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2 a. C’est Boule-de-Neige qui réussit le mieux à convaincre les animaux : « Jusque là, l’opinion
flottait les animaux furent transportés par l’éloquence de Boule-de-Neige » (l. 12-13), « Quand il
se rassit, nul doute ne subsistait sur l’issue du vote ». (l. 20-21)
b. Boule-de-Neige est attaqué par les chiens de Napoléon, car il fait de l’ombre à celui-ci.
4 a. Napoléon supprime les débats publics et les assemblées du dimanche, au cours desquelles
sont prises les décisions relatives à la gestion de la ferme : le pouvoir est remis entre les mains
d’un comité de cochons.
b. Le champ lexical de la peur : « affreux » (l. 25), « épouvantés » (l. 30), « détalait » (l. 32).
5 Les animaux ne protestent pas parce qu’ils sont trop saisis par la violence de la scène : ils sont
« trop abasourdis et épouvantés pour élever la voix » ; par ailleurs, ils se sentent démunis face
aux décisions de Napoléon. Enfin, quand certains gorets font mine de protester, les molosses
grondes aussitôt, « sinistres et menaçants » : c’est donc la peur qui fait taire les animaux.
Étude du texte 3 : « L’expulsion de Boule-de-Neige »
5 Les animaux ne protestent pas parce qu’ils sont trop saisis par la violence de la
scène : ils sont « trop abasourdis et épouvantés pour élever la voix » ; par ailleurs,
ils se sentent démunis face aux décisions de Napoléon. Enfin, quand certains
gorets font mine de protester, les molosses grondes aussitôt, « sinistres et
menaçants » : c’est donc la peur qui fait taire les animaux.