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Le câble passe par deux paires de poulies automotrices. Deux contre poulies appuient sur le câble dans les rainures des deux poulies
d’entraînement. Les poulies coniques sont constituées de caoutchouc élastique résistant, assurant ainsi une friction adéquate.
Les opérations peuvent facilement être gérées au sol, même si le pousseur de câble est fixé sur un plateau.
Un groupe auxiliaire hydraulique (“powerpack” à moteur essence) est nécessaire pour les pousseurs en version hydraulique lorsqu’ils ne sont
pas reliés à un porteur. Nous proposons des powerpacks compatibles sur simple demande.
Les installateurs ont trois options lorsqu'il s'agit de déploiements de dernière goutte : souffler, tirer ou pousser des câbles. Compte tenu des longueurs
relativement courtes et des itinéraires souvent complexes de la dernière chute, la poussée des câbles devient une option beaucoup plus courante.
L'utilisation d'une machine de poussée étend l'utilité et la portée de cette technique, aidant à réduire les coûts d'installation de dernière goutte et à
accélérer les déploiements. En particulier lorsqu'ils sont utilisés en combinaison avec des câbles et des microconduits conçus pour le poussage, ils offrent
des avantages considérables en termes de budget et de temps. Cela signifie qu'ils devraient désormais faire partie intégrante de la boîte à outils de chaque
opérateur lors de la réalisation de déploiements FTTH.
Il est nécessaire de comprendre un peu la science derrière "pousser" pour voir comment cela peut être utilisé. Lors de la poussée, il n'y a pas de tension de
câble, ce qui signifie que, contrairement à la traction, le défi n'est pas de trop tendre le câble, mais de forcer le câble à se déformer en poussant trop fort. Le
flambage du câble le verrouille efficacement dans le conduit et peut causer des dommages permanents.
Ceci peut être contrôlé en contrôlant et en optimisant la rigidité du câble et en réduisant le coefficient de frottement entre le conduit et le câble. Alors qu'un
faible frottement est toujours bénéfique, la rigidité est un compromis. Il doit être suffisamment haut pour tolérer la force de poussée exercée par la tête,
mais suffisamment bas pour permettre au câble de fléchir autour des courbes du parcours.