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IMMUNOCANCE

Le Noni contient différentes substances anticancéreuses parmi lesquelles se trouvent la proxeronine, l’acide
ursolique, ainsi que le damancanthal. Il incite également à la production d’oxyde nitrique.

* la proxeronine stimule la production de xeronine dans l’organisme, élément que nous produisons peu. La
xeronine permet d’assurer le fonctionnement adéquat des cellules saines, elle intervient également au niveau
de l’anarchie cellulaire, favorisant un retour à la normale. Elle renforce également le système immunitaire.

* l’acide ursolique (présent dans la feuille de noni) est un chimiopréventif. Les recherches en cours
semblent indiquer qu’il incite les cellules cancéreuses à s’autodétruire ( international journal of oncology,
année 2000). Les dernières études démontrent sa capacité à inhiber le processus cancéreux dans le cancer du
sein et de la prostate. L’acide ursolique agit aussi sur les virus, bactéries et champignons.

* l’oxyde nitrique n’est pas contenu dans le Noni, mais le Morinda incite à sa production dans
l’organisme. L’oxyde nitrique est indispensable au fonctionnement adéquat du système immunitaire. Il
régule la production des hormones de croissance et l’éfficacité de différentes cellules immunitaires
(macrophages et lymphocytes par exemple). Il semble qu’il agit sur le processus de réplication de l’ADN
des cellules malignes.

* Le damancanthal bloque la fonction cellulaire des protéines R.A.S ( recherches effectuées par Hiramatsu
et son équipe en 1993, cancer letters, Vol.73 ) dont le gène est muté dans 30% à 60% des cancers ( pour
exemple : 60% dans les cancers colorectaux, 90% dans les cancers du pancréas). C’est à travers la protéine
R.A.S que transite la plupart des signaux stimulant la prolifération cellulaire ainsi que la croissance tumorale.
Une injection de damancanthal dans les cellules RAS inhibe leur multiplication. Le damancanthal a déjà fait ses
preuves dans le cancer du poumon, du colon et du pancréas ainsi que dans la leucémie.
Par ailleurs, le damancanthal inhibe les antigènes précoces du virus epstein-barr (Ce virus à ADN est
responsable de la mononucléose infectieuse et impliqué dans l’apparition de certaines tumeurs). …ainsi que
l’enzyme tyrosine kinase (cette enzyme augmente la croissance des cellules malignes). L’action du
damancanthal sur la tyrosine kinase est celle actuellement recherchée par la chimiothérapie moderne, elle peut-
être obtenue ici par ce composant du Noni sans effet secondaire. Pour exemple, on évalue à 30% la proportion
des cancers colorectaux résultant d’une mutation dans une Tyrosine Kinase.

D’après le docteur Heinicke, certains éléments de la cellule (microsomes, ADN, ARN, appareil de
golgi….) sont tributaires de la xeronine, celle-ci intervient donc au sein même de la cellule (et par conséquent
sur l’ensemble de l’organisme).
C’est le cerveau, via le foie, qui fait en sorte que la proxeronine soit diffusée toutes les deux heures dans le sang
afin que les differents organes et tissus puissent l’utiliser afin d’assurer le maintien ou la régénérescence
cellulaire. La quantité disponible ne permet généralement que l’entretien ; lors de cancer ou d’infections
répétées, le taux disponible n’est plus suffisant : l’apport exogène à travers le jus de Noni est alors nécessaire.
C’est lorsque la proxeronine se combine avec la proxeronase et la sérotonine que l’on obtient l’alcaloide
xeronine qui est alors utilisé par l’organisme pour la réparation cellulaire. Le facteur limitant se trouve être la
proxéronine ; son apport en quantités suffisantes dans le jus de Noni permet l’action de l’ensemble.

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Pour confirmer sa théorie, le Docteur Heinicke a empoisonné des souris à la Tétrodotoxine, une toxine mortelle.
Les souris non traitées avec la xéronine extraites du Noni sont mortes, celles traitées ont survécu et vu leur
symptômes disparaître.

Par ailleurs, en 1992, Anne Hirazumi de l’université d’Hawaï a prouvé qu’un précipité de Noni a permis
d’augmenter de 75% l’espérance de vie de souris à qui le carcinome pulmonaire de Lewis avait été inoculé.

Mian-Ying Wang de la faculté de médecine de Rockford ( Illinois ) a mis en évidence ( lors du 91eme congres
de l’american association for clinical research 04/2000 ) l’action du Noni sur le nombre d’adduits présents dans
l’ADN. Il a été démontré que 70% des cancers peuvent être attribués à des facteurs environnementaux toxiques
qui après pénétration dans l’organisme se fixent dans l’ADN, l’ARN ou les protéines et forment des adduits.
( Adduits= addition et produits ). Au niveau de l’ADN, ces adduits deviennent mutagènes, puis cancérogènes.
L’adduit est révélateur de l’aspect toxicologique, mutagène ou cancérogène d’une molécule.
Mian-Ying Wang a pu montrer qu’en injectant du DMBA ( une substance cancérogène ) à des souris à qui on
avait préalablement administré une solution de noni à 10% durant une semaine, que les tests comparatifs
révélaient moins d’adduits sur l’ADN. Les poumons des souris buvant du Noni avaient 50% de moins d’adduits
que celles buvant de l’eau. Concernant d’autres organes, il a été trouvé les rapports suivants : 60% de moins
d’ADN marqueurs pour le cœur, 70% pour le foie, 90% pour les reins. Les différences sont conséquentes et
mettent en évidence l’action du Noni sur les adduits.

L’action du Noni sur l’immunité favorise son action contre le cancer. Les macrophages et lymphocytes
limitent l’invasion des tumeurs. Nous avons vu précédemment que le Noni favorise la production
d’interleukines, d’interferon, du facteur de nécrose tumorale ( TNF ), des lymphocytes T (cellules tueuses
naturelles NK, les CD4, les CD8 ), et l’action des macrophages.

Le damancanthal 

Nos cellules ont une durée de vie donnée, une « mort cellulaire programmée » appelée aussi apoptose. Cette
mort cellulaire est nécessaire à la survie des organismes multicellulaires ; les cellules s’autodétruisent
lorsqu’elles ne sont plus utiles, endommagées, ou dysfonctionnelles. L’apoptose concerne des cellules
individuelles. Le nombre de cellules est donc contrôlé par l’équilibre entre la prolifération cellulaire et
l’apoptose. Des perturbations dans le fonctionnement du suicide cellulaire provoquent diverses pathologies. Un
excès de mort cellulaire peut occasionner des maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson….) ; à
l’opposé, une réduction de la mort cellulaire aboutissant à la survie de cellules destinées à mourir peut
provoquer des maladies auto immunes ou le cancer. Le damancanthal, ici, contribue à l’apoptose des cellules
malignes.

Dans la pratique, nous avons vu qu’un cancéreux devait consommer une à deux cuillérées à soupe toute
les deux heures afin de maintenir un taux de proxeronine adéquat. Cette quantité peut varier en fonction de
l’état de la personne. Le Noni agit par ailleurs sur les facteurs aggravants périphériques du cancer : le stress, la
petite déprime, le manque d’allant ou d’entrain. La prise de Noni s’associe avec les traitements classiques du
cancer. Elle miniminise également les effets secondaires de la chimiothérapie.
Pour notre part, nous avons voulu aller plus loin. Nous avons regardé du côté de l’Asie qu’elle était
l’approche alternative du cancer. La science de l’occident découvre depuis quelques décades la science de
l’orient. Elles ont chacune les mêmes exigences. Des ponts se créent. Voici ce que nous en retenons :

En Asie, le rôle des polysaccharides dérivés des champignons médicinaux dans les programmes des
traitements du cancer ont été largement étudié. Ils sont considérés comme des modulateurs du système
immunitaire ayant la possibilité d’inhiber certaines croissances tumorales. La radiothérapie et la chimiothérapie
portent atteinte aux défenses immunitaires, qui peuvent également être atteinte par le cancer lui-même. Les
modificateurs de la réponse biologique, en plus de la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie, ont un rôle
très important à jouer. Nous avons vu plus haut que le Noni faisait partie de ceux là. Nous allons à présent vous
parler des champignons qui peuvent l’accompagner. Bien que ceux-ci soient également utilisés par voie

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intraveineuse en milieu hospitalier, la voie orale a prouvé son efficacité. Il s’agit du Shïtaké, du Maïtaké et du
Ganoderme.

Le Shïtaké ou Lentinus Elodes augmente de manière significative (jusqu’à 2,5) le nombre de cellules
tueuses (N.K) ainsi que les C.D.8 cellules suppressives. Son pouvoir de destruction des tumeurs a été mesuré
par Chihara à 60% (contre 85% pour le maïtaké). C’est Chihara le premier en 1970 qui a isolé le lentinan,
principe actif du shïtaké. Il a démontré son activité antitumorale et son usage dans la prévention de métastase.
Furue et Taguchi ont montré qu’il prolongeait la survie de patients cancéreux, plus particulièrement les cancers
gastrique et colorectal. Le lentinan, par ailleurs, réduit les effets négatifs d’une chimiothérapie comme la
nausée, la perte de cheveux, la douleur ou l’atteinte immunitaire.

Le Maïtaké ou Grifola Frondosa contient un bêta 1,6 glycane à l’activité extrêmement


immunostimulante. Il multiplie par 3 l’activité des Naturel Killer (cellules N.K). Les travaux de Nanba ont
montré qu’il diminuait de 67% la croissance des cellules cancéreuses du sein et de la peau chez la souris. Le
nombre de métastases est divisé de 5 à 11 en fonction des doses.
Une dose de 4 à 5 grammes par jour de Maïtaké provoque l’immunostimulation maximale. Une étude sur
les cellules cancéreuses de la prostate a montré que le Maïtaké provoquait la mort de 95% des cellules
cancéreuses par apoptose. L’ajout de vitamine C réduit le niveau efficace requis. D’excellents résultats ont pu
être obtenus sur des cancers hepato cellulaires avancés. Par ailleurs, le Maïtaké a la propriété de protéger le foie
contre l’agression hépatique médicamenteuse. Cette propriété a été utilisé afin d’améliorer l’éfficacité de la
chimiothérapie. Comme pour le Shïtaké, le Grifola permet d’atténuer les effets secondaires de la
chimiothérapie. Nanba, dans son étude de 1997 a pu observer le % de régression tumorale (et/ou amélioration
symptomatique significative) suivant en fonction de la localisation et de l’association ou non avec la
chimiothérapie :

Chimiothérapie + Maïtaké Maïtaké seul


Os 17% 3%
Estomac 37% 15%
Leucemie 45% 22%
Pancréas 48% 55%
Cerveau 33% 36%
Prostate 55% 50%
Foie 77% 55%
Poumon 79% 65%
Sein 76% 74%

Il est intéressant de constater que le Maïtaké donne de meilleurs résultats sans le secours de la
chimiothérapie dans le cadre d’atteinte cancéreuse du pancréas et du cerveau. Sinon, chimiothérapie et Maïtaké
cumulés permettent d’obtenir les meilleurs résultats.

Le Reïshi ou Ganoderma Lucidum possède une puissante activité antitumorale en agissant sur l’apoptose des
cellules cancéreuses (mort de la cellule par arrêt de reproduction). Il inhise les métastases. Il peut induire le
retour à la normale des cellules leucémiques ( Lieu CW, anticancer research, 1992 ), ou comme les
champignons cités précédemment favoriser les Natural Killer mais aussi l’activation des macrophages. Son
usage clinique a démontré son efficacité dans le cancer du colon et de l’estomac. Nous lui trouvons également
un grand intérêt préventif au niveau des polypes coliques dont il diminue la fréquence et la vitesse de
croissance. Par ailleurs, le Ganoderme réduit la douleur et protège le foie des radicaux libres. Des essais sont en
cours concernant le HIV.

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Voilà pourquoi nous avons associé le Noni au Ganoderme, Maïtaké, Shïtaké ainsi qu’à l’Acérola dans une
poudre à diluer dans de l’eau chaude afin d’activer les chaînes de béta glycane du Maïtake. Cette poudre, à côté
de la consommation régulière du jus de Noni nous a permis d’obtenir la prévention des métastases, la
diminution des tumeurs, voire dans certains cas leur disparition. Associé à la chimiothérapie, elle a donné tous
les résultats escomptés. Cette formulation a trouvé sa place :
- en usage préventif ainsi que dans le cadre d’une relance immunitaire
- en cours de chimiothérapie en tant que médication d’une part, en tant que modérateur des effets secondaires
de la chimiothérapie d’autre part
- en usage « post cancéreux » dans le cadre de cures afin de prévenir une rechute et de renforcer le système
immunitaire.

Confidentiel, ne pas diffuser. Réservé aux praticiens.

IMMUNOCANCE

INGREDIENTS : Maïtaké, Shiitaké, Ganoderme, Noni, Acérola.

Cure d’entretien : ½ cuillère à café rase = 1 gr


Cure d’attaque : 2 cuillères à café rase = 4 grs

Poids net : 200 grs

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Confidentiel, ne pas diffuser.

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