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Ww
w = : poids volumique de la fraction liquide (eau)
Vw
Wsat Ws + w .Vv : poids volumique du sol saturé en eau
sat = =
V V
' = sat − w : poids volumique du sol déjaugé
2.2. Caractéristiques physiques des sols
Ww
w= .100 : Teneur en eau (%)
Ws
Vw
Sr = .100 : Degré de saturation (%)
Vv
Vv
n= : porosité du sol
V
V
e= v : indice des vides
Vs
2.2. Caractéristiques physiques des sols
Source : CYR M. et
LERAU J., INSA
Toulouse
2.3. Caractéristiques dimensionnelles
▪ Courbe granulométrique
Elle représente la distribution massique des tamisats cumulés(échelle arithmétique) en
fonction du diamètre (ou du diamètre équivalent) des grains solides(échelle logarithmique.
Exemple suivant :
% refus des tamis
100%
90%
80%
% DU TAMISAT (PASSANT)
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
100 10 1 0.1 0.01 0.001
DIAMETRE
Sol pulvérulent : tamisage Sol fin : sédimentométrie ou
Granulométrie laser
2.3. Caractéristiques dimensionnelles
▪ Classification granulométrique
D60
Cu = Coefficient d’uniformité ou Coefficient de Hazen
D10
D10 Diamètre correspondant à 10% du poids des grains, dit diamètre efficace
100%
Cu 50%
40%
30%
▪ Classification granulométrique
2
D30
Cc = Coefficient de courbure
D60 .D10
▪ Surface spécifique
Définit la surface des grains par unité de masse (m²/g). Elle dépend
principalement de taille des grains.
Elle est importante pour les argiles.
2.4. Structure des sols (grenus, fins ou argileux)
ou pulvérulents
ou pulvérulents
ou pulvérulents
emax − e
Formule : I D =
emax − emin
Exemples :
WR
WL − Wnat
▪ Indice de consistance IC décrit la consistance de la pâte argileuse I C =
IP
2.6. Essais d'identification – sols fins
Ce paramètre noté VBS (Valeur de Bleu du Sol) est donc une grandeur
directement liée à la surface spécifique du sol.
L'essai consiste à introduire progressivement le bleu de méthylène dans une
suspension du sol considéré et maintenu en agitation. On prélève
périodiquement une goutte de cette suspension que I'on dépose sur un papier
chromatographique (spécifique). Dès qu'une auréole bleutée se développe
autour de la tâche ainsi formée on peut considérer que I'adsorption est achevée.
Car cette tâche (auréole) désigne l'excès du bleu de méthylène non adsorbé. La
VBS est exprimée en grammes de bleu pour 100g de sol.
2.6. Essais d'identification – sols fins
▪ Activité
Elle permet d’apprécier l’activité d’une argile en présence de l’eau.
IP
Elle se définit comme suit : AC =
Teneurd ' arg ile (%)
Minéralogie du sol
▪ Diffraction par rayons X (DRX) ;
▪ Analyse thermodifférentielle
Exemple de DRX
2.6. Essais d'identification – sols fins
Minéralogie du sol
▪ Diffraction par rayons X (DRX) ;
▪ Analyse thermodifférentielle : Mesure de la variation de température relative
du sol T par rapport à un échantillon neutre tel que une brique réfractaire, et
rapportée à la variation de la température absolue du sol (T).
T
Exemple de Thermodifférentiel
910°
530°
2.7 Classification des sols
Il existe plusieurs classifications. Elles s’appuient toutes sur Couplage
entre granulométrie et limites d’Atterberg
SOL
Granulométrie Oui
CU faible
uniforme
Non
― Terrains aquifères. Terrains dans lesquels l'eau circule avec des débits importants.
E.g., sols ou roches perméables;
― Terrains aquifuges. sols ou roches peu ou imperméables;
― Surface de la nappe. Surface de l'eau limitant la partie supérieure de la nappes;
― Nappe libre. Nappe où la pression interstitielles de l'eau au niveau de la surface
est nulle;
― Nappe captive. Nappe d’eau recouverte, totalement ou partiellement, par une
couche de terrain imperméable. La pression interstitielle est importante.
― Nappe phréatique. Première nappe libre rencontrée depuis la surface. La surface
de cette nappe s'appelle le niveau phréatique;
― Nappe artésienne. Nappe pour laquelle la pression de l'eau à la surface de la
nappe est positive. C'est le cas d'un écoulement artésien ou confiné.
Chapitre 3 : Hydraulique des sols
Vecteur vitesse
ligne de courant
dVs
v2 u
La charge hydraulique est définie par : h = +z+
2.g w
Or, pour les sols, «v» est très faible (< 0,1 m/s) et le terme
cinétique est négligeable.
u
D’où, h = z + valeur relative dépendant de la hauteur par rapport
w au niveau de référence
3.2. Equations et paramètres
3.2.2. perte de charge
Lors de son mouvement d’un point A vers un point B, l’eau subi
une variation de la charge hydraulique, tel que :
h = hA − hB
O niveau de référence
h O ' O
i= =
l AB
uB
B
3.3. Loi de Darcy
Elle donne la variation du gradient hydraulique (perte de
charge) dans un sol en fonction de la vitesse d’écoulement
v = k.i
Loi de Darcy
3.3. Loi de Darcy
h
D’où, q = k .i.S = k . .S
L
3.3. Loi de Darcy
Ordre de grandeurs :
h
Or, nous savons que : q = k .i.S = k . .S
L
q L
D’où : k = .
S h
3.4. Mesure de la perméabilité en laboratoire
3.4.1 Perméamètre à charge variable
q L
Or, nous savons que : k= .
S h
La variation du volume :
dV = q.dt = − s.dh
t2 h2
S dh
t k. L .dt = − h s. h
1 1
s L h1
On obtient:k = Ln( )
S t 2 − t1 h2
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
Mesure de la perméabilité sur le terrain: Pompage
(tiré de Philipponnat 1979)
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
3.5. Mesure de la perméabilité in-situ
3.6. Écoulement bidimensionnel (plan)
• Hypothèses
1- milieu homogène et isotrope (coefficient de perméabilité constant)
2- écoulement laminaire et vitesse de l'eau faible
3- écoulements régis par la loi de Darcy
4- écoulement permanent
Débit en M ? On a vu que
sur un canal est : H
h
q = k . .a
b
D’où le débit sur n canaux
et la même ligne n
équipotentielle : Q = qi
soit, Q = n.q i =1
Conséquences :
- uniformes affectant peu la structure ou l’ouvrage et causant
des problèmes de remblai et/ou de canalisation ;
- différentiels causant des dégâts et/ou rupture de la
structure.
4.1. Contraintes dans les sols
Tassement total S t = S i + S p + S s
Sp
Ss
tassement
4.1. Contraintes dans les sols
Fs
Massif du sol
fv
i
j
k
▪ forces de surface : charges,
▪ forces de volume : poids propre,
▪ forces internes dues à l’ensemble du massif sur le volume : petites.
4.1. Contraintes dans les sols
Principe :
Hypothèses :
v + z = z z
dv dv dv Massif du sol
i
j
k
h1 1
h2 2
v = i .hi
i
h3 3
v
dv
4.1. Contraintes dans les sols
Exemple : cas d’un sol stratifié, grenu et saturé à surface horizontale
sol grenu : pas de phase transitoire pour atteindre l’équilibre
= 21kN / m3 w = 10kN / m3
u0 v dv 10m
Contrainte à l’état initial à mi-strate sans surcharge :
v 0 = 21x5 = 105kPa
Pression interstitielle initiale (hydrostatique) :
u0 = (10 x5) = 50kPa
Contrainte effective initiale : Réservoir d’eau
= v 0 − u0 = 105 − 50 = 55kPa
Contrainte à l’état final à mi-strate sans surcharge : 10m
f = v 0 + = 105 + (10 x10) = 205kPa u0 v dv 9,5m
Contrainte effective finale :
f = f − u f = 205 − 50 = 155kPa
avec u f = u0
4.1. Contraintes dans les sols
Cas d’un sol saturé à surface horizontale
2
Composé de deux phases : solide et liquide v = i .hi
i =1
contrainte contrainte pression
effective totale interstitielle
= v u
w .hw w .hw hw w
h sat
v
dv
1 + 2. r
z
4.2. Calcul des contraintes dues aux surcharges
4.2.1. Détermination de surcharges : cas d’une charge
linéique q (formules de Boussinesq et de Westergaard)
q
Hypothèses :
▪ sol continu et infini,
▪ sol élastique et non pesant
r
tg =
Relation Boussinesq : z
z = I .q
z z r
Avec I coefficient d'influence
(<1) et dépend de z, r, la forme et
dimension de la charge q
4.2. Calcul des contraintes dues aux surcharges
4.2.1. Détermination de
surcharges : cas d’une
charge linéique
(formules de Boussinesq
et de Westergaard)
Ce qui
nous
donne =
1,35 N/m²
4.2. Calcul des contraintes dues aux surcharges
4.2.1. Détermination de surcharges : cas d’une charge
uniforme rectangulaire q0
Solution de Newmark (1935)
au coin
z = I .q0
avec I =
facteur d'influence, I
Abaque de Steinbrenner
4.2. Calcul des contraintes dues aux surcharges
4.2.1. Détermination de
surcharges : cas d’une
charge par un demi-
remblai de grande
longueur (forme
trapézoïdale) : au coin
Abaque d’Österberg
4.2. Calcul des contraintes dues aux surcharges
4.2.1. Détermination de
surcharges : cas d’une
charge par un talus
(forme tringulaire)
Abaque de Fadum
4.3. Compressibilité des sols
Phase AB : pré-consolidation,
- faible tassement,
- contraintes auxquelles le sol a
déjà été soumis
C
Phase BC : Consolidation : forte
compressibilité v0 p log
- sol se déforme au-delà de σ‘p
- sol soumis à des contraintes
supérieures à toutes celles qu'il a
déjà connu.
4.3. Compressibilité des sols
4.3.5. Classification des sols vis à vis de la compressibilité
(préconsolidation)
si p v0 alors le sol est dit
surconsolidé. Le sol a été soumis
dans son histoire à une contrainte
verticale supérieure à celle de son
poids actuel.
si p v 0 alors le sol est dit sous-consolidé. Il tasse sous son propre poids (pas
encore soumis à des contraintes supérieures à ce poids). Le sol est en cours de
consolidation et la contrainte p sera atteinte quand la consolidation est achevée.
4.4. Calcul du tassement & méthode des couches
4.4.1. présentation des paramètres Courbe vierge de
e premier chargement
Courbe de A Cs
déchargement e0 B
Indice de recompression :
e
Cs = sur l’intervalle AB Cc
log v
Indice de compression :
e C
Cc = sur l’intervalle BC
log v
v0 p log
h −1 v
Module oedométriqueEoed = v .( ) = .(1 + e0 ) = (1 + e0 ).
h0 e
Cc . log( 1 + )
e
Coefficient de compressibilité verticale av =
v
V S .h
V S .h av 1
Coefficient de compressibilité volumique mv = = = =
v v (1 + e0 ) Eoed
4.4. Calcul du tassement & méthode des couches
4.4.2. sol normalement consolidé
e
A B
e0
Sol normalement consolidé >>> p = v0
p = v0 log
On obtient :
e = Cc .(log v ) = Cc .(log − log v0 ) = Cc . log( 1 + )
v0
h e
Or la déformation est : =
h0 1 + e0
h0 .Cc
Donc, le tassement est : h = . log( 1 + )
1 + e0 v0
4.4. Calcul du tassement & méthode des couches
4.4.3. sol surconsolidé
si = v0 + p
le tassement dans le domaine élastique AB
(déchargement)
si = v0 + p
e
le tassement est la somme d’un tassement A Cs
e0
élastique he et d’un tassement plastique h p B
avec : e Cc
h0 .Cs p
he = . log( )
1 + e0 v0
(log v )
C
h0 .Cc +
hp = . log( v 0 ) v0 p log
1 + e0 p
4.4. Calcul du tassement & méthode des couches
4.4.4. méthode des couches h = hi
i
v = i .hi v1 h1 1
i
Courbe du h2 2
poids
h3 3
Courbe du v +
poids + dv
surcharge
h0 .Cc +
hp = . log( v 0 )
1 + e0 p
4.5. Théorie de la consolidation de Terzaghi
• déformation faible,
• Écoulement de l’eau vertical (Loi de Darcy),
• coefficient de perméabilité k constant,
• coefficient de compressibilité av constant.
4.5. Théorie de la consolidation de Terzaghi
= q
Avec les conditions aux limites suivantes :
Couche perméable
À t=0, la charge est reprise intégralement par l’eau
u (z ,0) = Couche compressible 2h
En z=0 et z=2h, dans les couches perméables
(drainantes) la surpression de l’eau est nulle Couche perméable
u (0, t ) = u (2h, t ) = 0
v0
4.5. Théorie de la consolidation de Terzaghi
2u u
La solution de cv 2 = fournit les isochrones u ( z , t ) = q
z t
Couche perméable
Couche compressible 2h
Couche perméable
u (z ,0) = u ( z , ) = 0
h faible (couche mince) h grand (couche épaisse)
Solution de cette équation différentielle de l'ordre de 2 :une solution est sous la
forme de l'expansion des séries de Fourier :
u = . f1 (Z ). f 2 (T )
Z : paramètre géométrique,
T : facteur de temps
d hauteur de la
z t k 1 + e0 t
Avec Z= et T = cv . = . 2 couche, égale ici à 2h
w av d
2
d d
4.5. Théorie de la consolidation de Terzaghi
St
Degré de consolidation U =
%
z
Sf
U z est aussi le rapport entre contrainte z et la
%
Couche perméable
z u
u (z ,0) = u ( z , ) = 0 Couche compressible 2h
u ( z , t )
Couche perméable
u z
U peut s’écrire aussi : U = 1 −
%
z
u( z, t )dz
U m% = 1 − 0
A
2h. B
z u
u (z ,0) = E
2h u ( z , ) = 0
u ( z , t )
D C
aireBEC aireABECD
U m% = 1 − =
aireABCD aireABCD
4.6. Durée des tassements
99,4 2,000
Remarque:
pour passer d’un degré de consolidation de 90% ( Tv = 0,848) à
plus de 99% (Tv = 2) le temps est multiplié par 2,5. Il est toujours
utilisé une consolidation à 90% de la consolidation finale.
4.6. Durée des tassements
4.6.2. Temps nécessaire pour obtenir le tassement final
Drain à une face drain à deux faces
= q = q
d
2
Couche compressible d Couche compressible
d
2
Couche imperméable Coucheperméable Drain
d2 1 d2
t = Tv . t = .Tv .
Cv 4 Cv
Pour la même hauteur, le temps est consolidation est divisé par 4 pour un
drain à deux faces au lieu d’une seule
4.6. Durée des tassements
4.6.2. Temps nécessaire pour obtenir le tassement final
Formules de Casagrande (1938) et Taylor (1948) :
U
U 60% Tv = ( )2
4 100
Pour la même hauteur, le temps est consolidation est divisé par 4 pour un
drain à deux faces au lieu d’une seule
4.6. Durée des tassements
4.6.2. Temps nécessaire pour obtenir le tassement final
h50
h100
t 50 t100
Degré de consolidation U = 50% T= 0,197
d distance de drainage (demi épaisseur de l'échantillon dans l'oedomètre)
h1 cv1 1
h2 cv 2 2 he cve
h3 cv 3 3
2
h4
cv 4 4 hi
cve = i 2
h
i
i c
vi
4.6. Durée des tassements
4.6.4. Prise en compte du temps de chargement
4.6. Durée des tassements 3.7. Consolidation secondaire
h50
h100
On suppose que
i rupture
t 50 t100
4.7. Consolidation secondaire
La consolidation secondaire est dite aussi fluage
Il y a variation de la déformation en fonction du temps sous une contrainte
constante
h50
h100
t
v (t , i ) = C . log( )
ti t 50 t100
C : Coefficient de fluage, tel que C =
(log t )
Ce = C (1 + e0 ) : Coefficient de fluage modifié
Chapitre 5 : Résistance au cisaillement
Chapitre 5 : Résistance au cisaillement
Or dans la réalité :
Le sol est soumis à de grandes charges grandes déformations,
La loi de Hooke n’est pas applicable
c’est à dire :
comportement du sol à l’état d’écoulement plastique ou à l’état de
rupture.
Lois utilisées :
• Critère d’écoulement plastique qui représente la frontière du
domaine d’élasticité.
• Ou le critère de rupture représenté par la courbe intrinsèque qui
est l’enveloppe des cercles de Mohr correspondant à la rupture.
5.1. Notions élémentaires sur la rupture des sols
Au moment de la rupture d’un sol, il y a un glissement entre les
particules solides, d’où le terme de résistance au cisaillement.
1 : Comportement élastique
parfaitement plastique.
Plasticité
Parfaite 1 et 3
2 : Comportement élasto-plastique
écrouissable.
Domaine
élastique 3 : Comportement élasto-plastique
écrouissable.
5.2. Rappel sur les états de contraintes
2
et une composante tangentielle = T − n2
2
En représentation graphique :
Suivant la direction ni , la
facette n’est soumise qu’à une
contrainte normale i et = 0
5.2.1. Distribution des contraintes autour d'un point
Que l’on peut écrire encore : ( − n .I )n = 0
I 2 = ((tr ) 2 − tr )
1 2 I 3 = det
2
5.2.1.2 Représentation plane – cercle de Mohr
Cercles de Mohr sont la représentation des contraintes dans un
système d'axes (τ,σ)
Si on suppose que : 3 2 1 2.1.3 Problèmes à deux dimensions
Axe confondu avec la
composante tangentielle Domaine permis
de contrainte
Contrainte
majeure
Contrainte Contrainte
mineure intermédiaire
5.2.1.3 Problèmes à deux dimensions
En Mécanique du sol, en général l’état de contrainte est plan :
- symétrie de révolution : fondation circulaire, pieux, etc
- géométrie constante dans une direction : talus, remblai, semelle filante, mur
x + z 1
1 = + ( x − z ) 2
+ 4. xZ
2 2
où + z 1
3 = x
− ( x − z ) 2 + 4. xZ
2 2
T (M , n)
− 2
5.2.1.3 Problèmes à deux dimensions
n = d + r. cos( −2 )
avec
n = r. sin( −2 )
5.3. Cercle de Mohr-Coulomb et conséquences
Domaine stable et
écoulement permis
5.3.2 Critère de Mohr-Coulomb
La courbe intrinsèque est une droite. La droite de coulomb et sa
droite symétrique par rapport à l’axe délimitent le domaine
permis Plan de rupture
Plan de rupture
= C + . tan
= . tan
C
5.3.2 Critère de Mohr-Coulomb
5.3.2.3. Consolidé et Non Drainé (CU)*
Les échantillons reprennent la consolidation initiale (naturelle)
et sans drainage. Il permet le calcul des paramètres de
résistance (C’, ) en mesurant la pression interstitielle U.
La ligne de glissement est à un angle de 4
2
4
3 1
5.3.3 Lignes de glissement
L’état de contrainte est représenté par : et
L’équation (enveloppe) de Mohr-Coulomb : = c + tan
1.(1 − sin ) = 2.c. cos + 3 (1 + sin )
1 − 3
2
La ligne de glissement
est à un angle de +
4 2 +
2
a 1 + 3
2
avec :
a = c. cos
et
tan = sin 1 − 3
2
+
2
a 1 + 3
2