UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI TIZI-OUZOU

Faculté de génie de construction

Département d’architecture.

- Module : Structure

 Recherche sur la typologie des

planchers.

Réalisé par :
- BOUDAOUD Kenza.
- BOUZID Yousra.
Encadré par :
- K. Ouatiki.

Année universitaire : 2022 – 2023.

  DIE GROSSTADT :

Avant-propos :
L’auteur a été invité à donner une conférence à New York en 1910 sur l'urbanisme, ce qui l'a incité à donner
son opinion sur le sujet. Il mentionne également sa participation à d'autres événements liés à l'urbanisme et
critique l'étroitesse des idées et l'absence de souci artistique dans les concours et expositions antérieurs. Bien
que cet essai ne puisse pas aborder tous les points nécessaires pour résoudre les problèmes de la ville, il
contient des propositions importantes en raison du manque de résultats concrets suite à d'autres événements
sur le même sujet.

L’image urbaine :
L'auteur parle de l’image urbaine en général et des problèmes liés à son organisation actuelle. Il pense que
l'art doit jouer un rôle important dans l'adaptation de l'environnement urbain aux besoins des gens qui y
vivent.
Il critique l'uniformisation des logements dans les villes modernes, qui résulte de la recherche de rentabilité
économique. Selon lui, l'art doit être utilisé pour transformer cette uniformité en monumentalité, en optant
pour des rues larges et des solutions de continuité heureuses. Cependant, il déplore également que certaines
villes cherchent à être pittoresques à tout prix, ce qui peut donner lieu à des éléments décoratifs maladroits et
il pense qu’une bonne planification urbaine doit tenir compte des conditions préexistantes et de la
circulation, afin d'obtenir une image représentative de la ville.

Le Plan régulateur :
L’auteur discute de l'organisation d'une ville, en particulier une grande ville appelée Grossstadt.
Elle est divisée en deux parties : La partie ancienne existante de la ville et la partie future en expansion
indéfinie. La conservation et la mise en valeur de l'esthétique existante de la partie ancienne doivent être
effectuées de manière avantageuse pour le cadre urbain, mais la partie future doit être incluse dans un
système pour éviter des événements futurs catastrophiques. Ce système devrait comporter une
programmation généreuse pour l'habitation et la vie des futurs habitants, la possibilité d'intégrer des
structures inconnues à ce jour, ainsi que des soupapes de sécurité pour faciliter l'expansion de la ville et un
perfectionnement esthétique. Les arrondissements de la ville doivent être répartis en tenant compte des
critères tels que les écoles, le mode d'habitation, les vents dominants et la distinction entre les
arrondissements commerciaux et industriels.
Cependant, il est inadmissible de destiner des arrondissements à une fonction particulière uniquement.
En outre, certains éléments tels que les parcs, les écoles, les édifices religieux, les magasins et les bâtiments
publics doivent être présents dans tous les arrondissements. Les édifices futurs avec des fonctions identiques
ou similaires ne peuvent être intégrés que dans les arrondissements de formation nouvelle. Ils doivent être
disposés autour du centre de la ville en structure radiale ou seulement comme des segments.
Enfin, des limites doivent être imposées à l'expansion urbaine pour éviter le chaos imprévisible.

Les Aspects économiques :

L’auteur traite de différentes stratégies économiques visant à planifier et améliorer les villes. Il affirme que
ces initiatives requièrent des investissements importants et ne doivent pas être considérées comme des
économies à court terme.
Pour encourager les municipalités à rivaliser dans la planification et la restructuration des villes, l'auteur
recommande une approche proactive.
En outre, il prend l'exemple de Karl Lueger, ancien maire de Vienne, qui a réussi à générer d'importantes
recettes pour la ville en mettant sous administration municipale les réseaux de distribution de gaz, d'eau et
d'électricité, ainsi que d'autres services publics.
L'auteur suggère également que l'expansion d'une ville peut être utilisée pour le bien commun, en exploitant
le regain de valeur des terrains à bâtir en faveur de l'administration urbaine. Pour ce faire, il est possible
d'acheter des terrains non bâtis autour de la ville et de les conserver jusqu'à ce qu'ils soient prêts à être
construits. La plus-value future reviendra alors à la mairie.
De plus, l'auteur recommande de réserver des asiates pour les espaces verts et de bloquer les prix du terrain
pour orienter l'expansion de la ville.
En utilisant ces stratégies, les municipalités peuvent générer des revenus pour réaliser des travaux de
rénovation urbaine et construire des installations lucratives telles que des immeubles d'habitation ou des
usines de production de matériaux de construction.

 Les qualités de l’architecte :

L'auteur mentionne son appartenance à l'Association des architectes autrichiens, qui cherche à promouvoir
l'art au-delà de tout intérêt personnel. Il soutient que pour promouvoir l'art, il faut évaluer à sa juste valeur la
qualité de l'artiste qui le crée, mais que c'est difficile étant donné que la qualité de l'artiste est étroitement
liée à la qualité de l'œuvre. Le jugement définitif sur un œuvre d'art appartient à la collectivité, mais cela ne
peut se faire qu'avec du recul. Ainsi, les jugements exprimés à chaud sont peu fiables. Il cite des exemples
pour illustrer cela, notamment le cas de l'Opernhaus de Vienne, où les architectes on subit des critiques
violent de l’opinion publique et de la presse, alors que cette œuvre est maintenant considérée comme l'une
des meilleures de son époque. En somme, l'auteur conclut que la promotion de l'art nécessite une évaluation
impartiale de la qualité de l'artiste, qui ne peut être faite que par la collectivité avec le temps.
Abordant le thème de la qualité artistique et son rapport avec les institutions qui ont le pouvoir de
promouvoir l'art, l'auteur estime que ces dernières ne peuvent pas être investies de la sensibilité artistique, ce
qui a causé des dommages à l'art national. Il critique également les écoles d'architecture, qui selon lui, ne
devraient pas être accessibles à tous ceux qui ont reçu une formation technique suffisante, mais plutôt à des
étudiants ayant des capacités artistiques. De plus, il explique que l'Académie des Beaux-Arts de Vienne
produit chaque année de quatre à huit candidats valables sur le plan artistique, tandis que l'école
polytechnique en produit vingt à vingt-cinq techniciens diplômés, ayant rarement reçu une formation
artistique.
En outre L'auteur décrit la lutte entre les vrais artistes et les artistes médiocres. De plus, il mentionne
l'apathie et la contrefaçon stylistique qui ont contribué à former des non-artistes. Les personnes qui se
sentent menacées par les vrais artistes ont formé une alliance avec la majorité des médiocres pour faire
sombrer quiconque les affronte. Pourtant, l'auteur souligne que les jugements artistiques immédiats ne
peuvent venir que d'un artiste éminent, et que les jugements exprimés par la majorité sont toujours nuisibles
à l'art en général. En architecture, la majorité encourage et soutient seulement le concept d'architecture de
style, sans tenir compte des exigences et de la sensibilité de notre époque.
En somme, l'auteur conclut qu'il n'y a pas de solution universelle pour aider l'art et faire reconnaître la
qualité de l'artiste. Cependant, il existe un certain nombre de principes généraux qui peuvent aider à
affronter ces défis.

 Art et Artisanat :
L’auteur parle de l'évolution de l'art moderne et de la naissance de nouvelles tendances artistiques qui ont
émergé ces dernières années. Il souligne que les œuvres d'art sont désormais créées par de vrais artistes et
non plus de simples imitateurs ; Il affirme aussi que l'art doit se baser sur la sensibilité moderne plutôt que
sur l'archéologie et la science.
Les artistes modernes ont subi des torts et des humiliations, mais ils ont persévéré pour faire émerger
l'avant-garde de l'art moderne. Bien que le pouvoir d'achat du public soit limité, les artistes peuvent se
satisfaire du fait que leurs œuvres suscitent un intérêt croissant. L'auteur critique également l'idée de
fusionner l'artisanat et l'art, affirmant que ce sont deux concepts inconciliables.

 Introduction de Einige Skizzen :

L'auteur explique les raisons pour lesquelles il a choisi de publier une collection de ses propres œuvres
architecturales dans un marché saturé par des publications d'architectes célèbres ; Il justifie son choix en
expliquant qu'il a accumulé de la matière au fil des années passées sur diverses études d'architecture, qu'il
dispose des moyens de reproduction faciles de notre époque, et qu'il a besoin d'illustrer ses idées
architecturales avec des projets et des réalisations.
L'auteur affirme que ses projets n'ont pas été influencés par les styles architecturaux des vingt dernières
années, mais plutôt par l'assimilation des conquêtes modernes en matière d'utilisation des matériaux et des
techniques de construction, Il estime que le style du futur sera un style utile qui mettra en avant la
construction plutôt que l'aspect artistique, tout en affirmant que le réalisme ne nuit pas à l'art.
Enfin, il critique le manque de fonctionnalité dans la plupart des bâtiments modernes et l'exotisme excessif
qui leur est parfois attribué sans considération pour leur destination effective.
(Note : Einige Skizzen = Quelques croquis).
 Architecture moderne
Toute personne créateur a toujours des certitudes évidentes qui réagissent sur sa vie est apparait sur ses
succès, dans l’école de l’art de l’empire l’écrivain a essayer de faciliter ses idées et éviter les répétition
difficile.
Il a essayé d’introduire dans son ouvrage toutes ses connaissances et expériences artistique et exprimer
ses opinions, il exige de déplacer toutes les principales conceptions architecturales actuelles, il envisage que
l’unique fondement de la création artistique doit être la vie moderne. Le courant qu’il représente a beaucoup
de personnes fidèles mais aussi beaucoup d’ennemis il estime aussi que ce courant et les idées qu’il porte
s’impose partout.
L’auteure essaye d’enseigner aux futures architectes comment travailler et l’importance de leur profitions
être conscients de leur dignité, il veut faire de son ouvrage un idéal fil conducteur a l’architecture moderne,
il voit que pas forcément les choses modernes sont idéals, mais aujourd’hui c’est le contraire.

-L’architecte
D’après le maitre d’ouvrage en peut définir l’architecte comme un ornement pour l’homme moderne, ils
reprisent l’idéalisme et le réalisme, mais les gens qui l’entourent sont indifférents.
L’architecte affronte beaucoup difficulté sur son chemin soit pondant sa formation ou durant la réalisation
de ses œuvres vis-à-vis de la mentalité des gens et les divergentes opinions de ses collègues et leur jalousie,
c’est pour cela qu’il envie les jeunes qui ont d’autre forme d’art dans la vie est plus facile et tant admirer par
les gens.
Le résultat de travail de l’architecte apparait toujours après de langue années, il doit se sentir récompense
lorsqu’il satisfait intérieurement, il faut accomplir son travail avec amour et ténacité sans se fatiguer. Dans
les arts figuratifs l’architecture est le seul capable de crée et produire des formes visibles qu’on peut
apercevoir leur beauté inspirer d’une structure naturelle, c’est pourquoi on dit que l’architecture peut
atteindre la plus haute expression humaine, c’est l’art le plus puissant qui séduit l’homme.
Le peintre et la sculpture peuvent réalise leurs œuvres sans préparation le contraire de l’architecte qu’il doit
avoir l’imagination l’habileté manuelle la sensibilité et le bon choix du métier de l’architecte, il doit
assimiler une grande quantité de notion et des mises à jours ultérieures pour grader son habileté pour réaliser
ses rêves tout cela prendra du temps pour atteindre la maturation, tous ses difficultés rendre la vie de
l’architecte moins agréable ajoutant le facteur le plus néfaste les gens parasites influent sur le métier ce qui
nécessite la protection de l’architecte par l’état , comme le cas des chef d’ouvert des génération passées ce
qui exige tous bâtiment public de l’empire doit être construit par des vrais architectes seulement ainsi que les
vieux immeuble ne doit pas être acheter ou utiliser par des institution publique , on distingue que
l’architecte ne doit pas rester à l’ombre il doit donner de l’importance au cote artistique de l’ouvrage pour
être approuver par les collègues et l’entourage . Il faut savoir faire face aux autre à travers ses œuvres et
savoir révèle ses penses et ses sentiments pour être au même niveaux avec différent arts.
L’écrivain voix que les professeurs qui possède tous moyens de travail exemple dessins croquis, bulletin
doivent soumettre les candidats à une année d’essai d’étude académique pendant laquelle on peut découvrir
ou réside l’erreur et comment la rectifier, si cette méthode est propagée elle peut établir le rapport entre le
nombre de tache en relation avec l’architecture et le nombre d’architecte, le faite qu’un architecte peut être
en, même temps technicien ne peut pas lui permettre d’avoir le titre d’artiste, l’examen de l’état lui
seulement peut établir si le candidat est apte d’effectuer des projet et voir la relation entre le nombre de
tache confiées à l’architecture et le nombre d’architecte.
Le maitre d’ouvrage dit que l’architecte qui sort de l’école doit possède plusieurs qualités pour exercer son
métier parfaitement. Les plus important sont la possibilité de comprendre les besoins de l’homme le mode
vie, le climat, position géographique, le matériel, et pour rester à jour il faut être toujours au courent des
innovation a partir des œuvre écrite, presse périodique voyage.
Avant les jeunes architectes après avoir terminé leur étude effectuent un voyage en Italie pour voir les
édifices et les œuvre d’art existant et ça pendant 2ans.
L’écrivain voir que la période et trop longue et peut être effectuer en 3,5 mois, les jeunes architectes
pourraient visiter les rands villes et les endroits de lux moderne et chose courante, il finira par accomplir ses
connaissances des besoins de l’homme moderne. De retour il doit commencer son activité dans un atelier
pendant quelque année et apprendra avec persévérances le pratique artistique. L’architecte créatif voit que
l’expérience acquise ne se perd jamais et avec le temps en réalise de plus en plus de nouvelle choses.
Avant d’aborder le prochain sujet, il faut répondre à une question très importante, le faite qu’un architecte
ne peut pas être artiste comme au siècle passé cela est du au tôt de connaissance qu’il faut apprendre à un
court temps pour des raisons économiques et les raisons actuelles ont fait disparaitre le personnage de
l’artisan alors l’architecte ne peut pas être artiste et l’artiste ne peut pas être architecte dans tout cela on a
parlé du personnage , de la formation et la profession de l’architecte , maintenant on va aborder son œuvre
avec différents aspects , le style , la composition , la construction et la pratique .

-Le style
Les spécialistes pensent que l’architecte doit souvent se baser sur un style pour réaliser toutes ces
œuvre, l’écrivain donne exemple son expérience personnelle on l’accuser d’utiliser le style empire qu’est le
départ de toute son œuvre presqu’ile utilise dans ses réalisations des motifs typique la période empire,
surface lisse, ligne droite. La ligne droite a pris une importance dans l’architecture moderne, les
constructions, les machine, les instruments.
L’industrie actuelle du bâtiment l’adoptent de plus en plus on affirme que le mot style dans tout son sens
n’est pas seulement un épanouissement d’une époque mais son sommet.
Le maitre d’ouvrage voulait employer le terme style en parlant d’une époque artistique non délimiter plutôt
de parler de son âge d’or.
Concernant les Grecs pendant la période ou leur style s’est forme n’étaient pas conçu des relations existant
entre leur style et celui des Egyptien, aussi de même pour le style romain qui dérivait du grec qui dérivait de
l’Egyptien.
Nous pouvons jusqu’à nos jours distinguer les passages les passage d’un style à l’autre a travers une chaine
interrompue de leur expression. Chaque forme d’édifices et faite perfectionnement par les peuple selon leur
connaissance, langage expressif et leur conception.
On peut constater que chaque nouveau style s’est développé à partir du précédent en mettant de nouvelle
méthode de construction, nouveaux matériaux, de nouvelle exigences de l’homme, les bouleversements
sociaux ont toujours été cause de l’apparition de nouveaux styles.
L’art et son style représentent toujours la beauté de chaque époque et l’artiste a toujours une tache très
précise de créer de nouvelle forme différente des précédents.
D’après la penses de l’écrivain les nouveaux styles et nouveaux produit sont inadaptés et sons raison on
constat que tout style du passé été légitime et il fallait trouver de nouvelle manière de s’exprimer.
Le vrais devoir de l’art et également l’art moderne est de reste toujours le même et nous offrir de nouvelles
formes qui représentent notre époque que « Durer, Michelange, Rubens, Fischer, Von Erlach etc. » lorsqu’ils
exécutent leur œuvre elle porte toujours l’empreinte authentique de leur temps. Ils n’ont jamais eux l’idée de
copier le style des siècles précédents, d’autre part les artistes d’aujourd’hui aillent toujours à reproduire
exactement l’ancienne façon et imiter les transformations des styles qui se sont produit parce qu’on manque
de sens artistique.
Le vrai devoir de l’art moderne doit nous offrir des formes nouvelles et modernes qui représentent leur
époque et leur mode vie. A partir de certains tableaux de style, on sculptures on couleur variées utilisées
peuvent absolument exprimer les tendances et les phénomènes de la vie moderne malheureusement certain
architecte pense que certaines bâtisses doivent être construits suivants l’ancien model.
Toute création nouvelle siècle veut être moderne doit s’adapter à notre époque et aux nouveaux matériaux
et exprime d’une meilleure façon la mentalité de citoyen et tenir compte de conquêts technique et
économique pour avoir un nouveau style qui nous représentera il faut pas parler seulement d’une renaissance
mais il faut qu’il y’aura une vrai naissance indépendante du passe où l’architecte doit créer de nouvelles
formes qui s’adaptent mieux aux technique actuelles.

-La composition
 -La construction
Le besoin nécessaire de se protéger contre les intempéries et les fauves furent la raison principale qui
poussèrent l’homme a construire ce qui a donné la naissance de l’architecture.
La décoration des huttes et des grottes avec des fleurs, des branches, des trophées des armes et des pierres
commémoratives fait apparaitre le premier art et l’architecture l’idéalisme est donc à l’origine de la vie
artistique la naissance et la construction marches en parallèle avec les progres humanitaire, par contre l’art
avec tout sa majesté ne pas pu les suivre.
L’utilitarisme ne pourra jamais remplacer l’idéalisme de même que l’humanité ne pourra jamais se passer
de l’art. la première forme de construction faite par l’homme a été le toi le revêtement protectif. Le toi a
précédé le mur de soutien et leur paroi, plus tard on ajoute un soutien primitif compose de branche d’abord
et de pierres puis des clayonnages, la paroi, le mur. Après la diffusion des demeures fixes et la d’couverte
des outils et à cause des phénomènes naturelle on a perfectionner les éléments de construction.
Les tradition l’augmentation des besoins et les nouveaux matériaux aboutèrent de plus en plus à transformer
les soutiens, les parois, les poutre primitives en formes d’art.
Le sens artistique de l’homme a pris une longue période pour devenir art. on peut affirmer que toutes les
formes architecturales sont nées de la construction et se sont transformées ensuite en art, la forme devait
représenter l’idéal de beauté d’une époque.
Le principe de construction c’est lui qui détermine c’est lui qui détermine l’origine des forme d’art. la
construction est la base de l’art sans elle il ne peut pas se développer et arriver à son but qui est l’idéalisme
de la réalité.
L’époque moderne à donner une grande valeur a la construction elle a incité ses meilleurs hommes de talent
a la perfectionner, après le développement de ce domaine il fallait repartir les taches, nous arrivons ainsi a
une spécialisation selon les différents secteur. Construction des points, des chemins de fer, des machines ce
qui entraine une révolution rapide de ces secteurs.
L’architecte va choisi perfectionner ou inventer les constructions qui s’adaptent d’une façon plus naturelle
à sa vision d’ensemble conformeront le plus à la forme d’art qui va naitre les moyens dont il disposera et la
destination de l’œuvre vont le faire s’incliner par fois vers des créations utilitaires et parfois vers une
interprétation artistique.
On trouve toujours que l’ingénieur se soucie uniquement de calcul statique et aux couts mais l’architecte
s’intéresse aux forme doit étendre son influence au domaine propre de l’ingénieur progressivement pour
favoriser une expression esthétique appropriée, et on évitera avec le temps les aspects négatifs de
l’ingénieur, ils doivent collaborer ensemble pour faire sortir un travail utilitaire et artistique.
Il faut éclaircir un important point représentant cette époque il s’agit des détails de construction et de la
solidité qui en repend on pense que la construction moderne exigeant la rapidité ne garantit pas la solidité au
contraire si on observe attentivement on constat que c’est le contraire avec l’industrie moderne du bâtiment
résolu tout le contraste entre délais de construction et la solidité.
Durant toutes les époques on remarque qu’on a donné un maximum de stabilité aux bâtiments et satisfaire
l’exigence la plus importante de l’architecte qui est « duré éternelle »et l’architecture doit le satisfaire en se
servant de nouveaux moyens et introduire de nouvelles machines cela peut entrainer des erreurs
considérables sur les formes d’art comme les consoles et les corniches qui ne soutiennent rien .
Une quantité de détails externes qui ne représentes pas ce qu’on veut. L’industrie du bâtiment si elle veut
prend place il faut établir une relation importante entre solidité, forme artistique et délais de construction
exemple construction du bâtiment avec des blocs de pierres sans soucis financiers ni limites du temps et
pour soutenir la corniche principale en choisis d’énorme blocs de pierres ressembles à ceux des anciens
romains cette façon de construire caractérisait la renaissance.
Selon les mêmes propositions on adoptera pour le revêtement externe des panneaux lisse qui peuvent être
d’un matériaux noble (marbre de laas) fixer avec de clous en bronze et pour soutenir la corniche on utilise
des poutres en fer en forme d’ancre, le volume de pierre sera inferieur de 5à6 fois à celui de la renaissance
l’effet monumentale sur plus grand, côté financier réduit sensiblement cela est suffisant pour adopter le
système moderne.
Beaucoup de motif artistique fairont leur apparition, les hommes modernes choisiront les matériaux qui
pourront être fournir rapidement et convenablement. Le choix de matériaux varie selon les régions alors
l’architecte doit prendre toujours en considération ce fait. il faut évoquer un détail important que l’architecte
lui-même peut avoir une idée fausse sur lui qu’est le temps nécessaire à la préparation graphique , artistique
et technique du projet doit être confiée à un artiste .
Le fer est le matériau le plus important qui influencent le plus la construction moderne, il faut admettre
qu’un peut retirer des formes originales de fer qui a favorise la naissance du nouveau style, la seule
limitation d’emploi est d’ordre financier en ne peut négliger l’influence de ce matériau sur l’architecture il a
permis de facilite les réalisations de plusieurs œuvres.
Dans ce chapitre il y suffisamment explication sur l’importance de la construction et son influence sur l’art
moderne elle pousse l’architecte moderne à la création et l’invention de nouvelle forme.

La pratique artistique
Cette expression signifie l’expérience qu’on acquiert en donnant forme à quelque chose qui est acquise par
ceux qui exercent la profession d’architecte pendant plusieurs années les créations architecturales
graphiquement mais il faut au moins faire de brèves considérations générales l’architecte doit présenter sa
pensée sur le papier d’une façon claire et précise et nette.
Tout dessin architecturale doit aviser le gout de l’artiste ce dernier ne doit négliger le dessin car il a présente
une future œuvre, il est convenable d’offrir à l’observateur un travail riche en symboles et riche
culturellement.
Il ne faut pas oublier de citer le grand nombre des revues d’art, allemandes, anglaises et françaises qui
racontent toutes les nouveautés artistiques de façon moderne symbolique pour la présentation graphique
l’architecte ne doit utiliser que les techniques dont il pourra obtenir les meilleurs résultats dans un court
temps.
L’œuvres la plus moderne est toujours, en architecture, la métropole, dernièrement la science urbaniste a pris
le devant de la scène puisqu’il revenu urgent de trouver des solutions rationnelles aux problèmes que pose
l’expansion des villes.
La première condition est l’accord entre l’art et les exigence pratique, parfois la motivation artistique pourra
même précède la motivation pratique.
Il est certain que dans le domaine de l’urbanisme c’est l’aspect fonctionnel qui doit s’imposer et que l’art
aura le rôle d’empêcher tout type de dévastation.
Par conséquent, il faudra préciser et établir avec précision les besoins techniques, économique et hygiénique
de la circulation, on peut observer que l’agrandissement positive de la ville est lié aux condition de
circulation, il faut considérer les rues et les places avec soin, à la première vue on a l’impression qu’ils ont
des dimension spontanées, mais en réalité elles sont limitées par les édifices ou les groupes d’arbres qui ne
repasse pas 30 mètre et de points de vue esthétique on établir pour une surface de 120000 m2 , une place
possédant ses dimension nécessite du point de vue artistique certains point de repos pour l’œil, ces point
seront créés en installant des monuments figuratifs architecturaux , des fontaines etc. Par contre les allées
bordées d’arbres, les rampes, les trottoirs seront des lignes directrices pour l’œil, une rue devrait avoir au
moins une longueur de cinq fois et quinze fois plus sa largeur. Les dimension d’une place doivent être
calculer d’après la hauteur des édifices.
L’installation des jardins urbains doit répondre à des nécessites esthétique et factionnel et ne pas se limiter a
une petite allée rectiligne, il faut respecter l’effet des superficies on va parler brièvement du problème des
parcs cité précédemment, l’origine des parcs devrait être des immenses territoires renferment des beautés
naturelles, leur propriétaire, les transformation en quartiers résidentiels en traçant des voies carrossables et
piétonnier et une variété expressive , lacs, ruisseaux, zones rocheuses, des voix de passage faciles , et on
essaye de produire une opposition entre art et nature en réduisant les superficies qui provoque des effets
grotesque on trouve chez les baroque des exemples incomparable de parc aux alentours des édifices
considérés comme des modèles parfait à suivre si on veut qu’un édifice et un parc s’intègrent l’architecte ne
devra pas se limiter à établir un projet esthétique seulement mais il devra ainsi des notion botanique pour
mieux distribuer le groupe d’arbre , les clôtures, les haies , il devra connaitre la durée de vie des plantes
prévues , les propriétés du terrain , l’aménagement des sentier, la répartition des statues, la construction des
édifices de service, technique jardinage…etc.
Il faut attirer l’attention sur l’effet monumental des surfaces planes qu’on peut aménager comme tapis en
utilisant différentes méthodes de dallage et différents types de pierres, en ajoutant éventuellement des objets
places intelligemment on obtient des effets merveilleux qu’on ne peut laisser de côté.
Revenant à l’aspect des rues et des places l’architecte doit étudie à fond ce problème évaluant toutes les
possibilités, afin de respecte les exigences de l’art, dans beaucoup de domaine, malheureusement l’avis de
l’architecte est négligé car les aspects esthétiques sont généralement négligés.
Il nécessaire, entre autre de placer les édifices publics de façon adapte pour avoir un cadre artistique varie,
On remarque que le besoin à la demande d’appartements s’accroit de plus en plus tandis que le besoin
d’édifices publics diminue, le mode de vie à beaucoup réduit le phénomène de maison individuelle, on est
donc arrive à une certaine uniformité des blocs d’appartement, a Londres la propriété foncière a adapté un
type de construction immobilière qui a renoncé presque à l’apport de l’art , à paris il ont adopté une solution
qui consiste à destiner les mansardes au personnel de service . Les blocs d’appartements à 6ou 7 étage sont
appelles immeubles de rapport qui ont pour but de procurer un revenu maximum sur le capital investi en
entassant de petites appartement qu’on peut louer facilement depuis que les ascenseurs ayant été adopté la
valeur de location s’est uniformisée on a aussi tendance à ne pas différencier les étages à l’extérieur pour
cela il ne faut adopter des formes architecturales copiées de l’architectures des palais car elles ne
correspondraient pas à la structure interne de l’édifice c’est pourquoi la façade de l’immeuble de rapport
moderne s’oriente vers une surface lisse interrompue par une série de fenêtre à laquelle s’ajoute la corniche
principale de protection de cout on a perdu des petites dimensions de l’intimité, on s’est abitué a un petit
nombre d’images variées à de langues lignes droites a de grandes masses . L’art ne doit intervenir que dans
les domaines ou son pouvoir est incontesté ou il peut s’exprimer spontanément l’architecte essaiera
d’intervenir pour mettre en valeur la construction en devront les surfaces de panneaux contrastes et de
détails simples ainsi les immeubles de rapport vont prendre un aspect esthétique et s’accorder avec tous les
éléments de la rue. On se pose toujours la question quand doit on opter pour la ligne droite qu’un à souvent
parler et quand pour la courbe.
Dans l’architecture moderne il y’a de nombreux facteurs encouragent l’utilisation de la ligne droite, elle se
justifie par l’aspect naturelle de l’homme à se déplacer en ligne droite une personne pressée agacée par de
nombreux petits déviation qui font perdre du temps, il n’est pas toujours possible de tracer des voies
rectilignes, afin de conserver les choses déjà en place on sera obligé d’opter pour des tracés en courbe ou en
forme polygoné , pour la circulation des véhicules , on peut admettre de petites déviation et des courbes dans
le cas de la nécessites, il faudra assurer au public une grande protection possible en canalisant la circulation
des véhicules sur des voies suffisamment larges.
 Aujourd’hui on a moins besoins de ces bâtiments publics cela doit inciter les architectes à rechercher les
mêmes effets avec d’autre moyens prévoir des jardins devant les maisons, introduire des dégagements et des
carrefours ornes de fontaines et de monument, sans oublier de mettre en valeur les œuvre d’art qui nous sont
parvenir à trouver les siècles.
On doit parler maintenant des rails situes au niveau de la chaussée qui sont destins a des voitures à
chevaux, on à vapeur ou électrique déferment en quel que soit l’aspect de la rue et gênent les piétons ne
permettraient jamais de telles constellation, exemple sur la place de la concorde ou les champs Elysées, pour
ne pas entrainer d’inconvénients et de considération technique, on va citer brièvement les aspects positifs et
négatifs de chaque solution « la voie ferrée souterraine » si elle est couverte elle n’influe pas sur l’aspect de
la rue elle permet un accès pratique mais généralement elle est plus chère et moins appréciée par le public
La voie ferre surlevee elle modifie par la fois l’aspect de la rue mais elle coute moins cher et le voyageur la
préfère car elle offre des vues panoramiques puisque le citadin préfère conserver sa ville il ne choisira
jamais une voie ferrée surlevée
On trouve que les lois, les coutumes et les considération techniques et financières déterminent toujours la
formation de village de zones industrielles conditionnés par la position géographique dans le cadre de
l’aménagement des rues la présence des points modernes est presque insignifiante, le fer a remplacé la pierre
ce qui leur donne l’aspect utilitaire de simple voies de liaison routière l’apparition brutale de ce matériau a
provoqué des protestations de la part des habitants des villes ce qui a poussé les architecte a construire plus
bas ou c’est possible pour assurer un beau panorama, il est indispensable que l’art et les artistes
interviennent pour faire en sort que les ponts dégagent dans leur prolongement des beaux perspectives par
leur extrémité plus apparents et des balustrades.
L’énormes progression dans le domaine de l’hygiène et l’accroissement rapide de la population des
métropoles nécessite une propreté rigoureuse des voies de circulation et donner un aspect impeccable au
bâtiments publics, l’architecte ne devra jamais oublier ces exigences et il doit se tenir au courant des
dernières évolutions dans ce domaine parce que il y’a toujours des nouveautés scientifiques qui réclament de
nouvelle forme artistique. D‘autre part il y’a un autre problème qui comporte des implications dans le
domaine de l’hygiène c’est l’évolution de gaz de combustion et de la suie cela incite l’utilisation obligatoire
du coke et la décentralisation des usines, l’utilisation d’appareils d’épuration des fumées ce n’est qu’un
remède partiel il semble que seules les grandes cheminées d’usines défigurent l’aspect esthétique de la ville
et pour leur trouver des formes meilleures actuellement est impossible d’après les connaissances existant
pourtant se sont les première facteurs de détérioration des œuvres d’art, la dégradation des couleurs des
monuments en bronze, l’instabilité de la peinture des bâtiments.
Il y’a qu’un seul remède à ce problème c’est l’utilisation des formes plus simples, et des surfaces lisses de
la porcelaine, de la faïence, la pierre etc. à cet égard l’architecture moderne a déjà obtenu d’importants
résultats, les meilleures conditions de vie pour l’homme qui semblaient impossibles à réaliser il y’a quelques
décennies sont devenues possibles grâce aux de couvertes récentes et leur améliorations continuelles.
Comme cité avant les conditions politiques et sociales influent beaucoup sur la construction urbaine on
peut dire qu’elles sont les causes changement dans la typologie urbaine on peut dire malgré que l’art a
bénéficié des nouvelles impulsions offerts par les nouveaux systèmes de sa construction , d’autre part il a
perdu on quelque sort de sa souveraineté et de ses mérites individuels on remarque sa dans les plus grandes
réalisation (gare, parlements…etc.) on les comparant des châteaux, des palais du passé et pour finir sur le
rapport de l’art et l’économie du premier cout il semble qu’ils sont indispensable l’in de l’autre mais on peut
très bien faire quelque chose de simple sans augmenter le couts , il faut dire que l’art d’un pays ne reflète pas
seulement son bien-être matériel mais aussi sa richesse intellectuelle . Si les artistes suivaient ces principes
la ville prendrait un aspect différent le concept de confort est devenu indispensable pour l’humanité ainsi
que la plus grande propreté possible, tous les objets qui ne tiennent pas compte de ces principes n’ont
aucune valeur et si ce sont des produits artistiques, ils ne sont pas dignes d’être pris en considération, on a
déjà mentionné que l’architecture moderne a pour mission d’entraines l’artisanat artistique jusqu’à
maintenant on peut affirmer aujourd’hui que tout ce qui est vraiment bon et nouveaux dans le domaine de
l’artisanat est créé seulement par les artistes. Si on prend en considération certaines technologies apparentées
et tous leurs procédés, notamment les sciences du textile, la céramique, la métallurgie, on imagine
facilement le tôt de connaissance nécessaire à l’architecte aux futurs architecte pour qu’ils s’exercent a
observer et découvrir et reconnaitre les besoins de l’homme et ne pas imiter des œuvres déjà crées il faut
toujours s’inspira de la vie et des exigences des hommes , l’artiste ne doit jamais oublier que c’est l’art qui
existe en fonction de l’homme et non pas le contraire.

Conclusion
Le maitre d’œuvre pense qu’il ne pas exprimer toutes ses idées d’une façon complète mais elles
prouveront être comme un fond de préparation pour l’architecte et l’école lui revient, en utilisant le crayon
de poser les autre pierres et leur donner forme , il pense qu’avec ce texte il a indiqué la voie a suivre pour se
rapprocher d’une architecture moderne, on ne peut pas trouver une réponse complète comment construire
mais notre sensation nous aide à prévoir les formes d’art qui voient le jour et celles qui se développement la
surface lisse, l’importance techniques de construction et des matériaux sont exigés par le progrès moderne
La beauté architecturale qui exprimera les exigences de notre temps devra s’accorder à la mentalité et la vie
moderne de l’homme, les personnes qui lisent ces pages devront convenir que les nouvelles demandes dont
l’humanité aujourd’hui et l’objet contribue à éclairer la vision moderne de l’art encore floue les architectes
qui tendront vers le but indique dans le texte comme durent toutes les époques leur devoir sera d’instruire
leur contemporains et leur œuvre porteront une empreinte personnelle que le monde reconnaitre sa propre
image et auront les qualité des artistes de toutes les époques précédents et éviteront de négliger les œuvres
de leur prédécesseurs et les conserverons comme des bijoux les progrès remarquables de la civilisation nous
indiqueront ce que nous parviendrons doit au but et la création de choses belles et nouvelles , la maitre
d’ouvrage estime que ces idées trouve un terrain fertile pour le bien de l’art et les artistes et le
développement de l’architecture et l’idéal de la beauté estimée de l’architecture moderne.