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COMMUNICATION DIGITALE

I) Introduction & définition la stratégie digitale


 LE CARRÉ PARFAIT

Sans stratégie, sans communication, sans cohésion d’équipe, sans organisation, sans
réactivité, sans synergie, sans être ensemble et sans émotion on ne se fonctionnera pas
efficacement.

La communication sa part de soi, connaitre notre réaction dans notre équipe.

 PYRAMIDE DE LEAWITT +++

Communiquer est un acte à la fois banal et essentielle à la vie sociale et professionnel. Cela
peut consister à échanger des informations, à construire une relation (perso/prof), créer un
sens, à se détendre, à partager, à explorer.

En théorie la communication est vu comme un système. Rapporter par l’approche


systémique de PALO ALTO.
Système avec des règles précises il y en a 6.
- Il est impossible de ne pas communiquer : faire silence c’est communiquer.
- Le contexte éclair la relation interpersonnelle : chacun va transformer, réinterpréter,
réinvestir les contenus des échanges.
- La communication est prévisible : les individus ont des attentes et agissent en
fonction de celle-ci
- Ce sont les personnes qui créer les significations et non les mots
- La communication est un processus continu
- La manière de communiquer dépend de la perception de nos relations que nous
avons avec les autres.

Seul 10% de l’information est utilisé par le récepteur surtout lorsque le sujet est abordé pour
la première fois. Si le sujet est connu par les deux, 30 à 50%
Il y a 2 ordres d’obstacle à la communication :
- Soit mécanique et lier à la chaine de communication elle-même : à notre aptitude,
attention, cognition, action
- Soit systémique ils intègrent les contradictions potentielles ou réelles qu’ils
comportent

Pour pallier ça, il faut méta-communiquer (= mettre à plat les difficultés en prenant du
recule et sans posture de défense. Sur-communiquer je vais répéter et reformuler.

Introduction 

POURQUOI COMMUNIQUER  ?

La stratégie de communication est un défi crucial aujourd’hui car au fil des années
l’entreprise se retrouve dans un environnement concurrentiel très fort, l’entreprise n’a pas
d’autre choix que de se réinventer ou de périr. L’entreprise est dans l’obligation de
communiquer pour gringotter des parts de marché et développer son activité.

La stratégie de communication doit faire des réflexion approfondis traduit sous forme de
stratégie.
Le dirigeant de l’entreprise peut mettre en place des plans d’actions de communication qui
permettrons à l’entreprise d’harmoniser cette communication et surtout d’inscrire cette
communication dans la communication globale (=interne, externe, mix marketing en 8P etc).
Pour que la communication fonctionne bien elle doit s’intégré à la stratégie d’entreprise
complète.

DÉFINITION DE LA STRATÉGIE DIGITALE

La transformation digitale consiste à repenser totalement sa stratégie internet pour


s’adapter au digital. Il s’agit d’une réflexion sur la forme comme le fond, il y a différentes
possibilités :
- Repenser le model de commercialisation des produits et des services
- Mettre en place une solution CRM (gestion de la relation client - Customer
Relationship management) il faut qu’elle soit efficace et omni canal (= une
optimisation des différents canaux de distribution, une évolution des pratiques du
multicanal. Pour l’entreprise c’est une stratégie qui permet à l’entreprise d’utiliser
l’ensemble de ses contacts de vente. Le but est de rapprocher et harmoniser les
canaux de communication.
Important ! Permet de détourner l’attention du client du prix et le diriger
vers la marque

Pour être le plus efficace la stratégie doit être réfléchi en amont, les résultats doivent être
mesuré. Il faut absolument qu’elle soit cohérente les autres stratégies de l’entreprise.
Le digital devient un outil appart entière des entreprises aux formes multiples, pour servir
des objectifs au fil du temps.
Une communication digitale se fait sur 3 ans.
LA RÉPUTATION ET L’IMAGE DE MARQUE

La réputation et l’image de marque d’une entreprise ne dépend plus uniquement de la


communication mise en place par l’E. Mais elle dépend en grande partie de la perception
qu’en a le grand public via internet.

La communication digitale permet aux internautes de participer, donner leur opinion, de


jouer en ligne, de partager ce qu’ils aiment et inversement. Cela leur permet de se tenir
informer.
Cela permet à l’entreprise de susciter leurs engagements, de vendre, générer les trafics sur
leurs différents canaux, de favoriser la viralité des éléments diffusés, et permet de créer une
communauté autour de la marque.

PETITE REMARQUE : Toutes les émotions des clients etc aujourd’hui sont traqués sur
internet. 2021 nous sommes sur une nouvelle évolution du marketing, l’avancement du
digital c’est la conquête numérique des émotions. TRAVAIL DU VIVRE ENSEMBLE
Les émotions sont partout : télé, réseaux sociaux etc. Le développement des émotions
tend à nous échapper.

II) La construction d’une stratégie digitale

La communication digitale offre une palette d’outils que l’on peut rassembler en 5 familles :

- Les sites web : répondent à des normes d’utilisabilités


- Les courriers électroniques
- Les différentes formes d’achats d’espace publicitaire (bannières, habillage, corner
etc)
- Le M-Commerce
- La présence sur les plateformes collaborative : « user generated content »
Plateforme collaborative = ex google drive. Permet le partage, le traitement, la
gestion de fichiers/ documents entre plusieurs utilisateurs, pour améliorer la
productivité au sein d’un groupe et d’une entreprise.

Cet écosystème numérique doit être cohérent et doit permettre aux entreprises d’incarner
leur marque.

= INTERNET OU L’ENTREPRISE OUVERTE

Aujourd’hui internet est à la fois un canal d’information, un lieu d’échange et un circuit de


distribution. On autorise une communication interactive, c’est-à-dire que l’entreprise va
adresser un message à l’internaute et il pourra par la suite débattre avec elle.
Cette communication digitale fait voler en éclat la communication ascendante et
descendante.

Les entreprises on besoins de faire d’internet un média personnalisé et modulable.


REMARQUE : La communication 2.0 c’est 2005-2008, elle a achevé la rupture avec la
communication verticale = entreprise qui émet du contenu vers le publique et qui les poste
dans une structure conversationnelle, alors qu’aujourd’hui l’entreprise est en interaction

Il y a des objectifs de la communication digitale et aujourd’hui les entreprises doivent


qualifier et quantifier les objectifs.
Pour les qualifier, l’entreprise doit décider du résultat qu’elle cherche à obtenir de sa cible
par sa campagne de communication
- Effet cognitif (faire savoir) : campagne de publicité, rappel de l’existence du produit,
améliorer la notoriété de la marque. Montre la bonne utilisation et les différents
usages du produit, vient optimiser les avantages du produit.
- Effet affectif (faire aimer) : faire susciter l’attrait du produit, miser sur l’amélioration
de l’image de marque, elle va inciter à la préférence de la marque.
- Effet conatif (faire agir) : stimuler l’essai, convaincre d’acheter, stimuler les
recherches d’information sur la marque et enfin encourager

Dans toutes campagnes mis en place, il faut quantifier les objectifs c’est très important,
afin de donner des délais de représentation.

Pour les quantifier :


- Effet cognitif : avertir 2 mois avant de la méthode mis en place
- Effet affectif : on vient intéresser l’évènement mais également faire aimer
l’entreprise
- Effet conatif : travail sur les mots clés de l’évènement lié aux internautes. Étape du
conseil.

III) La transformation digitale des organisations

Le digital répond à l’ensemble des fonctions de l’entreprise, pas uniquement aux objectifs de
communication, les dirigeants sont obligés de faire une stratégie claire et partagée.
Aujourd’hui ont conseil aux entreprises de faire un plan digital, qui est indispensable. Ce
développement digital devient aujourd’hui une problématique stratégique.

Le plan digital va venir planifier tous les types de communication digital (réseau sociaux,
mise en place site web …)

1) PARCOURS D’ACHAT : on cherche à comprendre et à suivre l’individu dans le temps,


pas à un instant donné. Aujourd’hui nous sommes dans un marketing prédictif c’est-
à-dire que l’on cherche à atteindre l’individu et grâce aux données collecter nous
allons anticiper les besoins futurs et ainsi développer de nouveaux produits.
2) CONNECTÉ & SOCIAL : les entreprises doivent être consciente que le client qu’elle
cherche à toucher est de plus en plus connecté. En étant connecter cet individu
devient de + en + social, la communication digitale vient s’appuyer sur les 5 A (Aware
appeal ask act advocate). aujourd’hui l’individu est hyper connecté et le parcours
client consiste à passer de la connaissance à l’attrait (j’aime le produit), ensuite on
demande on est convaincu du produit à agir (j’achète) et enfin recommandation du
produit. C’EST LE CLIENT QUI A LE CONTROLE.
3) OMNICANAL : fini le temps ou le parcours d’achat est linéaire, avec le digital les
parcours d’achat se croise et se décroise (ex : un individu aujourd’hui peut aller
acheter dans un magasin, un site internet, un vendeur itinérant, à domicile – et ils
achètent à l’aide de leur smartphone ou magasin éphémère). Le parcours est de plus
en plus complexe et les technologies ne cesse d’évoluer et elles s’interconnectent.
Dans ce paysage omni canal le consommateur reste roi dans un cadre BtoB que BtoC.
Les entreprises aujourd’hui on besoin de travailler le Customer central, il faut que les
entreprises arrivent à piloter tout ça avec des outils uniques.

4) MOBILE : aujourd’hui le commerce mobil fait partie du mode de consommation. Cela


correspond à tous type d’achat effectué sur un site de commerce en ligne avec un
appareil mobile (tablette, smartphone). Ce M-commerce offre la possibilité d’acheter
ou de vendre un produit ou un service ou une information, par l’utilisation de cette
appareil mobile. C’est une sous-catégorie de l’e-commerce. Aujourd’hui on travaille
sur le mobil first c’est-à-dire que l’on va concevoir un site en commençant par la
version mobil et on va adapter petit à petit le site pour des écrans plus grand.

5) VÉLOCITÉ : le consommateur aujourd’hui est de + en + impatient. Les outils digitaux


l’autorise à exiger d’être contacter et suivis rapidement et pertinemment (buyer
persona et on travaille la lead-velocity = la notion de vitesse qui va donner le temps
moyen nécessaire pour passer d’un état à un autre dans le cycle de vie du LEAD
(=contact commerciale))

IV) Les 10 tendances de la communication digitale pour 2020-2021

En 2020, des choses se sont passés et aujourd’hui il faut que les marques se repensent, et
n’hésite plus à s’engager et à communiqué sur leur engagement (ex : la lutte sur les
inégalités, la RSE, quête de sens, transparence etc). Aujourd’hui il est a eu un tournant et ces
tendances amènent les marques à communiquer autour de leur identité.

Comment aujourd’hui la communication digitale va s’articuler à l’heure où tout


est connecté, et tout se consomme massivement et rapidement ?

GAFA = google – apple – Facebook – amazon


GAFAM = google – apple – Facebook – amazon – Microsoft
Ces entreprises ont envahi notre quotidien et on créer un petit qui est NATU
NATU = Netflix – Airbnb – tesla – Uber

Ces entreprises ont été le nouveau mythe américain. Elles intéressent le monde la
communication digitale car les entreprises sont parfois très jeunes et leur capitalisation
dépasse les 1000 milliards de $. GAFAM arrivent à dépasser le PIB des Pays bas qui est le
17ème pays le plus riche du monde.
Dans l’industrie du numérique si c‘est gratuit c’est que le produit c’est le client. C’est-à-dire
que ces entreprises se nourrissent de l’analyse t de la revente de nos données. Ces
entreprises se nourrissent de nos choix et goûts. Elle se font rémunérer par les entreprises
en proposant des liens publicitaires au bords de la route par ex.
Ces entreprises sont en situations de monopole et peuvent imposer aux entreprises leur
tarifs pour accéder à des panneaux publicitaires numériques, elles peuvent également
présenter en tête de gondole leur produits, elles font se qu’elles veulent.
⚠️Attention en 2020-2021 il ne faut pas négliger la concurrence et la lassitude des
consommateurs⚠️
Dans une économie numérique un empire peut se détruire aussi vite qu’il s’est imposé (EX :
nokia, blackberry). Nous avons un constat inquiétant qui est la faiblesse des positions
européennes dans ces domaines.

Les tendances :

1) L’EMERGENCE DE NOUVELLES PLATEFORMES CONVERSATIONNELLES

Les médias sociaux sont en pleine mutation, ce qui représentant autant une opportunité
qu’un défi. Il y a de nouvelle plateforme qui ont créé de nouveaux usages qui ont créé par la
suite des nouveaux enjeux (ex : fortnite, tiktoc etc)

Lorsque Facebook éternue c’est tout internet qui se mouche, c’est-à-dire que dans les
années à venir on est dans un contexte de lassitude d’information trop marqueté, dans
l’infobésité. Aujourd’hui on est dans préservation de la vie privé.

TIKTOK : vole la vedette à Instagram en 2020. Il y a des plateformes publicitaires c’est-à-dire


qu’elle se monétise et fournis aux annonceurs une plateforme solide et puissante et offre
des contenus in feed.
Une publicité in feed c’est une pub insérer dans un flux de publication social on vient
travailler des publications natives.
In feed = Le format publicitaire sous forme de post sponsorisé proposer par facebook, insta,
tiktok c’est un exemple de pub in feed) alors que les out feed sont négligé.
Le format in feed s’impose aux applications mobiles qui est le plus rependue et efficace (pub
vu au bon moment, bon endroit et bon public).
Publicité impactant accepté par les mobinautes.
Pub native = pub qui utilise tout type de format publicitaire avec une forte ressemblance

2) PLUS DE DATA PLUS DE CREA

Aujourd’hui l’engagement des marques et le reach (=porter que va avoir une communication
ou une campagne de publicité, c’est une donnée capitale qui permet d’évaluer la qualité des
actions mis en place) patine, on observe un retour à la création publicitaire, c’est + qu’un
retour c’est un BESOIN imminent dans la digitalisation.

Ce reach qui patine on a besoin de retourner à la création publicitaire. Plus on est


sophistiqué dans le marketing digital (avec la data etc), la personnalisation, plus on
segmenté les messages/ les médias plus on a tendance à croire que le média commande la
création. Il faut être au bon endroit bon moment et bonne personne.
Il nécessaire d’allier le meilleur de la création publicitaire et le meilleur du marketing ultra
personnalisé et enlever le marketing de masse/ sophistiqué sa devient pas rentable
aujourd’hui, il faut de l’ultra personnalisation.

Le constat est clair : aujourd’hui la production de contenu à attend un point de rupture sur
les réseaux et les marques perdent de leurs singularités. L’enjeu de 2021 est de mettre
l’innovation aux services de l’identité des marques. Et il va falloir que cette maitrise des
technologies passe par une exigence plus forte de sens.

LA SEULE PERSPECTIVE AUJOUR’HUI EST DE TRAVAILLER LES ÉMOTIONS

Depuis 10 ans, de nouvelles solutions technologiques et digitales ont permis de « renouveler


le storytelling des marques », la technologie doit sublimer la création pour révéler la juste
émotion.

La technologie aujourd’hui doit sublimer la création publicitaire pour révéler la juste


émotion.

C’est ce qu’on appelle la Creative Experience : c’est-à-dire la capacité à bâtir des expériences
mémorables, utilisant la technologie pour imaginer des produits ou des services qui créent
de la valeur, portés par un storytelling puissant.

L’expérience client : a pour but de créer un moment d’échange unique, mémorable et


symbolique entre le consommateur et les fournisseurs d’un produit ou d’un service.
L’expérience client créer des sentiments et émotion avant/pendant/après l’achat et c’est ce
que l’on recherche.

Il y a 3 moteurs de l’expérience client :


- Les personnes : manière dont l’entreprise interagit avec le client
- Les processus : c’est le parcours que l’on va désigner pour nos employés et pour nos
clients
- La technologie : outils mis en place par l’entreprise pour créer la dépendance client.

On ne peut pas travailler le storytelling sans travailler sur l’expérience client avant, tout
démarre par une histoire. Le but est de faire vivre une expérience mémorable, AVANT la
recherche était de déterminer le parcours client etc MAINTENANT on recherche la prise en
compte de l’émotion et du vécu du client.

DOSSIER : COMMENT LA MARQUE TRAVAILLE AVEC LA PUB + COMMENT LA MARQUE


TRAVAILLE LES ÉMOTIONS + SI LA MARQUE À UN STORYTELLING ET COMMENT IL EST MIS EN
PLACE.

Le storytelling est une arme ultra puissante de communication pour captiver l’attention de
l’audience et la convertir en client. Aujourd’hui il est vital de sortir de l’infobésité, en 1980
on était confronté à 200 messages publicitaires et maintenant 1200. Notre temps
d’attention avant était de 12 sec, aujourd’hui 8 sec, sur la pression des contenus on perd de
l’attention.
Maitriser les étapes du storytelling : une compétence précieuse.

Le storytelling est une compétence précieuse pour toutes les stratégies et actions suivantes :
- Pour la communication sur les réseaux sociaux : les utilisateurs ne vont pas sur le
compte de la marque pour suivre l’actualité mais pour garder contact avec le réseau.
- Concernant l’inbound marketing : produit du contenu de qualité à forte valeur
ajouté c’est ici que l’on va convaincre l’utilisateur de devenir client.
- Concernant l’email marketing :
- La prospection commerciale :

La clé su storytelling est de jouer sur les émotions, une bonne histoire c’est aussi la façon
dont elle est racontée. Pour qu’elle soit efficace il faut qu’elle soit la plus authentique
possible, car plus on est sincère plus il y a la croyance envers l’entreprise.

Les 7 étapes d’un storytelling captivant : faire du storytelling, c’est à la fois simple et efficace.
Mais pour en tirer pleinement profit, vous devez impérativement en suivre les étapes clés.

ÉTAPE DU STORYTELLING #1 : définir son histoire


Tout le monde à une histoire, il n’y a pas une histoire plus intéressante que l’autre, il faut
ficeler et définir le cœur du récit.

- Déterminer les objectifs de votre storytelling : que souhaitez-vous inciter votre cible
à faire ?
- Comprendre la cible de votre storytelling : travailler les personnas (4 grands
groupes)
- Définissez les émotions à transmettre avec votre storytelling : que désirez-vous faire
ressentir à votre cible avec cette histoire (rire, sympathie, peur etc). La décision
d’achat se prend via des émotions ressenties et se justifie de manière rationnelle
pour se rassurer.
- Anticipez les conséquences de votre storytelling : quels seront les conséquences des
émotions, comment l’audience va réagir.

ÉTAPE DU STORYTELLING #2 : présenter ses protagonistes


- Il faut au moins un personnage (ex avec le SAM, les petit lu etc) qui correspond aux
attentes de la cible.
ÉTAPE DU STORYTELLING #3 : dresser le contexte
- Le point de départ et d’arriver, détails sur le contexte pour que l’audience se projette
facilement
ÉTAPE DU STORYTELLING #4 : fixer les enjeux
- Face à l’infobésité il faut fixer un enjeu comme par exemple la chute de l’histoire.
C’est la façon dont nous allons tenir le client, ex l’aide que l’on va procurer avec notre
cible.
ÉTAPE DU STORYTELLING #5 : agrémentez de rebondissements
- Une bonne histoire nécessite de surprise et péripétie

ÉTAPE DU STORYTELLING #6 : travailler la chute


- Toute histoire à une fin, en général c’est une bonne fin. Il faut offrir la fin demander
via les personas
ÉTAPE DU STORYTELLING #7 : garder des portes ouvertes
- Même s’il y a une fin à l’histoire il faut garder la porte ouverte.
Toutes les bonnes histoires ont une suite

Le storytelling, c’est VOTRE histoire

Très important car c’est le travail des expériences clients, on travaille les émotions et il faut
respecter ces étapes et être le plus sincère possible.

3) LA MONETISATION DES MESSAGERIES INSTANTANEE +++

La prochaine tendance de la communication digitale c’est la Messagerisation (= conquête de


la monétisation des conversations privés). Tendance des plateformes qui vont à la conquête,
Facebook croissance des interactions via les messages ou des groupes.

La tendance aujourd’hui va être le Dark social, ça représente la majorité des contenues


partagé en ligne. Ces plateformes d’échange passent d’un rôle de fournisseurs de produit à
un fournisseur de services.

Avec la monétisation de ces plateformes c’est l’occasion des annonceurs de passer d’un rôle
de fournisseur de produit à un fournisseurs de services (ex : WhatsApp qui propose des
services).

Les enjeux des marques sur les réseaux sociaux doivent être intéressant avec d’être
intéressé.

Dark social : on peut en parler des lors qu’un internaute souhaite partager des infos non pas
avec l’ensemble des membres du réseaux mais uniquement avec des personnes de son
choix.
Des millions d’internautes utilise le Dark social en partageant un article ou des images etc.
C’est en utilisant un cadre privé, il ne s’agit pas d’un partage d’infos c’est celle que l’on
décide de destiner à un nombre limité de personnes.

Dans un échange privé un internaute ne cache pas ses centres d’intérêts, n’hésite pas à
révéler ses besoins, attentes. Pour les professionnels du marketing c’est l’occasion d’avoir
des infos + fiable sur le comportement des consommateurs, de mieux détecter leur besoin et
affiner leurs stratégies.

4) CLIQUER PROPRE

Dans l’actualité on parle de pollution numérique.


Il faut absolument le mettre en place dans les 10 prochaines années.
Nos mails quotidiens par jour équivalent à autant de COD émis par voiture
Les recherches sur internet équivalent à une l’énergie d’une heure d’ampoule allumé
Le sujet de la pollution numérique va devoir être pris en compte dans leurs futures stratégies
digitales, dans une aire de protection environnementale (20 mails envoyés par jour = 1000
km en voiture / 1 mail = 1 ampoule allumée 24h).
Bientôt tous les sites, services, contenus digitaux des marques seront jugés par les
consommateurs pour leur empreinte carbone.
Solutions : codes propres ; hébergement vert ; Eco design des sites

5) LE SOCIAL COMMERCE

Faire du commerce sur les réseaux sociaux. Notamment sur Facebook il y a 10 ans avec les f-
commerce. Ça a été un échec au début parce que c’était trop tôt au niveau des usages et
que les entreprises faisaient un copier-coller de leur site internet ce qui ne marchait pas.
Shop the look : Des posts de marques sur un réseaux qui nous permettent de nous rediriger
sur l’e boutique.

6) PODCASTS

Contenu audio numérique que l’on écoute n’importe où et n’importe quand grâce à la
technologie des flux RSS, et c’est un contenu téléchargeable. L’audio prend le pas
aujourd’hui, c’est un format particulièrement adapté à la mobilité : outil très performant
pour la stratégie SEO = référencement naturel.

7) LE LIVE POUR TOUS

 Le content factory
« Faire du Bref » on est en permanence avec ses audiences donc on doit faire du bref ; Flux
réguliers de contenus brefs : Tiktok par exemple.

 Les engagements
Les entreprises sont soucieuses d’engagement aujourd’hui et notamment sur les réseaux
sociaux car le digital est le meilleur moyen de diffuser ses engagements. Le digital a un rôle
facilitateur qui permet à n’importe quel utilisateur de poser les questions qu’il souhaite à
une marque ou une entreprise. Les consommateurs exigent plus d’authenticité, de sincérité
et de quette de sens. Les entreprises veulent créer du lien avec leurs audiences.
L’émotion est vue aujourd’hui comme créatrice d’engagement et permet de cultiver la
relation entreprise-audience.

LES 10 ÉLÉMENTS NÉCESSAIRES À LA CONSTRUCTION D’UNE COMMUNICATION DIGITALE


EFFICACE

A connaitre ++
1) Il faut absolument étudier la veille de marché et concurrentielle, et savoir où se
trouve les consommateurs.
La veille permet d’espionner les concurrents et les grandes lignes des stratégies.
De plus quand on espionne la concurrence ça sert à la curation de contenu et à la
diffusion des réseaux sociaux. (Voir outil curation contenu !)

2) Remettre le consommateur et les émotions au centre de la stratégie digitale, c’est lui


que l’on cherche à toucher. Il faut faire preuve d’empathie, on travaille bien les
buyers personas et cela va déterminer les plateformes sur lesquels on doit
communiquer comme les communauté médiaté etc (=Communauté médiaté =
forum)
Il faut travailler sur qu’est-ce qu’une émotion = orchestration de mouvement dans le
corps.
La différence avec des sentiments c’est qu’ils reposent sur une expérience mentale,
alors que les émotion chaque peuple à des émotion de base (joie, peur, colère,
tristesse, dégout)

EXAMEN LES ÉMOTION PRIMAIRE ETC VOIR CA

QUAND C’EST GARTUIT C’EST NOUS LE PRODUIT

98% des gens aujourd’hui sont sur un réseau social, d’après les chiffres ces personnes
aiment au moins une fois par jour (SOURCE – BDM MEDIA).

Facebook + Instagram c’est 8 milliards de like par jour.


L’internaute exprime des émotion (négative ou positive) et cela contribue à leur
viralité (= la diffusion rapide et imprévisible d’un contenu sur internet grâce a des
relais gratuit).
Jusqu’au début des années 2000 les internautes se contenté de consulter des pages
internet, avec les réseaux sociaux ils sont devenus contributeur en publiant des avis,
des commentaires et des likes, il co-créer des contenus.
Internet est un espace public ou chaque citoyen donne son avis, la plupart des
moteurs de recherche ont bâti leurs modèles économiques sur la collecte sur nos
données. Ils vont valoriser la réaction émotive des usagers par des mécanismes de
récompense et accoutumance, nous somme amener à poster nos ressenti, nos états
d’âmes.
Nos émotions changent nos façons de consommer, travailler etc. en 2030 on parlera
de neuro-Marketing (=utilisation des neurosciences à des fins commerciale).

3) Pour que leur présence sur internet soit réussie il faut que les internautes trouvent
l’entreprise d’eux même facilement. La stratégie digitale s’appuie sur du
référencement doit s’appuyer sur le référencement pour générer du travail qualifié
pour cela le site doit être en adéquation et comprise par les moteurs de recherche.
Il faut faire un contenu de qualité régulièrement mis à jour dans lesquels seront
présents des mots clefs. On doit aussi utiliser des outils de diffusion payant (google
ads – le retargeting = pratique publicitaire qui consiste à cibler un individu qui a juste
visiter un site internet (les pubs).
4) Optimiser votre référencement, naturel ou payant : La stratégie digitale doit
s’appuyer sur le référencement pour générer du trafic qualifié. Le site doit avoir une
architecture parfaitement comprise par les moteurs de recherche. Ensuite, il faut
faire un contenu de qualité, régulièrement mis à jour, dans lequel seront compris des
mots clés.
Il faut aussi utiliser des outils de diffusion payants (google ads, retargeting = cibler un
individu qui a juste visité un site internet). De plus, il faut publier au bon moment et
au bon endroit. Selon les campagnes de communication, il faut remettre en question
l’efficacité du référencement qu’on travaille.
Il faut pouvoir mesure l’impact de son travail (audience, visiteurs…).

5) Créer du contenu et le partager : créer du bon contenu, il faut un potentiel de


diffusion, et il faut absolument une bonne liste de mots clés.
Sur un site GOOGLE index par le haut (mettre les horaires etc en haut de page)
Le nombre idéal de mot 500/800 pour attirer l’œil.
Il faut également un blog professionnel, qui est un excellent moyen de communiquer
avec les consommateurs, pour mettre des infos clés sur les services/produits et pour
fidéliser les prospects. On peut davantage travailler les émotions sur un blog que sur
un site marchand, car on peut toucher le consommateur : il se sent chez lui.

6) Tenir un blog professionnel ou site web :


Excellent moyen de communiquer avec les consommateurs, d’y mettre des
informations complémentaires sur des produits ou services et convertir des
prospects. Le blog professionnel fait partager du contenu et transforme des
prospects en clients. Sur le blog ça permet de toucher les émotions du
consommateur.
Le travail du blog pro c’est de donner envie à l’internaute de lire comme s’il était
dans un livre numérique.

7) Gérer sa présence sur les réseaux sociaux :


Il faut faire de la veille et gérer les post (5 post par semaines au bon moment) et
utiliser la bonne charte graphique.
Moins élever en termes de coût, en 2020 les réseaux sociaux passe devant les médias
traditionnels

8) Utiliser l’emailing, 1 marketing : la newsletter code promo personnalisé (indbound


marketing)

9) Gérer l’e-réputation : L’e-réputation = le bouche à oreille numérique, il faut que l’ets


puisse contrôler toutes les critiques + ou -. Il faut que l’ets puisse contrer les avis -
pour éviter le bad buzz. Il faut travailler la réactivité

10) Analyse des retombées de la communication : tous les éléments et outils de


communication doivent être travaillés en synergies, afin que chaque levier de
communication puisse tirer profit d’une présence efficace en ligne.
L’année 2020 a chamboulé tous les secteurs sans exception, notamment dans le marketing.
Toutes les marques doivent réinventer leurs stratégies en se basant sur 3 piliers pour faire la
différence et recréer du lien avec les consommateurs :
- Les consommateurs ont besoin d'être rassuré
- Réconforté
- Se sentir engagé.
= UN PLAN DE COMMUNICATION RÉUSSI

Par conséquent, cette crise sanitaire qui a affaibli les liens sociaux laisse penser que 2021
sera le retour de ce marketing de nostalgie pendant une dizaine d’années.
Les comportements des consommateurs changent en fonction des événements et surtout
des prises de conscience. Travailler sur le marketing des émotions et de la nostalgie. Le
marketing de la nostalgie arrivé en 1920 s’impose car c'est le seul moyen que les entreprises
ont trouvé pour toucher les sentiments des clients.

Tout être humain qui vit une expérience d’incertitude vas ressentir l’envie d'associer le passé
à de bon moments. Des grands groupes comme macdonald remettent aux goûts du jours des
publicités datant du passé et utilisent cette forme de marketing. Cela permet à l’entreprise
de créer un attachement émotionnel à la marque. C’est un refuge sûr pour les marques mais
également pour les consommateurs. Le consommateur doit s’identifier à une marque
engagée en donnant la preuve que les valeurs se dématérialisent.

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