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Notes de Cours Mécanique des sols II

Plan Cours

• Rappel Notions Fondamentales : Mécanique des sols I

• Chapitre 1: Résistance au cisaillement des sols (Essais


mécaniques: cisaillement, triaxial, oedomètre)

• Chapitre 2: Les essais in situ (pressiomètre, pénétromètre,..)

• Chapitre 3: Fondations superficielles: conception et calcul des


fondations superficielles et calcul tassement

Version Provisoire 2021

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Introduction

Dans le cours de mécanique des sols I, les sols sont décrits par leurs propriétés physiques et
des systèmes de classification ont été proposés afin de mieux les caractériser. Le cours
mécanique des sols II s’intéresse davantage au comportement mécanique des sols, tel qu’il
sera sous un immeuble, sous un remblai, dans un barrage en terre ou dans un talus naturel. Nous
traiterons en particulier deux grandes classes de comportements : compressibilité, résistance
au cisaillement et essais in situ.

Après quelques rappels et quelques considérations sur les contraintes et les déformations dans
les sols, nous étudierons La résistance au cisaillement des sols dans le chapitre 1 . Les essais in
situ feront l’objet du chapitre 2,et enfin le calcul des fondations et des tassements vont être
traiter dans le dernier chapitre.

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Rappels des Notions Fondamentales : Mécanique des sols I

1.1 Définition d’un sol :

Le sol est un matériau poreux constitué de deux ou trois phases : des particules solides,
de l’eau et du gaz (généralement air ou gaz d’origine organique).

Figure 1: Diagramme de phase d’un sol

1.2 les grandes classes de sols :

On distingue deux grandes classes de sols, soit :

 les sols pulvérulents (D>20 m) :dont les particules sont simplement en contact les unes
avec les autres, ce sont les graviers, les sables et les silts ;
 les sols cohérents (D<20 m) : dont les particules sont liées par des forces électriques et
chimiques, ce sont les sols argileux.

NB: Selon la classification LCPC : Sol grenu (50% des grains ont >80 m), sinon c’est un sol
Fin.

1.3 Description du milieu poreux :

La figure 1 décrit schématiquement un sol en termes de poids et de volumes de solide, de liquide


et de gaz. Elle permet de définir les paramètres suivants :

 Vs : le volume de la phase solide; Ws : son poids, Ms : sa masse


 Vw : le volume de la phase liquide, Ww : son poids, Mw : sa masse
 Va le volume de la phase gazeuse
V = Vs + Vw + Va

W = Ws + Ww : Poids

M = Ms + Mw : Masse
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Le tableau montre des valeurs typiques pour la densité des grains et l’indice des vides.

Il existe des relations entre les différents paramètres décrivant le milieu poreux, ce sont en
particulier résumé dans le tableau suivant :

Tableau 1: Relations masse volumiques et formules

Nom Formule (unité :g/cm3)

M Ms  Mw
Masse volumique apparente ou humide  
V Vs  Vw  Va

Ms Ms
Masse volumique sèche d  
V Vs  Vw  Va

M Ms  Mw
Masse volumique saturée  sat  
V Vs  Vw

Masse volumique déjaugée ' (sat - w )

Pour les sols saturés, le poids volumique est aussi directement relié à la teneur en eau par la
Mw
relation : Sr= w/wsat avec w  x100
Ms

1.4 Granulométrie :

Une particule est caractérisée par son diamètre équivalent, dimension latérale de la plus
petite ouverture carrée à travers laquelle peut passer la particule. Ce diamètre équivalent permet
de placer le sol dans une catégorie qui peut dépendre de la classification utilisée. La figure
présente le système de classification des sols selon la granularité (Normes XP P 94-011 et NF
EN ISO 14688-1).

Figure 2: Fraction granulométrique des sols

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L’ensemble des particules est caractérisé par la courbe granulométrique, elle-même caractérisée
par le diamètre effectif d10 et le coefficient d’uniformité Cu=d60/d10

1.5 Densité relative des sols pulvérulents :

On définit aussi l’indice de densité ID ou indice densité relative Dr qui représente l’état dans
lequel se trouve un sol sableux par rapport aux états extrêmes.

e max  e
ID  x 100
e max  e min
Avec :emax : correspondant à une compacité minimale
emin : correspondant à une compacité maximale
Vv
e : indice des vides du sol
Vs
Vv
n : porosité du sol ; c : compacité du sol avec C  Vs  1 - n
V V

Figure 3: Valeurs usuels des sols: Poids volumique, indice des vides et porosité (Hough 1957,
HANSBO 1975)

La masse volumique des particules solides s représente le rapport de la masse des particules
solides à leur volume absolu. Elle est exprimée en g/cm3 ou t/m3.
Ms
s 
Vs

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Les sols se composent en général d’oxydes dont la silice (SiO2) et d’Alumine (AL2O3) sont
les constituants essentiels (plus de 70%). Les éléments Si et Al ayant des masses atomiques
voisines, le poids volumique des grains solides dans des limites assez faibles :
25.5 KN/m3 < solide< 28.5 KN/m3
A défaut de mesure, On prend souvent G=2.65 (solide =26.5 KN/m3 )
Valeurs Types de ρ solide (Réf : Withman et LAMBE) :

Tableau 2 : Valeurs usuels masse volumique des particules solides

Sol ρ solide (g/cm3)


Quartz 2.65
Calcite 2.72
Dolomite 2.85
sable 2.5-2.7
Montmorllonite 2.75
Attapulgite 2.3

1.6 Densité de consistance des sols cohérents

Si on part d’une boue (passant par le tamis 400 μm) que l’on fait sécher progressivement, le sol
passe par différents états liquides, plastique, semi-solide et solide séparés par les limites de
liquidité wL, de plasticité wp et de retrait wR. Ces limites permettent la définition des indices
suivants :

 la limite de liquidité wL qui sépare l'état plastique de l'état liquide; elle sera déterminée
selon l’une des deux procédures suivantes : limite de liquidité à la coupelle de
Casagrande (NF P 94-051) ou limite de liquidité au cône (NF P 94-052-1)
 une limite de plasticité wp qui sépare l'état plastique de l'état solide; elle est déterminée
par la méthode du rouleau (NF P 94-051)
 une limite de retrait wR (XP P 94-060-1), teneur en eau au dessous de laquelle le
volume de l'échantillon est supposé ne plus varier.

Etat Solide
Etat plastique Etat liquide
Teneur en eau w

wR Wp wL
Indice de plasticité IP
0 Avec variation de
volume
Sans variation de Indice de retrait IR 6
volume
On définit :

 w = teneur en eau naturelle.


 Ip = indice de plasticité = wL – wp
 IR = Indice de retrait = wL – wR
wL  w wL  w
 Ic   = Indice de consistance
wL  wp Ip
 IL = indice de liquidité = 1 – Ic
Quelques valeurs types :
Tableau 3: Valeurs usuels (wl, Ip et wnat) sur des sols en Tunisie (LGC ENIT)

Sol et provenance Limite liquidité Indice plasticité Teneur en eau


Argile de Tunis 59 39 35
Vase du lac Sud 71 43 60
Argile de Mateur 85 56 35
Argile Béja 48-56 25-31 25-27
Argile Bizerte 78 41 32
Argile Sud Tunisien 130 92 95

1.7 Perméabilité des sols :

Le coefficient de perméabilité d’un sol est fonction de :

- La granulométrie du sol
- La densité du sol
- La structure du sol

10- 10- 10- 10- 10- 10-12


k =1 10-1 10-2 10-3 4 10-5 10-6 7 8 10-9 10 11 m/s
CARACTERISTIQUES
BONNE FAIBLE PRATIQUEMENT IMPERMEABLE
DE DRAINAGE
TRES PRATIQUEMENT
PERMEABILITE FORTE MOYENNE FAIBLE
FAIBLE IMPERMEABLE
SABLE ARGILE FISSUREE
TYPE DE SOL GRAVIER ARGILES INTACTES
PROPRE SABLE FIN LIMONEUX
METHODES CHARGE VARIABLE OU
CHARGE CONSTANTE CHARGE VARIABLE
D'ESSAIS EN LABO OEDOMETRE
Figure 4: Perméabilité des sols: coefficient K et essais recomandés

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Chapitre 1 : Résistance au Cisaillement des sols

1. Rappel (Contraintes – Cercle de Mohr) :


a) Etat de contraintes en un point M d’un milieu continu
L’état de contraintes en un point M d’un milieu continu est complètement défini par le tenseur
à six composantes,
Plan de Mohr

Figure 5: Tenseur des contraintes en un point M d’un milieu continu

On utilise souvent la représentation dans le repère des directions principales, Les trois
contraintes principales majeure σ1 , intermédiaire σ2 et mineure σ3 ne déterminent pas de façon
complète l’état de contraintes au point M, qui dépend aussi de l’orientation des axes principaux
Repère des directions
principales

Figure 6: Tenseur des contraintes en un point M d’un milieu continu dans le repère des directions prinicpales

• Les contraintes normales se transmettent à la fois par les particules


solides, sous la forme de contraintes effectives, et par le fluide
remplissant les pores, sous forme de pression interstitielle.

• Les contraintes tangentielles ne sollicitent que les particules solides.


La résistance au cisaillement ne peut donc s'exercer que grâce aux
contacts entre celles-ci et est d'autant plus élevée que les contraintes
intergranulaires (contraintes effectives) sont plus grandes.

b) Représentation Cercle de Mohr (Méthode des pôles)

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Le rayon du
cercle de Mohr
est égal à R=
(1 – 3)/2

son centre C a
pour abscisse
(1 + 3)/2

c cotg  (1 + 3)/2

 Graphiquement : l’orientation α de la facette, par rapport au plan portant la contrainte σ1,


est égale sur le plan de Mohr à deux fois l’angle formé au centre M du cercle entre le
segment MT et Mσ1

 Mathématiquement :

2.Essai de cisaillement direct à la boite :

L’essai de cisaillement direct est une modification de l’essai de glissement élémentaire


pour application aux sols. C’est le plus vieil essai de mesure de la résistance au cisaillement des
sols (collin, 1846). L’appareillage est essentiellement constitué de deux demi-boîtes qui
peuvent se déplacer l’une par rapport à l’autre (figure 5). Le sol à cisailler se trouve à l’intérieur
de ces demi-boîtes.

Le mode opératoire de l’essai est comme suit : (Pour une éprouvette carrée de largeur b)

 On monte l’éprouvette de sol dans les deux demi-boîtes alors alignées ;

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 On applique une force verticale N choisie sur l’éprouvette : Si S est la section de
l’éprouvette, la contrainte appliquée est alors =N/S
 On laisse consolider l’éprouvette jusqu’en fin de consolidation primaire ;
u = 0 et σ’no = σno

 Au moyen d’un bâti spécial, on applique à une demi-boîte un déplacement horizontal à


vitesse constante en maintenant l’autre demi-boîte fixe. La vitesse de déplacement est
choisie assez faible pour maintenir la pression interstitielle nulle Δu=0
o Durant ce cisaillement, la force de cisaillement T nécessaire au déplacement
relatif des deux demi-boîtes est mesuré.
 A différents moments de l’essai, on calcule les contraintes normales σ’n et de
cisaillement τ s’appliquant sur le plan de cisaillement. Du fait du déplacement relatif
des deux demi-boîtes, la surface de contact entre les deux moitiés de l’éprouvette
diminue en cours d’essai (figure 7)

Figure 7: Principe de l’essai de cisaillement direct à la boite

On a alors :

a) On trace sur un diagramme τ= f (), l’évolution de la contrainte de cisaillement en


fonction de la déformation.

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b) On répète le même essai sur plusieurs éprouvettes, pour plusieurs valeurs de σ’n. On
en déduit l’enveloppe des conditions de rupture (σ’n, τn) du sol étudié.

Critère de rupture

(3 pts alignés)

Enveloppe de Mohr-Coulomb

L’expérience montre que la relation σ’n , τn est linéaire et peut se mettre sous la forme suivante :

Figure 8: Résultats de l’essai de cisaillement direct à la boite critère de rupture

Cette courbe intrinsèque ou encore critère de rupture du sol étudié est aussi appelée « enveloppe
de Mohr-Coulomb ». C’est la cohésion du sol et φ’ son angle de frottement.

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Remarques sur l’essai de cisaillement direct :

L’essai de cisaillement direct présente un certain nombre de défauts que l’on peut résumer
ainsi :

- Il y a des frottements parasites entre les deux demi-boîtes qui peuvent fausser les
résultats ;
- Il y a un mode de déformation et de rupture qui est imposé par la géométrie de la boîte.
En particulier, on connaît τ et σ’n s’appliquant sur un plan, mais on ignore complètement
les autres composantes du tenseur des contraintes.
Pour ces raisons, l’essai de cisaillement direct est moins utilisé qu’il l’était et est souvent
remplacé par l’essai triaxial.

2. Essai triaxial :
Cet essai, qui a été développé vers 1950, permet une étude plus globale de la résistance
au cisaillement que l’essai de cisaillement direct et de plus laisse au sol le choix du plan de
rupture. L’appareillage est montré sur la figure 9 ; on a une éprouvette de sol cylindrique
enveloppée dans une membrane de caoutchouc très souple et placée à l’intérieur d’une cellule
remplie de liquide (eau ou huile) sous pression. Généralement cette pression cellulaire reste
constante durant tout l’essai, et on augmente la charge P appliquée verticalement à l’aide d’un
piston jusqu’à ce qu’il y ait rupture de l’éprouvette de sol.

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Figure 9: Dispositif appareil triaxial

De façon générale, on a donc :

a) La pression cellulaire σ3 qui agit normalement à la surface latérale de l’éprouvette et est


donc contrainte principale. On peut aussi noter que si

P=0, la pression cellulaire s’exerce aussi sur le dessus de l’éprouvette qui est alors en
état de contrainte isotrope.

b) La force P exercée par le piston sur l’éprouvette s’ajoute à l’effet de la pression cellulaire
pour donner la contrainte verticale σ1

Cette contrainte est perpendiculaire à la face horizontale sur laquelle elle s’applique, elle est
donc principale et majeure puisque c’est la plus grande. σ3 est la contrainte principale mineure.

c) Les contraintes σ1 et σ3 sont des contraintes totales. S’il y a à l’intérieur de l’éprouvette


une pression interstitielle u, les contraintes effectives sont : σ’1 et σ’3

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 La connaissance de ces contraintes principales permet de tracer le cercle de
Mohr correspondant.

Déroulement de l’essai :

Nous décrions ici les deux types d’essais les plus largement utilisés en pratique, soient les
essais « consolidés isotropiquement » et cisaillés dans des « conditions drainées ou non
drainées ».

a) On place l’éprouvette dans l’appareil. Si c’est de l’argile, on la découpe aux dimensions


voulues, si c’est du sable, on le verse dans un moule placé sur la base de la cellule et on
le densifie pour l’amener dans les conditions désirées.
b) On place une tête sur l’éprouvette et, à l’aide de joints toriques, on fixe la membrane de
caoutchouc sur la base et la tête afin d’isoler l’éprouvette.
c) Par un très léger succin, on enlève les surplus d’eau qu’il peut y avoir entre l’éprouvette
et la membrane. On ferme ensuite le robinet de drainage.
d) On applique la pression cellulaire σ3, donc une contrainte isotrope. Si le sol est
parfaitement saturé, on doit avoir une augmentation de la pression interstitielle dans
l’éprouvette égale à l’augmentation de pression cellulaire.
e) Phase de consolidation. Le robinet de drainage est maintenant ouvert vers une
« contrepression » que nous pouvons appeler u0 et qui est souvent égale à 0 (le drainage
est alors ouvert à la pression atmosphérique). Sous l’effet du gradient hydraulique, il se
produit une consolidation de l’éprouvette qui produit des changements de volume Δv =
f (temps). En fin de consolidation on a Δu = 0, u = u0, σ’3 = σ3 - u0 et un nouvel indice
des vides fonctions de σ’3
f) La cellule est placée sur une presse ; un anneau dynamométrique dont le but est de
mesurer la force appliquée sur le piston et un déflectomètre dont le but est de mesurer
la déformation de l’éprouvette sont mis en place. L’essai peut être drainé (essai CD).
On laisse alors le robinet de drainage ouvert ; la pression interstitielle reste alors u0
durant tout l’essai et on mesure les variations de pression interstitielle en cours d’essai.
g) On fait alors partir la presse qui fait monter le plateau à vitesse constante et écrase
progressivement l’éprouvette de sol. On mesure pendant l’essai la variation de P et de
Δh (ou Δh/h), et la variation de volume dans le cas d’un essai drainé ou la variation de
pression interstitielle dans le cas d’un essai non drainé.

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Dans les deux cas, on pourra étudier les variations des contraintes totales et effectives
et définir :

- La courbe contrainte-déformation
- Les chemins de contraintes
- La valeur des contraintes à la rupture

L’ essai triaxial est menée selon l’état de :drainage, consolidation, cisaillement et vitesse
de l’essai

 Essai consolidé drainé (CD)


 Essai consolidé non drainé (C.U) et (C.U +u)
 Essai non consolidé non drainé (U.U)
 Essai de compression simple

2.1. Essai consolidé drainé (CD) :


Principe (drainage ouvert) :

Résultats essai C.D:

2.2. Essai consolidé non drainé (C.U) :


Principe C.U (drainage fermé lors cisaillement) :

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Résultats C.U:

2.3. Essai non consolidé non drainé (U.U) :


Principe U.U (drainage fermé lors cisaillement) :

Résultats U.U

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 Essai compression simple (essai U.U avec σ3 =0) : Rc=Cu/2

Valeurs usuels sol cohérent (argile, limon) :

 Valeurs usuels sol pulvérulent (sable, ) :

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 Choix de la méthode de cisaillement selon le sol:

 Avantages et inconvénients de l’essai Triaxial :

Les principaux avantages sont que :

- Les contraintes principales 𝜎1 et 𝜎3 sont contrôlées et connues,


- Les conditions de drainage sont contrôlées et on peut connaître les contraintes
effectives ;
- L’éprouvette est libre de se déformer et de se rompre comme elle l’entend.
Il y a cependant quelques inconvénients qui peuvent se résumer ainsi :

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- L’état de contraintes appliqué est à symétrie axiale (𝜎2 = 𝜎3) ces conditions ne sont que
très rarement rencontrées en pratique où l’on a plus souvent des états de déformation
plane ;
- La base de la cellule et la tête peuvent introduire des effets de bout ; on considère
cependant qu’ils sont négligeables si on a un rapport hauteur sur diamètre supérieur ou
égal à 2 ;
- La membrane peut contribuer dans une certaine mesure à la résistance mesurée et il y a
un changement de la géométrie de l’éprouvette en cours d’essai ; ces deux phénomènes
amènent des erreurs que l’on essaie de corriger, mais pas toujours avec succès

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