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Projet de fin d’Etudes

Stagiaire : OUMELLOU ZINEB / BOUSTTA IBTISSAM


Encadrant : MR.JEBRANE YOUSSEF
Service : laboratoire
Période : DEC 2017 / FEV 2018

1
 Introduction
 Remerciement

I. Présentation de l’entreprise
1. Historique
2. Fiche technique
3. Activité de la société
4. Ressources humaines
5. Organigramme de la société
6. La gamme Pepsi1ntroducation

II. Etapes de préparation des boissons gazeuses


A. Traitement des eaux
1. Introduction
2. Etapes de traitement des eaux
3. Procède de traitement des eaux
B. Siroperie
1. Fabrication de sirop simple
2. Fabrication de sirop fini
3. Flux préparation
4. Diagramme de préparation de sirop simple  ET SIROFINI 
C. Processus d’embouteillage
1. Embouteillage de bouteilles PET
2. Embouteillage de boites
3. Embouteillage de verre

III. Contrôle qualité


1. Généralité

A. Introduction

B. Objectifs de contrôle qualité


C. Principes de contrôle qualité

2
D. Les caractéristiques d’un contrôle

2. Contrôle qualité
3. Les analyses effectuées au laboratoire
4. Etude Visuelle Du Torc

Etude du paramètre de contrôle du troc


 Définition d’un troc
 Responsabilité
 Torque IN LBS
 Mode opératoire 
 Tableau qui donné les valeurs de torque 
 Conclusion

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 Introduction

La période de stage donne aux Stagire l’occasion pour améliorer


leurs connaissances théorique et s’intégrer au milieu professionnel il
est une occasion pour procéder a une autoévaluation du savoir,
savoir faire et savoir être.

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Ce rapport a pour but d’une description au sein de
l’organigramme ((VARUN BEVERAGES MAROCCO SA)) dans l’unité
de production des boissons gazeuses.

Il comportera après une présentation de l’entreprise cinq thèmes


traités de ce stage a durée de deux mois : traitement
d’eau /siroperie /le linge de production /laboratoire /

 Remerciement

Je tins à exprimer mes vifs remerciement à 

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Mr. YOUSSEF JEBRANE responsable de laboratoire VARUN
BEVERAGES MAROCCO SA, pour leur encadrement leurs conseils
judicieux et leur support permanent,

MR YOUNESS LEMSSADEK : chef d’équipe, et à tous les techniciens


laboratoires (MR SAIDE ELJMI, MR SAAD HAMZA, MR ASSIM
MOGAMMED, MR QERQOURI NOUH, MR BABAA BARAHIMS, MR
CHOUKI HICHAM, MR EL AOULA MOHAMMED, MR ELAFOULI
HASSAN) pour leurs aides et confiances tout au long de ma période
de stage.

Je remercie tout le personnel de VARUN BEVERAGES MAROCCO SA

Pour leur esprit de collaboration, leur encouragement ainsi que leur


aide a fin d’accomplir mon stage dans les bonnes conditions.

Enfin, nos remercîments à tous ceux qui ont contribué de prés ou de


loin à l’aboutissement de ce travail.

I. Présentation de l’entreprise
1.Historique ;
Dans le cadre d’une convention avec la société Pepsi-Cola
internationale, les eaux minérales d’OULMES a procède la réalisation

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d’une usine de fabrication de boissons gazeuses sur le site
de BOUSKORA Casablanca.

En 2010 OULMES a décidé de vendre son portefeuille soda à la


filiale VARUN BEVERAGES MAROCCO, l’un des principaux
embouteilleurs de PEPSICO dans le monde, avec une forte présence
en Asie et en Afrique, pour des raisons de rentabilité.

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2. Fiche technique

Réseau sociale Varuna levages Morcom SA


Siege social Zone industrielle BOUSKORA
20180 Casablanca
Statut juridique Société anonyme
Capital 42000000dhs

Dépôts ou Maroc Casablanca, Marrakech, Fès

Date de création 2003

Registre de 229711
commerce
Identité fiscale 402488666
Cnss 8634976
adresse Siégeait dépôt de Casablanca zone
industrielle de bouskoura20180
Casablanca
Téléphone (+212)529052999-
(+212)529053000
Téléphone (+212)529053030

3. Ressources humaines :

L’usine emploie environ 200 personnes reparties comme


suit :

5 Ingénieur d’état.
8
10 cadres commerciaux

20 techniciens supérieur de formation EST, BTS, ou FST

100 Techniciens supérieurs de formation ISTA ou ITA

65 ouvriers et vendeurs

4. Matériels :

L’usine est équipée de quatre linges d’embouteillage :

Une pour le verre, deux pour le PET et l’autre pour les boites. Deux
auxiliaires tels que chaudières, compresseurs frigorifiques,
compresseurs d’air sont installés pour faire fonctionner l’usine.

Les équipements sont de dernière génération dans le domaine


de la boisson nécessitant des compétences technique évoluées et des
formations complémentaires en particulier dans les domaines de
l’information industrielle, l’automatisme et la mécanique de
précision.

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5.Organigramme de la société

Salahddine MOUDDIB
Directeur Général

Assia JAD
Assistante de Direction

Othmane NADIFI Kumar PRAVAKAR Rajendra Kumar DUBEY Majida JNAINY


Sanjeev Kumar ARORA
Directeur Commerciale & Directeur Systéme Directeur Administratif & Directrice Ressources
Directeur Usine
Martketing D'information Financier Humaines

Youssef JOUTI Amine EL JAOUHARI


MEM & Fleet Manager Supply Chain Manger

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1.La gamme Pepsi
pepsi
VERRE: 250ml - 330ml
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

MIRINDA CITRON
VERRE: 250ml - 330ml
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

MIRINDA POMME
VERRE: 250ml - 330ml
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

MIRINDA ORONGE
VERRE: 250ml - 330ml
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

MIRINDA PECHE
PET: 2500ml....1000ML
BOITE: 250ml - 330ml

EVERVESS TONIC
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

7UP
VERRE: 250ml - 330ml
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

MOUNTAIN DEW
PET : 250ML

MIRINDA GRAPE
PET : 250ML

7UP MOJITO
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

PEPSI MAX
PET: 250ml....2000ml
BOITE: 250ml - 330ml

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II .Etapes de préparation des boissons gazeuses
A. Traitement des eaux
1. Introduction :

L’eau à traiter, également appelée eau brute, provient de la LYDEC


c’est une eau potable déjà prête à la consommation urbaine et en
principe elle ne nécessite aucun prétraitement.

Néanmoins, elle doit subir une filtration à sable pour éliminer


d’éventuelles matières en suspension (MES) qui pourraient avoir
échappées leur présence est due à une ou d’autres raisons,
notamment un entrainement des MES du à un mauvais
acheminement dans les canalisations

B. Etapes des eaux traitement :


2. Traitements :
 Pour conférer à l’eau une qualité hygiénique, elle doit être
désinfectée :
 Chimiquement par l’ajout de détergent comme l’eau de javel
 Physiquement par filtration pour éliminer toutes matières toxiques
dépassant le seuil de toxicité ou par les rayons UV pour éliminer
les micro-organismes.

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3. Conditionnements :
 L’eau de javel , ajoutée comme désinfectant , joue un rôle
supplémentaire il s’agit d’un agent de conservation utilisé pour le
conditionnement de l’eau si cette dernière va demeurer dans une
bâche avant de subir un traitement ultérieur ou avant d’être
envoyée à d’autres sections toutefois , un passage de l’eau chlorée
sur un lit de charbon actif est nécessaire avant d’être envoyée aux
autres sections pour la libérer de toute trace de chlore , en d’autres
termes pour attribuer à l’eau une qualité organoleptique requise
 L’eau brute provenant de LYDIC est répartie en deux parties, une
est envoyée à tous les services de l’usine qui ne font pas objet de
production (à savoir administration, vestiaire, etc. .) et l’autre subit
le traitement .
Tout d’abord, l’eau est additionnée (avant l’arrivée aux filtres à
sable) de l’eau de javel concentrée moyennant par une pompe
doseuse réglée manuellement de façon à obtenir une eau dont la
teneur en chlore est de 6 à 8 ppm ceci a pour but de désinfecter
l’eau de toute sorte de pollution microbiologique éventuellement
présente dans l’eau en amont de la section traitement des eaux.
Ensuite elle est introduite dans trois grands filtres à sable placé en
parallèle (et non pas en série pour éviter un colmatage excessif de
l’un par rapport à l’autre, ce qui causerait une diminution du
débit total du filtrat).

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L’eau ainsi filtrée et désinfectée est stockée dans une
bâche ayant une capacité volumique maximale de 200 m3. Et
avant d’être pompée vers les osmoseurs, l’eau filtrée subit une
microfiltration sur deux filtres à poche placés en série (5µm et 1
µm).
L’eau est pompée vers les osmoseurs pour subir ce que l’on appelle
une osmose inverse. Or, les membranes (synthétiques) des quelles
sont construits ces osmoseurs ne tolérant absolument pas de
chlore qui les détruit. C’est pour cela que l’on ajoute à l’eau (avant
son arrivée aux osmoseurs et moyennant à l’aide d’une pompe
doseuse) du méta bisulfite de sodium pour détruire le chlore
présent dans l’eau. On y ajouté également une quantité
déterminée d’un agent anti-escalant qui fait coaguler et floculer
les tartres présents dans l’eau, et ce n’est qu’après que l’eau puisse
accéder aux osmoseurs.
Après cette opération d’osmose inverse, l’eau acquiert une
conductivité beaucoup plus inférieure que celle de l’eau brute
inférieure à 350µ.cm, et pour la faire montrer à cette valeur, on
joue manuellement sur une vanne d’une conduite qui vient de la
bâche 1 et qui déverse dans l’eau qui sort des osmoseurs. Ensuite à
l’instar de l’eau filtrée, l’eau osmose est additionnée (moyennant
par une pompe doseuse) d’une quantité déterminée d’eau de javel
diluée (de façon à obtenir une teneur en chlore 3 ppm) avant

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qu’elle soit stockée dans la bâche 2 qui a une capacité
volumique maximale de 100 m3
L’ajout de l’eau de javel a également un autre objectif, c’est de
faire augmenter la conductivité de l’eau jusqu’à une valeur proche
de 500 µs.cm, valeur qui est requise dans l’eau destinée à la
production
Selon la demande, l’eau qui subit l’osmose inverse est pompée de
la bâche 2 et dirigée vers une cuve pour subir une décoloration
sur un lit de charbon actif. L’eau étant dé chlorée, elle subit une
microfiltration sur des filtres à poche de porosité 5 et 1 µm,
ensuite elle est physiquement désinfectée par des lampes à UV en
fin elle est dirigée vers l’unité de production pour servir à la
préparation des sirops simple et finis et la production du produit
fini.

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C. Processus siroperie
1. Objet domaine d’application :
 Ce processus décrit les étapes de préparation du sirop simple et
sirop fini.
 Flux de préparation sirop simple
 Flux préparation sirop fini
2. Instructions :
 Préparation sirop simple
 Préparation sirop fini
 Chargement du sirop simple (de la cuve 19 vers la cuve de
préparation sirop fini)
 Transfert du concentré (de la cuve 20 /21 vers la

cuve de préparation sirop fini) recettes de préparation des sirops finis

 instruction CIP
 Matrice CIP
 instruction préparation charbon actif
3. Enregistrements :
 suivi préparation sirop fini
 suivi CIP
 suivi préparation sirop simple
 rapports siroperie :état de sucre+ état sirop fini
 suivi concernant la vérification du poids des acidulant

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 suivi de la T° dans la chambre froide
 suivi de la (CL2) dans la cuve de désinfection
 suivi consommation de sucre
 autorisation de pour soutirage
 Suivi nettoyage des filtres existants dans le siropier
4. Équipements :
 appareil de dissolution
 filtre diatomée
 cuves de stockage ss
 cuves de stockage sf
 station CIP
 chambre de charbon actif
 cuve à charbon actif
 système de refroidissement
5. Compétences :
 responsable siroperie
 chef procès
 siropiers
 aides serpeurs
 manutention

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Eléments d’entrée : Sucre
Eau Concentré Planning de Processus Siroperie
production Charbon actif Bouskoura V
Terre diatomée

Méthodes : Instruction
Recettes Procédures
Éléments de sorite: Sirop fini
Enregistrements Flux
conforme aux spécifications
préparation sirop simple Flux
préparation sirop fini

6.Les salles de siroperie :


 Salles de sucre
 Salles de fondoi
 Poste mix
 Salle préparation sirop simple
 Salle préparation sirop fini
 Chambre froide

B.Siroperie :
La fabrication du sirop est la première étape arriver au fini il y a
deux sortes de sirops :

1. Sirop simple
On l’obtient en dissolvant du saccharose (sucre granulé) dans de
l’eau de façon à obtient un degré de BRIX se trouvant au voisinage
de 65%

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Cependant, le sucre destine à la fabrication du sirop doit
être soumis a des conditions de stockage strictes : température
maximale 35°c, humidité maximale60%, l’étanchéité des portes
voire la présence des anti-insectes ne doivent pas être négligés
2. Sirop fini
Il est fabriqué avec du sirop simple, mais en y ajoutant des
additionnels, entre autres des acidulant, des aromatiques des
colorants selon les tableaux de spécification standard

3.Flux préparation 
Diagramme de préparation de sirop simple  ET SIROFINI :
Sirop simple

Le terme : chargement du sucre


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Fondoir : dissolution de sucre

Cuve 12 : stockage du sirop simple non filtre

Filtre diatomée : à jouté la farine

Filtre à poche n°1 et n°2

Refroidissement

Cuve 19 stockages de sirop simple

Sirop fini :

Stock de sirop simple cuve 19

20
Cuve de préparations 20 ET 21

Sucre en solution conforme

Addition du concentre l’eau cuve préparation

Control drink (brix inverse, ta, goa)

Fîtes 100 messh

Agitation

Mélangeur
C. Processus d’embouteillage

Embouteillage de bouteilles PET :


1. Ligne PET1 et PET2 ;

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Souffleuse (modifier la taille
de vide)

Soutireuse (remplie la
bouteille) Satrablande

Heuft (inspectrice de niveau de


remplissage)

Sécheur (fait sécheur pour


éliminé l’humidité de bouteille)

Etiquetteuse (l’étiquette)

Dateur

Palettiseur

Stockage

2. Embouteillage de boites :

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Déparle

STARBLANDE

(Soutireuse) : mixeur pour l’eau et co2 et sirop fini

WAMNR (changement thermique de produit fini)

Sécheur (élimine l’humidité de bouteille)

Dateuse

Heuft

Fardeleuse

Palettiseur

Stockage

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3. Embouteillage de verre :

Dépalettiseuse (bouteilles vides)

Tirage (élimination de sale bouchon)

Décatisseuse (laisse avec bouteille) laver la caisse

Laveuse : 5etape

1ere étape prélavage

2eme bain de soude 65°c – 70°c

3eme bain soude 70°c _ 75 °c

4éme bain de soude 65 °c – 70 °c

5eme rinçage par l’eau fini

Mirage (contrôle personnel – inspection visuelle élimination des corps étranger


élimination bouteilles mal lavé

Heuft (contrôle électrique : bagne, fond, liquide, parois intérieure)

Soutireuse (inspection électronique : mixeur (l’eau + co2 + sirop fini)

Heuft (vide sons bouchon écraser, niveaux)

Dateuse

Etiqueteuse

Encaisseuse

Palettiseuse

Stockage

Magasin

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III. Contrôle qualité
I. Généralité

A. Introduction

L’industrie des boissons est à des directives particulièrement


strictes concernant la qualité et la sécurisé de ses produits. Et ce
n’est pas sans : si des boissons contaminées arrivaient dans le
commerce, les conséquences pourraient être gravissimes et pas
seulement pour les consommateurs.

Donc afin pouvoir satisfaire aux normes de sécurité élevées de


l’industrie des boissons il est impératif de disposer en
laboratoire d’appareils et de méthodes irréprochables ceux-ci
également doivent satisfaire à des exigences élevées, dont la clé
de voute est la conformité réglementaire, est cela ne peut être
réalisable que a l’aide d’un contrôle qualité

B. Objectifs de contrôle qualité


Les principaux objectifs des systèmes nationaux de contrôle
qualité sont les suivants :

La protection de santé publique en limitant le risque de


maladies d’origine alimentaire ;

La protection des consommateurs contre des produits


alimentaires mal sains, gâtés mal étiquetés ou falsifiés 
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La contribution au développement économique en
préservant la confiance du consommateur dans le système de
production alimentaire et en instaurant des bases
réglementaires judicieuses pour le commerce national
international des produits alimentaires.

C. Principes de contrôle qualité

La créatine, l’actualisation et renforcement ou toute autre


modification des systèmes de contrôle alimentaire exigent des
autorités nationales la prise considération d’un certain nombre
de principes et de valeurs indissociables des activités de
contrôle alimentaire, et notamment les suivants :

La réduction maximale des risques par l’application aussi


stricte que possible du principe de prévention tout au long de
chine alimentaire :

La prise en compte de la totalité de la chaine alimentaire de la


ferme à la table ;

L’instauration de procédures d’urgence pour faire face à des


risques particuliers (par exemple rappel des produits) ;

L’élaboration de stratégies de contrôle alimentaire scientifique


fondée ;

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L’instauration de priorités fondées sur l’analyse des
risques et sur l’efficacité de la gestion des risques

Le lancement d’initiatives holistique, intégrées, ciblant certains


risques et leur impact sur la prospérité économique

La prise de conscience du fait que le contrôle alimentaire est


une responsabilité largement partagée exigeant une réelle
concertation de toutes les parties intéressées.

D. Les caractéristiques d’un contrôle :


Un contrôle est défini par un certain nombre de paramètres :

La fréquence de contrôle : systématique, par prélèvement (s)

La ou les caractéristiques du produit qui doivent être contrôlée


(s)

Le type de contrôle : non destructif, des tractif( parfois appelé


(<<essai>>)

La méthode de contrôle : par mesure, par comparaison, par


appréciation (contrôle visuel par exemple ) :

Les moyens de contrôle à utiliser ; appareil de mesure


référentiel

L’entité qui réalise le contrôle à : personnel de fabrication


(autocontrôle), personnel spécialisé personnel d’encadrement

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t machine (automatisation du contrôle)

1. Contrôle qualité :

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Pepsi a effectué un ensemble des opérations déterminer,
avec des moyens appropriés si leur produits (y compris services,
documents, etc.)Inspecté sont conformes ou non à ses
spéciations ou à ses exigences préétablies et incluant une
décision d’acception, de rejet ou de retouche, et pour atteindre
cet objectif, Pepsi détermine au préalable, les caractéristiques et
choisir des limites (les tolérances) à l’intérieur des quelles le
produit est conforme, ces limites sont bien connues par le
contrôleur qui s’occupe aux opérations des contrôles

A fin de satisfaire en continue les clients et accroitre leur


fidélité, pour veiller à la salubrité de l’évolution de
l’amélioration continue, et a fin de d’avoir un rythme de
développement axé management qualité, Pepsi N’a cessé de
solliciter de nouveaux outils pour pérenniser son avancement à
pas stable dans l’efficacité su système qualité

Ainsi Pepsi contrôle quotidiennement la qualité de ses produits


à trois niveaux :

Contrôle à la réception

Contrôle durant la production

Contrôle de produit fini Selon la stratégie de Pepsi tous ces


types de contrôles ne peuvent perturber

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la qualité des produits sont maitrisé ce qui permet de
diminuer la fréquence de contrôle. On parle alors d’un contrôle
en amont qui répond

D’une part aux exigences internes de la société (les normes et


méthodologie de qualité tel que HACCP) et d’autre part aux
exigences de ses clients. Ce contrôle en amont, se manifeste par
un assemble des dangers qui peuvent exister au niveau

Des trois lignes de production (PET, verre et boites)

De la réception

- Du traitement d’eau
- De la siroperie

2. Les analyses effectuées au laboratoire :


Il y’ 2 types de contrôle se font sur les eaux sirop simple fini et
produit fini le contrôle chimique et contrôle bactériologique
l’objectif de ces contrôles c’est avoir les limites qualité des tinées
a la consommation humaine

Partie physico-chimique

Traitement d’eau TDE ;


Eau brute : ph /TAC/FER/Manganèse /nitrates

Entrée osmoseur : chlore libre

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Après u.v. : TAC / chlore /GOA /Fer /manganèse/ chlorure
(au démarrage)/sulfate

La réception (au démarrage)


Sucre : couleur /turbidité/conductivité/GOA /matières étranges

CO2prueté Goa

Concentré : emballage

La soude : concentration apparence

Siroperie :
Dissolution température /brix

Après filtration et refroidissement : couleur /température /brix


/GOA

Cuve de stockage : BRIX/AsIs/BRIX INVERSE /TA /GOA

Ligne d’embouteillage PET/VERRE/BOITE :


Contrôle de produit fini : BRIX/ volume de CO2 (1/2h)/TA
(4h)/GOA/ trace de sucre au démarrage (produit sans sucre)
test de chute (2h) test de fissuration par NAOH(4)

Surveillance du linge : code (1)/date et prix (1h)/étiquetage (1h)


/ fardelage (au démarrage)

31
Les différentes méthodes utilisées dans la partie
physico-chimique.
TA (titre alcalimétrique simple TAC (titre alcalimétrique
complet) : c’est la mesure de la capacité

(Absorber les protons / dosage par NAOH30 %)

GOA : gout odeur apparence

La conductivité électrique elle détermine la quantité d’élément


ionique dans l’eau.

La teneur en CO2 se détermine (DMA5400) , qui donne la


densité et le BRIX à partir du quel

*NB : on mesure I BRIX inversé par l’ajout de 3 gouttes de HCL


(30ml de produit dilué, on laisse le mélange dans le bain marie
(95°c / 1h 30min)

Test d’air pour les boites (les canettes) : qui existe dans la partie
haute de la boite fermée se fait par l’appareil ZAHM et NAGEL
(pour éviter l’oxydation que peut faire un changement du
GOUT) L’air contenue DOIT ETRE<2ml

Le dosage de fer, nitrate, chlore libre et manganèse se fait par


des kits sous forme de comprimé qui forme un complexe avec
l’élément chimique qu’on veut doser et selon l’intensité de la
coloration on obtient la concentration
32
Test d’emballage : se fait par conductance pour vérifier
la qualité du film et l’efficacité d’étalage contre la
corrosion

Trace sure ; se fait par la comparaison de la couleur de notre


échantillon et celle de l’eau traité

La concentration de soude : on fait un dosage H2SO4, on


utilisant un catalyseur chlorure de baryum et comme
indicateur phénophtaléine

La couleur et la turbidité : sont des indicateur de la qualité


organoleptique, elles sont obtenues par la mesure de
l’absorbance

Partie microbiologie :

Description de méthode.
L’échantillon est filtré à travers une membrane qui retient les
micro- organismes recherchés la membrane les bactéries à la
surface sont nourries à travers la membrane par les pores de
celle-ci.

On procède généralement comme suit :

Relier l’appareillage de filtration stérile à une de vide

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Flamber la face supérieure (plaque poreuse) de l’appareil,
fermer le robinet du support et mettre en marche la pompe à
vide

Placer une membrane stérile cotée quadrillé vers le haut sur la


plaque poreuse de la base du filtre en ne saisissant que le bord
extérieur de la membrane à l’ide d’une pince stérile flambée,

Bien placer l’entonnoir stérile sur la base du filtre fermer


l’arrivée de l’air et rincer à l’eau distillée stérile l’entonnoir et la
membrane filtrante

Agiter soigneusement le flacon d’eau à analyser et verser l’eau


stérilement, dans le réservoir jusqu’ au repère (50ou0100 ml
selon l’appareil et type d’analyse pratiquée)

Ouvrir le robinet et faire le vide, puis filtrer lentement l’eau à


travers la membrane reformer le robinet dés que l’échantillon a
été filtré,

Retirer l’entonnoir et transférer la membrane à l’aide de pince


stérai, en évitant l’emprisonnement de l’air entre la membrane
et le milieu

Remarque : il faut flamber l’entonnoir avant de filtrer un autre


échantillon, mais si on filtre différentes quantités d’un même
échantillon, li n’est pas nécessaire de désinfecter l’entons
34
3. Les analyses physico-chimiques
Contrôle du Torc
Introduction :

La capacité des bouteilles à retenir le co2 dépend de la qualité du


bouchage, la mesure du couple de serrage permet d’apprécier le
degré d’application des bouchons sur bouteilles.

Ce contrôle s’applique au tour complet de chaque visseuse.

Responsabilité :
C’est le technicien laboratoire qui est chargé d’effectuer ce contrôle,
de consigner les résultats et de les communiquer à l’opérateur de la
soutireuse

En cas non-conformité informer le chef d’équipe pour arrêt de la


production et rectification.

Torque_IN_LBS ; Définition 

TORC : force nécessaire pour ouvrir un bouchon à vis, unité =1


inch.lb

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Mode opératoire :
 Prélever des échantillons correspondant au tour complet de la
visseuse, Numéroter les bouteilles suivant le numéro de la tête.
 Fixer bien la bouteille à l’aide des vices de fixation disposés
l’appareil, la jauge étant déjà installée
 Placer le hand chuk de telle façon que le trait noire soit aligné
avec le pointeur. Ne pas tourner le bouchon à cette étape.
Mettre le torc a zéro.
 Tourner doucement et d’une manière stable le hand chuk
contre le sens le l’aiguille de la montre. Arrêter quand le
bouchon se libère du col de la bouteille et fait environ une
rotation de 90°.Il n’est pas nécessaire de tourner jusqu’à
libération de CO2.

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 Noter la valeur indiqué comme étant celle de removal
troc correspondant à la tête en question.
 Doucement tourner le hand chuk dans le sens de l’aiguille de
la montre (fermeture de la bouteille) jusqu’ à le trait rouge
coïncide avec le pointeur.
 Noter la valeur indiqué comme étant celle d’incrémental TORC
correspondant à la tête en question.
 Continuer le test sur les autres bouteilles et noté les résultats
obtenus dans l’enregistrement approprié.
La valeur de TORC est celle indiqué par l’aiguille
Normes et exigences 12<TORC<17

Tableau qui donne les valeurs de torque :

On Va fait l’Etude de torque dans chaque semaines pour savoir une bonne qualité des
bouteilles des produits finis, et le volume de co2. Parce que l’Etude de torque va influence
sur le volume de co2 des produits finis.

teste couple de serrage


37
N° teste de la boucheuse
Bouchon PARFUM FREQUENCE DATE
15/12/2017 10 15 20 25
10 15 17 19
22/15/2017 10 15 18 19
10 15 17 19
9 15 15 17
29/12/2017 9 14 16 17
Pepsi
LUNARMECH 13 9 15 15 17
0,33l
8 14 15 16
05/01/2018 9 13 15 16
9 13 15 16
8 14 14 15
12/01/2018 8 13 15 15
9 13 15 15
Ce tableau qui donné les valeurs de torque :

La courbe de teste de bouchon :

38
Teste de la boucheuse
20

15
10
10 15
20
5
25
0
15/12 22/15 29/12 05/01 12/01
/2017 /2017 /2017 /2018 /2018

Les remarques en chaque test de bouchon :

1. Lors qu’on ferme la bouteille à 10 on remarque que le torque


diminue d’une valeur après chaque semaine.
2. La bouteille à 15 le torque c’est diminue d’une valeur 1 à 2.
3. La bouteille de 20 le torque à c’est diminue de 3 à 15 valeur.
4. La bouteille de 25 le torque à c’est diminue d’une 15 valeur.
 -Pour La préventive de torque dynamique aux cours de mois de
production, Il faut faire des actions préventif chaque début de
semaine.
 -La prévention de problème torque il va donner une prévention
sue co2 c'est-à-dire une produit finis avec bonne qualité et
bonne emballage de produits malgré stockage des produits fini.

39
40
tete N°1 (Torque/Vitesse)

20
18
16
14
12
10 Lunar
csi
8
6
4
2
0
0 00 0 00 5 00 0 00 5 00 0 00 5 00 5 00 5 00 5 00 0 00 5 00 0 00
16 16 17 17 17 16 17 17 17 17 16 17 17

Tête N°2 (Torque/Vitesse)

25

20

15 CSI
luna
10

0
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
00 60 0 750 700 75 0 60 0 750 75 0 750 750 600 75 0 700
16 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

Cette valeur de torque fluctue en LUNARMECH plus que CSI


41
TETE N°1 (TORQUE/FREQUENCE)
20
18
16
14
12
LUN
10
CSI
8
6
4
2
0
13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13

Le fréquence de variateur de la soutireuse n’influence pas beaucoup les valeurs de torque


puisque toutes les mesures faites a fréquence égale à 13 et le torque toujours varie

42
TETE N°2 (TORQUE/FREQUENCE)
25

20

15 lun
CSI

10

0
13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13 13

Pour régler le problème torque dynamique pour chaque jour, il faut


donner une valeur (15,13) de torque statique

43
CONCLUSION

 Pour LUNARMECH il faut toujours choisir la fréquence 13 En


PET2 et produire à une vitesse de 17500 à fin d’obtenir.
Une meilleure valeur du torque.
 Pour CSI c’est préférable de produire en PET2 en choisissant la
valeur de fréquence 4.
 D’après l’étude des valeurs du torque le choix du bouchon
LUNARMECH est performant que celui de CSI au niveau vitesse
Soit Au niveau de fréquence.

44
Conclusion

Pour conclure, ce stage m’a permis de s’ouvrir sur


le monde professionnel, m’a donné une idée claire
sur le déroulement de la chaine de production des
boissons gazeuses, il a été bénéfique et s’étalant
sur un champ de connaissance vaste et riche.
En Effet ce stage m’a permis d’améliorer mes
connaissances du point de vue technique et
pratique et surtout concernant les relations
hiérarchiques entre chefs et ouvriers.
Je voulais remercier toute l’équipe pepsi ainsi que
les bienfaiteurs ayant contribués à leurs risques et
périls pour la réalisation de ce noble travail.

45
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