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INFRASTRUCTURE STRUCTURANTE
Nombre de réponses
Total Oui Non
Impact positif 35 25 10
Taux 100% 71% 29%
12. Les bénéficiaires affirmant que les pistes leur ont permis d’atteindre des lieux éloignés
non fréquentés auparavant, estiment la distance moyenne additionnelle à 81,8 km.
Nombre de réponses
Total Oui Non
Impact positif 38 25 13
Taux 100% 66% 34%
22. Les bénéficiaires affirmant que l’extension du réseau hydraulique et la multiplication des
points d’eau leur ont permis d’atteindre des lieux éloignés non fréquentés auparavant,
estiment la distance moyenne additionnelle à 25,8 km.
23/24. Impact en terme de distance maximale parcourue pour atteindre un point d’eau (rayon
d’influence d’un point d’eau)
Nombre de Distance (Km) Variation
réponses
23. Avant
17 21
projet
48%
24. Avec
16 11
projet
Les bénéficiaires estiment que la distance parcourue pour abreuver les animaux a été
diminuée de 48% d’où l’allègement des tâches des bergers et de l’effort des troupeaux.
27 Nombre de réponses
Total Oui Non
Justification du 36 32 4
recours au
payement de l’eau
consommée
Taux 100% 89% 11%
28 Nombre de réponses
Total Oui Non
Prédisposition 37 15 22
pour payement et
recouvrement des
frais d’exploitation
Taux 100% 40% 60%
La majorité des bénéficiaires (89%) pensent que le recours au payement des frais de
fonctionnement par les bénéficiaires est justifié. Mais, 40% seulement déclarent prédisposés
pour payer effectivement les frais de fonctionnement. Les raisons sont les suivantes :
29. Raisons pour refus de payement des services fournis :
Raison Nombre de Taux
réponses
Tarifs élevés (1) 2 12%
GDA inutile (2) 0 0%
Devoir de 12 70%
l’administration
(3)
(1) + (3) 2 12%
(1) + (2) + (3) 1 6%
Total 17 100%
La majorité des bénéficiaires pensent que les différents frais de fonctionnement des
équipements des points d’eau devraient être pris en charge par l’administration.
PERIMETRES IRRIGUES
Les enquêtes ont été menées dans les zones où l’exploitation a démarré (les périmètres sont
nouveaux, à l’exception d’un noyau de 70 ha appartenant au périmètre d’El Ferch
précédemment sur des puits de surface). Il s’agit des périmètres de Argoub, Bni Mhira,
Ababsa, Nekrif, Kambout, El Ferch et Oued El Khil.
Etant en stade de démarrage, les exploitants n’ont pas répondu à toutes les questions ; notons
que durant ces premières campagnes agricoles le taux d’occupation du sol en cultures
fourragères est très conforté par la distribution gratuite des semences par le projet (65% des
exploitants enquêtés) pour encourager l’intégration de l’élevage à l’exploitation. Soulignons
également que 95% (20 sur un total de 21) des bénéficiaires enquêtés déclarent qu’ils ne sont
pas des éleveurs. Pour les autres principales réponses, la situation se présente comme suit :
Répartition des superficies moyennes traduisant l’exploitation et l’occupation du sol:
Superficie ha
Exploitation (total) 4,68
Dans le PI 1,91
Effectivement irrigué 1,38
Arboriculture fruitière en irrigué 1,08
Maraîchage en irrigué 0,53
Fourrage en irrigué 0,25
67% (14 sur 21) déclarent avoir demandé de bénéficier d’une borne d’irrigation
(demande d’intégration de leur exploitation dans le PI) et ce, dans l’objectif
d’améliorer leur revenu.
57% (12 sur 21) sont satisfaits du niveau d’exploitation actuel du PI.
89% (8 sur 9) des exploitants non encore satisfaits du niveau actuel d’exploitation,
déclarent que le manque de moyens financiers est la principale raison de cette sous
exploitation.
L’amélioration du revenu n’est pas très importante (l’exploitation des PI est en
démarrage), mais a été sentie par 85% des enquêtés. Le bénéfice net moyen est de
1079 D par exploitant (pour une superficie moyenne irriguée de 1,3 ha).
CONSERVATION DES EAUX ET DU SOL
Cette action a concerné aussi bien les ouvrages d’épandage et de recharge que la réhabilitation
des jessours. Cependant, la succession des périodes de sècheresse dans les zones d’épandage a
rendu difficile l’appréciation de l’impact actuel de ces ouvrages. Concernant les jessours,
aménagements très appréciés par les bénéficiaires, les réponses des enquêtés (en nombre de
14) ont été comme suit :
L’olivier est la principale spéculation pratiquée (67% du nombre de pieds dans les
jessours),
86% des enquêtés déclarent que les travaux sont actuellement en bon état (ne
nécessitent pas d’entretien) et qu’ils souhaitent bénéficier de ce type d’action dans le
futur (deuxième phase),
L’amélioration du rendement de l’olivier de 32%.
ANNEXES