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Formation en soins Infirmiers pour les candidats relevant de l’article 9

Promotion 2022- 2023

TRAVAIL ECRIT ET PERSONNEL

La barriere de la langue dans la relation soignant-soigné

Nom Prénom de l’étudiant :


Sonia mohammedi
Introduction

Dans le cadre de ma formation préparatoire au diplôme d’état d’infirmier, en qualité


d'étudiant relevant de l’article 9 et pour but de valider mon diplôme, il nous a été demandé
de réaliser un travail écrit personnel qui tient compte d’une situation vécue lors de notre
stage de cinq semaines dans un établissement hébergement pour personnes âgées
dépendantes.

La situation à laquelle je me suis référée pour entamer ce travail, celle qui m’a
interpellé plus que les autres à l’égard du sujet que j’ai choisi pour ma rédaction, il s’agit
d’une situation relationnelle que je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer auparavant, vu
que je suis issue d’un pays autre que la France, ou le peuple jouit de la même identité
culturelle et parle la même langue, contrairement à ce dernier ou on retrouve une importante
diversité culturelle et linguiste.
Lors de mon stage, j’ai donc rencontré une raison autre que pathologique, qui rendait
la communication verbale quasiment impossible entre les patients et les professionnels de
santé.

Ma motivation pour ce travail est le fait que je vis actuellement dans une société
multiculturelle et plurilingue et je me prépare à exercer la profession d’infirmier dans des
établissements qui sont le reflet de cette société, et je serai appelé à travailler avec des
patients parlant autre que ma langue maternelle et la langue française dont la prise en charge
sévère différente.

Mon but est de mettre en évidence, au moyen des revues de littérature, le rôle primordial de
la communication dans le monde médical en démontrant les conséquences
engendrées lorsque le soignant et le patient ne parlent pas la même langue, dans ce travail
de fin d’études je vise également à mettre en lumière les différentes mesures à prendre pour
pouvoir faire face à ce genre de problème rencontré couramment dans les établissements de
soins et d'assurer une communication efficace entre les patients et les soignants.

Serait pareillement un travail sur moi-même pour me permette de développer une réflexion
professionnelle et personnel au sujet de la relation soignant-soigné, et d’en prendre soin afin
de mettre en avant cette pratique qui s’inscrit dans le cadre de la compétence 6 en liens avec
“communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins”.

Dans un premier temps, je commence par la description de la situation qui m’a posé
problème lors de mon exploration sur le terrain de stage, elle sera suivie de la formulation de
ma question de départ à la fin, et j’effectuerai une analyse dont je vais apporter des éléments
explicatifs des réactions aux des professionnels.

Ensuite, je vais présenter le cadre théorique afin de mettre au claire ma problématique


rencontrée qui serait basé sur les variables de ma question de départ, et ainsi formuler les
hypothèses de réponse.

Je vais également élaborer une synthèse qui fera lien entre les précédentes parties afin de
répondre à ma question de départ.

Et je termine mon travail par une conclusion, ou je vais présenter les connaissances acquises
grâce à ma recherche et l’impact qui aurait sur mon évolution professionnelle.

ce fut une difficulté car en tant qu’étudiant en soin infirmier j’apprécie beaucoup l’expression
du ressenti du patient sur mes soins afin de les adapter pour qu’ils soient le moins
douloureux possible. Je ressenti particulièrement cette gène lorsque j’ai du enlever le drain.
A ce moment, j’ai remarqué que le visage du patient changeait. Il avait l’air d’avoir très peur.
Ceci me stressait vraiment, et le fait de ne pas pouvoir le rassurer, de ne pas pouvoir lui
expliquer ni mon soin, ni du moment où il pourrait avoir mal m’angoissait également. Au
moment du retrait, je ne me sentais pas à l’aise. Mais il n’était pas question que je montre
mes sentiments au patient. J’aurais pu l’angoisser encore plus. A la fin du soin, le patient
m’adressa un sourire qui me rassurait sur le soin mais la relation soignant soignée n’était pas
optimal pour moi dans ce soin-là

Problématique pratique

La situation qui m’a interpellée s’est déroulée lors de la 4éme semaine de mon stage à
l’EHPD (établissement accueillant des personnes âgées essentiellement en perte
d’autonomie), elle concerne les soins d’une résidante en chambre d’accueil temporaire qui ne
parle pas et ne comprenant pas la langue française, j’ai constaté que la prise en charge était
difficile et différente qu’avec un patient photophone.

I. Situation d’appel :

1. Description :

L’équipe travaille ce jour est composée d’une infirmière et une aide-soignante, qui
travaillent en 12h et deux autres aides-soignantes et moi qui somme en 7h, avec un
roulement du matin et de l’après-midi, mais actuellement, je suis en semaine d’après-midi,
un lundi, vers 12H20, comme à mes habitudes, je rentre à l’infirmerie pour me noter les
transmissions de mes collèges sur ce qui s’est passé durant mes jours de repos et planifier le
programme de soins prévisionnel de ma journée, j’ai vu parmi les noms habituels, un nom
qui m’est étrange, en consultant le dossier, j’ai compris que c’est la nouvelle résidente dont
l’entrée était programmée le vendredi passé. Dans le dossier, il a été mentionné, qu’il s’agit
d’une dame âgée 89 ans, résidente en France, arrivée depuis seulement 9 mois, elle est
d’origine Italienne, elle était une ancienne couturière, un métier qu’elle a appris à l’orphelina
ou elle a été placée après avoir perdu ses parents à très jeune âge. Mariée et mère d’un seul
enfant qui est sa personne de confiance, mais actuellement veuve, elle vivait donc toute seule
depuis que son fils unique est venu en France pour ses études. Madame D n’a pas
d’altération visuelle ni auditive, semble être une dame calme, l’équipe soignante remarquent
que depuis son entrée aucun ne l’a vu s’échanger avec une personne autre que son fils,
cependant, ils affirment qu’elle n’a aucune altération physique ou cognitive qui l’empêcherait
de s’exprimer. En revanche, elle souffre d’une tumeur Non-hodgkin sous rénale gauche lui
provoquant des douleurs atroces (mise sous traitement antalgique du palier 1) sa maladie est
à l’origine de sa décision de déménagement en France.

À son arrivée en France, elle a subi un pic hypertensif suivi d’un accident vasculo-
cérébral lui causant des altérations nerveuses, notamment au visage et au niveau du bras
droit limitant sa mobilisation, cela la rendait incapable de s’occuper d’elle même et ses soins
d’hygiène quotidiens, nécessitant l’interversion des professionnels.

Madame D est rentrée à l’EHPAD avec une vulvovaginite au Trichomonas non traitée, à
l’origine des prurits, brulures vulvaires et des leucorrhées nauséabondes importantes
constatées par l’aide-soignante qui lui a fait la douche la veille, le médecin de l’établissement
prescrit, à cet effet, un traitement avec des ovules en intravaginale le soir à débuter ce jour-
là.

Je vais à la rencontre de l’infermière avec qui j’ai travaillé cet après-midi afin de voir avec elle
si éventuels détails ou complément d’information de plus que celles qui ont été rapportées
dans le dossier concernant notre nouvelle résidente, et de voir comment sont passés ses
premiers jours à la résidence, les soins de la patiente me semblaient être facile, j’ai proposé
finalement à l'infirmière de me confier la prise en charge de cette résidente.

À 17h30, nous commençons avec l’infirmière le tour du soir, je me dirige à la chambre de ma


résidente, prenant avec moi sa boite de médicaments du soir et l’ovule ainsi que tout le
matériel dont j’aurai besoin pour effectuer mes soins, je frappe à la porte et je rentre,
madame D je la trouve accompagnée de son fils qui lui servait finalement de traducteur pour
toutes ses consultations, en ce moment-là, j’ai voulu commencer à établir un contact avec
ma patiente par des salutations, donc je me suis présentée et j’ai demandé à la dame si elle se
sent bien à la résidence, et si elle commence à s’habituer, sauf que je la vois me regarder avec
incompréhension, aucun mot est sortie de sa bouche en regardant son fils, et j’entends le
celui-ci s’adresse à sa mère en langue que je ne comprenais pas , je déduis qu’il lui traduisait
mes propos , et elle lui a répondu, le monsieur me répète ensuite ce que sa mère lui a
répondu, on me disant qu’elle ne dort pas bien la nuit, donc j’essaie de comprendre la raison
de ses insomnies , sauf je ne sais toujours pas à qui m’adresser, je parle directement à
madame D qui ne me comprenait pas apparemment ? Ou à son fils ? Mais en tout cas, la
discussion semble bien aller en compagnie de celui-ci. Je tante ensuite de lui expliquer ce
que j’allais effectuer comme soins, jusqu’au moment d’expliquer à Mme D que le médecin lui
a prescrit des ovules vaginaux pour son infection vaginale, le monsieur essaie de traduire à
sa mère sauf cette fois ci je le sens qu’il est mal à alaise, , d’ailleurs il a parlé avec un ton de
voix diffèrent et en deux ou trois mots, donc je n’étais pas sûr que ma patiente ait compris le
soin, je demande gentiment au fils d’attendre dehors et je tante ensuite de lui réexpliquer en
mimant l’acte comme je peux en lui demandant de se mettre en position gynécologue en
soulevant légèrement ses deux jambes pour que je puisse nettoyer et introduire l’ovule en
intravaginal, mais sans succès, madame D reste sans réaction , elle me regarde avec un air
interrogatif.

Face à cette situation, je me sentant impuissante et confuse, je décide donc d’arrêter et d’aller
chercher ma référente de stage pour lui expliquer les faits et lui demander son aide,
l’infirmière m’accompagne et essaie de dialoguer avec la résidente afin de recueillir son
consentement mais également pour qu’elle comprenne le geste que nous allons lui prodiguer.
Avec l’aide de cette dernière, j’ai réussi à lui introduire l’ovule, néanmoins, j’avais un
sentiment de culpabilité vis-à-vis de ma patiente, je me demandais si réellement elle avait
consenti le soin que j’ai effectué ? et notamment, si elle avait bien compris son indication ?

Une heure plus tard, je passe devant la porte de madame D, je décide de rentrer et
voir comment elle est, je la trouve en compagnie d’une aide-soignante l’assisant pour sa
toilette intime, madame D je la vois avec un visage soucieux, anxieuse répète des mots en
Italien à la soignante que je ne comprenais pas, et j’entends l’aide-soignante lui répond
“madame aidez-nous, tenez-vous debout...” mais je comprends qu’elle est mal alaise, en ce
moment, je me demandais est-ce que son mal être résulte du fait qu’on se comprend pas ? Il
se pourrait qu’elle soit douloureuse et qu’elle n’arrive pas à verbaliser son ressenti, une autre
problématique qui se pose, est-ce vraiment déjà le cas ? Les signes cliniques exprimés sont-
ils d’ordre physique, psychologique ou autre ? Comment pourrais-je répondre aux besoins de
cette patiente ? je m’interroge sur le moyen que je pourrais utiliser à fin d’évaluer son état et
revoir sa prise en charge ? Et si je fais mon évaluation à l'aide de l'ECPA (évaluation
comportementale chez la personne âgée), aurais-je fait un raisonnement objectif chez cette
personne ? J'allais demander à l’infirmière si je pouvais utiliser mon smartphone comme
support de traduction pour cette de dame, hormis, mes heurs sont déjà finis, je devais
rentrer chez moi, je n’ai pas manqué à mentionner une transmission à ce sujet, or, j’avais un
sentiment d’insatisfaction vis-à-vis de cette patiente.

Le lendemain, comme prévu, j’étais des horaires de l’après-midi, je rentre et je pars à la


rencontre de la soignante du jour, je précise que c’est une infirmière dont les parents sont
italiens donc elle parle et comprends bien la langue , et pendant que nous discutions au sujet
de ma patiente, elle m’informe que les soins se passe bien avec elle, car elles ont pu
s’échanger et qu’aujourd'hui le médecin a modifié sa prescription d’antalgique, elle
m’explique que lors des soins du matin la résidente lui exprimer sa douleur au niveau de la
région lombaire gauche.

Le soir chez moi, en pensant à la situation je réalise que la parole s’avère un élément
essentiel qui optimise la prise en charge des patients, j’ai ressenti de la frustration vis-à-vis
de cette résidente car je redoutais la qualité des soins dont elle bénéficiera dans un
établissement ou elle ne pourra pas verbaliser ses besoins aux professionnels par faute de
barrière de la langue.

De ce fait, ma question de départ sera la suite :

En quoi la barrière de la langue influence-t–elle la qualité des soins infirmiers


prodigués aux résidents non francophones en EHPAD ?

2. Analyse la situation :

Pour commencer cette analyse, je souhaite d’abord rappeler le sens du concept de la relation
soignant-soigné comme elle a été définie par “;;;;;;”

Comme vu si dessus la communication fait partie intégrante du quotidien de


l’infirmier, nécessaire voir indispensable pour un premier contact mis en place avec le
patient, qui sert de base pour instaurer la relation soignant-soigné de qualité, en effet, à mon
entrée dans la chambre de ma patiente, j’ai cherché à entrer en relation et entamer la
discussion avec elle, en la saluant et lui demandant si elle va bien et si elle commence à
s’habituer à la structure, en ce moment elle regarde son fils en cherchant de l’aide pour
comprendre mes propos, elle invite donc une troisième personne à rejoindre une
discussions qui sensé être entre moi en qualité de soignante et elle qui est ma patiente , je me
suis retrouver dans un discussion embrouillée, car je ne m’adresse pas directement à la
personne concernée , dans cette situation, les deux personnes ne parlent pas la même langue,
les échanges devaient faire appel un tiers venant perturbée la communication, et semble
engendrer une barrière qui entrave la création d’une relation de confiance de qualité entre
les deux parties prenante.

Ensuite, j’ai voulu effectuer un soin pour madame D qui ne comprenait pas ma langue, tout
en sachant que dans la législation, en me référant à la loi du 04 mars 2002 du code de la
santé publique relative au droit du patient a été mention que “...”

c’est à dire que tout soin accompli par un professionnel de santé doit être informé et requiert
le consentement du patient soigné dans tous les cas, et donc avec ou sans barrière de la
langue, il était donc important pour moi de respecter de mes valeurs professionnelles et
d’informer ma patiente ainsi de veiller à ce qu’elle soit au claire sur la nature et l’indication
du soin qui lui sera dispensé, et notamment, recueillir son accord au regard de cet acte,
surtout qu’il s’agit d’un soin au niveau de ses zones intime ( le droit au respect de la dignité)
en revanche cette résidente, ne comprenait ma langue , mais elle avait son fils comme
personne de confiance qui peut être considéré dans ce cas comme une « ressource », une
opportunité pour se faire comprendre et le faire participer aux soins afin de connaître les
besoins et les attentes de sa mère dans cette prise en charge, d’ailleurs, il était judicieux au
début d’avoir recours à lui pour expliquer le soins ,mais à la suite je me suis rendu compte
que le sujet semble être tabou et la situation les a mis dans un mal alaise, je remarque que le
fils était gêner en s’adressant à sa mère , sur ce, je suppose que parfois la présence d’une
tierce personne peut être embarrassant , il me parait aussi que c’est possible que ça soit à
l’origine d’erreur en terme d’information et de recueil de consentement sur les soins,
d’ailleurs, j’avais un sentiment de culpabilité vis-à-vis de cette patiente qui résulte du fait que
par faute de la barrière de la langue je n’étais pas certaine sur ce que la patiente souhaite
dans ce contexte , je étais dans l’incapacité de savoir si j’ai respecté la volanté de ma patiente
et le soins que j’ai effectué était consentit, je me demande également si vraiment cela rentre
dans le cadre la législation , car une personne de la famille n’est pas forcément un
professionnel spécialisé dans l’interprétariat, il est donc sujet aux charges émotionnelle, aux
risques de pression, à la rupture du secret médical, ou l’incertitude sur la qualité de la
traduction ( explications subjectives des termes, des erreurs d’incompréhension du jargon
médicale...) que j’estime soit tout de même une source de fautes au niveau du soins.
En outre, dans la situation de madame D, le fils n’est toujours pas possible pour lui d’être
présent à l’établissement pour chaque soin, je pense que le recours à des interprètes
spécialisés qui ont bénéficié de formations adaptées aux situations médicales, aurait été la
meilleure solution qui serait être envisageable pour la patiente, afin de garantir une prise en
charge respectueuse du droit à l’information, du consentement libre et éclairé, du secret
médicale et également vis-à-vis du respect de son intimité personnelle.

Je suis sortie de la chambre après avoir terminé les soins avec l'aide-soignante en ayant un
sentiment d’insatisfaction et du stress, car je supposais qu’elle essayait de décrire une gêne,
qui peut être une douleur ou un autre paramètre qui pourrait orienter mes diagnostics et
mes surveillances thérapeutiques, lorsque le professionnel rencontrent des difficultés dans
sa prise (recueil d’ information , de consentement , éduquer …) ou un patient qui n’arrive
pas à s’exprimer et à verbaliser ses ressentis, je pense que cela retentit sur la psychologie de
la personne qui serait à l’origine d’un éventuel stress ou angoisse pour les deux côtés,
pouvant engendrer à long terme de l’agressivité et des comportements violant les uns envers
les autres , il pourrait être le cas de ma patiente pour la douleur qui n’arrivait pas à affirmer
verbalement, il m’a été difficile de répondre à sa demande qu’elle a exprimé à travers une
anxiété, je suppose donc la communication verbale permet de mieux contrôler les risques et
de favoriser la sécurité et le bien être des patients et celle du personnel.

Mais quand celle-ci s'avère impossible, il faudrait avoir recours à un autre moyen qu’on
pouvait utilise avant de penser aux traducteurs professionnels ou les applications mobiles,
c’est la communication non verbale qui est facilement accessible, dont on utilise des outils
visuels tels que les gestes, le dessin, des imagines illustratives , une ardoise à dessin ou de
feuilles avec un feutre ou un crayon , à mettre à la disposition de madame D afin de mieux
comprendre ses désirs et qui pouvait bien servir pour nos soins relationnels avec cette
patiente , mais qui n’ont pas été envisagés pour sa situation, je me demandais si la sous-
estimation de ces techniques en est la raison?

La patiente est restée incompréhensive jusqu’à lendemain, je suppose que tout comme moi,
les autres soignants de nuit avaient du mal à comprendre l’origine de l’anxiété, il était aussi
difficile pour eux d’évaluer son cas, la patiente est probablement restée douloureuse toute la
nuit par défaut de communication. En revanche, dans cas de l’infirmière bilingue qui parle
la même langue que la patiente, la soignante déclare que les soins se passe bien avec elle et
qu'elle avait réussi à établir une relation de confiance et recueillir ses besoins ainsi remédier
à la douleur dont la résidante souffrait depuis la veille et qu’aujourd'hui elle est beaucoup
plus calme et apaisée, je suppose que les circonstances différent au moment où la patiente et
la soignante parlent toute les deux une langue commune car si cette infirmière ne parlait pas
même langue que la patiente il se pourrait que cette dernière soit toujours douloureuse.

Mais malheureusement cette dernière, ne travaille pas régulièrement à l’établissement, elle


n’est pas souvent présente en raison de ses postes de travail à l’extérieure, il me semble donc
évident de dire que se référer à des professionnels bilingues pour résoudre les difficultés de
communication pour ce type de patient, n’est pas une solution.

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