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REPUBLIQUE DU BURUNDI
SECTION SCIENCES
MATHEMATIQUES
GUIDE DE L’ENSEIGNANT
Edition 2017
Supervision générale
- CAMBARA Sylvère
- HABONIMANA Abel
- NDIRAHISHA Juvénal
- Jean-Baptiste Coulaud
SEMAINE 5......................................................................................................... 14
Les différentielles .............................................................................................. 14
Les primitives et les intégrales .......................................................................... 14
SEMAINE 6......................................................................................................... 16
vi
Ainsi, pour assurer cette phase transitoire, les illustrations, les schémas, les
extraits de textes et autres supports nécessaires ont été tirés des ouvrages
disponibles dans la plupart des établissements scolaires dont le Burundi
disposait d'un droit d’usage pour les avoir soit achetés, soit acquis par
donation légale.
1
INTRODUCTION
I. COMPETENCE DE L’ANNEE
PALIER 1
5
1. Fonctions réciproques
2. Fonctions logarithmiques
3. Fonctions exponentielles
4. Les différentielles
5. Les fonctions primitives
6. Les intégrales
Points d’attention
SEMAINE 1
Les fonctions réciproques
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Définir :
𝑓( 𝑥 ) 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
𝑓( 𝑥 )
𝑥 𝑥
𝑓( 𝑥 ) √ 𝑥
𝑓(𝑥) s 𝑥 t 𝑥
- Faire rappeler par les élèves la définition d’une fonction réciproque telle que
vue antérieurement et leur donner la condition suffisante d’existence d’une
fonction réciproque pour une fonction donnée dans un intervalle de .
:
-Partir d’un exemple comme 𝑓(𝑥) ;
sur I=, - et montrer aux élèves
;
comment on calcule l’expression de 𝑓 et comment on trace la courbe de
𝑓 ; à partir de celle de 𝑓
9
SEMAINE 2
Fonctions réciproques (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑦 𝑟 s𝑥 𝑥 t 𝑥
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑦 -bijection
𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑥
𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑦 𝑟 s𝑥
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑦
𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑥
Exercices + Evaluation n° 1
EXEMPLES D’ACTIVITES D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
SEMAINE 3
Fonctions logarithmiques
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Fonction logarithme
népérien
- 0 𝑙𝑛𝑥 (admis sans
-Donner : la définition, les propriétés et démonstration)
la formule de dérivation d’une fonction
logarithme népérien - : 𝑙𝑛𝑥 (admis sans
démonstration).
-Définir le nombre 𝒆
-𝑙𝑛 et logarithme décimal.
-Déterminer quelques limites de la
fonction 𝑥 -Puissance à exposant rationnelle
Exercices
- Faire remarquer par les élèves qu’on ne pourrait pas trouver par un
raisonnement analogue la fonction ayant pour dérivée 𝑥 .
- Porter alors à la connaissance des apprenants que cette fonction 𝑥
a une fonction qui lui a donné naissance par dérivation. C’est une
nouvelle fonction appelée logarithme népérien et notée 𝑙𝑛
- Faire rappeler par les élèves la condition d’existence d’un logarithme
décimal et partir de là pour dégager la condition pour que le 𝒍𝒏soit défini.
- Partir de la définition de 𝑙𝑛 pour donner la formule de dérivation de
𝑥 𝑓(𝑥 ) 𝑢(𝑥), 𝑢 (𝑥) étant dérivable par rapport à 𝑥
- Donner des exercices convenablement choisis sur la dérivation, l’étude de
fonctions et les équations en rapport avec la fonction 𝑙𝑛
- Partir du logarithme naturelle et logarithme décimal pour faire découvrir
:
le logarithme de base 0 ∖ * + et sa formule de dérivation.
- Donner des exercices convenablement choisis sur la dérivation, l’étude de
fonctions et les équations en rapport avec la fonction logarithme de base
:
té 𝑙𝑜𝑔 v 0 ∖* +
12
SEMAINE 4
Les fonctions exponentielles
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Fonction exponentielle de
base « e »
SEMAINE 5
Les différentielles
Les primitives et les intégrales
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Les différentielles
Exercices
Fonctions primitives
la propriété fondamentale
les propriétés des primitives
- Donner :
la forme générale
les formes logarithmiques et
exponentielles -
les formes trigonométriques
les formes cyclométriques de
primitivation
15
-Calculer
SEMAINE 6
Les primitives (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Primitivation de certaines
classes de fonctions
- Méthodes de primitivation
-Calculer
SEMAINE 7
Les intégrales
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
- des primitives du
type∫ 𝑜𝑠 𝑚 𝑥 𝑑𝑥,∫ 𝑠𝑖𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥
- des primitives du type
∫ 𝑡 𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥,∫ 𝑜𝑡 𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥
∫ 𝑜𝑠 𝑚 𝑥 𝑑𝑥,∫ 𝑠𝑖𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥 ; ∫ 𝑡 𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥 ;
∫ 𝑜𝑡𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑠𝑒 𝑚 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠𝑒 𝑚 𝑥 𝑑𝑥
SEMAINE 8
Les primitives (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Calculer :
- Primitives du type
∫ ;∫ ; ∫ ; ∫√ 𝑥 𝑑𝑥 ; ∫ √ 𝑥 𝑑𝑥 ; ∫ ;
: ; ; √ :
∫√ ;∫
; √ ;
etc.
𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 ; ) ; 𝐼
;
∫ 𝑥 𝑒 𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 : ) ;
𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 ; );
pour arriver par primitivation, avec les élèves, aux relations de récurrence
demandées.
20
SEMAINE 9
Les intégrales
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
SEMAINE 10
Intégration
21
SEMAINE 1
𝑥 𝑥
√𝑥
√𝑥
𝑥 (𝑥 ℚ0) 𝑛𝑥 ;
s 𝑥 s𝑥
s𝑥 s 𝑥
t 𝑥
𝑡𝑔 𝑥
𝑜𝑠 𝑥
t𝑥
( 𝑜𝑡𝑔 𝑥)
𝑠𝑖𝑛 𝑥
𝑢(𝑥) 𝑣(𝑥) 𝑤(𝑥) 𝑢′ (𝑥) 𝑣 ′ (𝑥) 𝑤 ′ (𝑥)
𝑢 (𝑥 ) 𝑣(𝑥) 𝑢′ (𝑥)𝑣(𝑥 ) 𝑣 ′ (𝑥)𝑢(𝑥)
𝑘 𝑢(𝑥 )(𝑘 st t ) 𝑘𝑢′ (𝑥)
𝑢′ (𝑥)
𝑢(𝑥) 𝑢 (𝑥)
′( ) ( )
𝑢(𝑥) 𝑢 𝑥 𝑣 𝑥 𝑣 ′ (𝑥)𝑢(𝑥)
𝑣(𝑥) 𝑣 (𝑥)
22
On appelle point anguleux d’une fonction, un point où les limites des dérivées
à gauche ou à droite existent mais ne sont pas égales.
Soit une fonction définie sur . S’il existe un réel non nul tel que : 𝑥
𝑥 et 𝑓( 𝑥 ) 𝑓(𝑥), alors la courbe représentative de la
fonction 𝑓 admet un axe de symétrie d’équation 𝑥 ou 𝑓( 𝑥)
𝑓( 𝑥) 𝑥 .
Exemple : 𝑓(𝑥) 𝑥 𝑥
Solution
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑥) 𝑥 𝑥 𝑥 𝑓(𝑥)
On a :𝑓( 𝑥) 𝑓(𝑥)
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
23
( )𝑥 𝑥
( )
Par identification, on a: 2 car est à rejeter.
Soit une fonction définie sur . S’il existe un réel et une constante tels
que : 𝑥 𝑥 et 𝑓( 𝑥 ) 𝑓( 𝑥) , donc
𝑓( 𝑥 ) est impaire, alors la courbe représentative de la fonction 𝑓
admet un centre de symétrie de coordonnée ( ).
Exemple : 𝑓(𝑥 ) :
Solution
On :𝑓( 𝑥) 𝑓( 𝑥)
( 𝑥) ( 𝑥)
( 𝑥) ( 𝑥)
( )𝑥 𝑥
( )
D’où{
( )
( ) donne (3)
( )dans ( ) donne ( )
( ) dans( ) donne
𝐶 rencontre 𝐶𝑔 .
b) Asymptote oblique
EXERCICES
: : ;
I. Soit 𝑓 la fonction définie sur par 𝑓(𝑥 ) :
( : ) :( ; :9)
Montrer que 𝑥 ∶ 𝑓 (𝑥 )
( : )
Dresser le T.V de 𝑓.
8
3°) Montrer que 𝑥 𝑓( 𝑥 ) 𝑥 ( : )
II. Faire l’étude détaillée des fonctions suivantes et montrer pour chacune, s’il
existe un point anguleux ou un point de rebroussement.
2°) 𝑓(𝑥 ) √𝑥 𝑥
3°) 𝑓(𝑥 ) √𝑥 𝑥
26
I.2.1. GENERALITES
1°. Théorèmes
Théorème 1
Démonstration
a) 𝑥 , - 𝑥 𝑓( ) 𝑓 (𝑥 ) 𝑓( ) donc
𝑓(, -) ,𝑓( ) 𝑓( )-
c)Conclusion :
𝑓(, - ,𝑓( ) 𝑓( )-
} 𝑓(, -) ,𝑓( ) 𝑓( )-
,𝑓( ) 𝑓( )- 𝑓(, -)
Théorème 2
Démonstration
𝑥 𝑥 𝐼: 𝑓(𝑥 ) 𝑓( 𝑥 0 )
𝑥 𝑥 𝐼: 𝑓(𝑥 ) 𝑓( 𝑥 0 )
Posons 𝑥 𝑥0 𝑒𝑡 𝑥 𝑥0
𝑓 (𝑥 0 ) < 𝑓( 𝑥 ) < 𝑓( 𝑥 0 )
Théorème 3
Démonstration
b)𝑓 ; est donc une bijection de 𝑓(𝐼) sur 𝐼 et est strictement croissante.
Soit 𝑦 𝑓( 𝑥 ) 𝑦 𝑓 (𝑥 ) 𝑦 𝑦 𝑓(𝐼) et 𝑦 𝑦 ;
𝑦 𝑓( 𝑥 ) 𝑥 𝑓 ; (𝑦 )
𝑦 𝑓(𝑥 ) 𝑥 𝑓 ; (𝑦 )
; ;
𝑓est strictement croissante ;
> ;
>
; ( ); ( )
Or, ;
> ;
>
𝑓(, -) ,𝑓( ) 𝑓( )-
𝑓: , - ,𝑓( ) 𝑓( )-
𝑓 ; : ,𝑓( ) 𝑓( )- , -.
𝑚 ( 𝑥 𝑦) 𝐶 𝑓( 𝑥 ) 𝑦
Or, 𝑦 𝑓 (𝑥 ) 𝑥 𝑓 ; (𝑦)
𝑚 ( 𝑥 𝑦) 𝐶 𝑓( 𝑥 ) 𝑦 𝑥 𝑓 ; ( 𝑦) (𝑦 𝑥 ) au graphe de 𝑓 ; dans
(𝑜 𝑖⃗ 𝑗⃗)
𝑚(𝑥 𝑦) 𝐶 𝑚′ (𝑦 𝑥) 𝐶
D’où :
Démonstration
𝑦 𝑓( 𝑥 𝑥) 𝑓(𝑥)
𝑥 (𝑥 𝑥) 𝑥 𝜑( 𝑦 𝑦) 𝜑(𝑦).
𝑥
𝜑′ (𝑦)
0 𝑦
𝑓(𝑥 ) continue ,( 𝑥 ) ( 𝑦) -
Or,
𝜑′ (𝑦) ( )
D’où 𝜑′ (𝑦) ( )
Exemples
𝑓: 𝑥 𝑥 𝑓: 𝑓 ′ (𝑥 )
𝑦 𝑓( 𝑥 ) 𝑥
𝑦 𝑥 𝑦 𝑥 𝑥 (𝑦 )
𝑓( 𝑥 ) 𝑥 𝑓 ; (𝑥 ) 𝑥
𝑓: :𝑥 𝑥 𝑥
𝑓 ′ (𝑥) 𝑥
𝑓 ′ (𝑥 ) 𝑥
𝑥 ] ∞[ 𝑓 ′ (𝑥) >
32
𝑥 ] ∞ [ 𝑓 ′ (𝑥) <
; 9 9 7
En effet, 𝑓 . /
: 𝑓( 𝑥 ) ∞
Déterminons 𝑓 ;
𝑦 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑦 (1)
9
Or, 𝑥 𝑥 (𝑥 )
9 7
(1) (𝑥 ) 𝑦 (𝑥 ) 𝑦
|𝑥 | √𝑦
7
Or,sur 0 ∞0 𝑥 > d’où 𝑥 √𝑦
7 ; :√ : 7
𝑥 √𝑦 ou𝑥
33
√ 𝑥
𝑓 ; (𝑥)
; ;√ : 7
Sur1 ∞ 0, 𝑓 ; (𝑥 )
𝑓: [ ∞[ [ ∞[ 𝑓 (𝑥 ) 𝑥 𝑥
√ 𝑥
𝑓; : [ ∞[ [ ∞[ 𝑓 ; (𝑥)
𝑓; ( * 𝑓 ; (𝑥 ) ∞
:
𝑓( 𝑥 ) 𝑥 |𝑥|
Si 𝑥 |𝑥 | 𝑥: 𝑓(𝑥) 𝑥 |𝑥| ( )𝑥
Si 𝑥 |𝑥 | 𝑥: 𝑓(𝑥 ) ( )𝑥
Sur 0 : ou 0 ; , 𝑓(𝑥) est une fonction polynôme du premier degré ; elle est
donc continue sur ces ensembles. Elle est aussi continue pour 𝑥 .
En effet :
0 𝑓( 𝑥 ) 0 𝑓 (𝑥) 𝑓( )
Pour que 𝑓 ne soit pas bijective, il suffit que 𝑓 ne soit pas strictement
monotone sur Or, cela n’est possible que si 𝑒𝑡 sont de signes
contraire.
( )( )< - ,
Si >
;
𝑥 , 𝑓( 𝑥 ) ( )𝑥 et 𝑓(𝑥)
:
𝑥 , 𝑓 (𝑥 ) ( )𝑥 et𝑓(𝑥 )
;
𝑠𝑖 𝑥 𝑓 ; (𝑥) ;
D’où, pour 𝑓 ; ,, ;
; (𝑥 )
𝑠𝑖 𝑥 𝑓 :
;
Si < on trouve : Si 𝑥 𝑓 ; (𝑥)
:
;
Si 𝑥 𝑓 ; (𝑥) ;
35
SEMAINE 2
a. Définition
𝑦 𝑔( 𝑥 ) 𝑟 s 𝑥 𝑥 s 𝑦 et 𝑦
b. Exemples
𝑔. / 𝑟 s car s et
𝑔( ) 𝑟 s
√ √ √
𝑔. / 𝑟 s . / car s . /
36
c. Propriétés
𝑥 - , 𝑟 s 𝑥 𝑟 s 𝑥
𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑥 s 𝑦
𝑟 s 𝑥 𝑘
𝑟 s 𝑥 2 ,𝑘
𝑟 s 𝑥 𝑘
37
d. Graphe de 𝒈(𝒙) 𝒄 𝒙
a. Définition
𝑦 𝑔( 𝑥 ) 𝑟 s𝑥 𝑥 s 𝑦 𝑒𝑡 𝑦
b. Exemples
𝑔( ) 𝑟 s car s
𝑔( ) 𝑟 s car s
𝑔. / 𝑟 s. / car s et
c. Propriétés
1) 𝑟 s( 𝑥) 𝑟 s𝑥
𝑦 𝑟 s𝑥 𝑥 s𝑦
𝑟 s𝑥 𝑘
𝑟 s𝑥 2 ,𝑘
𝑟 s𝑥 𝑘
39
d. Graphe de 𝒈(𝒙) 𝒄 𝒙
a. Définition
𝑦 𝑔( 𝑥 ) 𝑟 t 𝑥 t 𝑦 et <𝑦<
b. Exemples
c.
𝑔( ) 𝑟 t ( ) 𝑟 t
𝑔( ) 𝑟 t 𝑟 t ( )
c. Propriétés
1) 𝑥 𝑟 t ( 𝑥) 𝑟 t 𝑥
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑥 t 𝑦
𝑟 t 𝑥 𝑟 t 𝑥 𝑘 𝑘
41
e. Graphe de 𝒈(𝒙) 𝒄 𝒙
a. Définition.
𝑦 𝑔( 𝑥 ) 𝑟 t 𝑥 t 𝑦 et < 𝑦 <
42
b. Graphe
𝑦 ′
ou𝑥 ′
I.4.1. DERIVEE DE ( )
𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑥 s 𝑦 𝑒𝑡 𝑦
𝑥 s𝑦 𝑦
s𝑦 √ 𝑠𝑖𝑛 𝑦 √ 𝑥
𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑦′ √ ;
Si 𝑢 𝑢 (𝑥 ) 𝑒𝑡 𝑢(𝑥 ) dérivable, alors
𝑦 𝑟 s 𝑢 𝑦′ √ ;
Exemples
1) 𝑦 𝑟 s 𝑥 , 𝑦′ √ ;
2) 𝑦 𝑟 s (t 𝑡)
𝑢 t 𝑡 𝑢′ 𝑡 𝑛 𝑡
𝑜𝑠 𝑡
43
𝑡 𝑛 𝑡
𝑦′
√ 𝑡 𝑛 𝑡
I.4.2. DERIVEE DE ( )
𝑦 𝑟 s𝑥 𝑥 s𝑦 𝑒𝑡 𝑦
𝑥 s 𝑦 𝑦
s 𝑦 √ 𝑜𝑠 𝑦 √ 𝑥
𝑦 𝑟 s𝑥 𝑦′
√ 𝑥
𝑦 𝑟 s 𝑢 𝑦′ √ ;
Exemples
1) 𝑦 𝑟 s 𝑥 𝑦′
√ ;9
;
2)𝑦 𝑟 s :
𝑥
𝑢 𝑢′
𝑥 ( 𝑥 )
𝑦′
( 𝑥 )√ 𝑥
I.4.3. DERIVEE DE ( )
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑥 t 𝑦 𝑒𝑡 <𝑦<
𝑥 𝑡 𝑛 𝑦 𝑥
𝑜𝑠 𝑦
D’où 𝑦
′ :
44
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑦′
𝑥
𝑢
𝑦 𝑟 t 𝑢 𝑦′
√ 𝑢
Exemples
1) 𝑦 𝑟 t ( 𝑥 ) 𝑦′ :
;
2) 𝑦 𝑟 t ( s𝑥) 𝑦′ :
I.4.4. Dérivée de ( )
𝑥 ( 𝑜𝑡 𝑛 𝑦) (1+𝑥 )
𝑦
𝑥 𝑥
𝑦 𝑟 t 𝑥 𝑦′
𝑥
𝑢
𝑦 𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑢 𝑦′
√ 𝑢
Exemples
1) 𝑦 𝑟 t ( 𝑥 ) 𝑦′
:
; ; : ;
2) 𝑦 𝑟 t ;
𝑦′ ; :
45
EXERCICES PROPOSES
I)1. Montrer que la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) 𝑥 |𝑥| admet une
; ;
fonction réciproque 𝑓 . Donner l’expression de 𝑓 (𝑥).Construire sur un
même graphique les courbes représentatives de 𝑓 𝑒𝑡 𝑓 ;
;
4. 𝑓(𝑥) 0 ;
b) Calculer 𝑓 ; (𝑥)
:√ ;
6.𝑓(𝑥) . Démontre que la restriction de 𝑓 à - , est une bijection
de - , sur - ∞, et trouver 𝑓 ; (𝑥)
√
a) 𝑟 s . /
;√
b) 𝑟 s( )
c) 𝑟 t
d) 𝑟 t ( )
N.B. c) et d) sont faits à l’aide d’une calculatrice ou d’une table des valeurs
naturelles.
;
a) 𝑟 s 𝑥 ; b) 𝑟 t 𝑥
c) 𝑟 t 𝑥 √
47
a) 𝑟 s ( 𝑥)
b) 𝑟 s( 𝑥 )
;
c) 𝑟 t :
d) 𝑟 t √ 𝑥
e) 𝑟 s (𝑥 𝑥)
f) 𝑟 s( 𝑥 𝑥 )
;
g) 𝑟 t 9 ;
a) s ( 𝑟 s 𝑥)
b)s ( 𝑟 s 𝑥)
c) t ( 𝑟 t 𝑥)
d) s( 𝑟 t 𝑥)
e) s ( 𝑟 t 𝑥)
a) 𝑟 s√ 𝑟 s
b) 𝑟 t 𝑟 t 𝑟 t 8
48
√ ;
c) 𝑟 t 𝑟 t 𝑟 t √
√ :
√
d) 𝑟 s 𝑟 t 𝑟 t
2. Démontre :
a) 𝑥 , -: 𝑟 s 𝑥 𝑟 s𝑥 ;
:
b) 𝑥 0 : 𝑟 t 𝑥 𝑟 t 𝑥 ;
; √
c) , ∞,: 𝑟 s 𝑟 s .
: :
a)𝑥 𝑟 s√ 𝑟 t ;
b) 𝑟 t 𝑥 𝑟 t √ ;
8
c) 𝑟 t 𝑥 𝑟 t 𝑟 t 8
;
d) 𝑟 t (𝑥 ) 𝑟 t :
𝑟 t 𝑥.
VII) Calculer les dérivées des fonctions suivantes et précisez leurs domaines de
dérivabilité.
a)𝑦 𝑟 s ; b) 𝑦 𝑟 s( 𝑥 );
c)𝑦 𝑟 t ; d) 𝑦 𝑟 t (𝑥 ) ;
;
e)𝑦 𝑟 t :
; f) 𝑦 s( 𝑟 s √ 𝑥 ).
49
a) 𝑓: 𝑥 𝑟 s ( 𝑥 );
b) 𝑓: 𝑥 𝑟 s( 𝑥 );
c) 𝑓: 𝑥 𝑟 t ( 𝑥 ).
50
SEMAINE 3
II.1.1. DEFINITION
Notation : 𝑦 𝑥
N.B :
: - ,
1) si 𝑓(𝑥) 𝑥 𝑥 > donc 0
2) 𝑓(𝑥) est strictement croissante sur
3) si 𝑥 𝜖 - , 𝑥<
𝑥 𝑥
𝑥> 𝑥>
II.1.2. PROPRIETES
1°) (𝑥 𝑦) 𝑥 𝑦
2°) 𝑥 𝑦
3°) 𝑥 𝑛 𝑥
4°) √𝑥 𝑥 𝑥
51
5°) 𝑥 𝑥
Si 𝑥 :
0 , |𝑥| 𝑥
𝑓( 𝑥 ) |𝑥 | 𝑥 𝑓 ′ (𝑥 )
Si 𝑥 ;
0 , |𝑥| 𝑥
𝑓( 𝑥 ) |𝑥 | ( 𝑥) 𝑓 ′ (𝑥 ) (; )
( )
𝑥 0 𝑓( 𝑥 ) |𝑥| 𝑓 (𝑥 )
Si 𝑢(𝑥) est une fonction dérivable positive et non nulle, sur un intervalle I
, alors 𝑓(𝑥) 𝑢(𝑥) est aussi dérivable sur cet intervalle et sa dérivée 1ère
est :
(𝒙)
,𝒍𝒏 (𝒙)-′
(𝒙)
( : )
Exemple : ,𝑙𝑛(𝑥 )-′
: :
′
𝑓( 𝑥 ) |𝑢| 𝑓 ′ (𝑥 )
52
co
b) 𝑓(𝑥) |s 𝑥 | 𝑓 ′ (𝑥 ) t 𝑥
II.1.4. LE NOMBRE
Remarque :
D ( 𝑥) :
0 - ∞,
Le nombre 𝑒 est un nombre irrationnel dont la valeur approchée est
2,7183….
𝑒 et
C’est un nombre décimal illimité non périodique.
Ce nombre réel est la base du logarithme népérien : 𝑥 𝐿𝑜𝑔 𝑥
𝑙𝑜𝑔𝑒 𝑥
Le logarithme d’un nombre négatif n’existe pas
1°) 0 𝑥 ∞
Démonstration
:
Si 𝑥 ∞
0 𝑥 : . / : ( 𝑥) : 𝑥 ∞
Donc, 0 𝑥 ∞
53
2°) : 𝑥 ∞
;
3°) 0 0
∞
:
4°) : :
(forme indéterminée)
( ) 0
Si 𝑔( )
est de la forme indéterminée 0
ou
( ) ( )
𝑔( ) 𝑔 ( )
:
: est de la forme :
nous pouvons donc appliquer la règle de
l’Hospital
:
: : :
:
Conséquence : : nous amène à tirer la conclusion que
𝑓( 𝑥 ) 𝑥 n’a pas d’asymptote oblique (A.O)
0 ;
0 :
( F.I) Utilisons la règle de l’Hospital :
0 0 ( 𝑥)
Donc : 0 𝑥 𝑥
54
6°) : 𝑥 𝑥 ∞ ∞ ∞
- ∞,
a) 0 𝑙𝑛𝑥 ∞
b) 𝑙𝑛 𝑥 ∞
𝒙
𝒇′ (𝒙) (𝒍𝒏𝒙)′
𝒙
55
𝒇′′ (𝒙) 𝒙
Exercices
𝑒 √𝑒
𝑒 𝑒 √𝑒
𝑒 𝑒
a) 𝑓(𝑥 ) 𝑥 𝑙𝑛 𝑥 d) 𝑓(𝑥) ( 𝑥)
:
b) 𝑓(𝑥 ) e) 𝑓(𝑥)
( ; ) f)
c) 𝑓(𝑥 ) ( ; )
Résolution
(𝑥 ) ( 𝑥 )
Conditions d’existence :
𝑥 >
𝑥>
1 ∞0
(𝑥 ) ( 𝑥 )
𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
( ) ( )
:√ :√ : √
𝑥 √
;√ ;√ ; √
𝑥 √
𝑆 { √ √ }
Exercices
;
a. 𝑙𝑛 𝑥 𝑙𝑛(𝑥 ) 𝑙𝑛 a pour solution 2√ 3
b. 𝑙𝑛 (𝑥 ) a pour solution * +
a. 𝑓(𝑥) 𝑙𝑛 :
b. 𝑓(𝑥) (𝑥 )
c. 𝑓(𝑥) (𝑥 )
;
d. 𝑓(𝑥) 𝑙𝑛( )
39
a) Définition
:
𝑙𝑜𝑔 : 0 :𝑥 𝑙𝑜𝑔 𝑥 où est choisi comme suit : <
b) Propriétés
:
𝑙𝑜𝑔 𝑥 st r ss t 𝑥 0
:
𝑙𝑜𝑔 𝑥 st é r ss t 𝑥 0
2) 𝑙𝑜𝑔 et 𝑙𝑜𝑔
) Signe :
r r s: >
40
D u s: < <
4)
: 𝑙𝑜𝑔 𝑥 ∞ 𝑠𝑖 >
∞ 𝑠𝑖 < <
0 𝑙𝑜𝑔 𝑥 ∞ 𝑠𝑖 >
∞ 𝑠𝑖 < <
𝑔
) Formule pour le changement de base : 𝑙𝑜𝑔 𝑥 𝑔
6)
𝑙𝑜𝑔 √ 𝑙𝑜𝑔
𝑛
𝑙𝑜𝑔 𝑞 𝑙𝑜𝑔
:
7) Avec 0 ;𝑛 𝑞 ℚ
𝑙𝑜𝑔 𝑞 𝑠𝑖 𝑞 ℚ
𝑔
41
c) Bases particulières
Il s’en suit que e est la base des logarithmes népériens ou encore que :
𝑥 𝑙𝑜𝑔𝑒 𝑥
Attention : 𝑙𝑜𝑔 0 𝑞
𝑙𝑜𝑔 0 𝑥 𝑞 𝑥
NB : 𝑥
o
:
𝑙𝑜𝑔 𝑥 st r ss t 𝑥 0
:
𝑙𝑜𝑔 𝑥 st é r ss t 𝑥 0
( )
En général : (𝑙𝑜𝑔 𝑢(𝑥)) ( )
42
e)Etude de 𝒇 (𝒙) 𝒍 𝒈𝒂 𝒙
𝑓( 𝑥 ) 𝑙𝑜𝑔 𝑥
1°) - , - ∞,
; ∞ 𝑠𝑖 >
𝑙𝑜𝑔 𝑥 2
0 0 ∞𝑠𝑖 < <
; ∞ 𝑠𝑖 >
𝑙𝑜𝑔 𝑥 2
: : ∞ 𝑠𝑖 < <
𝑥 𝑓
*𝑓 ′ (𝑥) 𝑙𝑜𝑔 ′ (𝑥) > 2
>
𝑥 𝑓
𝑓 ′ (𝑥) < {
- ,
′ ( ) ; 𝑥 𝑓
*𝑓 ′′ (𝑥 ) . / < 2
( ) >
𝑥 𝑓
𝑓 ′′ (𝑥) > {
- ,
43
a) >
b) < <
44
5°) Graphique
EXERCICES
a) 𝑥 ( 𝑥) (𝑥 )
b) (𝑥 )<
c) (𝑥 ) ( 𝑥)
d) 𝑥 (𝑥 𝑥 )
e) (𝑥 ) ( 𝑥 )
𝑓) (𝑥 ) ( 𝑥) ( 𝑥)
g) ( 𝑥 ) ( 𝑥 𝑥 ) ( 𝑥 ) 𝑥
h) (𝑥 𝑥 ) ( 𝑥)
;
i) :
45
j) 𝑥 ) ( 𝑥 )
k) (𝑥 𝑥 ) (𝑥 )
l) 𝑥 ( 𝑥) (𝑥 ) 𝑥
m) ( 𝑥) (𝑥 ) ( 𝑥 𝑥 )
n) 𝑥 ( 𝑥) √𝑥
𝑜) 𝑥 (𝑥 )< (𝑥 )
𝑝) ( 𝑒 𝑥) (𝑥 𝑒)
𝑥 𝑦
a){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
b){
(𝑥 𝑦 )
c) {
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
d){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦7
e){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
f){
𝑥
g)8
𝑥 𝑦
46
𝑥 𝑦
h){
𝑥 𝑦
47
SEMAINE 4
II.2.1 DEFINITION
:
Soit 𝑙𝑛 : 0 :𝑥 𝑙𝑛 𝑥
:
Vu que 𝑙𝑛 𝑥 est croissante (monotone) et continue sur 0, 𝑙𝑛; existe et est
croissante et continue.
:
𝑒𝑥𝑝: 0 :𝑥 𝑦 𝑒𝑥𝑝 𝑥 𝑙𝑛 ; 𝑥 ⟺ 𝑥 𝑦
a) Propriétés
) 𝑙𝑖𝑚 : 𝑒 ∞ )𝑙𝑖𝑚 ; 𝑥𝑒
𝑒
)𝑙𝑖𝑚 ; 𝑒 )𝑙𝑖𝑚 : ∞
𝑒
)𝑙𝑖𝑚 : ∞ ) 𝑙𝑖𝑚 ; 𝑒 𝑥
𝑒 ; :
7)𝑙𝑖𝑚 : :
(F.I)
(𝑒 ; )′ 𝑒
𝑙𝑖𝑚 : ( )′
𝑙𝑖𝑚 : ∞
𝑒 ; 0
8) 𝑙𝑖𝑚 0 0
(F.I)
(𝑒 ; )′ 𝑒
𝑙𝑖𝑚 0 𝑙𝑖𝑚 0
( )′
𝑥 𝑒
𝑒
𝑙𝑖𝑚 ; (𝑥 𝑒 ) 𝑙𝑖𝑚 ; 𝑒
(F.I)
′ ;
𝑙𝑖𝑚 ; (𝑥 𝑒 ) 𝑙𝑖𝑚 (𝑒 )′
=𝑙𝑖𝑚 ; ;𝑒 ;
;
10) 𝑙𝑖𝑚 𝑒 ;
𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑒
49
11) 𝑙𝑖𝑚 0 (𝑥 𝑙𝑛 𝑥)
:
Si 𝑥 , (𝑥 𝑙𝑛 𝑥) est de F.I. ( ∞)
;
𝑙𝑖𝑚 0 (𝑥 𝑙𝑛 𝑥) 𝑙𝑖𝑚 0 𝑙𝑖𝑚 0 𝑙𝑖𝑚 0 ( )
( 𝑥) ;
𝑙𝑖𝑚 0
Pour étudier une fonction exponentielle, on suit les mêmes étapes que celles
suivies lors de l’étude de la fonction à une variable réelle
D - ∞ ∞,
𝑓( 𝑥 ) 𝑒
𝑓( 𝑥 ) 𝑒;
𝑙𝑖𝑚 ; 𝑒 𝑒; :
, existe et a pour équation
𝑙𝑖𝑚 : 𝑒 𝑒: ∞
(𝒆𝒙 ) 𝒆𝒙
Si 𝑥 , 𝑦 𝑒
9°) Graphe
52
Exercices
𝑒 √𝑒
𝑒 𝑒 √𝑒
𝑒 𝑒
a) 𝑓(𝑥 ) 𝑥𝑒
𝑒 ;
b) 𝑓(𝑥 ) 𝑒
c) 𝑓(𝑥 ) 𝑒 𝑥
d) 𝑓(𝑥 ) 𝑥 𝑒
a) Définition
Remarques importantes :
𝑔
1°) 𝑙𝑜𝑔 𝑥 et 𝑦
2°) 𝑥 𝑒 𝑒 𝑒
( ) ( )
D’une façon générale, 𝑒
53
b) Propriétés
:
1°)
;
2°)
; ;
3°)
4°) 𝑛 ℚ:( )
c)Dérivation
( )′ (𝑒 )′ (𝑥 )′ 𝑒 𝑒
( )′ 𝑒
( ) ′
En générale( ) 𝑢′ (𝑥 ) ( )
Exemple :
9
𝑓( 𝑥 )
𝑓 ′ (𝑥 ) ( 𝑥 )′ 9
𝑙𝑛
9
𝑥 𝑙𝑛
Lorsque l’exposant d’une fonction 𝑢(𝑥) est une autre fonction 𝑣(𝑥), on
recourt à la dérivée logarithmique pour sa dérivation.
54
d) Limites
-Limites de référence
>
:
) :
:
2) 0 𝑥 𝑥
:
3) : 𝑒
|𝑥| 𝑒 :
4) ;
:
5) 𝑒
.
Conséquences
On sait que est un nombre réel supérieur à , si > ,la fonction 𝑒𝑥𝑝 est
strictement croissante et ∞
:
Démonstration
∞ 𝑠𝑖 >
𝑒 𝑒: 2
: : 𝑠𝑖 < <
𝑠𝑖 >
𝑒 𝑒; 2
; ; ∞ 𝑠𝑖 < <
1°) 𝑓 :- ∞ ∞,
𝑒𝑛 ∞ 𝑠𝑖 < <
A.H≡ 𝑦 2
𝑒𝑛 ∞ 𝑠𝑖 >
4°) 𝑓 ′ (𝑥 )
5°) 𝑓 ′′ (𝑥) ( ) > alors la concavité est tournée vers le haut (vers
les ordonnées positives)
a) >
56
b) < <
𝑦
7°) 𝐶 ∶{ pas d’intersection avec ox.
p ss
𝑥
𝐶 𝑜𝑦 ∶ {
𝑦
8°)
Exemples
√ √
𝑥 𝑥
2 3
58
:
2. Résoudre, dans , (1)
(1) ( )
(2)
Posons : 𝑦 (2) 𝑦 𝑦
Or, 𝑥 >
D’où 𝑥 * +
; ; ;
3. Résoudre dans , (1)
Bien que cette équation soit longue, nous constatons que toutes les
exponentielles qui y interviennent ont pour base 2 et sont toutes exprimables
en fonction de ;
;
D’où
; ;
59
;
; ;
; ; ; ;
Dans (1), on a
; ( )
; 0
D’où 𝑥 𝑥
𝑆 * +
; ; ; ;
4. Résoudre dans , (1)
; ; ;( ; ) ;( ; ) ; ;
ou encore
; ;
Exprimons en fonction de :
; ; ;
; ;
D’où (1)
; ;
;
60
, ; - ( ; ) ;
(2)
(2) (𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑥
𝑆 * +
En observant l’équation (1), nous constatons qu’elle est une équation bicarrée
en 𝑒
Posons 𝑦 𝑒 ( ) 𝑦 𝑦
(𝑦 )(𝑦 ) 𝑦 𝑜𝑢 𝑦
𝑦 𝑒 𝑥 𝑥
𝑦 𝑒 𝑥 𝑥
𝑆 * +
Exercices
a) 𝑓(𝑥 ) 𝑥 au point 𝑥0
b) 𝑓(𝑥 ) au point 𝑥 0
𝑒
c) 𝑓(𝑥 ) 𝑒 ;
au point 𝑥0
:
a)
:
b)
c)
:
d)
e) ( ) ( )
9
:
f)
g) (𝑥 𝑥 ) ( 𝑥)
;
h) ;
i) (𝑥 ) (𝑥 )
j) 𝑒 𝑒;
k) ; ;
l) 𝑥 √𝑥 (√𝑥)
m)
a) 2 𝑒 𝑒
𝑒 𝑒
b) 2 𝑒 𝑒
𝑒 𝑒
𝑥 𝑙𝑛 𝑦 𝑙𝑛 𝑙𝑛
c) {
𝑥𝑙𝑛 𝑦 𝑙𝑛 𝑙𝑛
62
𝑥𝑦
d) 8 𝑙𝑛
𝑙𝑜𝑔𝑥 𝑙𝑜𝑔𝑦
e) {
𝑙𝑜𝑔
(𝑥 𝑦 )
f) {
. /
: ; : ;
1)
; ;
2)
;
3)𝑒 𝑒 𝑒
𝑒 𝑦
4) {
𝑒 𝑦
5) ( 𝑥 ) ( 𝑥 ) ( 𝑥 )
6) ( 𝑒 𝑒 ) 𝑥
𝑥 𝑦
7) {
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 𝑒
8) {
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
9) {
𝑥 𝑦
𝑥𝑦 𝑥 𝑦
10) {
(𝑥 ) 𝑦 )
63
11) 2 𝑒 𝑒
𝑒 𝑒
𝑒 𝑒
12) 2
𝑒 𝑒
𝑒 𝑦
13) {
𝑒 𝑦
;
14) { :
: ;
𝑒 𝑒
15) {
𝑥 𝑦 (𝑥 ) (𝑦 )
16) 𝑒 𝑒
17) 𝑒 𝑒
18) 𝑒 𝑒;
: : :
19) 𝑒 𝑒 𝑒
20) 𝑒 ( 𝑒) 𝑒; :
21) 𝑒 ; 𝑒; 𝑒
( )
22) 𝑒 𝑒
23) 𝑒 𝑒
24) 𝑒 𝑒;
𝑒 ; 𝑒 :
25) 𝑒 ;
< 𝑒 ;
26) 2 𝑒 𝑒
𝑒 𝑒
64
:
𝑒
27) 8 𝑒 ;
(𝑥 𝑦) (𝑥 )
28) { ; :7
𝑒 𝑒
𝑒 𝑦
29) {
𝑒 𝑦
𝑥 𝑦
30) 8
𝑒
𝑒
1) 𝑓(𝑥 ) 𝑥 𝑒
𝑒
2) On considère la fonction numérique 𝑓(𝑥 ) 𝑥 (𝑒 ; )
3) 𝑓 (𝑥 ) (𝑒 𝑒 )
)𝑓(𝑥) 𝑥 (𝑥 )
65
5) 𝑓(𝑥) 𝑥 𝑥
;
6) 𝑓(𝑥) 𝑥
3°) Calculer les limites aux bornes du domaine et établir les équations
cartésiennes des asymptotes éventuelles à la courbe 𝐶 de 𝑓
:
8) 𝑓(𝑥) 𝑥 𝑒
9) 𝑓(𝑥) 𝑒
:
10) 𝑓(𝑥)
66
SEMAINE 5
III.1. DEFINITION
𝑦 𝑑𝑦
𝑦 𝑥 𝑑𝑦 𝑑𝑥
Si u, v, w sont des fonctions d’une même variable
𝑦 𝑢 𝑣 𝑤 𝑑𝑦 𝑑𝑢 𝑑𝑣 𝑑𝑤
𝑦 𝑢 𝑑𝑦 𝑑𝑢
𝑦 𝑢 𝑣 𝑑𝑦 𝑣 𝑑𝑢 𝑢 𝑑𝑣
𝑦 𝑣 ,𝑛 𝑑𝑦 𝑛 𝑣 ; 𝑑𝑣
Conséquence : 𝑦 𝑥 𝑑𝑦 𝑛 𝑥 ; 𝑑𝑥
;
𝑦 𝑑𝑦
𝑦 0 𝑑𝑦
𝑦 s 𝑢 𝑑𝑦 s 𝑢 𝑑𝑢
𝑦 s𝑢 𝑑𝑦 s 𝑢 𝑑𝑢
𝑦 t 𝑢 𝑑𝑦 ( 𝑡 𝑛 𝑢) 𝑑𝑢
𝑦 𝑜𝑡 𝑛 𝑢 𝑑𝑦 (
𝑜𝑡 𝑛 𝑢) 𝑑𝑢
67
𝑦 𝑟 s 𝑢 𝑑𝑦 √ ;
𝑦 𝑟 s𝑢 𝑑𝑦 √ ;
𝑦 𝑟 t 𝑢 𝑑𝑦 :
𝑦 𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑢 𝑑𝑦 :
Les différentielles sont surtout utilisées dans les calculs approchés ou dans les
calculs d’erreurs. Voici quelques exemples.
𝑑𝑠 𝑚 𝑚 𝑚
𝑓( 𝑥 𝑑𝑥 ) ≅ 𝑓 (𝑥) 𝑑𝑓(𝑥)
𝑑𝑓(𝑥) ( 𝑥 )𝑑𝑥
68
Si nous prenons 𝑥 𝑑𝑥
𝑓( ) 𝑓( ) ( )
𝑓( )
𝑓( )
𝑓( )
𝑓( 𝑥 𝑑𝑥 ) ≅ 𝑓 (𝑥) 𝑑𝑓(𝑥)
𝑓( 𝑥 ) √𝑥 , d’où 𝑑𝑓 (𝑥 ) 𝑑𝑥
√
𝑥 𝑑𝑥 𝑓( )≅√ ≅ ≅
√
𝑠é √ 𝑒𝑡 𝑟𝑑
Ici, 𝑓(𝑥 ) 𝑡 𝑛𝑥 𝑥 𝑑𝑥 𝑟𝑑
𝑓( 𝑥 ) t 𝑥 𝑑𝑓(𝑥) 𝑑𝑥 𝑠é 𝑥 𝑑𝑥
𝑜𝑠 𝑥
𝑡 𝑛( ) 𝑡 𝑛 𝑡 𝑛 𝑠é 𝑑𝑥
𝑡 𝑛 (√ )
𝑡 𝑛
Pour vérifier ce résultat on peut calculer la tangente de l’angle donné par une
machine ou lire le résultat dans une table des valeurs naturelles.
EXERCICES
b) 𝑦 √ 𝑥
c) 𝑦 𝑥 s𝑥
;
d) 𝑦 √ :
3. Etant donné sin 60° =0,86603, cos 60°=0,5 ; 1°= 0,01745 rd, utiliser les
différentielles pour calculer, avec 4 décimales, les valeurs suivantes :
a) sin 62°
b) cos 58°
;
4. En utilisant les différentielles, on trouve une valeur approchée à près
par défaut de :
a) √
b) 9
c) √ .
71
IV.1. DEFINITION
Notation :∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 (𝑥 )
Exemples :
; ;
La dérivée de est ; est une primitive de
Exemples
1.𝑓(𝑥) 𝑥 (𝑥 ) 𝑥
72
2.𝑓(𝑥) s 𝑥 (𝑥 ) s𝑥
′ :
3.𝑓(𝑥) ;
(𝑥 ) |𝑥 | avec 0
|𝑥 | ′ |𝑥 | | (𝑥 )|
IV.3. NOTATION
(𝑥 ) ∫ 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥
Remarques
1. ,∫ 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥 - 𝑓(𝑥)
1. si ,∫ 𝑓 (𝑥 )𝑑𝑥 ∫ 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥
a) Forme générale
1.∫ 𝑑𝑥 𝑥
2.∫ 𝑘𝑑𝑥 𝑘 ∫ 𝑑𝑥 𝑘𝑥
3.∫ 𝑥 𝑑𝑥 𝑛 (𝑛 )
:
4. ∫ 𝑥 𝑑𝑥 :
+c ; 𝑛 (𝑛 )
:
1.∫ |𝑥|
2.∫ 𝑒 𝑑𝑥 𝑒
3. ∫ 𝑒 𝑑𝑥 𝑒
c) Forme trigonométrique
1.∫ s( 𝑥 ) 𝑑𝑥 s ( 𝑥 )
2.∫ s ( 𝑥 ) 𝑑𝑥 s( 𝑥 )
3.∫ t 𝑥
4.∫ t 𝑥
74
d) Forme cyclométrique
1.∫ √ ;
𝑟 s 𝑥
2.∫ :
𝑟 t 𝑥
∫( 𝑓 (𝑥 ) ± 𝑓 (𝑥 )± ± 𝑓 (𝑥))𝑑𝑥
Exemples :
1) ∫( 𝑥)𝑑𝑥 ∫ √ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑥𝑑𝑥
√
;
∫𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑥 ; 𝑑𝑥
75
𝑥; :
𝑥; :
𝑥
𝑥 𝑥; 𝑥
√𝑥 𝑥
2) 𝐼 ∫ 𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ ( 𝑜𝑠 𝑥) 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
𝐼 𝑡𝑔 𝑥 𝑥
:
3) 𝐼 ∫ ∫ 𝑑𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑡𝑔 𝑥
𝐼 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑡𝑔 𝑥
cos
4) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑑𝑥 ∫. / 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 s 𝑥
𝐼 𝑥 s 𝑥
cos
5) 5) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑑𝑥 ∫. / 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 s 𝑥
𝐼 𝑥 s 𝑥
76
6) 𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ ( 𝑠𝑖𝑛 𝑥) 𝑑𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
𝐼 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑥
7) 𝐼 ∫. / 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫√ 𝑑𝑥 𝑟 𝑡𝑔 𝑥
√ : ;
𝑟 s 𝑥
𝐼 𝑟 𝑡𝑔 𝑥 𝑟 s 𝑥
Exemples
1) 𝐼 ∫ (𝑥 )𝑥 𝑑𝑥
𝐼 ∫ 𝑡𝑑𝑡 .
𝐼 ∫ (𝑥 )𝑥 𝑑𝑥 (𝑥 )
;
2) 𝐼 ∫( ; : )
𝑑𝑥
77
; ;
𝐼 ∫( ; : )
𝑑𝑥 ∫ ;
; ;
Retour à la variable de départ : 𝐼 ∫( ; : )
𝑑𝑥 ( ; : )
3)𝐼 ∫ 𝑥√𝑥 𝑑𝑥 ∫ √𝑥 𝑥 𝑑𝑥
∫ 𝑥√𝑥 𝑑𝑥 ∫ √𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
√𝑡
4) 𝐼 ∫ √ ;
𝑑𝑥 Posons : 𝑡 𝑟 s 𝑥 𝑑𝑡 ( 𝑟 s 𝑥) 𝑑𝑥
𝑑𝑡 √ ;
En substituant on obtient :
𝐼 ∫ √ ;
𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
𝒂 𝒄 𝒏 𝒙
𝐼 ∫ √ ;
5) 𝐼 ∫ t 𝑥 𝑑𝑥 ∫ co
Posons : 𝑡 s 𝑥 ; 𝑑𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥
78
En substituant, on a :
𝐼 ∫ ∫ |𝑡|
co
𝐼 ∫ co
𝑙𝑛| 𝑜𝑠𝑥 | 𝑙𝑛 |co |
𝑒
6) 𝐼 ∫𝑒 :
Posons : 𝑡 𝑒 𝑑𝑡 𝑒 𝑑𝑥
𝐼 ∫ 𝑟 t 𝑡
:
𝑒
Retour à la variable de départ : 𝐼 ∫𝑒 :
𝑟 t 𝑒
7) 𝐼 ∫ :
Posons 𝑡 𝑥 𝑑𝑡 𝑥𝑑𝑥 ; 𝑥𝑑𝑥
En substituant, on obtient :
∫ :
∫ 𝑙𝑛|𝑡|
Retour à la variable : 𝐼 ∫ 𝑙𝑛 |𝑥 |
:
∫𝑥 𝑒 𝑑𝑥 ∫ 𝑒 𝑑𝑢 𝑒
Retour à la variable : 𝐼 ∫𝑥 𝑒 𝑑𝑥 𝑒
9) 𝐼 ∫s 𝑥 𝑑𝑥 Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑢
∫s 𝑥 𝑑𝑥
7
∫s 𝑢 𝑑𝑢
7
s𝑢
79
Retour à la variable : 𝐼 ∫s 𝑥 𝑑𝑥 7
s 𝑥
∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑢 𝑑𝑢 7
EXERCICES
1)∫( 𝑥) 𝑑𝑥 21)∫ √ ;
2)∫ 𝑑𝑥 22)∫ ( )
√ : :
⁄
3)∫( 𝑥 ) 𝑑𝑥 23)∫ 𝑑𝑥
4)∫ 24)∫
√ : :
5)∫ 25)∫ 𝑥𝑒 𝑑𝑥
( : )
6)∫ 𝑥( 𝑥 ) 𝑑𝑥 26)∫ 𝑥 𝑒 ; 𝑑𝑥
7)∫ 𝑥√ 𝑥 𝑑𝑥 27)∫ 𝑒 co s 𝑥 𝑑𝑥
𝑒
8)∫ ( : )
𝑑𝑥 28)∫ 𝑒 :
𝑑𝑥
𝑒 ;𝑒
9)∫( 𝑥 )𝑥 𝑑𝑥 29)𝑒 :𝑒
𝑑𝑥
𝑒
10)∫ 𝑑𝑥 30) ∫ 𝑑𝑥
√ ; 𝑒 :7
80
⁄
11)∫ 𝑥√𝑥 𝑑𝑥 31)∫ 𝑒 𝑑𝑥
12)∫ 𝑥( 𝑥 ) 𝑑𝑥 32)∫
; :
13)∫ 𝑑𝑥 33) ∫ ;
√ : : ;
;
14)∫ 34)∫ 𝑑𝑥
√ ; ; :8
co
15)∫ √ ;
𝑑𝑥 35)∫ :9
𝑑𝑥
16)∫ ( ; )
𝑑𝑥 36) :
19)∫ t 𝑥 𝑑𝑥 39)∫ 𝑑𝑥
20)∫ 40)∫ 𝑒 s 𝑒 𝑑𝑥
81
SEMAINE 6
𝑑 (𝑢 𝑣) 𝑑𝑢 𝑣 𝑢 𝑑𝑣
𝑣 𝑑𝑢 𝑢 𝑑𝑣
𝑢 𝑑𝑣 𝑑(𝑢 𝑣) 𝑣 𝑑𝑢
∫ 𝑢 𝑑𝑣 ∫ 𝑑 (𝑢 𝑣) ∫ 𝑣 𝑑𝑢
⟺ ∫ 𝑢 𝑑𝑣 𝑢𝑣 ∫ 𝑣 𝑑𝑢
-le produit d’un polynôme par une exponentielle ou par un logarithme ou par
une fonction trigonométrique ou par une fonction cyclométrique.
-le produit d’une exponentielle par une fonction trigonométrique ou par une
fonction logarithmique.
Règles :
𝑜𝑠 𝑥
𝑠𝑖𝑛 𝑥
1) ∫ 𝑝( 𝑥 ) , - 𝑑𝑥 , on pose 𝑢 𝑝(𝑥)
𝑡 𝑛𝑥
𝑜𝑡 𝑛 𝑥
𝑟 𝑜𝑠 𝑥 𝑟 𝑜𝑠 𝑥
𝑟 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑟 𝑠𝑖𝑛 𝑥
2) ∫ 𝑝( 𝑥 ) , - 𝑑𝑥, on pose 𝑢 ,
𝑟 𝑡 𝑛𝑥 𝑟 𝑡 𝑛𝑥
𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑥 𝑟 𝑜𝑡 𝑛 𝑥
82
4) ∫ 𝑝( 𝑥 ) 𝑒 𝑑𝑥 , on pose 𝑢 𝑝(𝑥)
5) ∫𝑒 𝑙𝑛 𝑥 𝑑𝑥, on pose 𝑢 𝑙𝑛 𝑥
𝑜𝑠 𝑥
𝑠𝑖𝑛 𝑥
6) ∫𝑒 , - 𝑑𝑥 le choix est libre.
𝑡 𝑛𝑥
𝑜𝑡 𝑛 𝑥
Exemples
1) 𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑣 ∫s 𝑥 𝑑𝑥
𝑣 s𝑥
∫ 𝑢 𝑑𝑣 𝑥 s𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 s𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 s𝑥 s 𝑥
2) 𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑥𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
𝐼 𝑥 s 𝑥 ∫s 𝑥 𝑥𝑑𝑥
𝑥 s 𝑥 ∫ 𝑥⏟s 𝑥 𝑑𝑥
83
𝐼 ∫ 𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑣
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s𝑥
𝐼 𝑥 s𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 s𝑥 s 𝑥
𝐼 ∫𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 s 𝑥 𝑥 s𝑥 s 𝑥
1) 𝐼 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
Cette primitive ne rentre pas dans les types déjà traités. Nous pouvons
considérer l’intégrand comme produit de deux fonctions 𝑢 𝑥 et 𝑣 telle
′
que 𝑣
𝐼 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢
𝑣′ 𝑑𝑣 𝑑𝑥 𝑣 𝑥
∫ 𝑢𝑑𝑣 𝑢𝑣 ∫ 𝑣 𝑑𝑢
∫ 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 𝑥 ∫𝑥 𝑥 𝑥 ∫ 𝑑𝑥
𝐼 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
2) 𝐼 ∫𝑥 𝑥 𝑑𝑥
Posons : 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 𝑥𝑑𝑥 𝑣
𝐼 𝑥 ∫ 𝑑𝑥 𝑥 ∫ 𝑥𝑑𝑥
84
𝐼 ∫𝑥 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 𝑥
𝑑𝑣 𝑒 𝑑𝑥 𝑣 𝑒
𝐼 𝑥 𝑒 ∫ 𝑒 𝑥𝑑𝑥
𝑥 𝑒 ∫𝑥 𝑒 𝑑𝑥
Calculons 𝐼 ∫ 𝑥𝑒 𝑑𝑥
Posons 𝑡 𝑥 𝑑𝑡 𝑑𝑥
𝑑𝑣 𝑒 𝑑𝑥 𝑣 𝑒
𝐼 𝑥𝑒 ∫ 𝑒 𝑑𝑥
𝑥𝑒 𝑒
𝐼 𝑥 𝑒 𝐼
𝐼 𝑥 𝑒 𝑥𝑒 𝑒
𝐼 ∫𝑥 𝑒 𝑑𝑥 𝑒 ( 𝑥 𝑥 )
85
Exemples :
1) 𝒇(𝒙) ( 𝟒𝒙: ) 𝟑
∫ (𝟒𝒙: )𝟑
𝒅𝒙
On pose 𝑥 𝑢 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝒅
𝑑𝑥
𝟒
∫( : )
𝑑𝑥 ∫ ∫ 𝑢 ; 𝑑𝑢 ( ) ;
.
Retour à la variable 𝒙
∫ (𝟒𝒙: )𝟑
𝒅𝒙 (𝟒𝒙 )
𝒄
𝒅𝒙
2) ∫ 𝟒𝒙:
On pose 𝑥 𝑢 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝒅
𝑑𝑥
𝟒
𝑑𝑥
∫ ∫ 𝑙𝑛 𝑢
𝑥
Retour à la variable 𝑥
86
∫ :
𝑙𝑛 | 𝑥 | .
𝒂𝒙:𝒃
b) Fonction de la forme 𝒇(𝒙) 𝒏 ∖* +
(𝒂𝒙 :𝒃𝒙:𝒄 )
𝑑𝑡 ( 𝑥 )𝑑𝑥
( 𝒂𝒙:𝒃)𝒅𝒙
D’où ∫ ( 𝒏 ∫
𝒂𝒙 :𝒃𝒙:𝒄 ) ; :
( 𝑥 )𝑑𝑥 ( 𝑥 𝑥 ); :
∫
( 𝑥 𝑥 ) 𝑛
:7
Exemple :𝐼 ∫( )
𝑑𝑥 poser 𝑥 𝑥 𝑡 𝑑𝑡
:7 :
( 𝑥 )𝑑𝑡
𝑑𝑡 ;
𝑡;
𝐼 ∫ ∫𝑡 𝑑𝑡
𝑡 (𝑥 𝑥 )
: :
2)𝐼 ∫ 𝑑𝑥
. : : : /
𝑝( 𝑥 )
𝒂𝒙 :𝒃𝒙:𝒄
> , 𝑥 𝑥 (𝑥 𝑥 )(𝑥 𝑥 )
Décomposons
(𝑥 𝑥 ) (𝑥 𝑥 )
( *
(𝑥 𝑥 )(𝑥 𝑥 ) 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 (𝑥 𝑥 )(𝑥 𝑥 )
87
( :𝐵) ; ;𝐵
( ; )( ; ) ( ; )( ; )
≡( )𝑥 𝑥 𝑥
{
𝑥 𝑥
𝑑𝑥
∫ ∫( * 𝑑𝑥
𝒂𝒙 𝒃𝒙 𝒄 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
, |𝑥 𝑥 | |𝑥 𝑥 |-
Exemple
𝑑𝑥
∫
𝒙 𝟓𝒙 𝟒
Décomposons
𝐵 ( ; ) :𝐵( ; )
( ; )( ; ) ; ; ( ; )( ; )
; :𝐵 ; 𝐵 ( :𝐵) ; ; 𝐵
( ; )( ; ) ( ; )( ; )
2 2 2 ,
∫ ; :
∫ ;
∫ ;
|𝑥 | |𝑥 |
;
| ;
|
88
Exemple
)𝐼 ∫ : :
∫ ∫ ∫ ∫
. : / ; : . : / : [ . : / : ] . : / :
∫
0 . : /1 :
√
√
√
Posons .𝑥 / 𝑡 𝑑𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑡 𝐼 ∫ :
𝑑𝑡
√ √
√
∫ :
∫ :
𝑟 𝑡𝑔𝑡 𝑟 𝑡𝑔 .𝑥 /
√ √ √ √
2)I ∫ : :
∫ ∫ ∫
. : : / : : . : / ; :
8 8
∫ ∫ ∫ ∫
. : / : [ . : / : ] . : / : 0 . : /1 :
√
√
Posons .𝑥 / 𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑡
√ √
√
√ 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑟 𝑡𝑔 (𝑥 *
𝑡 𝑡 √ √
Formule :
𝑑𝑥
𝑟 𝑡𝑔 ( 𝑥 )
𝑥 𝑥 √ √
∫ 𝑜𝑢
𝑟 𝑡𝑔 ( 𝑥 ) )
√ √
89
EXERCICES
1) I ∫ : :
2) I ∫ : :
:
3) I ∫ ∫ 𝑑𝑥
; : : :
4) I ∫ : :
:
e)La forme 𝑓(𝑥) : :
( < )
:
I ∫ 𝑑𝑥
: :
: : ; :
I ∫ : :
𝑑𝑥 ∫ : :
𝑑𝑥 ∫ : :
𝑑𝑥 ∫ : :
𝑑𝑥
. /∫ : :
𝑑𝑥 𝑙𝑛|𝑥 𝑝𝑥 𝑞| ( )∫ : :
𝑑𝑥
Exemple
; ;
I ∫ ; :8
𝑑𝑥 ∫ ; :8
𝑑𝑥 ∫ ; :8
𝑙𝑛|𝑥 𝑥 |
∫ ; :8
′
Calculons 𝐼 ∫ ; :8
𝑟 𝑡𝑔 (𝑥 )
√ √
I 𝑙𝑛|𝑥 𝑥 | 𝑟 𝑡𝑔 (𝑥 )
90
EXERCICES
;
1) 𝐼 ∫ : :
𝑑𝑥
:
2) 𝐼 ∫ : :
𝑑𝑥
:
3) 𝐼 ∫ : :
𝑑𝑥
f) Fonction de la forme
𝒏( 𝒙)
(𝒙) ( 𝒙)
𝒅𝒆𝒈 é 𝒅𝒆 (𝒙) 𝒏 𝒅𝒆𝒈 é 𝒅𝒆 (𝒙)
1er cas : 𝒏
Exemple : I ∫ :
𝑑𝑥
𝑥 𝑥
𝐼 ∫ .𝑥 / 𝑑𝑥 𝑙𝑛 (𝑥 )
𝑥
91
Exercices
1)𝐼 ∫ :
𝑑𝑥
2)𝐼 ∫ ;
𝑑𝑥
3) 𝐼 ∫ :
𝑑𝑥
;
4) 𝐼 ∫ :
𝑑𝑥
𝑥
) 𝐼 ∫ 𝑑𝑥
𝑥
: :
6) 𝐼 ∫ :
𝑑𝑥
: :
7)𝐼 ∫ ;
𝑑𝑥
2°cas : 𝒏 < 𝑚
:
Exemple :∫ ( 𝑑𝑥
: )
𝑥 (𝑥 ) (𝑥 ) 𝐶
(𝑥 ) 𝑥 (𝑥 ) (𝑥 ) (𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑥 𝐶
(𝑥 )
𝑥 ( )𝑥 𝐶
(𝑥 )
92
{ {
𝐶 𝐶
𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫[ ] 𝑑𝑥
(𝑥 ) (𝑥 ) (𝑥 )
𝐶
𝑥 (𝑥 )
(𝑥 ) ;
𝑑𝑥
∫ 𝑠𝑖 𝑙𝑛 |𝑥 | 𝑠𝑖
(𝑥 )
:
Exemple :∫ ( : )
𝑑𝑥
Décomposons
𝑥 𝑥 𝐶𝑥 ( 𝑥 )(𝑥 ) 𝐶𝑥
(𝑥 ) 𝑥 (𝑥 ) (𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑥 𝐶𝑥
(𝑥 )
𝑥 𝑥 ( 𝐶 )𝑥
(𝑥 )
{ {
𝐶 𝐶
93
:
∫( : )
𝑑𝑥 ∫. : ( : )
/ 𝑑𝑥 ∫ :
∫( : )
𝑟 𝑡𝑔𝑥
: ;
∫ ( : )
𝑑𝑥 𝑟 𝑡𝑔𝑥 ∫ :
∫( : )
𝑑𝑥 𝑟 𝑡𝑔𝑥 ∫( : )
𝑑𝑥
Calculons ∫ ( : )
𝑑𝑥 ∫( : )
𝑑𝑥
Posons,𝑥 𝑢 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝑥
𝑑𝑥 𝑑𝑣 𝑣
(𝑥 ) 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
(𝑥 ) (𝑥 ) 𝑥 𝑥
𝑥
𝑟 𝑡𝑔 𝑥
𝑥
𝑥 𝑥
∫ 𝑑𝑥 𝑟 𝑡𝑔 𝑥 𝑟 𝑡𝑔 𝑥
(𝑥 ) 𝑥
𝑥
𝑟 𝑡𝑔 𝑥
𝑥
Exercices
1)∫ ( 𝑑𝑥
; )( : )
:
2)∫ ( ; )
𝑑𝑥
:
3)∫ ; ; :
:
4)∫ ( 𝑑𝑥
; )
5)∫ ( ; )
𝑑𝑥
94
6)∫ ( : )
7)∫
;
8)∫ ;8
9)∫ ;
𝑑𝑥
:
10)∫ 𝑑𝑥
:
:
11)∫ ( : )
𝑑𝑥
12)∫ ;( ; )
95
SEMAINE 7
√ 𝑥 p s 𝑡 𝑥
: :
√ :
p s 𝑡 :
Exemple :𝐼 ∫ ;
√ ;
𝑑𝑥
Posons: ;
𝑡 𝑥 :
𝑑𝑥 ( : )
𝑡𝑑𝑡 𝑡 𝑡
𝐼 ∫ 𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡
𝑡 ( 𝑡 ) ( 𝑡 ) 𝑡
𝑡 𝑡
; :
∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑟 𝑡𝑔𝑡
: : :
√ ;
𝑟 𝑡𝑔√ ;
√ √ :
𝑢 𝑢 𝑒𝑡√ 𝑢 𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑛 𝑡𝑖𝑜𝑛
Exemple :
∫√ 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑥 s 𝑧 𝑑𝑥 𝑜𝑠𝑧 𝑑𝑧
s 𝑧 𝑧 𝑟 𝑠𝑖𝑛
∫√ 𝑥 𝑑𝑥 ∫√ s 𝑧 𝑜𝑠𝑧 𝑑𝑧 ∫√ s 𝑧 𝑜𝑠𝑧𝑑𝑧
∫ s 𝑧𝑑𝑧
𝑜𝑠 𝑧 𝑑𝑧
∫ 𝑑𝑧 ∫ ∫ 𝑜𝑠 𝑧𝑑𝑧 𝑧
= 𝑟 𝑠𝑖𝑛 √ 𝑥
2°cas .√ 𝑢
On pose 𝑢 𝑡 𝑛𝑧 𝑜𝑢 𝑜𝑡 𝑛𝑧
Exemple :𝐼 ∫√ 𝑥 dx
√ √ 𝑧
Posons 𝑥 𝑡 𝑛𝑧 𝑑𝑥 co 𝑧
𝑥
t 𝑧 𝑥 𝑧 𝑟 𝑡𝑔 ( * ∫√ 𝑥 𝑑𝑥
√ √
√
∫√ t 𝑧 ( t 𝑧)𝑑𝑧
97
√
∫√ t 𝑧( t 𝑧)𝑑𝑧 ∫ 𝑧 co 𝑧
𝑑𝑧
𝑧 𝑧
∫ co 𝑧
𝑑𝑧 ∫ co 𝑧
𝑑𝑧 ∫( ; 𝑧)
𝑑𝑧
𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝐼 ∫ ∫
( 𝑡 ) ( 𝑡) ( 𝑡)
𝐵 𝐷
Décomposons :( : ) ( ; ) : ( : ) ( ; ) ( ; )
⟺ ≡ ( 𝑡)( 𝑡) ( 𝑡) 𝐶( 𝑡)( 𝑡) ( 𝑡)
( 𝑡)( 𝑡 𝑡 ) 𝑡 𝑡 𝐶( 𝑡)( 𝑡 𝑡 )
𝑡 𝑡
( 𝑡 𝑡 𝑡 ) 𝑡 𝑡 𝐶( 𝑡 𝑡 𝑡 ) 𝑡
𝑡
𝐶
𝐶 𝐶
{ { {
𝐶 𝐶
𝐶 𝐶 𝐶
𝐼 ∫ :
∫( : )
∫ ;
∫( ; ) 8
𝑙𝑛 | 𝑡| 8( : )
8
𝑙𝑛 | 𝑡| 8( ; )
𝑡 𝑡
𝑙𝑛 | |
𝑡 ( 𝑡 )
98
𝑠𝑖𝑛𝑧 𝑠𝑖𝑛𝑧
𝑙𝑛 | |
𝑠𝑖𝑛𝑧 ( s 𝑧)
( 𝑠𝑖𝑛𝑧) 𝑠𝑖𝑛𝑧
𝑙𝑛 | |
s 𝑧 ( s 𝑧)
( s 𝑧) s 𝑧
𝑙𝑛
s 𝑧 s 𝑥
Retour à 𝑥
On sait que s 𝑧 :a 𝑧 :
t 𝑧 𝑥
s 𝑧 s 𝑧
t 𝑧 t 𝑧 𝑥
𝑥 𝑥
( *
𝐼 𝑙𝑛 √ 𝑥 √ 𝑥
[ 𝑥 ] 𝑥
(√ 𝑥 𝑥) 𝑥( 𝑥 )
𝑙𝑛
√ 𝑥
(√ 𝑥 𝑥) 𝑥
𝑙𝑛 √ 𝑥
3°cas :√ 𝑢 𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑢 𝑧
𝑜𝑢 co 𝑧
Exemple :𝐼 ∫√ 𝑥 𝑑𝑥
√ √
Posons 𝑥 co 𝑧
s𝑧
√ s 𝑧
𝑑𝑥 𝑑𝑧
s 𝑧
99
√ √ s 𝑧 √ s 𝑧
𝐼 ∫√ 4 5 𝑑𝑧 ∫√ 𝑑𝑧
s 𝑧 s 𝑧 s 𝑧 s 𝑧
s 𝑧 s 𝑧
∫√ 𝑑𝑧 ∫ √t 𝑧 𝑑𝑧
s 𝑧 s 𝑧 s 𝑧
s 𝑧 s 𝑧
∫ 𝑑𝑧 ∫ 𝑑𝑧 ∫ 𝑑𝑧 ∫ 𝑑𝑧
s 𝑧 s 𝑧 s 𝑧 s𝑧
√
4 : 5
𝑧 ( : 𝑧) 𝑧 √ ;
Calcul de ∫ co 𝑧 8
𝑙𝑛 co 𝑧 8 co 𝑧 8
𝑙𝑛 8
( :√ ; )
8
𝑙𝑛 √ 𝑥
𝑧 co 𝑧 co 𝑧 𝑧
∫ co ∫ co 𝑑𝑧 ∫
𝑧 𝑧 ; 𝑧
Posons s 𝑧 𝑡 𝑑𝑡 s 𝑧 𝑑𝑧
co 𝑧 𝑧
∫ ∫
; 𝑧 ;
𝐵
Décomposons ( ; )( : ) : ;
On trouve
s 𝑧 𝑑𝑧 𝑑𝑡
∫ ∫
s 𝑧 𝑡
𝑑𝑡 𝑑𝑡
∫ ∫ 𝑙𝑛 | 𝑡| 𝑙𝑛 | 𝑡|
𝑡 𝑡
( 𝑡)
𝑙𝑛 | |
𝑡
100
( s 𝑧)
𝑙𝑛
s 𝑧
( 𝑥 √ 𝑥 ) 𝑥 ( 𝑥 √ 𝑥 )
𝐼 𝑙𝑛 √ 𝑥 𝑙𝑛
( 𝑥 √ 𝑥 ) 𝑥
𝑙𝑛 √ 𝑥
Exercices
𝑑𝑥
1)∫
√ :
2)∫
√ ;
3)∫ √ 𝑥
4)∫
√ 0 ; ; 9
5)∫
√ ; ; 0
;
6)∫ √ 𝑑𝑥
101
a. Rappels
1) 𝑜𝑠 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥
;co ( )
2) 𝑠𝑖𝑛 𝑢(𝑥 )
:co ( )
3) 𝑜𝑠 𝑢 (𝑥 )
4) 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑜𝑠𝑒 𝑥
5) 𝑡 𝑛 𝑥 𝑠𝑒 𝑥
6) s s , s( ) s( )-
7)s s , s( ) s( )-
8)s s ,s ( ) s ( )-
b. Application
:co
1) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥
2) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ , s( 𝑥 𝑥) s( 𝑥 𝑥 )- 𝑑𝑥
∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥
3) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ∫ , s( 𝑥 𝑥) s( 𝑥 𝑥 )- 𝑑𝑥
∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
102
𝑠𝑖𝑛 𝑥 0
𝑠𝑖𝑛 𝑥
4) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ,s ( 𝑥 𝑥) s ( 𝑥 𝑥 )- 𝑑𝑥
𝑜𝑠𝑥 0
𝑜𝑠 𝑥
103
EXERCICES
1)𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
2)𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
3) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
4) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
5) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
6) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
7) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
a) pair
Exemples :
𝟒 :co
1) 𝑰 ∫𝒄 𝒙 𝒅𝒙 ∫(𝒄 𝒙) 𝒅𝒙 ∫. / 𝒅𝒙
∫( s 𝑥 𝒄 𝒙)𝒅𝒙
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫( 𝑜𝑠 𝑥) 𝑑𝑥
𝑥 s 𝑥 𝑥 s 𝑥
𝑥 s 𝑥 s 𝑥
104
;co
2) 𝑰 ∫ 𝒏𝟒 𝒙 𝒅𝒙 ∫( 𝒏 𝒙) 𝒅𝒙 ∫. / 𝒅𝒙
∫( s 𝑥 𝒄 𝒙) 𝒅𝒙
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫( 𝑜𝑠 𝑥) 𝑑𝑥
𝑥 s 𝑥 𝑥 s 𝑥
𝑥 s 𝑥 s 𝑥
b) impair
Exemples
1) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
∫( 𝑠𝑖𝑛 𝑥) 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑢 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝑑𝑢
𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑢
𝐼 ∫( 𝑢 ) ∫( 𝑢 ) 𝑑𝑢
𝑢 𝑢
Retour à la variable 𝑥
𝐼 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 s 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥
105
∫( 𝑜𝑠 𝑥) 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
𝑜𝑠 𝑥 𝑢 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑢
𝐼 ∫( 𝑢 ) 𝑑𝑢
∫ 𝑑𝑢 ∫ 𝑢 𝑑𝑢 ∫ 𝑢 𝑑𝑢
𝑢
𝑢 𝑢
Retour à la variable 𝑥
𝑜𝑠 𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 s𝑥 𝑜𝑠 𝑥
∫ 𝑡 𝑛 𝑥𝑠𝑒 𝑥𝑑𝑥 ∫ 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
106
Posons t 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑥 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑠𝑒 𝑥 𝑡 𝑛 𝑥 𝑡
𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫
𝑡
𝑡
𝑡 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
Retour à la variable 𝑥
𝑡 𝑛 𝑥
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 t 𝑥 𝑟 𝑡𝑔 (t 𝑥)
𝑡 𝑛 𝑥
t 𝑥 𝑥
2) 𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥𝑡 𝑛 𝑥𝑑𝑥
∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑠𝑒 𝑥𝑑𝑥 ∫(𝑠𝑒 𝑥 )t 𝑥 𝑑𝑥
∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑠𝑒 𝑥𝑑𝑥 ∫t 𝑥𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫t 𝑥 𝑑𝑥
Posons t 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑥 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑠𝑒 𝑥 𝑡 𝑛 𝑥 𝑡
𝑡 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫
𝑡
107
𝑡 𝑡
( 𝑡 )
Retour à la variable 𝑥
𝑡 𝑛 𝑥 𝑡 𝑛 𝑥
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ( 𝑡 𝑛 𝑥)
Posons t 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑥 𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑡
𝑡 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫
𝑡
𝑡
( 𝑡 )
Retour à la variable 𝑥
𝑜𝑡𝑔 𝑥
𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ( 𝑜𝑡𝑔 𝑥 )
Or , 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑜𝑠𝑒 𝑥
;
Posons t 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑡
𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫
𝑡
𝑡
𝑡 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
Retour à la variable 𝑥
𝑜𝑡𝑔 𝑥
𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 t 𝑥 𝑟 𝑡𝑔 ( t 𝑥)
𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑥
Remarque :
𝑚
- Pour ∫ 𝑡 𝑛𝑚 𝑥 𝑑𝑥 , on la transforme en ∫ 𝑚
𝑑𝑥 , puis on pose
𝑜𝑠 𝑥 𝑡
𝑚
- Pour ∫ 𝑜𝑡𝑔𝑚 𝑥 𝑑𝑥, on a : ∫ 𝑚 𝑑𝑥 , on pose 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑡
Exemples.
1) 𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
( ; )
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
109
On pose 𝑜𝑠 𝑥 𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑡
s 𝑥 𝑑𝑥 𝑑𝑡
( ; )
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ∫ ∫ ∫ 𝑡 ; 𝑑𝑡 𝑙𝑛 |𝑡|
Retour à la variable 𝑥
𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑙𝑛 | 𝑜𝑠 𝑥| 𝑘
𝑜𝑠 𝑥
( 𝑡𝑛 𝑥) 𝑙𝑛 | 𝑜𝑠 𝑥| 𝑘
𝑡𝑛 𝑥 𝑙𝑛 | 𝑜𝑠 𝑥| 𝑘
Posons, de nouveau 𝑘
On obtient : 𝐼 ∫ 𝑡 𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑡𝑛 𝑥 𝑙𝑛 | 𝑜𝑠 𝑥|
( ; )
2) 𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
On pose 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑡
110
SEMAINE 8
a) est pair
Exemple :
1) 𝑰 ∫ 𝒆𝒄𝟒 𝒙 𝒅𝒙 ∫( ) 𝒅𝒙 ∫( 𝑡 𝑛 𝑥) 𝒅𝒙
On pose t 𝑥 𝑡 𝑥 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑡
( 𝑡 ) 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ∫( 𝑡 )𝑑𝑡
𝑡
∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
𝟑
𝑡
Retour à la variable 𝒙
𝐼 ∫ 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 𝑡 𝑛𝑥 𝑡 𝑛 𝑥
2) 𝑰 ∫𝒄 𝒆𝒄𝟒 𝒙 𝒅𝒙 ∫( ) 𝒅𝒙 ∫( 𝑜𝑡𝑔 𝑥) 𝒅𝒙
On pose t 𝑥 𝑡 𝑥 𝑟 𝑜𝑡𝑔 𝑡
111
𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑡
( 𝑡 ) 𝑑𝑡
𝐼 ∫ 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ∫( 𝑡 )𝑑𝑡
𝑡
∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
𝑡
𝑡
Retour à la variable 𝒙
I ∫s t t
a) est impair
Exemple :
𝒄 𝒙 𝒄 𝒙
1)𝑰 ∫ 𝒆𝒄𝟑 𝒙 𝒅𝒙 ∫𝒄 𝟑𝒙 𝒅𝒙 ∫𝒄 𝟒𝒙 𝒅𝒙 ∫( ; 𝒏 𝒙)
𝒅𝒙
On pose 𝒏𝒙 𝑑𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑡 𝑑𝑡
∫ 𝒆𝒄𝟑 𝒙 𝒅𝒙
( 𝑡 ) ( 𝑡) ( 𝑡)
Décomposons la fraction ( ; ) ( : )
en une somme de fractions simples.
𝐵 𝐶 𝐷
Posons
( ; ) ( : ) ; ( ; ) : ( : )
( 𝑡) ( 𝑡)
( 𝑡)( 𝑡) ( 𝑡) 𝐶( 𝑡)( 𝑡) ( 𝑡)
( 𝑡) ( 𝑡)
112
Ce qui conduit à :
𝑪
𝟒 𝟒
𝐶 (**)
𝟗
𝟗 𝟑𝑪
𝟒 𝟒
𝟔
𝐶
𝟒
𝐶 (***)
𝐶
Des égalités (**) et (***), on tire :2
𝐶
𝑑𝑡 𝐶
∫ ∫( * 𝑑𝑡
( 𝑡) ( 𝑡) 𝑡 ( 𝑡) 𝑡 ( 𝑡)
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝐶 𝑑𝑡 𝑑𝑡
∫ ∫ ∫ ∫
𝑡 ( 𝑡) 𝑡 ( 𝑡)
𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑑𝑡
∫ ∫ ∫ ∫
𝑡 ( 𝑡) 𝑡 ( 𝑡)
𝑙𝑛| 𝑡| 𝑙𝑛 | 𝑡|
( 𝑡) ( 𝑡)
𝑡
𝑙𝑛 | | ( *
𝑡 𝑡 𝑡
𝑡
𝑙𝑛 | |
𝑡 ( 𝑡 )
Retour à la variable 𝑥
:
𝐼 ∫ 𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 𝑙𝑛 | ;
|
2) 𝐼 ∫ 𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫( ; )
𝑑𝑥
On pose 𝑜𝑠 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥
∫ 𝑜𝑠𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ( ; ) ( ; ) ( : )
𝒏
4°. Primitives du type : ∫ 𝒏 𝒙𝒄 𝒙𝒅𝒙
Exemple :
114
1) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥
On pose : 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
Retour à la variable 𝑥
𝑠𝑖𝑛 𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥
On pose : 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑡 𝑑𝑡 s 𝑥 𝑑𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥 ∫( 𝑡 )𝑡 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡 ∫ 𝑡 𝑑𝑡
𝑡 𝑡
Retour à la variable 𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥
b) 𝑚 et 𝒏 sont pairs
Exemple :
;co :co
1) 𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥 ∫. /. / 𝑑𝑥
115
∫( s 𝑥)( s 𝑥)𝑑𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥
s 𝑥
𝑥 ∫ 𝑑𝑥
𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 𝑥 s 𝑥
𝐼 ∫ 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑜𝑠 𝑥𝑑𝑥 𝑥 s 𝑥
t 𝑡 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
𝑑𝑥
: :
𝑥
𝑡𝑔 𝑡
s𝑥 𝑥
𝑡𝑔 𝑡
𝑥
𝑡𝑔 𝑡
s 𝑥 𝑥
𝑡𝑔 𝑡
116
Exemple :
𝐼 ∫ ∫
: :co : :
∫ | 𝑡|
:
Retour à la variable 𝑥
𝐼 ∫ | t |
: :co
Remarque :
𝑥 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
𝑑𝑡
𝑑𝑥
𝑡
; :
Exemple : 𝐼 ∫ 𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 𝑡 𝑟 𝑡𝑔 𝑡
: :
Exercices
co
1) 𝐼 ∫ co 2) 𝐼 ∫ 3) 𝐼 ∫ 𝑑𝑥 4) 𝐼 ∫
:co :co
co
5) 𝐼 ∫ : ;co
6) 𝐼 ∫ 𝑡𝑔 𝑥 ( 𝑡𝑔 𝑥)𝑑𝑥 7) 𝐼 ∫ :co
𝑑𝑥
8) 𝐼 ∫ 𝑜𝑡𝑔 𝑥 𝑑𝑥 9) 𝐼 ∫ co :
𝑑𝑥 10) 𝐼 ∫( : ) co
𝑑𝑥
117
Exemples : On donne 𝐼 ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
a) Calculer 𝐼0 et𝐼
b) Exprimer 𝐼 en fonction de 𝐼 ;
c) En déduire 𝐼 ; 𝐼 et 𝐼
Réponses
a) 𝐼0 ∫ 𝑥 0 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 s 𝑥
𝐼 ∫ 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
Posons, 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
𝐼 ∫ 𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑥s 𝑥 ∫s 𝑥 𝑑𝑥 𝑥s 𝑥 s𝑥
b) 𝐼 ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
;
Posons, 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑛𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑣 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
;
𝐼 ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 s 𝑥 𝑛∫𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
;
(calculons 𝐼 ∫𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥)
;
𝐼 ∫𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
; ;
Posons,𝑢 𝑥 𝑑𝑢 (𝑛 )𝑥 𝑑𝑥
𝑑𝑣 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s𝑥
118
; ; ;
𝐼 ∫𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 s𝑥 (𝑛 ) ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
;
𝑥 s𝑥 (𝑛 )𝐼 ;
;
𝐼 ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 𝑥 s 𝑥 𝑛𝑥 s𝑥 𝑛(𝑛 )𝐼 ;
EXERCICES
1) On donne𝐼 ∫ 𝑥 𝑒 ; 𝑑𝑥𝑛 0
2) On donne𝐼 ∫𝑥 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥
a) Calculer 𝐼0
b) Exprimer 𝐼 en fonction de 𝐼 ;
c) En déduire 𝐼 et 𝐼
; 𝒙
3) On donne𝐼 ∫𝑥 𝒆 𝑑𝑥𝑛 0
a) Calculer 𝐼0
b) Exprimer 𝐼 en fonction de 𝐼 ; 𝑛>
c) En déduire de a) et b),𝐼 ,𝐼 ,𝐼 et 𝐼 ∫(𝑥 𝑥 ) 𝒆; 𝒙
𝑑𝑥
119
SEMAINE 9
IV.8. INTEGRALES
La suite (𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 ; 𝑥 ; 𝑥 )
2°.Définitions
Soient
(𝑥 𝑥 0 ) 𝑓( ) ( 𝑥 𝑥 ) 𝑓( ) ( 𝑥 𝑥 )𝑓( ) (𝑥 𝑥 ; ) 𝑓( )
où 𝑓 ( ) est la plus grande valeur prise par 𝑓 sur ,𝑥 𝑥 : -.
(𝑥 𝑥 0 ) 𝑓( 𝑑 ) ( 𝑥 𝑥 ) 𝑓( 𝑑 ) ( 𝑥 𝑥 ) 𝑓( 𝑑 ) (𝑥
𝑥 ; )𝑓(𝑑 ) où 𝑓(𝑑 ) est la plus petite valeur prise par 𝑓sur ,𝑥 𝑥 : -.
∑(𝑥 𝑥 : )𝑓( )
<
(𝑥 𝑥 : )𝑓(𝑑 ).
120
Il faut cependant que, dans ce cas, le maximum des 𝑥 (qui ne sont plus
nécessairement égaux) tende vers 0 lorsque 𝑛 .
a. Définition
∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥 :
∑ < 𝑓( ) 𝑥
0
b. Convention d’écriture :
D’où ,∫ 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥
D’où ,∫ 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥
-positive sur , -
- négative sur , -
∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 4 ∫ 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 5
125
4°.Propriétés
Théorème 1.
Toute fonction continue sur , - est intégrable sur cet intervalle. Nous
admettons ce théorème sans démonstration.
Théorème 2.
Démonstration.
Théorème 3.
Théorème 4.
Démonstration.
Calculons ∑ < 𝑓( ) 𝑥
:
Dès lors ,
∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥 ∑ 𝑓( ) 𝑥
:
<
(∑ 𝑓( ) 𝑥 ∑ 𝑓( ) 𝑥 )
:
< <
∑ 𝑓( ) 𝑥 ∑ 𝑓( ) 𝑥
: :
< <
Théorème 5.
Démonstration 𝑓( ) 𝑥 𝑔( ) 𝑥
∑(𝑓( ) 𝑥 𝑔( ) 𝑥 )
:
<
∑ 𝑓( ) 𝑥 𝑔( ) 𝑥
: :
<
Théorème 6.
Démonstration.
∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥 ∑ 𝑘 𝑓( ) 𝑥
:
<
𝑘 ∑ 𝑓( ) 𝑥 𝑘 ∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥
:
<
128
7°. Positivité
Théorème 7.
Si𝑓 est une fonction continue et positive sur , -, alors ∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥
Conséquence :
Théorème de la moyenne.
Théorème 8.
Si
alors : 1) 𝑚( ) ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 𝑀( )
2) , - :∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 𝑓( ) ( )
129
Démonstration.
𝑚( ) ∑ < 𝑓( ) 𝑥 𝑀( )
𝑚( ) ∫ 𝑓(𝑥 )𝑑𝑥 𝑀( )
𝑚 𝑟 𝑀.
𝑓( ) 𝑟.
Théorème 1.
Démonstration.
𝑥 , - ∖ *𝑥 0 + :
𝐹( ) ;𝐹( ) ∫ ( ) ;∫ ( )
; ;
∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 ∫ 𝑓 (𝑡)𝑑𝑡
𝑥 𝑥0
∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 ∫ 𝑓 (𝑡)𝑑𝑡
𝑥 𝑥0
∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡
𝑥 𝑥0
( ; ) ( )
;
avec𝑟 compris entre 𝑥 et 𝑥0
𝑓(𝑟)
131
′(
(𝑥) (𝑥0 )
𝑥0 )
𝑥 𝑥0
𝑓(𝑟)
𝑓(𝑟)
′(
Ainsi, est dérivable sur , - et 𝑥 , -: 𝑥) 𝑓(𝑥)
Théorème 2.
alors : 𝑥 , - : ∫ 𝑓 (𝑡)𝑑𝑡 (𝑥 ) ( )
Démonstration.
𝑘 𝑥 , -: (𝑥) (𝑥 ) 𝑘
𝑘 𝑥 , -: (𝑥) (𝑥 ) 𝑘
𝑘 𝑥 , -: ∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 (𝑥 ) 𝑘
132
( ) 𝑘 𝑘 ( )
Théorème1
alors : ∫ 𝑓 (𝑡)𝑑𝑡 ( ) ( ).
Démonstration
𝑥 , - , ∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 (𝑥 ) ( ).
Pour 𝑥 ∫ 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 ( ) ( ).
Remarque :
V. SITUATION D’INTEGRATIONS
SS BCST MATH A3 P1 S1 C1
On suppose que le nombre de bactéries dans une certaine culture est donné
par :
Consigne :
7
a) A quel moment y aura-t-il 1,055 bactéries dans cette culture ?
b) A quel moment la population de bactéries sera-t-elle le double de ce
qu’elle était au début de l’observation ?
Eléments de réponse
0 0
Après transformations , on obtient 𝑒 0 0 ≅
8 7 0
D’où ln 𝑒 0 0 ≅
𝑡≅
𝑡≅ ≅
7
Il y aura bactéries dans cette culture environ 5 heures après le
début de l’observation.
b) Au début de l’observation, 𝑡
135
A ce moment, on aura :
𝑒0 0
𝑒0 0
𝑙𝑛 𝑒 0 0
𝑡 𝑡
Consigne
Consigne 1 - Ecriture de l’expression - Bon calcul de la valeur de
donnant la valeur de l’inconnue
l’inconnue/2pt
/3pts
-Conclusion cohérente au
résultat/3pt
Consigne 2 - choix de la valeur à -Bon calcul de la valeur de
donner à l’inconnue /2pt l’inconnue/3pts
- Ecriture de l’expression
donnant la valeur de
l’inconnue /2pt -Conclusion cohérente aux
résultats /3pt
-Bonne transformation de
l’expression /2pts
SS BCST MATH A3 P1 S2 C1
Consigne :
Eléments de réponses
𝑃( ) 𝑒0 0 0
habitants.
138
𝑃( ) 𝑒0 0 0
habitants.
𝑃( ) 𝑒0 0 habitants.
( ), ( ), ( )
d)Oui, 𝑃( ) 𝑒0 0 0
e) 𝑃( ) (t=0)
𝑃( ) 𝑒0 0 (t=1)
0 00
00 000
Consigne
Consigne 1 - Choix de la valeurà - Bon calcul de la valeur de la
donner à l’inconnue /1pt population
PALIER 2
143
I. COMPETENCE DU PALIER 2
1. Calcul d’intégrales
2. Développement en série de Taylor et de Mac Laurin
3. Nombres complexes
4. Progressions arithmétiques et géométriques
5. Formules sommatoires
Points d’attention
SEMAINE 1
Calcul d’intégrales
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Exercices+Evaluation n°1
𝜋
𝐼 ∫0 𝑠𝑖𝑛 𝑥𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 ; ),
𝐼 ∫0 𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 ; ),
𝐼 ∫ 𝑥(𝑙𝑛𝑥) 𝑑𝑥 (relation entre 𝐼 𝑒𝑡 𝐼 ; ),
pour arriver par intégration, avec les élèves, aux relations de récurrence
demandées.
146
SEMAINE 2
Calcul intégral (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
SEMAINE 3
Calcul d’intégrales (suite)
Développement en série de Taylor et de Mac Laurin
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Exercices
148
-Donner des exercices variés pour trouver des approximations des fonctions
transcendantes et calculer les limites présentant de sérieuses complications
au niveau de la levée des formes indéterminées.
149
SEMAINE 4
Nombres complexes
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
et dire aux élèves que ces couples ordonnés de nombres réels sont appelés
nombres complexes
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
SEMAINE 5
Nombres complexes (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Exercices+Evaluation n°4
𝑧0
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
𝑧 ( 𝑖 )𝑧 ( 𝑖) ( 𝑖 )𝑧 𝑧 ( 𝑖) et faire
trouver par les élèves leurs solutions.
⃗⃗ (
- Partir des exemples de vecteurs comme 𝑣⃗(3,4), 𝑢 )𝑤
⃗⃗⃗( ) et
faire trouver leurs affixes respectives.
153
𝒛 ( 𝟑 𝟑
) et
𝒛 √ ( 𝟒 𝟒
)
( 𝟑 𝟑
)𝟑, et multiplier ordinairement pour faire découvrir la formule
de MOIVRE.
SEMAINE 6
Nombres complexes (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
SEMAINE 7
Progressions arithmétiques et géométriques
Formules sommatoires
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
de trois termes
infinie (à termes réels)
- -Ensembles de nombres
- Définir et donner des ℚ
exemples d’une - Opérations dans
progression géométrique - -Relation entre termes
- -Calculer le nième terme équidistants des termes extrêmes
d’une P.G et termes extrêmes
- -Insérer des termes entre
les termes d’une P.G
- -Trouver la somme des
termes d’une P.G finie
- Etablir une propriété
d’une progression
156
Exercices
EXEMPLES D’ACTIVITES D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
( 𝒏 )= (𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ), avec ∑ 𝑢 et ∑ (𝑢 ) , de raison 𝑟 et
faire trouver par les élèves
les réels 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢
157
S= (4, 9, 14) et faire découvrir la CNS pour que trois nombres soient en
progression arithmétique, dans cette ordre.
- Partir des exemples de suites comme :S = (1+x, 7+x, 25+x) et faire trouver 𝑥
pour que S soit une P.A.
S= (4, 12, 36) et faire découvrir la CNS pour que trois nombres soient en
progression géométrique, dans cette ordre.
158
(𝑢 )= (𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢 ), avec 𝑢 , de raison 𝑞 ,
montrer aux élèves comment on trouve le produit 𝑃 , des termes d’une P.G.
finie.
(𝑢 )= (𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢 ), avec 𝑢 , de raison 𝑞 et
montrer aux élèves comment on trouve la limite de :
la somme 𝒏 ;
le produit 𝑃 .
a) s s ( ) s ( ) s ( );
b) s s( ) s( ) s( )
a) s s s ;
7 7 7
b) s 7
s 7
s 7
𝑜𝑡 𝑛
SEMAINE 8
SEMAINE D’INTEGRATION
159
SEMAINE 1
Pour calculer une intégrale définie, la méthode peut se résumer comme suit :
∫ 𝑢 𝑑𝑣 , 𝑢 𝑣- ∫ 𝑣 𝑑𝑢
1. Calculer ∫ 𝑥 𝑑𝑥
2. Calculer∫; ( 𝑥 𝑥 )𝑑𝑥
∫( 𝑥 𝑥 )𝑑𝑥 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
𝑥 𝑥
∫ ( 𝑥 𝑥 )𝑑𝑥 ,𝑥 -; ,𝑥 -;
;
, ( ) - , ( ) -
( ) ( )
:
Calculons d’abord ∫ 𝑑𝑥
√ : :7
𝑑 (𝑥 𝑥 ) ( 𝑥 )𝑑𝑥 .
𝑥 𝑑𝑡
∫ 𝑑𝑥 ∫ √𝑡
√𝑥 𝑥 √𝑡
. si 𝑥 alors 𝑡
. si 𝑥 alors 𝑡
:
Ainsi, ∫ 𝑑𝑥 a la même valeur que ∫9
√ : :7 √
𝑑𝑡
∫ [ √ 𝑡]9 (√ √ )
9 √𝑡
(√ ) √
5. ∫0 :
Posons : 𝑡 𝑑𝑥 𝑑𝑡
𝑑𝑥 𝑑𝑡
∫ :
∫ :
∫ ( : )
∫ :
𝑟 t 𝑡
162
𝑥 𝑡
- si 𝑥 𝑡
- si 𝑥 𝑡
∫0 :
a la même valeur que ∫0 :
∫0 , 𝑟 t 𝑡-0 . /
:
6. ∫0
:
Posons : 𝑥 𝑧 𝑑𝑥 𝑧 𝑑𝑧
Si 𝑥 𝑧 𝑧
Si 𝑥 𝑧 𝑧
𝑧 𝑧 𝑧 𝑧 𝑧
∫0 ∫0 :𝑧
∫0 :𝑧
∫0 (𝑧 :𝑧
) 𝑑𝑧
:
∫ 𝑧 𝑑𝑧 ∫ 𝑑𝑧 ∫ 𝑑𝑧
0 0 0 𝑧
,𝑧 -0 , 𝑧- 0 , 𝑟 t 𝑧- 0
( ) ( ) ( 𝑟 t )
𝑟 t
163
8
𝑟 t
7. ∫0 √ 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑥 s 𝑡 𝑑𝑥 s 𝑡 𝑑𝑡
𝑥 s 𝑡
- si 𝑥 s 𝑡
s 𝑡 𝑡 (rd)
- si 𝑥 s 𝑡
s 𝑡 𝑡
∫√ 𝑥 𝑑𝑥 ∫ √ ( 𝑠𝑖𝑛 𝑡) 𝑜𝑠 𝑡𝑑𝑡
0 0
∫ 𝑜𝑠 𝑡 𝑑𝑡 ∫ ( s 𝑡) 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫ s 𝑡 𝑑𝑡
0 0 0 0
,𝑡-0 ,s 𝑡 -0
. / (s s )
𝜋
8. ∫0 𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥
164
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
∫ 𝑥 s 𝑥 𝑑𝑥 ,𝑥 s 𝑥-0 ∫ s 𝑥 𝑑𝑥
0 0
,𝑥 s 𝑥-0 , s𝑥-0
( s s ) ( s s )
9. ∫0 𝑥 √ 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 √ 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 ( 𝑥)
∫ 𝑥√ 𝑥 𝑑𝑥 [𝑥( 𝑥) ] ∫ ( 𝑥) 𝑑𝑥
0 0 0
[ ( ) ( ) ] [( 𝑥) ]
0
165
[ ( ) ( ) ] ( )
√ √
10. ∫0 𝑒 ; s 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑒; 𝑑𝑢 𝑒 ; 𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
∫ 𝑒; s 𝑥 𝑑𝑥 [ 𝑒; s 𝑥] ∫ 𝑒; s 𝑥 𝑑𝑥
0 0 0
Appellons 𝐼 ∫0 𝑒 ; s 𝑥 𝑑𝑥 et 𝐼 ∫0 𝑒 ; s 𝑥 𝑑𝑥
Calculons 𝐼 ∫0 𝑒 ; s 𝑥 𝑑𝑥
Posons 𝑢 𝑒; 𝑑𝑢 𝑒 ; 𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
𝐼 ∫ 𝑒; s 𝑥 𝑑𝑥 [ 𝑒; s 𝑥] ∫ 𝑒; s 𝑥 𝑑𝑥
0 0 0
𝐼 [ 𝑒; s 𝑥] 4[ 𝑒; s 𝑥] ∫ 𝑒; s 𝑥 𝑑𝑥 5
0 0 0
,𝑒 ; s 𝑥-0 ,𝑒 ; s 𝑥-0 𝐼
166
𝐼 𝐼 ,𝑒 ; s 𝑥-0 ,𝑒 ; s 𝑥-0
𝐼 ,𝑒 ; s 𝑥-0 ,𝑒 ; s 𝑥-0
𝐼 ,𝑒 ; s 𝑥-0 ,𝑒 ; s 𝑥-0
𝐼 ,𝑒 ; s 𝑥-0 ,𝑒 ; s 𝑥-0
𝐼 (𝑒 ; s 𝑒 0s ) (𝑒 ; s 𝑒0 s )
𝐼 (𝑒 ; )
𝐼 ( 𝑒; )
11. ∫0 ( |𝑥 |) 𝑑𝑥
Elle est aussi intégrable sur , -. Avant de calculer une intégrale définie de la
fonction, éliminons la valeur absolue. Sur , - 𝑥 change de signe ; c’est
pourquoi il faut envisager les deux possibilités.
Sur , -, 𝑥 |𝑥 | (𝑥 ) 𝑥
( |𝑥 |) , ( 𝑥)- 𝑥
Sur , -, 𝑥 |𝑥 | 𝑥
( |𝑥 |) , (𝑥 )- ( 𝑥)
167
D’où ∫0 ( |𝑥 |) 𝑑𝑥 ∫0 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ( 𝑥) 𝑑𝑥
∫ 𝑥 𝑑𝑥 ∫ ( 𝑥 𝑥 𝑥 )𝑑𝑥
0
𝑥
6 7 [ 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 ]
0
[( ) ( )]
( *
| ; |
12. ∫ 𝑑𝑥
( ; )
| ; |
𝑓 (𝑥 ) est continue sur son domaine de définition et intégrable.
( ; )
Elle l’est aussi sur , -.
Sur ,1 2-, 𝑥 2 0 |𝑥 2| (𝑥 2)
|𝑥 2| 𝑥 2
𝑓( 𝑥 )
( 𝑥2 4𝑥 )2 ( 𝑥2 4𝑥)2
Sur ,2 3-, 𝑥 |𝑥 | 𝑥
|𝑥 | 𝑥
𝑓( 𝑥 )
( 𝑥 𝑥) ( 𝑥 𝑥)
168
| ; | ; ;
∫ ( ; )
𝑑𝑥 ∫ ( ; )
𝑑𝑥 ∫ ( ; )
𝑑𝑥
|𝑥 |
∫ 𝑑𝑥 [ ] [ ]
( 𝑥 𝑥) 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
[ ( )] [ ( )]
( * ( *
𝜋 𝜋
13. Soient 𝐼 ∫0 ( 𝑥 ) 𝑜𝑠 𝑥 𝑑𝑥 et 𝐽 ∫0 ( 𝑥 )𝑠𝑖𝑛 𝑥 𝑑𝑥
Calculer 𝐽, 𝐼 𝐽 , en déduire 𝐼 et 𝐽.
Solution
Les fonctions données sont continues sur ; elles sont donc intégrables
sur[ 𝜋 ].
𝐼 𝐽 ∫( 𝑥 )( 𝑜𝑠 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥) 𝑑𝑥
0
169
𝜋
∫ ( 𝑥 ) 𝑑𝑥 ,𝑥 𝑥-0
0
𝐼 𝐽 ∫( 𝑥 )( 𝑜𝑠 𝑥 𝑠𝑖𝑛 𝑥) 𝑑𝑥
0
∫ ( 𝑥 ) s 𝑥 𝑑𝑥
0
Posons 𝑢 𝑥 𝑑𝑢 𝑑𝑥
𝑑𝑣 s 𝑥 𝑑𝑥 𝑣 s 𝑥
𝐼 𝐽 [ ( 𝑥 )s 𝑥] ∫s 𝑥 𝑑𝑥
0 0
[ ( 𝑥 )s 𝑥] , s 𝑥-0
0
𝜋 𝜋
𝐼 et 𝐽
170
( )
14. Calculer ∫0 ( )
𝑑𝑥
( : : :8)
Calculons d’abord ∫ 𝑑𝑥
( : )
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝐶𝑥
(𝑥 ) (𝑥 ) 𝑥
𝑥 (𝐶𝑥 )(𝑥 )
(𝑥 )
Comme les dénominateurs des deux fractions égales sont identiques, leurs
numérateurs sont aussi égaux.
𝐶𝑥 𝑥 ( 𝐶 )𝑥 ( ) 𝑥 𝑥 𝑥
D’où 𝐶 , , 𝐶 et
𝐶
2
𝐶
, ,𝐶 et
: : :8 :
D’où
( : ) ( : ) :
171
(𝑥 𝑥 𝑥 ) 𝑥 𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
(𝑥 ) (𝑥 ) 𝑥
𝑥 𝑥
∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑑𝑥
(𝑥 ) 𝑥 𝑥
𝑥
(𝑥 ) 𝑟 t
𝑥
( : : :8) 𝑥
∫ 𝑑𝑥 [ ] , (𝑥 )-0 0 𝑟 t 1
0
( : ) 𝑥 0 0
( * ( ) 𝑟 t )
EXERCICES
a)∫0 s 𝑡 s 𝑡 𝑑𝑡
b)∫0 ( : )√ :
c)∫0 𝑥 𝑟 t 𝑥𝑑𝑥
2. Linéariser s 𝑥
Calculer 𝑓(𝑡) ∫0 . s 𝑥 / 𝑑𝑡
3. Démontrer que :
;
s 𝑥s 𝑥 s 𝑥 s 𝑥 8
s𝑥
𝜋
Puis calculer ∫0 s 𝑥s 𝑥 𝑑𝑥
4. 𝑓(𝑥) 𝑥√ 𝑥 .
( ; )
a)∫ 𝑑𝑥
: :
( : )
b)∫0 ( : )( : )
c)𝐼 ∫; ( |𝑥 | |𝑥 |) 𝑑𝑥
d)∫0√ ( : )
𝑑𝑥
e)∫0 ( ; )
𝑑𝑥
f)∫0 √ ;
𝑑𝑥
𝜋
g)∫0 :
h)∫0
𝑒 :𝑒
173
𝜋
a)Première méthode
B)Deuxième méthode
7. Soit l’intégrale 𝐼 ∫0 ( 𝑥) 𝑒 𝑑𝑥
SEMAINE 2
A ∫ 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥
La somme ainsi trouvée est l’aire de la partie proposée du plan. Elle s’exprime
dans l’unité choisie.
175
Démonstration
a) 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 sont positives
a b a b a
b
𝐶 ∫ 𝑓 (𝑥 )𝑑𝑥 ∫ 𝑔(𝑥)𝑑𝑥
b) 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 sont négatives
176
a b
a b a b
C
B
A
c) 𝑓 st p s t v t é tv
d) 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 sont quelconques
C. Exemples
Avant de calculer l’’aire d’une portion du plan par une intégrale définie , il est
préférable et recommandé de représenter cette portion par une figure.Pour
ce faire,il est plus intéressant de choisir un repère orthonormé (ceci n’est pas
obligatoire !).
∫0 ( 𝑥 )𝑑𝑥 ∫0 𝑥 𝑑𝑥 ∫0 𝑑𝑥 ,𝑥 -0 ,𝑥-0 ( )
( )
unité d’aire
178
Comme l’unité choisie vaut sur chaque axe 2 cm, l’unité d’aire vaut 1
𝑚 et
𝑚 𝑚
𝑦 √𝑟 𝑥 𝑓( 𝑥 )
∫ √𝑟 𝑥 𝑑𝑥
0
Posons 𝑥 𝑟s 𝑡
𝑑𝑥 𝑟 s 𝑡 𝑑𝑡
𝑠𝑖 𝑥 s 𝑡 𝑡
179
𝑠𝑖 𝑥 𝑟 s 𝑡 𝑡
∫ 𝑟 s 𝑡𝑑𝑡 𝑟 ∫ s 𝑡𝑑𝑡
0 0
s 𝑡 𝑟 𝑟
𝑟 ∫ 𝑑𝑡 ∫ 𝑑𝑡 ∫ s 𝑡𝑑𝑡
0 0 0
𝑟 𝑟
,𝑡-0 ,𝑠𝑖𝑛 𝑡- 0
𝑟
𝑟
3. Aire de l’ellipse
𝑦 √ 𝑥 𝑓(𝑥)
u tés ′ r
L’équation d’une hyperbole équilatère dont les axes sont les axes sont des
:
asymptotes est 𝑥𝑦 𝑘 𝑘 0
𝑑𝑥
𝑘∫ 𝑘, 𝑥- 𝑘( ) 𝑘 𝑙𝑛 u té ′ r
𝑥
=√ 𝑝 ∫0 √ 𝑥𝑑𝑥 √ 𝑝 0𝑥 1 √ 𝑝
0
Donc
u té ′ r
𝑥
∫ 𝑥 𝑑𝑥 6 7
0 0
0 0
𝑥
∫ 𝑥 𝑑𝑥 6 7
; ;
0 7
Or, l’ aire ∫0 𝑥 𝑑𝑥 ∫; 𝑥 𝑑𝑥 . / unité d’aire
𝑦 s𝑥 𝑥
𝜋
D’où ∫0 . s 𝑥/ 𝑑𝑥 ∫𝜋 . s 𝑥/ 𝑑𝑥
𝑥 √
∫ ( s 𝑥* 𝑑𝑥 0 s 𝑥1
0 0
𝑥 √ √
∫ ( s 𝑥* 𝑑𝑥 0 s 𝑥1 4 5
√ √
4 5 √
184
Or ∫0 √ 𝑥 𝑑𝑥
;
∫0 ( 𝑥 ) 𝑑𝑥 ,𝑥 -0 ,𝑥-0
𝑦 𝑥 𝑥 ( )
Pour ce faire, résolvons le système (I) {
𝑦 𝑥 𝑥 ( )
185
𝑦 𝑥 𝑥 ( )
(I) {
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 ( )
( ) 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 (𝑥 ) (𝑥 )
( ) 𝑥 𝑜𝑢 𝑥 𝑜𝑢 𝑥
Dans ( ): 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
Soit A l’aire de la partie du plan comprise entre les deux courbes sur
, - 𝑒𝑡 celle de la partie située sur , -
0 𝑥 𝑥1
;
∫ ,( 𝑥 𝑥) (𝑥 𝑥 )-𝑑𝑥
∫ ( 𝑥 𝑥 𝑥 )𝑑𝑥 0 𝑥 𝑥1
8
‘aire de la partie du plan comprise entre les deux courbes est
7
unité d’aire
EXERCICES
g) Les graphes de 𝑦 𝑥 𝑥 𝑒𝑡 𝑦 √𝑥
a) Représenter graphiquement 𝑓 𝑒𝑡 𝑔
b) Déterminer une primitive de . / 𝑒 en intégrant par parties la
fonction 𝑒
c) Calculez 𝐼() ∫ℎ ,𝑔(𝑥) 𝑓(𝑥)-𝑑𝑥 pour >
d) Montrer que 𝐼 () admet une limite lorsque tend vers 0
e) Interpréter géométriquement le résultat obtenu en d)
SEMAINE 3
A. Définition
Nous nous limitons au cas où la surface et l’axe sont dans le même plan.
B. Formules
𝑆 ∫ (𝑓(𝑥)) 𝑑𝑥
189
𝑉 ∫ (𝑓 (𝑥)) 𝑑𝑥 ∫ (𝑓 (𝑥)) 𝑑𝑥
C. Exemples
ℎ
𝑉 ∫0 𝑟 𝑑𝑥 𝑟 ,𝑥 -ℎ0 𝑟 où 𝑟 est le rayon du cylindre et sa
hauteur.
ℎ ℎ
𝑟 𝑟
𝑉 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
0 0
ℎ
ℎ
𝑉 ℎ
0 1 où r est le rayon du cône et sa hauteur
0
; ;
L’équation de la droite ( ) est : 𝑦 𝑟 ℎ
𝑥 d’où 𝑦 ℎ
𝑥 𝑟
(𝑅 𝑟) 𝑟(𝑅 𝑟)
𝑦 𝑥 𝑥 𝑥
ℎ( ℎ ℎ
𝑅 𝑟) 𝑟(𝑅 𝑟)
𝑉 ∫ 𝑥 𝑑𝑥 ∫ 𝑥𝑑𝑥 ∫ 𝑟 𝑑𝑥
0 0
ℎ ℎ
(𝑅 𝑟) 𝑥 𝑟(𝑅 𝑟) 𝑥
𝑉 6 7 6 7 𝑟 ,𝑥-ℎ0
0
0
(𝑅 𝑟) 𝑟(𝑅 𝑟)
𝑉 6 𝑟 7
(𝑅 𝑟)
𝑉 6 𝑟(𝑅 𝑟) 𝑟 7
𝑅 𝑅𝑟 𝑟 𝑅𝑟 𝑟 𝑟
𝑉
𝑉 (𝑅 𝑅𝑟 𝑟 )
4. Volume de la sphère
Une sphère est engendrée par la rotation d’un demi-disque autour de son
diamètre.
D’où 𝑦 𝑟 𝑥
𝑉 ∫ (𝑟 𝑥 ) 𝑑𝑥 𝑟 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
; ; ;
𝑥
𝑉 𝑟 ,𝑥-; 6 7 𝑟 ,𝑟 ( 𝑟)- ,𝑟 ( 𝑟) -
;
𝑟 𝑟
𝑉 𝑟
Un tel segment sphérique est engendré par la rotation de la figure cdef autour
de l’axe ox
Posons d, 𝑑- 𝑑,𝑒 𝑓- 𝑑, 𝑓-
√ ;
𝑉 ∫√ ;
(𝑟 𝑥 )𝑑𝑥
√ ; √ ;
𝑉 𝑟 ∫ 𝑑𝑥 ∫ 𝑥 𝑑𝑥
√ ; √ ;
𝑉 𝑟 ,𝑥 -√√ ;
;
,𝑥 -√√ ;
;
or √𝑟 √𝑟 𝑒𝑡𝑚 𝑛 (𝑚 𝑛)(𝑚 𝑚𝑛 𝑛 )
𝑉 𝑟 0 (𝑟 ) √𝑟 √𝑟 (𝑟 )1
194
𝑉 𝑟 0 𝑟 ( ) √(𝑟 )(𝑟 )1
𝑟
𝑉 0 𝑟 ( ) √(𝑟 )(𝑟 )1
0 𝑟 ( 𝑟 ( ) √(𝑟 )(𝑟 ))1
0 𝑟 ( ) √(𝑟 )(𝑟 )1
Or √𝑟 √𝑟
(𝑟 ) (𝑟 ) √(𝑟 )(𝑟 )
𝑉 , 𝑟 𝑟 -
( )
𝑉
Un tel secteur sphérique est engendré par la rotation du secteur circulaire oab
autour de ox
195
Posons 𝑑, -
(𝑟 s ) 𝑠𝑖 b’𝑜̂b
( 𝑟 s ) 𝑠𝑖 𝑜̂
co
𝑉 ∫ (𝑟 𝑥 )𝑑𝑥 𝑟 s 𝑟 s 𝑟 s 𝑟 s
; co
𝑟 (𝑟 s 𝑟 s ) (𝑟 s 𝑟 s )
(𝑟 s s 𝑟 s s )
𝑟
( s s s s s s s s )
𝑟
, s ( s s ) s ( s s )-
𝑟
( s s )
196
𝑟
(𝑟 s 𝑟 s )
Or 𝑟 s 𝑟 s
Un tel anneau est engendré par la rotation du segment de cercle délimité par la
corde ab autour de ox.
de cône.
Posons 𝑑 , - 𝑑, - 𝑚 𝑑, - 𝑛
𝑚 𝑛
𝑉
197
𝑉 (𝑚 𝑛 𝑚𝑛)
𝑉 𝑉 𝑉 𝑚 𝑛 (𝑚 𝑛 𝑚𝑛)
(𝑚 𝑛 ) 𝑚𝑛
(𝑚 𝑛 𝑚𝑛)
,(𝑛 𝑚) -
,𝑑( )-
EXERCICES
a) 𝑦 √ 𝑥 et l’axe ox
b)𝑦 𝑥 et 𝑦 𝑥
c)𝑥 𝑦 et 𝑦 𝑥
d)𝑥 𝑦 et 𝑥 (𝑦 )
e)𝑦 𝑥 et 𝑦 𝑥
198
( ) ( ) : ( )𝑘
𝑓 (𝑥0 ) ( )
𝑓 ( ) ⟺ 𝑓 (𝑥) ∑ <0 𝑓 (𝑥0 ) 𝑘
𝑓 : ( )( (
)
)
𝑓( 𝑥 )
( )
𝑓( 𝑥 0 ) 𝑓 ′ (𝑥0 ) ( )
𝑓 ′′ (𝑥0 ) ( )
𝑓 ′′′ (𝑥 0 ) ( )
𝑓 (𝑥 0 ) est
une bonne estimation de 𝑓(𝑥) à l’erreur près.
( ) : ( ) -𝑥 0 𝑥 ,
( )<
( )
𝑓
𝑓( 𝑥 ) 𝑓( ) 𝑓′( ) 𝑓 ′′ ( ) 𝑓 ′′′ ( ) 𝑓 ( ) ( )
𝑓 : (𝜃𝑥)
où 𝜃 - ,
𝑘
:
⟺ 𝑓 (𝑥 ) ∑ <0 𝑓 ( )𝑘 ( )
𝑓 (𝜃𝑥 ) : Formule de Mac Laurin
Remarque : Il existe des fonctions à variables réelles qui ne peuvent pas être
exprimées sous forme d’un polynôme de Mac Laurin.
200
Exemple :
V.3. EXEMPLES
Solution
𝑓( 𝑥 ) 𝑥 𝑥 𝑥 et 𝑓( )
𝑓 ′ (𝑥) 𝑥 𝑥 et 𝑓 ′ ( )
𝑓 ′′ (𝑥) 𝑥 et 𝑓 ′′ ( )
𝑓 𝑉 (𝑥 ) et 𝑓 𝑉 ( )
( ) ( ; )
𝑓( 𝑥 ) (𝑥 ) :
(𝑥 ) (𝑥 ) (𝑥 )
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑥)𝑚
Solution
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑥)𝑚 𝑥0
𝑓( )
𝑓 ′ (𝑥) 𝑚( 𝑥)𝑚; 𝑓 ′ (𝑥 )
201
Donc,
𝑚(𝑚 ) 𝑚 ( 𝑚; ) ( 𝑚; : )
( 𝑥)𝑚 𝑚𝑥 𝑟
𝑚( 𝑚; ) ( 𝑚; )
Où 𝑟 ( 𝜃𝑥)𝑚; ;
𝑥 :
Solution
𝑓 ′ (𝑥) s 𝑥 s .𝑥 / 𝑓′ ( )
𝑓 ′′ (𝑥) s𝑥 s (𝑥 * 𝑓 ′′ ( )
𝑓 𝑉 (𝑥) s𝑥 s (𝑥 * 𝑓 𝑉( )
𝑓 𝑉 (𝑥) s 𝑥 s (𝑥 * 𝑓𝑉( )
𝑓 𝑉 (𝑥) s𝑥 s (𝑥 * 𝑓 𝑉( )
…
202
𝑛 s st p r
𝑓 (𝑥) s .𝑥 / 𝑓 ( ) {
( ) s pp r
𝑥 𝑥 𝑥 ( ) 𝑥
𝑓(𝑥) 𝑥 𝑟
( 𝑝)
EXERCICES
Solution
𝑥
𝑓( 𝑥 ) 𝑓( ) 𝑥𝑓 ′ ( ) 𝑓 ′′ ( ) 𝑅 (𝑥)
( )
Avec 𝑅 (𝑥) avec < 𝜃 < 𝑅 (𝑥)
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑜𝑠 𝑥 ) 𝑓 (𝑜 )
s 𝑥
𝑓 ′ (𝑥) 𝑒𝑡 𝑓 ′ ( )
s𝑥
𝑓 ′′ (𝑥) ( t 𝑥) 𝑒𝑡 𝑓 ′′ ( )
s 𝑥
𝑓 ′′′ (𝑥) t 𝑥( t 𝑥)
D’où ( s 𝑥) 𝑅 (𝑥)
; a ( :a )
Avec 𝑅 (𝑥 ) <𝜃<
Solution de 6)
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑥) 𝑥
𝑓( 𝑥 ) ( 𝑥) 𝑓( )
𝑓 ′ (𝑥 ) 𝑓( )
𝑥
(𝑥 );
𝑓 𝑉 (𝑥 ) ( 𝑥); 𝑓 𝑉( )
𝑓 𝑉 (𝑥) ( 𝑥 ); 𝑓𝑉 ( )
;
⋮ 𝑓 (𝑥 ) ( ) (𝑛 ) ( 𝑥 ); 𝑓 ( ) ( ) ; (𝑛 )
(; )
𝑙𝑛 ( 𝑥) 𝑥 𝑟
(; )
𝑙𝑛 ( 𝑥) 𝑥 𝑥 𝑟
(; )
avec 𝑟 avec 𝜃 - ,
( : ) ( : )
204
Exemples :
( ) 00
1) 𝑙𝑛 𝑙𝑛( )
( ;0 ) 00
2) 𝑙𝑛 𝑙𝑛( )
205
SEMAINE 4
VI.1. INTRODUCTION
Dans le cas où < , l’équation (1) n’a pas de solution dans . En particulier,
il y a d’autres équations de genre 𝑥 (2) qui n’ont pas aussi de
solutions dans . C’est ainsi que certains mathématiciens ont eu l’idée
d’introduire un nombre solution de l’équation (2). Un tel nombre est
dit « imaginaire » car ce n’est pas un nombre réel. On le note « i ».
Nous verrons dans la suite que les nombres complexes inventés pour résoudre
l’équation (2) permettent de résoudre l’équation la plus générale (2) même
lorsque < .
Un nombre complexe est un couple de deux nombre réels ( ).Cela nous permet
de dire que l’ensemble des nombres complexes n’est autre que l’ensemble
.
L’ensemble ainsi structuré est appelé ensemble des nombres complexes et est
noté .
206
)( ) est-il un groupe ?
( ) ( 𝑑)
( ) ( 𝑑) ( 𝑑)
L’associativité
( ) ( 𝑑 ) (𝑒 𝑓)
( ) ,( 𝑑) (𝑒 𝑓)- ( ) ( 𝑒 𝑑 𝑓)
( 𝑒 𝑑 𝑓)
( 𝑑) (𝑒 𝑓)
,( ) ( 𝑑) - (𝑒 𝑓)
Elément neutre.
( ) ( 𝑥 𝑦) ( )
𝑥 𝑥
2 𝑦 {
𝑦
Elément symétrique.
207
{ {
Commutativité
( ) ( 𝑑)
( ) ( 𝑑) ( 𝑑)
( 𝑑 )
( 𝑑) ( )
( ) ( 𝑑)
( ) ( 𝑑) ( 𝑑 𝑑 )
utp t st t r t p rt ut é dans .
Associativité
( ) ( 𝑑 ) (𝑒 𝑓)
(
⏟ ) ,( 𝑑) (𝑒 𝑓)- ? ,(
⏟ ) ( 𝑑 )- (𝑒 𝑓)
( ) ( )
( 𝑒 𝑑𝑓 𝑓 𝑑𝑒 𝑓 𝑑𝑒 𝑒 𝑑𝑓)
(2): ,( ) ( 𝑑 )- (𝑒 𝑓) ( 𝑑 𝑑 ) (𝑒 𝑓)
,( 𝑑)𝑒 ( 𝑑 )𝑓 ( 𝑑)𝑓 ( 𝑑
)𝑒-
( 𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑓 𝑓 𝑓 𝑑𝑓 𝑑𝑒
𝑒)
( ) ( )
Elément neutre.
( ) , on a:
( ) ( 𝑥 𝑦) ( )
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
⟺( 𝑥 𝑦 𝑦 𝑥) ( )⟺{ ⟺{
𝑦 𝑥 𝑥 𝑦
| |
:
| | 𝑥
:
0
| | 𝑦
:
Elément symétrique.
209
( )( ) ( )
⟺( ) ( )⟺{ ⟺{
| |
| |
:
;
| | 𝑦
:
;
Le couple ( ) a pour symétrique . /
: :
La commutativité.
( ) ( 𝑑)
( ) ( 𝑑) ( 𝑑 𝑑 ) ( 𝑑 𝑑 ) ( 𝑑) ( )
( ) ( 𝑑 ) (𝑒 𝑓) , on a :
(
⏟ ) ,( 𝑑) (𝑒 𝑓)- ,(
?⏟ ) ( 𝑑 )- ,( ) (𝑒 𝑓)-
( ) ( )
(1) : ( ) ,( 𝑑) (𝑒 𝑓)- ( )( 𝑒𝑑 𝑓)
, ( 𝑒) (𝑑 𝑓) (𝑑 𝑓) ( 𝑒) -
( 𝑒 𝑑 𝑓 𝑑 𝑓 𝑒)
210
(2) : ,( ) ( 𝑑 )- ,( ) (𝑒 𝑓)- ( 𝑑 𝑑 ) ( 𝑒
𝑓 𝑓 𝑒)
( 𝑑 𝑒 𝑓 𝑑
𝑓 𝑒)
(1) = (2)
Définition
Remarque
(𝑥 ) 𝑓( 𝑥 ) 𝑥
a) 𝑓,(𝑥 ) (𝑦 )- 𝑓(𝑥 𝑦 )
𝑥 𝑦
211
𝑓( 𝑥 ) 𝑓(𝑦 )
b) 𝑓( (𝑥 )) 𝑓( 𝑥 )
𝑓(𝑥 )
𝑓 st v
3 𝑓 est un isomorphisme de dans
st é r
On dit que les ensembles et sont isomorphes. On peut donc les identifier en
posant que ( ) . Les éléments de sont donc des réels. On a finalement
ℚ (On dit que prolonge ).
𝑧 ( ) ( )
( ) ( )
𝑧 ( ) ( ) ( )
𝑧 𝑖
On désigne par :
𝑧 𝑖
Si ,𝑧 est réel
212
𝑧 ℛ𝑒 (𝑧) ℐ𝑚(𝑧)
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
a. Les puissances de 𝑖
𝑖 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖
: : :
𝑘 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖
00 :
Exemple : 𝑖 𝑖 𝑖
𝑖8 𝑖( ):
b. La somme
Soient 𝑧 𝑖 ,𝑧 𝑖 ,𝑧 𝑖
𝑧 𝑧 ( 𝑖 ) ( 𝑖 ) ( ) 𝑖( )
( ) ′ ′′
𝑧 𝑧 𝑧 𝑖( )
𝑘( 𝑖 ) 𝑘 𝑖𝑘
d. Multiplication dans .
213
En effet :
𝑧 𝑧 ( 𝑖 )( 𝑖 )
𝑖 𝑖 𝑖
𝑖( )
𝑧 𝑧 ( ) 𝑖( )
Cette écriture n’est pas permise dans l’ensemble des nombres complexes.
Pour réaliser l’écriture correcte, introduisons la notion de conjugué d’un
nombre complexe.
1°. Définition
( ; ) ;
𝑧 : ( : )( ; ) :
𝑧 :
𝑖 :
Si 𝑧 𝑖 𝑧̅ 𝑖
𝑧 𝑧̅
214
1. 𝑧 : 𝑧̅ 𝑧,
2. 𝑧 ∶ si 𝑧 𝑧̅ 𝑧
𝑧 𝑧̅ ⟺ ⟺ 𝑧 𝑧 ré
3. Soient 𝑧 𝑧 : 𝑧̅ 𝑧̅ ⟺ 𝑧 𝑧
4. ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 𝑧̅ 𝑧̅
En effet : 𝑧 𝑖 , 𝑧 𝑖
𝑧 𝑧 ( 𝑖 ) ( 𝑖 ) ( ) 𝑖( )
̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 ( ) 𝑖( ) ⏟ 𝑖 ⏟ 𝑖
̅̅̅
𝑧 ̅̅̅
𝑧
̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 𝑧̅̅̅ 𝑧̅
5. 𝑧 𝑧 ̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 𝑧̅ 𝑧̅
En effet: 𝑧 𝑖 , 𝑧 𝑖
𝑧 𝑧 ( 𝑖 )( 𝑖 )
=( ) 𝑖( )
̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 ( ) 𝑖( ) (1)
𝑧̅̅̅ 𝑖
𝑧̅ 𝑖
𝑧̅ 𝑧̅ ( 𝑖 )( 𝑖 )
𝑖 𝑖
( ) 𝑖( ) (2)
215
( ) ( ) ⟺ ̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 𝑧̅ 𝑧̅
6. 𝑧 ∖ *( )+
. ̅/
𝑧 𝑧̅
7. 𝑧
. ̅/
𝑧 𝑧̅
𝑧 ̅̅̅
𝑧
En effet : . ̅ / .𝑧̅̅̅̅̅̅̅̅̅/ . ̅/
𝑧
𝑧̅ 𝑧̅
𝑧 𝑧 𝑧 𝑧
̅̅̅
𝑧 ̅̅̅
𝑧
.𝑧 / ̅̅̅
𝑧
8. Soit 𝑧 𝑖
𝑧̅ 𝑖
𝑧 𝑧̅ 𝑅𝑒(𝑧)
𝑧 𝑧̅ 𝑖 𝐼𝑚(𝑧)
𝑧 𝑧̅ 𝑅𝑒 (𝑧) 𝐼𝑚 (𝑧)
EXERCICES
;
1. Quelles sont les parties réelle et imaginaire de 𝑧 :
2. Soit 𝑧 𝑖 𝑒𝑡 𝑧 𝑖
𝑧 𝑧 ;𝑧
) 𝑧
)𝑧 )𝑧 𝑑) 𝑧
𝑒) 𝑧 𝑓) :𝑧
( 𝑖 )𝑥 ( 𝑖 )𝑦 𝑖
a) {
( 𝑖 )𝑥 ( 𝑖 )𝑦 𝑖
𝑖𝑥 𝑦 𝑖
b) { (
𝑥 𝑖 )𝑦 𝑖
5. Montrer que
( : ) ( ; ) ;( ; ) ( : )
( 7: ) ;(7; )
est un réel
6. Calculer
)( 𝑖) ( 𝑖) ( 𝑖)
b) ( 𝑖) ( 𝑖) ( √ 𝑖) ( √ 𝑖)
√ : √ ; √ : √ :
c)
√ ; √ : √ ; √ ;
7
;
d) .√ /
:√
8
: √ ;
e) .√ /
√ ; √ :
Solutions
: ( : )( ; ) ; : ; 0 ;
1) 𝑧 ( : )( ; )
𝑖
: :
2) e) z 𝑖
; ;
𝑧 ( :) : ; : ( : )( ; ) 9:
𝑖
;𝑧 ; ; ( ; ; )( : ) ; ; ;:
f) :𝑧 ; ; ( ; )( : ) 0 0 0
𝑖 𝑖
: ( : )( ; )
3) ( 𝑖 )𝑧 𝑖 ( 𝑖 )𝑧 𝑖 𝑧 : :
𝑖
( 𝑖 )𝑥 ( 𝑖 )𝑦 𝑖
4) a.{
( 𝑖 )𝑥 ( 𝑖 )𝑦 𝑖
𝑖 𝑖
| | 𝑖
𝑖 𝑖
𝑖 𝑖
| | 𝑖
𝑖 𝑖
𝑖 𝑖
| | 𝑖
𝑖 𝑖
: ( : ) ( 7: ) 98:70 :9 ; :
𝑥
7; 9: 7 7
(; ; ) ( 7; ) ; : ;9 ; ; 00 ;
𝑦 7 7 7
: ; 00;
S 2. 7 7
/3
7 7 7 7
; (√ ; )( ;√ ) ; : :√ ; : √ ( ; √ )
6) d..√ / 0 1 =.√ / . /
:√ ; ; ; ;
218
a. Définition
Soit 𝑧 𝑖 𝑧̅ 𝑖
𝑧 𝑧̅
Remarques :
|𝑧| √ | |
b. Propriétés
1. 𝑧 ∶ |𝑧| ⟺𝑧
2. 𝑧 ∶ |𝑧| |𝑧̅|
En effet, |𝑧| √ 𝑧 𝑧̅
3. 𝑧 𝑧 |𝑧 𝑧 | |𝑧 | |𝑧 |
|𝑧 𝑧 | √𝑧 𝑧 ̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧
|𝑧 𝑧 | 𝑧 𝑧 ̅̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧 𝑧 𝑧̅ 𝑧 𝑧̅ |𝑧 | |𝑧 | (|𝑧 ||𝑧 |)
4. 𝑧 |𝑧 | |𝑧|
En effet, 𝑧
𝑧
|𝑧 𝑧 |
|𝑧| | | ⟺ |𝑧 | |𝑧|
𝑧
𝑧 |𝑧 | |𝑧 |
5. 𝑧 𝑧 | | |𝑧 | | | |𝑧 |
𝑧 |𝑧 | 𝑧 |𝑧 | |𝑧 |
𝑧 𝑧 ∶ |𝑧 𝑧 | |𝑧 | |𝑧 |
220
SEMAINE 5
a) Définition
b) Théorème
1ère méthode :
(𝑥 𝑖𝑦) 𝑖
⟺𝑥 𝑖𝑥𝑦 𝑦 𝑖
𝑥 𝑦
{
𝑥𝑦
𝑥 ( 𝑦 )
⟺{
𝑥 𝑦
𝑥 ( 𝑦 )
⟺{
𝑥 𝑦
𝑥 𝑡 𝑥 ±√ 𝑡
221
𝑦 𝑡 𝑦 𝑡 𝑦 ±√ 𝑡
Exemple :
⟺𝑥 𝑖𝑥𝑦 𝑦 𝑖
𝑥 𝑦
{
𝑥𝑦
𝑥 𝑦
⟺{
𝑥( 𝑦)
𝑥 𝑦
⟺{
𝑥 ( 𝑦 )
𝑡 𝑡
𝑡 𝑡
𝑥 𝑥 ± ; 𝑧 𝑖
𝑦 𝑦 ± ; 𝑧 𝑖
2ème méthode :
𝑥 𝑦 ( )
{
𝑥𝑦 ( )
𝑥 𝑦
8
𝑦
222
⟺ 𝑥 𝑥
Exemple : 𝑖
𝑥 𝑦
{ 𝑥𝑦 𝑦
𝑥𝑦
𝑥 𝑥
𝑥 𝑥 à rejeter
𝑥 ±
𝑥 𝑦 𝑧 𝑖
𝑥 𝑦 𝑧 𝑖
3ème Méthode :
𝑖 𝑒𝑡 𝑧 𝑥 𝑖𝑦 u s sr s rré s : (𝑥 𝑖𝑦) 𝑖
⟺𝑥 𝑖𝑥𝑦 𝑦 𝑖
𝑥 𝑦
⟺{
𝑥𝑦
| 𝑖 | |𝑥 𝑖𝑦|
√ (√𝑥 𝑦 )
223
√ 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
,𝑥 𝑦 √
𝑥𝑦
Exemple :
𝑥 𝑦
⟺8
𝑥 𝑦 √
𝑥 𝑦
⟺ ,𝑥 𝑦
𝑥𝑦
𝑥 𝑦 ( )
⟺,𝑥 𝑦 ( )
𝑥𝑦 ( )
( ) ( ) 𝑥 ⟺𝑥 𝑥 ±
( ) ( ) 𝑦 𝑦 ⟺𝑦 ±
𝑧 𝑖
𝑧 𝑖
224
EXERCICES
I. Résoudre dans
𝑥 𝑦 𝑖
1. {
𝑥 𝑖 𝑦
𝑖𝑥
𝑦 𝑖
2. {
𝑥 𝑖𝑦 𝑖
𝑥 𝑦 𝑧
3. , 𝑖𝑥 𝑦 ( 𝑖 )𝑧 𝑖
( 𝑖 )𝑥 ( 𝑖 )𝑦 𝑧 𝑖
𝑧
4. : ;
𝑖
5. :
𝑖
a) 3+4i
b) 𝑖
c) 𝑖√
d) 2i√
e) 3i√
f) √
; ±√ ;
.) Si > 𝑧 ∶ 𝑧 𝑧 sont des réels
.) Si 𝑧 𝑧
𝑖√ √
𝑧 𝑧
Exemple :
𝑧 𝑧
; :
𝑧 𝑖 𝑧 𝑖
𝑆 * 𝑖 𝑖+
Exemple :
𝑧 (𝑖 )𝑧 𝑖
⟺ 𝑧 (𝑖 )𝑧 𝑖
(𝑖 ) ( )
𝑖 𝑖
𝑥 𝑦 √
, 𝑥 𝑦
𝑥𝑦 𝑥𝑦
226
𝑥 𝑦 ( )
,𝑥 𝑦 ( )
𝑥𝑦
( ) ( ) 𝑥 𝑥 𝑥 ±
( ) ( ) 𝑦 𝑥 𝑥 ±
√ ±( 𝑖)
; : :( : )
𝑧 𝑖
; : ; ;
𝑧 𝑖
𝑆 * 𝑖 𝑖+
𝑧 𝑧 (𝑧 𝑧 )(𝑧 𝑧 )
Remarque :
Exemple :
𝑝( 𝑧 ) 𝑧 (√ 𝑖)𝑧 ( 𝑖√ )𝑧 𝑖
𝑝( 𝑖 )
227
𝑝( 𝑖 ) (𝑖 ) (√ 𝑖)(𝑖 ) ( 𝑖 √ )𝑧 𝑖
𝑖 √ 𝑖 𝑖 √ 𝑖
( )𝑖 ( √ )
( )
8
√ √ ( )
Résolvons (2) : √ ( )
rejeter ou
√ 𝑖 𝑖√ 𝑖
𝑖 𝑖 𝑖√ 𝑖
√ 𝑖
𝑝( 𝑧 ) (𝑧 𝑖 ) (𝑧
⏟ (√ 𝑖 )𝑧 )
( 𝑧)
𝑧 𝑖 𝑧 𝑖
ou
𝑄( 𝑧 )
𝑧 (√ 𝑖 )𝑧
(√ 𝑖)
√ 𝑖
√ 𝑖
228
𝑥 𝑦 √ 𝑥 𝑦 ( )
, 𝑥 𝑦 , 𝑥 𝑦 ( )
𝑥𝑦 √ 𝑥𝑦 √ ( )
( ) ( ): 𝑥
𝑥 𝑥 ± √
𝑦 ±
√ ±( √ 𝑖)
;√ : : √ : ; √ :
𝑧 √ 𝑖
;√ : : √ ; √ :
𝑧 √ 𝑖
𝑆 * 𝑖 √ 𝑖√ 𝑖+
Conclusion :
EXERCICES
1. 𝑥 𝑥
2. 𝑥 𝑥
3. 𝑥 𝑥
4. 𝑥 𝑥 ( 𝑖) 𝑖
5. 𝑥 𝑥 ( 𝑖) 𝑖
6. 𝑖𝑥 𝑥 𝑥
229
Etant donné que le champ d’un nombre complexe n’est autre que le champ
du couple réel, cette représentation géométrique de est comme une
représentation géométrique de .
Remarques :
3°) Les points images des nombres complexes conjugués sont symétrique par
rapport à l’axe réel.
230
Posons ‖ 𝑜𝑝
⃗⃗⃗⃗⃗‖. On écrit alors √ .
𝑒⃗
o 𝑒⃗
s𝜃
, s𝜃 et s 𝜃
s 𝜃
𝑧 s’écrit alors : 𝑧 s𝜃 𝑖 s 𝜃
( s𝜃 𝑖s 𝜃)
Exemple :
𝑧 𝑖 ( s𝜃 𝑖s 𝜃).
232
𝑧 𝑖
√ √
; ;√
s𝜃
√
, 𝜃
√
s 𝜃
√
𝑧 𝑖 √ ( 𝑜𝑠 𝑖𝑠𝑖𝑛 )
Remarques :
𝑧 ( s𝜃 𝑖s 𝜃)
𝑧 𝑧 ⟺ 2𝜃 𝜃 𝑘
c) 𝑧 𝑧
⟺ ( s𝜃 𝑖s 𝜃) ( s𝜃 𝑖s 𝜃 )
( s𝜃 𝑖s 𝜃 )
⟺{ s𝜃 s𝜃
s 𝜃 s 𝜃
𝜃 𝜃 𝑘
d) 𝑧 𝑧̅
⟺ ( s𝜃 𝑖s 𝜃) ( s𝜃 𝑖s 𝜃 )
⟺{ s𝜃 s𝜃
s 𝜃 s 𝜃
233
𝜃 𝜃 𝑘
1°. Produit
𝑧 ( 𝑜𝑠𝜃 𝑖𝑠𝑖𝑛𝜃 )
𝑧 𝑧 [ 𝑜𝑠(𝜃 𝜃 ) 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃 𝜃 )]
Généralisation :
𝑧 𝑧 𝑧 𝑧 , 𝑜𝑠(𝜃 𝜃 𝜃 𝜃 ) 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃 𝜃 𝜃
𝜃 )-
En particulier : si 𝑧 𝑧 𝑧 < 𝑧 𝑧 on a :
2°) Quotient
𝑧 ( 𝑜𝑠𝜃 𝑖𝑠𝑖𝑛𝜃 ) ; 𝑧
𝑧 ( : )
𝑧 ( : )
( : )( ; )
( : )( ; )
( ; : : )
( 𝑜𝑠 : )
( : ): ( ; )
( : )
𝑧
, 𝑜𝑠(𝜃 𝜃 ) 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃 𝜃 )-
𝑧
Remarque :
( s𝜃 𝑖 s 𝜃 )𝑚 s 𝑚𝜃 𝑖s 𝑚𝜃
( s𝜃 𝑖 s 𝜃 )𝑚 ( s𝜃 𝑖s 𝜃 ); ( co )
: co :
co ;
s 𝑛𝜃 𝑖s 𝑛𝜃 s( 𝑛𝜃) 𝑖 s ( 𝑛𝜃)
co :
1°. Définition
𝑚𝑒
On appelle racine 𝑛 d’un nombre complexe les racines dans de
l’équation 𝑧 (𝑛 0 ).
𝒆
2°. Recherche des racines 𝒏
( 𝑚𝑒
Soit 𝑧 s𝜃 𝑖s 𝜃) une racine 𝑛 de
𝑧 ( s 𝜃 𝑖s 𝑛𝜃 ) 𝑟( s 𝑖s )
s 𝑛𝜃 𝑟 s
{
s 𝑛𝜃 𝑟s
𝑟
2
𝑛𝜃 𝑘
𝑧 √𝑟 0 s. / 𝑖s . /1 (*)
𝑘 ∶ 𝑧0 √𝑟 . s 𝑖s / 𝑟𝑔:
𝑘 :𝑧 √𝑟 0 s. / 𝑖s . /1 𝑟𝑔:
( ; ) ( ; )
⋮𝑘 𝑛 :𝑧 ; √𝑟 0 s. / 𝑖s . /1 arg :
( ; )
236
𝑘 𝑛∶ 𝑧 √𝑟 0 s. / 𝑖s . /1 √𝑟 . s 𝑖s /
𝑧0
Remarques :
𝑚𝑒
a) Tout nombre complexe a 𝑛 racine 𝑛 complexe .
b) Dans le plan de Gauss, les images des nombres complexes 𝑧 sont les
sommets d’un polygone régulier de n côtés inscrit dans un cercle de
centre o et de rayon 𝒏√
𝑟 √
√
s𝜃
√
√
s 𝜃
𝑧 √ ( s 𝑖s )
√𝑧 √ 0 s. / 𝑖s . /1
𝑘 : 𝑧0 √ 0 s. / 𝑖s . /1 0√ 1
9 9 9
𝑘 :𝑧 √ . s 𝑖s / 0√ 1
237
7 7 7
𝑘 :𝑧 √ . s 𝑖s / 0√ 1
𝒆
3°. Racine 𝒏 de l’unité
Or 𝑖 𝑟 𝑒𝑡 𝑘
s 𝑘 𝑖s 𝑘
𝑢0 s 𝑖s
238
; √
𝑢 s 𝑖s 𝑖
; √
𝑢 s 𝑖s 𝑖
4°. Théorème
𝑧 √ . s 𝑖s /
𝑧 𝑢0 √ . s 𝑖s / 𝑧
9 9
𝑧 𝑢 √ . s 𝑖s / 𝑧
7 7
𝑧 𝑢 √ . s 𝑖s / 𝑧
Démonstration du théorème
𝑧 √𝑟 0 s. / 𝑖s . /1
√𝑟 . s 𝑖s /. s 𝑖s / 𝑧0 𝑢 où 𝑢 représente les
𝑚𝑒
racines 𝑛 de l’unité.
239
EXERCICES
1. Calculer ( 𝑖)
Solution
( 𝑖) 𝑖 𝑖
( 𝑖) ( 𝑖 )( 𝑖)
𝑖 𝑖
𝑖 ( 𝑖)
𝑧0 : 𝑖 st u sr s 𝑖
√ √
𝑧 ( 𝑖) 4 𝑖5 𝑖 (√ *
√
𝑖 (√ *
240
SEMAINE 6
;
1°) ( s 𝜃 𝑖s 𝜃) ∑ <0 ( s 𝜃) (𝑖 s 𝜃) : Formule du Binôme de
Newton
Exemple :
( s𝜃 𝑖 s 𝜃) s 𝜃 𝑖s 𝜃 s𝜃 s 𝜃
( s𝜃 𝑖 s 𝜃) s 𝜃 𝑖s 𝜃
2 s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 ( s 𝜃)
De même on trouve
s 𝜃 ( s 𝜃)
𝑛
241
( s𝜃 𝑖 s 𝜃) s 𝜃 𝑖 s 𝜃s 𝜃 s𝜃 s 𝜃 𝑖s 𝜃
( s𝜃 𝑖 s 𝜃) s 𝜃 𝑖s 𝜃
2 s 𝜃 s 𝜃 s𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s𝜃 ( s 𝜃)
{
s 𝜃 s 𝜃( s 𝜃) s 𝜃
2 s 𝜃 s 𝜃 s𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s𝜃
s 𝜃 s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
a)Définition
Par exemple : s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
b) Linéarisation
𝑧
s𝜃 𝑖s 𝜃
242
𝑧 𝑧
s𝜃 s𝜃 .𝑧 𝑧
/ (1)
;
𝑧 s 𝜃 s 𝜃 .𝑧 / ou s 𝜃 .𝑧 / (2)
𝑧 𝑧 𝑧
𝑧 s 𝑛𝜃 𝑖s 𝑛𝜃
s 𝑛𝜃 𝑖 s 𝑛𝜃
𝑧
𝑧 𝑧
s 𝑛𝜃
s 𝑛𝜃 .𝑧 𝑧
/ (3)
;
s 𝑛𝜃 .𝑧 / (4)
𝑧
Exemple : s𝜃 .𝑧 𝑧
/
s 𝜃 0 .𝑧 𝑧
/1
.𝑧 𝑧 /
8 𝑧 𝑧
8
0.𝑧 𝑧
/ .𝑧 𝑧
/1
( s 𝜃 s 𝜃) s 𝜃 s𝜃
8
s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
;
s 𝜃 .𝑧 𝑧
/
;
s 𝜃 0 .𝑧 𝑧
/1
.𝑧 𝑧 /
8 𝑧 𝑧
243
8
0𝑧 𝑧
.𝑧 𝑧
/1
( 𝑖s 𝜃 𝑖 s 𝜃)
8
s 𝜃 s 𝜃
s 𝜃 ( s 𝜃 s 𝜃)
N.B. Les formules (1), (2), (3) et (4) seront donc utilisées dans la linéarisation
des fonctions trigonométriques.
Exemple :
Linéariser s 𝜃 𝑒𝑡 s 𝜃
;
s 𝜃 .𝑧 𝑧
/
;
s 𝜃 0 .𝑧 𝑧
/1
.𝑧 𝑧 𝑧
𝑧 𝑧
𝑧𝑧 𝑧
/
0.𝑧 𝑧
/ .𝑧 𝑧
/ 1
( s 𝜃 s 𝜃 )
s 𝜃 s 𝜃
8 8
s𝜃 .𝑧 𝑧
/
s 𝜃 0 .𝑧 𝑧
/1
.𝑧 𝑧 𝑧 𝑧
/
244
0.𝑧 𝑧
/ .𝑧 𝑧
/ 1
( s 𝜃 s 𝜃 )
8
s 𝜃 s 𝜃 8
a. Définition
.)𝑓( ) s 𝑖s
𝑓( ) s s s s 𝑖s s 𝑖s s
𝑓( ) 𝑓( ) ( s 𝑖s )( s 𝑖s )
s s s s 𝑖s s
𝑖s s
𝑓( ) 𝑓( ) 𝑓( )
.)𝑓 ( ) s 𝑖 s 𝑖( s 𝑖s )
𝑖𝑓( )
b. Propriétés
1°) 𝑧 𝑧 𝑟𝑒 𝑟 𝑒 𝑟𝑟 𝑒 ( : )
𝑧 𝑒 ( ; )
2°) 𝑒
𝑧
3°) 𝑧 𝑒;
4°) 𝑧 (𝑟𝑒 ) 𝑟 𝑒
𝜋 𝜋
Exemple : 𝑧 𝑒 et 𝑧 𝑒;
𝜋 𝜋 𝜋
. ; /
𝑧𝑧 𝑒 𝑒;
𝜋
𝑧 𝑒
𝜋
𝑒
𝑧
𝜋 𝜋
𝑧 :
𝑧
𝑒
𝜋
𝑒
𝑚𝑒
5°) Les racines 𝑛 du nombre complexe 𝑧 𝑟𝑒 seront données par
𝑘𝜋
. /
𝑧 √ 𝑟𝑒 𝑘 𝑛
246
c) Formule d’Euler
𝑒 s𝜃 𝑖s 𝜃 ( )
𝑒; s𝜃 𝑖s 𝜃 ( )
𝑒 :𝑒
( ) ( ) s𝜃 : Formules d’Euler
𝑒 ;𝑒
( ) ( ) s 𝜃
Remarques :
1°) Un nombre complexe donné peut être mis sous trois formes :
-Forme algébrique 𝑧 𝑖
-Forme exponentielle 𝑧 𝑟𝑒
2°) Toutes les opérations effectuées sur les nombres complexes sous forme
trigonométrique donnent les mêmes résultats sous forme exponentielle.
𝜃 𝑟𝑔 (𝑖⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑜𝑀) 𝑘 𝑘
7
Exemple : On donne ( 𝑖) . 𝑖/ 𝑒𝑡 𝐶( 𝑖)
Montrer que (𝐶 ) (𝐶 )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶
(𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )
𝐵 𝐶 𝑖
𝐶 𝑖
; ;
; :
; ; ( ; )
; : ;
; : ; :
; 9 9
𝑖 . s 𝑖s /
;
Arg (𝐶 ) (𝐶 )
;
248
EXERCICES
𝑧
𝑧 𝑖 𝑧 𝑧
. En déduire les valeurs exactes de s 𝑒𝑡 s
2) Soit √ ( 𝑖) √ 𝑖
𝑧; 𝑧; 𝑧;
3) Résoudre .𝑧: / .𝑧: / .𝑧: /
𝑧 𝑧
1°){
𝑧 𝑧
𝑧 𝑧
2°)8 7
𝑧 𝑧
249
𝑧𝑧
3°){ √
𝑧 𝑧
;
2°) On considère le point A d’affixe définie par
Calculer
6) Soit 𝑓(𝑧) 𝑧 ( 𝑖 )𝑧 ( 𝑖 )𝑧 𝑖
3°) Représenter les affixes des solutions dans le plan de Gauss et démontrer
que le triangle de ces affixes est isocèle.
a) Calculer 𝑧
9 9
d) Déduire de ce qui précède les valeurs de s et s
250
9) On donne l’équation 𝑧 (𝑚 )𝑧 ( 𝑖 )𝑧 ( 𝑚 𝑖) 𝑚
𝑧;
10) Soit 𝜑(𝑧) 𝑧:
défini dans ∖ * +
; :9
a) Calculer 𝑧 𝜑. / et donner le résultat sous forme algébrique
b) On pose 𝑥 𝑖𝑦
𝜑( ) 𝑖
Calculer 𝑒𝑡 en fonction de 𝑥 𝑒𝑡 𝑦
11) Linéariser s8 𝑥 s 0
𝑥 s 8
𝑥 s 0
𝑥
a) |𝑧̅ 𝑖|
b) |𝑧 𝑖| |𝑧|
𝑧;
c) |𝑧 ; :
|
d) |𝑧 𝑖| |𝑧̅ 𝑖|
SEMAINE 7
VII.1.1. DEFINITION
VII.1.2. EXEMPLES
On sait qu’alors :
𝑢 𝑢 𝑟
𝑢 𝑢 𝑟
𝑢 𝑢 𝑟
𝑢 𝑢 (𝑛 )𝑟
Ainsi, on a le résultat : 𝑢 𝑢 (𝑛 )𝑟
Exemples
Réponse : 𝑢 𝑢 𝑟= 5=
2) Soit la P.A 𝑠 ( 𝑖 𝑖 𝑖 )
Réponse : 𝑢 𝑢 𝑟
= 𝑖 ( 𝑖)
= 𝑖 𝑖
253
Théorème 1
Exemple
𝑆 ( )
𝑢 𝑢 ; 𝑢 𝑢 𝑒𝑡
254
Exemple
Soit la P.A = ( )
34
34
34
𝑢 𝑢9 𝑢 𝑢8
𝑢 𝑢 𝑢 𝑢
Si une P.A finie a un nombre important de termes, il n’est pas aisé de calculer,
sans formule à utiliser une fois pour toutes, la somme de ses termes. La
disposition de cette formule résous le problème.
𝑆 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢 (*)
𝑆 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢 𝑢 𝑢 (**)
𝑆 (𝑢 𝑢 ) (𝑢 𝑢 ; ) (𝑢 𝑢 ; ) (𝑢 ;
𝑢 )
𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢
(𝑢 ; 𝑢 ) + (𝑢 𝑢 )
𝑢 𝑢
255
𝑆 𝑛 (𝑢 𝑢 )
(𝑢 𝑢 )
Nous obtenons donc une formule à retenir pour une PA fini de n termes :
𝑆 [𝑢 𝑢 (𝑛 )𝑟 ]
= ( 𝑢 𝑛𝑟 𝑟)
:
Note : si la P.A comme par 𝑢 0 , on a : 𝑆 = ( 𝑢0 𝑛𝑟)
𝑟 ( )
𝑟 ( )
D’où l’énoncé : si trois nombres sont en P.A dans cet ordre, alors
:
et réciproquement.
256
Généralisation
Dans une P.A donnée, chaque terme est la moyenne arithmétique (ou la
demi-somme) des termes qui l’encadrent et réciproquement. Cela se traduit
mathématiquement par :
:
𝑢 ;
( : ) :
𝑆 . / u signe de 𝑢
près.
EXERCICES
a) 25 7 22
b) 130 -3 40
c) 1,05 0,05 55
d) 1746 0,125 61
e) (3)4 . / 12
257
a) 1 130 44
b) 100 6 48
c) 1.25 3.75 51
d) 0 12 25
e) -56 43 100
3. Soit la progression arithmétique 15, 21, 27---. Quel en est le 15e terme ?
VII.2.1. DEFINITION
VII.2.1. EXEMPLES
On sait qu’alors :
𝑢 𝑢 𝑞
𝑢 𝑢 𝑞
𝑢 𝑢 𝑞
;
⋮𝑢 𝑢 𝑞
;
Ainsi, on a le résultat : 𝑢 𝑢 𝑞
Exemples
Réponse : 𝑢 𝑢 𝑞
= ( )
= 531441
2) Soit la P.G 𝑠 ( 𝑖 𝑖 𝑖 𝑖 )
0
Réponse : 𝑢 𝑢 𝑞
0
=( 𝑖 ).𝑖
= 𝑖
Théorème 1
:
vérifiant la relation (𝑞 ) 𝑞
Exemple
𝑆 ( )
𝑢 𝑢 ; 𝑢 𝑢 𝑒𝑡
Exemple
Soit la PA = ( )
1024
1024
1024
𝑢 𝑢9 𝑢 𝑢8
𝑢 𝑢 𝑢 𝑢
Si une P.G finie a un nombre important de termes, il n’est pas aisé de calculer,
sans formule à utiliser une fois pour toutes, la somme de ses termes. La
disposition de cette formule résout le problème.
𝑆 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢 (*)
𝑞𝑆 𝑞𝑢 𝑞𝑢 𝑞𝑢 𝑞𝑢 ; 𝑞𝑢 ; 𝑞𝑢 (**)
262
𝑆 ( 𝑞) 𝑢 𝑞𝑢
𝑆 ( 𝑞) 𝑢 ( 𝑞 )
;
𝑆 𝑢 ;
Nous obtenons donc une formule à retenir pour une PG finie de n termes :
;
La somme des termes est : 𝑆 𝑢 ;
;
Note : lorsque la PA comme par 0, on a : 𝑆 𝑢0 ;
𝑞 ( )
( )
D’où, l’énoncé :
Généralisation
Dans une P.G donnée, chaque terme est la moyenne géométrique des termes
qui l’encadrent et réciproquement. Cela se traduit mathématiquement par :
(𝑢 ; ) 𝑢 ; 𝑢
263
𝑃 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 ; 𝑢 ; 𝑢
; ; ;
𝑢 (𝑢 𝑞) (𝑢 𝑞 ) (𝑢 𝑞 ) (𝑢 𝑞 ) (𝑢 𝑞 ) (𝑢 𝑞 )
: : : :( ; ) : ( ; ) :( ; )
𝑢 𝑞
( ; )
𝑢 𝑞
Nous obtenons donc une formule à retenir pour une P.G finie de n termes :
( ; )
Le produit des termes est : 𝑃 𝑢 𝑞
𝑢
𝑞 𝑠𝑖 < 𝑞<
𝑆 𝑢 { 𝑞
𝑞 𝑠𝑖 𝑞 >
EXERCICES
a) 1 2 12
b) 100 6
c) 25 4 10
d) 1,05 1,05 12
e) 10,000 1,0125 15
265
Considérons :
𝑆 s s( ) s( ) s( (𝑛 ) )
𝑆 s s ( ) s ( ) s ( (𝑛 ) )
Calculons 𝑆 𝑖𝑆 ( s s ) , s( ) 𝑖 s ( )-
, s( (𝑛 ) ) 𝑖 s ( (𝑛 ))- ∑ ;<0 , s( 𝑝)
𝑖s ( 𝑝)-
Posons s 𝑖s
s 𝑖s
∑ ; ∑ ; ( ; )
𝑆 𝑖𝑆 <0 <0
( ; )
𝑆 𝑖𝑆
;
Or a) ( s 𝑛 𝑖s 𝑛 ) s 𝑛 𝑖s 𝑛
ℎ
s 𝑛 s
266
ℎ ℎ
𝑖s 𝑛 𝑖s s
ℎ ℎ ℎ ℎ ℎ ℎ
s 𝑖s s 𝑖s ( s 𝑖s )
ℎ ℎ ℎ ℎ ℎ
b) s 𝑖s s 𝑖s s 𝑖s ( s
ℎ
𝑖s )
𝑛 𝑛 𝑛
𝑖s ( s 𝑖s )
𝑆 𝑖𝑆 ′ ( s 𝑖s )* +
𝑖s ( s 𝑖s )
𝑛 𝑛 𝑛
s s 𝑖s
( )( s 𝑖s )
s s 𝑖s
𝑛 .
s s 𝑖s /
( )( s 𝑖s )
s s 𝑖s
𝑛 ;
s
( s 𝑖s * ( s 𝑖s )
s
𝑛
s
[ s( 𝑛 ) 𝑖 s (𝑛 ) ]( s 𝑖s )
s
𝑛
s
[ s( (𝑛 ) ) 𝑖s ( (𝑛 ) )]
s
267
Finalement :
𝑆 s( (𝑛 ) ℎ)
𝑆 s ( (𝑛 ) ℎ)
Applications :
1) 𝑆′ s s ( ) s ( ) s ( )
(𝑛 ) (𝑛 ) 𝑛 𝑛
;
𝑆′ s . /
0
0
s ( )
(s s s s )
√ s
2) Calculer 𝑆 s s( ) s( ) s( )
3) Démontrer que :
7 9
a) s s s s s
8 0
b) s s s s s
c) s 7
s 7
s 7
d) s 7
s 7
s 7
t
268
V. SITUATIONS D’INTEGRATION
A3 SS BCST P2 S1 C2
Un roi très riche fut un jour sauvé par un petit paysan qui le repêcha au moment
où il allait noyer. Pour le récompenser, le souverain lui proposa de lui donner une
somme d’argent payable en dix jours, mais il lui laissa le choix entre deux
possibilités de payement. Selon le premier plan de payement, le roi donnerait 18
euros le premier jour, 36 euros le deuxième jour ,54 euros le troisième jour et
ainsi de suite.
Corrigé de la situation
a) Appelons:
𝑡 𝑡 (𝑛 )𝑟 Avec 𝑟
𝑡 0 ( )
𝑡 0
𝑡 0
( : )
𝑡 0 𝑆 𝑛
( )
𝑆 0
𝑆 0
𝑆 0
( 𝑞 )
𝑆 𝑡
𝑞
270
( 0)
𝑆 0
0
𝑆 0
𝑆 0
𝑆 0
Consignes :
2)Parmi les 2 enfants , qui aura la chance d’acheter cette maison sachant que
1 euro coûte 2000 fbu dans la maison de change .
273
Pour S .A., 𝑡 0
𝑡 𝑡 (𝑛 )𝑟
/1pt ( )
.Pour S.G.,
𝑡 𝑡 𝑞 ; /1pt /1pt
0;
-Donner la formule à 𝑡 0
utiliser pour trouver 9
𝑆 pour SA et 𝑆
pour SG
274
.Pour SA, 𝑆 𝑆0
( : ) 0( : 0)
/1pt
/2pts
.Pour SG, 𝑆
( ; )
/1pt 𝑆 0
; ( ; )
;
/2pts
2 -Convertir les euros .Pour C’est
en FBu. Kagabo :55 Monsieur
𝑈 Didier qui
.Pour Kagabo :55 /1pt aura la
FBU chance
Pour d’acheter
.Pour Didier : Didier :1023 la maison
1023 𝑈 car
𝑈 2046000>
𝑢
/1pt /1pt
Total : 20 7pts 9pts 3pts 1pt
pts
275
PALIER 3
277
I. COMPETENCE DU PALIER 3
Points d’attention
SEMAINE 1
La droite dans le plan affin
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Définir :
un repère orthonormé
la norme d’un vecteur
la distance d’un point à une droite
Exercices
280
SEMAINE 2
Le cercle dans un repère orthonormé
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
1. Définir un cercle
2. Etablir l’équation d’un
cercle : Distance de deux points
Résolution des systèmes
centré à l’origine du repère d’équations
dont le centre n’est pas Résolution des équations du
l’origine du repère second degré
passant par 3 points Calcul des dérivées des fonctions
numériques
SEMAINE 3
Le cercle dans un repère orthonormé (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Partir d’un exemple d’une équation d’un cercle et d’une droite pour
déterminer l’intersection du cercle et de la droite (activité 6).
Partir des équations d’un cercle centré à l’origine d’un repère et d’une
droite pour trouver l’équation de la tangente au cercle parallèle à la
droite donnée (activité 7).
Partir de l’équation générale d’un cercle et d’un point de ce dernier
pour établir l’équation de la tangente au cercle en ce point (activité 8).
284
SEMAINE 4
Les coniques
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
SEMAINE 5
Les coniques (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
Exercices + évaluation n° 3
Equation au coefficient
directeur des tangentes issues
d’un point donné
286
cas de l’hyperbole
Exercices + évaluation n ° 4
EXEMPLES D’ACTIVITES D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
Partir d’un point d’une parabole autre que le sommet, tracer une
tangente à la parabole en ce point puis trouver l’équation de cette
tangente (activité n° 10).
287
SEMAINE 6
Probabilités
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
1. Définir :
2. Définir :
Expérience aléatoire
Evénement
Evénements compatibles et
événements incompatibles
Evénement contraire d’un
événement donné
Evénement élémentaire
d’une épreuve
SEMAINE 7
Probabilités (suite)
RESSOURCES ABORDEES CLES D’APPRENTISSAGE
1. Définir :
Exercices + Evaluation n° 5
SEMAINE 8
SEMAINE DE L’INTEGRATION
289
SEMAINE 1
m :milieu de(a,b)
milieumm(((((((tg
bhhbttt(, -
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑜 𝑜⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 ) (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦)
(𝑥 𝑦 ) (𝑥 𝑦 )
⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑥 𝑦 ) (𝑥 𝑦 )
⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 )
290
m : milieu de , - ou de ( ) on a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑚 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑚
Soit m de coordonnées (𝑥 𝑦)
(𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 ) (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦)
:
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
⟺ 2𝑦 𝑦 𝑦 𝑦⟺{ 𝑦 ⟺{ :
𝑦 𝑦 𝑦
: :
Donc m a pour coordonnées . /
a. Equation vectorielle de D
Soit 𝑝 (𝑥 𝑦)
𝑝 si et seulement si 𝜆 ∶ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑝 𝜆𝑢
⃗⃗ : Equation vectorielle de D avec
𝑢
⃗⃗ 𝑜⃗ et 𝜆
291
b. Equations paramétriques de D
Le plan est muni d’un repère (𝑜 𝑖⃗ 𝑗⃗). A chaque point du plan, on associe une
coordonnée.
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑝 𝜆𝑢
⃗⃗ étant une équation vectorielle de D, on a :
(𝑥 𝑥 𝑦 𝑦) 𝜆 (𝑟 𝑠)
⟺ (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 ) (𝜆𝑟 𝜆𝑠)
𝑥 𝑥 𝜆𝑟 ( )
{ Equations paramétriques de D
𝑦 𝑦 𝜆𝑠 ( )
c. Equation cartésienne de D
(1) devient : 𝜆 (𝑥 𝑥 )
(2) ⟺𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )𝑠
⟺𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
⟺ 𝑟(𝑦 𝑦 ) 𝑠 (𝑥 𝑥 )
Si 𝑟 (𝑠 ): l’équation devient 𝑠 (𝑥 𝑥 ) ⟺𝑥 𝑥 ⟺
𝑥 𝑥
C’est une droite parallèle à l’axe des ordonnées. Cette droite n’a pas de
coefficient directeur.
292
C’est une droite parallèle à l’axe des abscisses. Elle a comme coefficient
directeur 0.
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑝 𝜆⃗⃗⃗⃗⃗ : équation vectorielle
⟺ (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 ) 𝜆 (𝑥 𝑥 𝑦 𝑦)
𝑥 𝑥 𝜆(𝑥 𝑥 )
{
𝑦 𝑦 𝜆(𝑦 𝑦)
𝑥 𝑥 𝜆(𝑥 𝑥 )
⟺{
𝑦 𝑦 𝜆 (𝑦 𝑦)
; ;
⟺
; ;
( ; )( ; )
⟺𝑦 𝑦 ;
( *) Equation cartésienne
⟺ (𝑦 𝑦 )(𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 )(𝑥 𝑥 )
⟺ (𝑦 𝑦 )(𝑥 𝑥 ) (𝑥 𝑥 )(𝑦 𝑦 )
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦 𝑥 𝑦
|𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 | ⟺ |𝑥 𝑦 | ( )
𝑥 𝑦
Si , 𝑦 𝑥 ⟺𝑦 𝑥 ⟺𝑦 𝑚𝑥 𝑝 (forme réduite de
l’équation) avec 𝑚 et 𝑝
Soient D≡ 𝑥 𝑦 et ≡ 𝑥 𝑦
⃗⃗(
Soient 𝑢 ): vecteur directeur de D
⃗⃗ (
𝑢 ): vecteur directeur de
si et seulement si 𝑢 ⃗⃗ 𝑒𝑡 𝑢
⃗⃗ sont des vecteurs linéairement dépendants,
⃗⃗ 𝑢
c’est-à-dire que dét (𝑢 ⃗⃗ )
⟺| | ⟺ ⟺ ⟺ ⟺
294
⃗⃗ (𝑥 𝑦) on a : ‖𝑢
Soit 𝑢 ⃗⃗ ‖ √𝑥 𝑦
⃗⃗ (
Exemple : 𝑢 ) ‖𝑢
⃗⃗ ‖ √ √
Propriétés
a. ‖𝑢
⃗⃗‖
b. ‖ 𝑢⃗⃗ ‖ | |‖ 𝑢
⃗⃗‖
c. ‖𝑢
⃗⃗ 𝑣⃗ ‖ ‖𝑢 ⃗⃗ ‖ ‖ 𝑣⃗‖ (inégalité triangulaire ou inégalité de
Minkowski)
| : : |
La distance 𝑑 (𝑝 )
√ :
Remarque : 𝑑 (𝑝 ) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖
‖𝑝𝑝 𝑑 (𝑝 𝑝 ) où 𝑝 est le projeté orthogonal de 𝑝
sur D.
295
I.5.4. Equation des bissectrices des angles formés par deux droites
| : : | | : : |
𝑑 (𝑝 ) 𝑑 (𝑝 )⟺
√ : √ :
: : : : : : : :
⟺ 𝑜𝑢
√ : √ : √ : √ :
L’ensemble de toutes les droites passant par s est appelé faisceau de droites.
et sont appelées droites fondamentales ou droites de base du faisceau.
Le point s s’appelle sommet du faisceau.
EXERCICES
3. Donner une équation cartésienne d’une droite passant par les points
( ) et B(-3, -1)
4. Donner une équation cartésienne d’une droite passant par le point
(2,0) et parallèle à la droite d’équation : 𝑥 𝑦
5. Indiquer pour chacun des systèmes suivants à quel cas géométrique il
correspond
𝑥 𝑦
a){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
b){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
c){
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
d)8
𝑦
( ), ( ) ( )
298
8. Dans un repère orthonormé du plan, les équations des côtés d’un triangle
sont :
( )≡ 𝑥 𝑦
( )≡ 𝑥 𝑦
( )≡ 𝑥 𝑦
( 𝑥 𝑦 ) (𝑥 𝑦 )
≡ (𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
Former les équations des droites de ce faisceau qui, avec les droites
≡ 𝑥 𝑦 𝑒𝑡 ≡ 𝑥 𝑦
300
( 𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
(𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
Sans calculer les coordonnées des centres des 2 faisceaux, former l’équation
de la droite commune aux 2 faisceaux.
3)
( ), ( )
;
𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
; ;7
⟺( ) 𝑦 (𝑥 )
; ;
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺ 𝑦 𝑥
⟺( ) 𝑥 𝑦
4)
( )
Soit
𝑚 : Coefficient directeur de
≡𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
≡ 𝑥 𝑦
302
5)
𝑥 𝑦 ( )
a) {
𝑥 𝑦 ( )
| |
et sont sécantes
𝑥 𝑦 ( )
b) {
𝑥 𝑦 ( )
| |
t sont sécantes
De plus 𝑚 𝑒𝑡 𝑚 alors
𝑥 𝑦 ( )
c) {
𝑥 𝑦 ( )
𝑥 𝑦
{
𝑥 𝑦
⟺ mais
d)
𝑥 𝑦 ( 7)
{
𝑦 ( 8)
| |
7 𝑒𝑡 8 sont sécantes.
303
6. 1° Figure
;
2° ( )≡𝑦 𝑦 ;
(𝑥 𝑥 )
;
⟺( )≡𝑦
;
(𝑥 )
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
( )≡𝑥 𝑦
;
( )≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺𝑥 𝑦
304
⟺( )≡𝑥 𝑦
𝑦 𝑦
( )≡ 𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑥 𝑥
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺𝑥 𝑦
( )≡ 𝑥 𝑦
3°
Coefficient directeur de ( ): 𝑚
Coefficient directeur de 𝐻 :
𝐻 ≡𝑦 (𝑥 )
⟺𝐻 ≡ 𝑥 𝑦
Coefficient directeur de ( ): 𝑚
Coefficient directeur de 𝐻 :
𝐻 ≡𝑦 (𝑥 )
305
⟺𝑦 𝑥
⟺𝐻 ≡ 𝑥 𝑦
Coefficient directeur de ( ): 𝑚
Coefficient directeur de 𝐻 :
𝐻 ≡𝑦 (𝑥 )
⟺𝑦 𝑥
⟺𝐻 ≡ 𝑥 𝑦
4°
m milieu de ( )
: :
𝑚. / ⟺ 𝑚. /
coefficient directeur de 𝑀 :
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
⟺𝑦 𝑥
⟺ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦
t milieu de ( )
306
: :
𝑡. / ⟺ 𝑡( )
coefficient directeur de 𝑀 :
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )⟺𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦
e milieu de ( )
: : 7
𝑒. / ⟺ 𝑚. /
coefficient directeur de 𝑀 :
7
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
7
⟺𝑦 𝑥
⟺ 𝑥 𝑦
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦
5°
La longueur du côté , -
‖⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ 𝑑( )
√( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √ ( ) √
La longueur du côté , -
‖ ‖ 𝑑( )
307
√( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √ ( ) √ √
La longueur du côté , -
‖ ‖ 𝑑( )
√( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √( ) ( ) √ √
7.
;
( )≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
; ;
⟺𝑦 (𝑥 )
;
⟺𝑦 (𝑥 )
308
( )≡ 𝑥 𝑦
𝑚′ le coefficient directeur de ( 𝑠)
( ) ( 𝑠) signifie que 𝑚′
( 𝑠) ≡ 𝑦 𝑦 𝑚′ (𝑥 𝑥 )
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑥
( 𝑠) ≡ 𝑥 𝑦
11. ≡ (𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
a. ( )
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
{ ⟺{ ⟺{
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
⟺ 𝑦 𝑦 ⟺ 𝑦 ⟺𝑦 𝑥
; ;
≡ (𝑠 ) ≡ 𝑦 (𝑥 )
;
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
≡ 𝑥 𝑦
b. 𝑠 ( ) 𝑜( )
309
(𝑠𝑜) ≡ 𝑦 (𝑥 )
≡ 𝑥 𝑦
c. (𝑜𝑠) (𝑜𝑥 ≡ 𝑦 )
≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
≡𝑦
d. (𝑜𝑦) ≡𝑥
e. ≡ 𝑥 𝑦
≡𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
≡ 𝑥 𝑦
f. ≡ 𝑥 𝑦
𝑚 . / 𝑚
≡𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺ ≡ 𝑥 𝑦
310
SEMAINE 2
12. ≡ ( 𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
( ) ( ) ( )
𝑥 𝑦
Le sommet s du faisceau : {
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
⟺{
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
⟺{
𝑥 𝑦
⟺ 𝑦 𝑦
⟺ 𝑦
⟺𝑦
𝑥 ⟺𝑥
𝑠( *
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑔 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑔 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑔 𝑂⃗⃗
⟺ (𝑥 𝑥𝑔 𝑦 𝑦𝑔 ) (𝑥 𝑥𝑔 𝑦 𝑦𝑔 ) (𝑥 𝑥𝑔 𝑦 𝑦𝑔 )
𝑥 𝑥𝑔 𝑥 𝑥𝑔 𝑥 𝑥𝑔
⟺{
𝑦 𝑦𝑔 𝑦 𝑦𝑔 𝑦 𝑦𝑔
311
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥𝑔
⟺{
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦𝑔
𝑥𝑔
⟺{
𝑦𝑔
𝑥𝑔
⟺{
𝑦𝑔
𝑥𝑔 𝑥𝑔
⟺{ ⟺{
𝑦𝑔 𝑦𝑔
𝑔( )
13. ≡ ( 𝑥 𝑦 ) (𝑥 𝑦 )
≡ 𝑥 𝑦
≡ 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
{
𝑥 𝑦
| |
| |
| |
𝑦
312
𝑠( )
𝑑 (𝑝 ) 𝑑 (𝑝 )
| ; : | | :8 ;7|
⟺
√ √
⟺ | 𝑥 𝑦 | | 𝑥 𝑦 |⟺ ( 𝑥 𝑦 ) 𝑥 𝑦
ou ( 𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
Premier cas :
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ⟺ 𝑥 𝑦
≡ 𝑥 𝑦
;
Coefficient directeur : 0
Deuxième cas :
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ⟺ 𝑥 𝑦
≡ 𝑥 𝑦
; 0
Coefficient directeur : ;
≡ 𝑥 𝑦
313
≡ 𝑥 𝑦
n : coefficient directeur de 𝑛
𝑛′ : coefficient directeur de 𝑛′ : 𝑛𝑛′ 𝑛′
≡𝑦 𝑥
⟺ ≡ 𝑥 𝑦
m : coefficient directeur de 𝑚
𝑚′ : coefficient directeur de 𝑚′ : 𝑚𝑚′ 𝑚′
≡𝑦 (𝑥 )
⟺ ≡ 𝑦 𝑥
314
⟺ ≡𝑥 𝑦
( 𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
14. {
(𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
(𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 ) .
Tout point de la droite commune aux deux faisceaux est tel que ses
coordonnées (𝑥 𝑦) vérifient l’égalité : ( 𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
(𝑥 𝑦 ) ( 𝑥 𝑦 )
( )𝑥 ( )𝑦
Pour que cette égalité ait lieu pour tout(𝑥 𝑦), il faut et il suffit que l’on ait :
( )
, ( )
( )
𝑥 𝑦
315
𝑥 𝑦
( )≡ 𝑥 𝑦
( )≡ 𝑥 𝑦
( )≡𝑥 𝑦
Solution
𝑥 𝑦
Coordonnée de a :{
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 ( 𝑦) 𝑦 𝑦 𝑦
⟺{ ⟺{ ⟺{ ⟺2 ⟺
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑥
( )
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
Coordonnée de b : { ⟺{
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
⟺𝑦 𝑥 ( )
𝑥 𝑦 ( )
Coordonnée de c : {
𝑥 𝑦 ( )
316
( )⟺ 𝑥 𝑦 ( )
En remplaçant ( ) dans ( ), on a : 𝑦 𝑦 ⟺𝑦 𝑥
D’où : ( )
𝑚 (𝑥 𝑦) 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑒 , -
: :
𝑚. /
; : ;7:
𝑚. /
𝑚( )
𝑚;
𝑀 ≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑚;
317
; :
≡𝑦 (𝑥 )
:
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
𝑀 ≡ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡𝑥 𝑦
𝑀: é ssu ( )
Soit n milieu de , -
: :
𝑛. /
; : ; :
𝑛. /
𝑛( )
;
𝑀 ≡ 𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
:7
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
:
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
𝑀 ≡ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦
𝑀 ∶ médiane issue de ( )
Soit 𝑝 milieu de , -
: :
𝑝. /
318
; ; ; ;7
𝑝. /
𝑝( )
;
𝑀 ≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
; ;
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
; ;
;7
𝑀 ≡𝑦 (𝑥 )
;9
𝑀 ≡ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑦 𝑥
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦
Coordonnées de g
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
{ {
𝑀 ≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
𝑥 𝑦
{
𝑥 𝑦
On a : 𝑦
𝑦 9
𝑔. /
319
Soit médiatrice de , -
𝑚 ( 𝑥 𝑦) ∶ 𝑑 ( 𝑚) 𝑑 ( 𝑚)
√( 𝑥 ) (𝑦 ) √( 𝑥 ) (𝑦 )
(𝑥 ) (𝑦 ) (𝑥 ) (𝑦 )
𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 𝑥 𝑥 𝑦 𝑦
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
≡𝑥 𝑦
| 0; . ; /; | | ; | 0 √ 0
𝑑 (𝑔 )
√ :9 √ 0 √ 0 0
𝑑 (𝑔 ) √ 𝑈 𝑙 (unité de longueur)
𝑑( ) 𝑑( )
𝑑( ) √( ) ( )
√ √
| 8; : | 0
𝑑( )
√9: √ 0
0 ′
√ 𝑢 (u tés r )
√ 0
320
𝑑(𝑚 𝑝) 𝑟.
II.2. Equation
𝑑 ( 𝑚 𝑝) 𝑟 √(𝑥 𝑥𝑚 ) (𝑦 𝑦𝑚 ) 𝑟
√(𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟
√𝑥 𝑦 𝑟 𝑥 𝑦 𝑟
II.2.2. Equation d’un cercle dont le centre n’est pas l’origine du repère
𝑑(𝑚 𝑝) 𝑟
On a : √(𝑥 𝑥𝑚 ) (𝑦 𝑦𝑚 ) 𝑟
√( 𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟
(𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟
𝑪 ≡ (𝒙 ) (𝒚 ) : Forme explicite
𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 𝑟
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑟
Posons que : 𝑒𝑡 𝑟
On a alors :
Le centre 𝑚 ( ) 𝑚( )
Or 𝑟 𝑟 𝑟 √
322
:
𝑟 < Or 𝑟 𝐶 est un cercle imaginaire
Si le cercle passe par trois points, alors les coordonnées de ces 3 points
vérifient l’équation de ce cercle. Ainsi, la substitution dans l’équation ( )
donne un système de trois équations à trois inconnues a, b et c facile à
résoudre.
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
( )
On a alors : { , ( )
( )
De ( ) On a : ( )
En remplaçant ( )𝑑 𝑛𝑠 ( ): ( ) ( )
;9;𝐶
De ( )𝑜𝑛 : ( )
;9;𝐶
En remplaçant ( )𝑑 𝑛𝑠 ( ) 𝑜𝑛 ∶ ( ) . /
323
;9:
𝑜𝑛 ∶ 𝑒𝑡
SEMAINE 3
Exemples d’application :
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
On a : {
≡𝑦 𝑥
𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 ( )
{
𝑦 𝑥 ( )
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
<
𝐶 ≡𝑥 𝑦
{
≡𝑦 𝑥
325
𝑥 𝑦 ( )
{
𝑦 𝑥 ( )
Remplaçons ( ) s( ) :𝑥 (𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
𝑥(𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑜𝑢 𝑥 𝑥
Si 𝑥 𝑦 𝑜𝑢 𝑠𝑖 𝑥 𝑦
𝑆 *( )( )+
En général
326
Soit 𝐶 ≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 et D≡ 𝑦 𝑚𝑥 𝑛
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
On a 𝐶 :{
𝑦 𝑚𝑥 𝑛 ( )
𝑥 𝑚 𝑥 𝑚𝑥 𝑛 𝑥 𝑚𝑥 𝑛
( 𝑚𝑛 𝑚) ( 𝑚 )(𝑛 𝑛 )
𝑥 𝑦 ( )
On a: 𝐶 :{
𝑦 𝑥 𝜆 ( )
Remplaçons ( )𝑑 𝑛𝑠( ) 𝑜𝑛 : 𝑥 (𝑥 𝜆)
𝑥 𝑥 𝜆𝑥 𝜆
327
𝑥 𝜆𝑥 𝜆
( 𝜆) , (𝜆 )-
𝜆 𝜆 𝜆 ( 𝜆 )
Pour avoir des droites tangentes au cercle; il y a une condition. Il faut que le
soit égal à zéro
𝜆 𝜆 𝜆 √ ± √
Or les tangentes sont parallèles à la droite D. Donc ils ont le même coefficient
directeur. Les équations des tangentes sont :
≡𝒚 𝒙 𝟓√
≡𝒚 𝒙 𝟓√
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑟
𝑦 𝑟 𝑥 𝑦 ±√𝑟 𝑥
On étudie 𝑓(𝑥 ) ± √𝑟 𝑥
( ; ) ; ;
𝑓 ′ (𝑥 )
√ ; √ ; √ ;
;
𝑓 ′ (𝑥 ) 𝑥
√ ; √ ;
328
𝒙
𝒇′ (𝒙 ) 𝒚
𝑇≡𝑦 𝑦 𝑓 ′ (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
𝒙
𝑇≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝒚
𝑦 (𝑦 𝑦 ) 𝑥 (𝑥 𝑥 )
𝑦𝑦 𝑦 𝑥 𝑥 𝑥
𝑇≡𝑦 𝑦 𝑥 𝑥 𝑦 𝑥
Posons que : 𝑦 𝑥 𝑟
Cas général
(𝑦 ) 𝑟 (𝑥 )
𝑦 √𝑟 (𝑥 ) 𝑦 √𝑟 (𝑥 )
𝑓( 𝑥 ) √𝑟 (𝑥 )
( ;( ; ) ) ( ; ) ; ;
𝑓 ′ (𝑥)
√ ;( ; ) √ ;( ; ) √ ;( ; ) ;
329
;
𝑓 ′ (𝑥 ) ;
;
𝑇≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
;
(𝑦 𝑦 )(𝑦 ) (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
≡ (𝒚 )(𝒚 𝒚 ) (𝒙 )(𝒙 𝒙 )
𝑇 ≡ (𝑝 𝑠 ) 𝑒𝑡 𝑇 ≡ (𝑝 𝑠 )
330
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 𝑒𝑡 𝐶 ≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
On a : {
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
( ) ( ) ( )𝑥 ( )𝑦 ( ) : Equation (𝑝 𝑝 )
331
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
{ ou
( )𝑥 ( )𝑦 ( )
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
{
( )𝑥 ( )𝑦 ( )
Le système ainsi résolu donne une équation du second degré à une inconnue,
c’est l’équation aux intersections
Remarques :
Exercices
𝐶≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
≡ 𝑥 𝑦
333
𝐶 ≡𝑥 𝑦
10) Déterminer l’axe radical des 2 cercles dans les cas suivants :
𝐶 ≡𝑥 (𝑦 )
1°) {
𝐶 ≡ (𝑥 ) 𝑦
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
{
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
,𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
334
1) 𝑚( )𝑟
∁≡ (𝑥 𝑥0) (𝑦 𝑦0 ) 𝑟
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
≡𝑥 𝑥 𝑦 𝑦
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
𝐶 (𝑜𝑥 ): {
𝑦 ( )
√ √ √
: √
√
; √
√
𝐶 (𝑜𝑥) ≡ {( √ )( √ )}
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
𝐶 (𝑜𝑦): {
𝑥 ( )
𝑦 𝑦
√ √
𝑦 √
𝑦 √
335
𝐶 (𝑜𝑦) ≡ {( √ )( √ )}
2) 𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
≡𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
{
𝑥 𝑦 ( )
( ) 𝑥 𝑦 ( )
( ) dans ( ) ( 𝑦 ) 𝑦 ( 𝑦 ) 𝑦
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦 𝑦
𝑦 𝑦
𝑦 𝑦
est tangente 𝐶
𝑦 𝑦
𝐶 *( )+
3)
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
( )
; ;
𝑚. /
; 𝑚
≡𝑦 𝑦𝑚 (𝑥 𝑥𝑚 )
; 𝑚
:
≡𝑦 .𝑥 /
:
≡ 𝑦 𝑥
≡𝑥 𝑦
) 𝑝( ) 𝑒𝑡 𝑞( )
soit s le centre 𝑠( )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑝𝑞‖ √ √ √
√
𝑟 √
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑦 𝑥 𝑥 𝑦
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
337
C) 𝑝( ) 𝑞( )
𝐶 tangent (𝑜𝑥) ≡ 𝑦
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦 ( )
𝑆𝑖 𝑝 𝐶
𝑞 𝐶
( )
{
( )
De (2) : ( )
( ) dans ( ) ( )
( )𝑒𝑡 ( ) dans ( ) : 𝐶 ≡ 𝑥 𝑦 ( )𝑥 𝑦
𝑥 𝑦 ( )𝑥 𝑦 ( )
{
𝑦 ( )
( ) dans ( ) 𝑥 ( )𝑥
( ) ( )
338
; :8
; ;8
Si alors
≡ y y
Si alors
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
d) (𝑥 ) (𝑦 )
p(1,0) , q(3, 2)
Soit 𝑝 𝐶 ( )
(1)
Soit 𝑞 𝐶 ( ) ( )
( )
339
( )
{
( )
( )
( ) s ( ) :( ) ( )
s: 𝑠𝑖
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑦
𝑚𝑒
𝑠: 𝑠𝑖
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
6) ≡𝑦 𝑥 ( ) ( )
(𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟
340
(𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟
{
𝑦 𝑥
(𝑥 ) (𝑦 ) 𝑟 ( )
{
𝑦 𝑥 ( )
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑟
𝑥 𝑥 𝑟
𝑥 𝑥 𝑟
𝑟 𝑟 8
𝑟 ±√
𝑟 ±√ , 𝑟 √
à rejeter car r :
√
Si 𝑟 alors 𝐶 𝑒𝑡 𝑜𝑛 ∶ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
9
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
7) b) ( ) ( )
≡ 𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
341
𝑦 𝑥
(𝑥 𝑥 )
√( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 )
√( 𝑥 ) ( 𝑥 ) √( 𝑥 ) ( 𝑥 )
(𝑥 ) ( 𝑥 ) (𝑥 ) ( 𝑥 )
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥
Si 𝑥 ,𝑦 ( )
𝑟 √( ) ( ) =√ √
𝐶 ≡ (𝑥 ) (𝑦 )
𝐶 ≡𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
8) 𝑝( ) 𝐶 ≡𝑥 𝑦
>
p se trouve à l’extérieur de 𝐶
𝑥𝑥 𝑦𝑦 𝑥
342
(𝑠 𝑠 ) ≡ 𝑥 𝑦
𝐶≡𝑥 𝑦 ( )
{
≡ 𝑥 𝑦 ( )
𝑒 ( ) on a∶ 𝑥 𝑦 ( )
( ) dans ( ) : ( 𝑦 ) 𝑦
𝑦 𝑦 𝑦
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦
7±
𝑦
𝑆𝑖 𝑦 𝑥
𝑆𝑖 𝑦 𝑥
𝑝( )
𝑠( ) 𝑒𝑡 𝑠 ( )
;
𝑇 ≡ (𝑝𝑠 ) ≡ 𝑦 𝑦 ;
(𝑥 𝑥 )
;7
≡𝑦 (𝑥 )
:
≡𝑦 (𝑥 )
≡ 𝑦 𝑥
𝑇 ≡ 𝑥 𝑦
343
; ;7
𝑇 ≡ (𝑝𝑠 ) ≡ 𝑦 𝑦 ;
(𝑥 𝑥 )≡ 𝑦 ; :
(𝑥 )
;
≡𝑦 (𝑥 )
;
≡ 𝑦 𝑥
𝑇 ≡ 𝑥 𝑦
344
SEMAINE 4
III.1. Définition
:
1°) + =1 𝜖 0
:
2°) 𝜖 0
𝑦 𝑝𝑥 𝑦 ±√ 𝑝𝑥
𝑦 √ 𝑝𝑥, posons 𝑝 𝑦 √ 𝑥
Dom 𝑓(𝑥) , ∞,
0√ 𝑥= pas d’A.V
345
: √ 𝑥 ∞ pas d’A.H
√
: =
: √
pas d’A.O
√
′
𝑓′ ( √ 𝑥)
√
;( √ ) ;( ) ; ;
𝑓 ′′ (𝑥)
√ √ √
Points auxiliaires
𝑥
𝑦
La courbe est tangente à l’axe des y au point o. Ce point est appelé sommet
de la parabole.
+ =1
= 1
⟺ =
𝑦 = ( 𝑥 ) 𝑦 ± √ 𝑥
Dom𝑓(𝑥): 𝑥 ⟺( 𝑥 )( 𝑥)
Dom 𝑓 : , -
; √ 𝑥
√ 𝑥 Pas d’A.V
( ; )
𝑓 (𝑥) 0 √ 𝑥 1 √ ;
(; )
𝑓 (𝑥)
√ ; √ ;
; ′ ′
𝑓 (𝑥) 0 √ ;
1 0√ ;
1
√ ; (√ ; )
6 ;
7
0√ 𝑥 √ ;
1
( ; ):
0 ( ; )√ ;
1
0( )√
1
; ;
;
𝑓 ( ; )√ ;
𝑓 (𝑥) < 𝑥 𝑓
349
= 1-
;
= 1
𝑦 = (𝑥 ) 𝑦 ± √𝑥
Nous étudions 𝑦 √𝑥
Dom f: 𝑥 (𝑥 )(𝑥 )
Dom f=- ∞ - , ∞,
Limites et asymptotes
; √ ; √𝑥 . /
; |𝑥 | √ ∞ pas d’A.H
; √𝑥 pas d’A.V
√𝑥 pas d’A.V
351
: √𝑥 : √𝑥 . / ∞ Pas d’ A.H
;
; √
𝑝 ; , 𝑓( 𝑥 ) 𝑚𝑥- ; 0 √𝑥 𝑥1
; 6|𝑥 |√ 𝑥7
; ( 𝑥 𝑥)
A.𝑂 ≡ 𝑦 𝑥
A.O en ∞
( ) √ ;
𝑚 : : : |𝑥|√
: √
𝑝 ; , 𝑓( 𝑥 ) 𝑥- ; 0 √𝑥 𝑥1
; 6𝑥√ 𝑥7
; (𝑥 𝑥)
A.𝑂 ≡ 𝑦 𝑥
352
′ ′ ( ; )
𝑓 ′ (𝑥) . √𝑥 / (√𝑥 ) [ ] . /
√ ; √ ;
𝑥
√𝑥
′ ′ √ ; ;( √ ; )
𝑓 ′′ (𝑥) . / . / 6 7
√ ; √ ; ;
√ ; ;
√ ; ; ;
( ;
) 0( ; )√ ;
1 ( ; )√ ;
𝑓 ′′ (𝑥) < 𝑥 𝑜𝑚 𝑓
353
Les axes de symétrie sont aussi les bissectrices des angles formés par les
asymptotes.
N.B. On appelle hyperbole équilatère une hyperbole dont les asymptotes sont
perpendiculaires
Soit ,𝑒⃗⃗⃗⃗ 𝑒⃗⃗⃗⃗- une base orthonormée, d’origine o .Par définition on appelle
directrice correspondant au foyer f la droite d’équation 𝑥
𝑝
≡𝑥
355
Propriété
Un rayon focal issu d’un point m(x, y) de la parabole est égal à la distance de
ce point à la directrice.
En effet :
𝑝 𝑝 𝑝
𝑚𝑓 √.𝑥 / 𝑦 √𝑥 𝑝𝑥 𝑦 √𝑥 𝑝𝑥 𝑝𝑥
√𝑥 𝑝𝑥
𝑚𝑓 √.𝑥 /
𝑚𝑓 |𝑥 | puisque 𝑥 , ∞, |𝑥 | 𝑥
𝑚𝑓 𝑥
D’où 𝑚𝑓 𝑚𝑑
𝑚
Le réel 𝑒 s’appelle l’excentricité de la parabole
𝑚
Dès lors dans une base orthonormée, la parabole est l’ensemble des points
dont le rapport des distances à un point fixe appelé foyer et à une droite fixe
appelée directrice est une constante égale à l’unité appelée excentricité.
356
Propriété
Démonstration :
𝑚𝑓 √(𝑥 ) 𝑦 √(𝑥 ) ( 𝑥 )
(𝑥 ) ( 𝑥 )
√
√ (𝑥 𝑥 ) 𝑥
√ 𝑥 𝑥 𝑥
√( )𝑥 𝑥 ( )
357
√ 𝑥 𝑥
√( 𝑥 )
| 𝑥 |
𝑥 𝑠𝑖 𝑥 >
Or, | 𝑥 | 𝑠𝑖 𝑥
{ 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 <
Puisque 𝑥 , - 𝑜𝑛 𝑥< 𝑒𝑡 𝑚𝑓 ( 𝑥)
De même, 𝑚𝑓 ′ √( 𝑥 ) 𝑦 √( 𝑥 )
𝑥 𝑠𝑖 𝑥 >
Or, | 𝑥 | 𝑠𝑖 𝑥
{ 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 <
Puisque 𝑥 , - 𝑜𝑛 ∶𝑥> t 𝑚𝑓 ′ ( 𝑥)
Excentricité
𝑚 𝑚 ′
Calculons les rapports 𝑚
et 𝑚 ′
, où 𝑚𝑝 est la distance du point m à la
directrice correspondant au foyer f et 𝑚𝑝 ′, la distance du point m à la
directrice correspondant au foyer f’.
; ;
𝑚𝑓 , 𝑚𝑝
𝑚
𝑒<
𝑚
: :
𝑚𝑓 ′ et 𝑚𝑝 ′
𝑚
𝑒<
𝑚
Dès lors, dans une base orthonormée d’origine o, l’ellipse est l’ensemble des
points dont le rapport des distances à un point fixe appelé foyer et à une
droite appelée directrice est une constante inférieure à l’unité et appelée
excentricité.
359
Propriété
Démonstration
𝑚𝑓 √( 𝑥 ) 𝑦
√𝑥 𝑥 𝑦
√𝑥 𝑥 (𝑥 )
√ 𝑥 𝑥 (𝑥 )
√( )𝑥 𝑥 ( )
Or 𝑒𝑡
360
𝑚𝑓 √ 𝑥 𝑥
√( 𝑥 )
𝑚𝑓 | 𝑥 |
𝑥 𝑠𝑖 𝑥 >
Or | 𝑥 | 𝑠𝑖 𝑥
{ 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 <
Si 𝑥 , ∞, , alors 𝑥 > et 𝑚𝑓 ( 𝑥 )
Si 𝑥 - ∞ , alors 𝑥 < et 𝑚𝑓 ( 𝑥)
De même :𝑚𝑓 ′ √( 𝑥 ) 𝑦
√( 𝑥 ) | 𝑥 |
𝑥 𝑠𝑖 𝑥 >
Or | 𝑥 | 𝑠𝑖 𝑥
{ 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 <
Si 𝑥 , ∞, alors 𝑥 > et 𝑚𝑓 ′ ( 𝑥 )
Si 𝑥 - ∞ , alors 𝑥 < et 𝑚𝑓 ′ ( 𝑥)
D’où la propriété :
Excentricité
𝑚 𝑚
Calculons les rapports 𝑚
𝑒𝑡 𝑚
;
𝑚𝑓 𝑚 ;
;
- 𝑚 ;
𝑒>
𝑚𝑝
:
𝑚𝑓 ′ 𝑚 :
- 𝑒>
: 𝑚 :
𝑚𝑝 ′
Dès lors, dans une base orthonormée, l’hyperbole est l’ensemble des points
dont le rapport des distances d’un point fixe appelé foyer et d’une droite fixe
appelée directrice est une constante supérieure à l’unité, appelée
excentricité.
362
SEMAINE 5
On a : 𝑦 ±√ 𝑝𝑥
𝑦 𝑓 (𝑥 ) √ 𝑝𝑥
𝑦 𝑓 (𝑥 ) √ 𝑝𝑥
𝑦 𝑦 𝑓 ′ (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
′ ( )
𝑓 ′ (𝑥 ) (√ 𝑝𝑥 )
√ √
𝑓 ′ (𝑥 )
√
𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑦𝑦 𝑦 𝑝( 𝑥 𝑥 )
𝑦𝑦 𝑝𝑥 𝑝𝑥 𝑝𝑥
𝑦𝑦 𝑝𝑥 𝑝𝑥 𝑝𝑥
𝑦𝑦 𝑝𝑥 𝑝𝑥
𝑦𝑦 𝑝𝑥 𝑝𝑥 𝑝( 𝑥 𝑥)
≡ 𝒚𝒚 (𝒙 ) Equation de la tangente
363
𝑦 𝑝𝑥 𝑦 𝑚𝑥 𝑘
{ {
𝑦 𝑚𝑥 𝑘 (𝑚𝑥 𝑘) 𝑝𝑥
𝑚 𝑥 𝑘𝑚𝑥 𝑘 𝑝𝑥
𝑚 𝑥 𝑘𝑚𝑥 𝑝𝑥 𝑘
𝑚 𝑥 (𝑚𝑘 𝑝) 𝑥 𝑘
′ (𝑚𝑘 𝑝) 𝑚 𝑘
𝑚 𝑘 𝑚𝑘𝑝 𝑝 𝑚 𝑘
364
𝑚𝑘𝑝 𝑝
𝑚𝑘 𝑝
𝑘 si m
𝑚
D’où l’équation :
4°) Equations des tangentes à la parabole issues d’un point extérieur donn é
𝑦 𝑝𝑥 𝑦 𝑝𝑥 ( )
{ 8 (𝑥 ) ( )
𝑦 𝑝(𝑥 ) 𝑦
(𝑥 ) 𝑝𝑥
{
𝑦 𝑝(𝑥 )
(𝑥 ) 𝑝𝑥
𝑝 (𝑥 ) 𝑝 𝑥
366
𝑝 𝑥 𝑝 𝑥 𝑝 𝑝 𝑥
𝑝𝑥 𝑝𝑥 𝑝 𝑥
𝑝𝑥 ( 𝑝 )𝑥 𝑝
′ ( 𝑝 ) 𝑝
𝑝 𝑝 𝑝
( 𝑝)
𝑇≡𝑦 𝑚𝑥 𝑚
𝑝( ) 𝑇 𝑚 𝑚
𝑚 𝑚 𝑝
′
𝑝 > si 𝑝( ) est extérieur à la parabole .D’où, deux valeurs
réelles de 𝑚 et par suite deux tangentes issues de 𝑝( )
367
EXERCICES
d) Représenter la tangente T
a) 𝑦 𝑥 𝑚( 𝑦0 )
b) 𝑦 𝑥 𝑚( 𝑦0 )
𝑦 𝑝𝑥
1. } 𝑝 𝑝
𝑦 𝑥
)𝑓 . / 𝑓. /
) 𝑚 𝑚 𝑝
( )
𝑚 ( ) 𝑚. /
𝑚 𝑚
√ ±
369
; ±
𝑚 ;
𝑚 𝑇 ≡𝑦 𝑚𝑥
𝑚
𝑇 ≡𝑦 𝑥 ;
𝑇 ≡𝑦 𝑥
𝑚 𝑇 ≡𝑦 𝑥
𝑇 ≡𝑦 𝑥
) ≡𝑥 ≡𝑥
2. 𝑦 𝑥
≡𝑦 𝑥
𝑇≡𝑦 𝑚𝑥 𝑚
𝑦 𝑥
} 𝑝 𝑝
𝑦 𝑝𝑥
𝑇 ≡𝑦 𝑥
𝑦 𝑥
8 . 𝑥 / 𝑥
𝑦 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥
370
𝑥 𝑥 𝑥
𝑥 𝑥
. / 𝑥 𝑥 8
0
𝑥 8
𝑦 8
𝑦 𝑥 𝑥 𝑥
8
𝑛. 8
/
𝑑 (𝑚 𝑛) ‖𝑚𝑛
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ √. / . / √. 0 / . /
8 8 8
√. / . / √ (unité de longueur)
: 00 √
‖𝑚𝑛
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ √ √ (u.l)
3. P≡ 𝑦 𝑥
𝑦 ±√ 𝑥
371
𝑦 𝑥
a) } 𝑥 𝑝𝑥 𝑝
𝑦 𝑝𝑥
𝑓. / 𝑓( )
≡𝑥 ≡𝑥
b) ( )
𝑇 ≡ 𝑦𝑦 𝑝( 𝑥 𝑥 )
𝑇≡ 𝑦 𝑥
𝑇≡𝑦 𝑥
𝑦 𝑥
𝑥
372
( )
c) ( )
𝑁 𝑇 𝑜𝑟 𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
𝑚 𝑚′ 𝑚′ Coefficient directeur de N
𝑁≡𝑦 𝑦 𝑚 (𝑥 𝑥 )
𝑁≡𝑦 (𝑥 )
𝑁 ≡𝑦 𝑥
𝑁 ≡𝑦 𝑥
{ 𝑥 𝑥
(𝑜𝑥 ) ≡ 𝑦
𝑓) 𝑑( ) ‖⃗⃗⃗⃗⃗‖ √( 𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √( ) ( )
√ √ √
𝑑( ) ‖ ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ √(𝑥 𝑥 ) (𝑦 𝑦 ) √( ) ( )
√ √
𝑑( ) 𝑑( ) √
4. Soit 𝐸 ≡
𝑓𝑓 ′
373
Pour l’ellipse 𝑒
𝐸≡
5. Soit 𝐻 ≡
𝑓𝑓 ′
; 8
Pour l’hyperbole, l’excentricité est 𝑒
8 00 ;
( ) . /
𝐸≡
6. a) 𝑚( 𝑦0 )
𝑦 𝑥
} 𝑝 𝑝
𝑦 𝑝𝑥
.𝑇 ≡ 𝑦𝑦0 𝑝( 𝑥 𝑥0)
𝑦0 𝑦0 ±
.Si 𝑦0 𝑇 ≡ 𝑦 (𝑥 )
374
𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
Pour 𝑦0 𝑇 ≡ 𝑦 (𝑥 )
𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
b) 𝑚( 𝑦0 )
𝑦 𝑥
} 𝑝 𝑝
𝑦 𝑝𝑥
𝑇 ≡ 𝑦𝑦0 𝑝 (𝑥 𝑥0)
𝑦0 𝑦0 ±
Si 𝑦0
𝑇 ≡ 𝑦 (𝑥 )
𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
𝑇 ≡ 𝑦 𝑥
Pour 𝑦0
𝑇 ≡ 𝑦 (𝑥 )
𝑇 𝑦 𝑥
𝑇 𝑦 𝑥
𝑦 𝑥
7. } 𝑝
𝑦 𝑝𝑥
375
0
𝑚 𝑡𝑔 co 0
( 80 ; 0 ) 0 √
co ( 80 ; 0 ) ; co 0 √
𝑇≡𝑦 𝑚𝑥 𝑚
√
𝑇≡𝑦 𝑥 √
√
𝑇≡𝑦 𝑥
√
√ √
𝑇≡𝑦 𝑥
√ √
𝑇≡𝑦 𝑥
Si E est une ellipse, elle admet une tangente en tout point 𝑚(𝑥 𝑦 ) et de
;
coefficient directeur 𝑚 𝑓
𝑦 ± √ 𝑥
;
.𝑦 √ 𝑥 𝑦′ √ ;
𝑦 √ 𝑥 √ 𝑥 𝑦
; ;
𝑦′
376
𝑇≡𝑦 𝑦 𝑓 ′ (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
;
𝑇≡𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑇≡ 𝑦𝑦 𝑦 𝑥𝑥 𝑥
𝑇≡ 𝑦𝑦 𝑥𝑥 𝑦 𝑥
𝑇≡ 𝑦𝑦 𝑥𝑥
:
On sait que 𝑥 𝑦
𝑇 ≡
𝑇≡
Soit 𝐸 ≡ 𝑥 𝑦 et 𝑇 ≡ 𝑦 𝑚𝑥 𝑘
𝑥 𝑦
{
𝑦 𝑚𝑥 𝑘
𝑥 (𝑚𝑥 𝑘)
𝑥 (𝑚 𝑥 𝑚𝑘𝑥 𝑘 )
𝑥 𝑚 𝑥 𝑚𝑥𝑘 𝑘
( 𝑚 )𝑥 𝑚𝑘𝑥 𝑘
′ (
𝑚 𝑘 𝑚 )( 𝑘 )
377
𝑚 𝑘 𝑘 𝑚 𝑘 𝑚
𝑘 𝑚
′
𝑘 𝑚
: 𝑚
𝑘
𝑘 𝑚
𝑘 ±√ 𝑚
𝑇≡𝑦 𝑚𝑥 ± √ 𝑚
𝑚 ±√ 𝑚
( 𝑚 ) 𝑚
𝑚 𝑚 𝑚
( )𝑚 𝑚 :
𝑇≡𝑦 𝑦 𝑓 ′ (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
𝑇≡𝑦 𝑦 (𝑥 )(𝑥 𝑥 )
378
𝐻≡ 𝑥 𝑦 et 𝑇 ≡ 𝑦 𝑚𝑥 𝑘
𝑥 𝑦
{
𝑦 𝑚𝑥 𝑘
⟺ 𝑥 (𝑚𝑥 𝑘)
⟺ 𝑥 (𝑚 𝑥 𝑚𝑘𝑥 𝑘 )
⟺ 𝑥 𝑚 𝑥 𝑚𝑥𝑘 𝑘
( 𝑚 )𝑥 𝑚𝑘𝑥 𝑘
′ (
𝑚 𝑘 𝑚 )( 𝑘 )
𝑚 𝑘 𝑘 𝑚 𝑘 𝑚
𝑘 𝑚
′
𝑘 𝑚
; : 𝑚
𝑘
𝑘 𝑚
𝑘 ±√ 𝑚
𝑇≡𝑦 𝑚𝑥 ± √ 𝑚
𝑚 ±√ 𝑚
379
( 𝑚 ) 𝑚
𝑚 𝑚 𝑚
Exercices
𝒙
𝐸≡
𝟔
𝑥 𝑦
a) 8 ̂
(𝑒⃗⃗⃗⃗ 𝑇)
𝑥 𝑦
b) {
𝑇⁄ ≡ 𝑥 𝑦
b) des foyers
c) des sommets
381
et la droite ≡𝑦 .
L’ellipse et la droite se coupent en deux points .On désigne par p leur point
d’intersection dont les coordonnées sont positives. Montrer que p a pour
√
coordonnées . √ / en résolvant le système formé par les deux équations
et tracer la tangente à l’ellipse passant par p. Cette tangente coupe l’axe des
x au point p.
1.
a) 𝐸 ≡
𝑒𝑡
±√ ± √
𝑓( √ ) 𝑓′( √ )
382
b)
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
𝑦 𝑥
𝑥
𝑦
𝑥
𝑦 ±√
;
𝑦 ±√ ± √ 𝑥
𝑥 𝑦 ± √ ± √ ± √ ±√
𝑦 ±√
c) 𝑇 ≡
√
Pour 𝑢( √ ) on : 𝑇 ≡ 𝑇 ≡ 𝑥 √ 𝑦
√
Pour 𝑣( √ ) on a : 𝑇 ≡ 𝑇 ≡ 𝑥 √ 𝑦
On: { 𝑥 √ 𝑦 𝑥 𝑥 𝑥
𝑦
𝑚( )
383
{ 𝑥 √ 𝑦 𝑥 𝑥 𝑥
𝑦
𝑚( )
d) 𝑇 { 𝑥 √ 𝑦 √ 𝑦 √ 𝑦 𝑦
𝑥
√
√
√
On a alors le coordonne du point 𝑝 . /
𝑇 { 𝑥 √ 𝑦 √ 𝑦 √ 𝑦
𝑥
; ; √
𝑦
√
; √
On a alors le coordonne du point 𝑝 . /
√ ( ) 08
e) 𝑑 (𝑚𝑝) √( ) . / √ √ √
9
08
𝑑 (𝑚𝑝) √ u .l
2. 𝐸 ≡ 𝑥 𝑦 et le point 𝑝 ( )
𝑇 ≡ (𝑑 )𝑚 𝑚
( )𝑚 𝑚 ( )
𝑚 𝑚
𝑇 𝑦 𝑒𝑡 𝑇 𝑦
𝑚 t
𝑇 ≡ 𝑚𝑥 ± √ 𝑚
≡ 𝑥 ±√
385
≡ 𝑥 ±√
𝑇 ≡𝑥 √ 𝑡 𝑇 ≡𝑥 √
b) ≡ 𝑥 𝑦
≡ 𝑦 𝑥
≡𝑦 𝑥
𝑇 ≡ 𝑚𝑥 ± √ 𝑚
𝑇≡ 𝑥 ±√
𝑇≡ 𝑥 ±√
𝑇 ≡𝑦 𝑥 √ 9
et 𝑇 ≡ 𝑦 𝑥 √ 9
4.
𝑥 𝑦 𝑥 𝑦
𝑥 𝑥 𝑦 𝑦
(𝑥 𝑥) (𝑦 𝑦)
,(𝑥 ) - ,(𝑦 ) -
(𝑥 ) (𝑦 )
386
(𝑥 ) (𝑦 )
( ; ) ( : )
9
a) le centre ( )
b) ±√ ±
On a : 𝑓( ) 𝑓′( )
𝑂 ≡ 𝑥 𝑥
𝑂 ≡ 𝑥 𝑥
5.
𝑝( )
𝑇≡( )𝑚 𝑚
≡( 𝑚)𝑚 𝑚
≡ 𝑚 𝑚
≡ 𝑚 𝑚
′ ′ ; :√ 9
√ ±√ et on a : 𝑚 𝑒𝑡 𝑚
; ;√ 9
𝑇 ≡
√
𝑥 √ ( √ )
387
𝑇 ≡
√
𝑥 √ ( √ )
√ ( √ )
𝑇 ≡ 𝑥 √
√ √ √
𝑇 ≡ 𝑥
√ √ √
𝑇 ≡ 𝑥
𝑇 ≡
√
𝑥 √ ( √ )
√ ( √ )
𝑇 ≡ 𝑥 √
√ √ √
𝑇 ≡ 𝑥
√ √ √
𝑇 ≡ 𝑥
6.
388
𝑥 𝑦 𝑥 ( 𝑥*
,
𝑦 𝑥
{ 𝑦 𝑥
𝑥 𝑥
{
𝑦 𝑥
𝑥 𝑥 𝑥
{ { 𝑥
𝑦 𝑥 𝑦
√
𝑥 ±√ 𝑥
√
𝑦 𝑦 √
𝑥𝑥 𝑦𝑦
𝑇≡
389
√
√ 𝑦
𝑇≡ 𝑥
𝑇≡ √ 𝑥 √
𝑦 On a alors : √ 𝑥 𝑥 √
𝑞( √ )
√4 √ √
𝑑 (𝑝 𝑞) 5 ( √ )
9 9:
𝑑 (𝑝 𝑞) √ =√ √
Donc 𝑑 (𝑝 𝑞) √ u.l
390
SEMAINE 6
I.1. ARRANGEMENT
( ; )
I.2. PERMUTATION
𝑃 𝑛
I.3. COMBINAISON
𝐶 ( ; )
391
I.4. DENOMBREMENTS
Dans tous ces cas, on effectue des épreuves. A chaque épreuve est associé un
ensemble de résultats appelé univers 𝑜𝑢 𝑈
{P,F), card
b) On jette deux fois une pièce de monnaie et on note dans l’ordre les
faces obtenues
*(𝑃 𝑃) (𝑃 )( 𝑃) ( )+
card
c) On jette 3 fois une pièce et on note dans l’ordre les faces obtenues.
*(𝑃 𝑃 𝑃) (𝑃 𝑃 ) (𝑃 )( )( )( )( )( )+
𝑟𝑑
Donc si on jette 𝑛 fois un dé à 6 faces et note dans l’ordre les faces obtenues,
on a 𝑟𝑑 .
392
I.4.2. DE
1) On jette une fois un dé à 6 faces et on note les chiffres obtenus sur la face
supérieure.
* + 𝑟𝑑
2) On jette 2 fois un dé et on note dans l’ordre les chiffres obtenus sur la face
supérieure
*( )( )( )( ) +
𝑟𝑑
𝐶 𝑟𝑑
Ce sont des tirages pour lesquels on effectue en une seule fois le tirage de
𝑝 éléments de 𝐸 Chaque tirage est une combinaison de 𝑝 éléments.
𝐶 𝑟𝑑 𝐶
𝐶 𝑟𝑑
Ce sont des tirages pour lesquels un élément de 𝐸 est tiré puis un 2ème après
remise du 1er, puis un 3ème après remise du second, puis un p i ème après un
𝑝 ième et ainsi de suite.
𝐶 𝑟𝑑 𝑛 ou le nombre de résultats 𝑁 𝑛 .
Exemples d’application
a) un total égal à 15
b) un total au moins égal à 15
c) un total strictement inférieur à 15
d) un total au plus égal à 15
Corrigé
Total : façons
15 : façons
:( ) : façons
:( ) : 3 façons
:( ) : façons
:( ) : façon
Total : 20 façons
Corrigé
a) 𝐶 0
0
0
choix possibles
0
𝐶 𝐶 0 8
0 9 8
8
choix
0 0 9 8 7
c) 𝐶 0
choix
d) 𝐶 𝐶 0 𝐶 𝐶 0 𝐶 𝐶 00 choix possibles
396
Par définition, une expérience aléatoire ou épreuve est une expérience dont
le résultat est impossible à prévoir exactement. L’ensemble des résultats
possibles de l’expérience est appelé univers de possibilités ou le référentiel .
Exemple 2 : On jette une pièce de monnaie et on note la face que l’on observe
*𝑃 +
*𝑝 𝑡 𝑘+
Exemple 4 : On tire une boule d’une urne contenant des boules rouges,
noires et vertes et on
II.2. EVENEMENT
Exemple1 : Pour l’expérience d’un jeu d’un dé, considérons une règle de jeu
définie par :
𝐸 * +
Exemple 2 : Dans l’épreuve de jet d’un dé, définissons la règle du jeu : « est
gagnant celui
qui obtient 1, 2, 3, 4, 5, 6 ».
𝐸 * +
Exemple 3 : Dans l’épreuve sur le jeu d’un dé, définissons la règle du jeu « est
gagnant celui qui obtient 7 ». Ce résultat n’est pas un élément de , il
correspond à un événement impossible.
398
Exemple : 𝐸 * + 𝐸 * + 𝐸 𝐸 * +
Exemple : 𝐸 * + 𝐸 * + 𝐸 𝐸
𝐸 𝐶𝐸
Prenons 𝐸 * + , 𝐸 * + 𝐸
𝐶 𝐸 𝐸
𝑝( 𝐸 ) 𝐶
Exemples d’application :
𝐸 * + #𝐸
* +
𝐸
On a : 𝑝 (𝐸 )
2°) 𝑝(𝐸)
400
De plus, 𝑝(𝐸 𝐸) 𝑝 (𝐸 ) 𝑝( 𝐸 ) .
Propriétés fondamentales
On a: 𝑝(𝐸 𝐸 𝐸 𝐸 𝐸 ) 𝑝 ( 𝐸 ) 𝑝 ( 𝐸 ) 𝑝( 𝐸 )
𝑝( 𝐸 ) 𝑝 ( 𝐸 ) 𝑝( 𝐸 𝐸) 𝑝( 𝐸 𝐸 ) 𝑝(𝐸 ) 𝑝 (𝐸 𝐸
𝐸 𝐸 )
𝑝(𝐸 ) 𝑝( 𝐸 )
401
En effet : 𝐸 𝐸 𝐸 𝐸
𝐸 𝐸 𝐸 𝐸
𝑝( 𝐸 𝐸 𝐸 𝐸 ) 𝑝( ) et 𝐸 , 𝐸 ,…, 𝐸 étant
équiprobables, on a : 𝑛 𝑝(𝐸 ) 𝑝(𝐸 )
Corollaire
o ca a o a
𝑝( 𝐸 ) o ca o
En effet : 𝐸 *𝐸 𝐸 𝐸 +
𝑝 (𝐸 ) 𝑝( 𝐸 𝐸 𝐸 𝐸 )
𝑝( 𝐸 ) p( ) p( )
𝑘 𝑝( 𝐸 ) (car 𝑝(𝐸 ) )
402
Application
2 P F
1
P PP PF
F FP FF
*𝑃 𝑃 𝑃 + 𝐶 𝑟𝑑 ( )
p(𝑃𝑃) 𝑝( 𝑃 ) 𝑝( 𝑃 ) 𝑝( )
𝑝( 𝐸 )
𝑝( 𝐸 )
Définissons 𝐸 : « t r u su sp ».
Obtenir au moins une pile, c’est l’obtenir au 1er jet ou au 2ème jet.
𝐸 * +
card 𝐸 𝑝( 𝐸 )
403
SEMAINE 7
2 r1 r2 r3 b1 b2
1
r1 ////// r1 r2 r1 r3 r1 b1 r1 b2
r2 r2 r1 ////// r2 r3 r2 b1 r2 b2
r3 r3 r1 r3 r2 ////// r3 b1 r3 b2
b1 b1 r1 b1 r2 b1 r3 ////// b1 b2
b2 b2 r1 b2 r2 b2 r3 b2b1 //////
𝐶 𝑟𝑑
𝐸 :« t ru au 2ème tirage ».
′ *𝑟 𝑟 𝑟 +.
404
𝑝( 𝐸 ) ′
On a : 𝑝(𝐸 ) si 𝐸 réalisé
par ailleurs : (𝑟 𝑟) 𝐸 𝐸
(𝐸 𝐸 )
𝑝 (𝐸 𝐸 ) (axiome des probabilités composées)
(𝐸 )
1 r1 r2 r3 b1 b2
2
r1 r1 r1 r1 r2 r1 r3 r1b1 r1 b2
r2 r2 r1 r2 r2 r2 r3 r2b1 r2 b2
r3 r3 r1 r3 r2 r3 r3 r3b1 r3b2
b1 b1 r1 b1 r2 b1 r3 b1 b1 b1 b2
b2 b2 r1 b2 r2 b2 r3 b2 b1 b2 b2
405
𝑟𝑑
𝑝( 𝐸 )
𝑝( 𝐸 )
La bille rouge obtenue au 1er tirage étant remise dans l’urne, le 2 ème tirage est
indépendante de 𝐸 et vice-versa.
9
𝑝( 𝑟 𝑟 ) 𝑝( 𝐸 𝐸 )
𝑝( 𝐸 ) 𝑝( 𝐸 𝐸) 𝑝(𝐸 ) 𝑃(𝐸 )
{ 𝑝( 𝐸 )
Exemples d’application :
𝑝( )
, 𝑝( ) 𝑝( ) 𝑝( )
0
𝑝( )
𝑝( )
, 𝑝( ) 𝑝( ) 𝑝 ( )
99
𝑝( )
EXERCICES
Quelle est la probabilité pour que la carte obtenue soit un roi ou une dame.
Calculer la probabilité pour que l’on ait : une 1ère noire, une 2ème blanche et la
3ème rouge.
409
10) Une urne contient 10 boules, une porte le n°1, 2 boules portent le n°2,
3 portent le n°3, 4 portent le n°4. On tire au hasard une boule.
11) On tire au hasard une boule d’un sac contenant 5 boules numérotées
de 0 à 4. On note p la probabilité de tirer la boule numérotée n
* +
13) Un sac contient 7 boules rouges et 5 boules jaunes. On tire une boule
puis, sans la remettre dans le sac, on tire une 2 ème boule puis une 3ème puis
une 4ème toujours sans les remettre dans le sac. Déterminer les probabilités
des événements suivants :
410
1) Soit 𝑈 le référentiel : 𝑈
𝑈 * +
a) 𝑃 (* +) 𝑝(* + ) 𝑝(* +)
b) 𝑝 ( 𝑒) 𝑘𝑖 𝑝(* +) 𝑘
𝑝(* +) 𝑘
𝑝(* +) 𝑘
𝑝(* +) 𝑘
𝑝(* +) 𝑘
𝑝(* +) 𝑘
𝑘 𝑘 𝑘 𝑘 𝑘 𝑘
⟺ 𝑘 ⟺ 𝑘
On a : 𝑘 𝑘
𝑝(* +) 𝑝 (* +) 𝑝(* +)
𝑝(* +) 𝑝 (* +) 𝑝(* +)
2) Soit Ω le référentiel
0 0 9
𝑟𝑑 𝐶 0 8
𝐸 𝐶
𝐸
𝑃( 𝐸 )
2° ) 2 jetons numéro 1
3 jetons numéro 2
4 jetons numéro 3
1 jeton numéro 4
𝐸 𝐶
𝐸
𝑝( 𝐸 ) Ω
412
𝐸 𝐶 𝐶 𝐶
𝐸 0
𝑝( 𝐸 )
9
𝐸 𝐶 𝐶 𝐶 𝐶
𝐸
𝑝( 𝐸 )
𝐸 𝐶 𝐶 𝐶 𝐶 𝐶 𝐶 𝐶
𝐸 0
𝑝( 𝐸 ) 9
Soit Ω : le référentiel
𝑟𝑑 𝐶 0
𝐸 𝐶 𝐶
𝑝(𝐸 )
( )
( ) ( )
( ) ( )
( ) ( )
413
( 0; )
(9; )
( 0; )(9; )
(9; )
( 0; )
𝑝( 𝐸 )
b) E2 « 2 objets noirs » : 𝑟𝑑 𝐸 𝐶
𝐶 ( ) ( ; )( ; )
𝑝( 𝐸 ) ( ; )
( ; )
𝑝( 𝐸 ) 90
( 0; ) ) ( 0; )
𝐸 ( 0; ; ) ( 8; )
( 0; ) ( 9; )( 8; ) ( 0; ) (9;
( 8; )
𝐸 ( 0; ) (9; )
𝑝( 𝐸 ) 90
( 0; ) (9; ) 7
d) 90
⟺ ( 𝑛)( 𝑛)
⟺ ( )( 𝑛)
⟺ 𝑛 𝑛
√ ±
414
9:
𝑛 à rejeter car > objets
9;
𝑛
Donc 𝑛
0 9
4) Soit 𝑈 le référentiel : 𝐶 𝑟𝑑 𝑈 𝐶
9 9
7 7
𝐶 𝑟𝑑 𝐸 𝐶7
7
𝑃( 𝐸 ) 0
7 7
𝐶 𝑟𝑑 𝐸 𝐶7 𝐶
70 7
𝑝( 𝐸 ) 0
𝐶 𝑟𝑑 𝐸 𝐶7 𝐶 𝐶 𝐶7 𝐶
7 7
( )
𝐸 8 7
𝑝( 𝐸 ) 0
415
𝐸 𝐶 𝐶7
8 7
𝑝(𝐸 )
0
5) 𝑝(* +) 𝑝(* +)
7
(𝑝* +) 𝑝(* +)
𝑝(* +) 7
𝑝(* +)
𝑝(* +) 𝑝(* +)
7
Or 𝑝(* +) 𝑝(* +)
7
𝑝 (* +) 𝑝(* +)
𝑝(* +) 𝑝(* +)
7
𝑝(* +)
𝑝(* +) 7
𝑝(* +) 7
8
𝑝(* +)
8
𝑝(* +)
416
𝑝(* +) 7
𝑝(* +) 7
8 9
2°) 𝑝(* +) 𝑝(* +) 𝑝(* +)
7 89
8 8 : : :
3°) 𝑝(* +) 𝑝(* +)+𝑝(* +) 𝑝(* +) 7 89
9
89
9
Soit 𝑈 le référentiel∶ 𝐶 𝑟𝑑 𝑈 9
𝑝( 𝐸 )
Soit Ω le référentiel :
𝐸
𝑝( 𝐸 ) 7 9
Soit Ω, le référenciel : 𝐶 𝑟𝑑 𝐶
𝐸 𝐶 𝐶 𝐶
𝐸 7
𝑝( 𝐸 ) 0
417
𝐸 𝐶
𝐶 7
𝑝( 𝐸 ) 𝑝(𝐸 ) 0 0 0
𝐸 𝐶 𝐶
𝐸
𝑝(𝐸 ) 0
𝐸 𝐶 𝐶
𝐸
𝑝( 𝐸 )
0
8) Soit 𝑈 : Référentiel
(𝐸 𝐸)
8
𝑝( 𝐸 𝐸)
Ou 𝑝(𝐸 𝐸) 𝑝( 𝐸 ) 𝑝( 𝐸 ) 8 8
𝐸
418
Soit 𝑈 le référentiel
𝐸 7
𝑝( 𝐸 )
7
𝑈 𝐶 0
a) 1°) 𝐸 : « avoir le n° 2 »
𝐸 𝐶
𝐸
𝑝(𝐸 ) 0
𝐸 𝐶
𝑝( 𝐸 ) 0
𝐸 𝐶
𝑝(𝐸 ) =
0
b) Soit le référentiel
𝐶 0
𝐸 𝐶 𝐶
7
𝑝( 𝐸 )
419
SEMAINE 8
SEMAINE D’INTEGRATION
420
V. SITUATIONS D’INTEGRATION
SS BCST MATH A3 P3 S1 C3
Support
:
::::kkd:m
lk ::
Il veut le vendre à un éleveur de poules pour pouvoir payer les frais scolaires
de son fils s’élevant à 280 000frs. Son grand frère, NAHIMANA , professeur de
Mathématiques au Lycée lui donne les renseignements suivants relatifs aux
équations caractéristiques de son champ :
- Le côté ≡ 𝑥 𝑦
- Les hauteurs 𝑚 ≡ 𝑥 𝑦 et 𝑛 ≡ 𝑥 𝑦
L’unité de longueur étant le mètre, le prix convenu est de 20 000frs par mètre
carré.
Consigne :
421
Aider monsieur KARAKURA à savoir si la vente de son terrain couvrira les frais
à payer, s’il lui restera une somme à affecter ou s’il devra chercher une
somme additionnelle.
Eléments de réponse
Figure
𝑥 𝑦
* + 𝑚: {
𝑥 𝑦
𝑥
⟺{
𝑦
⟺ ( )
𝑥 𝑦
* + ( ) (𝑛): {
𝑥 𝑦
𝑥
⟺{
𝑦
( )
422
* + ( ) ( )
𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
⟺𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺ 𝑥 𝑦
𝑦 𝑦 (𝑥 𝑥 )
𝑦 (𝑥 )
⟺ 𝑦 𝑥
⟺ 𝑥 𝑦
𝑥 𝑦
{
𝑥 𝑦
𝑥
⟺{
𝑦
423
𝐵 𝑒 ℎ 𝑒
L’aire du champ triangulaire est 𝑆
𝑠𝑒 𝑑( ) √ √ (𝑚)
| |
𝐻 𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑( ) (𝑚)
√
√
D’où, l’aire : 𝑆 √
(𝑚 ) (𝑚 ) 𝑚
𝑚
𝑚
Finalement, Monsieur KARAKURA pourra payer les frais scolaires de son fils
avec l’argent reçu. Il lui restera d’ailleurs à affecter.
424
- Ecriture de l’expression
donnant la valeur de
l’inconnue /2pt -Conclusion cohérente aux
résultats /3pt
-Bonne transformation
de l’expression /2pts
Total 20 pts
425
SS BCST MATH A3 P3 S2 C3
Consigne :
Aidez le Patron qui s’inquiète de savoir quelle est la valeur des verres cassés
et se demande si :
Eléments de réponse
typ st
On a 30 verres : { typ r us
typ
0 0 9 8
Soit Ω le référentiel : 𝑟𝑑 𝐶 0 8 8
𝐶 𝑟𝑑 𝐸 𝐶 0 𝐶 0 𝐶 0
𝐶 0
426
𝐸 7
𝑝( 𝐸 ) 87
𝐶 𝑟𝑑 𝐸 𝐶 0 𝐶 0 𝐶 0𝐶 0 𝐶 0
𝐸 9
𝑃(𝐸 ) 87
𝐸 𝐶 0 𝐶 0
𝐸 00 0
𝑝 (𝐸 )
87
427
Consigne
2
- Calcul du nombre de choix
favorables / 3 pts
- Calcul de la probabilité /2 pts
Consigne
3
- Calcul du nombre de choix
favorables / 3 pts
- Calcul de la probabilité /2 pts
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Bujumbura 2016
432