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Un coût élevé
L’eau de ville est très chère pour une qualité médiocre. De plus, son coût devrait
augmenter de manière constante dans les années futures.
A ce jour, il y a très peu d'études effectuées sur les méfaits du Chlore dans l'eau
de ville. Cependant, nous avons fait ressortir ci-dessous deux textes sérieux qui
font ressortir les limites et les inconvénients du Chlore pour une absorption
quotidienne de l'eau de ville.
Lorsque l’eau est distribuée par réseau, afin de garantir sa pureté microbienne,
l’usage d’un désinfectant chimique comme le chlore semble être incontournable.
Les bactéries et les autres micro-organismes se développent spontanément dans
l’eau. Elles se fixent sur les parois des tuyaux et des réservoirs de stockage.
L’écrasante majorité de ces bactéries qui apparaissent spontanément dans l’eau
sont inoffensives pour l’homme. Une petite partie appartient aux mêmes espèces
que celles qui sont présentes en masse dans le corps des personnes atteintes de
certaines maladies infectieuses. On fait donc rapidement la relation cause à effet
entre l’absorption d’une eau contenant ces bactéries réputées pathogènes et
l’apparition de maladies infectieuses. Cette corrélation est loin d’être aussi
simple.
C’est exactement ces valeurs que l’on mesure aussi dans l’eau désinfectée au
chlore.
Il est évident que ce n’est pas l’absorption de quelques verres d’eau désinfectée
qui va provoquer la maladie. Par contre, la consommation prolongé – pendant
des années – d’une telle eau appauvrit l’organisme en électrons et augmente
progressivement le rH2 du sang. Des milliers d’observations cliniques montrent
qu’il y a une corrélation nette entre la modification du rH2 du sang et
l’apparition de certains cancers et la sensibilité aux maladies virales.
La valeur du rH2 semble avoir une influence sur les équilibres calciques et
magnésiens, ainsi que ceux liés aux ions de sodium et de potassium dans le sang.
Ces équilibres déterminent les carences de l’assimilation calciques et
magnésiennes. Le rH2 du sang aura donc une influence sur l’apparition des
maladies comme l’ostéoporose, la coxarthrose et même la sclérose en plaque.
Une corrélation existe également avec l’apparition des allergies. Le rH2 est donc
une grandeur importante pour caractériser la qualité d’une eau.
• En premier lieu, les crises sanitaires d’origine hydriques ont montré que
certaines bactéries, et plus encore certains virus et parasites résistaient au chlore.
Le chlore n’est donc pas un système totalement efficace. L’on peut même
exprimer des doutes sur son efficacité contre un éventuelle attaque
bactériologique sur les réseaux. Le chlore est une protection illusoire dans de
nombreux cas.
• En second lieu, le chlore est inefficace dans la phase de transport de l’eau dans
le réseau de distribution 850.000 Km de réseaux). Au cours de cette phase, se
crée un bio film qui va abriter et protéger des millions de micro organismes qui
de fait vont devenir insensibles à l’action du chlore.
• En troisième lieu, les recherches les plus récentes ont montré que le chlore était
non seulement peu efficace contre la biomasse dans le réseau mais était même
dangereux en donnant aux bactéries une sorte d’accoutumance qui leur permet
d’être de moins en moins vulnérables au chlore. Selon les experts, il vaut mieux
avoir de fortes doses de chlores de temps en temps qu’un ‘’bruit de fond de
chlore’’ constant qui va réduire l’efficacité des actions désinfectantes
ultérieures.
• Enfin, des recherches sont en cours pour analyser les effets nocifs des sous
produits de désinfection notamment les trialométhanes formés par réaction du
chlore avec des composés organiques présents dans l’eau. Des effets sur le
cancer et sur la reproduction humaine sont suspectés. Les risques d’une
exposition prolongée ne sont pas connus. Dans ce cas, seul le rôle de signal
d’alarme peut-être reconnu, il faut donc prévoir la surveillance du résiduel de
chlore.