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Le bonheur
Le bonheur est un état (quelque chose que je vis) mais c’est aussi une dynamique
(quelque chose qui doit s’accomplir)
Le bonheur implique d’avoir répondu à certains besoins matériel : boire, manger, marché…
Le bonheur implique également d’avoir trouvé un sens à son existence ( Viktor Franckl,
professeur de neurologie et de psychiatrie, autrichien, XXe siècle)
Il repose également sur une relation avec les autres, on est jamais heureux tout seul
on a besoin des autres
Pascal : « tous les hommes recherche d’être heureux (…) jusqu’à ceux qui vont se
pendre », Pensées
Aristote affirme que c’est en fait dans l’accomplissement de sa fonction propre que
l’homme peut atteindre le bonheur
Pour Épicure, le bonheur ne survient que si l’on apprend à ne désirer que ce qui est à
notre portée
il se merite ?
Dans le christianisme, le bonheur se mérite : Il faut avoir une vie sans débauche et sans
pêcher pour pouvoir accéder au bonheur, le paradis
sociale ?
une
idéologie
Freud ne peut donner qu’une définition psychologique du bonheur : « les hommes veulent
être heureux et le rester », mais c’est irréalisable
L’homme affronte sans cesse les difficultés du monde extérieur et les conflits internes
que ces tensions provoque, le principe de plaisir et de réalité s’oppose en permanence
tjr compromis ?
Il n’y a de bonheur que pour une conscience et donc seul homme peut être heureux
et se poser la question de la nature du bonheur
Mais l’homme est un être temporelle
La mort signé l’ancien impossibilité d’un bonheur durable total