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On commence le chapitre trois avec la fin de la deuxième guerre mondiale; la victoire des
alliés, dont fait partie les États Unis et bien le canada. À la fin de cette deuxième guerre
mondiale c'est Maurice Duplessis qui est à la tête de son parti l'union nationale; qui règne
en maître sur le Québec durant près de quinze
longues années. Il prône les valeurs traditionnelles
québécoises et celle de la religion catholique; il
favorise le développement des régions et des
campagnes éloignées des grandes villes comme
Montréal et Québec. C'est lui qui développe
l'électricité dans nos campagnes pour moderniser
la production agricole. Maurice Duplessis veut
contrôler le Québec et éviter à tout prix que le
gouvernement du canada intervienne dans ses
décisions. Il fait plutôt confiance à l'église; qui sera
au centre de ce gouvernement et qui aura la
responsabilité de gérer les secteurs de l'éducation et
de la santé. Les impôts que Maurice Duplessis met en
place serviront entre autres à financer l'église
catholique qui a des difficultés à offrir les services à
la population québécoise; car c'est la période du «
baby boom » avec des milliers de nouveaux bébés après la deuxième guerre mondiale.
Avec 25% de la population qui a 10 ans et moins en 1950. L'église est donc débordés; par
les pensionnats qui accueille les autochtones pour les convertir en travailleurs francophones
catholiques et les orphelinats qui accueille des milliers d'enfants abandonnés qui seront
maltraités dans les orphelinats que l'on surnommera « les orphelins de Duplessis ».
C'est durant cette même période que débute « la guerre froide » entre le capitalisme
américain et les communistes soviétiques; qui se base sur la compétition entre les États
Unis et la Russie soviétique qu'on appelle l’URSS
durant cette période. On dit guerre froide car la
rivalité ne va pas se réchauffer jusqu'à un conflit
armé mais plutôt rester froide dans le sens qu'elle
se base sur une compétition entre les idéologies
communistes et capitaliste; comme dans
l’influence mondiale, le sport, la course à l'espace.
En bref le système qui fonctionnera le mieux entre
les compagnies privées et la richesse personnelle : le capitalisme ou le partage et l'égalité de
la communauté : communisme. Au canada et au Québec on prend le cas américain du
capitalisme et du libéralisme économique.
C'est dans ce contexte de guerre froide que Maurice Duplessis interdit les syndicats et leurs
rassemblements souvent associé aux valeurs communisme,
et donc ennemis du canada et son allié économique les
États-Unis. L’image d’un cadenas représente l'interdiction
des syndicats pour « la loi du cadenas » instauré par
Duplessis pour autoriser les policiers à barré et
condamner les locaux qui servent aux rassemblements
des syndicats. Sans syndicats pour améliorer les conditions
de travail des nombreux ouvriers québécois; des
rassemblements et des grèves sont organisés, des mines
d'asbestose et de Thetford mines en 1949. Maurice
Duplessis utilise les forces de police pour matraquer et
arrêter les grévistes qu'il juge illégale. L'intimidation par la
force policière et la corruption de son gouvernement
permette à Maurice Duplessis de régner sur le Québec en
maitre jusqu'à sa mort en 1960. Tout au long du règne de
Duplessis une volonté de changement social et idéologique majeur s'oppose au conservatisme;
aux traditions protégées par le gouvernement et l'église catholique.
Les ministères sont créés , comme le ministère de l'éducation; en 1964 qui réforment
l'enseignement comme proposé par « le rapport parent » en offrant des écoles gratuites, mixte
pour instruire aussi les jeunes filles est accessible partout dans la province. Le gouvernement
Lesage réorganise aussi le système de santé avec « la loi des hôpitaux » en 1962; permettant
au gouvernement d'encadrer par des lois et des normes les hôpitaux qui seront administrées
par des médecins au lieu des religieux. Les libéraux de Jean Lesage vont aussi mettre en
place le système d'assurance hospitalisation, pour offrir les soins de santé « gratuits » ; payés
par l'état. Un régime des rentes pour les retraités Québécois est aussi implanté pour avoir une
meilleure qualité de vie pour les aînés.
Le ministre libéral de cette période, des ressources naturelles, René Lévesque convenait
québécoise d'acheter et de nationaliser les
centrales électriques privées. En augmentant
la dette de la province pour permettre la
création d'Hydro-Québec et d'enrichir le
Québec avec ses investissements.
Cette véritable révolution sans révolte du peuple ainsi appelé la « Révolution tranquille »;
modernise rapidement le Québec endormi dans ses traditions par une restructuration majeure
de l'état avec 53 mille fonctionnaires gouvernementaux. L'état devient dont le principal
responsable de sa population. C'est « l'état providence » : l'état qui offre l'état qui donne.
La population du Québec grandit rapidement durant cette période avec la génération des
« baby boomers » qui arrive désormais sur le marché du travail en plus de l'importante
immigration des pays européens comme; les italiens, les grecs, les portugais et les juifs. De
nombreux quartiers ethniques se développent
donc à Montréal de nombreux « gratte ciel » ils
sont construits et les banlieues se développent
autour des plus grandes villes de la province.
Avec la population qui augmente, le nombre de maisons de quartier et de ville augmente
aussi durant cette période. Plusieurs routes autoroutes ponts et infrastructures sont
construits à cette époque pour le développement rapide de ces régions. C'est le phénomène
« d'étalement urbain »; qui veut dire expansion rapide des villes.
Durant son mandat très mouvementée Robert Bourassa devra aussi faire face aux attentats du
front de libération du Québec ou FLQ. En 1970 ces souverainistes terrorise le Québec en
posant des bombes dans des boîtes aux lettres des quartiers anglophones, ainsi qu'à la bourse
de Montréal. Le 5 octobre 1970 le FLQ kidnappe le diplomate britannique James Richard
Cross et le 10 octobre suivant le ministre libéral Pierre Laporte. Après avoir répondu « just
watch me » (lors d'une entrevue sur la situation Québec) le premier ministre du canada Pierre
Elliott Trudeau applique la loi sur les
mesures de guerre le 16 octobre 1970
alors que l'armée canadienne est
envoyé au Québec pour trouver et
arrêter les membres du FLQ. Le jour
suivant le 17 octobre ministre Pierre
Laporte est retrouvé mort dans le coffre
d'un véhicule abandonné sur la rive sud
de Montréal. L'armée canadienne et les
forces policières se font donner tous les
droits pour fouiller les maisons et arrêté
les citoyens jugés suspects. Des
centaines d’arrestations abusives et
violentes auront lieu durant cette période
que l'on appellera « la crise d'octobre ».
Robert Bourassa doit aussi négocier
avec les trois plus grosses centrales syndicales qui déclenchent une grève illimitée avec le
front commun de 1972 qui avait comme objectif d'obtenir une meilleure répartition des
richesses dans la société québécoise.
L'année suivante une crise économique causée par
l'augmentation du prix du pétrole frappe le Québec est
malgré tout en 1974 le gouvernement de Robert Bourassa
réussi à faire voter la loi 22 qui fait du français la seule langue
officielle de la province et qui limitent l'accès aux écoles
anglophones. Le Québec des années 70 est donc marquée par
les enjeux économiques sociaux et culturels qui divise le
Québec du reste du canada. C'est dans ce contexte que le parti
québécois du premier ministre René Lévesque, gagne les
élections provinciales de 1976. Pour la première fois au
pouvoir le parti québécois et René Lévesque doivent faire
leurs preuves. En 1977 le gouvernement du parti québécois
adopte la charte de la langue française aussi appelé la loi
101 qui vise à renforcer les lois sur la protection et la
promotion de la
langue française dans la province. Cette situation
pousse 90000 anglophone a quitté le Québec. En 1979
le parti québécois améliore les conditions de travail
avec les lois sur les normes du travail. Ces normes du
travail vont établir un salaire minimum un nombre
d'heures maximum de travail par semaine et certaines
conditions de travail à respecter même pour ceux qui ne
sont pas syndiqués.