LES OUBLIES DE L’ENFANCE

Dans toutes les sociétés, les enfants ont toujours participé dans une large mesure, aux
activité économique dont dépend l’existence commune. 

L’âge minimum légal d’admission à l’emploi est généralement compris, selon les pays, entre douze et
seize.

Dans certains pays, les enfants peuvent dont travailler de façon parfaitement licite des douze et
treize ans.

Si la cause fondamentale du travail des enfants dans les pays peu développés est la misère, cette
cause se combine généralement avec d’autre ; voici, selon une enquête faite auprès de plusieurs
certaines d’enfant, les principales raisons pour lesquels ceux-ci travaillent :

raison Nombre d’enfant Valeur absolue Valeur relative

Pour aider leurs 32 ,90 32,9 118,44
parents dans une
activité à domicile
Parce que leurs parent 26,30 26,3 94,68
le veulent
Parce que la nécessité 23,40 23,4 84 ,24
leur y obliges
Parce qu’ils doivent 7,90 7,9 28,44
gagner leur vie
Parce qu’il vaut mieux 6,90 6 ,9 24,84
travailler que de rester
oisif
Pour d’autre part 2,60 2,6 9,36
Total 1OO 1OO 360

La vie active des enfants dans les pays économiquement peu développés, peu débuter de diverse
façons. Quand les parents ont leur petite exploitation ou leurs petites affaires leurs enfant
commence à travailler avec eux dans les autres cas, les parents cherchent généralement en
employeur en s’adressant en premier hère a celui pour qui ils travaillent eux même en vue de placer
leurs enfants, ou ce sont d’autre membres de la ville qu’il le font, ou bien encore des amis ou des
voitures.

L’exploitation des enfants se rencontre dans les sociétés qui sont en règles générale modernisation
ou en voie des sociétés marginales des secteurs subsistent lesquels dans modernes des sociétés.
C’est la conséquences plusieurs grands phénomènes sociaux, l’un des éléments d’une situation
complexe déterminée l’organisation social économique, le système économique et la mentalité
traditionnelle. Il faut attendre la solution au problèmes, non de l’adoption de disposition ponctuelles,
mais d’une modification de ces trois facteurs, du progrès social en un mot.