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t-o *£_
p.
THÉORIE HE LA COULISSE
i*A il PHILLIPS
ingénieur -des mines.
54054
\i
2 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
à —
odoL
- et le point
P?"
D décrit un petit arc de cercle égal à d a. On voit de
P
même que le point D, décrit un petit arc de cercle égal
%-d* : da :: OD : OD,,
P Pi
ou
PP P1P1
.
:: OD : OD,.
Pl
donc
pp
iE= ;.
IE, : p, :: P ," : P
,'
;
donc
P1P1
IE, ==
4 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
^r- :: OD : OD, ,
P P,
on a
IE ; IE, :: OD : OD,.
IE = IE,.
On a vu plus haut que le point D décrit un petit arc
égal à —
pp"
p'
dot. Or ~ = IE
pp"
Donc le petit arc décrit par
P^
(
1
)
d*=:-du.
compression ,
l’avance linéaire ,
etc. Il suffit pour cela
de faire tourner les deux rayons d’excentricité d’angles
suffisamment petits à la fois pour qu’on puisse suppo-
,
ser que ,
pour chacun de ces petits mouvements ,
la
parallèle à DD 1
,
le point A est sur l’horizontale OH , et
AM AM —d : :: CM DP: :: c : r sin e 9
,
A COULISSE.
on
AM : d :: c: c — rsinO;
donc
AM = — cdr
c sin 0
'
AM = —cdr sinO
c
*
cd
A'M =c -j- r sin 0
’
. ,
8 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
R = dx- c
2
i
—
On avait bien ,
en effet ,
cru reconnaître par tâton-
nement que la coulisse devait être tracée avec un rayon
un peu plus grand que sa distance au centre, et c’est
bien ce que donne la formule ci-dessus.
Mais il est encore plus exact de prendre pour ce rayon
celui qui satisfait à la condition que ia variation subie
par l’avance linéaire, en marchant depuis le point mort
jusqu’à l’extrémité de la coulisse ,
soit la même pour les
c
—=
cd
— rsinô
rx
IV
,
et — — = R,
c-j-rsinO
cd
on a alors ,
pour déterminer R, l’équation
2 2 2 2
c c c c
2FT 2ÏÏ
~ 2R 211
' 9
R = d.
A COULISSE. 0
10 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
A COULISSE. Il
r
(1) da. .=
r AO
’
AI
12 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
ITM H'O -f OM
Comme la distance OM varie d’une petite quantité
dans le mouvement de la coulisse, et d’une manière
encore inconnue, nous prendrons par approximation ,
pour OM ,
une valeur constante égale à d qui, comme
on le verra plus loin, se trouve être précisément sa
valeur moyenne. Ainsi, si OT = d, nous prendrons pour
OM la valeur constante OT. Par le point T, menons la
v
s’agit, pour obtenir le rapport - ,
de chercher le rapport
on trouve ,
pour ces éq nations respectivement :
y -f= k[x — d)
c
et
y — =.k! [x — d
c )
d
A COULISSE. 13
d — rcos(ô — k
w)
et
d — rcos(0-|-u>) k.
Donc
2 c-\-d{k — k')
x—d 2c
1
+ 2^
Mais
H'O
HO + OT x -\-d
Donc
H'O
H'O + OT
°U +
ou enfin
(fo_ d Lrsii
rsin(0 — w) — r — c sin (0-foo) c
(
2 )
du>
1 + 2c jd
J
— rcos(0 — + d — rcos(0-f- } (o)
r
Telîe est l’équation qu’il s’agit d’intégrer.
Or, on voit d’abord que
P r sin (0 — a)
= — log — r cos —
) d — r cos t/w [d (0
et que
r sin (0 +w )
= log — r cos + w)
)d — r cos (0-)- w
doi [ (0
. Vd — rcos(0 + w)l
\_d — rcos(0 — w)J
( r[cos(0 — — cos(0 + to) a))]
^ — rcos(0 — w)
——
,
. 2rsin6sinü>\
,
log
(
1 + )•
d
En développant ce logarithme en série et remarquant
que 2r sin 0 sin w est très-petit par rapport a d, on a :
2rsin0sinw\
d
= 2rsin0sinu>
d
)
et
2cLjd — cos —
Ç
(0 ü>)
W ^ — r cos (0 -f-
wj J
— -r .
-X-ja -r—r
2c cos
2 — 2 —d cos — w) (0
Mais
r cos (0 — w) est négligeable devant l’unité. On
peut donc poser
d
— — c
2c
X d — rcos(0 — w)
1
d
2c
X d — rcos(0-f-w)
L’équation (2) devient alors
(
3) a = cr- sinO
. A .
sin w.
(4)
a = — -sinôsmto.
r .
Les formules (3) et (4) font voir que, dans tous les
est
a
et —*
1 .
est
.
toujours négligeable,
, ,,
comme on
peut s’en assurer. On peut donc prendre simplement u
à la place de Cl. Maintenant, il est facile de voir, par des
projections, que
x = r cos — (6 <*>)-)- ^d
2
— — [u sin (0 — u)] — u 2
sin a.
Or
d2 — — rsin(0 —
[u
?
=r^
[u — sin (0 — to)]
2
“
_
\j w)] 1
| d j
=d 1
[u —r sin (0 — _ w)] 2
| ^
;
2
[u—r
car la fraction -
sin
^(0— — w)]
est assez petite
.
pour
\d 2 — —r [u sin (0 — œ)] = d — — 2
Au.
-f-
— sin(0 —
U7'
Cl
ou),
sin
2
(0 — 'w).
2rf
UT
x = r cos(Q — w)-]-rf ——+—
UT
sin — (6 co) — sinO sinco.
donc :
OG —x-\- —=
UT'
t cos (0
ÙV
— i*>)+o?+ — sin (0 — co) —— UT
sin 0 sin co
et
OG d = r cos — (0 co) —
|
—XiT
- sin (0 — co)
ut
—
e
sin0
. .
sinco.
(5) \ = t cos — + UT
-j (0 co) sin [0 — co)
UT
— sin0 sin co,
(7) \ = rcos — — UT
•— (6 to)
(x
sin (6 — to)
UT
c
sin6 sinto,
arrière ,
la rotation s’effectuant en sens inverse, to change
A COULISSE. 19
situé a une distance d de l’axe O et que toujours deux
positions de la coulisse, à égale distance de ce point,
répondent a deux angles de la manivelle ,
différant entre
eux de 180°. Si donc on marquait la verticale FF' pas-
sant par le milieu de la course du tiroir, le tiroir oscil-
\ = A cos + B co sin w.
20 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
w
cos a) par -- — 1
- et sm
.
ta par
tg
,
2 2
\/l-f-tg io y/ 1 -4- tg co
(9) +
En appelant tgw et tg^", les deux tangentes fournies
par cette équation ,
on a :
et
A COULISSE. 21
et que
— A*
S*
?—B
tg (*>' tg w" 2 5
mais
tg M'+tgtt"
tg w")
(u>' -j-
1 — tgw tg w"‘
Donc
(
12 )
tg (w' + U>
W
)
= A 2AB
— 2 2
’
\ = A cos + B a) sin w,
(14)
, ,
22 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
2Q = —2tgü _ 2AB
A —B
tg
2 2
tg (»'+«-")
tg û1
2
ou que
2Q = co' -|- o>".
donne
—
d
=—A
co
sin co
-f B cos w
O*) =
Admission. — Pour déterminer la durée de l’admis-
sion ,
on commencera par chercher l’angle Q par la
rs
(16) *>
1
= 2a — «>
0
=±2û + |.
Ouverture maximum de la lumière (T admission. —
Cette ouverture maximum correspondra évidemment à
l’angle a. Appelons-la a. On aura, pour la déterminer,
équation
l’
\
— A cos a-j-B sin a.
Or
a — — \ e.
Donc
(17) a = A cos a -U B sin a — e.
24 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
On connaîtra ainsiw2 .
ou
(18) o)
3 = 360° + — w 2
.
formule (15).
Course du tiroir.— En l’appelant 2s, on aura évidem-
ment
(19) 2s = 2A cos û + 2B sin ü.
OC = DC — OD = sin
2
to — m cosw.
Supposons que ,
quand io = 0, le point C vienne en
A COULISSE.
S ;
alors = b — m. On aura donc
OS
OC — OS = —m —b s/b
2 2
sin
2
to -j- m(l — costo).
(20) 1= s/b 2 —m 2
sin
2
o) — b -f- m( 1 — costo).
tgû
Donc
tg Q' tg Q =— 1 ;
donc Q' =Q -J-
90°.
a = —r sm
c
. A .
0 si 11 to
a = r
c
.
sin 0 sm w
goureuse.
28 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
A COULISSE. 29
tgû o = t
g 0 ou Q 0 ==e.
u l
tge 1
~d
4
+
et on déterminera r et e par les deux équations
e -f- 8 = r cos 0 —
-| §- sin 0
a
.
r—
a — ô
(
22 )
cos (0 — —cos + 1
) 0 sin ( 0 — — 1 )
si n 0 —— sin0 sinQ,
et on aura ensuite
(
23 )
e — r cos 0
-f-
~ sin 0 — 8.
r ~
30 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
i = r cos — (0 o>
3)
—
-j sin (0 —w 3
) — sin 6 sin oj
3 y
d’oit
la formule (
J
22). Or, comme a = T
- sin ô sin w,
c
pour
le meme. Quelquefois
Y ..JT,
il est different
A
;
1 1
excentriques
est différent. dans ce cas, le plus souvent le calage de l’excentrique
A COULISSE. 31
o la demi-somme 1
des angles des excentriques
ur .
.
,
. .
c '
lg (
û + — £
)
1+^
Cet angle Q, représentera la demi-durée angulaire de
l’admission, et on voit qu’il est inférieur de £ à l’angle
Q-j-e, qui serait la demi-durée angulaire de l’admis-
32 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
*
= ( — 7)
1 t(tg 0 — tg (6 — &)].
Or, 1 —— u'
,
pour les derniers crans de détente, est
i < k.
Ceci fait comprendre que, avec le calage symétrique,
une même diminution angulaire de l’angle de pleine
admission produit en général une diminution moindre
A COL' LISSE. 33
les conditions
dans lesquelles
cette distribution
tg (Q -|- s)
-f- -, doit s’opérer
'
ÎG) tg 1 = '
et en voulant
donner
{
)
1 ____ tg(a+e) n' v'
|
des calages
differents
aux deux
excentriques.
En appelant la demi-durée angulaire de la pleine
admission, on aura :
a = il
o + £
OU
(27) Q0 — — Œ £*
(
28 '
e -f a = r cos — — (a £ ü,)
U T
+ ~~ sin — — Qj — (a e
U T
— sin a sin (s + Q.)
c
3
,
n THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
et
+ = r COS — + — sin —
u.r u.r
(29) e 8 (a e) (a e sin a sin s.
tg®
(*-7)-ï
tg (û t + e)
i+jis-
Enfin, le recouvrement intérieur i se détermine par
l’équation
— i—r COS — — (a £ Cû
8) + -J- sin — —
U V
(a £ a>
3)
—
Uj
1 U V
— sin a sin (e
+ &>
3)
3
4
5
ou 6
+ ~ sin a sin (e
+w 3 ).
A COULISSE. 35
PREMIER EXEMPLE,
30 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
ci tgO
U U t
0
,
ï+ d*
38 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
vaut mieux, pour avoir un angle plus petit que 180°, chan-
ger dans la formule 20 w en 180° ( ) + <*>, ce qui donne :
(II) l=^/b 2 — ra
2
sin
2
o> — b -f- m (i -\- cos ta).
en négligeant \)
b* —m 2
sin
2
w — b on aurait à peu près :
m
En substituant cette première valeur approchée de o> dans
yô
2 —m 2
sin
2
o> — b, on aurait une première valeur de
y
ô* —m 2
sin
2
to — — D. On aurait
b alors, à l’aide de (II),
= D m + cos
/
(
I t*>)
COS 03 = — Dm— m
l
.
COS 03 = — m— m / D'
.
et ainsi de suite.
A COULISSE. 39
(mi r —
1 — cos + - 0 sin 0
u\ ur
^
+ —a cos
.
(IV) - sin 0
,
c J
6
(V) w0
B’
(23) qui, pour les barres croisées au lieu des barres droites,
devient :
(VI) e— rcos0
ut .
sm 0 — o.
ut
(VII) i — — rcos(0 — w + uv
— sin(0 — 3) 3) + — sinOsinoy.
Seulement on devra commencer par calculer l’angle ü> 3 ,
à l’aide de l’avance à l’échappement qui est donnée et de
l’équation (II) qu’on résoudra, comme il a été dit, par plu-
sieurs approximations successives.
Ayant exposé toute la méthode en détail, je passe main-
tenant aux calculs numériques, qui se rapportent à l’exemple
actuel. Aux données déjà posées, j’ajoute que pour le second
cran de la marche en avant, comme il
y a 8 crans, on a :
u — - = | 0 yl 46 =
c
n 0'“, 1095.
8 4
A COULISSE. h
^
oq ou ü 1
= 33°45'.
Je passe à l’équation (l) pour avoir la première valeur
approchée 0
t
de 6 et j’ai :
tg°i
tg®i =
u u
l--+^tgo, , ,
puis log
^
— 2,8945287 et ~ = 0,078438.
Donc tg Û, —~
De plus log ( — tgûj )
— log ( — +log (tg ^5 = 2,71 942 13.
Donc - tg = 0,052411
Puis, comme 1 -ï = |_? = 0,ss.
on a 1 —-+ tg £i = 0,30241 1
^ 1
log tg 0
4
= 0,2900616 et 0
t
= 62° 51' 10".
On a a — § = 0,0325
et log [a — 8) = 2,5118834
Puis *° g = 2,8945287
G)
log sin 0
t
= 1,9493105
log gsino, =2,8438392
)
U
et -smD,
. R
= 0,069798.
De plus log cos 0* = 1,6592300
et COS 0J = 0,45628.
Donc le dénominateur de la valeur de r x ou
1— cos + U = 0,613517.
Oj ~j
sin 0 1
et - ^cosOj = 0,0018959
Donc enfin = 0,0136799
Maintenant, d'après la formule (V),
Or log = 3,3521825
8
log = 2,1360828
B,
Donc Og = 1,2160997
(—">.)! t
Or l’arc &>
0
est assez petit pour qu’on puisse le remplacer
par son sinus. On a donc :
—% ou ( — ^ = 9°28'.0)1
(
w o)i —— 9°28'.
=29°1'.
tga
’-;r
tg0 5
u . u
‘-F + ï* 0
,
pour Oj,
0
2 = 58 ° 21 20 ".'
a — 8
2
u
i — cos Ô
2 -f — .
sin
r2 = 0 m 05995. ,
B2 = 0,0152261.
Ensuite, il faut calculer la seconde valeur approchée (w 0 ) 2
(o)
0 ) 2
=— 8° 29' 50".
0
3 = 58° 52' et r3 = 0 m ,0590.
Ces valeurs sont suffisamment approchées ,
car si on con-
tinue encore, on ne trouve plus que des différences insen-
sibles. Ainsi l’on obtient :
0
4 = 58° 48' 40" et r4 =0 ra
,0591.
r — 0m ,059.
11 reste à trouver e et i.
, ( 1 e 5
A COULISSE. A
— 2,7714331 logr 3
= 1,7 351 69
log cos 0 3 1
r cos = 0,030546 3
6
3
Qj =
Dn plus log 5,8945287
log r = 2,7714331 s
et %
d 3
sin 0 3 = 0,003966
e =r z
cos 0 3 — u- r — 3
sin 0 3 o,
« =- *7, cos 6 3
UT
— “s)+-^sin(0
1
— + U-r 3
o)
3) 3
sin 3
sinw„
et r cos(0 — w = 0,0132
3 3 3 )
46 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
De même 2,8945287
logr # .= 2,7714331
log sin (63
— 3
c«) 1,9889560
)
=
Donc log r 3 sin(0 3 — o>
8)
1 = 3,6549178
et
V
- r 3 sin (6 3 —w 3)
— — 0,0046
Enfin log
^
= 1,8750613
log r 3 — 2,7714331
log sin 0 3 = 1,9324567
log sin u)
s = 1,8417713
log sin 0 3 sin w3 == 2,4207224
j
u . A
et - r„3 sin 0 3 sinw 3 == 0,0263
c
i = 0 m ,0085.
En résumant tous ces résultats , on trouve :
question.
A COULISSE. 47
sout facilement.
DEUXIÈME EXEMPLE.
(I), 6 = a.
La formule (II) ne change pas. La formule (III) devient :
(IV) 4 B = rsinO.
La formule (V) ne change pas. La formule (VI) devient :
(VI) 1 e — r cos — 0 8.
(VII) ! i = — rcos(6 — w 3 ).
,
/ —0 ni
,56 — 0 m ,47 0 n, ,09
zn: J 28 °.
“ï = 5 = 64 “4 °
»
Gi = 64°.
1 1
— —a — 8
*
cos 1 Gj
Bj r x sin Gt.
Or log r x = 2,6938127
log sin G, = 1,9536602
log 8 = 3,8450980
log B j
= 2,6474729
Donc ,g ( — a>
0) t
== 1,1976251
A COULISSE. 49
ou ,
comme Tare w0 est assez petit pour être remplacé par
son sinus, log ( — sinwjj = 1,1970251.
Donc K), =— 9° 4' 10".
ü2 = 59°27'55".
En continuant comme précédemment, on trouve :
e = 0 ',0217.
nr
i = 0 m ,0060.
En résumé, on a :
3 e EXEMPLE.
4
60 THÉORIE DE LA DISTRIBUTION
La longueur de la coulisse ,
entre les points d’attache des
barres d’excentriques, 2c=0 n,
,480.
La course du coulisseau, dans la coulisse, depuis
totale
la pleine admission de la marche en avant jusqu’à la pleine
m
admission de la marche en arrière est égale à 0 ,320. ,
A COULISSE. 51
tg6
U U ,
tg il
c d
La formule (II) qui répond au cas où l’admission est don-
née sur la face antérieure du piston, sera remplacée par la
formule (20) qui répond au cas où l’admission est donnée
sur l’arrière du piston et qui est
(II)
2
l — y/ô
2
—m 2
sin
2
to — b -j- m ( i — cos w).
celle-ci :
(«- sr
cos (6 — Q) — cos 6
qui n’est autre chose que la formule déjà posée (22) appli-
U
4- - sin
d
(6 — ü)
de
U
sin 6
XJL
sin 6 sin Q
(V),
,
, MN
P0rt de •
MP
La formule (VI) devient, en désignant par e', e réduit
MN
dans le rapport 5
MP
= r cos + ur
,
e' -r
d
— 0
, .
sin 0 o
ou d + = r cos + —
8'
0 sin 0
ou e + = MP
MN(
?
/
COS0+
ur
7 S,n6 ) ?
' .
.
\
ou enfin
(VI), e = MP
MN(
/
rCOSe+
ur
7 Sin0 j-°-
. . \
ur ur
Je mets encore +— sin. 0 au lieu de sin. 0 qui
A COULISSE. 53
ü>
t = 84° 15' 40".
6j = 81*16' 20".
Gomme la course entière du coulisseau, dans la coulisse,
a — = 0 m ,005 8
et log(« — = 3,6532125.
8)'
7
D un autre côté , on a
0
t
— ^ = 39° 8' 30%
puis
log cos (0,
— — 1,8896308
ûj) et cos 0,77559*
puis log
j
= 1,0820531
log sin ~ = 800 1945
(8j tt
4)
ï,
log" = 1,0820531
log sin 0 X = 1,9949417
U
log sin
0,
= 1,0769948 et
A
-sme,
.
0,1 194
^^ ^
puis log
^
= 1,8653015
log sin 0< = 1,9949417
log sin = 1,8266074
log (- sinôjsinûj
j
= 1,6868506 et- sin 0* 8^^=0,48624.
cos (ôj
— Qj) — cos + 0A sin (0 t — tt
4) —^ sin 0 t —
—- c
sin 0 1 sin Q.
1
= 0,094461
et le logarithme de ce dénominateur est 2,9752525.
Donc log r =
2,6779600 et r
x
0 m 047639. x
= ,
A COULISSE. 55
= 2,6779600
log r t
De même log r i
2,6779600
log - 1,0820531
Et d’abord :
MN
ü=oX"
MP
=0 ~
m
,007
7 X—
0.55
0.62
0 m ,0062.
Donc w0
Iog(— U)„ ) 1
= 1,724802
et (— 0
w ) 1
= 0 m 53064 ou5 (» # ) 1
= — 0™, 53064
qui montre que (w 0 ) 1
est un arc négatif, dont la longueur est
de 0 m 53064 dans
, la circonférence dont le rayon est égal à
l’unité. Son nombre de degrés est donc :
0,53064
X 180° 0,53064
3,1416
X 180_ = ,
95,5152
3,1416
955152
31616
Le quotient est 30°, plus le reste, 12672. Pour avoir les
(a)
0) 1
= — 30° 24' 10".
sion, qui est 0^ = 84° 15' 40", étant de 26° 55' 45", on a,
pour la seconde valeur approchée de ü:
Q 2
= 26° 55' 45".
0
2
= 71° 55'.
r2 — 0 m 08701 , 2.
0
3 = 76° 3' 50" et r3 = 0 m 066815,
puis 0
6
= 74° 59' 10" et r6 = 0m ,07158
En continuant ainsi au delà ,
on ne trouve plus, pour 0
ment petites,
0 = 75° et r = 0 m ,0716
ou l’angle de calage = 1
5°
A CO U U SS K. 57
e 0 m ,0235 = et i = 0 m ,006 1
1° L’angle de calage . .
=15°
2° Le rayon d’excentricité r. . . . — 0 m ,07I6
3° Le recouvrement extérieur e. . . = 0 m ,0235
4° Le recouvrement intérieur i. . . = 0 ,0061 ra
Quatrième exemple.
de la marche en arrière ,
un angle de calage sur la per-
pendiculaire à la manivelle, de 90° — 0 4-iG°24'. Si le
perpendiculaire à la — 0-|-16
manivelle, de 90°
à o
24', et
= 180 + e
16° 24' = 190° 24',
00 THEORIE DE LA DISTRIBUTION
tgc +
d
tgO
u u
'-c-d * 0
ur
On a toujours B r
^1
— sin 0 - cos 6
vr
et k = r cos + -r
d
0 sin 0.
à 0 n\42.
En faisant l = 0 ,42 dans formule
,n
la
/ y/ IP —m 1
— b + m — COS
2
sin
2
co
(
1 to)
,
A COULISSE. (H
1
to
1
= 123° 23' + \
0
G 24' — 139° 49'.
Q
L’angle est toujours la moyenne entre l’angle du com-
mencement et celui de la fin de l’admission. Or, prenons
tgQ +
tgG
u
— u tgû
~c 5
dans la formule
(fl-sy
B, = 0,0326524 et A, = 0,0068762 ;
puis
(dtùj x = — 42° 4' 10".
K) 1
= 1
6° 24' — 1 2° 4' 1 0" ou (w 0 )
1
— 4° 4 9' 50"
Puis, à l’aide de ,
on a une seconde valeur approchée
de 6
0
2 = 81° 32' 50".
r2 = 0 m 058631
,
Ensuite on trouve :
Bâ = 0,0383015 A = 0,0123904 ; 2
et enfin — — 10°
(fi?w
0) 2
39';
-d’où = 45'
(ù) 0 ) s Q = 72°47'.
5° et 3
6
3 = 82° 2' 30" et r3 = 057386O'
11
,
;
puis e
4 = 81°59'10" et ru = 0 m 057526. ,
+ = 0 m 021878!
(e 8)' ,
on a + e= 0,024925 8
et par suite e =0 m
,
017925m ou e =0 ,018.
A COULISSE. 63
formule
/ = sJ b~ —m i
sin
2
w — b-\-m{ — cosw), 1
w = 149 0
1 4' 10";
ü)
3 = 165° 38' 10".
ur
i — — r cos — (6 to
ur
—
d
sin — .
(
v
0 co„
3
J
,
1
c
.
sin 0 sin
.
co«
on a = 0.002018! i!
Or = i x MP
MN*
i
Donc = 0m 002299 i ,
u
tgû +d
tg 0 =
,g ° =
»«(«»
_ ?~rf
» *
+) + ÿ
/;
tg(Q+5) ,
ettgJ = — tg(ü' + +J .)
,
1
'~d~d ,g(Q+5)
les crans de la seconde formule se rapportant à l’un des
derniers crans dont on aurait donné l’admission.
Ces deux équations, pour des valeurs approchées suc-
cessives de o et de o', donneraient les valeurs approchées
successives de <7 et de e. Du reste ,
le fond de la méthode
serait le même.
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