurs composées ont été introduites, directe, on manipule des grandeurs quotients de plusieurs
avec l’utilisation des unités notamment pour contrôler la façons  : conversions d’unités, utilisation d’une grandeur
cohérence des résultats. Les conversions d’unités ont aussi quotient, calcul d’une grandeur quotient.
été travaillées.
4 Compléments
2 Je découvre Calculer le volume d’une boule
Activité 1 De façon progressive, on applique la formule, d’abord
pour des boules, puis pour des objets constitués de plu-
Cette activité introduit la formule pour le volume d’une
sieurs solides connus, comme indiqué dans les attendus
boule.
de fin de 3e.
● Dans la question 1, on conjecture la comparaison des
volumes de trois solides usuels. Convertir avec des puissances de 10
On utilise les puissances de 10 pour convertir des unités,
● Dans la question 2, on réinvestit les formules vues les
en commençant par des situations simples. C’est l’occa-
années précédentes, et on découvre celle pour le volume
d’une boule. On peut ainsi vérifier la conjecture de la sion de revoir les préfixes.
question 1. Calculer avec des grandeurs composées
On travaille sur des grandeurs produits, notamment les
Activité 2 kWh, puis sur des grandeurs quotients. On pratique ainsi
L’objectif de cette activité est de mettre en œuvre la des conversions d’unités, mettant en œuvre les procé-
conversion d’unités, dans le cadre d’une grandeur compo- dures de la partie précédente.
sée, en manipulant des puissances de 10. Cette procédure
Utiliser des grandeurs mesurables
est explicitement indiquée dans les repères de progres-
Dans cette partie, on met en œuvre plusieurs procédures
sion et peut remplacer l’utilisation des abaques.
du chapitre dans des contextes variés. L’objectif de chaque
exercice est clairement annoncé.
3 Cours - J’applique le cours
Cours Parcours différenciés
● Suite à l’activité  1, on peut étudier le paragraphe  1 ● Dans l’exercice 63, on retrouve la situation classique d’un
« Volume d’une boule ». Dans l’exemple, on montre com- glaçon dans un verre d’eau. Cette situation est déclinée
ment conserver les unités à l’intérieur d’un calcul. avec des solides et des niveaux d’accompagnement variés.
● Suite à l’activité  2, on peut étudier les paragraphes  2 ● Dans l’exercice 64, on manipule des vitesses moyennes
et 3. Le paragraphe 2 « Conversion d’unité et puissances de façon plus ou moins guidée.
de 10 », sur les conversions d’unités, fait le lien avec les
puissances de 10. Le paragraphe 3 « Unités et grandeurs Dossier Brevet – J’extrais des informations
composées  » présente les grandeurs produits et quo-
● Dans l’exercice 83, il faut utiliser le volume d’une boule,
tients, avec des exemples fondamentaux et le lien avec
qui est rappelé, comme c’est le cas dans les sujets de Bre-
les unités.
vet. On utilise aussi une grandeur composée, la masse
J’applique le cours volumique.
Exercice résolu 1 ● Dans l’exercice 84, on met en œuvre diverses procédures
Dans cet exercice, et les deux exercices d’application vues dans le chapitre : calcul du volume d’un solide et uti-
directe, on applique plusieurs formules de volume pour lisation d’une grandeur composée.

 118
CORRIGÉS

Bien démarrer • Volume de la demi-boule :


1 4
1. c ; 2. a ; 3. b et c ; 4. a et c ; 5. b et c. 92 = × × π × (20 cm)3
2 3
1 4
92 = × × π × 8 000 cm3 soit 92 ≈ 16 755,16 cm3.
2 3
Je découvre • Volume total :
Activité 1 9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 67 021 cm3.
1 Il semble que le cylindre a le plus grand volume et le 5 On convertit la vitesse en km/jour :
cône le plus petit volume. 29,78 km 29,78 km × 60
=
2 a. • Pour le volume du cylindre, on utilise la formule 2. 1 s 1 s × 60
On obtient : 29,78 km 1 786,8 km
=
9 = π × (5 cm)2 × (10 cm) 1 s 1 min
9 = π × 25 × 10 cm3 soit 9 ≈ 785,4 cm3. 29,78 km 1 786,8 km × 60
• Pour le volume du cône, on utilise la formule 1. =
1 s 1 min × 60
On obtient : 29,78 km 107 208 km
1 =
9 = × π × (5 cm)2 × (10 cm) 1 s 1 h
3
1 29,78 km 107 208 km × 24
9 = × π × 25 × 10 cm3 soit 9 ≈ 261,8 cm3. =
3 1 s 1 h × 24
b. Pour le volume de la boule, on utilise donc la formule 3. 29,78 km 2 572 992 km
On obtient : =
1 s 1 j
4 Donc la Terre parcourt une distance de 2 572 992 km par
9 = × π × (5 cm)3
3 jour.
4
9 = × π × 125 cm3 soit 9 ≈ 523,6 cm3. 4
3 6 1 h 20 min = h donc la vitesse moyenne du randon-
3
c. Les valeurs trouvées sont conformes à la conjecture neur est :
3
émise à la question 1. v = 5 km = 5 ×  km/h = 3,75 km/h.
4 4
h
Activité 2 3
On convertit en m/s :
1 a. Le volume de ce bâtiment est : 3,75 km 3 750 m
v= =
9 = (90 m) × (20 m) × (150 m) 1 h 3 600 s
9 = 270 000 m3 v ≈ 1 m/s.
b. 9 = 2,7 × 105 m3
2 a. • 1 m3 = 10–3 dam3
• 2,7 × 105 m3 = 2,7 × 105 × 1 m3 Je m’entraîne
2,7 × 105 m3 = 2,7 × 105 × 10–3 dam3
2,7 × 105 m3 = 2,7 × 102 dam3 Calculer le volume d’une boule
b. 9 = 270 dam3
7 C’est la formule (3).

8 a. 9 = 4 × π × (3 m)3 = 36 π m3
J’applique le cours 3
4
2 • Volume du cylindre : b. 9 = × π × (6 dm)3 = 288 π dm3
3
91 = π × (8 cm)2 × (100 cm) 4 4
91 = π × 64 × 100 cm3 soit 91 ≈ 20 106,2 cm3. c. 9 = × π × (π cm)3 =  π4 cm3
3 3
• Volume de la boule : 4
9 9 = × π × (10 cm)3
4 3
92 = × π × (8 cm)3
3 4
4 9 = × π × 1 000 cm3
91 = × π × 512 cm3 soit 9 ≈ 2 144,66 cm3. 3
3 9 ≈ 4 189 cm3
• Volume total :
9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 22 251 cm3. 10 9 = 4 × π × (9,5 cm)3
3
3 • Volume du cylindre : 4
9 = × π × 857,375 cm3
91 = π × (20 cm)2 × (40 cm) 3
91 = π × 400 × 40 cm3 soit 91 ≈ 50 265,5 cm3. 9 ≈ 3 591 cm3

Chapitre 10 – Calculer avec des grandeurs mesurables  119 


11 Le rayon r du ballon vérifie : • Volume d’une boule :
2π × r = 69 4
92 = × π × (3,25 cm)3 soit 92 ≈ 143,79 cm3
69 3
r=
2π • Volume restant :
r ≈ 11 cm 9 = 91 – 3 × 92 soit 9 ≈ 232,28 cm3.
Donc le volume du ballon est :
20 • Volume du cube :
4
9 ≈ × π × (11 cm)3 91 = (3 cm)3 soit 91 = 27 cm3
3
4 • Volume d’une boule :
9 ≈ × π × 1 331 cm3
3 4
92 = × π × (0,15 cm)3 soit 92 ≈ 0,014 1 cm3
9 ≈ 5 575 cm3 3
• Volume restant :
12 9 = 4 × π × (1 m)3 9 = 91 – 1 000 × 92 soit 9 ≈ 12,86 cm3.
3
4
9 = × π × 1 m3
3 Convertir avec des puissances de 10
9 ≈ 4,2 m3
13 9 = 4 × π × (6 370 km)3 21 a. déca correspond à × 101
3
b. kilo correspond à × 103
9 ≈ 1 082 696 932 000 km3
c. giga correspond à × 109
14 • Volume du cylindre :
d. milli correspond à × 10–3
91 = π × (2,25 m)2 × (3,5 m)  soit  91 ≈ 55,67 m3
• Volume de la demi-boule : e. déci correspond à × 10–1
1 4 f. nano correspond à × 10-9
92 = × × π × (2,25 m)3 soit 92 ≈ 23,86 m3
2 3 22 Les réponses sont : (1), (2), (4) et (6).
• Volume total :
23 a. 15 km = 15 000 m
9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 80 m3.
b. 50 dm = 5 m
15 • Volume d’un parachute :
1 4 c. 200 mm = 0,2 m
91 = × × π × (17,5 m)3 soit 91 ≈ 11 225 m3
2 3 24 a. 100 dm² = 1 m²
• Volume des trois parachutes : 9 ≈ 33 675 m3
b. 50 dam² = 5 000 m²
16 • Volume du cylindre : la hauteur du cylindre est égale c. 3 km² = 3 000 000 m²
à 27 cm – 6 cm, soit 21 cm.
91 = π × (3 cm)2 × (21 cm)  soit  91 ≈ 593,76 cm3 25 a. 1 km = 103 m d. 1 hg = 103 dg
• Volume de la boule : b. 1 cl = 10–2 L e. 1 m² = 10–6 km²
4 c. 1 W = 10–3 kW f. 1 m3 = 106 cm3
92 = × π × (3 cm)3 soit 92 ≈ 113,10 cm3
3
26 a. Typhlops : 8 cm = 8 × 10–2 m = 0,08 m
• Volume total : Anaconda : 1,08 dam = 1,08 × 101 m = 10,8 m
9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 706,9 m3. Vipère du Gabon : 11,8 dm = 11,8 × 10–1 m = 1,18 m
17 • Volume du cône : b. Du plus court au plus long : Typhlops, Vipère du Gabon,
1 Anaconda.
91 = × π × (4 cm)2 × (10 cm)  soit  91 ≈ 167,55 cm3
3
• Volume de la boule : 27 En multipliant, on obtient 1 µs = 10–6 × 103 ms donc
4 1 µs = 10–3 ms. Ainsi, 3,3 µs = 3,3 × 10–3 ms, ce qui donne
92 = × π × (6 cm)3 soit 92 ≈ 904,78 cm3 3,3 µs = 0,003 3 ms.
3
• Volume total : 28 a. Une trottinette : 1 kg = 103 g donc 1 g = 10–3 kg
9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 1 072,3 cm3. 4 200 g = 4,2 × 103 × 10–3 kg = 4,2 kg.
18 • Volume du pavé droit : b. Un vélo : 1 kg = 102 dag donc 1 dag = 10–2 kg
91 = (4 cm) × (4 cm) × (8 cm)  soit  91 = 128 cm3 680 dag = 6,8 × 102 × 10–2 kg = 6,8 kg.
• Volume d’une boule : c. Une moto : 1 kg = 101 hg donc 1 hg = 10–1 kg
4 1 570 hg = 1,57 × 103 × 10–1 kg = 157 kg.
92 = × π × (2 cm)3 soit 92 ≈ 33,51 cm3
3 d. Une voiture : 1 kg = 104 dg donc 1 dg = 10–4 kg
• Volume de l’espace laissé libre : 12 000 000 dg = 1,2 × 107 × 10–4 kg = 1 200 kg.
9 = 91 – 2 × 92 soit 9 ≈ 60,98 cm3. 29 1. Surface de l’affiche :
19 • Volume du cylindre : 6 = (1 200 mm) × (1 800 mm)
91 = π × (3,25 cm)2 × (20 cm)  soit  91 ≈ 663,67 cm3 6 = 2 160 000 mm2

 120
2. a. • Il y a 1 000 000 mm2 dans un m2. 36 a. L’énergie ainsi consommée en une journée de 24 h
2 160 000 mm2 est E = 0,26 W × 24 h = 6,24 Wh.
•6= = 2,16 m2
1 000 000
b. L’énergie ainsi consommée en une année de
b. 1 mm = 10–3 m donc 1 mm2 = 10–6 m2. 365 jours est E = 6,24 Wh × 365 = 2 227,6 Wh, c’est-à-dire
• 6 = 2,16 × 106 mm2 E = 2,227 6 kWh.
• 6 = 2,16 × 106 × 10–6 m2 37 a. Commande 1 : 15 kg × 40 km = 600 kg-km
6 = 2,16 m2 Commande 2 : 60 kg × 3 000 m = 180 000 kg-m
30 a. Surface au sol : Commande 3 : 300 g × 550 km = 165 000 g-km
6 = (500 m) × (600 m) b. Commande 1 : 600 kg-km
6 = 300 000 m2 Commande 2 : 180 kg-km
b. • 1 m = 102 cm donc 1 m2 = 104 cm2. Commande 3 : 165 kg-km
6 = 3 × 105 m2 c. Volume de transport total : 945 kg-km
6 = 3 × 105 × 104 cm2 c’est-à-dire 0,945 t-km.
6 = 3 × 109 cm2
6 = 3 000 000 000 cm2 38 a. Volume de l’opération :
5 personnes × 12 jours = 60 personnes-jour.
• 1 m = 10–3 km donc 1 m2 = 10–6 km2.
60 personnes-jour
6 = 3 × 105 m2 b. = 5 jours donc avec 12 personnes,
12 personnes
6 = 3 × 105 × 10–6 km2 l’opération durerait 5 jours.
6 = 3 × 10–1 km2 60 personnes-jour
6 = 0,3 km2 c. = 20  personnes, donc pour que
3 jours
31 1. a. 1 cm = 10–2 m l’opération dure 3 jours, il faudrait 20 personnes.
39 a. 477 000 000 m
3
b. 1 dam = 101 m ≈ 20 739 130  s donc la durée du
2. a. 1 cm3 = 10–6 m3 23 m /s
3

remplissage du barrage est de 20 739 130 s environ.


b. 1 dam3 = 103 m3
20 739 130 s
32 a. 1 cm3 = 10–6 m3 b. ≈ 345 652 min
60
150 cm3 = 1,5 × 102 cm3 345 652 min
≈ 5 760,87 h
150 cm3 = 1,5 × 102 × 10–6 m3 60
150 cm3 = 1,5 × 10–4 m3 5 760 h = 345 600 min
150 cm3 = 0,000 15 m3 Donc la durée de remplissage est de 5 760 h et 52 min.
b. 1 dm3 = 10–3 m3
40 a. 0,2 L/s = 0,2 L = 0,2 L × 60 = 12 L = 12 L/min
75 dm3 = 7,5 × 101 dm3 1 s 1 s × 60 1 min
75 dm3 = 7,5 × 101 × 10–4 m3 12 L 12 L × 60 720 L
b. 12 L/min = = = = 720 L/h
75 dm3 = 7,5 × 10–3 m3 1 min 1 min × 60 1 h
75 dm3 = 0,007 5 m3 c. 1 m3 = 1 000 L donc 1 L = 0,001 m3
c. 1 dam3 = 103 m3 720 L 720 × 0,001 m3 0,720 m3
720 L/h = = = = 0,72 m3/h
0,001 dam3 = 1 × 10–3 dam3 1 h 1 h 1 h
0,001 dam3 = 1 × 10–3 × 103 m3 41 Le débit du robinet est :
0,001 dam3 = 1 m3 300 L 15 L 15 L 15 L;60 0,25 L
d. 1 mm3 = 10–9 m3 = = = = = 0,25 L/s
20 min 1 min 60 s 60 s;60 1 s
40 000 mm3 = 4 × 104 mm3
42 2 000 m3/s = 2 000 m = 2 000 m × 60 = 120 000 m
3 3 3
40 000 mm3 = 4 × 104 × 10–9 m3 1 s 1 min × 60 1 min
40 000 mm3 = 4 × 10–5 m3 donc le débit est de 120 000 m3/min.
40 000 mm3 = 0,000 04 m3 En 5 min, le volume d’eau passé sous la passerelle est donc
5 min × 120 000 m3/min = 600 000 m3.
Calculer avec des grandeurs composées Or 1 m3 = 1 000 L, donc ce volume est égal à 600 000 000 L.
43 a. • Février :
33 Il y a 3 600 s dans 1 h, donc il faut multiplier la distance 580 m3 580 m3 × 60 34 800 m3
parcourue, 90 m, par 1 200. 580 m3/s = = =
1 s 1 s × 60 1 min
34 A ➁ ; B ➃ ; C ➀ ; D ➂ Donc en 15 minutes le nombre de m3 est :
34 800 m3/min × 15 min = 522 000 m3
35 • 80;2 = 40 donc la vitesse moyenne de la première c’est-à-dire 522 000 000 L.
cycliste est 40 km/h. 300 m3 300 m3 × 60 18 000 m3
• Juin : 300 m3/s = = =
• 105;3 = 35 donc la vitesse moyenne de son amie est 1 s 1 s × 60 1 min
35 km/h. Donc en 15 minutes le nombre de m3 est :
C’est donc la première cycliste qui a eu la vitesse moyenne 18 000 m3/min × 15 min = 270 000 m3
la plus élevée. c’est-à-dire 270 000 000 L.

Chapitre 10 – Calculer avec des grandeurs mesurables  121 


110 m3 110 m3 × 60 6 600 m3
• Août : 110 m3/s = = = 47 a. En 6 s, le son parcourt une distance égale à envi-
1 s 1 s × 60 1 min
Donc en 15 minutes le nombre de m est : 3 ron 330 m/s × 6 s, soit 1 980 m. L’orage se trouve donc alors
6 600 m3/min × 15 min = 99 000 m3 à environ 2 km.
c’est-à-dire 99 000 000 L. 6 000 m
b. ≈ 18 s donc il se passera environ 18 s avant que
b. • Février : 330 m/s
34 800 m3 34 800 m3 × 60 2 088 000 m3 Julia n’entende le tonnerre.
34 800 m3/min = = =
1 min 1 min × 60 1 h 48 La citerne n° 5 déborde à partir du moment où elle
Donc en 12 heures le nombre de m3 est : contient 50  L. Comme les robinets D et E ont le même
2 088 000 m3/h × 12 h = 25 056 000 m3 débit, cela se produit quand 25 L sont passés par chacune
c’est-à-dire 25 056  000 000 L. des citernes n° 3 et n° 4.
• Juin : Il faut 12,5  min pour que 25 L passent par la citerne n° 4.
18 000 m3 18 000 m3 × 60 1 080 000 m3 Pendant ce temps, il s’est écoulé 12,5  L par chacun des
18 000 m3/min = = =
1 min 1 min × 60 1 h robinets A et B, donc 25 L sont passés pas la citerne n° 3.
Donc en 12 heures le nombre de m est :3
Il reste donc à ce moment-là 20  L – 12,5  L = 7,5  L dans la
1 080 000 m3/h × 12 h = 12 960 000 m3 citerne n° 1 et 48 L – 12,5 L – 25 L = 10,5 L dans la citerne
c’est-à-dire 12 960  000 000 L. n° 2.
• Août :
6 600 m3 6 600 m3 × 60 396 000 m3
6 600 m3/min = = = Utiliser des grandeurs mesurables
1 min 1 min × 60 1 h
Donc en 12 heures le nombre de m3 est :
396 000 m3/h × 12 h = 4 752 000 m3 49 a. Le volume du pavé droit est :
c’est-à-dire 4 752 000 000 L. 91 = (8 cm) × (20 cm) × (56 cm)  soit  91 = 8 960 cm3.
44 a. • Mouhamadou Fall : b. Volume d’une demi-sphère :
1 4
100 m 100 m;10,16 92 = × × π × (3,5 cm)3 soit 92 ≈ 89,8 cm3.
v1 = = 2 3
10,16 s 10,16 s;10,16
c. Volume de bois restant :
v1 ≈ 9,84 m/s
9 = 91 – 12 × 92 soit 9 ≈ 7 882,43 cm3.
• Amaury Golitin :
100 m 100 m;10,19 50 a. Le volume du cylindre est :
v2 = = 91 = π × (30 cm)2 × (120 cm)
10,19 s 10,16 s;10,19
v2 ≈ 9,81 m/s soit 91 = 339 292 cm3.
9,84 m 9,84 m × 3 600 35 424 m b. Les deux demi-sphères constituent une sphère de rayon
b. • 9,84 m/s = = =
1 s 1 s × 3 600 1 h 30 cm. Il suffit donc de calculer le volume de cette sphère :
35,424 km 4
= ce qui donne donc 35,424 km/h. 92 = × π × (30 cm)3 soit 92 ≈ 113 097 cm3.
1 h 3
9,81 m 9,81 m × 3 600 35 316 m c. Le volume total du réservoir est donc :
• 9,81 m/s = = =
1 s 1 s × 3 600 1 h 9 = 91 + 92 soit 9 ≈ 452 389 cm3.
35,316 km
= ce qui donne donc 35,316 km/h. d. 1 cm3 = 10–6 m3 et 1 m3 = 103 L
1 h
donc 1 cm3 = 10–6 × 103 L = 10–3 L
45 a. 29 000 km = 29 000 km;92 ce qui donne environ Par conséquent, 9 ≈ 452 389 × 10–3 L
92 jours 92 jours;92
9 ≈ 452,389 L
315 km/jour.
Pour calculer le temps nécessaire pour remplir ce réser-
b. On considère donc qu’il a parcouru 315 km en 12 heures. voir, on effectue :
Sa vitesse moyenne était donc : 452,389 L
ce qui donne environ 38 minutes.
315 km 315 km;12 12 L/min
=
12 h 12 h;12
51 a. On peut utiliser comme unité : mots/s.
ce qui donne 26,25 km/h.
20 mots 20 mots;40 0,5 mot
b. Busra : = = = 0,5 mot/s.
46 a. 80 km/h = 80 km = 80 000 m ce qui donne envi- 40 s 40 s;40 1 s
1 h 3 600 s 54 mots 54 mots;90 0,6 mot
ron 22,2 m/s. Marina : = = = 0,6 mot/s.
La distance parcourue pendant le temps de réaction est 90 s 90 s;90 1 s
donc environ 22,2 m. c. Marina frappe donc plus vite que Busra.
90 km 90 000 m 52 a. À 100 km/h, la consommation sur un parcours de
b. 90  km/h = = ce qui donne environ
1 h 3 600 s 60 km est 60 km × 8 L/100 km = 4,8 L.
25 m/s.
À une vitesse de 90 km/h, la distance parcourue pendant b. À 120 km/h, la consommation est donc égale à :
le temps de réaction est donc de 25 m. 1,2 × 8 L/100 km = 9,6 L/100 km.
En roulant à 80 km/h on réduit donc la distance de 2,8 m. La consommation sur un parcours de 60  km est alors
L’affirmation de l’élu est donc imprécise mais proche de la 60 km × 9,6 L/100 km = 5,76 L.
réalité. c. L’économie réalisée est alors de 0,96 L.

 122
53 a. 55 miles est égal à 55 × 1,609 344 km soit environ
88,5  km. Donc la vitesse de la voiture est alors environ Parcours différenciés
88,5 km/h. Dans ce cas, Iona respecte bien la limitation. 63
b. 95  km est égal à 95;1,609 344  miles soit environ PARCOURS 1
59 miles. La vitesse affichée est alors environ 59 MPH. a. Le rayon du glaçon sphérique est 1,5 cm, donc son volu-
c. La vitesse maximum autorisée est 90 km/h. 90 km est 4
me est 91 = × π × (1,5 cm)3, ce qui donne 91 ≈ 14,14 cm3.
égal à 90;1,609 344  miles soit environ 56  miles. Donc la 3
vitesse maximum affichée sur le compteur pour respecter b. Le liquide doit atteindre une hauteur de 3 cm, qui est le
la limitation serait environ 56 MPH. diamètre du glaçon sphérique. L’ensemble glaçon-liquide
constitue alors un cylindre de base de rayon 4 cm et de
hauteur 3 cm.
Je m’évalue à mi-parcours Le volume de l’ensemble glaçon-liquide est alors :
54 c. ; 55 a. ; 56 b. ; 57 a. ; 58 b. ; 59 b. ; 60 a. 92 = π × (4 cm)2 × (3 cm) soit 92 ≈ 150,8 cm3.
c. Le volume de liquide est 9 = 92 – 91 soit 9 ≈ 136,66 cm3.
PARCOURS 2
Je m’entraîne avec Scratch et le tableur
a. Le liquide doit atteindre une hauteur de 3 cm, qui est
la hauteur du glaçon conique. L’ensemble glaçon-liquide
61 1. a. Dans la ligne (1), il faut placer la variable Durée.
constitue alors un cylindre de base de rayon 4 cm et de
b. Dans la ligne (2), il faut placer la variable Distance, puis hauteur 3 cm.
la variable Calcul1. Le volume de l’ensemble glaçon-liquide est alors :
c. Dans la ligne (3), il faut placer la variable Calcul2. 91 = π × (4 cm)2 × (3 cm) soit 91 ≈ 150,8 cm3.
2. a. Script complet : b. Le volume du glaçon conique est :
1
92 = × π × (2 cm)2 × (3 cm) soit 92 ≈ 12,57 cm3.
3
Le volume de liquide est 9 = 91 – 92 soit 9 ≈ 138,23 cm3.
PARCOURS 3

• Le liquide doit atteindre une hauteur de 3 cm, qui est la


hauteur des glaçons. L’ensemble glaçons-liquide consti-
tue alors un cylindre de base de rayon 4 cm et de hauteur
3 cm.
Le volume de l’ensemble glaçons-liquide est alors :
91 = π × (4 cm)2 × (3 cm) soit 91 ≈ 150,8 cm3.
• Le volume du glaçon sphérique est :
4
92 = × π × (1,5 cm)3 soit 92 ≈ 14,14 cm3.
3
• Le volume du glaçon conique est :
1
93 = × π × (2 cm)2 × (3 cm) soit 93 ≈ 12,57 cm3.
3
• Le volume de liquide est 9 = 91 – 92 – 93
b. On obtient 90 km/h.
soit 9 ≈ 124,09 cm3.
62 1. a. et b. Dans la cellule B4, on saisit =B2/B3  . 64
PARCOURS 1

a. Le temps de parcours des 16 premiers km à l’aller est


16 km
h soit 0,4 h.
40 km/h
c. Le débit de téléchargement s’exprime en Mo/s. 75 km
b. On effectue ce qui donne 1,5 h.
50 km/h
d. Le débit diminue de 1 h à 14 h. Puis, il augmente jusqu’à
19 h. À partir de 19 h, il diminue à nouveau. c. La durée totale du trajet aller est donc 0,4 h + 1,5 h, ce
qui donne 1,9 h.
2. a. Il faut saisir =B4*8  . La distance totale de ce trajet est 16  km  +  75  km, soit
91 km
91 km. La vitesse moyenne est donc , soit environ
1,9 h
47,9 km/h.
PARCOURS 2

b. Le débit en Mb/s est bien toujours compris entre 5 Mb/s a. Le temps de parcours des 21 premiers km au retour est
et 20 Mb/s, donc Gaetan n’a pas de raison de se plaindre. 21 km
ce qui donne 0,5 h.
42 km/h

Chapitre 10 – Calculer avec des grandeurs mesurables  123 


70 km
Le temps de parcours des derniers 70 km est
35 km/h
ce 67 • Le temps de parcours pour la montée est 27 km ,
15 km/h
qui donne 2 h. soit 1,8 h.
27 km
b. La durée totale du trajet retour est donc 0,5 h + 2 h, ce • Le temps de parcours pour la descente est  , soit
45 km/h
qui donne 2,5 h. 0,6 h.
La distance totale de ce trajet est 21 km + 70 km, soit 91 km. Le temps de parcours total est donc 2,4 h, pour une dis-
91 km tance de 54 km. La vitesse moyenne sur la totalité de l’al-
La vitesse moyenne est donc  , soit 36,4 km/h. 54 km
2,5 h ler-retour est donc égale à  , soit 22,5 km/h.
PARCOURS 3
2,4 h
• Le temps de parcours des 16 premiers km à l’aller est 68 • Sur le 1er tronçon, l’automobile a parcouru 20 km en
16 km 20 km
ce qui donne 0,4 h. 0,25 h. Sa vitesse moyenne est alors égale à  , soit
40 km/h 0,25 h
80 km/h.
• Le temps de parcours des 75 derniers km à l’aller est
75 km • Sur le 2e tronçon, l’automobile est restée immobile, donc
ce qui donne 1,5 h. sa vitesse moyenne est alors égale à 0 km/h.
50 km/h
• Le temps de parcours des 21 premiers km au retour est • Sur le 3e tronçon, l’automobile a parcouru 15  km en
21 km 15 km
ce qui donne 0,5 h. 0,75 h. Sa vitesse moyenne est alors égale à  , soit
42 km/h 0,75 h
• Le temps de parcours des derniers 70  km est 20 km/h.
70 km
ce qui donne 2 h. 69 1. a. Un tour dure 30 min donc la vitesse de rotation
35 km/h
La durée totale du trajet aller-retour est donc : est 2 tours/h.
0,4 h + 1,5 h + 0,5 h + 2 h, ce qui donne 4,4 h. b. Deux tours correspondent à 720° donc la vitesse de
La distance totale de ce trajet est 2 × (91 km), soit rotation est 720 degrés/h.
182 km c. Il y a 60 minutes dans une heure donc la vitesse de rota-
182 km. La vitesse moyenne est donc  , soit environ
4,4 h tion est 720  degrés/60 min, soit 12 degrés/min.
41,4 km/h.
2. La circonférence de la roue est 2π × 80 m soit environ
503 m, donc 0,503 km. Comme la roue fait deux tours en
une heure, sa vitesse est 1,006 km/h.
J’utilise mes compétences 1,006 km 1 006 m
= soit environ 0,279 m/s.
1 h 3 600 s
65 Le volume total du ballon est : 3. a. Il y a 28 nacelles de 40 personnes, donc le nombre de
4 passagers qui peuvent prendre place en même temps est
91 ≈ × π × (10,5 cm)2 soit 91 ≈ 4 849,05 cm3.
3 28 × 40, soit 1 120 personnes.
Le rayon intérieur du ballon est 10,5  cm – 0,3  cm, soit
10,2 cm. Donc le volume d’air est : b. Comme la roue fait deux tours en une heure, le débit est
4 de 2 240 personnes/heure.
92 ≈ × π × (10,2 cm)2 soit 92 ≈ 4 445,18 cm3.
3 70 On note r le rayon du cône, qui est aussi égal à sa hau-
Le volume de cuir est donc 9 = 91 – 92 soit 9 ≈ 403,87 cm3.
450 g teur. Alors, le volume du cône est :
La densité du cuir est alors égale à ce qui 1 1
403,87 cm3 91 = × π × r2 × r = × π × r3.
donne environ 1,114 g/cm . 3 3 3
Le volume d’une sphère de rayon r est :
66 a. Ligne (1) : Il faut compléter avec 100. 4
92 = × π × r3.
Ligne (2) : Il faut compléter avec 10. 3
On constate que 92 = 491 donc l’affirmation d’Ainhoa est
b. Le lutin dit « La distance est égale à 45 000 m ».
vraie.
c. On ajoute les blocs ci-dessous :
71 a. n = 140 donc n = 140 × 0,80, ainsi Tristan fait
0,80
112 pas par min. Un pas mesure 0,80 m, donc 112 pas
mesurent 112 × 0,80 m, soit 89,6 m. Donc Tristan marche à
une vitesse de 89,6 m/min.
89,6 m 89,6 m × 60 5 376 m
b. = =
1 min 1 min × 60 1 h
Donc Tristan marche à une vitesse de 5,376 km/h.
72 a. • Consommation en 2 h pour une ampoule halo-
gène : 150 Wh.
La consommation annuelle d’une ampoule halogène est
365 × 150 Wh, soit 54 750 Wh, ce qui fait 54,75 kWh.
• Consommation en 2 h pour une ampoule à LED : 20 Wh.
La consommation annuelle d’une ampoule à LED est
365 × 20 Wh, soit 7 300 Wh, ce qui fait 7,3 kWh.

 124
b. • La consommation annuelle pour une ampoule halo- 76 • Le volume total du cylindre est :
gène est 54,75 × 0,18 €, soit 9,855 €. 91 = π × (8 cm)2 × (15 cm)
• La consommation annuelle pour une ampoule à LED est soit 91 ≈ 3 015,93 cm3.
7,3 × 0,18 €, soit 1,314 €. • Le volume de la boule est :
L’économie annuelle réalisée avec une ampoule à LED est 4
donc 9,855 – 1,314 = 8,541 €. 92 = × π × (6 cm)3
3
30 000 soit 92 ≈ 904,78 cm3.
c. = 15 donc on utilise 15 ampoules halogènes
2 000 • Le volume d’eau est donc 9 = 91 – 92
pendant la durée de vie d’une ampoule à LED. soit 9 ≈ 2 111,15 cm3.
On dépense 15 × 2,25 €, soit 33,75 € pour ces ampoules
• Après avoir retiré la boule, l’eau remplit un cylindre de
halogènes, donc avec une ampoule à LED on réalise une rayon 8 cm et de hauteur h, telle que :
économie de 33,75 € –16,50 €, soit 17,25 €. π × 82 × h = 2 111,15
73 • Périmètre d’un méridien : 2 111,15
h=
3 = 2 × π × 6 370 km π × 82
3 ≈ 40 023,89 km h ≈ 10,5
Donc la hauteur d’eau est de 10,5 cm environ.
• Distance parcourue pour un déplacement de un degré :
40 023,89 km
d1 ≈
360 Dossier Brevet
d1 ≈ 111,177 km
• Distance parcourue pour un déplacement d’une minute 77 Affirmation 1 : Faux. En effet,
d’angle : 2,5 km 2,5 km × 360 900 km
= =
111,177 km 10 s 10 s × 360 1 h
d2 ≈ Donc la vitesse moyenne de l’avion est de 900 km/h.
60
d2 ≈ 1,853 km Affirmation 2  : Faux. En effet, la somme de ces chiffres,
Donc un mille marin vaut environ 1 853 m. 5 + 6 + 3 + 7, est égale à 21, donc ce nombre est un mul-
tiple de 3.
74 • Vénus :
4 Affirmation 3 : Vrai.
Volume : 9 = × π × (12 104 000 m)3 315 3 × 3 × 5 × 7 3 × 5 15
3 En effet, = = =
9 ≈ 7,428 × 1021 m3 42 2×3×7 2 2
Masse : } = 5 243 kg/m3 × 9 Affirmation 4  : Faux. En effet, le m3/s est une unité de
} ≈ 3,894 × 1025 kg mesure d’une grandeur quotient.
• Terre : Affirmation 5 : Faux. En effet, les longueurs AF et FG ne
4 sont pas égales. FG est la longueur du côté d’une face,
Volume : 9 = × π × (12 756 000 m)3
3 alors que AF est la longueur d’une diagonale.
9 ≈ 8,694 × 1021 m3 78 a. Le volume total d’un cylindre est :
Masse : } = 5 514 kg/m3 × 9 91 = π × (0,75 cm)2 × (4,2 cm)
} ≈ 4,794 × 1025 kg soit 91 ≈ 7,422 cm3.
• Mars : Comme le cylindre est rempli au deux tiers, le volume de
4 2
Volume : 9 = × π × (6 792 000 m)3 sable est 92 = 91 soit environ 92 = 4,95 cm3.
3 3
9 ≈ 1,312 × 1021 m3 4,95 cm3
b. ≈ 2,5 min donc le sable s’écoule en envi-
Masse : } = 3 933 kg/m3 × 9 1,98 cm3/min
} ≈ 5,162 × 1024 kg ron 2 minutes et 30 secondes.
• Neptune : 79 1. a. Marc met 2 min pour parcourir 400  m, donc
4 1 min pour 200 m et 5 min pour 1 000 m. L’échauffement
Volume : 9 = × π × (49 528 000 m)3
3 de Marc durera donc 5 min.
9 ≈ 5,089 × 1023 m3
Masse : } = 1 638 kg/m3 × 9 b. La vitesse moyenne de course de Marc est :
} ≈ 8,336 × 1026 kg 400 m 400 m × 30 12 000 m
= =
2 min 2 min × 30 1 h
• Par ordre croissant des masses nous avons : Mars, Venus,
Donc la vitesse moyenne de course de Marc est 12 km/h.
Terre, Neptune.
2. a. Marc met 120 s à faire un tour complet et Jim met
75 Manon arrive à la gare à 10 h 45. Elle doit donc par- 100 s. On cherche donc le plus petit multiple commun de
courir les 35 km en 20 min maximum. Ils doivent donc rou- 120 et 100.
ler à une vitesse moyenne égale à : Multiples de 120 : 120, 240, 360, 480, 600.
35 km 35 km × 3 105 km On observe que le premier multiple de 100 est 600. Il faut
= =
20 min 20 min × 3 1 h donc 600 s, soit 10 min, pour que Marc et Jim se retrouvent
soit 105 km/h. tous les deux en même temps au point A.

Chapitre 10 – Calculer avec des grandeurs mesurables  125 


b. 600 = 120 × 5 donc cela représente 5 tours de piste pour 83 • Le nombre total de boulets au niveau 5 est :
Marc. 600 = 100 × 6 donc cela représente 6 tours de piste 1 + 4 + 9 + 16 + 25, soit 55.
pour Jim. • Le volume d’un boulet est :
4
80 1. Ce graphique n’est pas une droite, donc il ne traduit 91 = × π × (6 cm)3
3
pas une situation de proportionnalité. soit 91 ≈ 905 cm3, donc 91 ≈  0,00 905 m3.
2. a. La durée totale de cette randonnée est de 7 h. Donc la masse d’un boulet est :
b. Cette famille a parcouru 20 km au total. 0,009 05 m3 × 7 300 kg/m3
c. Au bout de 6 h de marche, 18 km ont été parcourus. et la masse des 55 boulets est :
55 × 0,009 05 m3 × 7 300 kg/m3
d. Ils ont parcouru les 8 premiers km au bout de 3 h. soit environ 363,36 kg.
e. Ils ont fait une pause entre la 4e et la 5e heure de ran-
donnée. 84 Grands conteneurs :
20 km • Volume du cylindre : 91 = π × (3 m)2 × (6 cm)
3. La vitesse moyenne est soit environ 2,86 km/h. soit 91 ≈ 169,65 m3.
7 h
Donc cette famille n’est pas expérimentée. • Volume des deux demi-boules, qui forment une boule de
81 • Le volume d’un cylindre de diamètre 101 cm et de rayon 3 m :
hauteur 50 cm est : 4
92 = × π × (3 m)3 soit 92 ≈ 113,10 m3.
91 = π × (50,5 cm)2 × (50 cm) 3
soit 91 ≈ 400 592 cm3. • Volume total d’un conteneur :
93 = 91 + 92 soit 93 ≈ 282,75 m3.
• Le volume d’un cylindre de diamètre 90 cm et de hauteur
50 cm est : • Volume total des 15 grands conteneurs :
92 = π × (45 cm)2 × (50 cm) 94 = 15 93 soit 94 ≈ 4 241,25 m3.
soit 92 ≈ 318 086 cm3. • Masse d’hélium transporté :
• Le volume de béton est donc 9 = 91 – 92 }1 = 94 × 0,178 kg/m3 soit }1 ≈ 754,94 kg
soit 9 ≈ 82 506 cm3 soit 9 ≈ 0,082 506 m3. Petits conteneurs :
• Volume du cylindre : 95 = π × (1,5 m)2 × (3 cm)
• La masse totale d’un cylindre est donc :
soit 95 ≈ 21,21 m3.
0,082 506 m3 × 2 400 kg/m3 soit environ 198 kg.
• Volume des deux demi-boules, qui forment une boule de
Mme Martin peut donc transporter au maximum deux
rayon 1,5 m :
cylindres dans sa remorque. Elle doit donc faire 3 allers-
4
retours et prendre : 2 cylindres, 2 cylindres puis 1 cylindre. 96 = × π × (1,5 m) soit 96 ≈ 14,14 m3.
3
82 a. Le volume de la boule est : • Volume total d’un conteneur :
4 97 = 95 + 96 soit 97 ≈ 35,35 m3.
91 = × π × (11,5 cm)3
3 • Volume total des 6 petits conteneurs :
soit 91 ≈ 6 371 cm3.
98 = 697 soit 98 ≈ 212,10 m3.
b. Le volume du cylindre est :
• Masse d’oxygène transporté :
92 = π × (3 cm)2 × (23 cm)
}2 = 98 × 1,428 kg/m3 soit }2 ≈ 302,88 kg
soit 92 ≈ 650 cm3.
Masse totale de gaz transporté :
• Le volume total du trophée est donc 9 = 91 + 92
}3 = }1 + }2 soit }3 ≈ 1 057,82 kg
soit 9 ≈ 7 021 cm3.
6 371
• ≈ 0,907 donc Marie a raison.
7 021

 126
Projets Scratch

PROJET 5 PROJET 6
Calculer des volumes de boules Programmer des changements d’unités
1 a. Le programme permet de saisir le rayon R d’une 1 a. On saisit au début la valeur du débit D en m3/s.
boule puis calculer une valeur approchée V du volume de La ligne (1) permet d’exprimer D en m3/min et la ligne (2)
cette boule. d’exprimer D en L/min.
Le lutin énonce la valeur V obtenue.
b. On saisit ce script.
b. On saisit ce programme.
c. Un débit de 140  m3/s correspond à un débit de
c. R (en cm) V (en cm3) 8 400 000 L/min.
5 523,75
7,5 1 767,66 2 a.
8,25 2 352,75

2 a.
n 1 2 3 4 5 6 7
V 4,19 33,52 113,13 268,16 523,75 905,04 1 437,17

b. À la fin du script, le lutin énonce :


« n = 7 » et « V = 1 437,17 ».
7 est la plus petite valeur entière positive pour laquelle
V dépasse 1 000.
3 a. On saisit le script de la partie 2  .
b. On modifie la condition qui gère la boucle : b. On saisit ce script.
c. Une vitesse de 32  km/h correspond à une vitesse de
8,89 m/s.

c. On obtient n = 14 et V = 11 497,36 cm3, V ≈ 11,5 dm3. 3 a.

On saisit le script ainsi complété.


b. Le temps d’Andréa en seconde est : 10 117.
c. La durée moyenne de rotation de la Terre exprimée en
seconde est : 86 164.

Projets Scratch  127 


11 Représenter l’espace

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 4 conformément aux attendus du programme de « pointer


des points sur un globe terrestre à partir de leurs latitudes
● On commence, dès la 6e, à reproduire, représenter et et leurs longitudes ».
construire des solides simples de l’espace, notamment des ● Suite à l’activité 2, on peut étudier les paragraphes 3 et 4
pavés droits. En 4e, l’élève apprend à se repérer dans un qui définissent la notion de section d’un solide de l’espace
pavé droit, à l’aide d’un système de coordonnées. En 3e, on par un plan. On expose ces sections dans les différentes
approfondit le repérage dans l’espace avec le repérage sur représentations de solides évoquées dans le programme :
la sphère et les coordonnées géographiques. pavé droit, prismes et cônes, pyramides et cylindres,
● L’élève poursuit son apprentissage des solides de l’espace
sphères.
avec les cylindres et les prismes pour, en 4e, représenter et
construire des cônes et des pyramides. En 3e, on réinvestit J’applique le cours
tous ces apprentissages sur les solides de l’espace dans le Exercice résolu 1
cadre des sections de ces solides par un plan, conformé- Dans cet exercice, conformément aux attendus du pro-
ment aux attendus du programme « Construire et mettre gramme, on apprend à « se repérer sur une sphère (lati-
en relation différentes représentations des solides étudiés tude, longitude)  », et à lire des coordonnées géogra-
au cours du cycle (représentations en perspective cava- phiques.
lière, vues de face, de dessus, en coupe, patrons) et leurs Exercice résolu 5
sections planes ». Dans cet exercice, conformément aux attendus du pro-
gramme «  tracer des solides en perspective cavalière et
2 Je découvre faire apparaître des sections », on applique le cours dans
le cadre de la section d’un pavé droit par un plan.
Activité 1
Exercice résolu 8
L’objectif de cette activité est de se familiariser avec le
Dans cet exercice, on visualise et on apprend à construire
repérage sur la Terre (conformément aux attendus du pro-
en vraie grandeur une section.
gramme « se repérer sur une sphère (latitude, longitude) ».
On introduit les notions de méridien (et de longitude),
de parallèle (et de latitude) et de coordonnées géogra- 4 Compléments
phiques. Repérage sur une sphère
Activité 2 ● Les exercices 15 à 18 invitent l’élève à se familiariser avec

L’objectif de cette activité est d’utiliser un logiciel de géo- les notions de sphère et de boule.
métrie dynamique afin de représenter la section d’un ● Les exercices 2 à 4 et 30 invitent l’élève à lire les coordon-

pavé droit par un plan, parallèle à une face, dans un pre- nées géographiques d’un point sur une sphère.
mier temps, puis, parallèle à une arête. ● Les exercices 25 à 28 invitent l’élève à placer, sur une
sphère, un point dont les coordonnées géographiques
3 Cours - J’applique le cours sont données.
● Les exercices 22 et 31 invitent l’élève à effectuer des
Cours
calculs grâce aux coordonnées géographiques de points
● Suite à l’activité 1, on peut étudier les paragraphes 1 et
sur une sphère.
2. Il s’agit d’exposer le repérage sur une sphère et définir
les différentes notions associées : grand cercle, diamètre, Représentation et sections de solides
méridien (et longitude), parallèle (et latitude), coordon- ● Les exercices 38 à 40 invitent l’élève à poursuivre son

nées géographiques. apprentissage des représentations de solides de l’espace.


On expose la notion d’origine du repère sur la sphère et les ● Les exercices 34 à 37 et 41 à 49 invitent l’élève à déve-
mesures des angles (on introduit, sans insister, la notion lopper ses apprentissages sur les sections de solides par
d’orientation d’un angle), afin que l’élève soit capable, un plan.

 128
CORRIGÉS

Bien démarrer b. À partir du point N, déplacement de 70° vers l’Est et de


50° vers le Sud.
1. a ; 2. b ; 3. a, b et c ; 4. a, b et c.
4 a. Il se dirige vers le continent américain.
b. Son point d’arrivée a pour coordonnées géographi-
Je découvre ques : 70° Ouest ; 20° Nord.
Activité 1 6 H G
Îles Galápagos : point G : 90° Ouest ; 0° Nord.
Îles de Kerguelen : point K : 70° Est ; 50° Sud. E F
Oran : point O : 0° Ouest ; 35° Nord.
D C
Activité 2
1 A I B

7 A
B

9 a.

M H

2
2 cm
3
cm

b. Le triangle OHM est rectangle en H, donc d’après le


théorème de Pythagore :
OM2 = OH2 + HM2, soit 32 = 22 + HM2
Ainsi, HM = 32 – 22 = 5 et HM = 15 cm.
2

10 Dans le triangle OHM rectangle en H, d’après le


théorème de Pythagore :
OM2 = OH2 + HM2, soit 52 = OH2 + 42
Ainsi, OH = 52 – 42 = 9 et OH = 3 cm.
2

Je m’entraîne

Connaître les sphères et les boules


J’applique le cours
11 a. Le solide obtenu est une sphère de centre O et de
2 a. M a pour coordonnées géographiques 30° Est ; 20°
rayon 4 cm.
Nord.
b. Le solide obtenu est une boule de centre O et de rayon
b. Les coordonnées géographiques de l’avion sont  :
4 cm.
30° Est ; 30° Sud.
12 Les cercles rouge et noir sont des grands cercles.
3 a. N : 20° Ouest ; 30° Nord.
P : 50° Est ; 20° Sud. 13 Périmètre = 2π × 10 ≈ 2 × 3 × 10 = 60 cm.

Chapitre 11 – Représenter l’espace  129 


14 26 = 6,5 cm et 6,5 = 3,25 cm 22 a. Dans le triangle ONE rectangle en O, d’après le
4 2 théorème de Pythagore :
Une balle de tennis a pour rayon 3,25 cm.
NE2 = NO2 + OE2, soit NE2 = 6 4002 + 6 4002
15 I ” 6 ; I [ @ ; J ” 6 ; J [ @ ; L [ 6 ; L ” @ ; M ” 6 ; d’où NE = 81 920 000 et NE ≈ 9 051 km.
2

M ” @. b. La longueur de l’arc de cercle NE est :


16 • E [ 6 : Vrai ; • E ” @ : Faux ; • F [ 6 : Faux ; F [ @ : 1
¯NE = × 2π × 6 400 ≈ 10 053 km.
Vrai ; G ” 6 : Faux ; H [ 6 : On ne peux pas savoir. 4

17 a. 23 Les coordonnées géographiques sont :


(2,34° O ; 48,84° S).
C
24 1. Sa longitude est de 0° E.
2. a. La latitude de Quito est 0° N.
m
4c b. La latitude de cette province du Congo est 0° N.
25 Les coordonnées géographiques sont :
O (40° O ; 65° N).
A B
5 cm 26 Il se trouvait dans le Golfe de Guinée.
27 Dans la Cordillère des Andes.
28 a. Afrique ; b. Amérique du Nord ; c. Europe.
29 Il s’agit de Paris.
b. Le triangle ABC est rectangle en C car C [ # et [AB] est 30 a. Les points A et B ont même latitude (ainsi que les
un diamètre de #. points O, E et F).
D’après le théorème de Pythagore : b. Les points E et C ont même longitude.
AB2 = AC2 + BC2, soit 52 = 42 + BC2 c. A (50° E  ; 40° N)  ; B (10° O  ; 40° N)  ; C (30° E  ; 20° S)  ;
Ainsi, BC = 52 – 42 = 9 donc BC = 3 cm.
2
D (20° O ; 10° S) ; E (30° E ; 0° N) ; F (50° O ; 0° N).
18 a. d. M (130° O ; 10° S) ; N (130° E ; 10° S) ; P (180° O ; 20° N).
# 31 a.
Méridien de
A Greenwich

O 6 400km
C P
78° 101°
3 cm M
N
O 30° A
Équateur

P : ville de Padang


B C : volcan Cayambe
b. C et P sont situés sur l’équateur, donc la longueur de
l’arc PC est :
101 + 78
¯PC = × 2π × 6 400
b. Le quadrilatère AMBN est un parallélogramme car ses 360
diagonales [AB] et [MN] se coupent en leur milieu O. ¯PC ≈ 19 994 km.
De plus, puisque M [ # et que [AB] est un diamètre de #,
on en déduit que le triangle ABM est rectangle en M. Représenter un solide, une section
Ainsi, le quadrilatère AMBN est un rectangle.
32 Cette section est un rectangle de mêmes dimensions
Se repérer sur la Terre que ABCD, donc son aire est égale à AB × AD, soit 6 cm2.

19 Le point a pour coordonnées géographiques 0° E  ;


33 a. 9’ = ()
1 3
2
× 9 = 27 cm3.

0° N.
20 a. Faux ; b. Faux ; c. Vrai.
b. 9’ = ()
1 3
3
× 9 = 8 cm3.

34 Rectangle de mêmes dimensions que le rectangle


21 a. La longueur de l’équateur est : ABCD.
¯ = 2π × 6 400 ≈ 2 × 3 × 6 400 = 38 400 km.
35 Rectangle dont l’une des dimensions est OO’.
b. Cette longueur est celle d’un demi-grand cercle soit
19 200 km. 36 Rectangle.

 130
37 Cercle de centre O’. b. D” C”
38 a. Il s’agit d’un cône.
b.
H G

E F

K
39 a. Il s’agit d’un pavé droit.
b.
D’ A B C’
I J

40 a. D C

44
O’

b.
45 N

c. Les vues (1) et (2) peuvent convenir.


S
41 a. b.
46
B
A
A

42 a. b.
B
A 47
A

M
B

43 a.
E F

48
A B

H
G I

D C

Chapitre 11 – Représenter l’espace  131 


49 a. On commence par tracer le triangle FLM rectangle Utiliser des propriétés de géométrie plane
en F. dans l'espace
F 3 cm L
51 a. Dans le triangle ABC rectangle en B, d’après le
théorème de Pythagore :
3 cm AC2 = AB2 + BC2 soit AC2 = 122 + 52 = 169
ainsi, AC = 5169 = 13 cm.
b. Les triangles EAC et EMN sont emboîtés et les droites
(MN) et (AC) sont parallèles, donc d’après le théorème de
M Thalès :
EM EN MN 2 MN
= = soit =
On peut alors tracer le rectangle KLMN. EA EC AC 8 13
K 6 cm L 2
ainsi, MN = × 13 = 3,25 cm.
8
52 a.
Échelle : 0,5 A 6 cm B

8 cm

cm
10
N M

b. On commence par tracer le triangle BCL rectangle en B. O


6 cm
B C b. Dans le triangle OAB rectangle en A, d’après le théo-
rème de Pythagore :
OB2 = OA2 + AB2 soit 102 = 82 + AB2
3 cm

ainsi, AB2 = 102 – 82 = 36 et AB = 6 cm.


Ce qui est cohérent avec la mesure prise à la règle.
c. Le périmètre du cercle rouge est :
L p = 2π × AB = 2π × 6 ≈ 37,7 cm.
On peut alors tracer le rectangle KLCD.
53 a. 9 = 1 × AB2 × SO = 1 × 62 × 7,5 = 90 cm3.
K 6 cm L 3 3
SI 3,9
b. Puisque = = 0,52, le rapport de réduction est égal
SO 7,5
à 0,52.
Ainsi, 9’ = 0,523 × 9.
c. 9’ = 0,523 × 90 = 12,65 cm3.
54 a. Le rapport de réduction est :
SI SB IB
k= = =  .
SO SA OA
6 IB 6
b. D’après a., = d’où IB = × 7,5 = 4,5 cm.
10 7,5 10

I
B
D C 4,5 cm

50 Il s’agit d’une illusion d’optique. Selon la façon dont


on regarde le dessin, on peut voir deux dés en haut ou
deux dés en bas. Échelle : 0,5
Donc, au total, on peut voir quatre dés.

 132
Je m’évalue à mi-parcours • De même, ¯AD ≈ 5 568 km ; ¯AE ≈ 7 795 km et ¯AF ≈ 8 908 km
8 jours = 192 h.
55 c. 56 b. 57 b. 58 a. 59 b. 60 b.
Oiseau ➀ :
3 341 km
ν1 ≈ soit ν1 ≈ 17 km/h.
192 h
Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra Oiseau ➁ :
4 454 km
ν2 ≈ soit ν2 ≈ 23 km/h.
61 1. a. La longueur d’un méridien de ce globe est : 192 h
1
¯ = × 2π × 25 = 25π cm. Oiseau ➂ :
2 5 568 km
b. La longueur de l’arc AM est : ν3 ≈ soit ν3 ≈ 29 km/h.
192 h
60° 25π
¯AM = × 25π cm =  cm. Oiseau ➃ :
180° 3
soit ¯AM ≈ 26,18 cm. 7 795 km
ν4 ≈ soit ν4 ≈ 41 km/h.
192 h
2. a. La ligne (1) permet de calculer la longueur de l’arc de
cercle MN. Oiseau ➄ :
8 908 km
La ligne (2) permet de calculer la longueur de l’arc de ν5 ≈ soit ν5 ≈ 46 km/h.
cercle NB. 192 h
b. PARCOURS 3

8 jours = 192 h
L’angle kAOM mesure 60° + a°.
Donc la longueur de l’arc de cercle AM est :
60 + a
¯AM = × 2π × 6 380.
360
Et la vitesse moyenne de l’oiseau est :
60 + a
× 2π × 6 380
ν = 360 km/h.
192
64
PARCOURS 1
62
a. Les triangles SOA et SO’A’ sont emboîtés et les droites
(OA) et (O’A’) sont parallèles, donc d’après le théorème de
Thalès :
SO’ SA’ O’A’ SO’ 15
= = soit =
SO SA OA 480 30
15
soit SO’ = × 480 = 240 cm.
30
Parcours différenciés
b. • Le volume 9 du grand cône est :
63 1
9 = × π × 302 × 480 soit 9 ≈ 452 389 cm3.
PARCOURS 1 3
a. A (20° E ; 60° N) ; B (20° E ; 30° N). • Le volume 9’ du petit cône est :
Donc : jAOB = 60° – 30° = 30°. 1
9’ = × π × 152 × 240 soit 9’ ≈ 56 549 cm3.
b. La longueur de l’arc de cercle AB est : 3
30° • Le volume d’air dans la manche à air est donc :
¯= × 2π × 6 380 km
360° 9 = 9 – 9’ soit 9 ≈ 395 840 cm3.
soit ¯ ≈ 3 341 km.
c. 8 jours = 8 × 24 h = 192 h.
PARCOURS 2
La vitesse moyenne de cet oiseau est :
3 341 km Les triangles SOA et SO’A’ sont emboîtés et les droites (OA)
ν= soit ν ≈ 17 km/h. et (O’A’) sont parallèles, donc d’après le théorème de Tha-
192 h
lès :
PARCOURS 2
SO’ SA’ O’A’ SO’ O’A’
a. A (20° E  ; 60°  N)  ; C (20° E  ; 20° N)  ; D (20° E  ; 10°  N)  ; = = soit =
SO SA OA 480 30
E (20° E ; 10° S) ; F (20° E ; 20° S). 12,5
SO’ = × 480 = 200 cm.
Donc : jAOC = 40°, jAOD = 50°, jAOE = 70°, jAOF = 80°. 30
b. • La longueur de l’arc AC est : ¯AC = 40. • Le volume du cône de diamètre [AB] est :
jAOC 1
¯AC = × 2π × 6 380 km ≈ 4 454 km. 9 = × π × 302 × 480 soit 9 ≈ 452 389 cm3.
360° 3

Chapitre 11 – Représenter l’espace  133 


• Le volume du cône de diamètre [A’B’] est : c. La section obtenue est un rectangle.
1 2 cm
9’ = × π × 12,52 × 200 soit 9’ ≈ 32 725 cm3.
3 H I G
• Le volume de la manche à air est donc :
9 = 9 – 9’ soit 9 ≈ 419 664 cm3.
PARCOURS 3

Les triangles SOA et SO’A’ sont emboîtés et les droites (OA)


et (O’A’) sont parallèles, donc d’après le théorème de Tha-
lès : x
SO’ SA’ O’A’ SO’ 2
= = soit =
SO SA OA 480 30 2 cm
x
ainsi SO’ = × 480 = 8x.
60 E J F
Le cône de sommet S et de diamètre [AB] a pour volume :
1
9 = × π × 302 × 480 soit 9 ≈ 452 389 cm3. 67 a. et b.
3
3 cm
Le cône de sommet S et de diamètre [A’B’] a pour volume : U T
1
9’ = × π ×
3 ()
x 2
2
× 8x soit 9’ =
2πx3
3
 . Échelle : 0,5

Ainsi, le volume d’air dans la manche à air est : Q P


2πx3 U’ T’
9 = 9 – 9’ soit 9 ≈ 452 389 –  cm3.
3
A’

R’ B S’
J’utilise mes compétences M N

65 a. Vue du dessus.
R S

U” T”
b. Vue de face.
68 a. B (50° O ; 2° N) ; K (35° E ; 2° N) ; L (25° E ; 65° N) ;
P (25° E ; 25° S).
b. On note O le centre de la Terre.
• jBOK = 85° donc la longueur de l’arc de cercle BK (qui suit
le parallèle de latitude 2° N) est :
85°
t1 = × 2π × 6 380 km, soit t1 ≈ 9 465 km.
c. En perspective cavalière. 360°
• hLOP = 90° donc la longueur de l’arc de cercle LP (qui suit
le méridien de longitude 25° E) est :
90°
t2 = × 2π × 6 380 km, soit t2 ≈ 10 022 km.
360°
• Or t2 – t1 ≈ 557 km et 557 , 1 000 donc Nina se trompe.
69 a. Le volume du cylindre est :
91 = π × 3,52 × 1,8 soit 91 ≈ 69 m3.
66 a. et b. b.
H I G S

D C
O’
A’
E J
F
O
A B A

 134
c. Les triangles SOA et SO’A’ sont emboîtés et les droites c.
(OA) et (O’A’) sont parallèles, donc d’après le théorème de
Thalès :
SO’ SA’ O’A’ SO’ 2,5
= = soit =
SO SA OA SO’ + 1,8 3,5
d’où 3,5 SO’ = 2,5 (SO’ + 1,8)
donc 3,5 SO’ = 2,5 SO’ + 4,5
ainsi 3,5 SO’ – 2,5 SO’ = 4,5 et SO’ = 4,5 m.
On en déduit que SO = SO’ + 1,8 = 6,3 m.
• Le volume du cône de sommet S et de rayon O’A’ est
donc :
1
92 = × π × 2,52 × 4,5 soit 92 ≈ 29 m3.
3
• Le volume du cône de sommet S et de rayon OA est donc :
1
93 = × π × 3,52 × 6,3 soit 93 ≈ 81 m3.
3
• Le volume d’un tronc de cône est donc :
94 = 93 – 92 soit 94 ≈ 52 m3.
d. Finalement, le volume d’une bouée est :
9 = 91 + 294 soit 9 ≈ 173 m3.
70 On représente une section de cette sphère par un
plan vertical passant par le centre de la sphère.
20 m

O
7m

A H

Dans le triangle AOH rectangle en H, d’après le théorème


de Pythagore :
OA2 = AH2 + HO2 soit 202 = AH2 + 72 et AH2 = 202 – 72 = 351. 72 On note O le centre de la Terre.
Donc AH ≈ 18,73 m. • Les coordonnées géographiques des points A et B sont :
Puisque le sol de ce bâtiment est le disque de centre H et A (20° E ; 40° N) et B (80° E ; 40° N).
de rayon AH, sa superficie au sol est : Ainsi, jAOB = 60°.
S = π × AH2 soit S ≈ 1 102 m2. La longueur du trajet A-B le long d’un parallèle est la lon-
gueur de l’arc AB :
71 a. Le rapport de réduction entre la petite pyramide et
60
la grande pyramide est : ¯AB = × 2π × 6 380 soit ¯AB ≈ 6 681 km.
360
h
k =  , donc ν =
H
h 3
H ()
×9 • Les coordonnées géographiques des points B et C sont :
B (80° E ; 40° N) et C (80° E ; 30° S).
b. Il manque l’expression : k*k*k.
Ainsi, jBOC = 70°.
La longueur du trajet B-C le long d’un méridien est la lon-
gueur de l’arc BC :
70
¯BC = × 2π × 6 380 soit ¯BC ≈ 7 795 km.
360
360
73 1. = 24, il y a 24 fuseaux horaires.
15
2. a. Entre 15° et 30° (Est ou Ouest).
b. Entre 30° et 45° (Est ou Ouest).
c. Entre 90° et 105° (Est ou Ouest).

Chapitre 11 – Représenter l’espace  135 


( 23 ) 9 soit 9’ ≈ 119 148 cm
3
74 On schématise la situation à A 9’2 = 1 2
3

main levée. O
et le volume du tronc de cône (c’est-à-dire du compost)
Dans les triangles SOA et SO’A’, est donc : 9’ = 91 – 9’2 soit 9’ ≈ 282 976 cm3.
d’après le théorème de Thalès :
SO’ O’A’ 77 1. La surface au sol de la maison est :
=  , O’ A’
SO OA S = 9 × 12 = 108 m2.
SO’ O’A’ 2. a. Le volume de la partie principale est :
donc =  ,
SO’ + OO’ OA 91 = S × 3 = 324 m3.
SO’ 1,5
donc =  , b. La pyramide IABCD a pour volume :
SO’ + 3 2,25
1
ainsi 2,25 SO’ = 1,5 (SO’ + 3) 9(IABCD) = × AB × AD × IK1
0,75 SO’ = 4,5 3
1
SO’ = 6 dm. 9(IABCD) = × 9 × 12 × 6,75
• Le volume 9 du grand cône est S 3
9(IABCD) = 243 m3.
donc :
1 • Le rapport de réduction de la pyramide IRTSM à la pyra-
9 = × π × 2,252 × 9 ≈ 47,71 dm3.
3 4,5 2
1,5 mide IABCD est k = =  .
• Le coefficient de réduction est  . 6,75 3
2,25
• Le volume de la pyramide IRTSM est donc :
• Donc le volume 9’ du petit cône est :
9’ = ( )
1,5 3
2,25
× 9 ≈ 14,14 dm3.
9(IRTSM) = () 2 3
3
× 9(IABCD)
9(IRTSM) = 72 m3.
• Ainsi, la contenance du pot de fleurs est :
• Ainsi, le volume des chambres est :
9 – 9’ ≈ 47,71 – 14,14 ≈ 34 dm3, soit 34 L.
92 = 9(IABCD) – 9(IRTSM)
92 = 171 m3.
Dossier Brevet c. Finalement, le volume à chauffer est :
9 = 91 + 92 = 495 m3.
495
75 1. c. 5,87 × 108 3. = 19,8
25
2. a. 3x2 + 5x – 2 19,8 × 925 = 18 315 Watts
3. c. 12 voitures 18 315
= 10,175
4. b. (–5)10 1 800
Il faut donc 11 radiateurs pour chauffer la maison.
76 1. a. Le volume du grand cône est : 11 × 349,9 = 3 849,9.
1 Il faut donc prévoir 3 849,90 € pour l’achat des radiateurs.
91 = × π × 402 × 240 soit 91 ≈ 402 124 cm3.
3
120 78 1. a. B (100° E ; 15° N)
b. Le rapport de réduction est k = soit k = 0,5.
240 b. M (100° O ; 22° N)
Le volume du cône jaune est :
c. P (7° E ; 48° N)
92 = (0,5)3 × 91 soit 92 ≈ 50 265 cm3.
2. a. Entre Paris et Mexico, il y a 7 h de décalage horaire.
c. Le volume du composteur est donc :
b. • Par exemple le point A (70° O ; 48° N) situé en Amé-
9 = 91 – 92 soit 9 ≈ 351 859 cm3. rique du Nord.
2. Au bout de six mois, le compost occupe les deux tiers de • Par exemple le point C (65° O ; 25° S) situé en Amérique
la hauteur du composteur, donc : du Sud.
2
h = × 120 soit h = 80 cm. 79 a. La section d’un cube par un plan parallèle à une de
3
ses arêtes est un rectangle.
De plus, AD ≠ AI. On en déduit que :
120 cm

– ADJI n’est pas un losange.


– ADJI est un rectangle.
– ADJI est un parallélogramme.
120 cm

– ADJI n’est pas un carré.


Hauteur
h b. Le triangle ABI est rectangle en B, donc l’aire de ce
du compost
triangle est :
AB × BI 6 × 3
@= = = 9 cm3.
80 cm 2 2
c. Le volume de ce prisme est :
Le rapport de réduction du petit cône vert au grand cône
est donc : 9 = @ × h = @ × BC = 9 × 6 = 54 cm3.
160 2
k’ = =  . 80 1. Le volume de la partie cylindrique en bleu est :
240 3
Le volume du cône vert est donc : 90 = π × 52 × 15 = 375π cm3 soit 90 ≈ 1 178 cm3.

 136
2. a. Le volume du grand cône est : • Le volume du cône de sommet S et de rayon OA est :
1 1 1
91 = × π × 52 × 6 = 50π cm3. 92 = × π × OA2 × OS = × π × 502 × (8 – 2,5)
3 3 3
soit 92 ≈ 14 399 m3.
b. Le volume du petit cône est :
• Le rapport de réduction entre le cône de sommet S et
( )
9’1 =
SO’ 3
SO
× 91 =()1 3
3
× 50π =
50π
27
cm3. de rayon O’A’ et le cône de sommet S et de rayon OA est :
Ainsi, le volume du tronc de cône est : O’A’ 5
k= = = 0,1.
50π 1 300π OA 50
92 = 91 – 9’1 = 50π – = cm3 soit 92 ≈ 151 cm3. Le volume du cône de sommet S et de rayon O’A’ est donc :
27 27
3. • Le graphique ➃ ne convient pas car quand h = 0, le 93 = k3 × 92 = 0,13 × 92 soit 93 ≈ 14 m3.
volume 9 devrait être égal à 0. • Ainsi, le volume du tronc du cône est :
• Le graphique ➁ ne convient pas car quand la hauteur 94 = 92 – 93 soit 94 ≈ 14 385 m3.
h de liquide augmente, le volume 9 de liquide doit aug-
menter aussi. • Finalement, le volume de la serre est :
• Le graphique ➂ ne convient pas car si on remplit la bou- 9 = 91 + 94 soit 9 ≈ 34 020 m3.
teille jusqu’au goulot (h = 19 cm), alors le volume 9 de la 82 • Le volume d’eau dans la piscine est :
bouteille doit être égal à 90 + 91 soit environ 1 329 cm3. Ce
9 = π × 1302 × 65 = 1 098 500π cm3
qui n’est pas le cas sur ce graphique.
soit 9 ≈ 3 451 040 cm3 ≈ 3,451 m3.
• Le graphique qui convient est donc le graphique ➀. Or 3,451 × 2,03 ≈ 7.
81 Il faut donc prévoir 7 € pour l’eau.
10 m • Entre le début du mois de juin et la fin du mois de
septembre, il y a 122  jours. La pompe va donc utiliser
A’ S SH = 8 m
O’ 417,24 kWh sur cette période (car 122 × 3,42 = 417,24).
A Or 417,24 × 0,15 = 62,586.
2,5 m

O
Il faut donc prévoir 62,59 € pour la consommation d’élec-
B H tricité de la pompe.
100 m
• Finalement, le coût total à prévoir est de 149,59  €
• Le volume de la partie cylindrique de la serre est : (80 + 7 + 62,5 = 149,59).
91 = π × BH2 × AB = π × 502 × 2,5 soit 91 ≈ 19 635 m3. Le budget de 200 € sera donc suffisant.

Chapitre 11 – Représenter l’espace  137 


12 Prolonger le
théorème de Thalès

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 2 « Réci-


1 Le point sur le cycle 4
proque du théorème de Thalès ».
● Le théorème de Thalès et sa réciproque sont introduits
en classe de 4e avec les configurations des triangles J’applique le cours
emboîtés. L’objectif est de faire le point sur l’utilisation du théorème
● En classe de 3 , l’étude du théorème de Thalès et de sa
e de Thalès et de sa réciproque avec des configurations
réciproque est prolongée aux configurations « papillon ». « papillon ».
Exercice résolu 1
2 Je découvre Dans cet exercice, on calcule une longueur en utilisant le
théorème de Thalès.
Activité 1 Exercice résolu 4
L’objectif de cette activité est de mettre en évidence les Dans cet exercice, on démontre que deux droites sont
égalités des trois rapports de longueurs dans une configu- parallèles en utilisant la réciproque du théorème de Tha-
ration « papillon » puis de démontrer ces égalités. lès.
L’utilisation d’un logiciel à la question 1 permet de visuali-
ser ces égalités. On démontre ensuite, comme le suggère
le programme, à la question 2, ces égalités à l’aide des pro-
4 Compléments
priétés de conservation de la symétrie centrale. Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
● L’exercice 54 propose d’interpréter et de compléter un
Activité 2
script qui permet de tracer une configuration de Thalès en
Cette activité a pour objectif de prolonger la réciproque
papillon.
du théorème de Thalès aux configurations « papillon ».
● À l’exercice 55, l’utilisation d’un logiciel de géométrie
Au cours de cette activité, on insiste sur l’importance de
l’ordre des points pour prouver que deux droites peuvent permet, lors de la question 1, de mettre en évidence une
être parallèles. En effet, l’égalité de deux rapports ne suffit méthode pour partager un segment dans un rapport
pas à l’utilisation de la réciproque du théorème de Thalès. donné. La question 2 propose de réinvestir cette méthode
avec les instruments de géométrie.
3 Cours - J’applique le cours J’utilise mes compétences
L’exercice 65 propose d’estimer le rayon de la Terre à l’aide
Cours de la méthode utilisée par Ératosthène.
● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe 1
« Théorème de Thalès ».

CORRIGÉS

Bien démarrer Les droites (M’N’) et (BC) sont parallèles à la même droite
(MN) donc les droites (M’N’) et (BC) sont parallèles.
1. b et c ; 2. c ; 3. a ; 4. a et c ; 5. a et b. Une symétrie centrale conserve les longueurs donc
AM’ = AM, AN’ = AN et M’N’ = MN.
Je découvre b. Les triangles AM’N’ et ABC sont emboîtés et les droites
(M’N’) et (BC) sont parallèles donc, d’après le théorème de
Activité 1 AM’ AN’ M’N’
Thalès : = =  .
1 b. Les trois rapports semblent égaux. AB AC BC
En remplaçant AM’ par AM, AN’ par AN et M’N’ par MN
2 a. Par une symétrie centrale, l’image d’une droite est AM AN MN
une droite parallèle. Donc les droites (M’N’) et (MN) sont cette égalité devient = =  .
AB AC BC
parallèles.

 138
c. Si deux droites (MB) et (NC) sont sécantes en A et si les 3 Les droites (BC) et (AE) se coupent en D et les droites
droites (BC) et (MN) sont parallèles, alors : (AC) et (BE) sont parallèles donc d’après le théorème de
AM AN MN Thalès :
= =  .
AB AC BC DA DC AC DA 3,5 5,5
= = c’est-à-dire = =  .
DE DB EB 3,2 2,8 EB
Activité 2
3,5 5,5
a. Figure de Manon (Échelle 0,6) a. De = on déduit que 3,5 × EB = 2,8 × 5,5.
2,8 EB
2,8 × 5,5
Ainsi EB =  . Donc EB = 4,4 cm.
3,5
DA 3,5 3,5
b. De = on déduit que DA = 3,2 ×  .
3,2 2,8 2,8
Donc DA = 4 cm.
c. AE = AD + DE c’est-à-dire AE = 4 cm + 3,2 cm.
Donc AE = 7,2 cm.
Figure de Laura (Échelle 0,6) LJ 5 LK 7,5
5 = = 0,625 et = = 0,625
LU 8 LO 12
Les points J, L, U et K, L, O sont alignés dans le même ordre
LJ LK
et =  , donc d’après la réciproque du théorème de
LU LO
Thalès, les droites (JK) et (OU) sont parallèles.
BE 3,6 BC 3
6 = = 1,5 et = = 1,5.
BD 2,4 BA 2
Les points D, B, E et A ,B, C sont alignés dans le même ordre
BE BC
et =  , donc d’après la réciproque du théorème de
BD BA
Figure de William (Échelle 0,6) Thalès, les droites (AD) et (CE) sont parallèles.

Je m’entraîne

Connaître le théorème de Thalès

Pour les figures de Manon et Laura : 7 a. TJ = TS = JS b. AP = AS = PS


TU TM UM AI AR IR
EA 5 EC 7
= = 1,25 et = = 1,25. 8 Les triangles TJS et TUM forment une configuration
EB 4 ED 5,6
Les droites (AB) et (CD) sont sécantes en E. de Thalès « triangles emboîtés ».
Les points E, A, B et E, C, D sont alignés dans le même ordre Les triangles APS et AIR forment une configuration de
EB ED Thalès « papillon ».
et = donc d’après la réciproque du théorème de
EA EC
Thalès les droites (AC) et (BD) sont parallèles. 9 a. 4,2 b. 7,5 c. 5,25
b. On doit ajouter que les points E, A, B et E, C, D sont 10 a. EA = ER = AR b. TH = TI = HI
alignés dans le même ordre (comme sur les figures de EF EB FB TG TM GM
Manon et Laura). 11 a. Les droites (HL) et (JK) se coupent en M et les
droites (HJ) et (KL) sont parallèles donc les triangles MKL
et MJH forment une configuration de Thalès « papillon ».
J’applique le cours Les trois rapports de longueurs égaux sont :
ML MK LK
2 Les droites (OT) et (PS) se coupent en R et les droites = =  .
MH MJ HJ
(OP) et (ST) sont parallèles donc d’après le théorème de
b. Les triangles IKL et IHJ forment une configuration de
Thalès :
Thalès « triangles emboîtés ».
RP RO PO RP 3,6 3,9
= = c’est-à-dire = =  . IK IL KL
RS RT ST 2 3 ST Les trois rapports égaux sont : = =  .
IH IJ HJ
RP 3,6 3,6
a. De = on déduit que RP = 2 ×  .
2 3 3 12 a. Les triangles AMN et ABC forment une configura-
Donc RP = 2,4 cm. tion de Thalès « triangles emboîtés ».
3,6 3,9 Les triangles NAM et NCD forment une configuration de
b. De =  on déduit que 3,6 × ST = 3 × 3,9.
3 ST Thalès « papillon ».
3 × 3,9 AM AN MN NA NM AM
Ainsi, ST =  . Donc ST = 3,25 cm. b. = = et = =  .
3,6 AB AC BC NC ND CD

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  139 


13 a. Les triangles LAC et LOE forment une configuration 7,8 13
De = on déduit que 13 × KL = 7,8 × 7.
de Thalès «  papillon  » donc les longueurs des côtés des KL 7
triangles LAC et LOE sont proportionnelles. 7,8 × 7
KL =  . Donc LK = 4,2 cm.
13
b.
LA LC AC 21 Les droites (AK) et (LE) sont sécantes en B et les droites
×4
LO LE OE (LK) et (AE) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès :
BL BK LK BL 4 LK
= = c’est-à-dire = =  .
Calculer des longueurs BE BA AE BE 6 8,1
4 LK 4
De = on déduit que LK = 8,1 ×  .
14 De l’égalité CE = 1,4 on déduit que CE = 3 × 1,4  . 6 8,1 6
3 3,5 3,5
Donc LK = 5,4 cm.
2 6
Remarque. CE = 3 × =  . Donc CE = 1,2 cm.
5 5 22 Les droites (AB) et (LK) sont sécantes en E et les droites
(AL) et (BK) sont parallèles.
15 On remarque que OV = 2 × OQ. On en déduit :
Donc, d’après le théorème de Thalès :
OU = 2 × 2,5 cm = 5 cm et QR = 3,6 cm;2 = 1,8 cm.
EA EL AL EA 4,2 3
= = c’est-à-dire = =  .
16 a. k = AF c’est-à-dire k = 6  . EB EK BK EB EK 8
AE 10 4,2 3
Donc le rapport k de réduction est 0,6. De = on déduit que 3 × EK = 4,2 × 8.
EK 8
b. FL = k × IE c’est-à-dire FL = 0,6 × 7 cm. 4,2 × 8
Donc FL = 4,2 cm. EK =  . Donc EK = 11,2 cm.
3
AL = k × AI c’est-à-dire AL = 0,6 × 4 cm.
LK = EK – EL c’est-à-dire LK = 11,2 cm – 4,2 cm.
Donc AL = 2,4 cm. Donc LK = 7 cm.
17 a. k = UL c’est-à-dire k = 5  . 23 Les droites (AI) et (LK) sont sécantes en E et les droites
MO 2
Donc le rapport k d’agrandissement est 2,5. (AK) et (LI) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès :
b. IL = k × IM c’est-à-dire IL = 2,5 × 3,4 cm.
EI EL IL EI EL 35
Donc IL = 8,5 cm. = = c’est-à-dire = =  .
EA EK AK EA 40 25
IU = k × IO c’est-à-dire 7 cm = 2,5 × IO.
Donc IO = 7 cm;2,5 c’est-à-dire IO = 2,8 cm. EL 35 35
De = on déduit que EL = 40 ×  .
40 25 25
18 a. Les triangles EBD et ABC forment une configura-
Donc EL = 56 cm.
tion de Thalès « papillon » donc les longueurs des côtés
LK = LE + EK c’est-à-dire LK = 56 cm + 40 cm.
des triangles EBD et ABC sont proportionnelles.
Donc LK = 96 cm.
b. et c.
BA BC AC 24 Les droites (MS) et (TN) se coupent en R et les droites
4,5 5 6 (MN) et (TS) sont parallèles.
× 0,8
3,6 4 4,8 Donc d’après le théorème de Thalès :
BD BE DE RM RN MN 4,5 3 4
= = c’est-à-dire = =  .
RS RT ST 1,8 RT TS
4,8;6 = 0,8 ; 4,5 × 0,8 = 3,6 et 4;0,8 = 5. 4,5 3
• De = on déduit que 4,5 × RT = 3 × 1,8.
1,8 RT
19 1. SM = SA = AM
ST SH TH 3 × 1,8
RT =  . Donc RT = 1,2 cm.
2. a. En remplaçant par les longueurs connues on obtient : 4,5
SM 18 21 SM 18 4,5 4
= = d’où =  . • De = on déduit que 4,5 × TS = 4 × 1,8.
12 13,5 TH 12 13,5 1,8 TS
18 4 × 1,8
SM = 12 ×  . Donc SM = 16 cm. TS = . Donc ST = 1,6 cm.
13,5 4,5
18 21 25 Les droites (AD) et (BC) sont sécantes en G et les
b. De l’égalité précédente, on déduit que =  .
13,5 TH
21 × 13,5 droites (AB) et (CD) sont parallèles.
18 × TH = 21 × 13,5 et TH =  . Donc, d’après le théorème de Thalès :
18
Donc TH = 15,75 cm. GB GA BA 45 45 BA
= = soit = =  .
GC GD CD 30 30 34
20 Les droites (ML) et (AN) sont sécantes en K et les
45 BA 45
droites (MA) et (NL) sont parallèles. Donc, d’après le théo- De = on déduit que BA = 34 ×  .
30 34 30
rème de Thalès :
Donc BA = 51 cm.
KM KA MA 7,8 13 MA
= = c’est-à-dire = =  . La longueur AB soit être 51 cm.
KL KN LN KL 7 LN
 140
26 a. 2×5 10
E D OD =  . Donc OD =   cm et OD ≈ 3,3 cm.
3 3
3 4
• De = on déduit que 3 × CD = 4 × 5.
5 CD
4×5 20
CD =  . Donc CD = cm et CD ≈ 6,7 cm.
3 3
C 29 a. Les droites (DC) et (YE) sont perpendiculaires à la
même droite (DE) donc elles sont parallèles.
b. Les droites (DE) et (CY) sont sécantes en A et les droites
4 cm 3,6 cm (DC) et (YE) sont parallèles. Donc, d’après le théorème de
Thalès :
AD AC DC 1,5 AC DC
= = c’est-à-dire = =  .
AE AY YE 0,6 AY 1,7
1,5 DC 1,5
A 4,8 cm B De = on déduit que DC = 1,7 ×  .
0,6 1,7 0,6
b. C [ [AD] donc CD = AD – AC, c'est-à-dire CD = 7 cm – 4 cm. Donc DC = 4,25 m.
Donc CD = 3 cm. 30 • Les droites (DC) et (AE) sont perpendiculaires à la
Les droites (AD) et (BE) sont sécantes en C et les droites même droite (CE), elles sont donc parallèles.
(AB) et (ED) sont parallèles. • Les droites (DA) et (CE) sont sécantes en B et les droites
Donc, d’après le théorème de Thalès : (DC) et (EA) sont parallèles. Donc, d’après le théorème de
CD CE DE 3 CE DE Thalès :
= = soit = =  .
CA CB AB 4 3,6 4,8 BD BC DC BD 2 DC
3 CE 3 = = c’est-à-dire = =  .
De =  , on déduit que CE = 3,6 ×  . BA BE AE BA 3 2,4
4 3,6 4 2 DC 2
Donc CE = 2,7 cm. De = on déduit DC = 2,4 ×  .
3 2,4 3
3 DE 3 Donc DC = 1,6 cm.
De =  , on déduit que DE = 4,8 ×  .
4 4,8 4
Donc DE = 3,6 cm. 31 1. TE = VE – VT c’est-à-dire TE = 13 cm – 9,6 cm.
c. Ces résultats sont cohérents avec la figure. Donc TE = 3,4 cm.
27 a. 2. a. Les quotients que Tommy va obtenir sont :
T N NE NT ET NE NT 3,4
= = c’est-à-dire = =  .
NR NB RB NR NB 13
Tommy ne connaît pas NR donc il ne pourra pas calculer
A NE.
E b. Les quotients que Sandra va obtenir sont :
B TE TN EN 3,4 TN EN
= = c’est-à-dire = =  .
TV TB VB 9,6 TB 7,2
b. Les droites (BT) et (NE) sont sécantes en A et les droites 3,4 EN
(BN) et (TE) sont parallèles. Donc, d’après le théorème de À l’aide de l’égalité = Sandra peut calculer la lon-
9,6 7,2
Thalès : gueur EN.
AT AE TE 6 AE 7 3,4 EN 3,4
= = c’est-à-dire = =  . De = on déduit EN = 7,2 ×  .
AB AN BN AB 10 9 9,6 7,2 9,6
AE 7 7 Donc EN = 2,55 cm.
• De = on déduit que AE = × 10.
10 9 9 32 a. ON = OG – NG c’est-à-dire ON = 6 m – 2,8 m.
70 Donc ON = 3,2 m.
Donc AE = cm et AE ≈ 7,8 cm.
9
6 7 b. Les droites (LE) et (OG) sont sécantes en N et les droites
• De = on déduit que 7 × AB = 6 × 9. (LO) et (EG) sont parallèles. Donc, d’après le théorème de
AB 9
6×9 54 Thalès :
AB =  . Donc AB = cm et AB ≈ 7,7 cm.
7 7 NL NO LO NL 3,2 LO
= = c’est-à-dire = =  .
NE NG EG NE 2,8 3,5
28 a. Les triangles ABO et DOC forment une configura-
3,2 LO 3,2
tion de Thalès « papillon ». De = on déduit que LO = × 3,5.
2,8 3,5 2,8
b. Les droites (AC) et (BD) sont sécantes en O et les droites Donc LO = 4 m.
(AB) et (DC) sont parallèles. Donc, d’après le théorème de
PO = PL + LO c’est-à-dire PO = 2 m + 4 m.
Thalès :
Donc PO = 6 m.
OA OB AB 3 2 4
= = c’est-à-dire = =  .
OC OD CD 5 OD DC 33 a. Les rapports de longueurs égaux sont :
3 2 MS MH SH MS MH SH
• De = on déduit que 3 × OD = 2 × 5. = = c’est-à-dire = =  .
5 OD MT MA TA 2,8 3 2,1

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  141 


MS MH MH 40 • 1,2 m = 120 cm et 1,5 m = 150 cm.
De = on déduit MS = 2,8 ×  .
2,8 3 3 GD = ED – EG = 120 cm – 48 cm = 72 cm.
Donc à la ligne (1) on doit saisir l’instruction ➃. GC = CF – GF = 150 cm – 60 cm = 90 cm.
MH SH MH • Les points E, G, D et F, G, C sont alignés dans le même
De = on déduit SH = 2,1 ×  .
3 2,1 3 ordre.
Donc à la ligne (2) on doit saisir l’instruction ➁.
GE 48 48;24 2 GF 60 60;30 2
b. Le script affiche MS = 4,2 et SH = 3,15. = = = et = = =  .
GD 72 72;24 3 GC 90 90;30 3
GE GF
Donc =  .
Étudier le parallélisme de droites GD GC
Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès, les
34 a. LO = LB b.
GH GD
= droites (EF) et (DC) sont parallèles.
LC LS GF GE Le clavier est parallèle au sol.
35 CE = 6 et CB = 10 41 a. E F
CD 4 CA 7
6 × 7 = 42 et 4 × 10 = 40 7c
CE CB m m
Les produits en croix ne sont pas égaux donc ≠  . 10 c
CD CA I
CE CB
≠ donc les droites (AD) et (BE) ne sont pas paral-
CD CA
lèles. H G

36 CD = 4 = 0,625 et CG = 4,8 = 0,6. b. IG = EG – IE c’est-à-dire IG = 16,8 cm – 7 cm.


CE 6,4 CH 8 Donc IG = 9,8 cm.
CD CG IH = HF – IF c’est-à-dire IH = 24 cm – 10 cm.
b. ≠ donc les droites (DG) et (EH) ne sont pas paral-
CE CH Donc IH = 14 cm.
lèles. IH 14 IG 9,8
c. = = 1,4 et = = 1,4.
37 a. On doit comparer EI et EA . IF 10 IE 7
ER EP Les points H, I, F et G, I, E sont alignés dans le même ordre
EI 4,5 EA 3 IH IG
b. = = 0,75 et = = 0,75. et =  .
ER 6 EP 4 IF IE
Les points A, E, P et I, E, R sont alignés dans le même ordre Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès les
EI EA droites (EF) et (GH) sont parallèles.
et = .
ER EP d. Le point d’intersection I des diagonales [EG] et [FH]
Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
n’est pas le milieu de ces diagonales donc EFGH n’est pas
droites (AI) et (PR) sont parallèles.
un parallélogramme.
38 a. LP = 2,5 = 2,5 × 1,8 = 4,5 Remarque. On pouvait aussi montrer que les droites
LO 3 3 × 1,8 5,4 (EH) et (FG) ne sont pas parallèles.
LI 1,5 1,5 × 3 4,5
= = =
LA 1,8 1,8 × 3 5,4 42 a. CD = 14 = 1,75 et CE = 17,5 = 1,75.
b. 2,5 × 1,8 = 4,5 et 1,5 × 3 = 4,5. CA 8 CB 10
LP LI Les points B, C, E et A, C, D sont alignés dans le même ordre
Les produits en croix sont égaux donc =  . CD CE
LO LA et =  .
c. Les points P, L, O et I, L, A sont alignés dans le même CA CB
LP LI Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès les
ordre et =  . droites (AB) et (DE) sont parallèles.
LO LA
Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les b. Les droites (AB) et (DE) sont parallèles et les droites (DE)
droites (PI) et (AO) sont parallèles. et (DA) sont perpendiculaires.
On en déduit que les droites (AB) et (DA) sont aussi per-
39 a. Les points A, B, N et A, C, M sont alignés dans le
pendiculaires et alors jBAC = 90°.
même ordre.
jBAC = 90 ° donc le triangle ABC est rectangle en A.
AB 10,5 10,5 × 15 157,5
= = =
AN 22,5 22,5 × 15 337,5 43 On remarque que CD = CE = 2  .
AC 7 7 × 22,5 157,5 CA CA 3
et = = = On place les points F et G de la droite (CB) qui vérifient :
AM 15 15 × 22,5 337,5
AB AC CF CG 2
Donc =  . = =  .
AN AM CB CB 3
Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès, les A
droites (BC) et (MN) sont parallèles. D
b. Les points A, B, N et A, C, M sont alignés dans le même
ordre. G C F B
AB 7,2 AC 6 AB AC
= = 1,6 et = = 1,5. Donc ≠  . E
AN 4,5 AM 4 AN AM
Donc les droites (BC) et (MN) ne sont pas parallèles.

 142
Utiliser le théorème de Thalès 47 a. • Les droites (AC) et (EB) sont sécantes en D et les
et sa réciproque droites (BC) et (AE) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
44 a. Les droites (TU) et (OP) sont perpendiculaires à la DC DB CB DC 12 CB
= = c’est-à-dire = =  .
même droite (OU) donc elles sont parallèles. DA DE AE 8 19,2 20,8
Les droites (TP) et (OU) sont sécantes en A et les droites DC 12
De = on déduit 19,2 × DC = 8 × 12
(TU) et (OP) sont parallèles. 8 19,2
Donc d’après le théorème de Thalès : 8 × 12
AU AT UT 60 AT TU DC =  . Donc CD = 5 cm.
= = c’est-à-dire = =  . 19,2
AO AP OP 8 AP 28 • AC = AD + DC c’est-à-dire CA = 8 cm + 5 cm.
60 TU 60 Donc AC = 13 cm.
• De = on déduit que TU = 28 ×
8 28 8 12 CB
• De = on déduit 19,2 × CB = 12 × 20,8.
Donc TU = 210 pas. 19,2 20,8
b. 210 × 0,9 m = 189 m. 12 × 20,8
CB =  . Donc BC = 13 cm.
La longueur TU est 189 m. 19,2
45 a. BA = AE – EB c’est-à-dire BA = 3,5 cm – 1,4 cm. b. • [AE] est le côté le plus long du triangle ADE et
Donc BA = 2,1 cm. AE² = 20,8² = 432,64.
DA² + DE² = 8² + 19,2² = 64 + 368,64 = 432,64.
b. Les droites (DC) et (EA) sont sécantes en B et les droites DA² + DE² = AE² donc d’après la réciproque du théorème
(DE) et (AC) sont parallèles. de Pythagore le triangle ADE est rectangle en D.
Donc d’après le théorème de Thalès :
• Les points E, D et B sont alignés donc jBDA = 180° – jADE
BD BE DE BD 1,4 0,9
= = c’est-à-dire = =  . c’est-à-dire jBDA = 180° – 90° = 90°.
BC BA CA 1,5 2,1 CA
jBDA = 90° donc le triangle BDA est rectangle en D.
BD 1,4 1,4
De = on déduit BD = 1,5 ×  . c. Le triangle BDA est rectangle en D donc d’après le théo-
1,5 2,1 2,1
rème de Pythagore :
Donc BD = 1 cm.
DA2 + DB2 = AB2
1,4 0,9
De = on déduit 1,4 × CA = 2,1 × 0,9 et 122 + 82 = AB2
2,1 CA
AB2 = 144 + 64
2,1 × 0,9 AB2 = 208.
CA =  . Donc AC = 1,35 cm.
1,4 Donc AB = 5208 et AB ≈ 14,4 cm.
c. 2,1 + 1,4 + 0,9 + 1,5 + 1 + 1,35 = 8,25. d. CA = CB et CA ≠ AB donc le triangle ABC est isocèle en C.
La créatrice devra utiliser 8,25 cm de tiges d’argent pour
réaliser cette boucle. 48 a. CA = 6 = 0,6 et CB = 9 = 0,6.
CE 10 CF 15
46 a. Les droites (GE) et (AC) sont sécantes en B et les Les points C, B, F et C, A, E sont alignés dans le même ordre
droites (AG) et (EC) sont parallèles. CA CB
et =  .
Donc d’après le théorème de Thalès : CE CF
BA BG AG BA BG 7 Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
= = c’est-à-dire = =  . droites (AB) et (EF) sont parallèles.
BC BE CE 2,4 2,8 4
BA 7 7 b. AD = BD – AB c’est-à-dire AD = 12,5 cm – 7,5 cm.
• De = on déduit BA = × 2,4. Donc AD = 5 cm.
2,4 4 4
Donc BA = 4,2 cm. • AE = CE – CA c’est-à-dire AE = 10 cm – 6 cm.
BG 7 7 Donc AE = 4 cm.
• De = on déduit BG = × 2,8. AB 7,5 AC 6
2,8 4 4 c. = = 1,5 et = = 1,5.
Donc BG = 4,9 cm. AD 5 AE 4
Les points D, A, B et E, A, C sont alignés dans le même ordre
b. BD = BC + CD c’est-à-dire BD = 2,4 cm + 3,3 cm.
AB AC
Donc BD = 5,7 cm. et =  .
AD AE
Les droites (AD) et (EF) sont sécantes en B et les droites Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
(AE) et (FD) sont parallèles. droites (DE) et (BC) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
BA BE AE 4,2 2,8 AE d. On déduit des questions précédentes que les droites
= = c’est-à-dire = =  . (FB) et (DE) sont parallèles de même que les droites (FE)
BD BF DF 5,7 BF DF
4,2 2,8 et (BD).
De = on déduit 4,2 × BF = 5,7 × 2,8. Le quadrilatère BFED a ses côtés opposés deux à deux
5,7 BF
parallèles donc BFED est un parallélogramme.
5,7 × 2,8
BF =  . Donc BF = 3,8 cm.
4,2
Je m’évalue à mi-parcours
c. GF = BG – BF c’est-à-dire GF = 4,9 cm – 3,8 cm.
Donc GF = 1,1 cm. 49 b.  50 a.  51 c.  52 a.  53 b.

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  143 


55 1. e. Les droites (AB) et (DE) sont sécantes en M et les
Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra droites (AD) et (BE) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
54 1. MA MD AD MA MD 2
= = c’est-à-dire = =  .
MB ME BE MB ME 5
MA 2
Donc =  .
MB 5
Le logiciel affiche AM ≈ 2,86.
2. N est le point du segment [EF] tel que les longueurs NE
NE 3
et NF sont dans le ratio 3;7 signifie que =  .
Remarque. 64 pas correspondent à 3,2 cm (64;20 = 3,2) ; NF 7
• On trace un segment [EF] de 6 cm.
80 pas à 4 cm (80;20 = 4) et 50 pas à 2,5 cm (50;20 = 2,5).
• On trace deux droites parallèles (d1) et (d2) passant res-
2. a On peut nommer les points de la figure.
pectivement par E et F.
On trace le cercle #1 de centre E et de rayon 3 cm puis le
cercle #2 de centre F et de rayon 7 cm.
• On nomme G un des points d’intersection de (d1) et #1.
• On nomme H le point d’intersection de (d2) et #2 qui per-
met de mettre en évidence une configuration de Thalès
« papillon ». N est le point d’intersection des droites (EF)
et (GH).
Échelle ½
jCAB = 180° – 130° = 50°. De même jACD = 50°.
Les droites (AB) et (CD) coupées par la sécante (CA) for-
ment des angles alternes-internes jCAB et jACD tels que
jCAB = jACD. Donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
On peut alors calculer le nombre désigné par (1) en utili-
sant le théorème de Thalès.
Les droites (AC) et (BD) sont sécantes en O et les droites
(AB) et (CD) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
OA OB AB 80 OB 50
= = c’est-à-dire = =  .
OC OD CD 64 OD CD
80 50
De = on déduit que 80 × CD = 64 × 50.
64 CD
64 × 50
CD =  . Donc CD = 40.
80
Le nombre désigné par (1) est 40.
b. Voici le script
complété. Parcours différenciés
56
PARCOURS 1

a. « Les droites (AE) et (BD) sont sécantes en C et les droites


(AB) et (DE) sont parallèles.
CE CD ED
Donc, d’après le théorème de Thalès, = =  .
CA CB AB
b. En remplaçant par les longueurs connues on obtient
CE 800 1 000
= =  .
600 500 AB
CE 800 800
De = on déduit que CE = 600 ×  .
600 500 500
Donc CE = 960 m.
800 1 000
c. De = on déduit que 800 × AB = 500 × 1 000.
500 AB
500 × 1 000
AB =  . Donc AB = 625 m.
800
d. On note L la longueur, en m, de la randonnée.
L = AB + BC + CD + DE + EC + CA
L = 625 m + 500 m + 800 m + 1 000 m + 960 m + 600 m

 144
L = 4 485 m EB EA
Donc =  .
La longueur totale de la randonnée est 4 485 m. EC ED
c. Les points A, E, D et B, E, C sont alignés dans le même
PARCOURS 2 EB EA
ordre et =  , donc d’après la réciproque du théo-
a. Les droites (AG) et (BF) sont sécantes en C et les droites EC ED
(AB) et (FG) sont parallèles donc les triangles ABC et CFG rème de Thalès, les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
forment une configuration de Thalès « papillon ».
PARCOURS 2
D’après le théorème de Thalès :
CA CB AB 600 500 AB EC 3,5 ED 2,1
= = c’est-à-dire = =  . a. = et =  .
CG CF GF 840 CF 875 EB 1,5 EA 1,2
600 500 3,5 × 1,2 = 4,2 et 1,5 × 2,1 = 3,15
De = on déduit que 600 × CF = 840 × 500. EC ED
840 CF Les produits en croix ne sont pas égaux donc ≠  .
EB EA
840 × 500 EC ED
CF =  . Donc CF = 700 m. b.  ≠ donc les droites (AB) et (CD) ne sont pas paral-
600 EB EA
600 AB 600 lèles.
De = on déduit que AB = 875 ×  .
840 875 840
Donc AB = 625 m. PARCOURS 3

b. On note L la longueur, en m, de la randonnée. EC = BC – EB c’est-à-dire EC = 8,1 cm – 1,5 cm.


L = AB + BC + CF + FG + GC + CA Donc EC = 6,6 cm.
L = 625 m + 500 m + 700 m + 875 m + 840 m + 600 m ED = AD – EA c’est-à-dire ED = 6,45 cm – 1,2 cm.
L = 4 140 m. Donc ED = 5,25 cm.
La longueur totale de la randonnée est 4 140 m. EC 6,6 ED 5,25
= = 4,4 et =  = 4,375
EB 1,5 EA 1,2
PARCOURS 3
EC ED
≠ donc les droites (AB) et (CD) ne sont pas paral-
Les droites (DB) et (AE) sont sécantes en C et les droites EB EA
(AB) et (DE) sont parallèles. lèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
CA CB AB 600 500 AB
= = c’est-à-dire = =  .
CE CD ED CE 800 1 000 J’utilise mes compétences
500 AB 500
• De = on déduit AB = 1 000 ×  .
800 1 000 800 58 GK = 1,8 = 0,4 et GL = 2,4 = 0,4.
Donc AB = 625 m. GC 4,5 GH 6
600 500 Les points G, K, C et G, L, H sont alignés dans le même
• De = on déduit 500 × CE = 600 × 800. GK GL
CE 800 ordre et =  .
600 × 800 GC GH
CE =   Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
500
droites (LK) et (HC) sont parallèles.
Donc CE = 960 m.
CI = CE + EI = 960 m + 480 m = 1 440 m. 59 a. Le triangle ABD est rectangle en B.
Les droites (AI) et (BH) sont sécantes en C et les droites D’après le théorème de Pythagore :
(AB) et (HI) sont parallèles. BD2 + BA2 = DA2
Donc d’après le théorème de Thalès : BD2 + 482 = 502
CI CH IH 1 440 CH IH BD2 + 2 304 = 2 500
= = c’est-à-dire = =  . BD2 = 2 500 – 2 304 = 196.
CA CB AB 600 500 625
BD = 5196. Donc BD = 14 m.
1 440 CH 1 440
• De = on déduit CH = 500 ×  . b. Les droites (DB) et (PM) sont perpendiculaires à la même
600 500 600
Donc CH = 1 200 m. droite (BA) donc elles sont parallèles.
Les droites (DM) et (BP) sont sécantes en A et les droites
1 440 IH 1 440
• De = on déduit IH = 625 ×  . (BD) et (PM) sont parallèles.
600 625 600
Donc IH = 1 500 m. Donc d’après le théorème de Thalès :
On note L la longueur, en m, de la randonnée. AM AP MP AM 18 MP
= = c’est-à-dire = =  .
L = AB + BC + CH + HI + IC + CA AD AB DB 50 48 14
18 MP 18
L = 625 m + 500 m + 1 200 m + 1 500 m + 1 440 m + 600 m De = on déduit que MP = 14 ×  .
L = 5 865 m. 48 14 48
Donc la longueur du pilier [PM] est 5,25 m.
La longueur totale de la randonnée est 5 865 m.
60 a. AC = AB + BC c’est-à-dire AC = 4 m + 0,5 m.
57
Donc AC = 4,5 m.
PARCOURS 1
Les droites (FA) et (DE) sont perpendiculaires à la même
EB 1,5 EA 1,2
a. = et =  . droite (AD) donc elles sont parallèles.
EC 2,5 ED 2
Les droites (FE) et (AD) sont sécantes en C et les droites
EB 1,5 EA 1,2
b. = = 0,6 et = = 0,6. (FA) et (DE) sont parallèles.
EC 2,5 ED 2

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  145 


Donc d’après le théorème de Thalès : b. Voici le script complété.
CF CA FA 5,5 4,5 FA
= = c’est-à-dire = =  .
CE CD ED CE 3 ED
5,5 4,5
De = on déduit 4,5 × CE = 5,5 × 3.
CE 3
5,5 × 3 11
CE =  . Donc CE = m et CE ≈ 3,67 m.
4,5 3
b. La partie de toiture à ajouter est un rectangle de dimen-
11
sions m et 6 m.
3
11
× 6 = 22. Donc l’aire exacte de la partie de toiture à
3
ajouter est 22 m2.
61 a.

10 cm 50 cm
14 cm

b. Notons L la longueur de la lame. On utilise le théorème


L 50
de Thalès et on a = soit L ≈ 35,7 cm. c. ABCD est un carré donc les droites (AB) et (CD) sont
10 14
parallèles.
62 On peut représenter la situation par ce schéma sur Les droites (AD) et (BF) sont sécantes en E et les droites
lequel h désigne la hauteur, en m, de la statue. (AB) et (DF) sont parallèles donc d’après le théorème de
S Thalès :
ED EF DF 30 EF DF
= = c’est-à-dire = =  .
EA EB AB 90 EB 60
30 DF 30
De = on déduit DF = 60 ×  .
90 60 90
Donc DF = 20 pas.
h
FC = DC – DF = 60 pas – 20 pas.
Donc FC = 40 pas.
J d. Les droites (DC) et (EB) sont sécantes en F et les droites
1,90 m (DE) et (BC) sont parallèles donc d’après le théorème de
Sol L Thalès :
A
10 m 0,5 m FD FE DE 15 FE DE
B = = c’est-à-dire = =  .
FC FB CB 45 FB 60
15 DE 15
• Les droites (SB) et (JA) sont perpendiculaires à la même De = on déduit DE = 60 ×  .
45 60 45
droite (LB) donc elles sont parallèles.
Donc DE = 20 pas.
• Les triangles emboîtés LAJ et LBS forment une configura- AE = AD + DE c’est-à-dire AE = 60 pas + 20 pas.
tion de Thalès et on en déduit : Donc AE = 80 pas.
h 10 10 Il faut saisir 80 à la ligne 2.
= et alors h = 1,90 ×  .
1,90 0,5 0,5
Donc h = 38 m. La hauteur de la statue est 38 m. 64 a. GI = 6 = 1,2 et GJ = 4,8 = 1,2.
GH 5 GF 4
63 a. En analysant le script et la figure on conclut que le Les points I, G, H et J, G, F sont alignés dans le même ordre
point de coordonnées (0 ; 0) est le point A. GI GJ
et =  .
On peut alors compléter le script. GH GF
(1) : 60 ; Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
(2) : 90 (en effet 60 + 30 = 90) ; droites (HF) et (JI) sont parallèles.
(3) : x = 60 et y = 0. b. Les droites (HF) et (JI) sont parallèles donc d’après le
théorème de Thalès :
GI GJ IJ 6 4,8 3,6
= = c’est-à-dire = =  .
GH GF HF 5 4 HF
6 3,6
De = on déduit que 6 × HF = 5 × 3,6.
5 HF
5 × 3,6
HF =  . Donc HF = 3 cm.
6
 146
[HG] est le côté le plus grand du triangle HGF et 2,5 × 1,44
h= soit h = 2,4 m.
HG2 = 52 = 25. 1,5
FH² + FG² = 3² + 4² = 9 + 16 = 25. • Une autre solution consistait à calculer dans un premier
FH² + FG² = HG² donc d’après la réciproque du théorème temps EF à l’aide de la position 1 : EF = 0,9 m.
de Pythagore le triangle FGH est rectangle en F. Puis h à l’aide de la position 2 : h = 2,4 m.
65 1 m = 0,001 km et 8 m = 0,008 km. 69 • Le triangle JAB est rectangle en A avec :
Les droites (CE) et (FS) sont sécantes en A et les droites (FE) AJ = 45 m et AB = 60 m.
et (SC) sont parallèles. D’après le théorème de Pythagore : AJ2+ AB2 =JB2.
Donc, d’après le théorème de Thalès : 452 + 602 = JB2 soit 2 025 + 3 600 = JB2
AF AE FE 0,001 0,008 FE JB2 = 5 625 et JB = 75 625
= = soit = =
AS AC SC 800 r SC Donc JB = 75 m.
0,001 0,008 • B [ [AC] donc BC = AC – AB = 96 m – 60 m = 36 m.
De =  , on déduit 0,001 × r = 800 × 0,008
800 r
• Les droites (JN) et (AC) sont sécantes en B et les droites
800 × 0,008
et r =  . Donc r = 6 400 km. (JA) et (CN) sont parallèles.
0,001
Selon la méthode d’Ératosthène, le rayon de la Terre est Donc, d’après le théorème de Thalès :
6 400 km. BN BC NC BN 36 NC
= = soit = =
BJ BA JA 75 60 45
66 Les droites (AC) et (DF) sont sécantes en B et les BN 36 36
De =  , on déduit BN = 75 ×  .
droites (AF) et (CD) sont parallèles. 75 60 60
Donc, d’après le théorème de Thalès : Donc BN = 45 m.
BA BF AF 4 BF BC • B [ [NJ] donc NJ = NB + BJ = 45 m + 75 m = 120 m.
= = soit = =  .
BC BD CD BC BD 9 Donc Noé va parcourir 120 m.
4 BC
De =  , on déduit BC × BC = 4 × 9. 70 • On note ! l’aire du triangle ABC.
BC 9
BC2 = 36 donc BC = 6 cm. AC × CB 4×3
!= c’est-à-dire ! =  . Donc ! = 6 cm2.
2 2
67 1,2 m = 120 cm. AB × CH 5 × CH
On note x la longueur AE, en cm, on a alors : != c’est-à-dire ! =  .
2 2
EB = 120 – x. Donc ! = 2,5 × CH cm2.
Les droites (AB) et (CD) sont sécantes en E et les droites On en déduit que 2,5 × CH = 6.
(AC) et (BD) sont parallèles donc d’après le théorème de 6
CH =  . Donc CH = 2,4 cm.
Thalès : 2,5
EC EA CA EC x 30 • Le triangle ACH est rectangle en H.
= = soit = =  .
ED EB DB ED 120 – x 70 D’après le théorème de Pythagore :
x 3 HA2 + HC2 = AC2
De = on déduit 7 × x = 3 × (120 – x) c’est-à-dire
120 – x 7 HA2 + 2,42 = 42
7x = 360 – 3x HA2 + 5,76 = 16
7x + 3x = 360 – 3x + 3x HA2 = 16 – 5,76
10x = 360 HA2 = 10,24
10x 360 HA = 710,24. Donc HA = 3,2 cm.
=
10 10 HB = AB – AH c’est-à-dire HB = 5 cm – 3,2 cm.
x = 36. Donc HB = 1,8 cm.
Donc [AE] = 36 cm. • On note c le côté, en cm, du carré DEFG.
68 On peut construire ce schéma. Les droites (CF) et (GH) sont sécantes en A et les droites
Q (FG) et (CH) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
AF AG FG AF AG c
mA = = c’est-à-dire = =  .
,5 c AC AH CH AC 3,2 2,4
E1
1,44 cm

h
c m AG c c
2,5 De = on déduit que AG = 3,2 ×  .
3,2 2,4 2,4
3,2 4
B F K Donc AG = c soit encore AG = c.
2,4 3
• Les droites (KQ) et (AB) sont sécantes en E et les droites • Les droites (CE) et (HD) sont sécantes en B et les droites
(BQ) et (AK) sont parallèles. (HC) et (ED) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès : Donc d’après le théorème de Thalès :
EK EA AK 1,5 1,5 1,44 BE BD ED BE BD c
= = c’est-à-dire = =  . = = c’est-à-dire = =  .
EQ EB QB 2,5 2,5 h BC BH CH BC 1,8 2,4
1,5 1,44 BD c c
De = on déduit que 1,5 × h = 2,5 × 1,44. De = on déduit que BD = 1,8 ×  .
2,5 h 1,8 2,4 2,4

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  147 


1,8 3 b. Le triangle DAC est rectangle en A.
Donc BD = c soit encore BD = c.
2,4 4 AD 154
cos jCDA = et cos jCDA ≈  .
4 3 CD 172
• AG + GD + DB = AB c’est-à-dire c + c + c = 5.
3 4 Donc jCDA ≈ 26°.
16 12 9
c+ c+ c=5 c. • AE = AC – CE c’est-à-dire AE = 76 m – 5 m.
12 12 12
Donc AE = 71 m.
37
c=5 • AF = AD – FD c’est-à-dire AF = 154 m – 12 m.
12
37 Donc AF = 142 m.
c AE 71 AF 142 142;2 71
12 5 • = et = = =  .
= AC 76 AD 154 154;2 77
37 37
12 AE AF
12 Donc ≠  .
AC AD
12 Donc les haubans [CD] et [EF] ne sont pas parallèles.
c=5×
37
60
c =  . 74 a. OA = 36 = 0,562 5 et OB = 27 = 0,562 5.
37 OD 64 OC 48
60 Les points A, O, D et B, O, C sont alignés dans le même ordre
La valeur exacte du côté du carré DEFG est cm.
37 OA OB
et =  .
71 • Les droites (AB) et (DE) sont sécantes en C et les OD OC
droites (AD) et (EB) sont parallèles. Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les
Donc, d’après le théorème de Thalès : droites (AB) et (CD) sont parallèles.
CA CD AD 3 CD AD b. Les droites (AD) et (BC) sont sécantes en O et les droites
= = soit = = (AB) et (CD) sont parallèles.
CB CE BE 5 CE 7
3 AD 3 Donc d’après le théorème de Thalès :
De = , on déduit AD = 7 ×  .
5 7 5 OA OB AB 36 27 AB
= = c’est-à-dire = =  .
Donc AD = 4,2 cm. OD OC DC 64 48 80
• Les droites (FD) et (BC) sont sécantes en A et les droites 27 AB 27
De = on déduit que AB = 80 ×  .
(FC) et (DB) sont parallèles. 48 80 48
Donc AB = 45 cm.
Donc, d’après le théorème de Thalès :
AF AC FC AF 3 FC c. AD = AO + OD c’est-à-dire AD = 36 cm + 64 cm.
= = soit = =  . Donc AD = 100 cm.
AD AB DB 4,2 8 DB
AF 3 3 • Le triangle DAC est rectangle en C.
De =  , on déduit AF = 4,2 ×  .
4,2 8 8 D’après le théorème de Pythagore :
Donc AF = 1,575 cm. CA2 + CD2 = AD2
CA2 + 802 = 1002
CA2 + 6 400 = 10 000
Dossier Brevet CA2 = 10 000 – 6 400 = 3 600
72 1. b. Les droites (EM) et (FN) sont sécantes en A et les CA = 73 600
droites (FE) et (MN) sont parallèles. Donc CA = 60 cm.
Donc d’après le théorème de Thalès : • 5 × 2 cm + 4 × 60 cm = 250 cm.
AE AF EF 2 AF 4 La hauteur totale du meuble est 250 cm soit 2,5 m.
= = c’est-à-dire = =  .
AM AN MN 5 AN MN 75 a. Les droites (AB) et (DE) sont sécantes en C et les
2 4 droites (BD) et (AE) sont parallèles.
De = on déduit que 2 × MN = 4 × 5.
5 MN Donc, d’après le théorème de Thalès :
4×5 CD CB DB CD CB 1,1
MN = donc MN = 10 cm. = = c’est-à-dire = =  .
2 CE CA EA 6 CA 1,5
2. a. La partie visible représente 10 % de la hauteur totale
CD 1,1 1,1
de l’iceberg. De =  , on déduit CD = 6 ×  .
6 1,5 1,5
On note x la hauteur totale, en m, de l’iceberg. La hauteur Donc CD = 4,40 m.
de la partie visible est 0,1x.
35 b. D [ [EC] donc ED = EC – DC = 6 m – 4,4 m = 1,6 m.
0,1x = 35 donc x = = 350. Donc ED = 1,60 m.
0,1
La hauteur totale est 350 m. c. De la question b., on déduit qu’une personne mesurant
73 a. Le triangle DAC est rectangle en A. 1,10 m (la longueur BD) et située à moins de 1,6 m (la lon-
gueur ED) du camion ne sera pas visible par le conducteur.
D’après le théorème de Pythagore :
Donc le conducteur ne peut pas voir la fillette.
AD2 + AC2 = DC2
1542 + 762 = DC2 76 a. Les droites (BC) et (EF) sont perpendiculaires à la
DC2 = 29 492 même droite (CE) donc les droites (BC) et (EF) sont paral-
DC = 929 492. Donc DC ≈ 172 m. lèles.

 148
b. • Le triangle BCD est rectangle en C. 79 On suppose que les droites (AB) et (CD) sont paral-
D’après le théorème de Pythagore : lèles.
CB2 + CD2 = BD2 Dans ce cas, d’après le théorème de Thalès :
1,52 + 22 = BD2 OA OB AB OA 45 AB
= = soit = =  .
BD2 = 6,25 OD OC DC OD 50 100
BD = 66,25 45 AB 45
De =  , on déduit AB = 100 ×  .
Donc BD = 2,5 km. 50 100 50
Donc AB = 90 cm.
• Les droites (BF) et (CE) sont sécantes en D et les droites
Or, sur la desserte, le plateau [AB] mesure 76 cm.
(BC) et (EF) sont parallèles.
76 ≠ 90 donc les droites (AB) et (CD) ne sont pas parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès :
DB DC BC 2,5 2 1,5 80 • Le triangle DBE est rectangle en B.
= = c’est-à-dire = =  . D’après le théorème de Pythagore :
DF DE FE DF 5 EF
2,5 2 BD2 + BE2 = DE2
De =  , on déduit que 2,5 × 5 = 2 × DF. 3602 + 2702 = DE2
DF 5
2,5 × 5 DE2 = 202 500
DF =  . Donc DF = 6,25 km. DE = 9202 500
2
Donc DE = 450 cm.
• La longueur totale du parcours est AB + BD + DF + FG
c’est-à-dire 2 km + 2,5 km + 6,25 km + 3,5 km soit 14,25 km. • Les droites (DC) et (EA) sont sécantes en B et les droites
(AC) et (DE) sont parallèles.
c. d = v × t c’est-à-dire 2 = 16 × t.
Donc d’après le théorème de Thalès :
2 BA BC AC BA 250 AC
t= = 0,125. = = c’est-à-dire = =  .
16 BE BD ED 360 270 450
Donc t = 0,125 h = 0,125 × 60 min = 7,5 min. 250 AC 250
Michel mettra 7,5 min soit 7 min 30 s pour aller du point • De = on déduit que AC = 450 ×  .
270 450 270
A au point B. 1 250
Donc AC = cm et AC ≈ 417 cm.
77 • On note x la longueur BM en cm. 3
On a alors CF = 6 – x. BA 250 250
• De = on déduit que BA = 360 ×  .
360 270 270
• BCDE est un carré donc les droites (BE) et (CD) sont paral- 1 000
lèles. Donc BA = cm et BA ≈ 333 cm.
3
De plus B appartient à [AC] et M à [AF] donc d’après le AE = BE – BA donc AE ≈ 360 cm – 333 cm.
théorème de Thalès : Donc AE ≈ 27 cm.
AB AM BM 3 AM x
= = c’est-à-dire = = soit encore Conclusion : AC ≈ 417 cm et AE ≈ 27 cm.
AC AF CF 9 AF 6 – x
1 AM x 81 • Les droites (CK) et (JH) sont perpendiculaires à la
= =  .
3 AF 6 – x même droite (BA) donc les droites (CK) et (JH) sont paral-
1 x lèles.
De = on déduit 1 × (6 – x) = 3x.
3 6–x • Les droites (CJ) et (KH) sont sécantes en B et les droites
6 – x = 3x (CK) et (JH) sont parallèles.
6 – x + x = 3x + x Donc d’après le théorème de Thalès :
6 = 4x BJ BH JH BJ BH 1,8
= = c’est-à-dire = =  .
6 4x BC BK CK BC 5 2,9
=
4 4 BH 1,8 1,8
De = on déduit que BH = 5 ×  .
x = 1,5. 5 2,9 2,9
Donc BM = 1,5 cm et CF = 6 cm – 1,5 cm = 4,5 cm. Donc BH ≈ 3,1 m.
Ainsi, pour avoir BM = FD, on doit placer le point F sur [CD] • 5 + 5 – 2 × 3,1 = 3,8
de façon que CF = 4,5 cm. La surface habitable est un rectangle de dimensions 8 m
78 a. Calculer RA. et environ 3,8 m.
RA = OR – OA = 6,84 cm – 3,8 cm = 3,04 cm • 8 × 3,8 ≈ 30,4
Donc l’aire de la surface habitable est environ 30,4 m2.
b. Calculer OK.
Les droites (OA) et (KS) sont sécantes en R et les droites • 30,4 × 20 € = 608.
(AS) et (OK) sont parallèles. Au maximum Madame Duchemin peut louer ce studio
RA AS environ 608 €. Elle ne pourra donc pas le louer 700 €.
Donc, d’après le théorème de Thalès, =  .
RO OK
5 × 6,84
D’où OK = = 11,25
3,04
c. Calculer le périmètre du triangle RKO.
PérimètreRKO = KR + OR + OK = 7,2 cm + 6,84 cm + 11,25 cm
= 25,29 cm.

Chapitre 12 – Prolonger le théorème de Thalès  149 


82 AB AD BD AB 2,7 1,80
= = c’est-à-dire = =  .
C AC AE CE AC 9 CE
2,7 1,80
De =  , on déduit 2,7 × CE = 9 × 1,80.
9 CE
9 × 1,80
Donc CE = = 6.
2,7
Le cocotier mesure environ 6 m.
B • Deuxième méthode
AD 3
Nouria On lit sur le document 2 que =  .
AE 10
Les droites (BC) et (DE) sont sécantes en A et les droites
E D A (BD) et (CE) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès :
On suppose que l’arbre et Nouria sont tous les deux per-
AB AD BD AB 3 1,80
pendiculaires au sol, donc la droite (BD) est parallèle à la = = c’est-à-dire = =  .
AC AE CE AC 10 CE
droite (CE).
3 1,80
• Première méthode De = on déduit 3 × CE = 10 × 1,80.
10 CE
D’après le document 1, Nouria fait 111 pas sur 100 mètres
10 × 1,80
100 Donc CE = = 6.
et ≈ 0,9 m. 3
11 Le cocotier mesure 6 m.
Donc un pas de Nouria mesure environ 0,9 m.
Les droites (BC) et (DE) sont sécantes en A et les droites
(BD) et (CE) sont parallèles.
Donc, d’après le Théorème de Thalès :

 150
13 Utiliser les
triangles semblables

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le début du cycle 4 ● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 2  :


« Triangles semblables : angles ».
Au cycle 4, les élèves ont étudié :
● la caractérisation angulaire du parallélisme ; J’applique le cours
● la somme des angles d’un triangle ; Exercice résolu 1
● l’inégalité triangulaire ; L’objectif de la question a. est de démontrer que des
● les cas d’égalité des triangles ; triangles sont semblables en montrant que les longueurs
● le théorème de Pythagore, qui a été introduit en classe
des côtés sont deux à deux proportionnelles.
de 4e ; À la question b., on indique les sommets et les côtés
● Le théorème de Thalès qui a été introduit en classe de 4
e homologues. Il nous a paru important de mettre en évi-
avec les configurations triangles emboîtés. dence cette étape qui est très souvent cause d’erreurs.
Exercice résolu 2
L’objectif de la question a., est de démontrer que deux
2 Je découvre triangles sont semblables en utilisant le fait que ces deux
Activité 1 triangles ont deux angles deux à deux de même mesure.
Cette activité a deux objectifs. À la question b., on détermine le rapport k de réduction
● Introduire, à la question 1, à l’aide d’un exemple numé-
qui permet de passer d’un triangle à l’autre.
rique, la définition des triangles semblables à savoir « des Ce travail n’est possible que si les paires de côtés homolo-
triangles semblables sont des triangles qui ont les lon- gues ont été clairement identifiées auparavant.
gueurs de leurs côtés deux à deux proportionnelles ».
● Démontrer, à la question 2, la propriété : « deux triangles 4 Compléments
qui ont les longueurs de leurs côtés deux à deux propor- Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
tionnelles ont leurs angles deux à deux de même mesure ».
● L’exercice 54 propose de corriger puis de compléter un
Cette démonstration s’appuie sur la réciproque du théo-
script qui permet dans un premier temps de tracer un
rème de Thalès, le théorème de Thalès et les cas d’égalité
triangle semblable à un triangle rectangle donné.
des triangles.
● L’exercice 55 propose de terminer un triangle DEH sem-
Activité 2 blable à un triangle ABC donné, à partir d’un segment [DE].
L’objectif de cette activité est de démontrer, avec un La méthode proposée est uniquement géométrique et
exemple générique, la propriété « deux triangles qui ont repose sur la proportionnalité des longueurs des côtés.
deux angles deux à deux de même mesure ont les lon- Le logiciel permet de déplacer les points A, B, C, D et E
gueurs de leurs côtés deux à deux proportionnelles ». pour vérifier que la construction est valide dans tous les
Cette démonstration riche, qui met en jeu les cas d’égalité cas de figure.
des triangles, la caractérisation angulaire du parallélisme La justification demandée en seconde partie d’exercice
et le théorème de Thalès, est accessible à tous les élèves. est accessible à tous les élèves et s’appuie sur les triangles
égaux, le théorème de Thalès ainsi que la proportionnalité
3 Cours - J’applique le cours des longueurs des côtés homologues.
Un prolongement à cette activité peut consister à deman-
Cours der aux élèves de proposer une autre méthode de
● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe 1  : construction du point H (avec les angles par exemple).
« Triangles semblables : longueurs » puis faire noter que
deux triangles qui forment une configuration de Thalès
sont semblables.

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  151 


CORRIGÉS

Bien démarrer 2 a. • DE = AE’, hFDE = kF’AE’ et hFED = kAE’F’


Les triangles DEF et AE’F’ ont un côté de même longueur
1. a et b ; 2. a et c ; 3. a et c ; 4. b et c.
et des angles adjacents à ce côté deux à deux de même
mesure.
Je découvre
D’après le 1er cas d’égalité des triangles, les triangles DEF
et AE’F’ sont égaux.
Activité 1
• Dans les triangles égaux DEF et AE’F’, les côtés [EF] et
1 NL = 1,2 = 0,6 ; MN = 1,8 = 0,6 et ML = 2,7 = 0,6. [E’F’] sont homologues donc EF = E’F’.
JI 2 KJ 3 KI 4,5
De même FD = AF’.
NL MN ML
= = donc les triangles IJK et LMN ont les lon- b. • Les droites (BC) et (E’F’) coupées par la sécante  (AB)
JI KJ KI
gueurs de leurs côtés deux à deux proportionnelles. forment des angles correspondants jCBA et jF’E’A de même
2 a. Les points K, A, I et K, B, J sont alignés dans le même mesure.
ordre. Or, si deux droites coupées par une sécante forment deux
KA ML KB MN angles correspondants de même mesure, alors ces droites
= = 0,6 et = = 0,6 sont parallèles.
KI KI KJ KJ
KA KB Donc (E’F’) et (BC) sont parallèles.
Donc =  .
KI KJ • Les droites (CF’) et (BE’) sont sécantes en A et les droites
Donc d’après la réciproque du théorème de Thalès les (E’F’) et (BC) sont parallèles.
droites (AB) et (IJ) sont parallèles. Donc d’après le théorème de Thalès :
b. Les droites (JB) et (IA) sont sécantes en K et les droites AE’ AF’ E’F’
= =  .
(AB) et (IJ) sont parallèles. AB AC BC
Donc d’après le théorème de Thalès : c. On a vu à la question a. que AE’ = DE , AF’ = FD et E’F’ = EF
KA KB AB 2,7 1,8 AB et en remplaçant AE’, AF’ et E’F’ respectivement par DE, FD
= = soit = =  .
KI KJ IJ 4,5 3 2 et EF l’égalité précédente devient :
1,8 AB DE DF EF
De = on déduit 3 × AB = 2 × 1,8. = =  .
3 2 AB AC BC
2 × 1,8
AB =  . Donc AB = 1,2 cm. Les triangles ABC et DEF ont les longueurs de leurs côtés
3
deux à deux proportionnelles donc ils sont semblables.
c. • KA = ML, KB = MN et AB = NL
Donc, d’après le 3e cas d’égalité des triangles, les triangles
KAB et MNL sont égaux.
• Le triangle KAB est une réduction du triangle KIJ dans le J’applique le cours
rapport 0,6 donc :
gIKJ = jAKB, gKJI = hKBA et gJIK = jBAK. 2 a. On range les longueurs des côtés par ordre crois-
sant :
Les triangles KAB et MNL sont égaux donc : 25 cm , 39 cm , 40 cm et 40 cm , 62,4 cm , 64 cm.
kLMN = jAKB, kLNM = jKBA et kMLN = jBAK. JK 25 IJ 39 KI 40
= = 0,625 ; = = 0,625 et = = 0,625.
Finalement : MN 40 LN 62,4 ML 64
kLMN = jAKB = gIKJ, kLNM = jKBA = gKJI et kMLN = jBAK = gJIK. Les longueurs des côtés des triangles IJK et LMN sont
Donc les triangles MNL et KIJ ont leurs angles deux à deux deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont
de même mesure. semblables.
b. On peut construire ce tableau.
Activité 2 Côtés homologues Sommets homologues
1 La somme des mesures des angles du triangle ABC [JK] et [MN] J et N
est égale à 180° donc : [IJ] et [LN] K et M
jACB = 180° – (jABC + jBAC) [KI] et [ML] I et L

c’est-à-dire jACB = 180° – (40° + 25°).


3 a. On range les longueurs des côtés par ordre crois-
Donc jACB = 115°. sant : 10 cm , 25 cm , 30 cm et 12 cm , 30 cm , 36 cm.
En se plaçant dans le triangle DEF on obtient de même. AC 12 AB 30 BC 36
Donc jDFE = 180° – (jDEF + jFDE) c’est-à-dire = = 1,2 ; = = 1,2 et = = 1,2.
AD 10 BD 25 AB 30
jDFE = 180° – (40° + 25°). Les longueurs des côtés des triangles ABC et ABD sont
Donc jDFE = 115°. deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont
Finalement jACB = jDFE = 115°. semblables.

 152
b. On peut construire ce tableau. c. On range les longueurs des côtés de chacun des deux
Côtés homologues Sommets homologues triangles dans l’ordre croissant.
[AC] et [AD] A et D Pour le triangle ABC : AB , BC , AC.
[AB] et [BD] B et B Pour le triangle DEF : DF , EF , DE.
[BC] et [AB] C et A DF 2,6 EF 3,9 DE 5,2
= = 0,65 ; = = 0,65 et = = 0,65.
AB 4 BC 6 AC 8
5 a. Dans le triangle RST : Les longueurs des côtés des triangles ABC et DEF sont
hRTS = 180° – (100° + 25°) = 55°. deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont
hRTS = kUWV et hSRT = kUVW. semblables.
Donc les triangles RST et UVW sont semblables.
12 1. Les nombres manquants sont 5 et 8 (dans cet
b. Les côtés [RS] et [UV] sont homologues. ordre). En effet, si les triangles ABC et ILS sont semblables
UV 6 AB BC 8 5
Donc k = = = 1,2. on a alors = c’est-à-dire =  .
RS 5 IL LS IL LS
6 • Dans le triangle ABC : Donc 5 × IL = 8 × LS.
jBAC = 180° – (90° + 40°) = 50°. 2. a. Le lutin dit «  Les triangles ABC et ILS sont sem-
jBAC = jDEF et jACB = jEDF. blables ».
Donc les triangles ABC et DEF sont semblables. En effet 5 × 4,8 = 24 et 8 × 3 = 24.
• Les côtés [BC] et [DF] sont homologues. b. Le lutin dit « Les triangles ABC et ILS ne sont pas sem-
blables ».
BC 4 2
Donc k = = =  . En effet 5 × 7 = 35 et 8 × 4 = 32.
DF 6 3
Le rapport de réduction qui permet de passer de DEF à 13 A’B’C’ est un triangle semblable au triangle ABC donc
2 A’B’C’ est un agrandissement ou une réduction de ABC.
ABC est  .
3 a. • Calcul du rapport k d’agrandissement.
10
A’B’ = k × AB soit 10 = k × 4 et k = = 2,5.
4
Je m’entraîne • Calcul des longueurs A’C’ et B’C’.
A’C’ = k × AC donc A’C’ = 2,5 × 5 cm.
Relier triangles semblables Donc A’C’ = 12,5 cm.
et proportionnalité B’C’ = k × BC donc B’C’ = 2,5 × 6 cm.
Donc B’C’ = 15 cm.
7 24 cm = 3 × 8 cm, 18 cm = 3 × 6 cm et 15 cm = 3 × 5 cm. b. • Calcul du rapport k de réduction.
Les longueurs des côtés des triangles PIN et OLE sont 4
A’C’ = k × AC soit 4 = k × 5 et k = = 0,8.
deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont 5
semblables. • Calcul des longueurs A’B’ et B’C’.
A’B’ = k × AB donc A’B’ = 0,8 × 4 cm.
8 Les côtés homologues sont [NE] et |RI], [NZ] et |TI], Donc A’B’ = 3,2 cm.
[EZ] et [TR]. De plus RT = 2 × EZ. B’C’ = k × BC donc B’C’ = 0,8 × 6 cm.
Donc RI = 2 × NE c’est-à-dire RI = 2 × 1,4 cm = 2,8 cm et Donc B’C’ = 4,8 cm.
ZN = TI;2 c’est-à-dire ZN = 1,4 cm;2 = 0,7 cm.
14 Les deux triangles sont semblables et les longueurs
9 Les côtés homologues sont [AB] et |RS], [AC] et |TS], des côtés homologues sont proportionnelles donc :
[BC] et [RT]. De plus RS = 1,2 × AB. FG FH 105
= =
Donc RT = 1,2 × 7 cm = 8,4 cm et TS = 1,2 × 4 cm = 4,8 cm. 3 4,5 6,3
10 On range les longueurs des côtés de chacun des FG 105 105
• De =  , on déduit FG = 3 ×  .
deux triangles dans l’ordre croissant. 3 6,3 6,3
Donc FG = 50 cm.
Pour ABC : 5 cm, 6,5 cm et 8 cm.
FH 105 105
Pour EFG : 1 cm, 1,2 cm et 1,6 cm. • De =  , on déduit FH = 4,5 ×  .
5 4,5 6,3 6,3
= 5 et 5 × 1,2 = 6. Donc FH = 75 cm.
1
5 ≠ 6,5 donc les longueurs des côtés des triangles ABC 15 a. Les côtés homologues sont [AB] et |EB], [AC] et [ED],
et EFG ne sont pas deux à deux proportionnelles. [BC] et [BD].
Les triangles ABC et EFG ne sont pas semblables. b. Les deux triangles sont semblables et les longueurs des
11 b. Jules n’a pas comparé les bons rapports. côtés homologues sont proportionnelles donc :
En effet si les triangles ABC et DEF sont semblables, le côté AB AC BC
= =  .
homologue à [AB] est [DF] et non [DE]. EB ED BD
Pour éviter cette erreur Jules aurait dû dans un premier c. En remplaçant par les valeurs connues, l’égalité précé-
temps ranger les longueurs des côtés de chacun des dente s’écrit :
AB 4 7
triangles dans l’ordre croissant. = =  .
2 ED 2,8

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  153 


AB 7 7 19 On note I et L les longueurs des deux plus grands
• De = on déduit que AB = 2 × = 5.
2 2,8 2,8 côtés du grand circuit.
Donc AB = 5 cm. Les longueurs des côtés homologues des deux triangles
4 7 sont proportionnelles donc :
• De = on déduit que 7 × ED = 4 × 2,8.
ED 2,8 400 I L
4 × 2,8 = =
ED =  . Donc DE = 1,6 cm. 300 360 570
7 400 I 400
• De =  , on déduit I = 360 ×  .
16 a. On peut construire ce tableau. 300 360 300
Donc I = 480 m.
Côtés homologues
400 L 400
[ME] et [CL] • De =  , on déduit L = 570 ×  .
300 570 300
[ER] et [AL]
Donc L = 760 m.
[MR] et [CA]
2 × (400 m + 480 m + 760 m) = 2 × 1 640 m = 3 280 m.
Les triangles MER et LAC sont semblables donc les Donc Ambre parcourt 3 280 m.
longueurs des côtés sont deux à deux proportionnelles.
20 On note x la seconde dimension, en m, de SUR.
D’où les égalités :
• On suppose que les côtés de longueurs 3 m et 5 m sont
ME ER MR 3,5 6,5 MR x 3 3
= = c’est-à-dire = =  . homologues. On a alors  = et x = 4 ×  .
CL AL CA 1,4 AL 1,6 4 5 5
3,5 MR 3,5 Donc x = 2,4 m.
b. • De =  , on déduit MR = 1,6 ×  .
1,4 1,6 1,4 • On suppose que les côtés de longueurs 3 m et 4 m sont
Donc MR = 4 cm. x 3 3
3,5 6,5 homologues. On a alors = et x = 5 ×  .
• De =  , on déduit 3,5 × AL = 6,5 × 1,4. 5 4 4
1,4 AL Donc x = 3,75 m.
6,5 × 1,4
AL =  . Les longueurs des deux autres côtés de SUR sont 3 m et
3,5
2,4 m ou 3,75 m et 3,75 m.
Donc AL = 2,6 cm.
17 a. On suppose que les côtés [DE] et [AB] sont homo-
Relier triangles semblables et angles
logues (et donc que les côtés [DF] et [AC] sont homolo-
gues).
Les triangles DEF et ABC sont semblables donc les lon- 21 a. E  b. [BC]  c. [AB]  d. hURE
gueurs des côtés sont deux à deux proportionnelles. 22 • La somme des mesures des angles d’un triangle est
DE DF EF DE DF 6 égale à 180°.
D’où = = c’est-à-dire = =  .
AB AC BC 4 5 7,5 hACB = 180° – (hABC + hBAC) c’est-à-dire
DE 6 6 hACB = 180° – (30° + 70°).
• De =  , on déduit DE = 4 ×  .
4 7,5 7,5 Donc hACB = 80°.
Donc DE = 3,2 cm.
DF 6 6 • hEDF = hBAC et hDFE = hACB.
• De =  , on déduit DF = 5 ×  . Les triangles ABC et DEF ont deux angles deux à deux de
5 7,5 7,5
Donc DF = 4 cm. même mesure, donc ils sont semblables.
23 • La somme des mesures des angles du triangle ABE
D
est égale à 180° donc :
hAEB = 180° – (hABE + hBAE) c’est-à-dire
3,2 cm 4 cm hAEB = 180° – (47° + 23°).
Donc hAEB = 110°.
• De même dans le triangle ACD :
E 6 cm F jADC = 180° – (jACD + jCAD) c’est-à-dire
jADC = 180° – (111° + 23°).
b. Si on suppose que les côtés [DE] et [AC] sont homolo-
Donc jADC = 46°.
gues (et donc que les côtés [DF] et [AB] sont homologues),
Les angles du triangle AEB mesurent 23°, 47° et 110°.
on obtient DF = 3,2 cm, ED = 4 cm et EF = 6 cm.
Les angles du triangle ACD mesurent 23°, 46° et 111°.
Les triangles construits par les élèves de la classe sont
Les triangles AEB et ACD n’ont pas deux angles deux à
donc égaux.
deux de même mesure donc ils ne sont pas semblables.
18 On note h la hauteur, en m, de la petite voile.
24 • Les angles hKIO et jKLM sont homologues donc
Les longueurs des côtés homologues des triangles sont
proportionnelles donc : hKIO = jKLM = 55°.
h 2,4 2,4 • La somme des mesures des angles du triangle IKO est
= et h = 5,4 ×  . égale à 180° donc :
5,4 3,6 3,6
h = 3,6. hOKI = 180° – (40° + 55°) = 180° – 95° = 85°.
La hauteur de la petite voile est 3,6 m. Donc hOKI = 85°.

 154
25 180° – 36°
jABC = jACB =  . Donc jABC = jACB = 72°.
Angles Sommets Côtés 2
homologues homologues homologues hABC 72°
b. • jDBC = c’est-à-dire : jDBC =  . Donc jDBC = 36°.
jABC et jIOM B et O [AC] et [IM] 2 2
jBAC et jOIM A et I [BC] et [OM] • jBAC = jDBC = 36° et jBCA = jBCD = 72°.
jACB et jIMO C et M [AB] et [IO] Les triangles BCD et ABC ont deux angles de même
mesure, donc ils sont semblables.
26 a. Les angles gKIL et hHIJ sont opposés par le sommet
donc ils ont la même mesure. 31 • Première possibilité : les sommets homologues sont
Donc gKIL = 47°. D et A, E et B, F et C.
b. • La somme des mesures des angles du triangle IHJ est Il existe deux positions (de part et d’autre de [ED]) pour le
égale à 180° donc : point F.
hIJH = 180° – (hHIJ + gIHJ) c’est-à-dire • Seconde possibilité : les sommets homologues sont D et
B, E et A, F et C.
hIJH = 180° – (47° + 75°).
Il existe deux positions (de part et d’autre de [ED]) pour le
Donc gIJH = 58°.
point F.
• hIJH = gIKL et hHIJ = gKIL. Il existe au total quatre positions pour le point F.
Les triangles HIJ et ILK ont deux angles de même mesure,
donc ils sont semblables.
Connaître les triangles semblables
27 • La somme des mesures des angles du triangle BCD
est égale à 180° donc : 32 a. hACB = hEDF.
jBDC = 180° – (jCBD + jBCD) c’est-à-dire
b. On peut construire ce tableau.
jBDC = 180° – (46° + 31°).
Sommets homologues Côtés homologues
Donc jBDC = 103°.
A et E [BC] et [DF]
• jBDC = jBGF et jDBC = jFBG. B et F [AC] et [DE]
Les triangles BCD et BFG ont deux angles de même C et D [AB] et [EF]
mesure, donc ils sont semblables.
AB AC BC
28 a. Le triangle DEF est isocèle en E donc hEDF = hEFD. D’où les égalités : = =  .
EF ED FD
La somme des mesures des angles du triangle DEF est
égale à 180° donc : 33 a. On peut construire ce tableau.
180° – hDEF Sommets homologues Côtés homologues
hEDF = hEFD = c’est-à-dire
2 D et I [UO] et [AM]
180° – 70° O et M [DU] et [AI]
hEDF = hEFD =
2 U et A [OU] et [MI]
Donc hEDF = hEFD = 55°.
Donc kDOU = jIMA et kOUD = jMAI
b. hBAC = hEDF et hBCA = hEFD.
UO DU OD
Les triangles ABC et DEF ont deux angles de même b. = =  .
AM AI MI
mesure, donc ils sont semblables.
• Les côtés [AB] et [DE] sont homologues, le rapport de 34 a. Les sommets homologues sont N et T, Z et R, E et I.
DE 1,4 b. hZNE = hRTI, hNZE = hTRI et jNEZ = hTIR.
réduction est  , soit  .
AB 2
Donc le rapport de réduction est 0,7. 35 Les côtés homologues sont [AB] et [FE], [BC] et [FD],
[AC] et [DE].
29 a. jACH = jACB et jAHC = jCAB donc les triangles ABC et FE 2,8
ACH sont semblables. = = 0,4 donc DEF est une réduction de ABC dans
AB 7
b. jABH = jABC et jBHA = jCAB donc les triangles ABC et ABH le rapport 0,4.
sont semblables. DF = 0,4 × BC c’est-à-dire DF = 0,4 × 3 cm.
c. ABC et ACH sont deux triangles semblables donc Donc DF = 1,2 cm.
ABC et ACH ont leurs angles deux à deux de même mesure. AC = DE;0,4 c’est-à-dire AC = 2 cm;0,4.
De même, ABC et ABH ont leurs angles deux à deux de Donc AC = 5 cm.
même mesure. 36 • 3,9 = 0,6 et 7,2 = 0,6.
Finalement, ACH et ABH ont leurs angles deux à deux de 6,5 12
même mesure : ces deux triangles sont donc semblables. Les longueurs des côtés des triangles sont deux à deux
proportionnelles donc ces triangles sont semblables.
30 a. • Le triangle ABC est isocèle en A donc jABC = jACB.
• Les deux triangles sont semblables donc leurs angles
La somme des mesures des angles du triangle ABC est
homologues sont deux à deux de même mesure.
égale à 180° donc :
L’angle vert et l’angle bleu sont donc de même mesure.
180° – hBAC
jABC = jACB = c’est-à-dire : L’affirmation de Mathys est exacte.
2

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  155 


37 a.  Côtés homologues 41 a. jACB = jBAD et jABC = jABD
[DE] et [GF] donc les triangles ABC et ABD sont semblables.
[DF] et [GD] b. Deux paires de côtés homologues sont [AB] et [BD],
[EF] et [FD] AB BC
[BC] et [AB] donc =  .
b. Les triangles DEF et DFG sont semblables donc les lon- BD AD
AB BD
gueurs des côtés sont deux à deux proportionnelles. D’où De =  , on déduit AB × BA = CB × BD.
les égalités : CB BA
Donc AB2 = BC × BD.
DE DF EF DE 3 EF
= = c’est-à-dire = =  .
GF GD FD 2,4 5 3 42 a. • D [ [BC] donc BC = BD + DC.
DE 3 3 C’est-à-dire BC = 6,4 cm + 1,6 cm. Donc BC = 8 cm.
• De =  , on déduit DE = 2,4 ×  .
2,4 5 5 E [ [BA] donc BA = BE + EA.
Donc DE = 1, 44 cm. C’est-à-dire BA = 4,8 cm + 1,2 cm. Donc BA = 6 cm.
3 EF 3 • Les points B, D, C et B, E, A sont alignés dans le même
• De =  , on déduit EF = 3 ×  .
5 3 5 ordre.
Donc EF = 1,8 cm. BD 6,4 BE 4,8
= = 0,8 et = = 0,8.
38 ABC et MNP sont deux triangles semblables donc ABC BC 8 BA 6
et MNP ont leurs angles deux à deux de même mesure. BD BE
Donc =  .
EFG est un triangle égal au triangle MNP donc EFG et MNP BC BA
ont leurs angles deux à deux de même mesure. Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès, les
Finalement, ABC et EFG ont leurs angles deux à deux de droites (DE) et (AC) sont parallèles.
même mesure : ces deux triangles sont donc semblables. • Les droites (CD) et (AE) sont sécantes en B et les droites
(DE) et (AC) sont parallèles.
39 a. jCDE = jABC et jECD = jACB. Donc, d’après le théorème de Thalès :
Les triangles ABC et CDE ont deux angles de même mesure BD BE DE
donc ils sont semblables. = =  .
BC BA CA
b. On peut construire ce tableau. Les longueurs des côtés des triangles ABC et EBD sont
Sommets homologues Côtés homologues deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont
B et D [AB] et [DE] semblables.
A et E [AC] et [EC] b. En remplaçant les longueurs connues, l’égalité
C et C [BC] et [DC] BD BE DE 6,4 4,8 DE
= = devient = =  .
c. Les longueurs des côtés des triangles ABC et ECD sont BC BA CA 8 6 7
proportionnelles donc : 4,8 DE 4,8
De =  , on déduit DE = 7 ×  .
AB AC BC 6 AC 4 6 7 6
= = soit = =  . Donc DE = 5,6 cm.
DE EC EC DE EC 1,2
6 4 43 a. Les points J, F, H et K, F, G sont alignés dans le même
• De = on en déduit que 4 × DE = 1,2 × 6.
DE 1,2 ordre.
1,2 × 6 FJ 1,2 FK 1,5
DE = = 1,8. = = 0,75 et = = 0,75.
4 FH 1,6 FG 2
Donc DE = 1,8 cm.
FJ FK
Donc =  .
40 a. jEDC = jCAB et jDCE = jBCA. FH FG
Les triangles ABC et CDE ont deux angles deux à deux de Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès, les
même mesure donc ils sont semblables. droites (JK) et (GH) sont parallèles.
b. On peut construire ce tableau. b. • Les droites (JH) et (KG) sont sécantes en F et les droites
Sommets homologues Côtés homologues (JK) et (GH) sont parallèles.
A et D [BC] et [EC] Donc, d’après le théorème de Thalès :
B et E [AC] et [DC] FJ FK JK
= =  .
C et C [AB] et [ED] FH FG HG
c. AC = AE + EC = 5,4 cm + 1,6 cm = 7 cm. • Les longueurs des côtés des triangles FKJ et FGH sont
Les longueurs des côtés homologues des triangles ABC et deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont
CDE sont proportionnelles donc : semblables.
AB AC BC 5 7 BC
= = soit = =  .
DE DC EC ED 2 1,6 Utiliser des triangles semblables
7 BC 7
• De =  , on déduit que BC = 1,6 ×  .
2 1,6 2
44 a. kAMT = jBMS et jMAT = jMBS.
Donc BC = 5,6 cm.
5 7 Les triangles AMT et BMS ont deux angles deux à deux de
• De =  , on déduit que 7 × ED = 5 × 2, même mesure donc ils sont semblables.
ED 2
5×2 b. BM = AB – AM = 94,5 m – 7 m = 87,5 m
c’est-à-dire ED =  . Donc ED ≈ 1,4 cm.
7
 156
• Les sommets homologues sont A et B, M et M, T et S. • Les droites (DB) et (FA) sont sécantes en G et les droites
D’où les égalités : (DF) et (AB) sont parallèles donc, d’après le théorème de
AM AT MT 7 1,84 MT Thalès :
= = soit = =  .
BM BS MS 87,5 BS MS GB GA BA GB GA BA
7 1,84 = = soit = =  ;
De = on déduit 7 × BS = 87,5 × 1,84. GD GF DF GD GF 0,04
87,5 BS GA BA
87,5 × 1,84 Donc =  .
BS = = 23. GF 0,04
7 6 BA 6
La hauteur de l’obélisque est 23 m. c. = et alors BA = 0,04 ×  .
0,048 0,04 0,048
45 a. Le triangle AEB est rectangle en E. Donc BA = 5 m.
Donc d’après le théorème de Pythagore : La hauteur de l’arbre est 5 m.
EA2 + EB2 = AB2
48 a. jCDE = jCFG et jDCE = jGCF.
EA2 + 4,52 = 5,12
Les triangles CDE et CGF ont deux angles deux à deux de
EA2 + 20,25 = 26,01
même mesure donc ils sont semblables.
EA2 = 26,01 – 20,25
EA2 = 5,76. b. Les sommets homologues sont D et F, C et C, E et G.
Donc EA = 65,76 m et EA = 2,4 m. c. Les triangles CDE et CFG sont semblables donc les
La hauteur AE est 2,4 m. longueurs des côtés sont deux à deux proportionnelles.
b. Les triangles AEB et IHF sont semblables donc les D’où les égalités :
longueurs des côtés sont deux à deux proportionnelles. DC DE CE 24 DE 8
= = c’est-à-dire = =  .
D’où les égalités : FC FG CG FC FG 10
HI HF IF HI 3 IF 24 8 24 × 10
= = c’est-à-dire = =  . De = on déduit 8 × FC = 24 × 10 et FC =  .
EA EB AB 2,4 4,5 5,1 FC 10 8
HI 3 3 Donc CF = 30 cm.
• De = on déduit HI = 2,4 ×  .
2,4 4,5 4,5 • EF = CF – CE c’est-à-dire EF = 30 cm – 8 cm.
Donc HI= 1,6 m. Donc EF = 22 cm.
3 IF 3
• De = on déduit IF = 5,1 ×  .
4,5 5,1 4,5
Donc IF = 3,4 m. Je m’évalue à mi-parcours
46 a. Le triangle ACB est isocèle en C donc : 49 b. 50 c. 51 b. 52 a. 53 b.
180° – jABC
jCAB =  .
2
180° – jDFE
Le triangle DEF est isocèle en F donc : jFDE =  . Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
2
180° – jDFE 180° – jACB
Or jACB = jDFE donc jFDE = = = jCAB. 54 1. a. Le côté horizontal mesure 2 côtés de carreau soit
2 2
b. Les triangles ABC et DEF ont deux angles deux à deux 2 × 20 pas c’est-à-dire 40 pas.
de même mesure donc ils sont semblables. Clara a saisi 40 pour A’B’.
jFDE = jCAB et jACB = jDFE. b. 100 × 40;80 = 50.
Les sommets homologues sont F et C, D et A, E et B. Donc le côté vertical mesure 50 pas.
EF FD DE EF DF 14 c. • On note x la longueur en pas de l’hypoténuse du
D’où les égalités : = = soit = =  .
BC CA AB 5 5 8 triangle ainsi tracé.
DF 14 14
De =  , on déduit DF = 5 ×  . On peut appliquer le théorème de Pythagore :
5 8 8
Donc DF = 8,75 cm. x2 = 402 + 502
x2 = 4 100 et x = 74 100.
47 a. Les angles hEGF et jCGA sont opposés par le sommet x ≈ 64.
donc hEGF = jCGA. 40 64
• = 0,5 et = 0,64.
hEGF = jCGA et hFEG = jGCA. 80 100
Les triangles EFG et CGA ont deux angles deux à deux de 0,5 ≠ 0,64 donc ce triangle n’est pas semblable au triangle
même mesure donc ils sont semblables. ABC.
b. • Les sommets homologues sont G et G, E et C, F et A. 2. a. Le triangle ABC est rectangle en A.
GC GA CA D’après le théorème de Pythagore :
D’où les égalités : = =  .
GE GF EF AB2 + AC2 = BC2
48 mm = 0,048 m et 40 mm = 0,04 m donc les égalités 802 + AC2 = 1002
6 GA CA 6 400 + AC2 = 10 000
précédentes s’écrivent : = =  .
0,048 GF EF AC2 = 10 000 – 6 400
GA 6
Donc =  . AC2 = 3 600
GF 0,048
• Les droites (DF) et (AB) sont perpendiculaires à la Donc AC = 60 pas.
même droite (CE) donc les droites (DF) et (AB) sont paral- Dans l’instruction avancer de 100*côté/80 Clara doit rem-
lèles. placer 100 par 60.

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  157 


3. a. AB + BC + CA = 80 pas + 100 pas + 60 pas. DE DB EB DE 60 EB
= = c’est-à-dire = =  .
Donc le périmètre du triangle ABC est 240 pas. AB AC BC 50 48 40
c. Voici la dernière instruction complétée. 60 EB 60
• De = on déduit que EB = 40 ×  .
48 40 48
Donc BE = 50 mm.
DE 60 60
• De = on déduit que DE = 50 ×  .
50 48 48
55 1. a, b, c et d Donc DE = 62,5 mm.

PARCOURS 3

• Les points A, C, F sont alignés de même que les points A,


B, D donc jBAC = jDAF.
De même que jBDE = jADF.
• Les triangles ABC et BED sont semblables donc
jACB = jBDE.
Or jBDE = jADF donc jACB = jADF.
• jBAC = jDAF et jACB = jADF.
Les triangles ABC et ADF ont deux angles deux à deux de
même mesure donc ils sont semblables.
2. a. AB = DF, AC = DG et BC = GF. • Les côtés homologues des triangles ABC et ADF sont [AC]
Les triangles ABC et DFG ont leurs côtés deux à deux de et [AD], [AB] et [AF], [BC] et [DF].
même longueur donc ces deux triangles sont égaux. On peut écrire ces égalités de rapports de longueurs :
b. • Les droites (HG) et (EF) sont sécantes en D et les droites AB AC BC 50 48 40
= = c’est-à-dire = =  .
(GF) et (HE) sont parallèles. AF AD DF AF 110 DF
Donc, d’après le théorème de Thalès : 50 48
De = on déduit 48 × AF = 50 × 110.
DG DF GF AF 110
= =  .
DH DE HE 50 × 110
AF = donc AF ≈ 114,6 cm.
• Les longueurs des côtés des triangles DEH et DFG sont 48
deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont 48 40
De = on déduit 48 × DF = 40 × 110.
semblables. 110 DF
c. • À l’aide des égalités de la question a., l’égalité 40 × 110
DF = donc DF ≈ 91,7 cm.
48
DG DF GF AC AB BC
= = peut s’écrire = =  .
DH DE HE DH DE HE 57
• Les longueurs des côtés des triangles DEH et ABC sont PARCOURS 1
deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont Dans les triangles BDE et ABC, qui ont l’angle jABC en com-
semblables.
mun, jBDE = jBCA. Donc ces triangles sont semblables.
BD BE DE
Ainsi, = =  .
BC BA AC
Parcours différenciés b. En remplaçant par les longueurs connues on obtient :
56 13,6 BE DE
= =  .
PARCOURS 1 34 20 18
13,6 BE 13,6
a. Les triangles ABC et BDE sont semblables • De = on déduit BE = 20 ×  .
34 20 34
BD BE DE
donc = =  . Donc BE = 8 cm.
AB AC BC
13,6 DE 13,6
b.
BD 60
= = 1,2. • De = on déduit DE = 18 ×  .
AB 50 34 18 34
BD BE BE Donc DE = 7,2 cm.
c. • De = on déduit = 1,2.
AB AC 48 PARCOURS 2
BE = 1,2 × 48. Donc BE = 57,6 mm.
BD DE DE a. Dans les triangles CFG et ABC, qui ont l’angle jBCA en
• De = on déduit = 1,2.
AB BC 40 commun, jGFC = jCBA. Donc ces triangles sont semblables.
DE = 1,2 × 40. Donc DE = 48 mm. b. Les côtés homologues sont [CF] et [CB], [CG] et [CA],
PARCOURS 2
[GF] et [AB] et on peut écrire ces égalités de rapports de
longueurs :
Les côtés homologues sont [AB] et [DE], [AC] et [DB], [BC]
CF CG FG 15,3 CG FG
et [EB]. On peut écrire ces rapports égaux : = = c’est-à-dire = =  .
CB CA BA 34 18 20
 158
15,3 CG 15,3 • (JM) // (AN) et (JN) // (MA).
• De = on déduit CG = 18 ×  .
34 18 34 Le quadrilatère MANJ a ses côtés opposés deux à deux
Donc CG = 8,1 cm. parallèles donc MANJ est un parallélogramme.
15,3 FG 15,3 Les angles opposés d’un parallélogramme ont même
• De = on déduit FG = 20 ×  .
34 20 34 mesure donc jMJN = kMAN soit aussi gLJK = kMAN.
Donc FG = 9 cm. • kMAN et jCAB sont opposés par le sommet donc
PARCOURS 3 kMAN = jCAB.
• Dans les triangles BDE et ABC, qui ont l’angle jABC en • hLJK = kMAN et kMAN = jCAB donc hLJK = jCAB.
commun, jBDE = jBCA. Donc ces triangles sont semblables. On peut montrer de même que gJKL = jABC.
BD BE DE Les triangles ABC et JKL ont deux angles deux à deux de
Ainsi, = = . même mesure donc ils sont semblables.
BC BA AC
En remplaçant par les longueurs connues on obtient : 59 a. • Le triangle ACD est rectangle en A.
13,6 BE DE D’après le théorème de Pythagore :
= =  .
34 20 18 AC2 + AD2 = CD2
13,6 BE 13,6 AC2 + 62 = 7,52
De = on déduit BE = 20 ×  .
34 20 34 AC2 + 36 = 56,25
Donc BE = 8 cm. AC2 = 56,25 – 36
13,6 DE 13,6 AC2 = 20,25
De = on déduit DE = 18 ×  .
34 18 34 AC = 820,25
Donc DE = 7,2 cm. Donc AC = 4,5 cm.
• Dans les triangles CFG et ABC, qui ont l’angle jBCA en • Le triangle DBE est rectangle en B.
commun, jGFC = jCBA. Donc ces triangles sont semblables. D’après le théorème de Pythagore :
CF CG FG BD2 + BE2 = DE2
Ainsi, = = .
CB CA BA 3,62 + 4,82 = DE2
En remplaçant par les longueurs connues on obtient : 12,96 + 23,04 = DE2
15,3 CG FG DE2 = 36
= =  .
34 18 20 Donc DE = 6 cm.
15,3 CG 15,3
De = on déduit CG = 18 ×  . b. On range les longueurs des côtés de chacun des
34 18 34
Donc CG = 8,1 cm. triangles dans l’ordre croissant :
4,5 cm , 6 cm , 7,5 cm
15,3 FG 15,3
De = on déduit FG = 20 ×  . 3,6 cm , 4,8 cm , 6 cm.
34 20 34
Donc FG = 9 cm. 4,5 6 7,5
= 1,25 ; = 1,25 ; = 1,25.
3,6 4,8 6
• L = BE + DE + BD + FG + GC + CF c’est-à-dire :
AC AB CB
L = 8 cm + 7,2 cm + 13,6 cm + 9 cm + 8,1 cm + 15,3 cm = = donc les triangles ADC et DBE sont sem-
BD BE DE
L = 61,2 cm. blables.
Donc la longueur totale du ruban adhésif est 61,2 cm.
2. a. • Le triangle ADC est rectangle en A donc
jACD = 90° – jADC c’est-à-dire jACD = 90° – x.
• Les angles homologues des triangles ACD et DBE sont
J’utilise mes compétences
jCAD et hEBD, jADC et hDEB, jACD et hBDE donc hBDE = jACD.
58 • Les droites (LJ) et (AC) sont perpendiculaires à une Donc hBDE = 90° – x.
même droite donc les droites (LJ) et (AC) sont parallèles.
• hCDE = 180° – (jADC + hBDE) c’est-à-dire :
De même, les droites (AB) et (JK) sont parallèles ainsi que
les droites (CB) et (LK). hCDE = 180° – (x + 90° – x).
hCDE = 180° – 90° donc hCDE = 90°.
• On note M le point d’intersection des droites (AB) et (JL)
et N le point d’intersection des droites (AC) et (JK). hCDE = 90° donc le triangle CDE est rectangle en D.
Échelle 1/2 L b. Les côtés de l’angle droit du triangle ACD mesurent
4,5 cm et 6 cm et ceux du triangle CDE mesurent 6 cm et
C 7,5 cm.
AC 4,5 AD 6
= = 0,75 et = = 0,8.
BD 6 DE 7,5
m
1c

AC AD
≠ donc les triangles ACD et CDE ne sont pas sem-
BD DE
1c

7 cm 6 cm
m

blables.
M 8 cm B 60 1. DE = 1,8 = 0,6 et DF = 2,1 = 0,6
A 1 cm AB 3 AC 3,5
DE DF
J N K Donc =  .
AB AC

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  159 


2. a. jE’AF’ = jEDF, AE’ = DE et AF’ = DF. 62 a. et b. À l’aide du quadrillage, on construit le point C’
Les triangles AE’F’ et DEF ont un angle de même mesure tel que kB’A’C’ = hBAC et kA’B’C’ = jABC.
compris entre des côtés deux à deux de même longueur,
donc les triangles AE’F’ et DEF sont égaux. B’
b. Les points A, E’, B et A, F’, C sont alignés dans le même
ordre. C
AF’ DF AF’ DF
= = 0,6  et  = = 0,6.
AC AC AC AC
AE’ AF’ C’
Donc =  .
AB AC
Donc, d’après la réciproque du théorème de Thalès, les
droites (E’F’) et (BC) sont parallèles. A B A’
c. • Les droites (BE’) et (CF’) sont sécantes en A et les droites
(E’F’) et (BC) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès : Les triangles ABC et A’B’C’ ont deux angles de même
AE’ AF’ E’F’ mesure, donc ils sont semblables.
= =
AB AC BC 63 • On note x la longueur AC en cm.
• Les triangles AE’F’ et DEF sont égaux, donc les côtés La longueur CD, en cm, est alors 100 – x.
homologues sont de même longueur donc : • jACR = jDCB et jCAR = jCDB.
AE’ = DE, AF’ = DF et E’F’ = EF. Les triangles ACR et BCD ont deux angles deux à deux de
• En remplaçant AE’, AF’ et E’F’ dans l’égalité même mesure donc ils sont semblables.
AE’ AF’ E’F’ DE DF EF • Les sommets homologues sont A et D, R et B, C et C.
= = on obtient = =  .
AB AC BC AB AC BC D’où les égalités :
• Les longueurs des côtés des triangles ABC et DEF sont AR AC RC 30 x RC
= =  soit  = =  .
deux à deux proportionnelles donc ces triangles sont DB CD BC 50 100 – x BC
semblables. 30 x
De =  , on déduit que 30(100 – x) = 50x.
61 1. a. Le triangle ABC est isocèle en A donc : 50 100 – x
3 000 – 30x = 50x
jABC = jACB = 70°. 3 000 – 30x + 30x = 50x + 30x
Le somme des angles du triangle ABC est égale à 180° 3 000 = 80x
donc jBAC = 180° – 2 × 70°. 3 000
Donc jBAC = 40°. x=
80
b. (1) : 140 (en effet 180° – 40° = 140°). x = 37,5.
(2) : (en effet A’C’ = A’B’). Donc le point C doit être à 37,5 cm de A.
(3) : 0 et 0. 64 • Le triangle MFS est rectangle en F avec FS = 32 km
100 et MS = 40 km.
2. b. = 12,5.
8 D’après le théorème de Pythagore :
Donc le rapport d’agrandissement est 12,5. FM2 + FS2 = MS2
3. a. Voici le script complété. FM2 + 322 = 402
FM2 + 1 024 = 1 600
b. Les angles de chacun des
FM2 = 1 600 – 1 024
cinq triangles tracés ont
FM2 = 576
pour mesures 70°, 70° et
Donc FM = 5576 cm c’est-à-dire FM = 24 km.
40°.
Ces triangles ont des angles • Le triangle FMS est rectangle en F donc :
deux à deux de même jFMS = 90° – jFSM.
mesure donc ils sont sem- • Le triangle CMS est rectangle en M donc :
blables.
jMCS = 90° – jCSM = 90° – jFSM.
c. On passe d’un triangle jFMS = jMCS et jSFM = jCFM.
au triangle suivant en mul- Les triangles FMS et FCM ont deux angles deux à deux de
tipliant les longueurs des même mesure donc ils sont semblables.
côtés par 1,5. Les sommets homologues sont M et C, F et F, S et M.
La longueur A’B’ du cin- MF MS FS 24 40 32
quième triangle est donc D’où les égalités : = = soit = =  .
CF CM FM CF CM 24
1,54 × 20 pas c’est-à-dire 40 32
101,25. De = on déduit que 32 × CM = 40 × 24.
CM 24
Remarque. La valeur de A’B’ 24
affichée par le logiciel est CM = 40 ×  .
32
alors 151,875 (1,55 × 20 = 151,875). Donc CM = 30 km et Myriam est à 30 km du Carbet.

 160
65 Calcul de la longueur DE. • Le triangle ABC est rectangle en B.
• On note x la mesure en degré de l’angle jBAC. D’après le théorème de Pythagore :
• ABC est un triangle isocèle en C donc : BA2 + BC2 = AC2
152 + 202 = AC2
jABC = jBAC = x et jACB = 180° – 2x.
225 + 400 = AC2
• Les triangles ABC et BCD sont égaux. AC2 = 625
Donc jCBD = jCDB = x et jBCD = 180° – 2x. AC = 5625  Donc AC = 25 cm.
• B appartient au segment [AE] donc jABE = 180° AC
• O est le milieu de [AC] donc OC = c’est-à-dire
2
et jEBD = 180° – (jABC + jCBD) soit jEBD = 180° – 2x. 25
OC =  . Donc OC = 12,5 cm.
BED est un triangle isocèle en B donc : 2
180° – hEBD 180° – (180° – 2x) 2x • jABC = kMOC = 90° et jACB = kOCM.
jBED = jBDE = = = = x. Les triangles ABC et OMC ont deux angles de même
2 2 2
• jEBD = jBCD et jBED = jCBD. mesure donc ils sont semblables.
Les triangles BED et BCD ont deux angles deux à deux de Les côtés homologues sont [BC] et [OC], [AB] et [MO],
même mesure donc ils sont semblables. [AC] et [MC].
Les sommets homologues sont, par exemple, B et C, E et B, On peut écrire ces rapports égaux :
D et D. OC MO MC 12,5 MO MC
= = c’est-à-dire = =  .
BE BC DE BE 3 DE BC AB AC 20 15 25
D’où les égalités : = = soit = =  .
CB CD BD 5 5 3 12,5 MO 12,5
3 DE 3 De = on déduit MO = 15 ×  .
De =  , on déduit que DE = 3 ×  . Donc DE = 1,8 cm. 20 15 20
5 3 5 Donc MO = 9,375 cm.
Calcul de la longueur DF. • O est le milieu de [MN] donc MN = 2 × MO c’est-à-dire
On note y la longueur DF, la longueur CD est alors y + 5. MN = 2 × 9,375 cm.
• hFBC = jEBD + jDBC. Donc hFBC =180° – 2x + x = 180° – x. Donc MN = 18,75 cm.
• E appartient au segment [BF] donc hFEB = 180° La longueur MN du pli est 18,75 cm.
et hFED = 180° – hBED. Donc hFED = 180° – x. 67 • Les angles jCAB et jGAF sont opposés par le sommet
• hFED = hFBC et jDFE = jCFB. donc ils ont la même mesure.
Les triangles FED et FBC ont deux angles deux à deux de • jCAB = jGAF et jABC = jGFA.
même mesure donc ils sont semblables. Les triangles ABC et AFG ont deux angles deux à deux de
Les sommets homologues sont E et B, D et C, F et F. même mesure donc ils sont semblables.
FE DF ED FE y 1,8 Les sommets homologues sont, par exemple, A et A, B et F,
D’où les égalités : = = soit = =  .
FB CF BC FB y + 5 5 C et G.
y 1,8 AB AC BC 18 AC 27
De =  , on déduit que 5y = 1,8(y + 5). D’où les égalités : = = soit = =  .
y+5 5 AF AG FG AC 8 FG
5y = 1,8y + 9 (on utilise le fait que AF = AC).
5y – 1,8y = 1,8y – 1,8y + 9 18 AC
3,2y = 9 • De =  , on déduit AC × AC = 18 × 8.
AC 8
9 AC = 144 donc AC = 6144 cm soit AC = 12 cm.
2
y=
3,2 AC 27 12 27
y = 2,812 5 • L’égalité = devient alors =  .
8 FG 8 FG
Donc DF = 2,812 5 cm.
8 × 27
12 × FG = 8 × 27 et FG =  .
66 Les points A et C se superposent par pliage le long de 12
la droite (MN) donc (MN) est la médiatrice du segment [AC]. Donc FG = 18 cm.
On note B et D les deux autres sommets du rectangle et O
le point d’intersection des droites (MN) et (AC). Dossier Brevet
• O le milieu de [AC] (car (MN) est la médiatrice de [AC]) ;
• O le milieu de [MN] (car les points M et N sont symétri- 68 1. c. En effet, un agrandissement ou une réduction
ques par rapport à O). conserve les mesures des angles.
On peut alors 2. a. En effet :
compléter la f (3) = 32 – 2 × 3 + 7 = 9 – 6 + 7 = 3 + 7 = 10.
figure ainsi.
3. a. En effet, les côtés homologues sont [EG] et [ON], [EF]
et [NM], [FG] et [MO].
On peut écrire ces rapports égaux :
EG EF FG 6 7,5 5
= = c’est-à-dire = =  .
ON NM MO 7,2 NM MO
6 5
De = on déduit 6 × MO = 5 × 7,2.
7,2 MO
5 × 7,2
MO =  . Donc MO = 6 cm.
6

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  161 


69 a. Le triangle BCD est rectangle en B. b. Les triangles MAT et SAH ont l’angle jMAT en commun et
D’après le théorème de Pythagore : jASH = jAMT donc ces triangles sont semblables.
BD2 + BC2 = DC2 c. Les côtés homologues sont [AS] et [AM], [SH] et [MT],
BD2 + 7,52 = 8,52 [AH] et [AT].
BD2 + 56,25 = 72,25
d. Les longueurs des côtés homologues sont deux à deux
BD2 = 72,25 – 56,25 proportionnelles donc :
BD2 = 16
AS SH AH 14,4 SH AH
Donc BD = 4 cm. = = c’est-à-dire = =  .
AM MT AT 24 7 25
3,2 6 6,8 14,4 AH 14,4
b. = 0,8 ; = 0,8 ; = 0,8. De = on déduit AH = 25 ×  .
4 7,5 8,5 24 25 24
FE FB EB Donc AH = 15 cm.
= = donc les triangles BCD et BFE sont sem-
BD BC CD 14,4 SH 14,4
blables. De = on déduit SH = 7 ×  .
24 7 24
c. Les angles hBFE et jCBD sont homologues donc Donc SH = 4,2 cm.
hBFE = jCBD = 90°.
72 a. 157,5 = 1,25 ; 130 = 1,25 et 62,5 = 1,25
Sophie a raison. 126 104 50
d. Le triangle BCD est rectangle en B. A’B’ A’C’ B’C’
= = donc les triangles ABC et A’B’C’ sont sem-
CB 7,5 AB AC BC
cos jBCD = c’est-à-dire cos jBCD =  . blables.
CD 8,5
Avec la calculatrice on obtient jBCD ≈ 28°. b. Le triangle A’B’C’ est un agrandissement du triangle ABC
jACD = jACB + jBCD donc jACD ≈ 28° + 61°. de rapport k = 1,25.
Dans un agrandissement de rapport k les aires sont multi-
jACD ≈ 89° donc Max n’a pas raison.
pliées par k2 donc :
70 a. Le triangle ABC est rectangle en A. Aire de A’B’C’ = 1,25² × 2 520 m2.
AB 3,2 Donc l’aire de A’B’C’ est 3 937,5 m².
cos jABC = c’est-à-dire cos jABC =  .
BC 6,4 • Aire des allées = Aire de A’B’C’ – Aire de ABC c’est-à-dire :
Avec la calculatrice on obtient jABC = 60°. Aire des allées = 3 937,5 m2 – 2 520 m2.
b. Dans le triangle ABC rectangle en A Donc l’aire des allées est 1 417,5 m2.
jACB = 180° – 90° – 60° = 30°. 73 a. jABC = jBCD et jACB = jBDC.
jACB = jCDE et jBAC = jCED. Les triangles ABC et BCD ont deux angles deux à deux de
Les triangles ABC et CDE ont deux angles de même mesure même mesure donc ils sont semblables.
donc ils sont semblables. b. • Les sommets homologues sont A et B, B et C, C et D.
c. Les côtés homologues sont [AB] et [CE], [AC] et [DE], [BC] AB AC BC 40 26 50
D’où les égalités : = = soit = =  .
et [CD]. BC BD CD 50 BD CD
40 26
d. Les longueurs des côtés homologues sont deux à deux De =  , on déduit 40 × BD = 26 × 50.
50 BD
proportionnelles donc :
26 × 50
CE DE CD 2 DE CD BD = , donc BD = 32,5 m.
= = c’est-à-dire = =  . 40
AB AC BC 3,2 AC 6,4 40 50
2 CD 2 De =  , on déduit 40 × CD = 50 × 50.
De = on déduit CD = 6,4 ×  . 50 BD
3,2 6,4 3,2 50 × 50
Donc CD = 4 cm. CD =  , donc CD = 62,5 m.
40
e. F [ [CD] donc CF = CD – FD c’est-à-dire : • BD + CD = 32,5 m + 62,5 m = 95 m
CF = 4 cm – 1,5 cm. Donc Sarah doit encore clôturer 95 m.
Donc CF = 2,5 cm. AC + CB + BA = 26 m + 50 m + 40 m = 116 m
2. Dans le triangle CED rectangle en E, Donc 116 m de clôture coûtent 406 €.
jDCE = 180° – 90° – 30° = 60°. 406
= 3,50 €, donc 1 m de clôture coûte 3,50 €.
Les points A, C et E sont alignés donc : 116
95 × 3,50 € = 332,50 €
jHCF = 180° – jACB – jDCE c’est-à-dire :
Le coût pour terminer de clôturer la parcelle 2 sera
jHCF = 180° – 30° – 60°. 332,50 €.
Donc jHCF = 90°.
Le triangle HCF est rectangle en C. 74 a. I est le milieu de [AC] donc :
AC 28 mm
71 a. • [AT] est le plus long côté du triangle MAT AI = c’est-à-dire AI =  .
2 2
et AT2 = 252 = 625. Donc AI = 14 mm.
• MA2 + MT2 = 242 + 72 = 576 + 49 = 625 • jDAI = jDAC et hAID = jABC.
MA2 + MT2 = AT2 donc d’après la réciproque du théorème Les triangles DAI et ABC ont deux angles deux à deux de
de Pythagore le triangle MAT est rectangle en M. même mesure donc ils sont semblables.

 162
b. Les sommets homologues sont I et B, A et A, D et C. 3 BG 3
• De = on déduit BG = 6 ×  .
D’où les égalités : 10 6 10
IA ID AD 14 ID AD Donc BG = 1,8 cm.
= = soit = =  .
BA BC AC 42 36 28
77 On calcule la mesure de l’angle jACB :
14 ID 14
c. De =  , on déduit ID = 36 ×  . jACB = 180° – (30° + 60°) = 90°.
42 36 42
Donc ID = 12 mm. Donc ABC est un triangle rectangle en C.
14 AD 14 • Le triangle partagé en deux
De =  , on déduit AD = 28 ×  .
42 28 42
Donc AD ≈ 9,3 mm.
75 a. Les côtés homologues sont [DC] et [BE], [CA] et
[CB], [AD] et [CE].
Les longueurs des côtés homologues sont deux à deux
BE CB CE
proportionnelles donc = = . jACB = jADC et jCAB = jCAD donc les triangles ABC et ADC
DC CA AD
En remplaçant par les longueurs connues et en tenant sont semblables.
CE 3 jACB = jBDC et jABC = jDBC donc les triangles ABC et CDB
compte du fait que = on obtient :
AD 7 sont semblables.
2,4 CB CE 3 • Le triangle partagé en trois
= = =  .
DC CA 8,4 7
2,4 3
• De = on déduit 3 × DC = 2,4 × 7.
DC 7
2,4 × 7
DC =
3
Donc CD = 5,6 cm.
CE 3 3 jAED = jBED = jBCD = 90° et
• De = on déduit CE = × 8,4.
8,4 7 7
jDAE = jEBD = jDBC = 30° donc les triangles ADE, DEB et BCD
Donc CE = 4,2 cm.
sont semblables.
CB 3
b. = donc le ratio CB;CA est égal au ratio 3;7. • Le triangle partagé en quatre
CA 7
De plus AC + CB = AB = 15 cm.
7
Donc AC = × 15 cm.
7+3
AC = 10,5 cm.
76 a. On range les longueurs des côtés de chacun des
triangles ABC et DEF dans l’ordre croissant.
ADE, CED, CDH et DHB sont quatre triangles semblables
6 cm , 7 cm , 10 cm et 4,8 cm , 5,6 cm , 8 cm.
(les angles de chacun de ces triangles mesurent 30°, 60°
6 7 10
= 1,25 ; = 1,25 et = 1,25. et 90°).
4,8 5,6 8
CB AC BA • Le triangle partagé en cinq
= = donc les triangles ABC et DEF sont sem-
FE DF DE
blables.
b. Les triangles ABC et DEF sont semblables donc on peut
écrire ces égalités d’angles :
jBAC = hEDF et jABC = hDEF.
• Les points F, G, D sont alignés de même que les points E,
AIE, EID, CED, CDH et DHB sont cinq triangles semblables
B, D donc jBDG = hEDF.
(les angles de chacun de ces triangles mesurent 30°, 60°
On montre de même que jDBG = jABC. et 90°).
• jBAC = hEDF et jBDG = hEDF donc jBAC = jBDG.
78 • jBAC = kMAO et jABC = kAOM.
• jBAC = jBDG et jABC = jDBG. Les triangles ABC et MAO ont deux angles deux à deux de
Les triangles ABC et DBG ont deux angles deux à deux de même mesure donc ils sont semblables.
même mesure donc ils sont semblables. Les sommets homologues sont A et A, B et O, C et M.
c. Les triangles ABC et DBG sont semblables donc : D’où les égalités :
DB DG BG 3 DG BG AB AC BC 360 AC BC
= = soit = = = = soit = =
AB AC BC 10 7 6 AO AM OM 135 159 OM
3 DG 3 360 AC 360
• De = on déduit DG = 7 ×  . De =  , on déduit AC = 159 ×  .
10 7 10 135 159 135
Donc DG = 2,1 cm. Donc AC = 424 km.

Chapitre 13 – Utiliser les triangles semblables  163 


• Le triangle ABC est rectangle en B. 365 × 140,16 tonnes = 51 158,4 tonnes
Donc, d’après le théorème de Pythagore : Chaque année les camions émettent 51 158,4 tonnes
BA2 + BC2 = AC2 de CO2.
3602 + BC2 = 4242 Étude des trajets avec la voie ferrée.
129 600 + BC2 = 179 776 d = v × t c’est-à-dire 424 = 212 × t.
BC2 = 179 776 – 129 600 424
BC2 = 50 176 t= donc t = 2 h.
212
BC = 950 176 km c’est-à-dire BC = 224 km. Avec la voie ferrée, un camion mettra 2 h pour aller de
Étude des trajets par la route. Auloin à Cityville.
AB + BC = 360 km + 224 km = 584 km. 7 h 12 min – 2 h = 5 h 12 min.
Un camion effectue 584 km pour aller par la route de La voie ferrée fera gagner 5 h 12 min aux camions.
Auloin à Cityville. • Voici le courrier de la présidente complété :
d = v × t c’est-à-dire 584 = 80 × t.
584 Cette voie ferrée fera gagner chaque jour 5 h 12 min
t= donc t = 7,3 h.
80 aux camions qui empruntent la route entre Auloin et
Un camion met 7,3 h soit 7 h 18 min pour aller par la route Cityville. Surtout, cette voie ferrée permettra chaque
de Auloin à Cityville. année de réduire de 51 158,4 tonnes les émissions de
160 g = 0,160 kg et 1 500 × 584 × 0,160 kg = 140 160 kg. CO2.
Chaque jour les 1 500 camions émettent 140 160 kg soit
140,16 tonnes de CO2.

 164
14 Utiliser la
trigonométrie du
triangle rectangle

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 ● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe  2


« Connaître et utiliser les touches de la calculatrice ». On
et le début du cycle 4 peut agrémenter cette étude de quelques exercices d’ap-
● Au cycle  3, on introduit la définition d’un triangle rec- plication directe tels que les exercices 2, 3, 5 et 6.
tangle, on construit ou on reproduit des figures simples
sur papier ou à l’aide d’un logiciel de géométrie dyna- J’applique le cours
mique. ● L’objectif des exercices résolus est de montrer comment

● En 5 , on apprend que la somme des mesures des angles


e analyser les données d’une figure afin de déterminer s’il
d’un triangle est égale à 180°. On applique cette propriété vaut mieux utiliser un cosinus, un sinus ou une tangente.
au cas particulier du triangle rectangle, le caractérisant par Exercice résolu 1
la somme des mesures des angles aigus égale à 90°. Dans cet exercice, on calcule la longueur d’un côté de
● En 4 , on caractérise le triangle rectangle par l’égalité de
e l’angle droit à l’aide de la tangente d’un angle aigu.
Pythagore. On calcule la longueur d’un côté d’un triangle Exercice résolu 4
rectangle en connaissant les longueurs des deux autres Dans cet exercice, on détermine la mesure d’un angle aigu
côtés. On introduit la notion de cosinus d’un angle aigu à l’aide du sinus d’un angle aigu.
d’un triangle rectangle.
4 Compléments
2 Je découvre
Connaître les triangles rectangles
Activité 1 Les exercices  7 à 16 permettent de vérifier la connais-
L’objectif de cette activité est d’introduire le cosinus, le sance du vocabulaire et la reconnaissance d’un triangle
sinus, la tangente d’un angle aigu d’un triangle rectangle. rectangle à l’aide des mesures de ses angles aigus ou des
Pour cela, on montre que dans un triangle rectangle, les longueurs de ses côtés.
rapports : Connaître cos, sin, tan
● 
longueur du côté adjacent , L’objectif des exercices 17 à 24 est d’exprimer le cosinus, le
longueur de l'hypoténuse sinus, la tangente d’un angle aigu par un rapport de lon-
● 
longueur du côté opposé  , gueurs dans différents triangles rectangles.
longueur de l'hypoténuse Aux exercices 25 et 26, l’élève s’entraîne à utiliser les
● 
longueur du côté opposé  , touches de la calculatrice pour calculer le cosinus, le sinus
longueur du côté adjacent ou la tangente d’un angle aigu donné ou à déterminer
ne dépendent que de la mesure de l’angle aigu considéré la mesure d’un angle aigu connaissant son cosinus, son
et non pas des longueurs des côtés du triangle rectangle. sinus ou sa tangente.
Activité 2 Calculer des longueurs
Déterminer la longueur d’un côté d’un triangle rectangle
L’objectif de cette activité est d’étudier des situations
connaissant la mesure d’un angle aigu et la longueur d’un
concrètes où interviennent le cosinus, le sinus ou la
autre côté, est un travail nouveau pour l’élève, aussi bien à
tangente d’un angle aigu pour calculer la longueur d’un
l’aide du cosinus, du sinus ou de la tangente.
côté d’un triangle rectangle.
À cette occasion, on utilise les touches cos, sin, tan de la Déterminer des mesures d’angles
calculatrice. En 4e on a déjà utilisé le cosinus pour déterminer la mesure
d’un angle aigu d’un triangle rectangle. Ici, on envisage
l’utilisation du sinus ou de la tangente pour effectuer ce
3 Cours - J’applique le cours travail.
Cours Utiliser la trigonométrie
● Suite à l’activité 1, on peut introduire le paragraphe  1 Aux exercices 51 et 52, on détermine tous les éléments
« Cosinus, sinus et tangente d’un angle aigu ». d’un triangle rectangle connaissant :

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  165 


– les longueurs de deux côtés ; ● Les exercices 65 et 69 étudient des figures où inter-
– la longueur d’un côté et la mesure d’un angle aigu. viennent plusieurs triangles rectangles.
On est conduit à utiliser également le théorème de Pytha- En particulier l’exercice 69 nécessite l’utilisation de
gore. tangentes d’angles aigus.
Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra ● Aux exercices 66 et 70, on doit imaginer un tracé sup-

● L’exercice 59 utilise le logiciel Scratch.


plémentaire, en l’occurrence une hauteur du parallélo-
L’objectif est de compléter un script afin de faire tracer au gramme ou du triangle.
lutin un triangle rectangle dont on connaît la longueur ● L’exercice 72 utilise le logiciel Scratch. L’objectif est de

d’un côté de l’angle droit et la mesure d’un angle aigu. tracer un triangle rectangle dont on connaît les longueurs
● L’exercice 60 utilise le logiciel GeoGebra afin de
des côtés de l’angle droit. Pour cela, on fait calculer l’hypo-
construire un angle aigu dont on connaît le cosinus. On ténuse du triangle rectangle.
peut compléter cet exercice en observant, par déplace- ● De nombreux exercices proposent d’étudier des situa-

ment du curseur, que plus le cosinus augmente plus la tions concrètes.


mesure de l’angle diminue.
J’utilise mes compétences
● L’exercice 64 invite à traduire la situation décrite par une
figure géométrique codée avant de calculer une longueur.

CORRIGÉS

Bien démarrer
J’applique le cours
1. c ; 2. a et b ; 3. b ; 4. a et c.
2 Le triangle KLM est rectangle en M, donc
LM LM
tan jjLKM =  , c’est-à-dire tan 20° =  .
Je découvre KM 5,4
Activité 1 Ainsi, LM = 5,4 × tan 20°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient LM ≈ 2 cm.
a. Les droites (AC) et (A’C’) sont perpendiculaires à la droite
(AB) donc les droites (AC) et (A’C’) sont parallèles. De plus, 3 Le triangle MER est rectangle en M, donc
les points B, A, A’ sont alignés ainsi que les points B, C, C’. EM EM
sin jjMRE =  , c’est-à-dire sin 40° =
BA BC AC ER 5
Donc d’après le théorème de Thalès, = =  . soit EM = 5 × sin 40°.
BA’ BC’ A’C’
BC AC À l’aide de la calculatrice, on obtient EM ≈ 3,2 cm.
b. On sait que = donc BC × A’C’ = AC × BC’.
BC’ A’C’
AC A’C’ AC 5 Le triangle CST est rectangle en S, donc sin hhSTC = SC  ,
Par conséquent, =  . Ainsi, le rapport ne 35 TC
BC BC’ BC c’est-à-dire sin hhSTC =  .
dépend que de l’angle jABC. 40
BA AC À l’aide de la calculatrice, on obtient hSTC ≈ 61°.
c. = donc BA × A’C’ = AC × BA’,
BA’ A’C’ 6 Le triangle PAR est rectangle en A, donc
AC A’C’ AR 3,7
c’est-à-dire =  . tan hhAPR =  , c’est-à-dire tan hhAPR =  .
BA BA’ AP 5
Activité 2 À l’aide de la calculatrice, on obtient hhAPR ≈ 36,5°.
AB
1 Dans le triangle ABC rectangle en B, cos jBAC =  ,
1 058 AC
c’est-à-dire cos 60° = soit AC × cos 60° = 1 058. Je m’entraîne
AC
1 058
Ainsi, AC =  .
cos 60°
Connaître les triangles rectangles
À l’aide de la calculatrice, on obtient AC = 2 116 m.
MP
2 a. sin kMNP = 7 a. 58° + 32° = 90° donc le triangle ABC est rectangle
NP
MP en A.
b. Ainsi, sin 75° =  , c’est-à-dire MP = 70 × sin 75°.
70 b. 64° + 16 ° = 80° et 80° ≠ 90°, donc le triangle MNP n’est
c. À l’aide de la calculatrice, on obtient MP ≈ 67,6 m. pas rectangle.
AT
3. a. tan hAST = 8 kMPN = 90° – 45° = 45° = kMNP
AS
Donc le triangle MNP est rectangle isocèle en M.
AT
b. tan 30° =  , c’est-à-dire AT = 10 × tan 30°.
10 9 D’après le théorème de Pythagore,
À l’aide de la calculatrice, on obtient AT ≈ 5,8 m. AC2 = BA2 + BC2 = 32 + 42 = 9 + 16 = 25. Donc AC = 5 cm.

 166
10 Le côté le plus long est [MP]. Connaître cos, sin, tan
132 = 169 et 112 + 82 = 121 + 64 = 185, donc
MP2 ≠ NM2 + NP2 et le triangle MNP n’est pas rectangle. 17 a. L’hypoténuse est le segment [MP].
11 b. Le côté adjacent à l’angle jPML est le segment [ML].
H
c. Le côté opposé à l’angle jMPL est le segment [ML].
18 a. cos jjOUI = UO
UI
IO
b. sin jjOUI =
IU
m
OI
5c

c. tan jjOUI =
OU
19 a. cos hOVL b. tan hOVL c. sin hOVL
4
20 1. a. AB = × 25 cm = 20 cm
5
F 3 cm G
4
b. AB = × 10 cm = 8 cm
12 5
W
4
c. AB = × 8 cm = 6,4 cm
5
5
2. a. AC = × 2 cm = 2,5 cm
4
5
b. AC = × 12 cm = 15 cm
4
35° 5
c. AC = × 10 cm = 12,5 cm
V 4 cm U 4
13 21 1. L’hypoténuse est le côté [AC], le côté adjacent à
S
l’angle jBAC est le côté [AB], le côté adjacent à l’angle jBCA
est le côté [BC].
2. a. jHCB b. jHBC
72°
22 a. sin jRDO = RO b. cos jRDO = OD
18°
R 6 cm T RD DR
OD OR
14 a. 3,22 = 10,24 et 2,42 + 1,82 = 5,76 + 3,24 = 9. c. tan jDRO = d. tan jRDO =
OR OD
9 ≠ 10,24 donc le triangle ABC n’est pas rectangle. 23 a. jBAC b. jACB c. jABC
b. 6,52 = 42,25 et 1,62 + 6,32 = 2,56 + 39,69 = 42,25.
Donc d’après la réciproque du théorème de Pythagore, le 24 a. cos kNPM = PN sin 
kNPM =
MN
tan kNPM =
NM
PM MP NP
triangle MNP est rectangle en M. PQ NQ QN
b. cos kNPM = sin kNPM = tan kNPM =
15 a. Le triangle ABC est rectangle en A, donc d’après le PN NP QP
théorème de Pythagore, BC2 = AB2 + AC2 25 a. 0,98 b. 0,5 (valeur exacte) c. 0,95
soit BC2 = 242 + 152 = 801.
d. 0,87 e. 7,12 f. 1 (valeur exacte)
Ainsi, BC = 5801 cm soit BC ≈ 28,3 cm.
b. Le triangle ABC est rectangle en A, donc d'après le théo- 26 a. 84,3° b. 44,4° c. 81,9° d. 56,3
rème de Pythagore, BC2 = AB2 + AC2 soit
AB2 = BC2 – AC2 = 10,22 – 7,52 = 47,79. Calculer des longueurs
Ainsi, AB = 847,79 cm soit AB ≈ 6,9 cm.
16 a. AU2 = 9,52 = 90,25 27 a. Il est préférable d’utiliser cos 50°.
TA2 + TU2 = 5,72 + 7,62 = 90,25 b. Il est préférable d’utiliser tan 31°.
AU2 = TA2 + TU2 donc, d’après la réciproque du théorème
de Pythagore, le triangle TAU est rectangle en T. 28 a. sin jACB = AB  , c’est-à-dire 0,4 = AB soit
BC 7
b. Le triangle OAU est rectangle en O donc, d’après le AB = 0,4 × 7. Ainsi, AB = 2,8 cm.
théorème de Pythagore : AC AC
b. tan jABC =  , c’est-à-dire 0,5 = soit
AU2 = OA2 + OU2 AB 8
9,52 = OA2 + 8,12 AC = 0,5 × 8. Ainsi, AC = 4 cm.
OA2 = 9,52 – 8,12 = 90,25 – 65,61 AB 3,2
c. cos jABC =  , c’est-à-dire 0,4 = soit
OA2 = 24,64 BC BC
3,2
OA ≈ 5 cm. 0,4 × BC = 3,2. Ainsi, BC = et BC = 8 cm.
0,4

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  167 


29 sin kAND = AD  , c’est-à-dire sin 35° = AD soit 35 a.
Z
AN 12
AD = 12 × sin 35°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient AD ≈ 6,88 m.
30 a.
J

32°

U 4,3 cm L
UL 4,3
b. tan gUJL =  , c’est-à-dire tan 32° =
JU JU
54°
4,3
soit JU × tan 32° = 4,3. Ainsi, JU =  .
tan 32° R 5 cm I
À l’aide de la calculatrice, on obtient JU ≈ 6,9 cm. RZ RZ
b. tan hRIZ =  , c’est-à-dire tan 54° =
31 Le triangle ABC est rectangle en A, RI 5
soit RZ = 5 × tan 54°.
AC AC
donc tan jjABC =  , c’est-à-dire tan 70° =  . À l’aide de la calculatrice, on obtient RZ ≈ 6,9 cm.
AB 2
Ainsi, AC = 2 × tan 70°. c. D’après le théorème de Pythagore, IZ2 = RI2 + RZ2.
À l’aide de la calculatrice, on obtient AC ≈ 5,5 m. Donc IZ² ≈ 5² + 6,9² soit IZ² ≈ 72,61.
Ainsi IZ ≈ 772,61 cm, c’est-à-dire IZ ≈ 8,5 cm.
32 a.
R 36 a. Échelle 3/4
V

63°

15°

27°
M 8 cm T
TM 8
b. cos jjMTV =  , c’est-à-dire cos 27° =
TV TV
8
soit TV × cos 27° = 8. Ainsi, TV =  .
cos 27°
F 3,5 cm A À l’aide de la calculatrice, on obtient TV ≈ 8,98 cm.
VM VM
c. cos jjTVM =  , c’est-à-dire cos 63° ≈
AF 3,5 TV 8,98
b. tan hhARF =  , c’est-à-dire tan 15° =
RF RF soit VM ≈ 8,98 × cos 63°.
3,5 À l’aide de la calculatrice, on obtient VM ≈ 4,1 cm.
soit RF × tan 15° = 3,5. Ainsi, RF =  .
tan 15°
À l’aide de la calculatrice, on obtient RF ≈ 13,1 cm. 37 • tan jPOH = PH  , c’est-à-dire tan 79,5° = PH
OP 100
et PH = 100 × tan 79,5°.
33 sin hhRTS = RS  , c’est-à-dire sin 31° = 7,2 Ainsi, PH ≈ 539,55 m.
TS TS
soit TS × sin 31° = 7,2. • 1,65 m + 539,55 m = 541,2 m.
7,2 Donc la hauteur de cette tour est environ 541,2 m.
Ainsi, TS =  .
sin 31°
À l’aide de la calculatrice, on obtient TS ≈ 14 cm. 38 a. sin jHAS = SH  , c’est-à-dire sin 5° = SH
AS 2 350
et SH = 2 350 × sin 5°.
34 cos hhEFG = EF  , c’est-à-dire cos 54° = EF Ainsi, SH ≈ 204,82 m.
FG 8
soit EF = 8 × cos 54°. b. 625 m + 204,82 m = 829,82 m.
À l’aide de la calculatrice, on obtient EF ≈ 4,702 km. L’altitude du point S est environ 830 m.

 168
39 a. Dans le triangle ABS rectangle en A, tan hABS = AS  , b. JK2 = 10,42 = 108,16
AB IJ2 + IK2 = 92,16 + 16 = 108,16
AS
c’est-à-dire tan 35° = soit AS = 100 × tan 35°. JK2 = IJ2 + IK2 donc, d’après la réciproque du théorème de
100
À l’aide de la calculatrice, on obtient AS ≈ 70 m. Pythagore, le triangle IJK est rectangle en I.
JI 9,6
b. Dans le triangle ABR rectangle en A, c. • cos fIJK = =
JK 10,4
AR AR Donc fIJK ≈ 23°.
tan jABR =  , c’est-à-dire tan 55° =
AB 100
soit AR = 100 × tan 55°. • fIKJ = 90° – fIJK
À l’aide de la calculatrice, on obtient AR ≈ 142,8 m. fIKJ ≈ 90° – 23° soit fIKJ ≈ 67°.
c. SR = AR – AS, c’est-à-dire SR ≈ 142,8  m – 70  m soit 46 a.
SR ≈ 72,8 m. U
La distance qui sépare le requin du surfeur est environ
72,8 m.
40 a. • Dans le triangle AEC rectangle en C,
AC 2 7,5
tan jAEC =  , c’est-à-dire tan 26° = cm
EC EC
2
soit EC × tan 26° = 2. Ainsi, EC =  .
tan 26°
À l’aide de la calculatrice, on obtient EC ≈ 4,1 m.
• Dans le triangle BDF rectangle en D,
BD 2
tan jBFD =  , c’est-à-dire tan 38° = M 6 cm R
DF DF
2 b. D’après le théorème de Pythagore, UR2 = MU2 + MR2.
soit DF × tan 38° = 2. Ainsi, DF =  .
tan 38° Ainsi, MU2 = UR2 – MR2 = 7,52 – 62 = 56,25 – 36 = 20,25 et
À l’aide de la calculatrice, on obtient DF ≈ 2,6 m. MU = 4,5 cm.
b. EF = EC + CD + DF, soit EF ≈ 4,1 m + 2 m + 2,6 m. RM 6
c. • cos kMRU = =
Ainsi, EF ≈ 8,7 m. RU 7,5
À l’aide de la calculatrice, on obtient kMRU ≈ 37°.
Déterminer des mesures d’angles • kMUR = 90° – kMRU donc kMUR ≈ 90° – 37° soit kMUR ≈ 53°.
47 a. Dans le triangle ACH rectangle en H,
41 a. (2) b. (3) HC 0,8
tan jHAC = =  .
HA 2,8
42 • tan jBAC = BC = 8 = 1,6. Ainsi, jBAC ≈ 58°. À l’aide de la calculatrice, on obtient jHAC ≈ 16°.
BA 5
• jACB = 90° – jBAC donc jACB ≈ 90° – 58° soit jACB ≈ 32°. b. Dans le triangle HAB rectangle en H,
HB 2,3
43 a. Le triangle RTM est rectangle en R, tan jHAB = =  .
HA 2,8
MR 4 À l’aide de la calculatrice, on obtient jHAB ≈ 39°.
donc cos jjRMT =  , c’est-à-dire cos jjRMT =  .
MT 5
À l’aide de la calculatrice, on obtient jRMT ≈ 37°. c. hCAB = hHAB – hHAC
hCAB ≈ 39° – 16° soit hCAB ≈ 23°.
b. La somme des mesures des angles aigus d’un triangle
rectangle est égale à 90°. 48 a. Dans le triangle AGH rectangle en H,
jRTM = 90° – jRMT, donc jRTM ≈ 53°. AH 1
tan jHGA = =  .
GH 1,7
44 Dans le triangle ABC rectangle en A, À l’aide de la calculatrice, on obtient jHGA ≈ 30,5°.
BA 3 b. Dans le triangle BGH rectangle en H,
cos jABC = =  .
BC 10 BH 3,6
À l’aide de la calculatrice, on obtient jABC ≈ 72,5°. tan jHGB = =  .
GH 1,7
Donc la rampe est conforme. À l’aide de la calculatrice, on obtient jHGB ≈ 64,7°.
45 a. Échelle 1/2. c. Dans le triangle TGH rectangle en H,
TH 6,2
I tan jHGT = =  .
GH 1,7
À l’aide de la calculatrice, on obtient jHGT ≈ 74,7°.
cm
9,6
4c

49 a. • Dans le triangle BCH rectangle en H,


m

HC 600
tan jHBC = =  .
K HB 1 650
J 10,4 cm À l’aide de la calculatrice, on obtient jHBC ≈ 20°.

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  169 


• jABC = jABH – jHBC = 180° – jHBC BC2 = IB2 + IC2
Ainsi, jABC ≈ 180° – 20° soit jABC ≈ 160°. BC2 = 112 + 3,662
b. • jHCB = 90° – jHBC donc jHCB ≈ 90° – 20° soit jHCB ≈ 70°. BC2 = 134,395 6
Donc jDCB ≈ 180° – 70° soit jDCB ≈ 110°. BC ≈ 11,59 m
IB 11
50 • Dans le triangle IJK rectangle en I, cos hIBC = donc cos fIBC ≈ et hIBC ≈ 18,3°.
BC 11,59
IK 2,1
sin ggIJK = =  . c. Or, jABC = 2 × hIBC donc jABC ≈ 37°.
JK 5,3
À l’aide de la calculatrice, on obtient gIJK ≈ 23°. 54 a. H G
• Dans le triangle NOM rectangle en N,
MN 6 8 cm
cos kNMO =  , c’est-à-dire cos 60° = F
MO MO E
6
soit MO × cos 60° = 6. Ainsi, MO =  . D

4 cm
cos 60° C
À l’aide de la calculatrice, on obtient MO = 12 m.
• Le record du monde du lancer du poids hommes est A B
23 m 12 cm.
b. Échelle 1/2
Utiliser la trigonométrie E G

51 a.

4 cm
C
6,
5
5,2 cm

cm
A 8 cm C

T O c. Dans le triangle AGE rectangle en E,


EA 4
b. D’après le théorème de Pythagore, OC2 = TO2 + TC2. tan jAGE = = = 0,5.
EG 8
Ainsi, TO2 = OC2 – TC2 = 6,52 – 5,22 = 42,25 – 27,04 À l’aide de la calculatrice, on obtient jAGE ≈ 27°.
soit TO2 = 15,21.
Ainsi, OT = 715,21 cm = 3,9 cm.
CT 5,2
Je m’évalue à mi-parcours
c. • cos jTCO = =
CO 6,5 55 c. 56 b. 57 b. 58 a.
À l’aide de la calculatrice, on obtient jTCO ≈ 37°.
• jTOC = 90° – jTCO donc jTOC ≈ 90° – 37° soit jTOC ≈ 53°.
52 a. Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
Z
6c 59 1. a.
58° m C

B U
b. jBUZ = 90° – jBZU = 90° – 58° = 32° 30°
ZB ZB
c. • cos jBZU =  , c’est-à-dire cos 58° = A 200 pas B
ZU 6
soit ZB = 6 × cos 58°. b. Le lutin ne revient pas au point de départ. Il faudrait cal-
À l’aide de la calculatrice, on obtient ZB ≈ 3,2 cm. culer la longueur de l’hypoténuse.
BU BU BA 200
• cos jBUZ =  , c’est-à-dire cos 32° = 2. a. cos jABC =  , c’est-à-dire cos 30° =
ZU 6 BC BC
soit BU = 6 × cos 32°.
200
À l’aide de la calculatrice, on obtient BU ≈ 5,1 cm. soit BC × cos 30° = 200. Ainsi, BC =  .
cos 30°
Autre méthode  : on peut aussi utiliser le théorème de
b.
Pythagore dans le triangle rectangle BUZ pour déterminer
BU. En effet, BU2 ≈ 62 – 3,22 soit BU2 ≈ 25,76 et BU ≈ 5,1 cm.
53 a. IC = 1  AC = 1 × 7,32 m = 3,66 m
2 2 c.
b. Le triangle BIC est rectangle en I donc, d’après le théo-
rème de Pythagore :

 170
d. Donc HA2 = 4002 – 2402 = 160 000 – 57 600 = 102 400.
Ainsi, AH = 9102 400 m = 320 m.
PH 240
• cos jAPH = =
PA 400
e.
À l’aide de la calculatrice, on obtient jAPH ≈ 53°.
Ainsi, jPAH = 90° – jAPH donc jPAH ≈ 90° – 53° soit jPAH ≈ 37°.
Triangle CPD
CD 365
• cos jPCD =  , c’est-à-dire cos 30° =
CP CP
365
soit CP × cos 30° = 365. Ainsi, CP =  .
cos 30°
À l’aide de la calculatrice, on obtient CP ≈ 421 m.
DP DP
• tan jPCD =  , c’est-à-dire tan 30° =
60 2. cos jABC = BA = a = a CD 365
BC 1 soit DP = 365 × tan 30°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient DP ≈ 211 m.
• jDPC = 90° – jPCD = 90° – 30° = 60°
Parcours différenciés Triangle BPC
• D’après le théorème de Pythagore, PC2 = BP2 + BC2.
61
Ainsi, BP2 = PC2 – BC2 et donc BP2 ≈ 4212 – 2822
PARCOURS 1
soit BP2 ≈ 97 717.
a. Dans le triangle PAH, rectangle en H, le théorème de BP ≈ 897 717 m et BP ≈ 313 m.
Pythagore permet d’écrire PA2 = HP2 + HA2. BC 282
• sin hBPC = et sin hBPC ≈  .
b. PA = PM – AM = 565 m – 165 m = 400 m PC 421
c. D’après a., HA2 = PA2 – HP2. À l’aide de la calculatrice, on obtient hBPC ≈ 42°.
Donc HA2 = 4002 – 2402 = 160 000 – 57 600 = 102 400. • hBCP = 90° – hBPC donc hBCP ≈ 90° – 42° soit hBCP ≈ 48°.
Ainsi, AH = 9102 400 m = 320 m.
62
PARCOURS 1
PARCOURS 2

a. • Dans le triangle CPD rectangle en D, a. Dans le triangle ABC, rectangle en B, le côté adjacent à
CD 365 l’angle jBAC est [AB] et le côté opposé à cet angle est [BC].
cos jPCD =  , c’est-à-dire cos 30° = BC
CP CP Donc tan jBAC =  .
365 AB
soit CP × cos 30° = 365. Ainsi, CP =  . BC
cos 30° b. On déduit de a. que tan 22° =  ,
100
À l’aide de la calculatrice, on obtient CP ≈ 421 m. c’est-à-dire BC = 100 × tan 22°.
• Dans le triangle CPD rectangle en D, c. À l’aide de la calculatrice, on obtient BC ≈ 40,4 m.
DP DP
tan jPCD =  , c’est-à-dire tan 30° = soit
CD 365 PARCOURS 2
DP = 365 × tan 30°.
a. Dans le triangle ABD rectangle en B,
À l’aide de la calculatrice, on obtient DP ≈ 211 m.
BD
• D’après le théorème de Pythagore dans le triangle BPC tan jBAD =  .
AB
rectangle en B, PC2 = BP2 + BC2. BD
b. De la question a. on déduit que tan 60° =  ,
Ainsi, BP2 = PC² – BC2 et donc BP2 ≈ 4212 – 2822 100
soit BP2 ≈ 97 717. soit BD = 100 × tan 60°.
BP ≈ 897 717 m et BP ≈ 313 m. À l’aide de la calculatrice, on obtient BD ≈ 173,2 m.
b. • Dans le triangle DPC rectangle en D,
PARCOURS 3
jDPC = 90° – jDCP = 90° – 30° = 60°.
BC
• Dans le triangle PBC rectangle en B, • Dans le triangle ABC, rectangle en B, tan jBAC = ,
AB
BC 282 c’est-à-dire BC = 100 × tan 22°.
sin jBPC = et sin jBPC ≈  .
PC 421 À l’aide de la calculatrice, on obtient BC ≈ 40,4 m.
À l’aide de la calculatrice, on obtient jBPC ≈ 42°. • Dans le triangle ABD rectangle en B,
BD BD
tan jBAD =  , c’est-à-dire tan 60° =
PARCOURS 3 AB 100
Triangle APH soit BD = 100 × tan 60°.
• PA = PM – AM = 565 m – 165 m = 400 m À l’aide de la calculatrice, on obtient BD ≈ 173,2 m.
• Le théorème de Pythagore permet d’écrire • CD = BD – BC soit CD ≈ 173,2 cm – 40,4 m.
PA2 = HP2 + HA2, c’est-à-dire HA2 = PA2 – HP2. Ainsi CD ≈ 132,8 m.

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  171 


• La formule de l’aire d’un parallélogramme est :
J’utilise mes compétences aire = base × hauteur.
[HU] est la hauteur relative à la base [GN], donc l’aire ! du
63 a.
C parallélogramme GNOU est ! = GN × HU.
Ainsi, ! ≈ 5 cm × 1,6 cm soit ! ≈ 8 cm2.
67 • CL = CE – LE = 5,60 – 0,65 = 4,95
20 CH 1,2
cos hHCL = =
m CL 4,95
Donc hHCL ≈ 76°.
HL HL
• sin hHCL =  , c’est-à-dire sin 76° ≈
40° CL 4,95
A B et HL ≈ 4,95 × sin 76°.
Ainsi, HL ≈ 5 m.
CA CA
b. sin jABC =  , c’est-à-dire sin 40° = 68 a. et b.
CB 20
soit CA = 20 × sin 40°. A
À l’aide de la calculatrice, on obtient CA ≈ 12,9 m.
64
A
108
m
19,5° 58° H
H D
AH AH P S
sin jADH =  , c’est-à-dire sin 19,5° = 6,4 cm
AD 108
et AH = 108 × sin 19,5°. Donc AH ≈ 36,05 m. c. • La hauteur (AH) est aussi la médiatrice du côté [PS],
La différence d’altitude entre le départ et l’arrivée est envi- donc H est le milieu de [PS] et PH = 3,2 cm.
ron 36,05 m. Dans le triangle APH rectangle en H,
65 • Dans le triangle ABD rectangle en A, AH AH
tan jAPH =  , c’est-à-dire tan 58° =
PH 3,2
BA 610
cos jABD =  , c’est-à-dire cos 30° = soit AH = 3,2 × tan 58°.
DB DB
610 À l’aide de la calculatrice, on obtient AH ≈ 5,1 cm.
soit DB × cos 30° = 610. Ainsi, DB =  .
cos 30° • Dans le triangle APH rectangle en H,
À l’aide de la calculatrice, on obtient DB ≈ 704,4 m. PH 3,2
cos jAPH =  , c’est-à-dire cos 58° =
• Dans le triangle ABD rectangle en A, PA PA
DA DA 3,2
tan jABD =  , c’est-à-dire tan 30° = soit PA × cos 58° = 3,2. Ainsi, PA =  .
AB 610 cos 58°
soit DA = 610 × tan 30°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient PA ≈ 6 cm.
À l’aide de la calculatrice, on obtient DA ≈ 352,2 m.
d. L’aire ! du triangle PAS est ! = (PS × AH);2, c’est-à-dire
• D’après le théorème de Pythagore dans le triangle BCD
! ≈ (6,4 cm × 5,1 cm);2 soit ! ≈ 16,3 cm2.
rectangle en C, DB2 = BC2 + DC2.
Ainsi, DC2 = DB2 – BC2 69 • Dans le triangle OBC rectangle en B,
et donc DC2 ≈ 704,42 – 4702 BC BC
soit DC2 ≈ 275 279,36. tan jBOC =  , c’est-à-dire tan 30° =
BO 15
DC ≈ 0275 279,36 m et DC ≈ 524,7 m. et BC = 15 × tan 30°.
66 a. Ainsi BC ≈ 8,7 m.
G 5 cm N • Dans le triangle OBA rectangle en B,
32° H tan jBOA =
BA
 , c’est-à-dire tan 24° =
BA
3c BO 15
m
et BA = 15 × tan 24°.
U O Ainsi, BA ≈ 6,7 m.
b. • H est le point du côté [GN] tel que kGHU = 90°. • AC = AB + BC
Dans le triangle GHU rectangle en H, AC ≈ 8,7 m + 6,7 m
HU AC ≈ 15,4 m.
sin kHGU =  ,
GU La hauteur du mât est environ 15,4 m.
HU
c’est-à-dire sin 32° =
3
soit HU = 3 × sin 32°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient HU ≈ 1,6 cm.

 172
70 a. T 5
soit NH =  .
tan 30°
À l’aide de la calculatrice, on obtient NH ≈ 8,66 cm.
• La hauteur (OH) est aussi médiatrice du côté [NE], donc
H est le milieu de [NE] et NE = 2 × NH soit NE ≈ 17,32 cm.
• L’aire ! du triangle ONE est ! = (NE × OH) : 2, c’est-à-dire
! ≈ (17,32 cm × 5 cm);2 soit ! ≈ 43, 3 cm2.
72 a. Dans le triangle ABC rectangle en B,
AB 200 2
tan jACB = soit tan d° = =  .
BC 300 3

b.

c.

85°
70°

S 5,4 cm R

b. hSTR = 180° – (85° + 70°) = 25°


• Dans le triangle SRH rectangle en H,
SH SH
cos jSRH =  , c’est-à-dire cos 70° =  .
RS 5,4
Ainsi, HR = 5,4 × cos 70°. 73 hPAH = 90° – 55° = 35° et AH = 5,8 m;2 = 2,90 m.
À l’aide de la calculatrice, on obtient HR ≈ 1,85 cm. Dans le triangle PAH rectangle en H,
• Dans le triangle SRH rectangle en H, AH 2,9 2,9
cos hPAH =  , c’est-à-dire cos 35° = et AP =  .
SH SH AP AP cos 35°
sin jSRH =  , c’est-à-dire sin 70° =  . Ainsi, AP ≈ 3,54 m.
RS 5,4
Ainsi SH = 5,4 × sin 70°. Les deux portes ont une longueur d’environ 3,54 m.
À l’aide de la calculatrice, on obtient SH ≈ 5,07 cm. 74 • Dans le triangle AHS rectangle en H,
• Dans le triangle SHT rectangle en H, SH h
tan jSAH =  , c’est-à-dire tan 58,5° =
SH 5,07 AH AH
tan hSTH =  , c’est-à-dire tan 25° ≈
TH TH h
soit AH =  .
5,07 tan 58,5°
soit TH ≈  .
tan 25° • Dans le triangle BHS rectangle en H,
À l’aide de la calculatrice, on obtient TH ≈ 10,87 cm. SH h
tan jSBH =  , c’est-à-dire tan 35,1° =
• Or RT = TH + HR. BH BH
Ainsi, RT ≈ 10,87 cm + 1,85 cm soit RT ≈ 12,7 cm. h
soit BH =  .
• Dans le triangle STH rectangle en H, tan 35,1°
SH 5,07 h h
sin hSTR =  , c’est-à-dire sin 25° ≈ • AB = BH – AH = –  .
ST ST tan 35,1° tan 58,5°
5,07 h h
soit ST × sin 25° ≈ 5,07. Ainsi, ST ≈  . Or, AB = 18,7 m, donc – = 18,7
sin 25° tan 35,1° tan 58,5°
À l’aide de la calculatrice, on obtient ST ≈ 12 cm. 18,7
et h =  .
1 1
71 • Dans le triangle ONH rectangle en H, –
tan 35,1° tan 58,5°
OH 5
tan kONH =  , c’est-à-dire tan 30° = Ainsi, h ≈ 23 m.
NH NH

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  173 


Remarque. Ci-avant, on obtient l’expression de la valeur Remarque. On peut également utiliser le résultat de la
exacte de h, mais on peut également travailler avec des question a.. Dans le triangle ALS rectangle en L,
h h LS 1,7 1,7
valeurs approchées, BH ≈  , AH ≈  , h ≈ 23 m. tan hSAL = , c’est-à-dire tan 28° ≈ soit AL ≈  .
0,703 1,632 AL AL tan 28°
À l’aide de la calculatrice, on obtient AL ≈ 3,2 m.
75
On n’obtient pas exactement le même résultat du fait que
la mesure de l’angle hSAL n’est qu’une valeur approchée.
79 a. Dans le triangle SRT rectangle en T,
ST 14
cos hTSR = = = 0,5.
SR 28
À l’aide de la calculatrice, on obtient hTSR = 60°.
AC 15 b. • Dans le triangle SRT rectangle en T,
➊ tan jABC = = = 0,15
AB 100
hSRT = 90° – hTSR = 90° – 60° = 30°.
À l’aide de la calculatrice, on obtient jABC ≈ 8,5°.
AC 1 • Dans le triangle SUP rectangle en P,
➋ tan jABC = = = 0,2 hPSU = 90° – hPUS = 90° – 30° = 60°.
AB 5
À l’aide de la calculatrice, on obtient jABC ≈ 11,3°. • Ainsi, les triangles SRT et SUP ont leurs angles deux à deux
Le panneau ➋ indique une pente plus forte. de même mesure, donc ces triangles sont semblables.
1 c. Les triangles semblables SRT et PSU ont les longueurs
Remarque. On peut également exprimer en pourcen-
5 de leurs côtés deux à deux proportionnelles.
tage (20 %) et comparer les deux pourcentages. SP SU 10,5 SU 10,5
Donc =  , c’est-à-dire = soit SU = 28 ×  .
ST SR 14 28 14
Dossier Brevet Ainsi, SU = 21 cm.
d. Les points T, S, P sont alignés, donc :
76 1. c.  2. b.  3. b.  4. a.  5. b.
hLSK = 180° – (hTSR + hPSU) = 180° – (60° + 60°).
77 Modèle 1 Ainsi, hLSK = 60°.
! = (4 m × 3,5 m);2 = 7 m2 Le triangle SKL a deux angles de 60°, donc c’est un triangle
7 m2 , 8 m2 donc le modèle 1 ne convient pas. équilatéral.
Modèle 2 80 Voilier 1
D’après le théorème de Pythagore dans le triangle POT • D’après le théorème de Pythagore dans le triangle ABC
rectangle en P, OT2 = PO2 + PT2. rectangle en B, AC2 = BA2 + BC2.
Ainsi, PT2 = OT2 – PO2 = 52 – 3² = 25 – 9 = 16. Ainsi, BC2 = AC2 – BA2 = 5,62 – 4,82 = 8,32.
Donc PT = 4 cm et ! = (4 m × 3 m);2 = 6 m2. Donc BC = 68,32 km et BC ≈ 2,9 km.
6 m2 , 8 m2 donc le modèle 2 ne convient pas. • 4,8 km + 2,9 km = 7,7 km donc la distance parcourue par
Modèle 3 le voilier 1 est environ 7,7 km.
RU
• Dans le triangle MUR rectangle en U, cos kMRU = , Voilier 2
RM
RU CD
c’est-à-dire cos 45° = soit RU = 6 × cos 45°. • Dans le triangle ACD rectangle en D, cos jACD =  , c’est-
6 CA
CD
À l’aide de la calculatrice, on obtient RU ≈ 4,2 m. à-dire cos 24° = soit CD = 5,6 × cos 24°.
5,6
• Le triangle MUR est rectangle isocèle en U, donc RU = MU.
À l’aide de la calculatrice, on obtient CD ≈ 5,1 km.
•! ≈ (4,2 m × 4,2 m);2 soit ! ≈ 8,8 m2.
! . 8 m2 donc le modèle 3 convient. AD AD
• sin jACD =  , c’est-à-dire sin 24° =
CA 5,6
Remarque. Pour déterminer RU au modèle 3, on peut soit AD = 5,6 × sin 24°.
aussi utiliser le théorème de Pythagore. À l’aide de la calculatrice, on obtient AD ≈ 2,3 km.
RM2 = RU2 + MU2 = 2 × RU2, c’est-à-dire 2 × RU2 = 36 soit • 5,1 km + 2,3 km = 7,4 km
RU2 = 18. Donc RU = 418 m et RU ≈ 4,2 m. La distance parcourue par le voilier 2 est environ 7,4 km.
78 a. Dans le triangle ABH rectangle en B, Conclusion. Le voilier 2 parcourt une distance plus courte
BH 324 que le voilier 1.
tan jHAB = =  .
BA 600
81 a. Dans le triangle ADM rectangle en A,
À l’aide de la calculatrice, on obtient jHAB ≈ 28°.
AM AM
b. On note [LS] le segment qui représente Leila avec S tan kADM =  , c’est-à-dire tan 60° =
AD 2
point du segment [AH] et hALS = 90°. soit AM = 2 × tan 60°.
Les triangles ALS et ABH sont emboîtés et les droites (LS) À l’aide de la calculatrice, on obtient AM ≈ 3,46 m.
et (BH) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès,
AL LS
=  ,c’est-à-dire b. kAMD = 90° – kADM = 90° – 60° = 30°
AB BH kNDM = 90° – kADM = 90° – 60° = 30°
AL 1,7
=  . jPND = 90° – kNDM = 90° – 30° = 60°
600 324
1,7
Ainsi, AL = 600 × et AL ≈ 3,15 m. kPNM = 90° – jPND = 90° – 60° = 30°
324
 174
kPMN = 90° – kPNM = 90° – 30° = 60° 84 a. • Dans le triangle GHM rectangle en H,
Les angles des triangles AMD, PNM, PDN ont deux à deux MH MH
cos kHMG =  , c’est-à-dire cos 48° =
la même mesure, donc ces triangles sont semblables. MG 8,5
c. • Dans le triangle ADM rectangle en A, et MH = 8,5 × cos 48°.
Ainsi MH ≈ 5,7 km.
AD 2
cos kADM =  , c’est-à-dire cos 60° = • Dans le triangle GHM rectangle en H,
DM DM
2 GH GH
soit DM × cos 60° = 2. Ainsi, DM =  . sin kHMG =  , c’est-à-dire sin 48° =
cos 60° MG 8,5
À l’aide de la calculatrice, on obtient DM = 4 m. et GH = 8,5 × sin 48°.
Ainsi GH ≈ 6,3 km.
• Le coefficient d’agrandissement du triangle PDN au
triangle AMD est : • kMGH = 90° – 48° = 42°
DM DM jHGT = jMGT – kMGH = 118° – 42° = 76°
k= =  .
DN AM • Dans le triangle GHT rectangle en H,
4
Ainsi, k ≈ soit k ≈ 1,16. HT HT
3,46 tan jHGT =  , c’est-à-dire tan 76° ≈
Donc ce coefficient est bien plus petit que 1,5. GH 6,3
soit HT ≈ 6,3 × tan 76°.
82 a. tan jBCD = BD  , c’est-à-dire tan 4,3° = BD Ainsi, HT ≈ 25,3 km.
CD 29
• MT = MH + HT
et BD = 29 × tan 4,3°.
MT ≈ 5,7 km + 25,3 km
Ainsi, BD ≈ 2,2 km. MT ≈ 31 km
29
b. 20 % × AB = CD c’est-à-dire 0,2 × AB = 29 soit AB =  .
0,2 85 • E est le milieu du segment [FD]
Ainsi, AB = 145 km. donc ED = 5,06 m;2 = 2,53 m.
ED
83 a. Dans le triangle AED rectangle en E, sin jEAD =  , c’est-à-
AD
2,53
A 4 cm B dire sin 38° = soit AD × sin 38° = 2,53.
AD
2,4 2,53
cm Ainsi, AD =  .
sin 38°
À l’aide de la calculatrice, on obtient AD ≈ 4,11 m.
M
• Un pan du toit est un rectangle de longueur 13 m et de
largeur environ 4,11 m.
Son aire est environ 13 m × 4,11 m soit 53,43 m2.
cm

Les deux pans de toit ont donc une aire d’environ :


3,2

2 × 53,43 m2 = 106,86 m2.
I 26 tuiles/m2 × 106,86 m2 = 2 778,36 tuiles, donc il faut
D C acheter 2 779 tuiles.
2 779 × 0,65 € = 1 806,35 € donc le coût d’achat des tuiles
b. AD2 = 42 = 16 est 1 806,35 €.
MA2 + MD2 = 2,42 + 3,22 = 16
• La partie réfectoire est un pavé droit de dimensions
AD2 = MA2 + MD2 donc, d’après la réciproque du théorème
5,06 m, 13 m et 2,70 m.
de Pythagore, le triangle AMD est rectangle en M. Son volume V est : V = 5,06 m × 13 m × 2,7 m = 177,606 m3.
DM 3,2 Donc la puissance frigorifique nécessaire est comprise
c. • tan kDAM = =  .
AM 2,4 entre 18 000 BTU et 25 000 BTU.
Donc kDAM ≈ 53,1°. On peut choisir le Freez 8000 à 1 050 €, mais le Air 10 pin-
• Dans le triangle ADI rectangle en D, gouin a une puissance frigorifique de 27 000 BTU et coûte
DI DI moins cher, 990 €.
tan jDAI =  , c’est-à-dire tan 53,1° ≈ et DI ≈ 4 × tan 53,1°.
AD 4 Il semble préférable de choisir ce dernier modèle de cli-
Ainsi DI ≈ 5,3 cm. matiseur.

Chapitre 14 – Utiliser la trigonométrie du triangle rectangle  175 


15 Transformer
des figures

INTENTIONS PÉDAGOGIQUES

1 Le point sur le cycle 3 et le cycle 4 Cette question réalisée sur quadrillage permet de com-
prendre l’effet d’une homothétie.
● Au cycle 3 l’élève a : À la question 2, on utilise un logiciel de géométrie pour
– tracé des droites parallèles ; construire l’image d’un triangle par une homothétie de
– caractérisé le cercle comme ensemble situé à une dis- rapport k (nombre positif ou négatif) puis on met en évi-
tance donnée d’un point donné ; dence certaines propriétés de cette homothétie (aligne-
– complété une figure par symétrie axiale ; ment d’un point, de son image et du centre de l’homothé-
– construit la figure symétrique d’une figure donnée par tie, les longueurs sont multipliées par k ou –k).
rapport à un axe donné (que l’axe de symétrie coupe ou
non la figure), construit la symétrie d’une droite, d’un seg- 3 Cours - J’applique le cours
ment, d’un point par rapport à un axe donné ;
Cours
– utilisé les propriétés de conservation de la symétrie axiale ;
● Suite à l’activité 1, on peut étudier le paragraphe 1
– construit la médiatrice d’un segment ;
« Rotation ».
– découvert le parallélogramme.
● Suite à l’activité 2, on peut étudier le paragraphe 2
● Au cycle 4 l’élève a :
« Homothétie ».
– étudié les propriétés relatives aux côtés et aux diago-
nales d’un parallélogramme ; J’applique le cours
– compris l’effet d’une symétrie (axiale ou centrale) ; Exercice résolu 1
– construit des frises, des pavages, des rosaces ; L’objectif est de mettre en place une méthode pour tracer
– étudié les triangles semblables. l’image d’une figure par une rotation.
Exercice résolu 3
2 Je découvre L’objectif est de mettre en place une méthode pour tracer
l’image d’une figure par une homothétie.
Activité 1
L’objectif de cette activité est d’introduire la rotation, puis 4 Compléments
de mettre en évidence, à l’aide d’un logiciel de géométrie,
ces effets sur les angles et les longueurs d’une figure. Diversité des exercices
À la question 1, sur papier quadrillé, on représente la ● Les exercices 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 61, 70 sont consa-

nacelle après des rotations d’angles 90° et 180°. crés à l’étude de frises, rosaces et pavages.
Cette question réalisée sur quadrillage permet de com- ● L’exercice 60 permet de faire le point sur les transforma-

prendre l’effet d’une rotation. tions (rotation, translation, symétrie axiale et homothétie)
À la question 2, on utilise un logiciel de géométrie pour rencontrées au cycle 4.
construire l’image de la nacelle par une rotation d’angle Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
65° puis on met en évidence certaines propriétés de cette Comme le programme le demande, l’exercice 47 est consa-
rotation. L’outil informatique qui permet de construire cré à la réalisation d’une rosace à l’aide du logiciel Scratch.
globalement la figure, et non point par point, permet de Parcours différenciés
généraliser les propriétés observées. Les exercices 49 et 50 sont des problèmes de construc-
Activité 2 tions de rosaces utilisant des rotations. Chacun d’eux pro-
pose trois parcours différents pour un même problème
L’objectif de cette activité est d’introduire l’homothétie,
suivant l’avancement des compétences des élèves.
puis de mettre en évidence, à l’aide d’un logiciel de géo-
métrie, ses effets sur les angles et les longueurs d’une Dossier Brevet
figure, l’alignement de trois points. ● Les exercices 64, 65, 66 et 67 font le point sur les compé-

À la question 1, sur papier quadrillé, on définit à l’aide tences des élèves avec quelques conseils.
d’une construction l’image A’B’C’ d’un triangle ABC par ● Les exercices 68, 69 et 70 concernent la prise d’initiatives.

une homothétie, puis on trace l’image A’’B’’C’’ du triangle ● L’exercice 71 est une analyse de documents pour élabo-
ABC par une autre homothétie. rer un programme avec Scratch.

 176
CORRIGÉS

Bien démarrer
J’applique le cours
1. a, b et c ; 2. a ; 3. a et b ; 4. c ; 5. b.
2 ➀ On construit à l’aide du rapporteur et du compas,
l’image M’ du point M.
Je découvre
M’
Activité 1
1 a. et b.

50°
M N
A”
A’

4 cm
O

A P

➁ On construit de façon analogue l’image P’ du point P.


M’

2 c. On peut dire que OA = OA’ et kAOA’ = 65°.

Activité 2
P’ 50°
1 a., b. et d.
M N
C’ 50°
4 cm

C ➂ Le triangle M’P’N est l’image du triangle MPN ; il est rec-


tangle en M’ car la rotation conserve les mesures d’angles.
C”
M’

A B” B B’

c. B’C’ = 3BC.
2. b. On peut dire que les droites (BC) et (B’C’) sont paral- P’
50°
lèles et les points A, B et B’ sont alignés. M N
c. Lorsque k . 0, les points B et B’ (respectivement C et C’) 50°
sont alignés et du même côté par rapport à A.
Lorsque k , 0, les points B et B’ (respectivement C et C’)
4 cm

sont alignés avec A, et de part et d’autre de A.


d. Les longueurs des côtés du triangle A’B’C’ sont les lon-
gueurs des côtés du triangle ABC multipliées par k lorsque
k . 0 et par –k lorsque k , 0. P

Chapitre 15 – Transformer des figures  177 


4 • ➀ L’image M’ de M est alignée avec M et le centre P, M’ N’
de l’autre côté de P par rapport à M et PM’ = 2 × PM.
M 5 cm N

5 cm
M N
4 cm

4 cm
P P

Je m’entraîne
8 cm

Transformer une figure par une rotation

5 La rotation qui transforme la figure ➊ en la figure ➋ a


pour centre C et pour angle 180° dans le sens des aiguilles
d’une montre (ou sens contraire des aiguilles d’une
montre).
M’
6 a. Centre C et d’angle 90° dans le sens contraire des
➁ L’image N’ de N appartient à la droite (NP). De plus, aiguilles d’une montre.
N’ appartient à la perpendiculaire à (MM’) en M’ car l’ho- b. Centre D d’angle 60° dans le sens des aiguilles d’une
mothétie conserve les mesures d’angles. montre.
Le triangle N’PM’ est l’image du triangle NPM.
c. Centre C d’angle 120° dans le sens contraire des aiguilles
M 5 cm d’une montre.
N
7 1. jAOB = 360 = 72°.
4 cm

5
2. a. On obtient le triangle BOC car jBOC = 72° = jAOB et
OA = OB = OC.
P
b. On obtient le triangle DOE car jAOD = jBOE = 3 × 72°
soit 216° et OA = OB = OD = OE.
c. La rotation qui transforme B en D a pour centre O et
8 cm

pour angle 2 × 72° = 144°. Donc on obtient le triangle COD


car jAOC = jBOD = 2 × 72° = 144° et OA = OB = OC = OD.
N’ 8 a. Le centre de la rotation est A, son sens est le sens
M’ contraire des aiguilles d’une montre et son angle est
jBAD = 90°.
• ➀ L’image M’ de M est alignée avec M et le centre P, du
b. Une rotation conserve les aires donc les triangles ABC et
même côté par rapport à P et PM’ = 2 × PM.
ADE ont la même aire.
M’
9

5 cm
M N
O
4 cm

P
^
➁ L’image N’ de N appartient à la droite (NP). De plus,
N’ appartient à la perpendiculaire à (MM’) en M’ car l’ho-
mothétie conserve les mesures d’angles. Le triangle N’PM’
est l’image du triangle NPM.

 178
10 13
A’

B’ C’
135°

A B D

14
C
C’ B’
45°
D

11 a. et b. A B

C A’

15 C
3c

16 a. Une rotation conserve les longueurs donc :


m

60° AB = A’B’ = A’’B’’, AC = A’C’ = A’’C’’ et CB = C’B’ = C’’B’’


A = C’ B = B’ donc les triangles ABC et A’’B’’C’’ sont égaux.
b. On peut considérer la rotation de centre D et d’angle
180° (130° + 50° = 180°) dans le sens de la flèche. Il s’agit
de la symétrie centrale de centre D.
A’ 17 Le périmètre du rectangle ABCD est 2 × (4 + 5) cm
c. Le triangle ABC est équilatéral donc BC = AB = AC. c’est-à-dire 18 cm.
Une rotation conserve les longueurs donc : L’aire du rectangle ABCD est 4 × 5 cm2 c’est-à-dire 20 cm2.
Une rotation conserve les longueurs et les aires donc le
BC = BC’ = A’B = A’C’ = AC.
rectangle A’B’C’D’ a pour périmètre 18 cm et pour aire
Le quadrilatère A’C’CB a ses quatre côtés égaux, donc c’est
20 cm2.
un losange.
18 400° – 360° = 40°
12 1. et 2. a. La rotation de centre O et d’angle 40° dans le sens des
aiguilles d’une montre donne la même image.
19 Le dernier engrenage tourne dans le sens contraire
des aiguilles d’une montre.

B A

b.

Transformer une figure par une homothétie

20 LJ’ = 0,4 × LJ = 0,4 × 5 cm = 2 cm


LK’ = 0,4 × LK = 0,4 × 7 cm = 2,8 cm
K’J’ = 0,4 × KJ = 0,4 × 6 cm = 2,4 cm
B A
21 a. Le rapport est – AN = –  2 = –2.
AC 1
AN 2
b. Le rapport est =  .
AC 3
22 Le rapport de l’homothétie est égal à –  1  , l’aire de la
2
figure a été multipliée par – 
2 ( )
1 2 1
soit  .
4

Chapitre 15 – Transformer des figures  179 


23 AC AC 7
= 0,7 donc OE = = = 10 cm.
C O B M A OE 0,7 0,7
AB AB 4,2
= 0,7 donc BE = = = 6 cm.
BE 0,7 0,7
24 a. b. et c.
29 a. On a BE = BD = ED donc BE = 1,8 × 3 = 1,2 cm
A B BC AB AC 4,5
1,8
B’
et ED = × 4 = 1,6 cm.
4,5
A’
b. On passe du triangle BED au triangle ABC par l’homo-
I C”
AB 5
C C’ thétie de centre B et de rapport –  = –  = –2,5.
BD 2
B” A”
L’aire du triangle ABC est, en cm2, (–2,5)2 × 0,92 = 5,75.
d. • L’aire du triangle A’B’C’ vaut 0,52 = 0,25  fois celle du 30 a. Son centre est O et son rapport est 2.
triangle ABC.
b. On passe du carré bleu au carré vert par l’homothétie
• L’aire du triangle A”B”C” vaut (–0,25)2 = 0,0625 fois celle
de centre O et de rapport 4. Ainsi, le rapport de l’aire du
du triangle ABC.
25 a. et b. FG’ = 0,6 × FG = 4,2 cm.
carré bleu par celle du carré vert est ()
1 2 1
4
=
16
 .

jFG’E’ = hFGE = 90°.


E, E’, F alignés.
G G’ F
Étudier des frises, rosaces, pavages

31 c. Un pavage.
6 cm

32 Une rotation et une translation.


E’ 33 Son angle est 360 = 120°.
3
34 On peut passer du triangle 1 au triangle 2 par la rota-
E Échelle : 0,5 tion de centre C et d’angle 120° dans le sens des aiguilles
d’une montre ou par la translation qui transforme A en C.
26 Les longueurs, en cm, des côtés de l’image de ABC
sont : 35 1. a. L’image du pétale ➊ est le pétale ➒.
1 1 1 b. L’image du pétale ➑ est le pétale ➍.
a. × 1,8 = 0,6, × 3 = 1 et × 4,5 = 1,5
3 3 3 c. L’image du pétale ➏ est le pétale ➋.
b. 2 × 1,8 = 3,6, 2 × 3 = 6 et 2 × 4,5 = 9
2. a. La rotation de centre O, d’angle 150° dans le sens
c. 2,5 × 1,8 = 4,5 2,5 × 3 = 7,5 et 2,5 × 4,5 = 11,25 contraire des aiguilles d’une montre.
d. 0,1 × 1,8 = 0,18 0,1 × 3 = 0,3 et 0,1 × 4,5 = 0,45 b. La rotation de centre O, d’angle 120° dans le sens
27 a. 0,5 . 0 donc les points A, B et C et leurs images contraire des aiguilles d’une montre.
sont du même côté que le point O. Ainsi l’image du trian- c. La rotation de centre O, d’angle 60° dans le sens contraire
gle ABC est le triangle A’B’C’. des aiguilles d’une montre.
–2 , 0 donc les points A’, B’ et C’ et leurs images sont de 36 1. a. L’image du lézard ➈ est le lézard ➉.
part et d’autre du point O. Ainsi l’image du triangle ABC b. L’image du lézard ➄ est le lézard ➁.
est le triangle A’’B’’C’’.
2. a. La rotation de centre D et d’angle 90° dans le sens
b. On passe du triangle ABC au triangle A’’B’’C’’ par l’homo- contraire des aiguilles d’une montre.
thétie de centre O et de rapport 0,5 × (–2) c’est-à-dire –1.
b. La rotation de centre A et d’angle 180° dans le sens des
Cette transformation est la symétrie centrale de centre O. aiguilles d’une montre.
28 a. On passe du triangle OBE au triangle ABC par l’ho- c. La rotation de centre C et d’angle 180° dans le sens
BC 32 contraire des aiguilles d’une montre.
mothétie de centre B et de rapport = = 4.
BO 8
37 a. Une translation permet d’obtenir le motif 2 à partir
AC AC 18
= 4 donc OE = = = 4,5 cm. du motif 1.
OE 4 4
AB AB 20 b. Dans un motif « pied de coq » il y a 4 carrés et 8 triangles
= 4 donc BE = = = 5 cm. 1×1
BE 4 4 donc l’aire, en cm2, du motif est : 4 × 1 × 1 + 8 × = 8.
2
b. On passe du triangle OBE au triangle ABC par l’homo-
c. Marie n’a pas raison. En effet, si on divise par 2 les lon-
BC 6,3
thétie de centre B et de rapport –  = –  = –0,7. gueurs, les aires sont divisées par 22 = 4.
BO 9
 180
3 × 1,5
Utiliser des transformations b. L’aire du triangle ABC est, en cm2, = 2,25.
2
La rotation conserve les aires et il y a 6  triangles égaux
38 1. et 2. a. donc l’aire totale, en cm2, de la rosace est : 6 × 2,25 = 13,5.
D C c.
G’ F’
H C
O G

1,5
F

cm
E
F
A B B

b. H appartient à (OD) et H appartient à la perpendiculaire 60° 60° m


à (EF) en E car l’homothétie conserve les mesures d’angles 3c
donc hHEF = 90°. 60°
G C’
60°
AB = AD donc 3AB = 3AD c’est-à-dire EF = EH. A
60°
c. G appartient à (OC) et G appartient à la perpendiculaire 60°
à (EF) en F car l’homothétie conserve les mesures d’angles B’’’
donc hEFG = 90°. B’
AB = BC donc 3AB = 3BC c’est-à-dire EF = GF.
d. hEFG = 90° = hHEF et EF = EH = GF donc EFGH est un carré.
C’’’
39 a. • Le rapport de l’homothétie qui transforme le carré B” C”
ABCD en le carré bleu est 3.
• Le rapport de l’homothétie qui transforme le carré ABCD
en le carré orange est –2. Je m’évalue à mi-parcours
b. L’aire totale de la figure formée par les trois carrés est, 42 b. 43 c. 44 c. 45 a. 46 c.
en cm2 :
2,22 + (–2)2 × 2,22 + 32 × 2,22 = 67,76.
40 1. a. hABC = 90° et ABC est isocèle en B donc : Je m’entraîne avec Scratch et GeoGebra
hBAC = hACB = 45°.
De même, hEFG = 90° et EFG est isocèle en F donc : 47 1. Le motif de base est un carré ayant deux de ses
hFEG = hEGF = 45°. côtés horizontaux et un sommet au centre de la rosace.
Les triangles ABC et EFG ont leurs angles deux à deux de 2. a. Il s’agit d’une rotation de centre celui de la figure
même mesure donc ils sont semblables. 360°
et d’angle = 60° dans le sens contraire des aiguilles
b. Les triangles ABC et EFG sont semblables donc leurs 6
côtés homologues sont deux à deux proportionnels : d’une montre.
EG EF EG 12 b. On doit appliquer 6 fois cette transformation.
= c’est-à-dire =  .
AC AB AC 4
c.
2. a. hBAC = 45° = hFEG donc les droites (AB) et (EF) sont
parallèles.
Ainsi les triangles IAB et IEF sont en situation de Thalès,
IF EF 12
donc = donc IF =  IB.
IB AB 4
IE EF 12
De même, = donc IE =  IA.
IA AB 4
b. Les points I, F, B sont alignés dans cet ordre tels que
12 48 1.
IF =   IB.
4
Les points I, E, A sont alignés dans cet ordre tels que
12
IE =  IA.
4
12
L’homothétie de centre I et de rapport transforme
4
donc B en F et A en E.
L’image du point C appartient à la perpendiculaire à (EF)
en F et à la droite (IC) c’est donc le point G. Ainsi, l’homo-
thétie transforme ABC en EFG.
41 a. 360 = 60.
6
L’angle de la rotation est 60° et son centre est A.

Chapitre 15 – Transformer des figures  181 


2. PARCOURS 3

3 cm
60°

50
Parcours différenciés PARCOURS 1

49 a. La rosace du temple de Diane est composée de trois


PARCOURS 1 sortes de polygones  : des carrés, des triangles équilaté-
raux, avec au cœur, un hexagone régulier.
a. Par une rotation, l’image d’un triangle équilatéral ABC
est un triangle équilatéral car la rotation conserve les lon- b., c. et d.
gueurs. Échelle : 0,5
b. et c. On obtient un hexagone dont les 6 côtés sont de
mêmes longueurs, il s’agit donc d’un hexagone régulier.
L’hexagone régulier est représenté en trait épais ci-dessous.
3 cm C

60°

60° 60° 3 cm
B
A
60° 60°
60°

PARCOURS 2

a., b. et c.
Échelle : 0,5
PARCOURS 2

a. et b.

O B

m
3c

c. L’hexagone est régulier car ses côtés ont pour longueur


le rayon du cercle.

 182
PARCOURS 3 54  Le centre de l’homothétie est aligné avec un point et
Échelle : 0,5 son image donc il appartient aux droites (AA’) et (BB’). Les
points A et A’ (respectivement B et B’) sont donc de part
et d’autre du centre, donc le rapport de l’homothétie est
négatif.
A’B’ 4
= = 2 donc le rapport de l’homothétie est –2.
AB 2
7 + 6 × 2 = 19
Ainsi, le périmètre de la figure verte est 19 cm.
Le périmètre de la figure rouge est donc 38 cm. En effet,
–(–2) × 19 = 38.
3 cm
55  a. b. c. et d. P
S’
R’

C Q
O 60°

m
Q’

c
70°

1,2
J’utilise mes compétences
A 3 cm B R
51  a. et b.

B” A” S
C C’ e. La translation, la rotation et l’homothétie conservent les
C” O
angles donc :
lQ’S’R’ = jQSR = jQOP = jBAC = 70°.
A B La translation et la rotation conservent les longueurs
donc :
SQ = OQ = AB = 3 cm et RS = PO = CA = 1,2 cm.
A’ B’
1
L’homothétie de rapport –  multiplie les longueurs par
c. A’’B’’ = 2 et A’B’ = 12. 3
On a
A’’B’’
AB
=
2 1
=  .
12 6
( )1
3
1
–  = donc :
3
Les points A’ et A’’ (respectivement B’ et B’’, C’ et C’’) sont de 1 1,2 1 3
R’S’ =  RS = = 0,4 cm et Q’S’ =  QS = = 1 cm.
3 3 3 3
part et d’autre du point O.
1
Ainsi, l’homothétie a pour centre O et pour rapport –  . 56  a. Un point et son image sont alignés avec le centre
6
de l’homothétie donc E, A et D sont alignés donc E appar-
52  a. • kAOA’ = 60° et OA = OA’ donc l’image de A par tient à la droite (AD). De la même façon, E, B et C sont
la rotation de centre O et d’angle 60° dans le sens de la alignés donc E appartient à la droite (BC). Le point E est
flèche est A’. donc l’intersection des droites (BC) et (AD).
• kBOB’ = 60° et OB = OB’ donc l’image de B par la rotation
de centre O et d’angle 60° dans le sens de la flèche est B’. D
• kCOC’ = 60° et OC = OC’ donc l’image de C par la rotation
de centre O et d’angle 60° dans le sens de la flèche est C’.
b. Une rotation conserve l’alignement. Les points A, B et C
sont alignés donc leurs images respectives A’, B’ et C’ sont
B
alignées.
53  • On peut conjecturer que les points M, N et P sont E
alignés.
On considère la rotation de centre O et d’angle 90° dans le
sens des aiguilles d’une montre. C
• Le triangle AOM (respectivement BON, COP) est iso- A
cèle rectangle en O, donc l’image du point A (respecti-
vement B, C) par cette rotation est le point M (respecti-
vement N, P).
• Les points A, B et C appartiennent à la droite (d) donc
ils sont alignés. Or, une rotation conserve l’alignement b. Un point et son image sont alignés avec le centre de
donc leurs images sont alignées c’est-à-dire M, N et P l’homothétie donc E, B et D sont alignés donc E appartient
sont alignés. à la droite (BD).

Chapitre 15 – Transformer des figures  183 


E, A et C sont alignés donc E appartient à la droite (AC). 59  1. a.
E est le point d’intersection des droites (BD) et (AC).
D

A 1 cm
25 pas
E

57 a. et b. 150
b. = 25 donc les coordonnées du stylo après avoir
6
R
5 exécuté la ligne 9 sont (25 ; 0).
4 2. 150 – 2 × 25 = 100 donc on complète la ligne (1) par 100.
M
3
2
1
B
A 100 2
3. a. Il s’agit d’une homothétie de rapport =  .
–6 –5 –4 –3 –2 –1 O 1 2 3 4 5 6 150 3
–1
b. Le rapport des aires des deux carrés dessinés est :
–2
–3 ()
2 2 4
3
=  .
9
–4 60  a. Les triangles ABC et DEF ont respectivement deux
–5 angles égaux donc ils sont semblables.
–6 b. Les côtés homologues aux triangles ABC et DEF sont
–7 [AB] et [EF], [AC] et [ED] tels que EF = kAB, ED = kAC et k est
un nombre positif non nul.
–8
On applique successivement les transformations sui-
–9 vantes :
T
–10 – la symétrie axiale d’axe (AB) transforme A en A, B en B et
S
C en C’ ;
– la translation qui transforme A en E transforme C’ en C’’
Le point T a pour coordonnées (5 ; –9).
et B en H ;
58  a. et b. – la rotation de centre E et d’angle 124° (47° + 30° + 47°
C’ égal 124°) transforme E en E, H en H’ et C’’ en C’’’ ;
A – l’homothétie de centre E et de rapport k transforme E en
E, H’ en F et C’’’ en D.
75°
Vérification : chacune de ces transformations conserve les
angles donc :
hDEF = lC’’’EH’ = kC’’EH = jC’AB = jBAC = 47°
5 cm

ED = kEC’’’ = kEC’’ = kAC’ = kAC et EF = kEH’ = kEH = kAB.


B’

B
C
3 cm

 184
C” 63  On considère la rotation de centre A d’angle jBAC
C’ dans le sens de la flèche. On construit le point B’ sur la
demi-droite [AC) tel que AB’ = AB = 7 cm. Le point B’ est
donc l’image de B par la rotation.
La rotation conserve les longueurs donc AC’ = AC = 6 cm
E et B’C’ = BC = 4 cm. Le point C’ appartient donc au cercle
H A de centre A et de rayon 6 cm et au cercle de centre B’ et de
B rayon 4 cm.
47° 30° 47°
C’
4 cm
B’

6 cm
C’’’ H’
C C

A B
D F

61  • À partir de la figure 1 (ci-dessous), on construit le


quadrilatère sur l’un des côtés du triangle équilatéral (fig-
ure 2). On applique la rotation de centre A et d’angle 60°
dans le sens de la flèche pour obtenir le motif 1 (figure 3).
• Au motif 1, on applique la rotation de centre O et d’angle Dossier Brevet
60° dans le sens de la flèche pour obtenir le motif 2, puis
au motif 2 on applique cette rotation pour obtenir le 64 1. c. ; 2. c. ; 3. c. ; 4. a.
motif 3… pour obtenir le motif 6 (figure 4). 65 a. Le rapport de l’homothétie qui permet d’obtenir la
• On applique aux motifs 4 et 3 la rotation de centre B et OC 3
d’angle 120° dans le sens de la flèche pour obtenir les figure 3 à partir de la figure 1 est = = 3.
OA 1
motifs 7 et 8. Finalement aux motifs 7 et 8 on applique 3
b. OE = 3 donc on obtient la figure 3.
cette dernière rotation pour obtenir les motifs 9 et 10. 5
OB
c. = 2 donc l’aire de la figure 2 est 22 = 4  fois plus
OA
grande que celle de la figure 1.
66 1. a. Le rectangle ➌ est l’image du rectangle ➍ par la
translation qui transforme C en E.
b. Le rectangle ➌ est l’image du rectangle ➊ par la rotation
de centre F et d’angle 90° dans le sens des aiguilles d’une
montre.
c. Le rectangle ABCD est l’image du rectangle ➋ par l’ho-
mothétie de centre D et de rapport 3,
ou bien, le rectangle ABCD est l’image du rectangle ➌ par
l’homothétie de centre B et de rapport 3,
ou bien, le rectangle ABCD est l’image du rectangle ➍ par
l’homothétie de centre C et de rapport 3.
62  On note O le centre de la rotation qui permet de 2. Un petit rectangle est une réduction du grand rectangle
passer du triangle ABC au triangle A’B’C’. 1
OA = OA’ donc O appartient à la médiatrice du segment de rapport  . Son aire est :
3
[AA’]. On montre de même que O appartient aux média-
trices des segments [AA’], [BB’] et [CC’].
aire(ABCD) × ()
1 2
3
1
= 1,215 × = 0,135 m2.
9
L’angle de la rotation est alors l’angle kAOA’. Dans une réduction de rapport k, les aires sont multipliées
par k2.
O 3. Soit ¯ la largeur et L la longueur du rectangle ABCD.
3
C B’ Le ratio longueur;largeur étant égal à  , on a 2L = 3¯,
2
C’ soit L = 1,5¯.
On veut ¯ × L = 1,215, soit successivement ¯ × 1,5¯ = 1,215 ;
4 cm

1,215
1,5¯2 = 1,215 ; ¯2 = = 0,81 ; d’où ¯ = 0,9.
A’ 1,5
On a alors L = 1,5 × 0,9 = 1,35.
A 3 cm B Le rectangle ABCD mesure 0,9 m sur 1,35 m.

Chapitre 15 – Transformer des figures  185 


67 a. Le triangle ABD est l’image du triangle ABC soit par 3. L’image de l’hexagone  14 par la translation qui trans-
la symétrie d’axe la droite (AB), soit par symétrie centrale forme l’hexagone 2 en l’hexagone 12 est l’hexagone 19.
autour du milieu de [AB]. 71
b. La translation répétée trois fois est la translation qui
transforme C en B ou qui transforme A en D.
68 a. Il faut répéter le motif 5 fois.
b. Pour chaque motif on avance de 80 + 80 = 160, donc le
périmètre de la figure est égal à 5 × 160 = 800.
c. Pour avoir un périmètre double il suffit de remplacer les
deux « 80 » par « 160 » :

69 1. La symétrie centrale par rapport au point A c’est-à-


dire la rotation de centre A et d’angle 180° dans le sens des
aiguilles d’une montre.
2. L’image est le rectangle JKLM.
3. a. BCDE est un rectangle, ses côtés opposés (BE) et (CD)
sont parallèles et puisque V est un point de [BE], (DC) et
(VB) sont parallèles.
b. D’après la question précédente on a une configuration
de Thalès. On a donc :
CD AC CD 30
= soit = d’où CD = 4 × 3 = 12 (cm).
BV AB 4 10
c. Dans le triangle ACD rectangle en C, on a :
CD 12 2
tan(jDAC) = = = = 0,4.
AC 30 5
La calculatrice donne jDAC ≈ 21,8, soit 22° au degré près.
70 1. (1) FABO
2. La rotation est d’angle 120° dans le sens des aiguilles
d’une montre. L’image du triangle BOC par cette rotation
est le triangle DOE.

 186
Projets Scratch

c. À la fin du déroulement du sous-programme, le lutin


PROJET 7 retrouve son orientation initiale vers la droite.
d. On saisit le sous-programme Triangle_1.
Construire un quart de cercle
2 a. La rosace est constituée de 6  triangles identiques
1 Dans le triangle rectangle OPM : et on passe d’un triangle au suivant par une rotation de
OP x centre O et d’angle 60°.
cos a = = donc x = 150 cos a
OM 150 b. Une rotation conserve les distances et les angles donc
MP y les triangles OAB et OCD sont égaux.
sin a = = donc y = 150 sin a
OM 150
c.
2 a. Les variables de ce script sont a, x et y.
La variable a est initialisée à 0, la variable x à 150 et la variable
y à 0.
b.
a 0 1 2 3 4 5
x 150 149,98 149,91 149,79 149,63 149,43
y 0 2,62 5,23 7,85 10,46 13,07

c. Au début du script, le lutin est placé au point de coor-


données (150 ; 0).
Dans la boucle, la variable a prend les valeurs de 1 à 90, avec
un pas de 1. Pour chacune de ces valeurs, on a x = 150 cos a
et y = 150 sin a et le lutin se dirige vers le point de coordon-
nées (x ; y).

3 a. On saisit et on exécute le script précédent.


b. Le tracé obtenu est proche d’un quart de cercle de
centre O et de rayon 150.
Pour toute valeur de a, la position M(x ; y) du lutin est telle 3 a. L’homothétie conserve les angles donc le triangle
que OM = 150, ainsi les positions successives du lutin se OEF est rectangle en E.
trouvent sur ce quart de cercle. D’autre part :
3 3 3 3
OE = × OA = × 100 = 75 et EF = × AB = × 100 = 75,
4 4 4 4
PROJET 8 donc le triangle est aussi isocèle en E.
b.
Appliquer des transformations
1 a.

100

90°

O (0 ; 0) 100

b. Le triangle obtenu est rectangle isocèle.

Projets Scratch  187 


Tâches complexes transversales
CORRIGÉS
1 La bonne expression
Voici des solutions possibles.
● A = 3 × 2x × x + x
2

A = 6x2 + x2 = 7x2
● B = 2x (2 × x – 3 – 2)
B = 2x (2x – 5)
B = 4x2 – 10x
● C = 3(2x × x + x – 2) + 1
2

C = 3(2x2 + x2 – 2) + 1
C = 3(3x2 – 2) + 1
C = 9x2 – 6 + 1
C = 9x2 – 5
● D = (3 × x + 2)(2x + 1)
D = (3x + 2)(2x + 1)
D = 6x2 + 3x + 4x + 2
D = 6x2 + 7x + 2
● E = (2x – 3)(x – 2) + x – 1
2

E = 2x – 4x – 3x + 6 + x2 – 1
2

E = 3x2 – 7x + 5.

2 La caisse enregistreuse
Voici un script possible.

3 Les groupes sanguins


Le groupe sanguin de Myriam est B+.
On lit sur le document 3 que Myriam peut donner
son sang aux personnes qui sont des groupes B+ ou
AB+. On lit sur le document 2 que les personnes qui
sont des groupes B+ ou AB+ représentent 10,2  %
(7,7 + 2,5 = 10,2) de la population française.
En assimilant les fréquences aux probabilités, on
peut en déduire que la probabilité que Myriam
puisse donner son sang à son amie Charlotte est
10,2 % ou 0,102.
4 Le grillage du parking
Calcul de la longueur BD
Le triangle ADB est rectangle en A avec AB = 45 m
et AD = 24 m.
D’après l’égalité de Pythagore : AB2 + AD2 = BD2.
452 + 242 = BD2 soit 2 025 + 576 = BD2.
BD2 = 2 601
Avec la calculatrice, on obtient BD = 51 m.
Calcul des longueurs BE et EG
D [ [BG] donc BG = BD + DG.
BG = 51 m + 20,4 m = 71,4 m
Les quadrilatères ABCD et BFGE sont des rectangles
donc les droites (AD) et (EG) sont parallèles.
Les droites (AE) et (DG) sont sécantes en B et les droi-
tes (AD) et (EG) sont parallèles.

 188
Donc d’après le théorème de Thalès : Donc mM1SM2 = 55,5°.
BA BD AD 45 51 24 mM2ST2 = 104,5° – 55,5°.
= =  , c’est-à-dire = =  . ● 
BE BG EG BE 71,4 EG Donc mM2ST2 = 49°.
45 51
• De = on déduit 51 × BE = 71,4 × 45 et ● Dans le triangle ST M rectangle en T ,
BE 71,4 2 2 2

71,4 × 45 ST2
BE =  . cos mM2ST2 =  ,
51 SM2
Donc BE = 63 m. 149 600 000
c’est-à-dire cos 49° ≈  .
51 24 SM2
• De = on déduit 51 × EG = 71,4 × 24 et Donc SM2 × cos 49° ≈ 149 600 000
71,4 EG
71,4 × 24 149 600 000
EG =  . Donc EG = 33,6 m. et SM2 ≈  .
51 cos 49°
Calcul de la longueur L du grillage Avec la calculatrice, on trouve SM2 ≈ 228 000 000 km.
L = 2 × BE + 2 × GE – AB – BC – 6 m Donc la distance entre le Soleil et la planète Mars est
L = 2 × 63 m + 2 × 33,6 m – 45 m – 24 m – 6 m environ 228 000 000 km.
L = 193,2 m – 75 m = 118,2 m 7 La montgolfière
Il faudra 118,2 m de grillage pour clôturer ce parking. D 22,5
● R = = = 11,25.
5 Le radar tronçon 2 2
Le rayon du ballon est 11,25 m.
● Voiture BE-482-GR
4 4
• 14;31;12 – 14;28;00 soit 3 min 12 s 9= × πR3 = × π × 11,253
3 3
12 9 ≈ 5 964 m3.
3 min 12 s = 3 min + min = 3 min + 0,2 min
60 Le volume du ballon est environ 5 964 m3.
La voiture a mis 3,2 min pour faire les 6 km. Comme 1  m3 d’hélium permet de soulever 1 kg, le
• 6;3,2 = 1,875 ballon peut soulever environ 5 964 kg.
Elle parcourt 1,875 km en 1 min. ● 1,5 t + 2 t = 3,5 t et 3,5 t = 3 500 kg.
1,875 × 60 = 112,5 5 964 – 3 500 = 2 464.
donc cette voiture parcourt 112,5 km par heure ; La masse totale des personnes embarquées doit
elle n’a pas commis d’excès de vitesse. être inférieure à 2 464 kg.
● Voiture EF-531-BA 2 464
• 14;32;15 – 14;29;45 soit 2 min 30 s ●  ≈ 32,8 donc le ballon peut emporter au
75
2 min 30 s = 2,5 min maximum 32 personnes.
La voiture a mis 2,5 min pour faire les 6 km.
8 La piste de ski
• 60 min = 2,5 min × 24 et 6 km × 24 = 144 km
donc cette voiture parcourt 144 km par heure ; ● 40 cm = 0,4 m
elle a commis un excès de vitesse de 14 km par heure Le volume 9 de la neige à produire est le volume
(144 – 130 = 14). d’un parallélépipède rectangle de dimensions 25 m,
480 m et 0,4 m.
● Voiture CD-893-MA
9 = 25 × 480 × 0,4 = 4 800.
• 14;33;28 – 14;30;28 soit 3 min
Donc le volume 9 de la neige à produire est 4 800 m3.
La voiture a mis 3 min pour faire les 6 km.
● 7 × 30 m = 210 m
3 3
• 60 min = 3 min × 20 et 6 km × 20 = 120 km
donc cette voiture parcourt 120 km par heure. Donc les 7 canons produisent 210 m3 de neige par
Elle n’a pas commis d’excès de vitesse. heure.
Voici le tableau complété : ● 4 800;21 ≈ 22,85
Donc les canons devront fonctionner pendant envi-
ron 22,85 h soit 22 h 51 min.
En effet, 0,85 h = 0,85 × 60 min = 51 min.

6 En astronomie
La Terre tourne autour du Soleil en 365,25 jours.
Les distances parcourues sont proportionnelles aux Le responsable doit mettre les canons en marche la
durées de déplacement, donc les angles de rotation veille de la course au plus tard à 7 h 09.
sont proportionnels aux durées de déplacement.
9 Le R0 d’une épidémie
● En 365,25 jours, la Terre a tourné de 360° donc, en
Date probable du début du confinement
360° × 106
106 jours, elle tourne de  . Chaque jour le nombre N de nouvelles personnes
365,25
Donc kT1ST2 = 104,5°. infectées est multiplié par 1,1 (documents 1 et 2).
On note n le nombre de jours qui se sont écoulés
● En 687 jours, Mars a tourné de 360° donc, en
depuis la lecture des chiffres.
360° × 106
106 jours, Mars tourne de  . On a alors : N = 25 000 × 1,1n.
687

Tâches complexes transversales  189 


Pour déterminer le nombre n de jours qui va s’écouler
jusqu’au début du confinement (c’est-à-dire la valeur du
plus petit entier n tel que N . 50 000), on peut utiliser :
● une calculatrice
En effectuant des essais on obtient :
25 000 × 1,17 = 48 717,927 5 et
25 000 × 1,18 = 53 589,720 25.
Donc le confinement sera mis en place dans 8 jours soit le
14 novembre.
● un tableur

On déduit que le confinement sera mis en place dans


8 jours soit le 14 novembre.
Date possible de la fin du confinement
● Étude des 7 premiers jours
Les 7 premiers jours du confinement, le R0 va rester égal
à 1,1 et pendant ces 7 jours le nombre de nouvelles per-
sonnes infectées chaque jour va être multiplié par 1,1.
Avec la feuille de calcul précédente on lit à la ligne 17 que
le nombre de personnes infectées dans 15 jours (7 jours
après le début du confinement soit le 21 Novembre) sera
environ 104 431.
On peut aussi utiliser la calculatrice ou compléter le pro-
gramme Scratch ainsi :

On peut :
– soit saisir dans la cellule B2 la formule : =25000*1.1^A2
– soit saisir dans la cellule B3 la formule : =1.1*B2  .
On lit sur la feuille de calcul que le confinement sera mis
en place dans 8 jours soit le 14 novembre.
– le logiciel Scratch
Voici un programme possible :

Étude des jours suivants


On peut à nouveau utiliser la calculatrice, le tableur ou le
logiciel Scratch mais ici Scratch semble le plus pertinent.

 190
On crée une nouvelle variable R0 et on complète le pro- • En remplaçant p par 13 dans la formule du document 1
gramme précédent : il vient :
13 = –0,02 N + 25
13 – 25 = –0,02 N + 25 – 25
–12 = –0,02 N
–12 –0,02 N
=
–0,02 –0,02
N = 600.
Le prix de la revue doit être 13 € et il y aura alors 1 200
abonnés.
11 Les chalets
Le modèle « Enfant » est une réduction du modèle « Adul-
te » de rapport k.
1,2
k= = 0,4
3
● Longueur B’C’ du chalet « Enfant »
B’C’ = k × BC soit B’C’ = 0,4 × 2,25 m = 0,9 m donc :
B’C’ = 0,9 m.
● Aire d’une fenêtre du modèle « Adulte »
On note ! l’aire, en cm2, d’une fenêtre du modèle
« Adulte ».
Dans un agrandissement ou une réduction de rapport k
les aires sont multipliées par k².
0,4² × ! = 200, c’est-à-dire 0,16 × ! = 200.
200
!=
0,16
Donc l’aire ! d’une fenêtre du modèle «  Adulte  » est
1 250 cm2.
● Volume du modèle « Adulte »
On lit sur le document 1 que le prix du modèle « Adulte »
est 1 200 €.
Pour ce modèle, la formule du document 3 devient alors :
1 200 = 105 V + 150
105 V = 1 200 – 150
105 V = 1 050
1 050
V= = 10.
105
Donc le volume du modèle « Adulte » est 10 m3.
● Volume du modèle « Enfant »
Dans un agrandissement ou une réduction de rapport k
les volumes sont multipliés par k3.
0,43 × 10 m3 = 0,64 m3.
Donc le volume du modèle « Enfant » est 0,64 m3.
● Prix du modèle « Enfant »
Pour le modèle « Enfant », le prix s’écrit :
P = 105 × 0,64 + 150
P = 217,2.
Donc le prix du modèle « Enfant » est 217,20 €.
12 La cycliste
Étude du vélo et de la vitesse de Lola
● 700 mm = 0,7 m et π × d = π × 0,7 m.
Le confinement devrait prendre fin dans 26 jours soit le Donc, en un tour de roue, Lola avance de π × 0,7 m.
2 décembre. Le R0 sera alors de 0,7. ● 56;14 = 4

10 L’abonnement Quand Lola fait un tour de pédalier le pignon fait 4 tours et


• On lit sur le document 2 que la recette est maximale la roue fait aussi 4 tours.
(environ 8  000  €) lorsque le prix de l’abonnement est ● Donc, en un tour de pédalier, Lola avance de
environ 13 €. 4 × π × 0,7 m c’est-à-dire de 2,8π m.

Tâches complexes transversales  191 


● Donc, en 1 seconde, Lola parcourt 0,8 × 2,8π m soit 13 Les hélices
2,24π m soit encore 0,002 24π km. Voici un script possible :
● En 1 heure, Lola parcourt
3 600 × 0,002 24π km soit 8,064π km.
Calcul de la distance à parcourir
1
La carte du document 2 est à l’échelle  .
700 000
Cela signifie que 1 cm sur la carte représente
700 000 cm soit 7 km dans la réalité.
Sur la carte, il y a 5 cm entre Olonne-sur-Mer et Saint-Jean-
de-Monts.
5 × 7 km = 35 km.
Donc Lola doit parcourir 35 km.
Calcul de la durée de la balade
35
●  ≈ 1,4
8,064π
Donc la balade va durer environ 1,4 h.
● 1,4 h =
 1 h + 0,4 h
= 1 h + 0,4 × 60 min
= 1 h 24 min
La balade va durer environ 1 h 24 min.
Calcul de l’horaire de départ
24 min 1 h

10 h 36 min 11 h 12 h
Lola doit partir au plus tard à 10 h 36.
Calcul du nombre de tours de pédalier
2,8π m = 0,002 8 km.
35
≈ 3 979
0,002 8π
Donc Lola devra donner environ 3 979 tours de pédalier.

 192
Édition : Laurence Sourdillon
Conception graphique : Clémentine Largant
Couverture : Jean-Marc Denglos
et Clémentine Largant
Fabrication : Laurence Monaï
Composition et schémas : Soft office

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