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Test 01

1. Un crédit à la consommation est une opération :


a. Uniquement de transfert de la consommation future vers le présent
b. Uniquement de transfert de revenu futur vers le présent ;
c. Les deux à la fois

2. Une épargne est une opération :


a. Uniquement de transfert de la consommation présente vers le future
b. Uniquement de transfert de revenu présent vers le futur
c. Les deux à la fois

3. Parmi les opérations suivantes cochez celles prises essentiellement par les ménages :
a. Décisions d'épargne
b. Décisions de placement
c. Décisions de financement
d. Optimisation des risques
e. Choix d'investissement
f. Décisions de gestion d'exploitation

4. Parmi les opérations suivantes cochez celles prises essentiellement par les
entreprises :
a. Décisions d'épargne
b. Décisions de placement
c. Décisions de financement
d. Optimisation des risques
e. Choix d'investissement
f. Décisions de gestion d'exploitation

5. Parmi les opérations suivantes cochez celles prises tant par les ménages que par les
entreprises :
a. Décisions d'épargne
b. Décisions de placement
c. Décisions de financement
d. Optimisation des risques
e. Choix d'investissement
f. Décisions de gestion d'exploitation

6. Parmi les opérations produits financiers ci-dessous cochez celles échanger sur le
marché monétaire :
a. Billets de trésorerie
b. Dette de court terme
c. Dette de long terme
d. Bons du trésor à échéance supérieure à un an
e. Bons du trésor à échéance inférieure à un an
f. Les obligations
g. Les actions

7. Parmi les opérations produits financiers ci-dessous cochez celles échanger sur le
marché des capitaux :
a. Billets de trésorerie
b. Dette de court terme
c. Dette de long terme
d. Bons du trésor à échéance supérieure à un an
e. Bons du trésor à échéance inférieure à un an
f. Les obligations
g. Les actions

8. La valeur d'un produit dérivé dépend :


a. uniquement du prix de sa cotation
b. essentiellement de la valeur des actifs sous-jacents

9. Pami les énoncés mentionnées ci-dessous cochez celles vraies. Un call (option
d'achat) est un titre qui :
a. est assimilable à l’achat d’un droit d’acheter un actif à un prix plancher
b. protège l’acheteur contre la hausse des prix
c. oblige un acheteur d’acheter un actif à un prix donné avant une échéance donnée
d. n’oblige pas un acheteur d’acheter un actif à un prix donné avant une échéance
donnée

10. Parmi les énoncés mentionnées ci-dessous cochez celles vraies. Un put (option de
vente) est un titre qui :
a. Oblige un vendeur de vendre un actif à un prix donné avant une échéance donnée
b. N’oblige pas un vendeur de vendre un actif à un prix donné avant une échéance
donnée
c. Protège le vendeur contre la hausse des prix
d. Est assimilable à l’achat d’un droit de vendre un actif à un prix plancher

11. Parmi les énoncés mentionnées ci-dessous cochez celles vraies. Un contrat à terme
est un titre qui :
a. Oblige uniquement le vendeur de vendre un actif à un prix donné avant une
échéance donnée
b. Oblige uniquement l'acheteur à acheter un actif à un prix donné avant une échéance
donnée
c. Oblige le vendeur et l’acheteur à réaliser la transaction à un prix donné avant une
échéance donnée
d. Protège le vendeur et l’acheteur contre la hausse des prix

12. Parmi les organismes cités ci-dessous cochez ceux exerçant l’activité d’intermédiaire
financier :
a. Attijariwafa bank,
b. Wafa Assurance
c. La Caisse de Dépôt et de Gestion
d. Banque Al Maghrib
e. La Poste
f. Autorité Marocaine du Marché des Capitaux
g. Holding for Finance and Trade
h. OPCVM
i. Moody’s
j. Standard & Poor’s

13. Parmi les organismes cités ci-dessous cochez ceux exerçant l’activité de régulateur
financier :
a. Attijariwafa bank,
b. Wafa Assurance
c. La Caisse de Dépôt et de Gestion
d. Banque Al Maghrib
e. La Poste
f. Autorité Marocaine du Marché des Capitaux
g. Holding for Finance and Trade
h. OPCVM
i. Moody’s
j. Standard & Poor’s

14. Parmi les organismes cités ci-dessous cochez ceux exerçant l’activité de société
financière et d’information financière :
a. Attijariwafa bank,
b. Wafa Assurance
c. La Caisse de Dépôt et de Gestion
d. Banque Al Maghrib
e. La Poste
f. Autorité Marocaine du Marché des Capitaux
g. Holding for Finance and Trade
h. OPCVM
i. Moody’s
j. Standard & Poor’s
Test2

1. Cochez les affirmations vraies :


a. Le bilan est un état de la situation patrimoniale de l'entreprise depuis sa création
b. Le passif d'un bilan est égal à l'actif quand l'entreprise est gérée de manière équilibrée
c. Le passif d'un bilan est égal à l'actif car c'est une identité comptable
d. Les données du bilan reflètent des stocks
e. Les données de bilan reflètent des flux
f. Tous les comptes de bilan figurant à l'actif ont un solde débiteur sans exception
g. Tous les comptes de bilan figurant au passif ont un solde créditeur sans exception

2. L’actif immobilisé comprend :


a. des biens et des créances durables
b. des biens et des créances liés au cycle d’exploitation de l’entreprise
c. des biens et des créances liés au cycle d’investissement de l’entreprise

3. Les capitaux propres représentent les ressources de financement définitivement


acquises par l'entreprise :
a. vrai
b. faux

4. Une variation négative des stocks de produits finis signifie que :


a. stock final < stock initial
b. stock final > stock initial
c. l’entreprise est en situation de surstockage
d. la production de l’exercice est inférieure à la production vendue
e. le solde du compte « 7135 Variation des stocks de produits » est créditeur

5. Le résultat de l’exercice :
a. est calculé par différence entre le total des produits et le total des charges
b. figure toujours à l'actif du bilan
c. représente toujours une ressource de financement
d. figure toujours du côté des produits dans le compte de résultat
e. est un élément des capitaux propres
f. figure dans le bilan après affectation du résultat
6. Le passif et l’actif sont égaux :
a. Uniquement quand les entreprises sont gérées d’une manière équilibrée
b. Car on les équilibre toujours par des procédés comptables
c. Car ils forment une identité comptable.

7. Une entreprise a émis un emprunt obligataire à long terme de 50 millions.


L’affectation définitive de cet emprunt sera décidée par le Conseil d’administration qui
se tiendra dans trois mois, cochez les opérations concernées par cette action en
attendant la décision du Conseil d’administration :
a. Le compte disponibilité sera crédité de 50 millions
b. Le compte disponibilité sera débité de 50 millions
c. Le compte dettes de long terme sera débité de 50 millions
d. Le compte dettes de long terme sera crédité de 50 millions
e. Le passif augmenterait de 50 millions
f. L’actif diminuerait de 50 millions
g. L’actif et le passif augmenteraient de 50 millions

8. En utilisant les données du tableau 2.2 de la feuille CD du fichier "BD TEST


TCM16FIN VET SS (V30-07-2022)" et en supposant que l’entreprise au lieu de payer 10
millions de dividendes, a conservé la totalité de son résultat net, cochez les opérations
concernées par cette action :
a. Le résultat net augmenterait de 10 millions
b. Le résultat net baisserait de 10 millions
c. Le résultat net restera inchangé
d. Le compte disponibilités sera débité de 10 millions.
e. Le compte disponibilités sera crédité de 10 millions
f. Le compte capitaux propres sera débité de 10 millions
g. Le compte capitaux propres sera crédité de 10 millions
h. Le bilan à la fin de l’année N augmenterait de 10 millions
i. Le bilan à la fin de l’année N diminuerait de 10 millions

9. En utilisant les données du tableau 2.3 de la feuille CD du fichier BD TCM16FIN VET


SS et en supposant que l’entreprise au lieu de payer 10 millions de dividendes, elle
avait conservé la totalité de son résultat net pour réduire ses besoins de financement,
cochez les opérations concernées par cette action :
a. Le compte Dividendes sera débité de 10 millions.
b. Le compte Dividendes sera nul
c. Le compte Dettes financières enregistrerait 104,6 millions
d. Le compte Dettes financières enregistrerait 84,6 millions

10. La valeur du marché d'une action diffère souvent de sa valeur comptable, cochez les
raisons qui expliquent ce fait :
a. La valeur comptable ne prend pas en compte tous les actifs et passifs de l'entreprise
b. Dans le bilan les prix des passifs et des actifs sont définis par la loi de l’offre et de la
demande
c. Avec l’inflation les immobilisations sont souvent surévaluées
d. La valeur comptable ne reflète pas la valeur du marché des actifs et des passifs
e. Les analystes boursiers ne prennent pas en considération le cout réel de la dette

11. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que la valeur ajoutée à l'année t+1
serait de :
a. 531
b. 544
c. 557
d. 570
e. 583
12. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que le Résultat d'exploitation à
l'année t+1 serait de :
a. 354
b. 363
c. 372
d. 380
e. 389

13. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Charges financières à
l'année t+1 serait de :
a. 118
b. 123
c. 136
d. 144
e. 145

14. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que le Résultat net à l'année t+1
serait de :
a. 160
b. 166
c. 172
d. 178
e. 184

15. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Dividendes à l'année t+1
seraient de :
a. 112
b. 116
c. 121
d. 125
e. 129

16. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Variation des capitaux
propres à l'année t+1 seraient de :
a. 48
b. 50
c. 52
d. 53
e. 55

17. En se référant à la feuille " BPEX" et en supposant que l’entreprise FICTIVA projette
de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Dettes d'exploitation à
l'année t+1 seraient de :
a. 213
b. 218
c. 223
d. 228
e. 233

18. En se référant à la feuille « BPEX » et en supposant que l’entreprise FICTIVA


projette de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Capitaux propres à
l’année t+1 seraient de :
a. 1 381
b. 1 383
c. 1 385
d. 1 386
e. 1 388

19. En se référant à la feuille « BPEX » et en supposant que l’entreprise FICTIVA


projette de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que le Besoin de
financement additionnel à l’année t+1 seraient de :
a. 50
b. 147
c. 244
d. 341
e. 437

20. En se référant à la feuille « BPEX » et en supposant que l’entreprise FICTIVA


projette de réaliser une croissance de 2,5%, peut-on affirmer que les Dettes à court
terme à l’année t+1 seraient de :
a. 2 057
b. 2 154
c. 2 251
d. 2 347
e. 2 444
Test3

1. En se référant à la feuille "BPEX" et au tableau "Croissance comparée des indicateurs


financiers par scénario de croissance des ventes" et en analysant les taux de croissance
du résultat net et de la dette du court terme (CT) ainsi que leurs valeurs respectives
peut-on conclure que l'entreprise :
a. serait capable de réduire rapidement sa dette de CT
b. serait incapable de réduire rapidement sa dette de CT
c. absorbera totalement ses dettes de CT

Commentaires : L’entreprise n’a pas suffisamment de fonds propres et finance sa


croissance exclusivement avec la dette de court terme. De ce fait, cette dernière a
tendance à s’hypertrophier.
2. En se référant à la feuille "BPEX" et au tableau "Croissance comparée des indicateurs
financiers par scénario de croissance des ventes", on constate que la marge
d'exploitation est constante. Cette tendance, d'après vous, est dû au fait que les ventes
et le résultat d'exploitation :
a. varient dans le même sens
b. sont parfaitement corrélées aux ventes
c. varient disproportionnellement

3. En se référant aux feuilles Excell "BPEX" et au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", on constate que la
rentabilité économique est constante quel que soit l'hypothèse de croissance des ventes.
D'après vous ce constat est dû :
a. à l'invariabilité de l'actif
b. à l'invariabilité de la marge d'exploitation
c. au fait que les deux variables présentent des parts constantes dans les ventes

4. En comparant les rentabilités boursière, financière et économique peut-on conclure


que l'entreprise est :
a. rentable
b. non rentable
c. faiblement rentable

5. En se référant aux feuilles Excell "BPEX" et au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", peut-on conclure que le
ratio de rotation des créances des clients est :
a. très loin de la valeur réglementaire de l'indicateur
b. au voisinage de la valeur réglementaire maximale de l'indicateur
c. au voisinage de la moyenne de l'indicateur

6. En se référant aux feuilles Excell " BPEX" et au tableau "Croissance comparée des
indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", peut-on conclure que le
ratio de rotation des stocks est :
a. proche de la norme Just in time
b. loin de la norme Just in time
c. au voisinage d'une bonne performance de gestion des stocks

7. En se référant aux feuilles Excell "BPEX" et au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", peut-on conclure que le
ratio de rotation de l'actif permet de conclure que :
a. chaque dirham investi génère 3,6 dhs de chiffre d'affaires
b. le chiffre d'affaire fait une rotation 3,6 fois
c. Il faut réduire 3,6 fois le coût des immobilisations

8. En se référant aux feuilles Excell " BPEX", au tableau "Croissance comparée des
indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes" et au ratio d'endettement,
peut-on conclure que l'entreprise est :
a. plutôt surendettée
b. correctement endetté
c. peu endettée

9. En se référant aux feuilles Excell " BPEX", au tableau "Croissance comparée des
indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", le ratio de liquidité
globale indique :
a. le niveau de liquidité des actifs
b. le niveau de liquidité du passif
c. la capacité d'honorer les paiements des dettes de court terme

10. En se référant à la feuille Excell "BPEX1" et au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes", le ratio de liquidité
immédiate, indique que l'entreprise est dans une situation financière :
a. alarmante
b. confortable
c. normale

11. En se référant à la feuille Excell "BPEX", au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes, au ratio d'endettement et
aux autres indicateurs pertinents, peut-on conclure qu'une croissance soutenue des
ventes profiterait principalement :
a. à l’Etat
b. aux actionnaires
c. aux banques

12. Si le ratio de capitalisation des bénéfices est égal à 1, cela signifie qu'il suffit pour
récupérer le capital investi :
a. d'une année d'exploitation
b. d'une année d'exploitation avec un taux de croissance des ventes de 12% par rapport
à l'année t
c. d'une année d'exploitation avec une importante réduction des charges financières

13. La valeur comptable d'une action :


a. dépend uniquement du prix d'achat de l'action
b. dépend du prix d'achat de l'action et de la variation des capitaux propres
c. est Invariable

14. La valeur boursière d'une action :


a. dépend uniquement du prix d'achat de l'action
b. est invariable
c. dépend de l'offre et de la demande de l'action

15. Si le ration valeur comptable/valeur boursière est de 0,85, cela signifie que la vente
de l'action produirait :
a. un bénéfice
b. une perte
c. ni perte ni bénéfice

16. La valeur nette comptable d'une immobilisation :


a. dépend uniquement du prix d'achat de l'immobilisation
b. est invariable
c. dépend du prix d'achat et de l'amortissement

17. En se référant à la feuille Excell "BPEX", au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes et aux autres indicateurs
pertinents, peut-on conclure que l’entreprise :
a. profite du crédit interentreprises
b. ne profite pas du crédit interentreprises
c. le crédit interentreprises n’affecte pas ses performances financières

18. En se référant à la feuille Excell "BPEX", au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes, aux autres indicateurs
pertinents et en supposant que l’entreprise gère ses stocks selon la norme just in time,
peut-on conclure que l’entreprise :
a. profiterait du crédit interentreprises
b. ne profiterait pas du crédit interentreprises
c. le crédit interentreprises n’affecterait pas ses performances financières

19. En se référant à la feuille Excell "BPEX", au tableau "Croissance comparée des


indicateurs financiers par scénario de croissance des ventes, aux autres indicateurs
pertinents et en supposant que vous devez conseiller l’entreprise à améliorer ses
performances en matière de crédit interentreprises quelle serait la principale mesure à
recommander à l’entreprise (Référez-vous aux normes des relations commerciales et de
gestion des stocks) :
a. Réduire la durée de rotation des stocks ;
b. Réduire la durée de paiement des clients ;
c. Augmenter la durée de paiement des fournisseurs
20. Plus l’entreprise FICTIVA viserait des taux de croissance élevés plus elle aurait des
problèmes de liquidité :
a. Vrai
b. Faux
Test4

1. La répartition du résultat en réserves et en dividendes a pour effet d’augmenter :


a. les capitaux propres du montant du résultat
b. les capitaux propres du montant des réserves
c. les dettes à plus d’un an du montant des dividendes
d. les dettes à moins d’un an du montant des dividendes

2. Parmi les équilibres suivants, cochez ceux qui vous paraissent sains pour une
entreprise industrielle :
a. Le Fond de roulement représente 125% du Besoin de fond de roulement
b. Le Fond de roulement représente 25% du Besoin de fond de roulement
c. Le Besoin de fond de roulement représente 25% du Fond de roulement
d. Le Besoin de fond de roulement représente 125% du Fond de roulement

3. Parmi les mots suivants, cochez ceux qui vous paraissent être des mots clés du bilan
financier :
a. cycle d’investissement
b. liquidité
c. cycle de financement
d. solvabilité
e. exigibilité

4. Quelles sont les opérations qui contribuent à augmenter le fonds de roulement net
global :
a. le remboursement d’un emprunt à long terme
b. l’acquisition d’une immobilisation
c. l’augmentation de capital en numéraire
d. l’augmentation de capital par incorporation de réserves
e. la cession d’immobilisation dont la valeur nette est supérieure à zéro

5. Les capitaux propres doivent couvrir au minimum 10 % des dettes pour que
l’entreprise soit jugée autonome :
a. vrai
b. faux

6. En se référant aux données du tableau ci-dessous, la banque doit prendre une


décision sur la demande de prêt pour financer un investissement d’un montant de 400.
Quelle serait la décision que prendrait la banque ?
a. refusera l’emprunt
b. acceptera l’emprunt

7. Supposons que l’entreprise FICTIVA n’a aucune dette et elle n’est pas soumise à
l’impôt sur les sociétés. Son capital est réparti en 10 000 actions cotées à 30. La société
envisage d’emprunter 60 000 pour payer un dividende extraordinaire. Dans ce contexte
la valeur de FICTIVA, après payement du dividende extraordinaire serait :
a. 10 000 x 30 = 300 000
b. 10 000 x (30-6) = 240 000

8. Supposons que l’entreprise FICTIVA n’a aucune dette et elle n’est pas soumise à l’impôt sur les sociétés.
Son capital est réparti entre 10 000 actions cotées à 30.

FICTIVA envisage d’emprunter 60 000 pour racheter en Bourse une partie de ses
actions. Dans ce contexte la valeur de FICTIVA, après rachat des actions serait :
a. 240 000 + 60 000° = 300 000
b. 8 000 x (30) = 240 000

9. L’analyse des documents comptables d’une entreprise et de sa cotation en bourse


permettent de disposer des informations suivantes : le Nombre d’actions en circulation
est de 200 000, le cours par action est 40 et les dettes totales s’élèvent à 4 000 000.
On suppose que le prix d’émission des nouvelles actions est égal au prix du marché.
La société n’est pas soumise à l’impôt sur les sociétés. Dans ce contexte, la valeur
initiale de l’entreprise serait :
1. 8 000 000
2. 4 000 000
3. 12 000 000

10. Une entreprise veut augmenter son capital pour diminuer son endettement de
moitié. L’analyse de ses documents comptables et de sa cotation en bourse permettent
de disposer des informations suivantes : le Nombre d’actions en circulation est de 200
000, le cours par action est 40 et les dettes totales s’élèvent à 4 000 000. On suppose
que le prix d’émission des nouvelles actions est égal au prix du marché. La société
n’est pas soumise à l’impôt sur les sociétés. Dans ce contexte, le nombre d’actions à
émettre et le nombre d’actions après l’opération seront :
a. 100 000 et 150 000
b. 300 000 et 350 000
c. 50 000 et 250 000

11. Une action est cotée actuellement à 50. Les actionnaires bénéficient d’un dividende
annuel de 2. Le taux de dividende est habituellement de 4,5%, le taux de croissance du
bénéfice brut par action est de 5% et le taux de rendement attendu par les actionnaires
est de 10%. Selon la méthode d’Irvin Fisher, quelle est la valeur actualisée de cette
action ?
1. 22
2. 32
3. 20
4. 45

12. Une action est cotée actuellement à 50. Les actionnaires bénéficient d’un dividende
annuel de 2. Le taux de dividende est habituellement de 4,5%, le taux de croissance du
bénéfice brut par action est de 5% et le taux de rendement attendu par les actionnaires
est de 10%. Selon la méthode de Gordon et Shapiro, quelle est la valeur actualisée de
cette action ?
1. 52
2. 42
3. 66
4. 75

13. Le cours théorique de l'action de l’entreprise FICTIVA est de 100. Chaque année,
l’entreprise investit un montant égale à ses dotations pour amortissement. Le taux de
rétention des résultats est nul et la croissance du résultat est nul. Les investisseurs
exigent une de rentabilité de 15 %. Si l’on se réfère, pour évaluer les actions de
FICTIVA, à l’approche d’anticipation des bénéfices et les opportunités
d'investissement. Le bénéfice par action de FICTIVA serait :
1. 15
2. 20
3. 30

14. Le bénéfice par action d’une société est égal à 15. La société réinvestit 60 % de ses
résultats chaque année dans des nouveaux investissements qui rapportent une
rentabilité de 20 % par an. Les investisseurs exigent une de rentabilité de 15 %. Le taux
de croissance des dividendes et de 12% par an. En se référant au modèle de Gordon-
Shapiro, quelle serait la valeur théorique de cette société :
1. 400
2. 200
3. 300

15. Une société réinvestit 60 % de ses résultats chaque année dans des nouveaux
investissements qui rapportent une rentabilité de 20 % par an. Dans ce contexte, le
taux de croissance des dividendes serait. En se référant au modèle de Gordon-Shapiro,
quelle serait la valeur théorique de cette société :
1. 14%
2. 12%
3. 13%

16. La capitalisation boursière d’une entreprise s’élève à 12 000 000. Le nombre


d’actions circulation s’élève à 10 000 et le résultat net atteint 600 000. Le PER est donc
égal à :
1. 2
2. 20
3. 200

17. Une entreprise ayant un PER supérieur à 30, est une entreprise qui est :
1. sous-évaluée
2. correctement évaluée
3. surévaluée
4. ou fait objet d’une bulle spéculative
Test5

1. Supposons une économie avec un taux d’actualisation de 10%. Quelle serait la valeur
actuelle d’une obligation à zéro coupon d’une valeur nominale de 100 et à échéance de
trois ans :
1. 75,1315
2. 82,6446
3. 90,9091
2. Supposons une économie avec un taux d’actualisation de 10%. Quelle serait la valeur
actuelle d’une obligation venant à échéance dans un an et versant un coupon de 8 %
sachant que sa valeur nominale est de 100 :
1. 108,1818
2. 98,1818
3. 97,9091

3. Supposons une économie avec un taux d’actualisation de 10%. Quelle serait la valeur
actuelle d’une obligation venant à échéance dans trois an et versant un coupon de 8 %
sachant que sa valeur nominale de 100 :
1. 98,1818
2. 95,0263
3. 97,9091

4. Le prix d’émission d’une obligation est de 90, sa valeur nominale est de 100, le taux
de rendement actuariel est lors égal à :
1. 10,22%
2. 9,45%
3. 11,11%

5. Le prix d’émission d’une obligation est de 90, sa valeur nominale est de 100 et son
cours est de 95. L’émetteur verse un coupon annuel au taux nominal de 10%. Le
rendement actuel de cette obligation est égal à :
1. 10,5%
2. 9,5%
3. 11,1%

6. Le prix d’émission d’une obligation est de 90, sa valeur nominale est de 100 et son
cours est de 95. L’émetteur verse un coupon annuel au taux nominal de 10%. Le
rendement à l’échéance de cette obligation est égal à :
1. 20,00%
2. 22,22%
3. 17,11%

7. Le prix d’émission d’une obligation est de 90, sa valeur nominale est de 100 et son
cours est de 95. L’émetteur verse un coupon annuel au taux nominal de 10%. Peut-on
conclure que cette obligation est
1. Au pair
2. Au-dessous du pair
3. Au-dessus du pair

8. Une obligation a un rendement actuel inférieur au rendement à l’échéance, Peut-on


conclure que cette obligation est
1. Au pair
2. Au-dessous du pair
3. Au-dessus du pair

9. Le cours actuel d’une action est égal à 100. L’entreprise émettrice a décidé de
distribuer une dividende de 10 non imposable. Le cours de court terme après paiement
des dividendes serait au voisinage de :
1. 110
2. 90
3. 120
10. Le cours actuel d’une action est égal à 100. L’entreprise émettrice décidé de
distribuer une dividende de 10 non imposable. Cette opération :
1. est à même d’augmenter la richesse des actionnaires
2. n’aura aucun impact sur la richesse des actionnaires
3. est à même de réduire la richesse des actionnaires

Test 6 /7

1. Si l’on cible une pension de retraite de 120 000 par an à percevoir pendant 20 ans
sachant que la constitution de l’épargne nécessaire au financement de cette pension
sera étalée sur 40 ans rémunérée à 3,5%, la cotisation annuelle de retraite serait :
1. 20171
2. 20176
3. 25171

2. Des jeunes parents ont eu leur premier enfant et décide le jour de sa naissance de
constituer une épargne pour financer ses études universitaires sous forme de
versements identiques mensuels. Ils estiment que leur enfant entamerait ses études
universitaires à l’âge de 18 ans et qu’il faudrait disposer d’un budget de 500 000 à
verser en totalité au compte de l’enfant une fois qu’il aurait 18 ans. Le banquier les a
informés que le taux d’intérêt annuel pour le plan épargne étude et de 3,5%. Compte
tenu de ces informations le versement mensuel serait :
1. 2017
2. 1674
3. 1715

3. Un jeune étudiant été admis à un programme d’excellence d’une université


prestigieuse dont le coût s’élève à 500 000. N’ayant pas les ressources financières
nécessaires, l’étudiant a décidé de prendre un crédit bancaire remboursable sur 20 ans à
un taux d’intérêt de 5,5%. Le montant du prêt sera versé par la banque à l’université en
totalité au début du programme. Compte tenu de ces informations le versement mensuel
serait :
1. 3017
2. 3402
3. 3715

4. Un jeune étudiant été admis à un programme d’excellence d’une université


prestigieuse dont le coût s’élève à 500 000. N’ayant pas les ressources financières
nécessaires, l’étudiant a décidé de prendre un crédit bancaire remboursable sur 20 ans
à un taux d’intérêt de 5,5%. Le montant du prêt sera versé par la banque à l’université
en totalité au début du programme. La formation permettra à l’étudiant de disposer de
compétences lui permettant d’accéder à un revenu mensuel moyen de 20 000 durant 30
ans au minimum. Compte tenu de ces informations, la VAN de ce projet serait :
1. 3 075 034
2. - 3 075 034
3. 75 034

5. Un jeune étudiant été admis à un programme d’excellence d’une université


prestigieuse dont le coût s’élève à 500 000. N’ayant pas les ressources financières
nécessaires, l’étudiant a décidé de prendre un crédit bancaire remboursable sur 20 ans
à un taux d’intérêt de 5,5%. Le montant du prêt sera versé par la banque à l’université
en totalité au début du programme. La formation permettra à l’étudiant de disposer de
compétences lui permettant d’accéder à 30 ans de salaire mensuel dont le montant total
actualisé à 5,5% est de l’ordre de 3 575 034. Compte tenu de ces informations, quel
serait le revenu mensuel net des crédits que recevrez l’étudiant durant les 20 premières
années de son activité :
1. 23 402
2. 16 598
3. 20 000

6. Un jeune étudiant été admis à un programme d’excellence d’une université prestigieuse dont le coût
s’élève à 500 000. N’ayant pas les ressources financières

nécessaires, l’étudiant a décidé de prendre un crédit bancaire remboursable sur 20 ans


à un taux d’intérêt de 5,5%. Le montant du prêt sera versé par la banque à l’université
en totalité au début du programme. La formation permettra à l’étudiant de disposer de
compétences lui permettant d’accéder à 30 ans de salaire mensuel dont le montant total
actualisé à 5,5% est de l’ordre de 3 575 034. Compte tenu de ces informations, quel
serait le revenu mensuel net des crédits que recevrez l’étudiant durant les dix dernières
années de son activité :
1. 23 402
2. 16 598
3. 20 000

7. Un jeune couple hésite entre une location mensuelle à 1 800 et la possibilité d'acheter
l'appartement à 700 000. Les dépenses mensuelles de rénovation et de taxes sont
estimées à 250. Elles seront prises en charge à l'infini par le propriétaire. Le taux
d'intérêt annuel est de 3%. Dans ce contexte, la valeur actuelle nette du projet de
location est égale à :
1. 51 176
2. 41 176
3. 31 176

8. Un jeune couple hésite entre une location mensuelle à 1 926,2 et la possibilité


d'acheter l'appartement à 700 000. Les dépenses mensuelles de rénovation et de taxes
sont estimées à 250. Elles seront prises en charge à l'infini par le propriétaire. Le taux
d'intérêt annuel est de 3%. Dans ce contexte, quelle recommandation suggéreriez-vous
au jeune couple :
1. Acheter l’appartement
2. Louer l’appartement
3. On ne peut pas trancher entre les deux options

9. En utilisant les donnée de la feuille Invest du Fichier BD TCM16FIN et en supposant


que les quantités vendues augmenteront annuellement de 5% à partir de la deuxième
année et que par effet de concurrence les prix vont baisser à partir de la même année de
5% annuellement, peut-on dire que la VAN du projet serait de l’ordre de :
1. 2 884 913
2. -4 189 960
3. -3 712 310

10. En utilisant les donnée de la feuille Invest du Fichier BD TCM16FIN et en supposant


que les quantités vendues augmenteront annuellement de 5% à partir de la deuxième
année et que par effet de concurrence les prix vont baisser à partir de la même année de
5% annuellement, peut-on dire que le projet serait :
1. Rentable
2. Non rentable
3. Au point mort
Test8

1. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). Une


option :
1. est un contrat qui engage les deux parties
2. est un contrat conditionnel
3. se négocie exclusivement en bourse
4. ne peut jamais être revendue avant l’échéance du titre.

2. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). Une


option permet à son détenteur de mettre en oeuvre une stratégie :
1. de couverture
2. de spéculation
3. d’arbitrage
4. Aucune de ces possibilités, car les contractants prennent une position ferme

3. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). Une


option peut être caractérisée par les éléments suivants :
1. l’actif sous-jacent
2. la date de l’exercice
3. la rentabilité de l’option
4. le prix d’exercice.

4. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). L’acheteur


d’un call européen sur action :
1. verse la prime au vendeur de l’option
2. verse la prime à la date de dénouement du contrat
3. s’attend à une baisse de l’action sous-jacente
4. anticipe une hausse de l’action sous-jacente
5. peut exercer son droit sur toute la durée de l’option.

5. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix diminue de moitié, l’investisseur :
1. Sera obligé d’acheter l’action
2. Ne sera pas obligé d’acheter l’action

6. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix double et l’investisseur n’exerce pas son
option, il réaliserait :
1. Un gain de 220
2. Une perte de 80
3. Une perte de 220

7. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix double, l’investisseur :
1. Sera obligé d’acheter l’action
2. Ne sera pas obligé d’acheter l’action
8. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). Le
vendeur d’un put américain sur action :
1. verse la prime à l’acheteur de l’option
2. reçoit la prime à la date du début du contrat
3. anticipe une baisse de l’action sous-jacente
4. anticipe une hausse de l’action sous-jacente
5. peut exercer son droit uniquement à l’échéance.

9. Un investisseur a investi dans un put européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix double, l’investisseur :
1. Sera obligé de vendre l’action
2. Ne sera pas obligé de vendre l’action

10. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). Le


vendeur d’un put américain sur action :
1. verse la prime à l’acheteur de l’option
2. reçoit la prime à la date du début du contrat
3. anticipe une baisse de l’action sous-jacente
4. anticipe une hausse de l’action sous-jacente
5. peut exercer son droit uniquement à l’échéance.

11. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). La valeur
de la prime d’une option intègre :
1. la valeur de l’actif sous-jacent
2. la volatilité des taux d’intérêt
3. la valeur intrinsèque
4. la valeur temps.

12. Choisissez, parmi les propositions suivantes, la ou les bonne(s) réponse(s). La prime
:
1. d’un call dépend positivement du prix du sous-jacent
2. d’un put dépend positivement du prix de l’actif sous-jacent
3. d’un call dépend positivement des taux d’intérêt
4. d’une option dépend négativement de la volatilité de l’actif sous-jacent

13. Un investisseur souhaite devenir actionnaire de FICTIVA. Il estime que les actions
de FICTIVA sont sous-évaluées et décide d’acquérir des options sur les actions de la
société. Le cours de l’action est de 45,6. Le call européen associée à cette action est 2
avec une échéance d’un an et un prix d’exercice de 48. Compte tenu de ces données, le
seuil de rentabilité serait :
1. baisse de la valeur de l’action
2. hausse de la valeur de l’action
3. stagnation de la valeur de l’action
Test 9

1. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix double et l’investisseur exerce son option, il
réaliserait :
1. Un gain de 400
2. Une perte de 80
3. Un gain de 220

2. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix diminue de moitié et l’investisseur exerce
son option, il réaliserait :
1. Un gain de 200
2. Une perte de 80
3. Ni gain ni perte

3. Un investisseur a investi dans un call européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix diminue de moitié et l’investisseur n’exerce
pas son option, il réaliserait :
1. Un gain de 200
2. Une perte de 80
3. Ni gain ni perte

4. Un investisseur a investi dans un put européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix double et l’investisseur exerce son option,
l’investisseur réalise :
1. Un gain de 220
2. Une perte de 80
3. Une perte de 220

5. Un investisseur a investi dans un put européen sur l’action de FICTIVA avec une
échéance d’un an et un prix d’exercice de 180. Actuellement, l’action de FICTIVA vaut
200. L’année prochaine, le prix de l’action de FICTIVA peut soit doubler (avec une
probabilité de 70 %) soit diminuer de moitié (avec une probabilité de 30 %). On suppose
que la prime de l’option est nulle. Si le prix diminue de moitié et l’investisseur exerce
son option, l’investisseur :
1. Un gain de 220
2. Un gain de 80
3. Une perte de 220

6. Un investisseur souhaite devenir actionnaire de FICTIVA. Il estime que les actions de


FICTIVA sont sous-évaluées et décide d’acquérir des options sur les actions de la
société. Le cours de l’action est de 45,6. Le call européen associée à cette action est 2
avec une échéance d’un an et un prix d’exercice de 48. Compte tenu de ces données,
l’investisseur anticipe une :
1. baisse de la valeur de l’action
2. hausse de la valeur de l’action
3. stagnation de la valeur de l’action

7. Un investisseur souhaite devenir actionnaire de FICTIVA. Il estime que les actions de


FICTIVA sont sous-évaluées et décide d’acquérir des options sur les actions de la
société. Le cours de l’action est de 45,6. Le call européen associée à cette action est 2
avec une échéance d’un an et un prix d’exercice de 48. Si à l’échéance le titre cote 54,
l’investisseur :
1. aura une perte de 4
2. aura un profit de 4
3. ne doit pas exercer son option

8. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une


baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier perd 5%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 321.
Dans ce contexte, la valeur du portefeuille à t+1 est :
1. 142 500
2. 149 325
3. 154 500

9. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une


baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier perd 5%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 321.
Dans ce contexte, les gains sur le contrat à terme portant sur le portefeuille à t+1 est :
1. 6 825
2. 4 548,50
3. 4 321

10. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une
baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier perd 5%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 321.
Dans ce contexte, la valorisation totale du portefeuille y compris le gain sur le contrat à
terme à t+1 est :
1. 142 500
2. 149 325
3. 150 000

11. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une
baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier gagne 3%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 683.
Dans ce contexte, la valeur du portefeuille est :
1. 142 500
2. 149 325
3. 154 500

12. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une
baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier gagne 3%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 683.
Dans ce contexte, les pertes sur le contrat à terme portant sur le portefeuille à t+1 est :
1. 4 250
2. 4 925
3. 4 035

13. Un investisseur a investi 150 000 dans un portefeuille d’actions. Il anticipe une
baisse de l’indice boursier à une échéance t+1. Il a décidé de vendre des contrats à
termes à échéances t+1. A la date t, le portefeuille est coté à 4 533,40 et le contrat à
terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à la vente à 4 548,50.
L’investisseur vend 3 contrats à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 pour
une valeur nominale de 4 548,50 x 3 x 10 = 136 455. A t+1, l’indice boursier gagne 3%
alors que le contrat à terme portant sur le portefeuille à échéance t+1 est coté à 4 683.
Dans ce contexte, la valorisation totale du portefeuille y compris les pertes sur le
contrat à terme à t+1 est :
1. 156 465
2. 154 465
3. 150 465

14. Un groupe coté en bourse possède deux filiales : il détient 60 % d’une société A et
100 % d’une société B. La valeur de marché du groupe est 160 et celle de la filiale A est
120. Dans ce cas, la valeur de la filiale B serait :
1. 96
2. 72
3. 88

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